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Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 31 août 2024 23:40
par Mélinda Warren
La réflexion de Kamiye amena les deux femmes à le regarder. Akira le vit poser ses deux mains sur la bouche en rougissant, gêné, et elle ne put s’empêcher de pouffer. Elle connaissait l’anecdote. Quand les frères Lumière avaient projeté leurs films, notamment celui d’un départ du train en gare, les spectateurs avaient paniqué, pensant réellement qu’un train leur fonçait dessus. Elle n’était pas encore là quand Mélinda était arrivée sur Terre, mais elle avait elle aussi paniqué en voyant un film, au point de se crisper sur les accoudoirs de son fauteuil, et de lacérer ces derniers avec ses griffes.

« C’est un film, Kamiye. Ce sont des images qui sont projetées tellement rapidement que tu les vois défiler comme si c’était vivant… Mais ce n’est qu’une projection. Les personnes que tu vois ne t’entendent pas, et ne peuvent pas interagir avec toi.
- C’est comme lire une histoire avec des images en tournant très rapidement les pages, ton œil te donne l’impression que les images bougent.
- Nous ne sommes pas dans un cinéma public, donc tu peux commenter, mais oui, le principe est de se taire… »

Le film commençait par une projection de la seigneurie, de la ville entourant un grand château. Une voix off expliquait le contexte :

« …Le comté de Sustchest est dirigé depuis des années par la puissante comtesse Poison. Dans cette époque arriérée, les mâles avaient des droits plus importants que les femmes, mais Lady Poison refusait d’obéir aux hommes. Elle refusait de prendre un époux, et recherchait une ou plusieurs épouses, déclenchant l’hostilité d’autres comtés voisins, qui y voyaient surtout un parfait prétexte pour s’enrichir de ses riches terres. Pas de quoi paniquer Lady Poison, très appréciée de ses sujets, et qui organise chaque jour des doléances très particulières… »

Ce n’était pas un film à petit budget. Poison était une superstar uatéenne, et ses films étaient des productions importantes. La caméra se dirigea donc vers une fenêtre du donjon, la plus grande tour de ce grand château. Elle passa à travers la vitre, et on put alors entendre des soupirs, des gémissements. La caméra fila sur un couloir bien éclairé, avec un long tapis rouge, puis à travers l’interstice d’une grande double porte. On put voir une table ronde assez grande, un feu de cheminée, d’autrres fenêtres lumineuses. C’était éblouissant, mais, peu à peu, l’objectif se recentrait, permettant de voir une forme. On entendait des soupirs de plus en plus forts, des gémissements, puis le son caractéristique de fessées, avant d’entendre des claquements de chair.

« Maî-Maîtresse, haaaa… »

Une voix sensuelle et féminine se faisait entendre. On put ainsi voir, de dos, le corps magnifique de Poison. Ses fesses musclées filaient d’avant en arrière. Elle portait des sous-vêtements en lingerie fine très élégants, et Akira était sûre que, quand Kamiye commencerait à les voir, son érection se réveillerait…

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 04 sept. 2024 15:46
par Kamiye Goupile
Kamiye avait presque envie de dire à la femme d'arrêter de bouger des hanches. Parce que cela ne lui permettait pas d'apprécier le travail sur les détails de la lingerie. Et il savait déjà que c'était de la belle car son sexe raidissait.

*Des images qui défilent très vite et donnent l'impression de vie ? Ça ressemble à de la magie. De là à savoir si c'est une bonne ou une mauvaise magie : je ne sais pas. En tout cas, elle ne me fait pas de mal. Elle aurait même tendance à me faire du bien... *

Il renifla le film. Ça ne sentait rien. Pas qu'il ne sentait rien du tout. Il reconnaissait l'odeur d'Irène. Et étant donné qu'ils n'étaient que trois dans la salle, l'autre était forcément celle d'Akira. Il renifla encore une fois. Non, décidément, cette magie n'était pas parfaite. Il ne sentait pas les parfums de la dame du nom de Poison. Mais il ne dit rien. On lui avait dit qu'il ne fallait pas parler. Alors il ne dirait rien. Pas même la question de savoir s'il fallait appeler cette Poison Maîtresse. Si une partie de son esprit avait bien compris que c'était une histoire imaginaire. Une autre restait bloqué sur le fait qu'elles trois étaient des voyeuses.

Maintenant, Kamiye faisait des efforts pour ne rien dire. Il voulait être un bon esclave. Mais il essayait aussi de cacher un problème entre ses deux jambes. Il avait posé ses deux mains sur son érection mais il était entouré des deux femmes. Si proches... tellement de proche de lui. Il voulait les espionner du coin de l'oeil. Savoir comment elles réagissaient au film. Savoir... Et puis, il se demandait s'il devait inviter Kamiye-animal. Tout était nouveau. Il était perdu. Il n'avait pas les codes pour agir, pour réagir. Alors il se concentra à fixer le film.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 11 sept. 2024 14:08
par Mélinda Warren
« Maî-Maîtresse… !!
- Haaa… Pe-petit pervers, dire que les gens te croient chaste et innocent…
- Je…. Je suis toujours v-Vierge…
- Cela dépend où, haaa… Ton beau petit cul… Je crois que je l’ai défloré plus de fois que toutes les autres femmes du château réunies ! »


Devant les trois spectateurs, la délicieuse scène de sexe se poursuivait. Le porno uatéen était très intéressant, car les Uatéennes étaient moins pudiques que les Terriens. Les films pornographiques étaient parfois des blockbusters impressionnants, et les Uatéennes, avec leur technologie avancée, pouvaient réaliser des films très originaux, en utilisant la 3D, et en immergeant totalement le public. Il fallait pour cela une salle de projection spéciale, ce que le manoir n’avait pas, mais le rendu restait tout de même réussi. La photographie était léchée, et les plans de caméra filaient sur les courbes généreuses de Poison, mettant en valeur son corps musclé, et sa verge qui pilonnait le cul de son page. Elle le baisait contre une table, en tenant ses poignets, et, tandis qu’elle s’enfonçait dans son fondement, les noms des acteurs défilaient sur l’écran. Kamiye observait la scène, et Akira sourit en voyant qu’il dissimulait son érection.

Elle se pencha vers lui, et attrapa l’une de ses mains, la serrant dans la sienne. Iris fit de même, empêchant ainsi le jeune homme de se protéger.

« Tu n’as pas besoin de cacher ton érection, tu sais… On regarde un film où le principe est justement que tu aies beaucoup d’érections. »

Akira sourit encore, amusée par cette remarque, et embrassa Kamiye sur la joue. Sur l’écran, Poison continuait à sodomiser son mignon, un jeune homme androgyne avec de longs cheveux, et qui portait des collants, un signe distinctif très éloquent.

« Ça te plaît, Kamiye ? Dis-moi ce que tu aimes voir… »

Les deux filles jouaient avec lui, s’amusant davantage de sa nervosité que de la sodomie longue et puissante qui avait lieu sur le grand écran…

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 12 sept. 2024 23:45
par Kamiye Goupile
Il aurait dû s'offenser. Essayer de reprendre ses mains. Sauf que Kamiye n'avait rien dit ni rien fait. Presque comme une poupée articulée qu'on manipulait à sa guise. Seul un petit gémissement était sorti de ses lèvres alors que ses yeux se baissaient sur cette érection que tout le monde allait pouvoir voir.

Voilà qu'Irene le tirait de ses pensées. Bien qu'il n'y en avait pas beaucoup. C'était davantage comme un état de transe dont on le sortait. Une sorte de cocon qui endormait son sens de la réalité pour lui faire davantage ressentir ce que ses cinq sens avaient à dire.

"Euh, ce que j'aime voir ?"

*Je ne peux pas leur dire que j'aime être retenu et forcé de montrer que je suis excité. Qu'elle le sache, je crois que ça ruinerait l'atmosphère.*

"Ce qui arrive à l'esclave, ça me fait penser à... Je veux dire, je n'arrive pas à penser à autre chose que le fait qu'il soit quasiment nu. Je trouve qu'il est nu. Je veux dire, pourquoi elle ne l'habille pas selon son envie ? Moi c'est ce que je ferai."

Son sexe avait connu un soubresaut à l'idée de venir l'androgyne. Il savait que les yeux des deux femmes le regardaient. Ses jolis yeux timides. Mais aussi sa verge qui ne l'était plus du tout. Kamiye savait qu'il devait aller jusqu'au bout de ce qu'il avait commencé à dire.

"Tout à l'heure, on a aperçu dans le fond une femme qui portait une sorte de robe transparente. Ça formait comme un sablier stylisé en rouge dans son dos. Avec de petits nœuds pour maintenant le textile bien moulé à son corps. Il y avait pleins de petits détails. C’était bien équilibré. A la fois rempli de détails qui empêche les yeux de se concentrer sur la chair. Mais à la fois tant de transparence qu’on peut aisément tout deviner. »

Image

Parler de ce personnage qui ne devait que peupler l’arrière-plan avait pris plus d’importance aux yeux de Kamiye que l’androgyne en train de se faire sodomiser. Il y avait même toutes les chances que ni Akira ni Irène n’ait vu cette femme. Il savait qu’il parlait d’un sujet qui n’était pas principal. Un sujet qui devenait une obsession dans sa bouche. Mais on lui avait demandé ce qu’il aimait et il répondait. Comme un bon petit esclave bien dressé : hey hey !

« Mais, euh… je suppose que ce n’est pas ça que je devais dire. Et, euh… ce serait peut-être bien que je récupère mes mains parce que… »

*Je ne peux pas leur dire que ça m’excite !*

« Parce que je dois avoir les mains moites ? »

Kamiye ne se sentait pas crédible dans son intonation.

« Non, parce qu’il faudrait que je me lève pour aller vous chercher des rafraîchissements. Je, euh, j’insiste. Euh, s’il vous plaît ? »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 24 sept. 2024 15:32
par Mélinda Warren
Le spectacle était très réussi. Akira n’aurait jamais cru dans son ancienne vie être une amatrice de films pornographiques. Mais, en voyant la qualité des films uatéens, les films terriens apparaissaient bien fades ! Poison était une superstar à Uatis, l’équivalent sur Terre de Brad Pitt ou de Georges Clooney. Cela en disait long sur l’hypersexualisation de la société uatéenne. Ce n’était toutefois pas Akira qui allait inverser la tendance. Depuis qu’elle était devenue une vampire, elle s’était libérée, et elle était maintenant aussi perverse que sa mère, voire davantage ! Elle sentait Kamiye s’agiter, et souriait légèrement en sentant le sang augmenter dans son sexe. Un afflux de sang venant de son artère pudendale interne remontait jusqu’à son artère dorsale, et durcissait sa queue, la redressant furieusement. Il confirma son goût pour le fétichisme en commentant la tenue de l’une des servantes, et Akira sourit encore en se retournant vers lui.

Gêné, Kamiye cherchait une échappatoire, jouant avec ses jambes pour essayer faussement de dissimuler son érection. Akira s’en amusait, s’amusant aussi de ses demandes pour fuir de là. Il était nerveux, ce qui, paradoxalement, ne le rendait qu’encore plus mignon et attirant. Akira se pencha ainsi vers lui quand il proposa d’aller leur offrir des rafraîchissements, et elle lécha sensuellement sa joue.

« De nous trois, c’est toi qui as l’air le plus assoiffé, mon joli…
- Hihi, dans le noir, on ne te voit pas rougir, mais j’ai quand même l’impression que tu te transformes en chaudière. Ta main est si chaude ! »

Kamiye, qui aurait sans doute préféré affronter une meute d’Orcs enragés que ces deux belles femmes tentatrices et sensuelles, ne pouvait pour ainsi dire rien faire. Saisissant son avantage, Akira l’embrassa sur la joue. Elle sourit donc, puis, sans attendre, se mit entre les genoux de Kamiye, et écarta ses jambes.

Elle releva alors la tête vers lui, et croisa son regard, pour clarifier les choses. Akira parla sur un ton impérieux, qui n’était pas sans rappeler celui de Mélinda :

« Je t’interdis de partir, Kamiye… Je t’ai pris pour ce film, tu es ma peluche. Et, comme je suis la fille de ta Maîtresse, tu dois m’obéir, en gentil peluche que tu es ! »

Akira sourit ensuite, et posa sa main sur la verge de Kamiye. Elle commença à le masturber, tandis que, à l’écran, Poison baisait son soumis, le jeune Armand de Cillastis, fils du duché de Cillatis, avec force, en tenant ses cheveux soyeux dans une main, et en le fessant de l’autre, tout en l’insultant entre chaque coup de reins dans son petit cul. La caméra filait parfois sur la femme que Kamiye avait vu, filmant la scène de sexe depuis les jambes de la femme, montrant ainsi sa culotte et ses belles fesses.

De son côté, Akira, en souriant, se dépêcha de prendre sa verge en bouche, et commença à lui faire une belle et longue fellation…

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 27 sept. 2024 12:44
par Kamiye Goupile
Il sursauta bêtement quand il sentit la langue de la fille de sa Maîtresse sur sa joue. A peine un son avait franchi la barrière de ses lèvres. Il était tellement nerveux. Tout ça le dépassait. Et avant qu’il ne comprenne, les lèvres chaudes d’Akira s’étaient déposées sur sa joue et avant qu’il ne puisse réagir, il sentait ses jambes s’ouvrir !

Ce fut à ce moment que sa verge se dressa de plaisir. Encore plus qu’avant. C’était une belle et définitive érection. Pourquoi ? Parce que Kamiye devait obéir à des ordres. Parce qu’il y avait ce regard d’autorité planté pour lui. Il était sa peluche à elle. Il aimait cette idée d’être cette petite chose douce qui n’avait pas son mot à dire et qui devait être un bon jouet. Oui, ça l’excitait cette situation ! Le contexte était peut-être même encore plus satisfaisant que la fellation elle-même. Pauvre Kamiye. Pauvre petite chose brisée.

Et il réalisa deux choses. Akira ne pouvait plus tenir sa main étant donné qu’elle le suçait au rythme de la sodomie qui passait sur l’écran géant. Et son autre main était toujours dans celle d’Irène. Il la serra plus fort alors que le plaisir montait en lui. Il voulait retirer cette main. Ca l’embarrassait qu’elle soit chaude et moite. Et en même temps… il aimait sentir le contact physique avec son amie.

« J-j’aime beaucoup ce que, que je vois. »

Cette façon de filmer. D’être en plan rapproché des fesses de la femme. Et de sa culotte.

« Là. Q-quand, hum… quand on voit la petite culotte de si près. Je… »

Il avait eu une idée en tête. Mais il n’osait plus la dire à voix haute. Sa tête se pencha en arrière et ses yeux se fermèrent. C’était si étrange de ressentir de similitudes entre sa Maîtresse et sa fille. Comment une famille pouvait agir de la même façon pour quelque chose de si… tabou ? Intime ? Il ne savait plus le mot. Il n’arrivait pas à réfléchir. Et penser à ce genre de chose le faisait s’imaginer prise en tenaille par la mère et la fille. Ce n’était pas bien. Que ce soit en famille. Et aussi qu’il ne pense plus à son amie Irène.

Alors, les yeux fermés, il osa parler.

« Moi aussi j’aimerai bien voir la petite culotte d’Irène en gros plan. Je veux dire… euh… si tu veux. Et, euh, il faudrait donc me lâcher la main. Et peut-être que tu n’as pas envie de te lever et de faire une sorte de, de, de gym. Et puis, je crois, non je suis sur, vous m’avez dit que je ne devais pas parler dans ce genre de salle. Et… »

Akira savait. Kamiye en avait envie. Sa verge tressautait d’un plaisir anticipé. Le genre de peluche qui sombrerait définitivement dans ses fétichismes. Le decorum était alors plus important que les sensations physiques. Si le sexe restait un plaisir. C’était la mise en scène qui amplifiait et magnifiait le tout.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 29 sept. 2024 19:19
par Mélinda Warren
Si Kamiye avait pensé pouvoir s’échapper de ces deux femmes, il en était pour son compte ! Face à Akira, il était comme avec Mélinda, dans la peau d’un deux face à un flush royal. Impossible de s’échapper ! Et il se fit d’ailleurs assez vite à cette idée. Assise entre ses jambes, Akira avait attrapé sa friandise, et elle le pompait avec envie, soupirant en sentant la queue du jeune homme durcir dans sa bouche, s’élancer fièrement en elle. Yeux clos, elle remuait d’avant en arrière, pompant ce dard avec une envie manifeste. Kamiye avait déjà eu l’occasion de jouir à plusieurs reprises au sein de ce manoir, alors il était endurant, et pouvait tenir le choc. Akira le suçait donc avec appétit, sentant sa verge durcir, grossir entre ses lèvres. Elle fila d’avant en arrière, et gémit doucement quand son membre atteignit le fond de sa bouche, commençant à glisser dans sa gorge. Akira soupira lentement, et déplaça sa main, qu’elle utilisa pour caresser les testicules de l’homme. Elle les caressa donc, les flattant doucement, les grattant même, car elle savait que c’était une partie sensible du sexe d’un homme.

« Hmmm… »

Akira se faisait donc plaisir, suçant cette belle peluche chaude. Kamiye, qui observait encore la scène, pouvait voir la main de Poison gifler les fesses de son soumis. Son regard fut capté par la culotte de la femme qui surveillait Lady Poison, ce qui le conduisit alors à faire une demande inhabituelle auprès d’Irène... Voir sa culotte. Celle-ci sourit alors, et, après quelques instants, elle se releva alors. Elle délaissa donc la main de Kamiye, puis défit sa robe de maid. Ce serait après tout plus simple de faire ça, pour que Kamiye puisse mieux voir sa culotte.

Sans sa robe de maid, Irène restait toujours aussi magnifique. Kamiye put constater qu’elle portait :
Une tenue finalement très rose, mais aussi très sensuelle. Irène se déplaça ensuite, souriant à Kamiye, puis tendit sa jambe, qu’elle posa sur le fauteuil de Kamiye, entre lui et le rebord. Elle fit de même avec son autre jambe en prenant appui avec ses mains sur le dossier du fauteuil de Kamiye. Irène se tint ainsi debout devant Kamiye, et lui sourit encore.

« Je dois quand même un peu regarder le film, mon chéri, donc… »

Irène pivota ensuite en déplaçant ses jambes, et s’agenouilla ensuite. Elle plia ses jambes en avant, et ses fesses s’assirent donc sur le visage de Kamiye, lui offrant les lacets de sa culotte, tandis qu’elle se pencha en avant, et s’appuya sur le dossier de devant*…

* : Résumé de la position du trio sur ce schéma non à l’échelle.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 02 oct. 2024 16:00
par Kamiye Goupile
Sa Maîtresse lui avait répété plusieurs fois. Cette distinction qu'il faisait avec Kamiye-animal était ridicule. Ce n'était qu'une excuse qu'il utilisait parce qu'il n'acceptait pas ses instincts. Parce que sa vie d'esclavage l'avait brisé. Mais là, même le timide jeune homme devait succomber. Deux femmes étaient plutôt déstabilisants. Surtout qu'Akira avait cette aura des "forts". Avec Irène, il se sentait parmi les gens de sa caste sociale. Il se sentait bien avec elle. Presque en assurance.

Et voilà qu'elle utilisait son visage comme un coussin ! Mais ce n'était pas servir d'assise qui l'excitait. C'était bel et bien toute cette lingerie rose. Bien sûr, associé à l'action sexuelle. Mais tout partait des sous-vêtements. Il pensa même à cette femme qu'il avait vu dans le manoir Warren. Mais Kamiye n'était pas fan de cette matière lisse et dure. Oui, les reflets étaient beaux. Oui, ça moulait les courbes d'un corps féminin. Mais la lingerie était bien plus sophistiqué aux yeux de Kamiye.

Il ne put donc s'empêcher de glisser sur les collants roses. Il fallait qu'il en éprouve la texture. Il voulait sentir à quel point c'était doux. Il y avait la bête en lui qui voulait prendre cette femelle. Et aussi cet artiste qui voulait savoir comment il pouvait "tricoter" cette chose fabuleuse.

Bien entendu, il finit rapidement par jouir dans la bouche d'Akira.

Son nez reniflait avec bruits. Il perdait le contrôle de "l'homme civilisé". L'odeur était entêtante. Celle de son amie. De son parfum. De sa lingerie. De son intimité. Il se mit alors à mâchouiller les lacets. Et si Irène cherchait à s'en aller. Même à bouger de position suite à sa jouissance dans la bouche de sa Maîtresse : non. Elle ne bougerait pas. Ses mains attrapèrent ses cuisses. Il n'était pas brutal. Ni cherchait à faire mal. Mais c'était celui qui possédait. Comme cet enfant ou ce petit animal qui ne veut pas lâcher. Quitte à y mettre les griffes.

Et donc Kamiye commença à mâchouiller les lacets de la culotte rose. Même lui ne savait pas si c'était un jeu. S'il y avait volonté de détruire. Sa langue jouait de la même partie. Contact sur le textile. Sur les fesses. Chaleur moite. Langue qui s'insinuait dans le sillon. Irène était à Kamiye. Son jouet. Ce corps : pour lui. Peut-être même grogna-t-il si Irène insista un peu pour partir.

Oh, et s'il fallait préciser ? L'hybride se fichait totalement du film. Irène, sa position intime et ses sous vêtements roses étaient uniquement le monde de Kamiye. Il n'existait plus rien d'autre.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 07 oct. 2024 19:16
par Mélinda Warren
Pour voir le film complet, il faudrait sans doute à Kamiye des séances supplémentaires. Akira était en soi bien placée pour le savoir, ce n’était pas un film qu’on regardait facilement en une seule fois ! Elle-même, la première fois qu’elle l’avait vue, avait été fort dissipée. Il fallait dire que le film était bien fait, et à même de vite stimuler n’importe qui, a fortiori des vampires perverses. Kamiye était totalement vaincu, ne cherchant plus à fuir, ou à nier le plaisir qu’il prenait. Sa queue tendue était un régal pour Akira. Elle levait ses yeux pour voir le torse glabre du jeune homme, mais ne pouvait malheureusement se délecter de son visage transi de désir. Ce même visage était absorbé par le corps d’Irène, qui s’était installée de manière à ne déranger personne, ses jambes à droite et à gauche de Kamiye, bien écartées. Akira avait une belle vue sur sa culotte rose, et soupira lentement en voyant que celle-ci était légèrement tâchée, et libérait des petites gouttes de plaisir.

« Hmmm… »

Objet de tant de sensations inédites, Kamiye avait bien du mal à conserver son sang-froid. On pouvait largement le comprendre. Irène remua toutefois quand elle sentit Kamiye mâchouiller sa culotte, tirant sur les lacets à hauteur de ses fesses. Elle remua de droite à gauche, et l’entendit grogner quand elle se redressa un peu.

« Tu vas la déchirer, Kamiye ! Utilise ta langue, lèche… Mais ne me mords pas, c’est très douloureux ! »

Il ne fallait pas oublier que le jeune homme était inexpérimenté, après tout. Irène aussi était passée par là, elle avait subi les assauts intenses et délicieux de sa Maîtresse, et elle avait progressivement appris à mieux contrôler son corps, ses désirs, ses impulsions… Kamiye avait beau être doux et innocent en apparence, il restait un Furyy, il avait donc un instinct animal qui pouvait s’exprimer, et des dents plus tranchantes qu’on ne le pensait.

Tandis que sa queue pulsait chaudement dans la bouche d’Akira, Irène remua un peu, afin de rapprocher son sexe des lèvres de Kamiye. Akira, elle, soupira encore, et commença à caresser les testicules de Kamiye, les grattant à la base, puis le long de l’aine, là où elle savait que les zones érogènes se trouvaient.

« Là, lèche au milieu, mon chéri… Là où c’est humide… Glisse ta langue dans ma culotte, ou lèche par-dessus, comme tu veux, mais lèche ici, je t’en supplie, c’est si chaud ici ! »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 10 oct. 2024 21:31
par Kamiye Goupile
Il ne s’était pas rendu compte qu’il avait mordu. Le Kamiye complètement écrasé par sa vie d’esclavage avait voulu tout arrêter immédiatement. Mais la culpabilité n’avait pas été assez forte. L’étonenement de savoir que sa partie animale pouvait faire mal le surprit. Pour Kamiye, il ne possédait que des dents très humaines et donc très inoffensives. Mais c’était avant tout son excitation qui était aux commandes !

Et la fille de sa nouvelle Maîtresse qui lui faisait des choses qui le faisait bander dur ! Il ne savait pas si c’était le fait de ne pas la voir. Mais ça lui faisait terriblement de bien. Et, aussi, il devait admettre qu’il se fichait d’elle. A ses yeux, il n’y avait qu’Irène. Et ce n’était pas qu’une expression. Son regard ne pouvait voir que ses belles fesses et sa lingerie rose. Ça… l’obsédait !

« Grr ! Kamiye décide ! »

Bien entendu, le Kamiye « civilisé » s’en était voulu de répondre si « rudement ». Il avait honte de cet animal en lui. Et voilà que cette chose s’exprimait à la troisième personne comme s’il avait une déficience mentale.

Pendant ce temps, la langue récupérait chaque goutte du nectar qui perlait sur les entrelacs magnifiques de cette petite culotte rose. Le travail d’artisanant. La couleur flashy. Le goût de la mouille de son amie. Tout cela ne faisait qu’entretenir son désir.

Sa langue chercha à boire plus mais. Ses mains glissèrent sur les fesses sans parvenir à un résultat qui le satisfaisait.

« Cette culotte me gêne ! »

Alors il la fit glisser le long des cuisses et… non, ça ne pouvait pas s’arrêter là. Le tissu n’était pas assez étirable pour se stationner au niveau des genoux. Et le futur artisan en lui ne pouvait pas supporter l’idée de faire craquer ce chef d’œuvre.

Alors Kamiye commença à s’agiter. Sa langue touchait le con d’Irène mais s’en retirait immédiatement. Ses mains voulaient écarter les fesses puis commençaient à griffer avant de se retirer. S’il avait été un « vrai » homme, il aurait pris Irène, l’aurait soulevé et l’aurait manipulé de la façon qui lui aurait permis de dévorer sa chatte ! Mais il n’était pas fort. Et il n’était pas dans une situation à deux. Il était « prisonnier » du bas.

Donc des grognements commencèrent à s’élever. Des signes d’impatience aussi. Et Irène ne recevait pas le traitement qu’elle espérait tant. Tandis qu’Akira pouvait savourer une virilité bien dure et dressée. Une moitié de satisfaite, donc. Mais n’y allait-il pas y avoir des frictions féminines ? Une forme de jalousie ?

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 17 oct. 2024 11:37
par Mélinda Warren
Kamiye était aux anges, et avait les honneurs des deux femmes. Akira le sentait s’agiter nerveusement. L’excitation sexuelle stimulait ses pulsions animales, le rendait plus nerveux, mais aussi plus autoritaire. Qu’il semblait loin, ce petit homme maigrelet qui s’excusait à tout bout de champ ! S’acharnant sur la culotte d’Irène, il signala qu’elle la gênait ! Akira le sentait se tortiller sur place, et elle comprenait qu’il avait sûrement à ce stade très envie de pénétrer la belle Irène. Il n’osait arracher cette culotte. Elle était magnifique, après tout ! Il abaissa la culotte d’Irène, ses mains tremblant nerveusement, et lécha timidement son sexe, se retirant dès que sa langue heurtait le contact humide des lèvres intimes de la femme.

S’appuyant sur le dossier du fauteuil face à elle, Irène gémissait lentement, sentant avec délice le contact de la langue de Kamiye sur son corps. Le jeune homme savait y faire ; il était touchant dans sa maladresse. Elle le laissait donc agir, constatant que, devant eux, la scène de sexe introductive du film était terminée. La Comtesse Poison s’avançait désormais dans les couloirs de son château. Ce fut à peu près tout ce qu’Irène nota. Elle sentait l’agitation de Kamiye, elle entendait des grognements.

« Oh, mon Kamiye, tu bouts d’impatience… »

Ses grognements résonnaient avec les soupirs et les gémissements d’Akira, qui accompagnaient le bruit de mastication des lèvres de la vampire sur la verge du jeune homme. Elle ne comptait pas se retirer si facilement, alors Kamiye allait devoir lui offrir ce qu’elle voulait ! Fort heureusement, Akira était assez douée dans ce domaine. Tout en pompant le vit du jeune homme, sa main glissa sur les délicieuses bourses de ce dernier, les malaxant tendrement, les grattant. Elle stimula aussi son aine, une zone plus érogène qu’on ne le pensait. Ses ongles glissaient dessus, grattant et caressant cette zone. Elle sentait la verge de Kamiye enfler dans sa bouche, durcir.

Irène, de son côté, commença à se retourner. Elle était de dos face à Kamiye, et dut donc faire attention. Lentement, délicatement, elle souleva sa jambe droite pour al faire basculer au-dessus de la tête de Kamiye, et parvint à se retourner. Elle était désormais assise sur les fesses sur le rebord du fauteuil devant le trio, et, jambes écartées, elle retira sa culotte. Elle la tint dans sa main, puis l’approcha de Kamiye.

« Pourquoi grognes-tu, mon Kamiye ? »

Irène finit par se remettre debout, et s’assit à côté de Kamiye, retournant à sa place. Elle put ainsi l’embrasser en se penchant vers lui. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, et elle le sentait remuer sur place. La mouille d’Irène avait humidifié son visage.

« Me lécher ne te suffit pas… Dis-moi ce que tu veux me faire, et tu le feras dès que tu auras joui dans la bouche de Maîtresse Akira… »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 21 oct. 2024 08:37
par Kamiye Goupile
Le jeu de jambes d’Irène était hypnotisant et excitant. Bien que pour la partie excitation, la fille de sa Maîtresse lui faisait des choses qui le rendaient si dur ! Il ne réalisait pas toutes les formes d’attouchements. Son esprit baignant dans la luxure. C’était même à se demander comment il avait réussi à ne pas lui remplir la gorge.

« Ah ! »

Il avait tendu la main pour récupérer la petite culotte rose quand Irène l’avait retiré devant lui, les jambes écartées. Cette position… ça réveillait en lui le prédateur. Il voulait s’excuser de ressentir ça. Il voulait s’excuser de prendre Irène pour sa proie. Mais il ne s’excusa pas. Tout ce qu’il parvenait à émettre était des grognements et des exclamations.

Il avait même envie de l’insulter ! Le terme de « salope » passa dans son esprit. Mais il ne dit rien. Toutefois, ça l’énervait. Comment pouvait-elle être aussi méchante ? Elle avait piégé ses fesses avec de nombreux lacets, lui refusant son intimité. Et elle lui refusait une deuxième fois en s’asseyant à côté de lui comme si de rien n’était. Un bisou n’était rien pour se faire pardonner. Ca ajoutait même de l’huile sur son brasier interne ! Alors il grogna à nouveau.

« Kamiye veut la petite culotte rose ! Grr… »

C’était difficile de garder en tête le concept qu’Akira était la fille de sa Maîtresse. Elle ne devenait qu’une femelle de second rôle. Un animal tout juste bon à s’agenouiller devant son maître et lui donner du plaisir. L’image d’appuyer sur sa tête et de la forcer à enfoncer sa bouche plus loin sur son sexe passa. Mais toute sa concentration était pour Irène.

« Je ne pouvais pas lécher. La petite culotte me gênait. Et je ne pouvais pas la détruire : trop belle. Trop précieuse. »

Qui était cette Maîtresse Akira ? Ca devenait compliqué de réfléchir.

« Ma Maîtresse n’est pas là… »

Son sexe était si dur. Les sensations étaient si chaudes. Cette femelle s’occupant de son sceptre royal était douée. Il n’allait pas tarder à la récompenser. Mais il y avait une chose en tête qui l’empêchait d’éjaculer. Quoi ? Ah oui, il devait une réponse à Irène.

« Kamiye veut qu’Irène soit à quatre pattes par terre. Pas ici. Ici c’est troop petit. Kamiye peut pas la lécher comme il le veut. Boire son nectar. La faire crier de plaisir. Ensuite si Irène est contente de Kamiye, peut-être que je voudrais m’enfoncer dans toi. Mais le plaisir d’Irène compte avant celui de Kamiye. Le plaisir d’Irène et sa petite culotte rose suffiront à satisfaire Kamiye. Et cette femelle peut maintenant recevoir ma semence dans sa bouche. »

Le blocage mental s’en alla. Et dès la fin de sa phrase, il éjacula comme demandé.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 24 oct. 2024 20:22
par Mélinda Warren
Se tortillant sur place, Kamiye était doucement en train de succomber, et de laisser parler sa nature profonde. Lui, le jeune homme soumis,
si soumis, avait réussi à se libérer de son carcan. Il surprit Irène en proposant qu’elle se mette à quatre pattes, et qu’il s’occupe d’elle, allant jusqu’à dire qu’il comptait la pénétrer, en « s’enfonçant » en elle. Elle frémit lentement en se mordillant les lèvres. Kamiye alla même jusqu’à qualifier Akira de « femelle », un terme cru et assez rébarbatif. Cependant, Akira était moins à cheval sur les titres que sa mère vampirique.

« Hihi, tu as des mots bien crus pour un petit rebelle, Kamiye ! » gloussa Irène.

Le petit rebelle finit cependant par jouir. Il gémissait doucement, et sa chaude semence se déversa dans la bouche d’Akira. Celle-ci gémit lentement en sentant ce liquide filer en elle, et, fidèle à la réputation des Warren, elle avala joyeusement ce dernier.

Akira se redressa ensuite, libérant la verge de Kamiye. Elle était bien trempée, et Akira la nettoya, léchant dessus les filaments de foutre, tout en le regardant sensuellement.

« Tu tiens beaucoup à Irène, n’est-ce pas ? Sache qu’elle n’a pas de petit-ami… »

Irène rougit en se mordillant les lèvres. Chez les Warren, le désir sexuel était décoloré du désir amoureux, et cela pouvait souvent se confirmer. Akira finit de nettoyer sa queue, puis se releva. Elle se pencha vers Kamiye, croisant son regard, et posa sa main sur son torse, et pinça l’un de ses tétons :

« Tu es mignon, Kamiye, mais cela n’est pas une raison pour être insultant. M’appeler femelle, c’est injurieux. Tu peux m’appeler par mon prénom, cela m’ira très bien aussi ! »

N’ayant pas envie de déclencher une polémique, elle se redressa ensuite.

« Enfin bref, pour ce que tu envisages, il vaut mieux rejoindre un salon ou une chambre. Allez-y tous les deux, je vais éteindre le film. »

Plus personne ne le suivait, de toute manière. Irène acquiesça, puis attrapa la main de Kamiye. Ensemble, ils sortirent de la salle de cinéma, et rejoignirent le plus proche salon…

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 25 oct. 2024 13:17
par Kamiye Goupile
Kamiye fronça les sourcils. Comme un demeuré qui ne comprend pas ce qu’on lui explique. Irène n’avait pas de petit-ami ? Et alors ?...

« Aie ! »

La Maîtresse qui n’en était pas une venait de lui tordre son téton. Il aurait voulu le frotter, comme un balai pouvait nettoyer la poussière. Mais cette femelle avait un tel regard qu’il ne put qu’attendre qu’elle le relâche de ses yeux fixés en lui.

« Femelle n’est pas un mauvais terme. Pas une insulte dans la bouche de Kamiye. Mais Kamiye essaiera de faire attention. »

C’était quoi son prénom déjà ? Il aurait dû le lui demander. Mais une partie de son esprit avait peur d’elle. Elle représentait une autorité. Et poser une telle question revenait à critiquer son efficience en tant qu’esclaves. Mentir aussi était mauvais. Par omission revenait au même. Heureusement, la main d’Irène prit la sienne. Coupant court à ses réflexions. Et l’emmenant vers… un autre ailleurs.

*Où elle pourra se mettre à quatre pattes pour que je lui fasse du bien ? *

Mais arrivé devant une porte, la main d’Irène sur la poignée : il tira.

« Euh… »

La tête plantée sur ses pieds, il était soudain gêné de poser la question. Mais Irène était gentille. Elle prenait soin de lui. Il pouvait sentir sa chaleur à travers la main qu’elle lui tenait. Il devait reprendre des forces. Le mâle en lui avait tout ce qu’il fallait pour lâcher quelques mots quand même.

« La Maîtresse qui n’en est pas une a dit que tu n’avais pas de petit ami. Et j’ai eu l’impression sur le moment que ça t’avait fait mal. Parce que j’ai cru voir dans ma vision de côté que tu cherchais à te manger les lèvres. Il ne faut pas faire ça. Je les veux en bonne santé pour te faire des bisous. »

Kamiye s’égarait. Le Kamiye-Animal aux commandes n’était pourtant pas un mouton égaré. Il était surtout un loup qui voulait se repaître en buvant à la source. Ah ! Voilà, ça lui était revenu.

« Est-ce qu’Irène a besoin d’un petit-ami pour être plus heureuse ? Si Irène a besoin de ça et que Kamiye lui va : alors ça va pour Kamiye. »

Qu’était exactement un petit-ami ? A quoi ça servait ? Kamiye n’était pas complètement idiot et avait entendu des choses durant ces longues années de captivité. Mais rien de véritablement tangible avec un esprit baignant dans le stupre. Toutefois, ses intentions étaient pures et réelles. Il était prêt à se lier encore plus avec la belle Irène. Bien sur, du moment que ce n’était pas un obstacle pour sa Maîtresse Mélinda. Alors il attendit et observa son visage. Surtout ses lèvres. Il était prêt à l’empêcher de se manger encore les lèvres si elle recommençait !

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 06 nov. 2024 21:37
par Mélinda Warren
Irène se dirigea donc vers une chambre tout en tenant la main de Kamiye. Alors qu’elle allait l’ouvrir, Kamiye tira alors sur sa main. Surprise, Irène se retourna vers lui. Le petit homme timide était maintenant moins timide, et lui parla d’Akira, la « Maîtresse-qui-n’en-était-pas-une ». Cela fit brièvement sourire Irène, qui rougit toutefois quand Kamiye évoqua l’absence de « petit-ami ». Il ne savait pas trop ce que ça voulait dire, mais il avait vu Irène se mordiller les lèvres, avait eu peur qu’elle se fasse volontairement mal, et lui affirma être prêt à devenir son petit-ami s’il le fallait. Évidemment, la réaction immédiate de la jeune femme fit de se mordiller brièvement les lèvres, tout en rougissant un peu plus fort.

« Oh, Kamiye, tu es si mignon, quand tu t’y mets… »

Sa main caressa alors la joue du jeune homme.

« Un petit-ami… Comment t’expliquer ça ? C’est… Quelqu’un que tu aimes. Enfin, c’est compliqué. C’est quelqu’un que tu aimes, mais comme si c’était ton égal, pas comme Maîtresse. La plupart des gens n’ont pas de Maître ou de Maîtresse, ils ont des petits-amis ou des petites-amies. Ici aussi, il y en a qui sont ensemble. Tu ne peux pas vraiment devenir un petit-ami si tu n’es pas amoureux, tu sais… Et il est compliqué d’expliquer l’amour. Je ne sais même pas vraiment comment le définir. C’est… Comme avoir envie de vivre avec quelqu’un toute la vie. On dit de l’amour qu’on connaît vraiment ce sentiment quand il s’en va, et qu’on regrette l’absence de la personne avec qui on se sentait bien. Mais, dans notre cas, c’est encore plus compliqué, parce que nous avons notre Maîtresse, que je ne m’imagine pas vivre sans elle, sans pour autant la considérer comme une petite-amie. »

Et oui, ce n’était pas simple ! Expliquer ce concept à brûle-pourpoint était de plus assez difficile, car Irène avait tout en tête, sauf l’envie de se lancer dans une explication si complexe. Elle rebondit alors sur autre chose, en frottant son pouce contre les lèvres de Kamiye :

« Et ne t’en fais pas, quand je me mordille les lèvres, je ne le fais pas fort, c’est… Enfin, c’est un genre de réflexe nerveux, un peu comme toi quand tu dis spontanément que tu es désolé à chaque début de phrase. Ceci dit, je veux bien passer un pacte avec toi… À chaque fois que tu me vois faire ça, tu as le droit de m’embrasser. »

Irène lui sourit alors, un sourire chaleureux et sincère.

« On verra bien ensuite si le concept d’amour te sera familier… »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 14 nov. 2024 19:50
par Kamiye Goupile
Kamiye était diablement sérieux. Très concentré, en tout cas. Il écoutait très attentivement. Même sentir le pouce d’Irène contre ses lèvres ne le fit pas changer d’attitude. Il prit encore un petit temps de réflexion et donna enfin une réponse.

« Kamiye ne sait-, enfin, je ne sais pas si je pourrais un jour être l’égal d’Irène. Mais… »

Comment pouvait-il ? Quel geste permettrait de faire comprendre qu’il était sérieux ? Que c’était une vraie de vraie promesse ? Il ne savait pas. Alors il parla encore.

« Je ne suis pas très intelligent. Et j’ai des difficultés à savoir ce que je fais et ce que j’éprouve. Surtout depuis que j’ai changé encore de Maîtresse. Mais c’est sur que si je peux rester avec Irène, je serai content. Si ma présence peut te rendre content, je serai content. Et si je dois faire des sacrifices pour toi, je le ferai. Parce que tu es gentille avec moi. Et parce que je crois que ce n’est pas un mauvais jeu ou que ça finira par des moqueries ou par une sorte de traîtrise. »

Elle lui avait dit autre chose. Au sujet de ces lèvres qu’il regardait. Ah oui !

« Je t’ai déjà vu deux fois te mordiller les lèvres. Est-ce que ça veut dire que je suis déjà obligé de t’embrasser deux fois ? Ou est-ce que ça n’a pas encore commencé et qu’il faut… quoi ? Signer un papier ? Se couper la peau de la main et faire des choses avec notre sang ? »

Il n’empêche que ce concept « d’amour », il n’y arrivait pas. Ni à mettre des mots dessus. Ni à se le représenter. Non plus à l’attribuer à quelqu’un. Que ce soit à sa nouvelle Maîtresse ou à Irène. Tout était trop flou pour lui. Mais il savait qu’il ne voulait pas être tout seul. Même si cela signifiait devoir souffrir. Recevoir des punitions. Ou observer très attentivement des lèvres et donner des bisous. Les règles ici semblaient différentes de tous les endroits d’avant : il fallait qu’il les comprenne rapidement pour être un bon esclave !

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 18 nov. 2024 14:17
par Mélinda Warren
Irène fronça les sourcils devant l’auto-apitoiement de Kamiye, et posa alors un doigt sur ses lèvres, finissant par le couper dans ses réflexions.

« Arrête de dire ça, Kamiye, c’est faux ! »

Elle secoua la tête, puis enchaîna rapidement :

« Tu ne m’es pas inférieure, et je ne te suis pas supérieure, nous servons tous les deux notre Maîtresse ! Tu es mon égal depuis le jour où tu as eu la chance de devenir le serviteur de Maîtresse. »

Irène lui sourit alors, et caressa sa joue, puis elle alla l’embrasser. Akira, qui les avait rejoints, se lova alors dans le dos de Kamiye, l’enlaçant, puis elle l’embrassa ensuite dans le creux du cou. Autant dire que le jeune homme était à ce stade très bien entouré !

Akira enchaîna ensuite, parlant contre l’oreille de Kamiye, tout en promenant l’une de ses mains sur sa verge, le masturbant tendrement.

« L’intelligence, ce n’est pas le fait de savoir des choses, mon mignon. Il y a des gens très cultivés qui sont bêtes comme leurs pieds, et des gens qui sont très intelligents sans avoir été éduqués. Toi, il faut t’apprendre à lire, à compter… Mais ne te sous-estime pas comme ça, tu plais beaucoup à ma mère. Tu es très spécial, Kamiye, et pas uniquement parce que tu es un joli garçon. »

Elle l’embrassa encore dans le creux du cou, et continua à jouer avec son sexe. Irène rompit alors le long baiser qu’elle avait eu avec Kamiye. Étaient-ils amoureux ? C’était difficile à dire, l’amour était une chose difficile à saisir, après tout !

Akira regarda ensuite Kamiye, et lui sourit, en le caressant encore.

« Sinon, non, tu n’as pas à te couper avec ton sang, ou ce genre de choses… Si tu veux être avec Irène, il faut qu’elle soit d’accord. Mais ne te déconsidère pas, Kamiye, tu es intelligent… Très intelligent, même. Tu apprendras ce qui te manque, et tu seras un excellent tailleur.
- Elle a raison, Kamiye. Et, si tu veux être mon petit-ami, tu ne dois pas te dévaloriser. Je veux que mon petit-ami soit fier d’être mon petit-ami. Si tu es aussi mauvais que tu sembles le croire, alors cela voudrait dire que je suis moi aussi médiocre, si on décide de s’aimer. Et ça, ce n’est pas possible ! »

Un raisonnement infaillible, assurément…

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 23 nov. 2024 10:39
par Kamiye Goupile
S’il était tout nul, alors Irène le serait aussi ?! Cette pensée alarma Kamiye qui sentit un début de panique le saisir aux tripes. C’était impossible. Pas une gentille fille comme Irène. Pas une qui s’occupait de lui. Qui le voulait bien dans son lit. Qui évoquait même d’être son égal et son amoureux. Kamiye devait reprendre du poil de la bête ! Une expression « taillée » sur mesure pour lui.

« Viens. »

C’était sorti comme un ordre. Parce qu’il avait dit un unique mot. Et parce que c’était l’émotion brute qui avait jaillit sans contrôle. Si les mots de Kamiye étaient trop faibles, il allait lui faire voir avec un acte. Celui de l’embrasser. Oui, il allait lui montrer qu’il n’était pas qu’un animal peureux se réfugiant dans un coin. Il pouvait bomber son (petit) torse et combattre (la vie).

« Voilà. Est-ce que ça c’est un baiser de quelqu’un qui est médiocre ? Est-ce que ça te prouve que je veux faire attention à toi ? »

Il bandait, bien entendu. Comment en aurait-il pu être autrement ? Mais cette raideur n’était pas la démonstration de ses efforts pour être à la hauteur. C’était simplement une pure réaction physique au doux corps d’Akira dans son dos qui le tripotait encore et encore. Ces caresses étaient tout à fait effectives.

Kamiye quitta quand même la douce étreinte d’Akira et la proximité de face avec la belle Irène. Sa main alla ensuite se poser sur la poignée de la chambre qu’il ouvrit sans une hésitation. Toujours sur cette lancée, il prit la main d’Irène pour la tirer dans cette nouvelle pièce. Puis il eut un doute et s’arrêta. Il regarda Akira.

« Est-ce qu’il faut aussi que je prenne la main de la fille de ma Maîtresse pour démontrer que je pourrais être un bon parti pour Irène ? Je me demande si ce ne serait pas l’animal en moi qui veut conquérir toutes les femelles autrement… Et je ne veux pas mélanger le sexe qu’on m’apprend et les relations que je veux construire. »

Il n’était pas trop sûr d’être certain de tout ce qu’il disait. C’était nouveau. Son petit cœur battait fort et anticipait déjà inconsciemment les blessures qu’il pouvait recevoir. Mais dans sa tête, il s’était lancé. Il fallait aller au bout des choses. Il se doutait bien qu’il allait faire des erreurs. Mais ça ne l’arrêterait pas. Il voulait savoir lire et compter. Il voulait savoir choisir des matériaux et les techniques pour les assembler. Kamiye ne voulait plus être ce chiot sale qui jappe. Il voulait être une bête capable de rugir, de magnifier le corps des femmes et d’arrêter de faire mordiller des lèvres au risque de saigner !

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 01 déc. 2024 03:13
par Mélinda Warren
Il allait falloir faire en sorte que Kamiye prenne confiance en lui, qu’il réalise qu’il était talentueux… D’un autre côté, ce manque de confiance en lui avait tendance à le rendre très mignon. Mais Irène savait aussi que le manque de confiance pouvait rendre les gens agressifs, violents, instables… Elle ne voulait pas de ça avec Kamiye. Difficile de dire si elle était amoureuse ou non. Sa Maîtresse n’interdisait nullement les relations conjugales entre ses esclaves, mais l’amour était un sujet complexe à aborder. Initialement, Irène aurait dit qu’elle était amoureuse de sa Maîtresse, mais ce n’était pas une relation conjugale classique. Elle se sentait plutôt comme une dévote qui vénérait son idole. Ce n’était pas de l’amour, mais de l’adoration. Cela signifiait donc qu’elle pouvait tomber amoureuse… Mais comment le savoir ? L’amour, on ne le connaissait que quand il partait. On était sûr d’être amoureux d’une personne que quand elle vous quittait, c’était la tragédie de l’amour. Perdue dans ses réflexions, Irène en sortit quand Kamiye ouvrit brusquement la porte, et lui demanda de le suivre.

Celle-ci sourit alors, et rejoignit également la chambre. C’était la sienne. Son nom apparaissait d’ailleurs sur la porte, sur une petite plaque adhésive : « IRÈNE ». Kamiye regarda les deux femmes, hésitant visiblement à faire l’azmour seulement avec Irène, ou avec Akira. Akira gloussa un peu.

« Je serais très tentée de profiter de toi, mon beau Kamiye, mais je pense que je vais plutôt prévenir Mère, n’oublie pas que tu dois passer ta première nuit avec elle. »

On aurait presque pu l’oublier, mais Kamiye devait encore revoir Mélinda ce soir. Irène acquiesça, et Akira embrassa brièvement Kamiye, promettant de le revoir, puis partit ensuite. Irène referma ensuite la porte, puis se retourna vers Kamiye.

« C’est mieux… Qu’on soit juste tous les deux, je veux dire. Tu es vraiment un drôle de garçon, Kamiye… Tu es le premier à me dire qu’il m’aime. »

Elle se rapprocha de lui, et lui fit alors un câlin. Elle se pressa contre lui.

« Tu n’as rien à prouver, Kamiye, l’amour, ça ne fonctionne pas comme ça. »

Irène l’embrassa ensuite, puis elle le poussa alors. Kamiye tomba sur le lit, et Irène sourit, en commençant à se déshabiller.

« Je sais que tu aimes la lingerie, Kamiye, mais… »

La jeune femme finit rapidement nue, et s’exhiba ainsi devant lui.

« …Est-ce que me voir comme ça, tu aimes ? »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 01 déc. 2024 14:25
par Kamiye Goupile
« Je… c’est une question piège ? »

Irène était complètement nue devant les yeux de Kamiye. Et ce n’était pas de « sa faute ». Ni Kamiye-Animal ni leur Maîtresse par exemple avait donné pour ordre à Irène de se dévêtir. C’était elle qui avait choisi.

Et bien sur qu’il aimait ! Irène avait un beau corps et son sexe était suffisamment raidi pour aller dans ce sens. Mais…

« Je ne peux pas te mentir. Je veux dire, je ne sais pas mentir, alors… »

Mais quelque part dans sa tête, il savait qu’il ne devait pas donner la vérité. Ce n’était pas le moment. Ce n’était pas ce qu’elle désirait. Mais Kamiye étant Kamiye, il se libéra de sa charge mentale.

« Je ne peux pas m’empêcher de voir des lignes. Des courbes. Là où de la lingerie pourrait sublimer ton corps. Ce, ce n’est pas une sorte de pouvoir ! Juste que j’imagine que là par exemple, cette ligne mettrait tes hanches en valeur.

Kamiye s’était donc redressé et était agenouillé au bord du lit. Son doigt à moins d’un centimètre de la peau de celle qui pourrait être « son amoureuse ».

« Si j’avais un crayon… un pinceau… je pourrais te montrer. »

Oui, ce n’était pas ce qui était attendu. Surtout après une telle déclaration, une telle vérité qui était sorti des jolies lèvres d’Irène. Elle avait osé avouer qu’elle voulait être seulement avec Kamiye. Elle ne voulait pas le partager avec Akira. Et elle avait ajouté qu’il était le premier garçon à lui déclarer ses sentiments. Ce qui paraissait fou, insensé pour un tel manoir ! Et pourtant ? Pourtant Kamiye parlait de sa passion. Son obsession, plutôt. Et même si ce n’était pas le moment, même s’il avait la verge pleine de pulsion, sa voix vibrait de passion. Tout comme cette intensité dans les yeux venait le confirmer.

« Mais… »

Ses yeux allèrent aux vêtements qui étaient par terre. Voilà qu’il ne savait plus. Une partie de sa personnalité, l’ancien esclave (si présent !) devait ramasser les vêtements. Les plier. Les empiler pour quand Irène en aurait besoin. Et il y avait la partie futur artisan en lui qui voulait peindre la peau d’Irène. Et celle de l’Animal qui voulait la prendre. Et une toute petite partie qui essayait de croître. Une personnalité disons, romantique.

« Je suis désolé d’être un esclave à problèmes. »

Ses pieds touchèrent le sol puis il commença à s’accroupir pour ramasser les vêtements.