Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]
Posté : 31 août 2024 23:40
La réflexion de Kamiye amena les deux femmes à le regarder. Akira le vit poser ses deux mains sur la bouche en rougissant, gêné, et elle ne put s’empêcher de pouffer. Elle connaissait l’anecdote. Quand les frères Lumière avaient projeté leurs films, notamment celui d’un départ du train en gare, les spectateurs avaient paniqué, pensant réellement qu’un train leur fonçait dessus. Elle n’était pas encore là quand Mélinda était arrivée sur Terre, mais elle avait elle aussi paniqué en voyant un film, au point de se crisper sur les accoudoirs de son fauteuil, et de lacérer ces derniers avec ses griffes.
« C’est un film, Kamiye. Ce sont des images qui sont projetées tellement rapidement que tu les vois défiler comme si c’était vivant… Mais ce n’est qu’une projection. Les personnes que tu vois ne t’entendent pas, et ne peuvent pas interagir avec toi.
- C’est comme lire une histoire avec des images en tournant très rapidement les pages, ton œil te donne l’impression que les images bougent.
- Nous ne sommes pas dans un cinéma public, donc tu peux commenter, mais oui, le principe est de se taire… »
Le film commençait par une projection de la seigneurie, de la ville entourant un grand château. Une voix off expliquait le contexte :
« …Le comté de Sustchest est dirigé depuis des années par la puissante comtesse Poison. Dans cette époque arriérée, les mâles avaient des droits plus importants que les femmes, mais Lady Poison refusait d’obéir aux hommes. Elle refusait de prendre un époux, et recherchait une ou plusieurs épouses, déclenchant l’hostilité d’autres comtés voisins, qui y voyaient surtout un parfait prétexte pour s’enrichir de ses riches terres. Pas de quoi paniquer Lady Poison, très appréciée de ses sujets, et qui organise chaque jour des doléances très particulières… »
Ce n’était pas un film à petit budget. Poison était une superstar uatéenne, et ses films étaient des productions importantes. La caméra se dirigea donc vers une fenêtre du donjon, la plus grande tour de ce grand château. Elle passa à travers la vitre, et on put alors entendre des soupirs, des gémissements. La caméra fila sur un couloir bien éclairé, avec un long tapis rouge, puis à travers l’interstice d’une grande double porte. On put voir une table ronde assez grande, un feu de cheminée, d’autrres fenêtres lumineuses. C’était éblouissant, mais, peu à peu, l’objectif se recentrait, permettant de voir une forme. On entendait des soupirs de plus en plus forts, des gémissements, puis le son caractéristique de fessées, avant d’entendre des claquements de chair.
« Maî-Maîtresse, haaaa… »
Une voix sensuelle et féminine se faisait entendre. On put ainsi voir, de dos, le corps magnifique de Poison. Ses fesses musclées filaient d’avant en arrière. Elle portait des sous-vêtements en lingerie fine très élégants, et Akira était sûre que, quand Kamiye commencerait à les voir, son érection se réveillerait…
« C’est un film, Kamiye. Ce sont des images qui sont projetées tellement rapidement que tu les vois défiler comme si c’était vivant… Mais ce n’est qu’une projection. Les personnes que tu vois ne t’entendent pas, et ne peuvent pas interagir avec toi.
- C’est comme lire une histoire avec des images en tournant très rapidement les pages, ton œil te donne l’impression que les images bougent.
- Nous ne sommes pas dans un cinéma public, donc tu peux commenter, mais oui, le principe est de se taire… »
Le film commençait par une projection de la seigneurie, de la ville entourant un grand château. Une voix off expliquait le contexte :
« …Le comté de Sustchest est dirigé depuis des années par la puissante comtesse Poison. Dans cette époque arriérée, les mâles avaient des droits plus importants que les femmes, mais Lady Poison refusait d’obéir aux hommes. Elle refusait de prendre un époux, et recherchait une ou plusieurs épouses, déclenchant l’hostilité d’autres comtés voisins, qui y voyaient surtout un parfait prétexte pour s’enrichir de ses riches terres. Pas de quoi paniquer Lady Poison, très appréciée de ses sujets, et qui organise chaque jour des doléances très particulières… »
Ce n’était pas un film à petit budget. Poison était une superstar uatéenne, et ses films étaient des productions importantes. La caméra se dirigea donc vers une fenêtre du donjon, la plus grande tour de ce grand château. Elle passa à travers la vitre, et on put alors entendre des soupirs, des gémissements. La caméra fila sur un couloir bien éclairé, avec un long tapis rouge, puis à travers l’interstice d’une grande double porte. On put voir une table ronde assez grande, un feu de cheminée, d’autrres fenêtres lumineuses. C’était éblouissant, mais, peu à peu, l’objectif se recentrait, permettant de voir une forme. On entendait des soupirs de plus en plus forts, des gémissements, puis le son caractéristique de fessées, avant d’entendre des claquements de chair.
« Maî-Maîtresse, haaaa… »
Une voix sensuelle et féminine se faisait entendre. On put ainsi voir, de dos, le corps magnifique de Poison. Ses fesses musclées filaient d’avant en arrière. Elle portait des sous-vêtements en lingerie fine très élégants, et Akira était sûre que, quand Kamiye commencerait à les voir, son érection se réveillerait…