Nom: Shokuhou
Prénom: Misaki
âge: 17 ans
Lieu d'origine: Terre
Expérience: Vierge
Histoire:
Misaki Shokuhou est une métisse, sa mère est japonaise, son père américain. Née sur le sol Américain, elle a d'abord eu le nom Johnson et restait une petite fille adorable ! Fait rare, elle avait les cheveux blonds naturellement et le visage plus marqué de sa mère que de son père. Elle était une petite fille comme bien des enfants, même si ses parents étaient aisés, cela ne fit pas d'elle une enfant gâtée et hautaine. Elle avait des amis à son école, tout se passait pour le mieux, mais la vie lui a donné une gifle... Une gifle qu'aucun enfant ne devrait recevoir. Son père était un malade qui avait profité de son innocence, non pas pour prendre sa virginité, mais disons qu'elle a touché bien des choses qu'une enfant ne devrait pas. Sa mère s'était aperçue de cette horreur un jour en rentrant plus tôt et ce fut un véritable ouragan dans la famille ! Bien évidemment, il y eut un divorce, le père fut emprisonné et Misaki subit une terapie pour essayer d'oublier ses affreux souvenirs. Même si elle a réussi à oublier en partie certains fait, plutôt à filouter certains passages de son passé, elle développa une forme d'aptophobie, ce qui voulait dire qu'elle n'aimait pas toucher les gens. Homme ou femme, même sa mère ne pouvait pas la toucher, mais, juste au niveau des mains. Elle se fichait qu'on lui touchait le visage, le corps ou même qu'on la frôle, mais, toucher quelqu'un à main nue, c'était plus fort qu'elle, cela lui déclenchait peur et angoisse !
Depuis ce jour, elle a toujours porté de longs gant blancs arrivant au moins jusqu'au coude pour pouvoir toucher les gens. Il n'était pas rare qu'elle ai deux ou trois paires dans son sac, le blanc, ça se salit vite. Sa mère retourna au japon, vivant donc seule avec sa mère et ses grands-parents maternelle, elle retrouva le nom de sa mère, Shokuhou. En dehors d'une certaine timidité et d'un temps d'adaptation pour se faire totalement au Japonais, Misaki retrouva sa joie de vivre et redevenait la petite fille qu'elle était. D'abord en école privée, sa mère aurait pensé que ça aurait été parfait pour elle, mais vivant sans père, car, même en ayant oublié certains détails du passé, elle savait son père en prison, ça passait mal autant devant les enfants que les parents... Sa primaire fut assez dur, c'est pour cela qu'au collège, elle fut placée dans un collège d'assez bonne réputation, mais public. Bien entendu, ses gants et ses cheveux blonds intriguaient, mais les enfants étaient moins méchants déjà. Même pour son père, elle avait appris l'erreur et préférait dire qu'il avait abandonné sa mère et elle quand elle était plus jeune... ils posaient moins de questions comme ça.
De la sorte, Misaki apprit à mieux connaître les enfants moins riches et savaient se faire des amis normalement, mais, quand elle faisait preuve de bonté en aidant ses amies, on lui souriait plus, on était plus gentille avec elle. Même si rapidement, elle était montrée comme une fille riche au collège, ça ne la dérangeait pas. Même quand des petites brutes ont essayé de profiter de ses avantages, elle avait deux amies moins naïves qui remettaient les garçons comme les filles à leur place. L'une d'elle était quand même bien placée dans ce sport que l'on nomme judo. La petite demoiselle avait vécu un meilleur passage au collège public qu'à l'école primaire privée. C'est pour cela que le lycée devrait être public pour elle ! Par chance ses deux amies étaient à ses côtés, pensantes de suite que ses bonnes manières, son élégance et sa beauté lui colleront de suite l'étique de fille populaire, riche et bien-aimée, elle passa pratiquement inaperçu à son arrivée. Dés les premiers jours, elle entendait constamment parler d'une autre fille, riche et populaire. Une certaine Mélinda Warren. Elle n'était pas japonaise, en plus ! Misaki ne l'était qu'à moitié mais on pouvait croire que ses cheveux d'or étaient une teinture mais un Japonais blond naturellement, c'est aussi rare que des yeux vairon !
Misaki ne comptait pas se battre, mais là où au collège, elle était populaire et adulée même des élèves qu'elle ne connaissait pas, ici, elle passait pour n'importe quelle fille, c'était forcément moins amusant tout d'un coup... Même en cherchant à s'illustrer dans les cours comme en sport, sa classe la cernait mieux, mais c'est tout. Pour le lycée, ça restait la fille blonde aux gants. Elle décida donc de ne pas chercher à faire plus, cultivant quand même une certaine jalousie vis-à-vis de cette Warren, elle n'était pas puérile au point de lui chercher des poux. Elle et ses amies se porteront loin d'elle et on verra, le jour où cette aînée ne sera plus là, qui était la plus populaire des filles, ici ! Elle n'allait pas tout de même pas payer sa popularité, elle était pour sortir son argent quand on l'adulait, quand on était un minimum amis avec elle, mais de là à offrir sa fortune comme ça, et puis quoi encore ! Elle saura attendre ! Elle n'allait pas rester pour toujours dans ce lycée, surtout qu'elle n'était pas mauvaise en cours, il paraît, aucune raison de la voir redoubler et rester dans cette école pour toujours !
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Prénom: Misaki
âge: 17 ans
Lieu d'origine: Terre
Expérience: Vierge
Histoire:
Misaki Shokuhou est une métisse, sa mère est japonaise, son père américain. Née sur le sol Américain, elle a d'abord eu le nom Johnson et restait une petite fille adorable ! Fait rare, elle avait les cheveux blonds naturellement et le visage plus marqué de sa mère que de son père. Elle était une petite fille comme bien des enfants, même si ses parents étaient aisés, cela ne fit pas d'elle une enfant gâtée et hautaine. Elle avait des amis à son école, tout se passait pour le mieux, mais la vie lui a donné une gifle... Une gifle qu'aucun enfant ne devrait recevoir. Son père était un malade qui avait profité de son innocence, non pas pour prendre sa virginité, mais disons qu'elle a touché bien des choses qu'une enfant ne devrait pas. Sa mère s'était aperçue de cette horreur un jour en rentrant plus tôt et ce fut un véritable ouragan dans la famille ! Bien évidemment, il y eut un divorce, le père fut emprisonné et Misaki subit une terapie pour essayer d'oublier ses affreux souvenirs. Même si elle a réussi à oublier en partie certains fait, plutôt à filouter certains passages de son passé, elle développa une forme d'aptophobie, ce qui voulait dire qu'elle n'aimait pas toucher les gens. Homme ou femme, même sa mère ne pouvait pas la toucher, mais, juste au niveau des mains. Elle se fichait qu'on lui touchait le visage, le corps ou même qu'on la frôle, mais, toucher quelqu'un à main nue, c'était plus fort qu'elle, cela lui déclenchait peur et angoisse !
Depuis ce jour, elle a toujours porté de longs gant blancs arrivant au moins jusqu'au coude pour pouvoir toucher les gens. Il n'était pas rare qu'elle ai deux ou trois paires dans son sac, le blanc, ça se salit vite. Sa mère retourna au japon, vivant donc seule avec sa mère et ses grands-parents maternelle, elle retrouva le nom de sa mère, Shokuhou. En dehors d'une certaine timidité et d'un temps d'adaptation pour se faire totalement au Japonais, Misaki retrouva sa joie de vivre et redevenait la petite fille qu'elle était. D'abord en école privée, sa mère aurait pensé que ça aurait été parfait pour elle, mais vivant sans père, car, même en ayant oublié certains détails du passé, elle savait son père en prison, ça passait mal autant devant les enfants que les parents... Sa primaire fut assez dur, c'est pour cela qu'au collège, elle fut placée dans un collège d'assez bonne réputation, mais public. Bien entendu, ses gants et ses cheveux blonds intriguaient, mais les enfants étaient moins méchants déjà. Même pour son père, elle avait appris l'erreur et préférait dire qu'il avait abandonné sa mère et elle quand elle était plus jeune... ils posaient moins de questions comme ça.
De la sorte, Misaki apprit à mieux connaître les enfants moins riches et savaient se faire des amis normalement, mais, quand elle faisait preuve de bonté en aidant ses amies, on lui souriait plus, on était plus gentille avec elle. Même si rapidement, elle était montrée comme une fille riche au collège, ça ne la dérangeait pas. Même quand des petites brutes ont essayé de profiter de ses avantages, elle avait deux amies moins naïves qui remettaient les garçons comme les filles à leur place. L'une d'elle était quand même bien placée dans ce sport que l'on nomme judo. La petite demoiselle avait vécu un meilleur passage au collège public qu'à l'école primaire privée. C'est pour cela que le lycée devrait être public pour elle ! Par chance ses deux amies étaient à ses côtés, pensantes de suite que ses bonnes manières, son élégance et sa beauté lui colleront de suite l'étique de fille populaire, riche et bien-aimée, elle passa pratiquement inaperçu à son arrivée. Dés les premiers jours, elle entendait constamment parler d'une autre fille, riche et populaire. Une certaine Mélinda Warren. Elle n'était pas japonaise, en plus ! Misaki ne l'était qu'à moitié mais on pouvait croire que ses cheveux d'or étaient une teinture mais un Japonais blond naturellement, c'est aussi rare que des yeux vairon !
Misaki ne comptait pas se battre, mais là où au collège, elle était populaire et adulée même des élèves qu'elle ne connaissait pas, ici, elle passait pour n'importe quelle fille, c'était forcément moins amusant tout d'un coup... Même en cherchant à s'illustrer dans les cours comme en sport, sa classe la cernait mieux, mais c'est tout. Pour le lycée, ça restait la fille blonde aux gants. Elle décida donc de ne pas chercher à faire plus, cultivant quand même une certaine jalousie vis-à-vis de cette Warren, elle n'était pas puérile au point de lui chercher des poux. Elle et ses amies se porteront loin d'elle et on verra, le jour où cette aînée ne sera plus là, qui était la plus populaire des filles, ici ! Elle n'allait pas tout de même pas payer sa popularité, elle était pour sortir son argent quand on l'adulait, quand on était un minimum amis avec elle, mais de là à offrir sa fortune comme ça, et puis quoi encore ! Elle saura attendre ! Elle n'allait pas rester pour toujours dans ce lycée, surtout qu'elle n'était pas mauvaise en cours, il paraît, aucune raison de la voir redoubler et rester dans cette école pour toujours !
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