The Multiversity

C’était assurément un spectacle unique en son genre. Deux dragons qui étaient copieusement en train de faire l’amour, copieusement en train de s’unir. Une orgie magnifique, un spectacle renversant et effrayant. Le public s’agglutinait autour du duo, et Alice était aux premières loges. Dans son dos, elle sentit les mains d’Eirik s’agripper à ses poignets, tirant son corps en arrière. Sa queue pilonnait sa chatte, et elle couina sur place, ayant vaguement conscience que, à sa manière, Eirik avait dû être une sorte de Roi… Ou, en tout cas, une personnalité influente, un jarl. Et le Viking était très clairement habitué à faire l’amour, vu la manière dont il prenait Alice avec passion et puissance.

« Hmmmm… Haaaa…
-  Hnnn, ce qu’elle est bonne… »

Près d’elle, Alice pouvait compter sur Adda. La fille d’Eirik posait sa main sur son menton chaque fois qu’Alice détournait la tête, la forçant ainsi à voir Shykarka et Runnhild en train de faire l’amour. Le dragon rouge était bien évidemment ravi, comblé de pouvoir ainsi besogner Shykarka. Pour lui, c’était un rêve qui se réalisait, celui consistant à coucher avec une consœur, une consœur divine ! Le spectacle était impressionnant de brutalité, de bestialité, de force sexuelle et de vigueur ! Runnhild grognait furieusement, et ses pattes s’enfonçaient dans le sol, lézardant le bois, coupant les lattes au sol.

Alice, quant à elle, déglutissait encore, incapable de pouvoir lutter ou détourner le regard.

« Regarde comme Shykarka est belle… Là, là, Alice… Tu es peut-être une puissante Princesse là d’où tu viens, mais, ici, tu es le jouet de mon père, similaire à toutes ces femmes qu’il a baisé… »

Eirik relâchait parfois les poignets d’Alice pour la gifler alors. La tête blonde se dandinait sur place, poussant même de beaux cris quand la verge d’Eirik se retirait, avant de se renfoncer très brutalement en elle.

« Hmmmm… !! »

Le spectacle était magnifique, jusqu’à ce que Runnhild ne jouisse finalement, crachant au passage de sa gueule une longue gerbe de feu. Le dragon s’écroula ensuite en arrière, et Shykarka dut également reprendre des forces. Alice, de son côté, contracta un nouvel orgasme, et sentit le puissant Eirik s’abandonner en elle, jouissant compulsivement. De puissants jets de foutre filèrent dans son con, venant remplir la tête blonde avec délectation.

Celle-ci s’écroula sur le sol quand Eirik s’abandonna en elle. Devant elle, Shykarka reprenait peu à peu forme humaine, et elle vit Gunnhild s’agenouiller respectueusement devant Shykarka.

« Nous sommes heureux et honorés de recevoir en ces lieux une Déesse draconique. Runnhild est la réincarnation d’un ancien drazgon que mon clan avait apprivoisé. Il nous protégeait. Quand nous avons rejoint le Monde Érotique de Lust, celle-ci nous a ramené Runnhild. Je suis sincèrement honorée qu’il vous ait plus à ce point, ô Déesse… »

Il allait être difficile de prétendre le contraire après une telle séance !

Shykarka avait eu droit à une baise magnifique avec Runnhild, mais maintenant elle avait besoin de respirer et de reprendre des forces. Comme elle, le dragon rouge s’était écroulé, ayant besoin de reprendre son souffle. A mesure qu’elle se calmait, la déesse reprenait peu à peu forme humaine. Et tandis qu’elle se reposait, elle vit une belle femme blonde aux yeux bleus venir s’asseoir à côté d’elle. Elle lui parlait avec beaucoup de respect, consciente qu’elle s’adressait à une déesse, et elle lui raconta que Runnhild était un dragon de son clan, qui l’avait suivie quand elle et sa famille avaient rejoint le monde de Lust.

« Aaahhh... dans ce cas... je dois vous remercier. Ce dragon est... hhhmmm... un amant incroyable. »

Shykarka n’était pas du genre à s’émouvoir facilement, et elle avait eu son lot d’amants puissants, mais même pour elle, Runnhild était un amant au-dessus du lot. Tranquillement allongée, elle trouvait que son confort pouvait être amélioré, et elle se dit qu’elle pourrait mettre Gunnhild à contribution.

« Très chère... puisque vous m’êtes si reconnaissante, vous voulez bien me faire une petite faveur ? »

Évidemment, la femme viking allait se faire un plaisir d’accepter.

« Quand je me repose, j’aime poser ma tête sur les cuisses d’un bel homme ou d’une belle femme. Et justement, vous êtes une très belle femme. Vous voulez bien me prêter vos cuisses ? »

La dragonne s’installa confortablement, posant sa tête sur les cuisses de la femme et étendant son corps au loin. Dans les animes japonais, on appelait ça un lap pillow.

« Ah... voilà. Là je me sens bien. »

Et ce qui était encore mieux, c’était qu’elle avait une très jolie vue sur l’opulente poitrine de Gunnhild. Il lui suffisait de lever un peu les yeux pour voir ses deux beaux seins bien ronds.

Pendant presque une dizaine de minutes, Shykarka se reposa tranquillement sur les cuisses de Gunnhild, les yeux fermés, sans penser à rien, profitant de la présence et de la chaleur corporelle de cette femme. Son repos était agréable, mais la magie rose de Lust continuait de faire effet sur elle, et quand elle finit par ouvrir les yeux, ce fut pour demander une faveur plus intime à la femme viking.

« Gunnhild... ça vous paraîtrait bizarre si je vous demandais... de me donner le sein ? »

A force de regarder sa poitrine, forcément, Shykarka finissait par en avoir envie.

Les Vikings reprenaient doucement leurs esprits. Eirik venait de jouir puissamment dans le corps d’Alice, qui était couchée sur le sol, sur le ventre. Tandis qu’elle reprenait ses esprits, les Vikings sentirent à nouveau la marque de Lust s’illuminer, brillant sur son bas-ventre. Devant elle, elle vit Shykarka se coucher doucement sur les jambes de Gunnhild. Eirik, lui, alla s’asseoir sur une chaise, buvant du vin, tandis que Fiona vint le rejoindre, léchant son sexe. Alice, quant à elle, soupira encore, et entendit alors des bruits de pas.

« Tu n’espérais pas te reposer si vite, hein, Princesse ? »

C’était Edda, la fille d’Eirik et de Gunnhild, et qui venait de se faire pousser une verge. Elle se déplaça lentement, posa ses mains sur les hanches d’Alice. Soupirant, celle-ci se redressa, et finit à quatre pattes. Dans un grand soupir, Edda s’enfonça alors brusquement en elle, et Alice poussa un léger cri, sentant la virilité de la Princesse viking s’enfoncer en elle. Edda la fessa alors, et Alice sursauta, crispant ses doigts sur le sol. Edda remua ensuite en arrière, puis repartit brusquement en avant, déformant les parois intimes de la jeune femme.

Alice gémit encore. Edda n’avait pas la même carrure qu’Eirik, mais elle s’enfonçait puissamment en elle, faisant preuve d’un engouement très agréable, qui décuplait le désir d’Alice.

« Haaaann… E-Edda, hmmm… !! »

Sous l’effet de la marque de Lust, le désir naissant gommait toute fatigue. Devant elle, elle pouvait Grunnhild sourire doucement, invitant Shykarka à se redresser. La puissante dragonne apposa alors son visage contre les généreux mamelons de Grunnhild. La Viking soupira lentement, et ses joues s’empourprèrent quand Shykarka commença à pomper son lait. Toutefois, Shykarka allait vite constater que c’était un lait très particulier, infusé par l’essence de Lust. Un lait rose, qui se dilua dans ses veines.

La Déesse put sentir sa torpeur disparaître. C’était assez impressionnant, car, pendant ce temps, Runnhild s’était lourdement endormi. Mais, chez Shykarka, sa partie draconique se mélangeait à sa partie humaine, et, si la première partie résistait plutôt bien à la magie rose, ce n’était pas le cas de la seconde.

« Hmmm… Bois bien, Shykarka, mais, après ça, il va falloir que tu te soulages… Bien sûr, tu pourrais juste me baiser, mais, quand je vois l’engouement de nos deux jeunettes… Je me dis que… Hmmm… Elles auraient bien besoin d’une puissance divine pour calmer… Leurs ovaires en feu, non ? »

Grunnhild commençait toutefois à être excitée, car le fait d’allaiter ainsi était également très excitant pour elle. Sa main se glissait contre le bassin de Shykarka, et elle ne tarda pas à masturber la puissante virilité de la Déesse draconique, sentant l’énergie de celle-ci revenir en force, ainsi qu’un furieux élan sexuel…

Aussitôt demandé, aussitôt exaucée, Shykarka se redressa pour pouvoir poser sa bouche sur le mamelon de Gunnhild. Elle commença à sucer ce petit bout de chair tendue, et le lait coula. Comme elle s’y attendait, le lait de la viking était aphrodisiaque, quoi de plus logique dans le monde de Lust, mais elle fut surprise de voir à quel vitesse sa torpeur disparaissait. En à peine quelques gorgées, la fatigue qu’elle ressentait après son coït avec puissant avec Runnhild disparut, et elle se sentait prête à baiser à nouveau. Malgré cela, elle était bien installée et elle se régalait avec le lait de la femme, alors elle continua de le boire, gorgée après gorgée, laissant la douce chaleur de ce lait aphrodisiaque la gagner.

« Hhhmmm... »

Gunnhild l’encourageait à bien boire, et comme elle savait que la déesse allait avoir envie de se soulager, elle l’encourageait aussi à aller s’occuper des deux jeunes demoiselles qui faisaient l’amour dans leur coin. Shykarka sentit la main de la viking entourer sa virilité et la masturber, ce qui lui rendit plus vite son énergie et sa vigueur.

« Hhhmmm... aaahhh... »

Shykarka buvait le bon lait de Gunnhild entre deux gémissements, savourant la sensation du désir qui revenait peu à peu en elle, et les doigts agiles de son amante sur sa verge, qui enflait peu à peu à mesure qu’elle s’excitait. Elle prit son temps pour savourer la moindre goutte de ce délicieux lait qui tombait dans sa gorge, et quand elle eut vidé la poitrine de la femme, elle se redressa complètement pour lui faire face.

« Ooohhh... Gunnhild... »

La partie humaine de Shykarka était littéralement en feu avec tous les aphrodisiaques qu’elle avait avalés, et elle se mit à saliver en regardant Gunnhild. Cette femme était une beauté adulte, avec des rondeurs et des amas de graisse concentrées juste là où il fallait, au niveau de la poitrine et du bassin, un pur délice pour les yeux. Et grâce à ses caresses et à son bon lait, la dragonne était en rut et toute proche d’exploser. Pas question qu’elle la laisse sans s’occuper d’elle. Elle entoura son corps avec ses bras puissants et plaqua son corps contre le sien, frottant sa verge raidie contre son ventre.

« Je m’occuperai de ces deux jeunettes en chaleur... mais plus tard. Pour l’instant... aaahhh... c’est toi que je veux. »

La déesse embrassa la femme, fourrant allègrement sa langue dans sa bouche, savourant la sensation de ses lèvres pulpeuses contre les siennes, sa poitrine se frottant contre la sienne, ses mains caressant son dos et malaxant fermement son cul. Sa chair était à la fois douce et moelleuse, un vrai régal. Et se frotter contre elle ne fit que rendre la dragonne encore plus chaude. Alors qu’elle se sentait proche de l’orgasme, elle rompit le baiser et poussa son amante pour l’allonger sur le dos. Elle attrapa ses jambes par les chevilles et les souleva avant de lui écarter les cuisses en grand, et elle enfonça sa lance de chair dans sa chatte. Cette dernière était si chaude et bien lubrifiée qu’elle y entra d’un seul coup, et s’y sentit aussitôt à l’aise.

« Hhhmmm... dis-moi ce que tu penses... de ma grosse bite de déesse. »

Edda était effectivement la digne fille d’Eirik. Elle la prenait énergiquement, fougueusement. Elle n’avait pas le même poids que son père, d’où des mouvements plus profonds, plus énergiques. Edda était aussi plus passionnée, giflant le cul d’Alice, ou tirant même sur ses cheveux. Celle-ci sentait avec délectation Edda la prendre furieusement, et, tandis qu’Alice reprenait ses esprits, Shykarka, elle, se déplaça.

Gunnhild était une amante efficace, qui avait le calme d’Eirik et la passion de sa fille. Au lit, elle devenait facilement une diablesse, et, quand Eirik était parti à la bataille, Gunnhild avait pris l’habitude de baiser avec des hommes bandés, les guerriers de son mari, ses hommes. Ils la prenaient à au moins deux, et, même quand Eirik était revenu, il avait fallu à ce dernier la magie de Lust pour pouvoir désormais calmer sa femme. Il la battait en lui faisant l’amour, la mordait, la griffait… Edda avait grandi dans cet environnement, et avait très rapidement été bercée par l’atmosphère de luxure de ses parents, une atmosphère qu’elle restituait ici, tout en besognant la belle Alice.

« Haaann… »

Shykarka, de son côté, s’enfonça dans le con de Gunnhild, la couchant sur le sol, et écarta ses jambes. Un spectacle magnifique, qui avait lieu juste devant Alice. La tête blonde déglutit, et Edda la gifla encore.

« Ça t’excite, hein ? De voir ma mère… Humm… Se faire baiser comme ça, hein ? Vi-Vilaine catin, hmmm… »

Alice ne confirma ni n’infirma, se contentant de gémir. Gunnhild, quant à elle, sentait l’épaisse virilité de Shykarka s’enfoncer en elle. Une Déesse était en train de la baiser, et elle ne pouvait qu’apprécier. Très excitée, Shykarka la prenait vigoureusement, tenant ses jambes relevées. Fort heureusement, Gunnhild restait encore souple, et laissa la Déesse s’abattre sur elle, son poids massif la faisant trembler furieusement. L’excitation croissait puissamment en elle, et Gunnhild gémit à nouveau.

« Oh, Déesse, haaa… Encore, hmm… Baisez-moi plus fort ! »

Un tel spectacle ne pouvait qu’exciter Eirik. L’ancien jarl se glissa dans le dos de sa fille, et l’élança amoureusement. Sa main pinça ses seins, et Edda se crispa sur place. Les lèvres d’Eirik se glissèrent contre son cou, l’embrassant lentement. Quand elle tourna la tête, Eiriki alla l’embrasser, et les mains d’Edda pincèrent les fesses d’Alice.

« Vous êtes si belles, toutes les deux…
-  Han oui, mon jarl… »

Edda sentit la verge de son père glisser sur ses fesses, un tison ardent qui l’excita encore plus, et elle gifla alors le cul d’Alice, continuant à la prendre, la sodomisant joyeusement.

Shykarka se faisait plaisir avec Gunnhild et son corps de rêve. Elle allait et venait dans son con humide et chaud avec sa grosse trique tendue, les mains fermement en prise sur ses chevilles. Elle s’amusait beaucoup en regardant la poitrine rebondie de la viking se balancer au rythme de ses pénétrations, et elle salivait en l’écoutant complimenter ses talents sexuels.

« Aaahhh... plus fort ? D’accord ! »

Grâce à la magie rose, la dragonne put aisément faire grandir et grossir sa queue pour donner plus de plaisir à son amante, et elle se mit à accélérer la vitesse de ses coups de butoir. L’excitation qui grandissait dans son corps la rendait toujours plus énergique, et son plaisir finissait par s’auto-alimenter. Sans doute un autre effet de la magie rose ambiante dans la dimension de Lust.

« Gggnnn... ooouuuiii... ce que t’es bonne... aaahhh ! »

Shykarka se faisait bien plaisir avec cette femme, et Gunnhild semblait prendre son pied elle aussi. La dragonne la besogna énergiquement jusqu’à réussir à la faire jouir, et elle sourit en regardant le visage de la viking s’étirer sous le plaisir de l’orgasme, ainsi que sa mouille jaillir de son antre. Elle lui laissa quelques secondes pour reprendre son souffle, puis s’allongea sur son corps et fourra sa langue dans sa bouche pour un délicieux baiser, passionné et plein de salive. Son corps se frottait contre le sien, se concentrant particulièrement sur sa poitrine rebondie, caressant ses pointes roses tendues avec les siennes.

« Hhhmmm... »

Elle ne se détacha de ses lèvres que lorsqu’elle fut pleinement contente de son baiser et qu’elle eut envie de passer à la suite.

« Deuxième round. »

Shykarka attrapa les hanches de Gunnhild et la retourna pour la mettre sur le ventre, le visage et la poitrine contre le sol, et les fesses relevées. Elle logea à nouveau sa verge dans son antre intime et se remit à la sauter. Ses bourses étaient encore chargées et elle avait hâte de les vider dans le corps de cette femme. Et pour rajouter plus de plaisir, elle se mit à donner des fessées à son amante, enchaînant rapidement les claques entre la fesse droite et la fesse gauche.

« Ooohhh... quel beau petit cul. Hhhmmm... couine pour moi... petite cochonne. Montre à tout le monde... aaahhh... comme tu es heureuse... de te prendre une grosse bite... de déesse... ggghhh... dans la chatte ! »

Clairement, Shykarka n’allait pas s’en tenir à un seul orgasme avec elle. Une fois qu’elle se serait déchargée dans son con, elle comptait bien aller visiter sa bouche.

Gunnhild allait vite montrer à Shykarka que, contrairement à Alice, elle était bien plus endurante. En d’autres circonstances, elle aurait pu être une parfaite mère pour Alice. Femme forte et musclée, au corps parfait et sculptural, elle ne jouissait pas aussi vite qu’Alice, même si le corps de Shykarka était massif. Elle la baisait furieusement, s’étalant sur elle. Les deux femmes n’hésitaient pas à s’embrasser, et on pouvait comprendre pourquoi Edda était si perverse avec une mère pareille ! Gunnhild mordillait volontiers la lèvre inférieure de la Déesse, sentant avec un plaisir exquis sa virilité massive venir la pilonner. Puis Shykarka se redressa, et la fit changer de position.

Elle retourna Gunnhild sur le ventre, attrapa ses cheveux pour bien la plaquer au sol, et souleva son cul, avant de retourner défoncer sa chatte.

« Hmmm, bordel, quelle force, putain ! Par les jarls ! Haaaa… ! »

Shykarka gifla son cul, et Gunnhild cracha de la salive sur le sol, se tortillant sur place. Alice était près d’elle, à seulement un mètre, se tortillant sur place. Edda était beaucoup plus nerveuse que Shykarka, mais Alice et Edda avaient pour elles la fougue de la jeunesse. Gunnhild travaillait beaucoup l’endurance sexuelle de sa fille. À défaut de se battre, même si elle l’entraînait aussi au combat, Edda se devait d’être sexuellement très forte. Edda était très endurante, même si elle était aussi très excitée. Alice lui plaisait beaucoup, car, tout comme Gunnhild, elle s’imaginait volontiers avoir une sœur comme Alice. Elle la giflait sèchement, et tirait même sur les cheveux d’Alice, la redressant.

Alice, elle, ne pouvait qu’apprécier ce traitement, tandis que, devant elle, elle voyait les muscles saillants de Shykarka, ce corps massif qui prenait Gunnhild sans pitié. Une intensité qui lui rappelait la terrible Ishtar Naviento, la Maîtresse éternelle d’Alice, qui adorait se soumettre à elle, et être la victime de son imagination perverse. Peut-être que Shykarka évoluerait comme ça ? C’était difficile à dire, mais Alice, en tout cas, ne regrettait clairement pas son choix de l’avoir invité ici.

« Haaaan… »

Gunnhild gémissait devant elle, et releva alors le visage. Sa main s’étira, et caressa les doigts d’Alice, qui rougit doucement, se pinçant les lèvres. Gunnhild couina ensuite, sentant l’épaisse queue de Shykarka en elle.

« Oh, Déesse, Déesse ! »

Gunnhild mouillait copieusement, et, à ce rythme…

« Haaaa !! Ouuuiii, hmmm… !! »

Elle couinait pour elle, exactement comme Shykarka le lui avait demandé. Et c’était bon, c’était terriblement bon, et même incroyablement jouissif ! Si Shykarka continuait ainsi, elle allait faire jouir la puissante Viking ! De fait, on pouvait noter la formation, sur son pubis, du même cœur violet qui était sur celui d’Alice. Cette marque apparaissait aussi sur le pubis d’Edda, un magnifique papillon magique…

…La marque des succubes, le sceau de Lust !

Shykarka s’estimait plus que chanceuse d’être tombée sur une femme comme Gunnhild. Non seulement elle avait un corps de rêve, mais en plus elle était endurante et elle savait comment stimuler son amante. La déesse pilonnait allègrement sa chatte humide et fessait son cul rebondi. Chaque seconde qu’elle passait à la fourrer était un délice, autant que de l’entendre gémir et jurer entre deux couinements de plaisir.

« Aaahhh... ooouuuiii... ressens ma puissance... Gunnhild ! »

La dragonne ne ménageait pas son amante parce qu’elle savait qu’elle pouvait l’endurer. Son corps était puissant de base, et la magie rose de Lust le renforçait encore plus. Elle la regarda tendre sa main vers Alice, leurs doigts s’entremêler, et leurs gémissements s’unir. Une lumière rose éclaira le bassin de la femme viking et celui de la dragonne, et la marque de Lust apparut.

« Aaahhh... je... je me sens... gggaaahhh ! »

La futa se sentit envahie d’une énergie nouvelle. Son sexe tendu gagna en vigueur et en puissance, et elle se mit à baiser son amante plus vite et plus fort. Les allées et venues de sa verge dans son con trempé faisaient des bruits humides, et elle se sentait tellement bien logée en elle qu’elle monta très rapidement dans les tours.

« Ooouuuiii... hhhmmm... ooohhh putain... OOOUUUIII !!! »

Grâce à la puissance de la magie rose, il ne fallut pas longtemps à Shykarka avant de jouir allègrement dans l’antre intime de Gunnhild. Son sperme gicla copieusement, à tel point qu’il en déborda de cette intimité chaude et trempée. Une fois l’éjaculation passée, elle se délogea et mit une bonne claque sur le cul de la femme viking avant de la laisser reprendre son souffle.

« Aaahhh... on peut dire que tu es drôlement bonne... Gunnhild. Mais je n’en ai pas encore... hhhmmm... finie avec toi. »

La dragonne s’allongea à moitié, prenant appui sur des coussins pour garder le dos droit, et écarta les jambes en grand.

« Maintenant... j’ai envie de voir ce que tu peux faire... avec ces belles lèvres charnues. Viens par ici... et suce-moi. »

Au moins, elle n’y allait pas par quatre chemins. Elle regarda ensuite en direction d’Edda et d’Alice, se léchant les babines en voyant comme elles s’amusaient.

« Ensuite... je serais curieuse de voir... ce que vaut ta fille. Est-elle aussi talentueuse... que sa maman ? »

Les deux couples se faisaient nerveusement et intensivement l’amour. Soupirant longuement, Alice voyait devant elle la belle Déesse Shykarka, l’invitée exceptionnelle de la Déesse Lust. Elle prenait la puissante Gunnhild, cette femme solide, par le derrière. Alice s’en pinça les lèvres, surtout quand elle vit les pupilles de Shykarka se recouvrir brièvement d’une lueur violette, témoignant de la magie rose de Lust, cette magie rose qui venait s’emparer d’elle, la recouvrir, et la lier à sa partenaire. Alice frémit doucement, et couina encore, sa salive coulant de ses lèvres pour tomber sur le sol, Edda venant la gifler encore à hauteur de son postérieur. Son cul avait bien rougi, et la Viking finit par jouir en elle. Un délicieux orgasme, et elle repoussa ensuite Alice, qui tomba sur le sol.

« Han bon sang, ce que tu es bonne… » soupira-t-elle.

Eiriki repoussa également sa fille, qui tomba sur le corps d’Alice. Les deux blondes se retrouvèrent ainsi collées l’une à l’autre, tandis qu’Eirik se rapprocha du duo, sa verge solidement tendue. Alice caressait doucement le beau corps d’Edda, tout en constatant que la verge d’Eirik était bien grosse. Et c’était ça qui lui avait défoncé le cul ? La tête blonde en rougit doucement, tandis que la verge d’Edda, plus molle, titillait ses jambes.

Les épaisses mains d’Eirik vinrent les caresser, glissant sur leurs cheveux, un sourire affectueux sur ses lèvres.

« Edda a toujours regretté de ne pas avoir une petite-sœur… Ce monde offre bien des choses, mais, en ce qui concerne la procréation, c’est beaucoup plus compliqué…
-  Tu aurais été parfaite pour jouer ce rôle, Alice… »

Alice rougit benoîtement. Si le Monde Érotique avait transformé l’amour familial en un amour sexuel profondément incestueux, il fallait bien admettre qu’ils formaient une redoutable famille. Eirik, le puissant et musculeux jarl ; Gunnhild, la mère solide et puissante, qui devait imposer sa loi au foyer, et qui gouvernait le clan lorsqu’Eirik partait à la guerre ; et, enfin, Edda, une jeune beauté fatale, véritable amazone qui s’entraînait régulièrement au combat. Toute cette fougue guerrière s’exprimait ici à travers le sexe, mais, à dire vrai, Alice, dans une autre réalité, se serait bien vue faire partie de leur famille.

Eirik relâcha alors leurs têtes, sa verge proche des deux femmes, qui s’embrassèrent brièvement. La bouche d’Edda se colla sur celle d’Alice, qui répondit à son baiser, et sentit avec délectation la bosse d’Edda gonfler de nouveau, un spectacle qu’elle avait toujours aimé avec ses partenaires membrés, car c’était le moment où le désir revenait à la charge, où le sexe s’invitait de nouveau dans les pensées conscientes. Elles s’embrassèrent donc, jusqu’à ce qu’Eirik racle la gorge.

« Maintenant, venez montrer à votre Papa combien vous l’aimez ! »

Alice se pinça les lèvres, et Edda posa sa main sur sa joue, la retenant un peu.

« Faisons comme si, Alice…
-  Hm… Comme si quoi ? »

Edda se mordilla la lèvre inférieure en souriant brièvement :

« Comme si on était des sœurs ! »

Alice haussa les sourcils, et sourit alors, avant de hocher la tête de haut en bas :

« Oui… Oui, ça me va ! »

La Princesse sourit donc, puis se rapprocha ensuite d’Eirik. Les deux filles vinrent donc lécher sa verge. Devant lui, Gunnhild venait de recueillir la puissante semence de la dragonne. La mère viking frissonnait doucement, ayant finalement eu, sous cette décharge de sperme, un puissant orgasme. De la sueur coulait le long de son corps, comme pour témoigner du plaisir immense qu’elle était en train de recevoir. Reprenant difficilement son souffle, Gunnhild vit ensuite la verge de Shykarka se dresser devant son visage, et sourit doucement.

Cette queue tendue la plaisait, et elle commença donc à la sucer, goulûment, répandant sa salive sur ce chibre. Sa bouche s’enfonçait, et elle couina en sentant la queue humide de Shykarka taper contre le fond de sa gorge. Difficile de lui répondre, alors ce fut Eirik qui le fit :

« Edda n’a jamais manqué d’amour, nous l’avons élevé… Selon les préceptes de notre Déesse. Ici, le temps n’a plus d’incidence sur nos corps, alors Edda n’a eu de cesse de perfectionner son apprentissage, hmmm… Elle vous plaira, Déesse, je… Hmmm… Je vous le garantis ! »

Et, à dire vrai, il n’y avait aucune raison de douter des affirmations d’Eirik là-dessus !

Gunnhild ne se fit pas prier pour venir sucer la queue tendue de la déesse, qui couina un bon coup en sentant ces lèvres charnues et douces entourer son vit et se mettre à le pomper en répandant de la salive dessus.

« Aaahhh... ooouuuiii... vas-y à fond ! »

Elle commença tout de suite à la prendre en gorge profonde, de quoi ravir la dragonne, qui posa tout de suite une main sur sa tête pour qu’elle ne puisse pas se retirer avant la fin. Comme elle avait la bouche pleine, ce fut son mari Eirik qui répondit à la question de la déesse. Edda avait été élevé selon les préceptes de Lust et n’avait jamais cessé de perfectionner son apprentissage. Il assura à la déesse que sa fille était un bon coup, et qu’elle allait adorer coucher avec elle.

« Hhhmmm... je vous crois sur parole. Mais pour l’instant... aagghh... je vais profiter encore un peu... de votre femme. »

C’était beaucoup trop bon pour qu’elle arrête avant d’en avoir vraiment assez. Que ce soit la chatte, le cul ou la bouche, tout chez cette femme viking était voluptueux et agréable à visiter avec un sexe bien érigé. Shykarka se régalait à la voir pomper sa verge divine, et elle gardait toujours une main sur sa tête tout en l’encourageant. Une telle fellation était digne d’une déesse.

« Ooohhh... ooouuuiii... je sens que... hhhmmm... ça vient... AAAHHH ! »

La dragonne finit par avoir un orgasme, et son sperme juta dans la gorge de la femme viking. Elle savoura chaque seconde de sa merveilleuse éjaculation, qui dura bien vingt secondes, avant de sortir lentement sa trique de la bouche de son amante et de se détendre, bien installée sur ses coussins.

« Ouah... y’a pas à dire... t’es douée. Maintenant... je vais m’occuper un peu de ta fille. »

Après deux minutes de détente pour retrouver complètement son énergie, la déesse se leva et alla se mettre dans le dos d’Edda et d’Alice, occupées à lécher la verge d’Eirik. Elle posa une main sur le cul de chaque demoiselle et les palpa allègrement.

« Ne faites pas attention à moi les filles. Je veux juste... hhhmmm... savourer un peu... vos jolis derrières. Continuez de lécher Eirik. »

Shykarka n’allait pas les pénétrer tout de suite, elle ne voulait pas empêcher le père de famille de profiter de sa petite gâterie, mais elle s’amusa quand même à exciter les deux jeunes femmes en leur caressant les fesses et en frottant sa verge encore humide contre leurs orifices d’entrée.

Shykarka était en train de réaliser à quel point Gunnhild était talentueuse. Ce n’était sûrement pas Eirik qui prétendrait le contraire ! Ici, dans le royaume de Lust, le couple incestueux n’avait fait qu’améliorer leurs techniques. Le temps étant figé, ils avaient mis des siècles à former Edda, et leur fille était désormais la digne héritière de Gunnhild. Dans ce monde magique, ils avaient reconstitué leur jarl. Après le monstre tentaculaire, Shykarka découvrait une autre partie de ce monde abstrait, de quoi, sans doute, lui donner encore plus envie d’apprécier Lust et son pouvoir. Celle-ci n’était pas une puissante Déesse mijakienne pour rien ! Shykarka continuait à se faire pomper par la bouche suave et chaleureuse de Gunnhild, et finit par jouir en elle. Une jouissance bien compréhensible, un plaisir intense et exquis qui déferla en elle. Shykarka se relâcha copieusement, mais, encore une fois, la magie rose omniprésente de Lust fit de nouveau son petit effet, redorant les batteries de Shykarka, remplissant de nouveau sa soif de sexe.

Gunnhild, quant à elle, toussota légèrement. Agenouillée sur le sol, elle avala le sperme de la Déesse, et sourit ensuite à cette dernière.

« Votre sperme est aussi bon que celui de la Déesse Lust, Déesse Shykarka, c’est un vrai régal ! »

Elle était sincèrement ravie, de quoi ravir Shykarka, qui se rapprocha ensuite du trio. La belle verge d’Eirik se dressait entre les doucereux visages d’Edda et d’Alice. Vu comme ça, elles semblaient très proches, presque comme deux sœurs, si ce n’est qu’Edda avait un visage un peu plus austère que celui d’Alice, un peu plus marqué par sa nature de guerrière. Elles sursautèrent toutes les deux quand Shykarka les rejoignit, et pinça leurs fesses. Alice se pinça les lèvres en tournant la tête vers la Déesse.

« Dé-Déesse Shykarka… !
-  Hmmm… ! »

Une Déesse draconique forte et puissante comme Shykarka ne pouvait que plaire à la jeune femme. Mais Shykarka ne voulait pas les interrompre, et Eirik sourit alors, venant pincer les cheveux des belles.

« Vous avez entendu la Déesse ? Allez, mes chéries ! »

Alice hocha la tête, et retourna lécher la queue d’Eirik, pendant qu’Edda retournait la sucer. En réalité, le jarl était ravi de voir que sa fille et Alice s’entendaient bien. Qui sait ? Peut-être qu’Alice pourrait revenir les voir ? Mais Eirik était aussi tenté par l’idée de demander à Lust l’autorisation de pouvoir amener Edda à sortir de ce monde érotique, même s’il ignorait si cela était possible. De son côté, Alice soupirait longuement, très excitée en sentant la verge épaisse de Shykarka. Ce mandrin tendu contre elle était là pour lui dire une chose…

…Elles étaient encore loin d’en avoir fini ensemble !

Après avoir bien profité de Gunnhild, Shykarka commença à s’intéresser à sa fille, Edda. Mais comme elle ne voulait pas retirer à Eirik le plaisir d’avoir deux belles bouches de jeunes filles en chaleur sur sa verge, elle les laissa continuer tranquillement en palpant leurs culs moelleux et en y frottant sa verge tendue. Elle avait déjà envie de les baiser sauvagement, mais elle se retenait pour les laisser se concentrer pleinement sur le membre qu’elles léchaient. Cela l’excitait de les regarder faire.

« Aaahhh... oui les filles... occupez-vous de ce membre. »

Rien qu’en voyant la façon dont Alice léchait et dont Edda suçait, ainsi que l’expression de plaisir sur le visage d’Eirik, Shykarka comprenait qu’elle avait affaire à deux fabuleuses amantes. Elle avait déjà été témoin des talents de la princesse, mais il lui restait encore à voir ce que la fille viking savait faire.

La déesse fit de son mieux pour rester sage pendant que les filles s’occupaient de la queue du mâle viking, mais elle ne pouvait pas non plus se retenir éternellement. La magie rose qui flottait dans l’air l’excitait furieusement et rendait Eirik plus endurant, ce qui ne faisait que la frustrer un peu plus chaque seconde. Elle regardait ces bouches gourmandes, ces hanches généreuses et ces fessiers rebondis, et elle se sentait de plus en plus chaude.

« Ooohhh... »

Dans un élan d’excitation, elle envoya une claque sur le cul d’Edda, qui sursauta en couinant.

« Ça suffit... je ne peux plus attendre. Edda... aaahhh... viens me sucer tout de suite ! »

Son père ne se retrouvait pas sans rien, il lui restait encore Alice. La déesse était tellement assoiffée qu’elle ne s’en voulait absolument pas d’enlever la fille aux bras de son père en usant de son autorité divine. Ce n’était pas comme si elle violait Edda après tout. La demoiselle fut plus que ravie de venir lécher et embrasser le membre turgescent de la dragonne, qui soupira d’aise en sentant le contact de ses lèvres et de sa langue.

« Hhhmmm... »

La jeune viking ne s’embarrassa pas de préliminaires, elle se mit tout de suite à prendre le vit de Shykarka en gorge profonde, avec un talent presque égal à celui de sa mère.

« Aaahhh... ooouuuiii... c’est ça que je veux ! Pompe-moi... ooohhh ! »

La dragonne posa une main sur la tête de son amante et appuya dessus pour être sûre qu’elle mettrait bien son vit aussi profondément que possible dans sa gorge. Elle avait beau être jeune, elle avait déjà une certaine expertise.

Le spectacle qui s’offrait à la Déesse était irrésistible. Un spectacle de tentation et de stupre, celui où deux femmes ayant chacun un corps magnifique léchaient et suçaient une verge royale et puissante. Eirik caressait régulièrement leurs cheveux, appuyant dessus, et soupirait encore, ses muscles saillants luisant devant Shykarka. La verge divine se redressa lentement, et Shykarka se rapprocha progressivement. Plusieurs minutes passèrent donc. Elles ne cherchaient pas à le faire jouir, juste à… À profiter. Alice adorait cette sensation chaude et creuse qui se nouait dans son estomac. Le désir croissait régulièrement en elle, et elle sentait cet appel pour le sexe, comme une sorte de force récurrente qui noyait ses inhibitions, accroissait son taux d’adrénaline et de dopamine. Elle aimait ça, elle aimait cette sensation vertigineuse, ce plaisir névralgique qui remontait en elle, qui lui permettait de faire l’amour en public sans crainte, qui faisait qu’elle avait toujours envie de sexe, sans se lasser. C’était là le pouvoir du Monde Érotique de Lust, un pouvoir salvateur qui s’emparait de tout le monde.

Shykarka ne put résister longtemps, et finit par proposer à Edda de venir, en se rapprochant du trio. Eirik relâcha alors la tête d’Edda, qui déglutit doucement en se retournant. Elle se mit dos à Alice, et, en s’agenouillant à son tour, pouvait sentir, contre ses fesses, celles de sa « sœur ». Edda frémit en reniflant la belle queue de Shykarka. Elle avait déjà eu l’occasion de sucer la verge de Lust, et s’attaquer à une Déesse ne pouvait que l’exciter.

« Oh, ma Déesse… ! »

Edda avala rapidement la verge de Shykarka, optant pour une gorge profonde, et sentit la main de Shykarka se crisper sur sa tête. Elle gémit doucement, et se tortilla sur place, remuant un peu, sentant ses pieds contre ceux d’Alice, et se déplaça encore. La jeune Princesse sylvandine en fit de même, de manière à ce que ses fesses heurtent la sienne. Alice soupirait également, sous le regard ravi d’Eirik. Le jarl observait cette scène en serrant également les cheveux d’Alice, qui devait également se lancer dans une gorge profonde. Pendant ce temps, les deux blondes s’amusaient à bomber leur corps vers l’arrière, afin que leurs fesses se frottent l’une à l’autre.

« Hmmmm…
-  Mmmmmh… »

Les deux femmes soupiraient langoureusement, et Eirik grogna encore, observant avec envie le corps parfait d’Edda. Sa fille pompait la puissante queue de Shykarka, aspirant l’air entre ses lèvres, s’attaquant à son dard. C’était quelque chose de délicieux, tout simplement. Edda ne pouvait qu’adorer ça, tout comme Alice, qui frissonnait sur place, tout en se demandant qui, de la Déesse ou du jarl, allait jouir le premier…

Shykarka savourait à nouveau le délicieux plaisir d’une fellation. Edda, la fille de Gunnhild, avait choisi de se lancer directement dans une gorge profonde, de quoi bien exciter la déesse, qui couinait comme une folle en sentant sa queue dans cette jolie bouche.

« Aaaggghhh... ooouuuiii... c’est ça que j’aime. Rien ne vaut... ooohhh... une bonne suceuse. »

Et la jeune viking n’était pas seulement douée avec sa bouche. Shykarka la regarda bouger, changer doucement de position jusqu’à se retrouver avec les fesses collées contre celles d’Alice. Les deux blondes s’amusèrent ensuite à bomber leur corps vers l’arrière, offrant un spectacle qui attirait les regards de leurs amants membrés.

Tant de puissance... de fougue... de sex-appeal... cette fille est une vraie merveille.

Par certains aspects, la dragonne la préférait même à sa mère. Les deux femmes auraient sans doute fait de bonnes servantes pour elle à Rosteria. Encore une raison d’accepter que le culte de Lust s’implante chez elle.

« Edda... aaahhh... continue comme ça... »

La déesse n’avait même pas besoin d’appuyer sur sa tête pour lui faire avaler sa queue profondément, la demoiselle le faisait de base. Tout ce qu’elle avait à faire de son côté, c’était de rester bien en place et de savourer pleinement son plaisir. Ses mains se posèrent sur sa poitrine, qu’elle se mit à caresser pour se donner encore plus de plaisir. Chaque seconde qu’elle passait à se faire sucer était un enchantement, et grâce à la magie qui baignait ce lieu, ce plaisir dura pendant longtemps.

Eirik fut le premier à jouir. Sa semence se déversa dans la bouche d’Alice tandis que ses mains fortes de viking se pressaient contre sa tête. Après ça, il fallut encore plusieurs minutes avant que ce soit Shykarka qui atteigne l’orgasme.

« Hhhmmm... oui... OOOUUUIII ! »

Les doigts crispés sur ses seins, elle cracha son sperme juteux dans la bouche gourmande d’Edda, qui avala tout comme une bonne fille. Après ça, la déesse se retira et regarda Eirik.

« Mon cher Eirik... hhhmmm... je crois que ces gentilles filles... méritent qu’on les récompense... pour leur talent. »

Shykarka fit signe à son amante de se tourner, et Eirik en fit de même avec Alice. Les deux nouvelles sœurs se retrouvèrent face à face, toujours à quatre pattes, et la dragonne envoya une bonne claque sur le cul de la jeune viking.

« Hhhmmm... ça c’est un beau petit cul. J’ai hâte de voir ce qu’il deviendra... quand tu seras plus grande. »

Vieillissait-elle encore dans cette dimension ? En tout cas, la dragonne pensait que son corps pourrait encore se développer jusqu’à devenir aussi pulpeux et envoûtant que celui de sa mère. Elle palpa ses jolies fesses, y mit quelques claques, et frotta sa trique contre sa croupe.

« Alors... dans quel trou tu le veux ? »

Shykarka ne serait sûrement pas déçue par Edda ! La fille des Vikings était très talentueuse, et pompait avec amour le dard de la dragonne. Shykarka ne pouvait que subir cette magnifique gorge profonde, et Edda adorait ça. Elle suçait une Déesse, après tout ! Y avait-il quelque chose de plus excitant ? Mis à part faire l’amour avec Alice, bien sûr ! Mais, là, Edda ne pouvait que savourer. Elle léchait cette belle sucette de chair, inspirant l’air entre ses lèvres, remuant d’avant en arrière, sentant les puissantes mains de Shykarka se crisper sur ses cheveux. Elle gémissait encore, se tortillant sur place, sentant, dans son dos, le frottement des fesses d’Alice. Eirik grognait également, sa queue stimulée par la bouche d’Alice. Baissant les yeux, il voyait que celle-ci n’hésitait pas à le regarder, comme pour le défier, ou comme pour s’assurer qu’il aimait ça. En réalité, Eirik bandait furieusement, et sa main se crispait sur les cheveux de la jeune femme.

Quant à Alice, elle aimait vraiment ce membre. Elle remuait également en arrière, s’amusant à frotter ses fesses contre celles d’Edda. Elle sentait une démangeaison progressive dans cette zone, quelque chose qui la stimulait fortement. Alice avait envie de sentir un membre en elle, précisément dans cette zone. Ici, dans le Monde Érotique de Lust, la chasteté n’était jamais de mise, car l’atmosphère de sexe ambiante stimulait fortement les personnes présentes.

« Hmmm… »

Eirik la regardait donc, et serra ses cheveux dans le creux de sa main, commençant à remuer d’avant en arrière. Alice put ainsi sentir sa queue taper contre le fond de sa bouche. La jeune femme déglutit encore, et, peu à peu, ce fut Eirik qui agit, Eirik qui la baisait, qui la prenait avec appétit. Elle soupira encore, et sentit soudain le Viking jouir abondamment. Ce traitement avait duré une bonne dizaine de minutes, et Alice se masturbait pendant tout ce temps. Elle enfonçait deux doigts dans sa chatte, et atteignit l’orgasme en sentant le sperme éclater en elle. Toute chaude, elle frémissait sur place en se vidant, et eut un magnifique orgasme. Son corps se relâcha, contractant un long orgasme.

Shykarka jouit également, et les deux blondes se retrouvèrent avec les bouches pleines de foutre. Edda se retourna alors vers Alice, et, sous le regard des deux amants, elles s’embrassèrent alors langoureusement, chacune échangeant le sperme de l’autre en fourrant leurs langues. Elles se frottèrent tendrement, leurs seins rebondissant entre eux, leurs corps en sueur remuant encore.

« Hmmm…
-  Hnnnn… ! »

La main d’Alice serrait les cheveux d’Edda, et la Viking en faisait de même avec elle. Une vue exquise pour Eirik, qui vit la main d’Edda descendre le long du dos de la femme, palpant et pressant ses fesses. Elles continuèrent ainsi à s’embrasser, jusqu’à ce que leurs bouches soient vides. Ensuite, les deux femmes se frottèrent encore l’une contre l’autre, Alice l’embrassant dans le creux du cou. Shykarka en profita alors pour donner quelques instructions à Eirik, qui sourit à son tour, caressant d’une main les cheveux d’Edda.

Alice se mit donc à quatre pattes, et frémit en sentant la queue d’Eirik. Edda se positionna devant elle, et lui sourit alors, leurs nez se caressant mutuellement. Shykarka gifla alors le cul d’Edda, et Eirik fit de même. Sa poigne était ferme, puissante, et arracha à Alice un cri de douleur et de plaisir. Gunnhild interrompit alors le quatuor en s’agenouillant à côté des deux femmes.

« Attendez… Je veux que mes deux filles s’embrassent pendant toute la durée, et, pour m’en assurer… »

Gunnhild attacha les colliers autour de leurs cous, et les amena à s’embrasser… Puis elle déplaça ses mains, et attacha une laisse rétractable aux deux colliers, qu’elle rétracta alors le plus possible, tout en serrant les colliers. Alice constata alors qu’elle ne pouvait plus bouger la tête, ne pouvant qu’embrasser Edda. Un long et intense baiser, où elle sentit ensuite les doigts d’Edda glisser contre les siens. Elle titilla ses doigts, et Eirik gifla encore Alice.

La Déesse cherchait quel trou mettre, et Gunnhild sourit alors.

« Je les ai bien observés… Elles n’ont cessé de frotter leurs culs ensemble en tremblant. Nous avons élevé deux belles sodomites, et c’est tout ce qu’elles demandent, ma Déesse, mon amour… Que vous les enculiez bien forts ! »

Shykarka avait bien fait comprendre à Edda qu’elle n’allait pas échapper à une bonne baise, mais elle lui laissait quand même le choix de l’entrée qu’elle allait remplir en premier. Mais Gunnhild vint alors interrompre le quatuor et s’agenouilla à côté des deux jeunes femmes pour ajouter un peu de piment à cette situation déjà très excitante. Afin d’être sûre que les ’’sœurs’’ s’embrassent sans interruption pendant qu’elles seraient prises en levrette, leur mère leur attacha un collier autour du cou, puis elle mit une laisse rétractable aux deux colliers, qu’elle rétrécit jusqu’à que ces les demoiselles n’aient d’autre choix que de s’embrasser, sans possibilité de décoller leurs lèvres ou de tourner la tête.

« Ooohhh... très bonne idée Gunnhild. Ca va rendre les choses... hhhmmm... plus excitantes. »

La dragonne palpait allègrement le petit cul d’Edda, frottant sa trique contre ses deux entrées possibles. Gunnhild lui dit que ses filles étaient de belles sodomites, et qu’elles ne demandaient qu’à se faire allègrement enculer.

« Aaahhh... tu as sans doute raison. »

La déesse utilisa sa main pour guider sa verge jusqu’à l’entrée de l’anus d’Edda, qui parvenait à couiner malgré le fait qu’elle avait la bouche collée contre celle de sa ’’sœur’’.

« Ooouuuiii... ça semble être un très joli cul. Je suis sûre que mon chibre divin... hhhmmm... y sera très à l’aise. »

De toute façon, Edda ne pouvait plus parler, alors c’était à Shykarka de choisir quel trou elle voulait remplir en premier. Et elle enfonça sa trique dans sa rondelle, avançant progressivement jusqu’à taper dans le fond.

« Aaaggghhh... ooouuuiii... j’avais raison... c’est parfait. »

Elle n’eut pas trop de mal à s’enfoncer à travers les parois anales de son amante, qui semblait ravie de se faire prendre par là à la façon dont elle remuait ses délicieuses fesses rebondies contre le bassin de la dragonne, qui y mit quelques claques en réponse.

« Et toi aussi... aaahhh... tu es contente. Ta mère a raison... ooohhh... tu es une belle sodomite. Alors accroche toi bien... parce que tu vas avoir droit... à une sodomie divine ! »

Shykarka empoigna fermement les hanches d’Edda et commença à la bourrer, allant et venant vigoureusement dans son petit cul. De temps en temps, elle lui mettait une claque sur les fesses pour la garder en alerte.

« Hhhmmm... ooouuuiii... quel pied ! »

Et en plus de se faire plaisir en lui dilatant la rondelle à grands coups de pilon, la dragonne s’amusait en regardant Alice, qui se faisait elle aussi prendre énergiquement par Eirik, le mâle viking, dont la force et la vigueur se voyaient rien qu’à l’expression que la princesse avait sur le visage. Si elles n’avaient pas la bouche collée l’une contre l’autre, la déesse leur aurait demandé de jurer comme des petites salopes pendant qu’elles se faisaient sodomiser.

Pourtant, malgré son plaisir, Shykarka en voulait encore.

« Aaahhh... Gunnhild... approche. »

Une fois la femme viking à portée, elle posa une main à l’arrière de sa tête et l’amena vers elle pour l’embrasser. Sa langue se mit vite à s’agiter, entraînant la sienne dans le rythme. Entre la mère et la fille, elle avait de quoi être comblée.

C’était sans doute l’acte final de la famille viking. Plus Shykarka séjournait dans le Monde de Lust, et plus elle découvrait des créatures fascinantes ! Shykarka était très endurante, et découvrait sans cesse de nouveaux spécimens fascinants. Il y avait eu le Monstre tentaculaire, le dragon, et, maintenant, cette superbe famille. Alice sentit une grosse claque s’abattre furieusement sur son cul, qui la fit gémir encore. Ses doigts se crispèrent sur ceux d’Edda, mais elle était incapable de s’écarter. Elles étaient toutes les deux condamnées à s’embrasser, et Alice frémissait donc, sentant la bouche d’Edda, sa langue qui jouait en elle… Mais, régulièrement, Shykarka et Eirik s’enfonçaient fortement en elles. La tête d’Edda s’écrasait alors contre la sienne, ou réciproquement. Alice essayait de ne surtout pas mordiller la langue d’Edda, mordillant en revanche ses lèvres à plusieurs reprises, tout comme Edda. Oui, oui, Edda aurait vraiment pu être sa sœur, une sœur plus fougueuse, plus aventureuse, avec qui Alice entretiendrait une bonne et fascinante relation. L’image était très plaisante, et elle gémit encore quand Eirik la frappa.

Shykarka s’y donnait également à cœur joie, constatant que le petit cul d’Edda était bien rembourré, et très agréable. Ce devait être un pur régal que de s’y enfoncer ainsi ! La Déesse draconique soupirait encore, crispant ses mains sur les hanches de sa proie, avant d’ordonner à Gunnhild de la rejoindre. La mère de cette famille incestueuse et perverse obtempéra bien rapidement, venant rejoindre cette puissante femme, et partagea avec elle un nouveau baiser.

« Hmmm…
-  Putain, ce que j’aime t’entendre couiner… Couine encore, Princesse !
-  MMMHMMM… !! » fit-elle quand il la gifla à nouveau.

Eirik avait des mains très dures, très fortes, viriles et puissantes. Des mains habituées à manipuler des épées, des haches, des armes lourdes… Ces mains puissantes s’abattirent sur son corps, pétrissant et frappant encore sa croupe. Edda se tortillait également, et Gunnhild alla l’embrasser longuement. Sa bouche se colla à celle de Shykarka, et elle continua à se frotter contre elle. L’une de ses mains se déplaça pour palper l’un des seins de Shykarka, et elle joua avec, tirant sur le téton.

« Que de force, que d’énergie… Vous êtes… Incroyable, Déesse !
-  Hmmm… Ouais, je comprends mieux pourquoi la Déesse Lust avait tant envie de vous voir, Déesse Shykarka ! »

Le Viking soupira encore, et continua à la pénétrer, tout comme Edda sentant la verge de Shykarka la pilonner furieusement par l’arrière. Pour le dire simplement, le tableau formé par toutes ces personnes était magnifique !

Plus Shykarka restait dans le monde de Lust, plus elle découvrait de choses merveilleuses. D’abord, il y avait eu les tentacules, puis le dragon, et maintenant cette famille de vikings. Après avoir bien profité du corps de la mère, elle s’attaquait à présent à la fille en lui défonçant son délicieux et moelleux petit cul rebondi avec sa verge de déesse. Et pendant qu’elle faisait ça, elle partageait un baiser langoureux avec Gunnhild, qui s’amusait avec sa poitrine. On louait sa force, son énergie, sa vigueur... elle se sentait vraiment adulée.

« Aaahhh... merci à vous. Mais vous aussi... hhhmmm... vous êtes très énergiques. »

La dragonne pilonnait le fondement d’Edda à grands coups de butoir, se régalant autant de la sensation de sa queue piégée dans ce tunnel si étroit que de son petit cul moelleux, ainsi que de la voir jouer avec Alice pendant qu’elles se faisaient prendre ensemble. Les sœurs étaient collées l’une à l’autre grâce au collier qu’elles avaient autour du cou, impossible pour elles de faire autre chose que de s’embrasser pendant que leurs amants leur offraient une belle sodomie.

« Aaaggghhh... Edda... si tu pouvais encore parler... hhhmmm... je te ferais crier moi ! »

Shykarka multipliait les fessées tout en augmentant l’intensité de ses va-et-vient. Elle s’était bien échauffée, maintenant elle voulait jouir et répandre son foutre dans le corps d’Edda. Devant une puissance comme la sienne, le corps de la jeune femme était balloté d’avant en arrière au rythme des pénétrations. La magie rose embaumait la pièce, le plaisir était si puissant qu’on aurait pu le saisir entre ses doigts. Tout le corps de la dragonne était en feu, elle aurait pu rester dans cet état pendant des heures sans s’en lasser, mais finalement, sa pénétration énergique finit par la mener à l’orgasme.

« Ooohhh... OOOUUUIII !!! »

La déesse attrapa fermement les hanches de son amante et poussa son sexe aussi profondément que possible dans son cul avant de sentir son sperme juter. Son éjaculation dura presque trente secondes avant que la tension ne retombe dans tout son corps. Elle sortit son sexe de ce fondement chaud et dilaté et donna une dernière claque sur le cul à son amante avant d’aller s’installer contre des coussins.

« Aahh... c’était parfait. Je fais une petite pause... et je reviens m’occuper d’Alice. »

La dragonne avait encore de l’énergie à revendre, elle n’avait pas vraiment besoin de faire une pause, mais elle voulait en profiter pour se faire un peu choyer par ses amantes.

« Eh les filles... est-ce que l’une de vous sait faire les massages ? Je sens que j’ai les épaules un peu... engourdies. »

C’était l’un des petits plaisirs auquel avait droit une déesse de la part des mortels. Il y avait fort à parier que Lust faisait souvent ce genre de choses elle aussi.

Shykarka participait à la dernière séance, particulièrement intense. Le choix d’amener Edda et Alice à s’embrasser était bon, mais posait aussi un problème manifeste… Elles ne pouvaient pas hurler ! On les entendait gémir, on les sentait se tortiller, on pouvait même les voir mouiller, tout en couinant fortement, mais… Pas de hurlement ! En tout cas, Eirik n’avait nullement besoin d’aide pour forniquer avec Alice. Quand il avait rencontré la jeune femme pour la première fois ici, elle avait été conduite par le clan Magoa, et Eirik l’avait prise contre le mur. Elle ressemblait tellement à sa fille qu’il n’avait pu que lui faire l’amour. Ici, dans le Monde Érotique, les relations amoureuses étaient sexuelles, car les pulsions étaient totalement désinhibées. Eirik lui avait donc fait l’amour avec passion, avec énergie et force.

« Hmmm… !! »

Il la gifla encore, claquant son délicieux cul. Chaque fois que la Princesse revenait, Eirik se débrouillait pour la retrouver, et pour la ramener dans leur jarl. Edda adorait l’avoir comme partenaire. Si frêle en apparence, elle était aussi très forte, très endurante, et, sexuellement, il fallait bien admettre qu’elle était irrésistible ! Et voilà en plus qu’elle leur ramenait une Déesse ! Eirik tremblait sur place, grognant lentement. Si bon, c’était si bon, bordel !

De son côté, Edda se tortillait également sur place, sentant l’impériale verge de Shykarka s’enfoncer en elle. Gunnhild n’hésitait pas à l’embrasser férocement, et descendit sa main. Elle caressa la base de la verge de la Déesse, puis palpa aussi ses fesses, frémissant pendant ce temps contre le corps de sa partenaire. Elle palpait le beau cul de sa partenaire, et, pendant ce temps, le sexe poursuivait, intense, délicieux, onctueux !

« Hnnn… !! »

Le quadruple orgasme finit ainsi par venir, laissant les amants pantois. Alice sentit la verge d’Eirik se décharger violemment et puissamment dans son cul, s’abandonnant longuement en elle. Il se calma ensuite progressivement, reprenant ses esprits, tout comme Alice et Edda. Gunnhild les libéra enfin, et Alice soupira longuement, le corps en sueur, les cheveux en bataille. Gunnhild les embrassa ensuite tendrement, l’une après l’autre, et les deux jeunes femmes se relevèrent ensuite, venant se lover contre le corps de Gunnhild. Il ne fallait pas être voyant pour comprendre qu’ils avaient toujours désiré offrir une sœur à Edda, ce qui n’avait pas été possible.

Alice soupirait longuement contre ce corps chaud et voluptueux, tandis que, de son côté, Shykarka réclama un massage.

« Hmmm…
-  Vous devriez vous rendre au salon de massage, Déesse… Les Vikings ne sont pas forcément réputés pour leur douceur. »

La tête blonde sourit lentement. Le salon de massage était un salon asiatique très sensuel, ce qui les amènerait à ressortir du temple… Mais, après tout, rien ne pressait. Alice se frotta encore contre le sein de sa partenaire, et se décolla alors de son corps.

« Tu veux que je t’y conduise ? Ou tu préfères qu’Eirik te conduise ? »

Shykarka avait demandé un massage, mais la famille viking ne se pensait pas capable d’en faire un à la hauteur d’une déesse. A la place, ils lui suggérèrent de se rendre dans le salon de massage qui se trouvait près du temple.

« Il y a un salon de massage en ville ? Parfait. »

Entretemps, Alice était venu se blottir contre son corps, frottant son visage contre sa poitrine, et lui demanda si elle voulait qu’elle l’accompagne, ou si elle préférait être escortée par Eirik. La réponse fut évidente pour elle.

« Tu as entendu ce que j’ai dit tout à l’heure ? Après mon massage, je m’occuperai de toi. Alors tu vas m’accompagner. Ce sera plus simple. »

Et de toute façon, elle venait de passer les dernières heures avec la famille viking et leur dragon de compagnie. Maintenant, elle avait envie d’être à nouveau avec la princesse.

« Eirik, Gunnhild, Edda, merci pour votre chaleureux accueil. Si mon accord avec Lust se conclut et qu’un temple est construit sur mon île, je reviendrai vous voir. Vous et... Runnhild bien sûr. »

Shykarka quitta l’alcôve avec la princesse de Sylvandell au bras. Tandis qu’elles se rendaient au salon de massage, la dragonne regardait partout autour d’elle, admirant l’architecture du temple et sa décoration. Elle voyait des évocations de la tentation et du plaisir charnel dans tous les recoins. Fresques, peintures, statues... tout était un rappel à la luxure. Quoi de plus normal pour un temple de Lust d’un autre côté.

« Dis-moi Alice, toi qui est déjà venu ici... que penses-tu du culte de Lust ? Quel genre de personnes sont les fidèles de la déesse ? Je ne voudrais pas lui ouvrir les portes de mon île et que ses adeptes finissent par m’éclipser totalement. »

La dragonne savait que la vénération des habitants de Rosteria à son égard était trop forte pour être détruite facilement, mais le monde de Lust offrait tant de tentations. Même elle s’y était abandonnée. Et le culte de Lust avait bien plus de fidèles que le sien. Seraient-ils capables de convertir tous les habitants de son île jusqu’à ce qu’elle devienne une déesse sans adorateur ?

Shykarka et Alice sortirent du temple et marchèrent ensemble jusqu’au salon de massage. C’était un salon dans un style typiquement asiatique, et dès que la dragonne passa la porte d’entrée, elle sentit ses écailles frémir. Les lumières, les odeurs, les sons... l’ambiance générale du salon dégageait une sensualité redoutable.

« Ouah... tu le sens toi aussi ? Cet endroit... mmmhhh... me donne des envies. »

La dragonne posa une main sur le cul moelleux de la jeune femme, et le pressa avec délice. Elle était prête à lui sauter dessus, mais une très belle femme en petite tenue vint les accueillir.

« Bonjour déesse Shykarka. Soyez la bienvenue dans notre salon de massage. »

« Vous savez qui je suis ? »

« Évidemment. La déesse Lust nous a tous prévenus de votre venue dans ce monde, et nous a dit que nous devions combler tous vos désirs. Je suppose que vous êtes venue ici pour vous faire masser ? »

« En effet. »

« Très bien. Mais avant de commencer, il faut que vous sachiez qu’un massage ici est plus qu’un bon moyen de se détendre. C’est une expérience sensuelle qui peut être extrêmement intense. Certaines personnes ont juré fidélité éternelle à Lust après avoir passé seulement quelques minutes ici. Ça pourrait vous marquer à vie. »

« Mais j’espère bien. Je veux tout découvrir du monde de Lust. Et de toute façon, j’ai envie d’un massage. »

« Soit. De toute façon, je suis sûre qu’une déesse aussi belle et puissante que vous saura apprécier au mieux ce que nous proposons. Si vous voulez bien me suivre. »

Shykarka tourna la tête en direction d’Alice.

« Qu’en dis-tu ma belle princesse ? Tu veux m’accompagner ou tu m’attends ici ? »