The Multiversity

Theorem n’avait guère besoin de préparations supplémentaires, ni qu’on tourne autour du pot. Il devait passer sa vie avec un plug anal niché dans les fesses, et revenait d’une lourde sodomie avec Bran. En s’enfonçant en lui, Mélinda le sentit rapidement. Son cul était encore un peu liquide, ses parois contenant encore des dépôts du foutre de son frère, et il était, de plus, très dilaté. S’y enfoncer fut donc un régal, et Mélinda alla ainsi épancher sa soif sexuelle, cette énergie vigoureuse qui résultait de sa ponction sanguine sur Ishtar. Au diable cette fatigue qu’elle avait ressenti, elle se sentait maintenant regonflée à bloc, prête à faire un nouveau marathon sexuel.

Le latex crissait donc, tandis qu’elle remuait en lui. Difficile de dire combien de fois Theorem avait été sodomisé depuis que Mélinda avait entamé sa visite de Nachtheim, mais, à chaque fois, elle retrouvait ce même plaisir, inné, presque sacré. La sodomie, pour elle, était vraiment une sensation merveilleuse. Cette sensation de domination qui s’exerçait à l’idée de défoncer le cul de quelqu’un (a fortiori d’un homme, fût-il aussi soumis que Theorem), ce mélange exquis et unique de douleur et de plaisir, le tout dans une intensité terrible… Oui, oui, c’était dantesque ! Elle prenait son pied, couinant et soupirant, griffant et pinçant le petit cul qui s’offrait à elle, le ponctuant de plusieurs gifles bien senties.

Et, pendant ce temps, spectateur silencieux, Bran observait sa petite sœur et Maîtresse, avant de tourner la tête vers Ishtar. Torse nu, Bran portait toujours la tenue qu’Ishtar lui avait donné. On pouvait ainsi voir son sexe, à l’air libre. Il n’était plus érigé comme il l’avait été auparavant en pénétrant Theorem, mais le simple fait de voir sa sœur faire l’amour semblait relancer en lui une certaine vigueur. Ishtar, elle, entreprit de le récompenser chaleureusement pour le travail accompli avec Theorem.

« Je vous en remercie, Madame, je n’ai fait que ce que ma Maîtresse et vous attendiez de moi. »

Aussi puissant et dominateur puisse-il être, Bran restait avant tout l’esclave de Mélinda. Ishtar proposa de le récompenser personnellement, ce qui, pour lui, signifiait juste de trouver le meilleur moyen possible de récompenser Mélinda. Toutefois, avant d’aborder cette question, elle écarta ses bandes de latex, dévoilant ainsi son opulente poitrine. Bran la regarda silencieusement, et, malgré ce calme olympique qui était en lui, son sang s’accéléra légèrement, et sa queue se redressa un peu. En son for intérieur, il n’y avait aucun blocage à coucher avec Ishtar, car il savait d’emblée que sa Maîtresse apprécierait cela.

« Ils sont… Ils sont magnifiques, Dame Ishtar… »

Bran se pencha vers eux. Son sexe alla caresser les jambes et les cuisses de la femme, puis chacune de ses mains alla ensuite pétrir les seins d’Ishtar. La poigne de Bran était plus assurée que celle de Mélinda, ses doigts plus solides, mais il savait où aller pour prodiguer du plaisir, et pinça rapidement les tétons de la femme, faisant preuve d’une grande expertise. Sa bouche s’approcha ensuite de l’un d’eux, et il le lécha, à hauteur du téton, avant d’embrasser ce gros sein, ici et là, pour finir par mordiller le téton. Il le suça ensuite, creusant ses joues, tout en le léchant, le titillant rapidement avec sa langue, pour aller ensuite le mordre de nouveau. Pendant ce temps, sa main libre, celle qui n’était pas occupée à malaxer l’autre sein de la dragonne, alla caresser ses hanches, les griffant légèrement, tandis que la respiration de l’homme s’accentuait légèrement, et que sa virilité continuait à se presser contre le corps d’Ishtar.

Assis sur le rebord du lit, Bran suçotait et mordillait les seins d’Ishtar, qui était assise sur ses genoux. Il pouvait ainsi sentir la différence entre cette dragonne et sa sœur. Là où Mélinda était relativement fine et menue, elle, Ishtar, était lourde et imposante, massive et costaude. Sentir ce corps ne manquait toutefois pas d’exciter Bran, dont l’érection s’accrut, caressant le corps de la femme. Ishtar le laissa jouer avec ses seins pendant un certain temps, avant de se retourner en entendant Theorem se mettre à couiner et à hurler. D’habitude passif et effacé, voir le jeune homme se réveiller ne manquait pas de faire sourire, confirmant ainsi, aux yeux de Mélinda, son statut de jeune soumis, heureux d’être un sodomite. Ishtar, toute excitée, ordonna alors à Bran de se coucher sur le lit, ce que l’homme fit, pendant que Mélinda ordonna à Theorem d’avancer à quatre pattes, ne retirant pas sa verge de son cul, conformément à la volonté d’Ishtar.

« Hhhmmm… Allez, petite pute, déplace-toi ! »

Ses mains giflèrent le cul de Theorem, pour le forcer à avancer, Mélinda le suivant difficilement. Quand on avait sa queue dans le cul de quelqu’un, même un cul aussi utilisé comme celui de Theorem, mettre un pied devant l’autre n’était pas facile. Le couple arriva néanmoins sur le lit, où Ishtar prend ensuite le relais. Bran avait une nouvelle érection, et elle guida son sexe contre les fesses de Theorem. Mélinda, en comprenant ce qui se passait, se pinça les lèvres, et enfonça ses ongles dans le cul de Theorem, griffant ce dernier. La vampire avait déjà eu droit à une double pénétration anale avec deux hommes, et c’était un spectacle très intense, très épuisant… De plus, la queue de Bran était bien grosse, elle aussi, tapant contre celle de sa sœur, faisant frissonner Mélinda.

Elle sentit alors cette verge s’enfoncer peu à peu, jusqu’à ce que les deux verges soient ensemble, tapant l’une contre l’autre, ce qui provoquait des sensations absolument inouïes, uniques ! Le corps de Mélinda frémissait de toute part, tout comme celui de Bran, qui griffait également Theorem, prenant ce dernier par le cul. Ses mains soulevaient et abaissaient le corps de Theorem, en harmonie avec les mouvements de Mélinda, qui le prenaient également.

« Hmmmmm… !!
-  Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa… !! »

Remuant d’avant en arrière, Theorem n’était plus qu’une poupée sexuelle, et Ishtar paracheva le tableau en enfonçant sa grosse queue noire dans sa bouche.

« Ouuuiii, Ishtar, hmmm… »

Mélinda aimait frotter sa queue contre celle de son frère, et, en ce moment, elle prenait donc joyeusement son pied, mouillant sans souci, sa cyprine glissant sur le corps de Bran, qui avait droit à une vision superbe. Et, taquin, le vampire déplaça l’une de ses mains, venant masser le cul d’Ishtar, hésitant néanmoins à enfoncer un doigt dans son fondement.

Malgré sa grande soumission, Bran savait aussi, parfois, prendre des initiatives.

Mélinda était ravie, ravie de voir Ishtar si heureuse. Au-delà du plaisir sexuel immédiat qu’elle ressentait, et qui était très important, le sentiment de faire plaisir à sa puissante amie, de satisfaire ses fantasmes et ses désirs, flattait joyeusement son orgueil. La vampire sentait la queue de Bran caresser la sienne, tapant dessus, même si, du fait de sa position, c’était surtout elle qui donnait des coups de reins, et déplaçait ainsi le corps de Theorem, l’amenant à s’enfoncer contre la queue d’Ishtar. Mélinda griffait ses fesses, s’appuyant fermement dessus. Elle frissonnait à chaque fois que la queue de Bran heurtait la sienne, et Ishtar alla l’embrasser, se penchant vers elle, continuant à malmener Theorem, qui semblait disparaître au milieu des trois corps placés autour de lui. Le latex crissait, couinant délicieusement, et Mélinda sentait une véritable orgie sanguine.

Elle répondit avec plaisir au baiser d’Ishtar, mordillant ses lèvres, tirant dessus.

« Ouii... Hmmm... Haaaa... Hmmmm... Je ... Je suis tellement heureuse de te connaître, I-Ishtar, haaaaa... »

Silencieux, Bran enfonçait ses doigts dans le cul d’Ishtar, un anus qui, comme il pouvait s’y attendre, était très dilaté. Pour lui, l’idée n’était clairement pas d’humilier cette femme, ou de chercher à la soumettre, mais juste de lui faire plaisir. Il avait noté la grande passion de la femme pour tout ce qui avait trait à la sodomie, une passion commune entre Mélinda et elle. Une passion que Bran partageait, ne comptant plus le nombre de fois où sa sœur l’avait sodomisé, ou les fois où il avait pu la sodomiser. Pour Mélinda, c’était toujours agréable, surtout quand il y avait du latex.

Theorem jouit en premier, et Bran le sentit. À travers sa cage de chasteté, le sperme s’écoula, tombant sur son torse. Il fallait dire que le jeune homme était plutôt bien rempli, avec deux queues qui s’enfonçaient dans son cul. Les sensations que Theorem ressentait devaient être absolument fascinantes, inouïes.

« Hhhhmmmm... Haaaaa... !! »

Mélinda continuait à le prendre... Puis l’orgasme finit par éclater.

Massif et impressionnant, le double orgasme de Bran et de Mélinda éclata dans le cul de Theorem.

Parler affaire au milieu de toute cette orgie n’était pas très banal, et, quand Ishtar indiqua qu’il fallait reconstruire le port, l’améliorer, la vampire cligna des yeux à plusieurs reprises, sans trop savoir quoi dire. Ishtar venait de la prendre au dépourvu, mais elle soupira soudain en sentant Theorem s’attaquer à son sexe. Infatigable, après cette séance de baise intense, le petit soumis ne pouvait toujours pas se reposer, et entreprenait de nettoyer ses Maîtres. Pour Bran, être assis au même niveau que sa Maîtresse était perturbant, mais il s’y faisait, comprenant que sa prestation avait visiblement beaucoup plu à Ishtar. Étant la véritable dirigeante des lieux, Ishtar venait ainsi trôner entre le couple incestueux, les dominant par sa stature, ou encore par ses hautes ailes dragoniques. Belle et forte, imposante et costaude, elle urina ensuite dans la bouche de Theorem, se soulageant, comme si tout cela était profondément naturel, n’amenant même pas la moindre remarque de Mélinda.

Cette dernière se pinçait doucement les lèvres, le corps en sueur, reprenant doucement des forces. Tout en écoutant les ordres d’Ishtar, Bran regarda surtout Mélinda, qui hocha lentement la tête, acquiesçant à la demande de la femme.

« Considère que les demandes d’Ishtar, pour l’heure, ont la même valeur que les miennes. »

Bran acquiesça en retour. Mélinda sourit alors, puis se redressa, en caressant brièvement la tête de Theorem.

« Alors Ishtar... Discutons. Tu voulais me parler d’un agrandissement du port, c’est ça... ? »

Bran se faisait vraiment plaisir avec Theorem. Au-delà du fait de rendre honneur à sa Maîtresse, il était également très excitant de se taper ce petit homme. Le puissant guerrier qu’il avait jadis été n’était plus qu’un souvenir, une ombre lointaine. Rappeler à Theorem ce passé était un bon moyen de voir comment il réagirait. Acceptait-il vraiment sa nouvelle condition, ou y avait-il encore, en lui, au plus profond de son âme, un sursaut d’honneur, de virilité masculine ? La question eut rapidement sa réponse. Bran le maintenait, le serrant, ses puissants muscles s’abattant sur le dos de Theorem, son mandrin fermement planté dans son cul, le corps de Theorem rebondissant contre le lavabo. Un sourire victorieux traversa les lèvres du puissant Bran quand Theorem avoua ainsi être heureux de son sort, et être beau… Ce qui amusait donc Bran, qui lécha le cou de l’homme, le redressant un peu, maintenant sa verge plantée dans son cul, fermement nichée dedans.

« Haaa… Oui, Theorem, oui, tu es beau, hmm… Un amant parfait ! »

Parfait, c’était bien le mot qui convenait. La main de Bran caressa ses cheveux, et il le redressa, de telle sorte que Theorem était presque à la verticale, avant que, de sa main sur ses cheveux, il ne l’avance. La tête de Theorem alla heurter le miroir, facilitant ainsi les mouvements de Bran. Fort heureusement, le cul de Theorem, très souvent utilisé, se dilatait facilement, ce qui simplifiait énormément les mouvements à l’intérieur. Bran remuait donc en lui avec force, avec entrain et énergie, en maintenant sa tête pendant quelques instants.

Le vampire soupirait et grognait, son membre chaud s’enfouissant dans les entrailles du brave homme. Entendre les couinements et les soupirs de Theorem, c’était très excitant, très agréable, un régal auditif, et le vampire, en soupirant profondément, continuait encore à le prendre, avant de l’amener à tourner le visage.

« Pose ta main sur ma nuque, petite pute… »

Ainsi, Theorem pouvait se maintenir contre lui, et Bran caressa l’une de ses joues, tournant sa tête, et l’embrassa. Avec sa main, il caressait son torse nu.

« Une vraie peu de bébé, si douce, hum… Tu es rempli de sexe à ras-bord, Theorem, c’est… Hmmm… C’est magnifique, tu es magnifique… Haaaa… Chevalier, tu gâchais ton potentiel, mais là… Hmmm… Dieu, que j’aime ton petit cul ! »

S’y enfoncer, encore et encore, c’était un vrai régal, tout simplement.

Theorem était en transpiration malgré qu'il se soit habillé peu de temps avant. Sa qipao comme sa veste en cuir commençait déjà à devenir humides et à révéler son odeur sexuelle. Cela rendait Theorem d'autant plus hypnotique pour les sens de ceux ayant l'amour des odeurs sexuelles. Et alors qu'il se faisait prendre avec toute la virilité dont Bran était capable, Theorem gémissait contre lui en gémissant telle une fille. C'était trop bon. Il sentait ce sexe taper au fond de son rectum avec délectation, massant sa prostate avec soin. Doucement il embrassa avec joie cet homme, roulant sa langue avec la sienne en gémissant de plus belle. C'était si bon ! Doucement, il roula des hanches pour accepter d'avantage cette verge en lui avant de parler, rompant ce baiser temporairement.

"Haaah... Merci ! Merci ! Hmmm... Jouis dans ma bouche... S'il te plait... Dans ma bouche."

Doucement il se retira de cette grosse verge, la remplaçant avec son plug anal, avant de se mettre à genoux devant le beau vampire. Délicatement, il goba ce sexe tout juste sortit de son anus et commença à pomper avec soin, voulant de son sexe en lui. Tout en le suçant, le travestit gardait son regard planté dans les yeux de Bran, caressant son chaps en cuir tout en l'avalant. Les joues toutes rouges, il continua jusqu'à ce que Bran ne jouisse. Les yeux de Theorem s'ouvrirent en grand un moment quand il prit toute sa décharge de semence en lui avant d'avoir les yeux mi-clos, gobant ce gros sexe et ce qui en sortait en gémissant. On pouvait vite devenir accroc à ce fellations que le Haiena pratiquait. Une fois les spasmes de jouissance terminés, Theo ouvrit en grand la bouche pour montrer toute la crème de Bran. Puis il referma la bouche pour faire tourner sa langue avant qu'un "gulp" sonore ne témoigne qu'il avait tout avalé. Rouvrant la bouche, elle était vide. Un petit coup de langue sur le gland de Bran le nettoya de la dernière goutte avant qu'il ne relâche ce sexe avant d'y appliquer une bise amoureuse sur le sexe allant au repos.

"Tu as ton compte, mon chéri ? Ou tu en veux encore ?"

Enfonçant son membre dans son cul, Bran était comme au paradis. La sodomie, c’était sa colonne vertébrale du sexe, quelque chose de sacré chez les Warren. Pour autant, cette sodomie, malgré le fait que son membre soit profondément niché en Theorem, restait « douce ». Il avait peu d’espace pour remuer, vu qu’il maintenait Theorme contre lui, l’embrassant. Plus qu’une simple séance de sexe, c’était plus une sorte de manière de se montrer, sexuellement, de l’affection et de la tendresse. Il était très paradoxal de parler de tendresse dans une sodomie, mais c’était pourtant ça, car, tout en le maintenant, Bran le caressait, griffant doucement sa peau. Il ignorait si Ishtar avait traité la peau de Theorem, car elle était extrêmement douce. Bran savait que les Uatéennes disposaient de programmes hormonaux visant à transformer les hommes en femmes par un système d’injections de substances chimiques très spéciales, qui, sur le long terme, modifiaient l’organisme d’un homme pour le rapprocher de celui d’une femme. Mais Theorem était aussi, de base, très androgyne.

Bran et lui s’embrassèrent donc, jusqu’à ce que Theorem ne le repousse. Le sexe de Bran se retrouva provisoirement à l’air libre, tendu, douloureux... Jusqu’à ce que l’homme le prenne en bouche, remettant rapidement son plug anal. Les mains de Bran se posèrent alors sur la tête de l’esclave, et il soupira profondément, de la sueur continuant à couler le long de ses muscles et de son torse.

« Hmmmm... »

Le vampire soupirait profondément, continuant à maintenir Theorem, qui continuait à le sucer avec passion. Ses bourses tapaient contre son visage, sa queue allait frotter sa gorge, et, au bout de quelques instants, la puissante verge de Bran tressauta, avant de balancer plusieurs épais filaments de foutre, remplissant la bouche de l’homme, tandis que Bran se serrait contre lui, bloquant sa tête, tout en vidant ses testicules en lui, répandant sa semence chaude et blanche.

Bran soupira après cet orgasme, et son sexe se retira de la bouche de Theorem, qui la laissa ouverte, pour lui montrer le sperme, formant une espèce crème blanche qui venait gonfler les joues de l’homme. Bran respira légèrement en souriant, puis le vit fermer ses belles lèvres, et tout avaler. Sa gorge déglutit sous ce contact, puis Theorem le regarda à nouveau, lui demandant s’il en avait assez, ou pas.

Pour seule réponse, Bran lui sourit, et caressa les cheveux de l’homme.

« Oh, je ne risque pas de me lasser avec toi, Theorem... »

Bran s’écarta alors, retournant dans la chambre. Les toilettes, en effet, étaient quand même un peu petits.

« Mais que pourrais-je faire de toi, maintenant que j’ai défoncé tous tes trous ? Te baiser encore comme le petit chien que tu es ? Jusqu’à ce que nos Maîtresses reviennent ? Je suis aussi endurante que ma sœur quand il s’agit de sexe, tu sais. »

Plus, en réalité, mais il n’aurait jamais osé le dire.

S’il y avait bien une chose que Bran avait retenu de Mélinda, c’est que le sexe tendait à rapprocher les gens. C’était un puissant vecteur social, bien plus sur Terra que sur Terre. Beaucoup de régions de Terra n’avaient pas été marqués par la morale religieuse de l’Ordre Immaculé, et étaient, au contraire, des terres qui, soit appartenaient à Mijak, nation composée de démons très débridés sur le plan sexuel, soit étaient d’anciens terreaux de cultes dédiés au sexe, comme celui de Lust ou d’Aphrodite. Et, même au-delà de ça, le sexe était bien plus présent sur Terra que sur Terre. Les Mijakiens disaient ainsi qu’une relation d’affaires n’était pas parfaite tant qu’elle ne finissait pas « arrosée », et, en disant ça, on ne pensait pas à une coupe de vin. Bran n’avait donc, en ce moment, qu’une seule envie, coucher encore avec le petit Theorem. Non seulement parce que c’était là ce que sa Maitresse voulait, mais aussi parce qu’il aimait bien Theorem, la douceur de son corps, ses lèvres, son énergie, sa fougue, son petit cul... Même en échange de la fortune incroyable qu’Ishtar avait versé pour racheter Theorem, Bran savait combien sa sœur s’attachait à ses esclaves, et qu’elle était donc ravie de pouvoir retrouver son ancien esclave amateur de latex, qu’elle avait beaucoup aidé à délurer, en partant sur des bases déjà bien ancrées. Mine de rien, Theorem était la raison principale pour laquelle, au début, Mélinda s’était rapprochée d’Ishtar, jusqu’à réussir à ravir le cœur de la Dragonne.

Bran et Theorem s’embrassèrent donc, la main de Bran caressant les cheveux de l’homme, qui lui offrit ensuite une nouvelle tenue. Le vampire esquissa un léger sourire en voyant la collection personnelle de son amant, et hocha la tête.

« Si tu veux... Mais je garde mes gants. »

Il en ferait pas ça à Mélinda, qui était une grande fétichiste. Bran enfila donc une sorte de débardeur moulant, mettant ses formes en valeur, et un pantalon noir. Le latex n’était pas une tenue forcément très agréable à porter, au début, car elle serrait bien. Elle épousait le corps de Bran et ses formes. Il tira un peu sur le débardeur pour bien le mettre, puis suivit ensuite Theorem à travers la colonie infernoise.

Nachtheim avait visiblement été bien aménagé, car, bien que la colonie soit encore en développement, plusieurs galeries commerciales avaient été faites, dont une ne comprenant que des structures commerciales liées au sexe : clubs SM, boutiques vendant des catsuits en latex ou des sex toys venus tout droit d'Uatis, il y avait visiblement de tout pour ravir les Infernois et les Mijakiens qui travaillaient ici. Comme quoi, on avait beau vivre dans un endroit reculé et austère, on prenait néanmoins toujours du bon temps.

Le duo se retrouva finalement devant une autre discothèque, le « Trap’s Day ». Avec un nom comme ça, inutile de se demander ce qu’il y avait dedans... Bran continua à suivre Theorem, qui lui expliqua être le propriétaire de ce club. Après tout, il était tout de même le second d’Ishtar, même s’il était son souffre-douleur sexuel. Bran fut ainsi conduit dans un carré, et s’assit sur un siège, attendant le retour de l’homme, non sans l’embrasser une dernière fois, se comportant comme un amant le ferait.

« Ne me laisse pas trop longtemps, ma queue s’ennuie de toi. »

Bran le laissa ensuite filer, et reçut un verre, comprenant du sang. Il le but tranquillement, sentant, du fait de ce sang, son érection croître encore. Pur bisexuel, Bran aimait autant coucher avec des femmes qu’avec des hommes, et, ici, s’il n’y avait que des hommes, certains étaient très efféminés, la lumière des stroboscopes amplifiant et magnifiant leurs formes. C’était un spectacle visuellement très agréable à voir, et il continuait tranquillement à boire, lorsque Theorem revint.

L’homme avait enfilé une tenue de bunny boy, avec des gants, et des ouvertures à hauteur de son bassin, montrant sa cage de chasteté, et ses fesses. Bran en sourit légèrement, et son pantalon en latex ne parvenait guère à dissimuler son érection. Theorem alla s’asseoir près de lui, et Bran posa sa main sur ses fesses, le collant contre lui, et l’embrassa tendrement pendant quelques secondes, avant de lui répondre, sa virilité caressant le corps de Theorem.

« Tu me plais... À tel point que j’ai une furieuse envie de te défoncer ton petit cul de lapin devant ton public... » glissa-t-il ensuite, avec une lueur perverse brûlant dans son regard.

Assis sur la banquette, Bran savourait les lèvres du soumis. Theorem, un paradoxe vivant, un Vice-amiral qui, en même temps, se comportait comme la plus soumise de toutes les pédales d’Inferis. Continuellement humilié et fustigé, le jeune homme ne vivait plus comme un sous-être que comme un individu à part entier. Bran savourait ses lèvres, soin corps fin et étroit, cette tenue en latex de bunny boy, une main sur sa nuque, l’autre sur ses fesses, ses doigts appuyant sur le pompon situé dans son dos., près de ses fesses. Le vampire dominait totalement ce brave Theorem, aussi bien mentalement que physiquement. Un lien s’était noué entre les deux esclaves, lien que Bran commençait à apprécier, lui qui, contaminé par sa Maîtresse, partageait les goûts et les fantasmes de cette dernière. Et, même si rien au monde n’était plus agréable que de sodomiser Mélinda, il fallait bien admettre que Theorem était tout de même très bon.

Ses lèvres avaient un goût magnifique, et, yeux clos, Bran les savourait, n’hésitant pas à fourrer sa langue dans la bouche de l’homme, jusqu’à sentir ce dernier ouvrir la braguette de son pantalon, et sortir sa queue, qu’il se mit à masser.

« Hmmm… »

Theorem était doué, vraiment, et Bran lui sourit, avant de répondre à sa demande :

« Et ma queue se morfond quand elle n’a pas un petit cul serré comme le tien à défoncer, mon beau. »

Aussi autoritaire et violent soit-il, Bran n’en était pas moins, d’une certaine mesure, empreint d’une forme de douceur et de tendresse Bien sûr, tout était toujours à relativiser chez lui, au vu de sa forte soumission envers Mélinda, mais, en ce moment, il se montrait effectivement tendre et attentionné. Face à lui, Theorem, qui se comportait sans trop de problèmes comme un chaud lapin, le masturba donc, sentant rapidement la virilité de Bran revenir, son membre venant fièrement se dresser, bâton de chair assoiffé et tendu.

Un soupir sembla traverser les muscles de l’homme, qui cligna des yeux.

« Allez, mon mignon, viens… »

Pendant ce temps, autour d’eux, le public commentait, et certains reconnurent en lui le frère de Mélinda Warren.

« Les Warren forment vraiment une belle fratrie…
-  Theorem a été l’esclave de Miss Warren avant… On dit qu’Ishtar l’a racheté pour se rapprocher d’elle. »

Les rumeurs circulaient toujours bon train, et l’une d’elles, parmi les colons mijakiens, était de considérer que Theorem avait été un argument officiel pour permettre à Ishtar de se rapprocher de la vampire. Inferis constituait aujourd’hui l’un des plus solides soutiens du clan Warren, et il n’y avait aucune raison que ce soit le cas, si ce n’est une forte relation d’amitié entre les deux femmes… Si ce n’est plus. Pour autant, tous savaient que la vampire s’était mariée à une autre vampire, mais, après tout, ce n’était pas comme si Mélinda était connue pour son sens très poussé de la fidélité.

Pour l’heure, Bran sentait sa queue se mouvoir avec plaisir dans le cul de Theorem, et, pendant ce temps, l’homme avala une pilule, tout en lui en présentant une. À la vue de cet objet, Bran fronça les sourcils, le récupéra lentement, et le renifla… Puis l’enfonça dans la bouche de Theorem avec ses doigts.

« Non, je ne prends pas de drogues, Theorem. »

Ordre de sa Maîtresse.

Et on ne badinait pas avec ça.

Theorem se retrouva avec une deuxième pilule dans la bouche. Il ouvrit en grand les yeux quand il sentit le cachet descendre dans sa gorge, se dissolvant pour laisser un goût agréable et sucré. La double dose ne tarda pas à complètement retourner la tête du travestit qui eut un instant les yeux mi-clos avant de pousser une longue plainte de plaisir. Son expression changea alors que son cerveau désinhibée commença à libérer en lui une libido délirante. Le DJ chargé de la musique du club, un des trap plutôt doué avec des platines, remarqua la transe de Theorem et fit un sourire coquin avant de changer de musique. Avec les projecteurs tournant dans tous les sens et recouvrant la scène dansante de dizaines de couleurs, de stroboscopes et de fumigène, l'endroit devenait un endroit de décadence et de rythme. Le bunny boy sautait avec une délectation et une énergie rare sur la verge tendue de Bran. Sa chevelure sautait dans tous les sens et son corps en transpiration ainsi que son latex le faisait briller aux lumières des projecteurs. Il n'était pas le seul dans cette situation, entre un duo de travestis en écolières japonaise de latex se caressant devant un voyeur qui s'astiquait énergiquement, une domina qui sodomisait avec violence et au rythme de la musique un des trap déguisé en soubrette, d'autres en robes de soirée se frottant à des hommes virils sur la scène... Certains même couchaient carrément sans plus de discrétion sur le dance floor.

"♫ No no limits, we'll reach for the ♪ sky-Haaaaaah ! C'est TROP BON !!! Haaan~ MERCI BRAN !!!!"

Même Bran avait rarement vu un soumis se déhancher autant. Pas étonnant que Theorem devenait accroc à ces merdes chimiques. Il était en train de vivre ses jouissances les plus fantastiques, directement connecté à son centre du plaisir et à son amant. Il posa ses mains sur ses pectoraux, avant de l'embrasser, enfiévré, les cheveux collant au front. Le travestit avalait la queue de Bran avec son rectum avec une aisance incroyable alors que ses muscles anaux étaient serrés autour de sa queue. C'était délicieux. Pour autant, Theo ne se roulait pas dans la neige, il préférait les cachets. En plus, avec la double dose... C'est bien simple, Bran allait pouvoir s'envoyer en l'air avec le Haiena... toute la nuit ! Tantôt assis, tantôt avec Theorem couché sur la table. Avec un travelo complètement drogué et infatigable, la soirée s'annonçait complètement délurée et délirante, simplement sans limite.

"Haaan !!! Ca te dirait de continuer dans les toilettes ?... Haaah~ Tu vas voir... L'endroit est sur mesure~..."

La pilule de Theorem devait visiblement servir à stimuler la libido, mais Bran se demandait presque si elle n’avait pas un effet de groupe, car il vit les spectateurs commencer à se délurer, sur le fond d’une musique électro bien nerveuse, héritage moderne des Nineties. Lui n’avait pas pris la drogue, car, outre ce qu’il avait expliqué à Theorem, il y avait aussi le fait que les vampires disposaient d’un système cellulaire extrêmement efficace. La drogue n’avait que peu d’effet sur eux, à moins d’être très forte, ou d’être prévue pour les vampires. Les effets d’une drogue, autrement, n’influaient pas sur eux. Et, sur ce point, Bran disposait d’une résistance exceptionnelle. Il offrit donc une double dose à Theorem, qui, avec son petit gabarit, ne tarda pas à s’envoler, restant en accord avec les accords de musique intenses et nerveux.

Les lumières stroboscopiques flottaient dans les airs, formant comme des photographies lumineuses qui figeaient les corps de manière éblouissante pendant quelques secondes, tandis que de la vapeur s’élevait le long du dancefloor, renforçant l’impression de flotter dans un rêve. Avec cette musique assourdissante, qui hurlait dans vos oreilles, tous les sens étaient déboussolés. Tout était fait pour se lâcher, et Theorme obéissait à cette règle. Il fallait le voir pour le réaliser. Il s’empalait sur la verge tendue de Bran, la tête filant de gauche à droite, ses cheveux virevoltant dans tous les sens, la sueur moulant davantage son corps contre son uniforme de latex. Le bunny boy était déchaîné, et Bran sentait, contre son ventre, la cage en acier du jeune soumis caresser ses pectoraux, tout en maintenant ses mains sur ses hanches.

« Hmmmm... ! »

De son côté, Bran soupirait lourdement, sa poitrine se soulevant et s’abaissant au rythme effréné des mouvements de hanche de Theorem. Imperturbable, le brave homme dansait, encore et encore, et se pencha vers Bran, l’embrassant fiévreusement, le vampire répondant à son baiser avec la même ardeur, leurs langues venant jouer ensemble. Les deux hommes s’embrassaient ainsi, tandis que Theorem couinait, peinant à se calmer.

Bran soupira encore, et entendit l’homme proposer d’aller aux toilettes, lorsque la musique se calmait...

« Pas avant que je ne tire mon coup ! » hurla Bran.

Il se redressa alors, renversant Theorem, et se déplaça, rejoignant le dancefloor, pendant que le maître de musique changeait de morceau, restant néanmoins dans le même thème, avec une musique très rythmée, qui amena les lumières à s’enflammer. Une musique qui montait lentement en intensité, tandis que Theorem se retrouvait à quatre pattes, avant de sentir une queue grosse s’enfoncer dans son cul, son hurlement disparaissant dans les rugissements tonitruants de la musique.

Devant eux, il y avait un autre couple, qui faisait la même position, avec un bunny boy se faisant pénétrer par un homme équipé de vêtements en latex. Naturellement, l’homme pénétré chercha à embrasser Theorem, pendant que leurs culs se faisaient remplir.

Là, au milieu de la piste, leur joie s’absorbait dans cette explosion sensorielle qui tonnait autour d’eux.