The Multiversity

Peu importe combien de fois Mélinda pouvait la rassurer, Tomoko sera toujours inquiète de tout. De sa situation, de sa position, de la vie, de tout. Avoir une Tomoko calme... ça ne se faisait que lorsqu'elle dormait, et encore, qui sait de quoi elle pouvait bien rêver en réalité ? La vampire n'en avait pas peur, mais c'était mal connaître Tomoko, même si, admettons, tout cela se serait déroulé comme un fantasme idyllique où, ce soir, elle aurait fréquenté Mélinda et de fil en aiguille, serait sortie avec elle, serait devenue sa femme et pourquoi pas, mère de ses enfants, elle serait encore inquiète. On pouvait lui dérouler le tapis rouge et faire en sorte que tout marche parfaitement comme elle se l'imaginait, il y avait toujours un hic qui faisait qu'elle n'était pas sereine. Mélinda avait beau tenter de la rassurer, lui assurant qu'elle faisait parti d'une grande famille, d'avoir des tas d'amis à porter de main, tout ça, mais Tomoko n'était pas du genre à faire le premier pas. Et même quand on le faisait pour elle, ce n'était pas encore ça. Il suffisait de voir avec Mélinda, elle n'avait pas réussi à l'avoir dans ses filets si facilement !

Oui, elle aura des amis, cela viendra doucement, mais surement, mais dans un premier temps, la vampire aura surtout Tomoko dans ses pattes ou dans un coin, de son regard, elle était plus coriace qu'une huitre qui refusait de s'ouvrir ! Sa maîtresse avait beau doucement se frotter à elle, cherchant tous les moyens de la rassurer, appuyant ses lèvres sur sa peau, sur ses lèvres, mais ce fut ses tous derniers mots qui la rassuraient vraiment. Jamais elle ne l'abandonnerait. Oui, c'était ce qu'elle voulait entendre. Ce n'était que temporaire, tôt ou tard, elle aurait de nouveau cette peur en elle, mais pour le moment, cela l'avait calmé alors qu'elle se blottissait contre elle, son visage s'enfonçant dans son cou. Mélinda va sûrement voir sa libido de nouveau exploser, Tomoko ne sachant pas combien sa maîtresse était endurante ! Mais pour le moment, elle était déjà comblée et trouvait ce petit moment de détente tout à son goût.

« Merci... Maîtresse... »

Elle s'était blottie contre son corps, elle se sentait si sereine et paisible, Tomoko se sentait si apaisée, c'était si rare que ce soit le cas, ça en était presque nouveau pour elle à dire vrai. Mais le bonheur et l'insouciance étaient éphémères, surtout chez une personne comme Tomoko, l’inquiétude la gagnait à nouveau, bien vite, se détachant doucement d'elle, levant ses yeux vers elle, même si rapidement, elle fuyait son regard à nouveau.

« M-mais... que... qu'est-ce que je... je devrais faire quand... hum.... quand vous serez occupé... a-ailleurs ? »

Aussi câline et douce sois la vampire, Tomoko n'allait pas être toujours là, agrippé à sa main quand même ? Si ? Difficile à dire, mais vu sa célébrité ici, Mélinda ne sera pas toujours à ses côtés et laissé Tomoko seule, c'était vraiment la laissée seule. Ce n'était pas elle qui irait sortir de sa chambre et se mêler aux autres. C'était un vrai animal sauvage et apeuré, elle ne pouvait pas faire grand-chose pour le moment, loin de la vampire qui lui tendait sa main. Avait-elle déjà eu une esclave si inquiète ? La vampire pourra faire d'elle un vrai bijou hors du commun, mais cela ne va pas se façonner en une nuit, elle va avoir bien du travail rien que pour elle.

Tomoko était toute confuse, mais bien plus sereine qu'au début, lors de son arrivée ici. Évidemment, rejoindre une si grande maison, et réaliser que la fille sur qui on avait un crush était une vampire esclavagiste, ce n'était pas banal ! Compte tenu du contexte, elle le prenait plutôt bien. Les deux femmes étaient désormais allongées ensemble, reprenant leurs esprits. Cela faisait beaucoup à avaler pour Tomoko, qui se blottissait contre les bras de celle qu'elle ne pouvait désormais considérer que comme sa Maîtresse. Mélinda souriait lentement en lui caressant les cheveux, et l'embrassa encore sur le front.

La jeune femme finit par se relever doucement, et interrogea Mélinda sur ce qui se passerait quand elle ne serait pas là. Celle-ci se hissa sur ses coudes, et regarda silencieusement la jeune femme, penchant la tête sur le côté.

« Vivre ta vie ? Malheureusement, Tomoko-chan, je ne peux effectivement pas être continuellement avec toi, mais sache que je reste très présente. Sauf cas exceptionnel, je passe toutes mes soirées en compagnie de chaque vous, nous mangeons tous dans la salle commune. Ensuite, tu vas réaliser que tu ne fais pas que me rejoindre, moi, mais aussi toute une communauté... Une communauté que j'ai construite pendant de nombreuses années. »

Mélinda se redressa encore un peu, et s'assit finalement sur le lit, libérant ses seins et le haut de son magnifique corps. Elle était vraiment d'une beauté incroyable, renversante, et Mélinda ne pouvait que comprendre l'émoi de la jeune femme devant une telle vision. Volontiers narcissique, Mélinda tendit sa main pour caresser le visage de Tomoko, glissant ses doigts sur sa joue, et frotta ses lèvres avec son pouce.

« Tu auras le temps de voir tout ça, Tomoko... Tu ne seras plus jamais une invisible lycéenne sans aucun ami. Tous ceux et toutes celles qui sont ici sont désormais tes amis, et tu pourras les rencontrer. Nous prendrons notre temps. Ceci étant dit, toi, tu seras un peu particulière, car tu devras rentrer chez tes parents... Mais peut-être pourra-t-on les convaincre de te faire dormir ici une fois par semaine ? »

Les parents aussi, il fallait les gérer ! L'idée n'était nullement de forcer ses pensionnaires à renier à leur liberté, mais bien qu'elles y renoncent elles-mêmes spontanément, qu'elles se lient à Mélinda par amour, par dévotion. Que Mélinda devienne leur drogue, leur raison de vivre, c'était là tout ce que la vampire cherchait, tout ce qu'elle souhaitait instaurer. Elle embrassa à nouveau Tomoko sur les lèvres, et la poussa doucement en avant, venant la coucher sur le dos. Mélinda la dominait en se dressant au-dessus d'elle, leurs seins venant se frotter mutuellement.

Comme quoi, la soif de la vampire n'était pas encore totalement épanchée, et elle lui sourit lentement.

« Ce que tu ressens est parfaitement normal, Tomoko-chan... Toutes celles qui sont passées ici avant toi étaient sûres de ne jamais s'intégrer, mais tu verras qu'ici, tout est différent du monde de l'extérieur. Ici, personne ne te juge, car qui serions-nous pour te juger ? Nous admettons librement nos fantasmes ici, et personne ne te dira ou te reprochera quoi que ce soit. Ici, seul l'amour règne... Alors, paradoxalement, même si je suis ta Maîtresse, tu seras toujours libre ici, dans mon sanctuaire... »

Elle l'embrassa à nouveau, longuement, serrant au passage son corps contre le sien, appréciant le magnifique corps de la jeune femme, un sourire enjoué sur les lèvres.

« Tu dois laisser toutes tes peurs derrière toi, Tomoko, et te dire que tu as enfin rejoint un endroit où tu comptes... Car tu comptes à mes yeux, et tu comptes aux yeux de toutes les autres personnes ici, ma chérie. »

Mélinda l'embrassa une nouvelle fois, et sourit encore.

« Aime-moi, Tomoko-chan, et crois en ta Maîtresse. »

Tout cela était un peu dur pour Tomoko, dur à avaler en une seule fois évidemment. En une soirée, il fallait croire que sa vie allait changer du tout au tout. Pourtant, même si ses derniers temps, le fait de voir Mélinda lui tourner autour était déjà en soi, un gros changement, là... c'était au-delà de l'étape au-dessus ! C'était passé de Midgar, la ville de base de FFVII à l'affrontement contre l'Arme Diamant ! Pas totalement la fin du jeu mais un très, très gros pas en avant ! Elle n'était pas à l'aise à l'idée de se dire que Mélinda ne sera pas toujours là pour lui tenir la main, elle avait beau bien souligner le fait que tout le monde ici était ses amis, elle craignait justement ça... Tout le monde. Sans être agoraphobe, voir autant de monde, même un petit groupe de quelques personnes qui lui sourirait en lui tendant les mains, elle en aurait peur. De son cas, il serait préférable qu'elle s'adapte petit à petit, rencontrant les gens un par un, peut-être même un par jour pour ne pas aller trop vite ? Vu son rythme, c'est sûr qu'une personne par demi-heure ou par heure, ce serait pas assez pour la connaître un minimum. Vu sa timidité, en une heure, il ne serait pas passer tellement de chose à dire vrai. Leurs noms, deux trois choses qu'ils aiment ? C'est tout ? Tomoko était assez peureuse et nerveuse pour que l'expression prendre son temps soit parfaitement adapter. Une chance qu'elle ne soit pas paresseuse par-dessus le marché.

Même si Mélinda n'était plus blottie contre elle, elle continuait de la caresser et de montrer quelques gestes affectueux avec elle au moins. Cependant oui, il était bien trop tôt pour imaginer que Tomoko puisse habité ici ! Pour elle comme pour ses parents ! Ils étaient certes heureux que leur fille se fasse enfin une amie depuis son arrivée au lycée mais de là à laisser habiter ici, ce n'était pas question. Mais oui, négocier une soirée par semaine à dormir chez son amie, ça devrait aller, à condition que ses notes ne baissent pas pour autant. Ses parents n'étaient pas du genre à vouloir que Tomoko ai des notes parfaites mais au moins qu'elle garde la tête hors de l'eau, c'était déjà bien. Sans vraiment répondre oralement à sa question, elle agitait cependant doucement sa tête pour confirmer sa demande. Sans en être sûre et certaines, c'était négociable.

La vampire revint vers elle, la surplombant avant doucement l'écraser, venant parler de ce qu'elle ressentait, et du fait que chaque personne ici était libre de partager ses fantasmes. Elle n'avait eut des fantasmes très originaux mais elle savait bien qu'internet et le monde grouillait de personnes aux fétiches qu'elle jugeait étrange ou simplement pas de son gouts, des personnes qui vénéraient des pieds ou des mains ou adoraient pratiquer des choses plus sales aux yeux de la majorité des gens. Des choses dont elle se passerait bien d'imaginer ou demander si de telles personnes se trouvaient dans les rangs de Mélinda. Non, car même sans avoir pratiquer, elle pouvait comprendre, un peu, le côté plaisir dans l'ondinisme, autant, aller plus loin... non, là, c'était bien trop sale pour elle. La vampire venait délicatement l'embrasser, sentant la chaleur de son corps contre le sien, soulignant une nouvelle fois qu'elle comptait à ses yeux, comme aux yeux des autres aussi. Un nouveau baiser avec un ordre simple pour elle. L'aimer.

« Je... je vous aimes.... Maî-maîtresse... je crois en vous... »

Finit-elle plus doucement mais ça avait été dit. Elle restait la même, toujours gênée et intimidé alors qu'elle était là pour elle. Mais sortir Tomoko de ce cocon sera surement une des choses les plus compliquée dans la longue vie de vampire de Mélinda ! Cependant, son petit discours, sa douceur, et les mots que Tomoko a dit à la fin ont fait résonné une chose en elle. Elle conserve sa virginité pour une personne spéciale, elle voulait bien s'offrir à Mélinda mais cette partie serait à conserver un minimum. Mais qui sait quand cette personne fera son apparition devant elle ? Si ça se trouve, jamais. Et Mélinda, elle était déjà là, l'acceptant comme elle était. Il était peut-être préférable de lui faire ce cadeau ? Elle restait hésitante encore un peu mais soyons franc, même si son manoir à des dizaines, peut-être des centaines de personnes, il y a peu de chance qu'elle tombe amoureuse de quelqu'un ? Vraiment amoureuse, pas juste une amourette comme ce fut avec Mélinda même si ça allait un peu au-delà mais bon, la savoir déjà marier, ça a brisé ses espoirs et ses fantasmes futurs. Puis de nos jours, peu de personne apporte une véritable importance à la virginité. De nos jours, ce n'était pas dégouttant ou autre, plus un détail qu'autre chose. Toujours à remuer des lèvres, voulant dire quelque chose qui avait pourtant du mal à sortir, elle finissait par réussir à le dire même si sa tonalité était loin d'être très forte.

« Je... je vous o-offre... m-ma... ma.... vi-virginité.... Maî... Maîtresse... »

Plus un chuchotement qu'un déclaration haut et forte, elle l'avait cependant dit sans tourner autour du pot, même si son petit cœur n'avait jamais battu aussi fort en une seule soirée.

Mélinda savait qu'avouer à Tomoko son mariage l'avait sans doute refroidi. Comme bien d'autres esclaves, elle avait dû s'imaginer un destin extraordinaire avec Mélinda, pouvoir être celle qui se dégagerait du lot, celle qui retiendrait l'attention toute particulière de sa Maîtresse... La réalité était évidemment bien plus nuancée. La vampire sourit donc doucement en sentant la confusion dans les yeux de Tomoko. Sa belle petite esclave ne savait plus où donner de la tête, mais elle allait vite comprendre comment les choses marchaient. Oui, elle allait comprendre que, chez Mélinda, les choses étaient très différentes que dans la réalité normale. Ici, se marier à Mélinda n'était pas un objectif, mais l'aimer, la chérir, l'adorer, l'idolâtrer... Voilà ce que Mélinda attendait des autres. Et, en retour, elle offrait bien des choses à ceux et celles qui la suivaient. La beauté, le sexe, mais aussi la magie, et même potentiellement le vampirisme... Mais, pour l'heure, Tomoko allait parler de virginité.

« Tu es sûre, Tomoko-chan ? »

La belle vampire se concentra un peu, et se déshabilla totalement. Elle prit tout son temps, et finit toute nue devant Tomoko, puis, en tant que de besoin, la déshabilla aussi. Cette fois, il n'y avait plus de vêtements, plus d'artifices, rien d'autre que leurs corps nus. La vampire souriait doucement, et caressa encore le visage de Tomoko-chan, tandis que sa verge s'était déployée. Un beau membre qui revenait à l'assaut, et Mélinda resta agenouillée sur le lit, face à Tomoko-chan. Elle souriait doucement, une lueur de domination dans les yeux, puis se pencha alors en avant... Et glissa son visage entre les cuisses de Tomoko-chan.

Elle souffla sur son sexe, et déposa un premier baiser dessus.

« Il va falloir qu'on t'épile, ma chérie... Mais, pour l'heure, je vais juste t'exciter, que tu me supplies de te prendre ta virginité, ma chérie... Je veux que tu le désires vraiment, pas juste pour me faire plaisir ! »

Et oui ! Si Tomoko pensait s'en sortir si vite, elle se trompait lourdement ! Après tout, la nuit était encore longue, et Mélinda lui avait déjà dit qu'elle comptait lui faire l'amour jusqu'à l'aube. Si Tomoko avait pu croire à une parole en l'air, elle allait vite constater qu'avec Mélinda, les choses n'étaient jamais aussi simples, et que la vampire pouvait volontiers la surprendre. La vampire se mit donc à embrasser son sexe, à plusieurs reprises, le léchant avec appétit, tout en caressant ses cuisses, qu'elle griffa très légèrement. Son corps se pressait contre le sien, et la vampire se tortillait encore sur place.

« Hmmm... »

Oh, comme elle allait se régaler ! Oui, Mélinda comptait bien la faire lentement basculer, elle voulait l'entendre gémir et se tortiller sur place. Ceci étant dit, elle tenait aussi à la préparer avant une pénétration, à bien lubrifier cette zone avant d'y enfoncer sa puissante verge...

Elle était prête, elle pouvait aller au-delà et s'offrir à la vampire. Dire qu'elle était cent pour cent confiante, ce serait mentir, elle avait peur, même si elle savait bien – dans les faits – ce qui allait se passer mais le vivre... ça, c'était une autre histoire. Elle y avait pensé et si au début elle ne voulait pas offrir cette virginité à Mélinda, car la première fois, ça restait important et elle aurait aimé l'offrir à l'être aimé qui était cette personne ? Est-ce qu'elle rencontrerait cette personne cette année ? Dans les dix prochaines années ? Difficile à dire, surtout pour elle et sa timidité maladive. Donc, elle pouvait bien s'offrir à Mélinda même si l'image de pureté était importante, surtout dans un couple. Mais bon, de nos jours, il était plus fréquent chez les jeunes d'avoir une certaine expérience même si le taux de virginité au Japon avait un fort taux comparé à ailleurs. Même si sa maîtresse se demandait si c'était vrai, elle répondait juste par un signe positif de la tête. Après l'avoir dit de vivre voix, elle serait incapable de le répéter. Il ne fallait pas trop en demander à Tomoko après tout.

Mélinda ôtait tout ce qui pourrait la gêner, laissant sa queue de nouveau pointer entre ses cuisses, venant lui caresser le visage avant de s'approcher un peu plus près de son « cadeau ». Elle était ainsi aux premières loges, soufflant dessus avant de l'embrasser, laissant une petite remarque sur sa pilosité. Certes, elle n'aurait jamais pensé passer d'une soirée où au mieux, elle aurait pensé à des lèvres qui se frôlent, à ça en une soirée, donc elle ne s'était pas épilé. Et puis même en général, elle ne le faisait pas ici. Elle n'avait rien contre les poils ici, si on jette un œil au porno japonais, c'était courant de voir des femmes avec de jolis minous entre les cuisses. Bien entendue, il y en avait où c'était tout doux, bref, il y en avait pour tous les goûts ! Donc, elle ne comprenait pas vraiment pourquoi il faudrait absolument que ce soit imberbe ici ? Puis, se raser dans cette zone... peu importe la méthode utilisé, ça faisait un peu peur. Enfin, là n'était pas la question pour le moment, la demoiselle faisait face à une Mélinda qui voulait l'exciter au point qu'elle se répète. C'était un peu cruel quand on connaissait la timidité de la demoiselle. Il lui a fallu une bonne dose de courage pour se lancer déjà. Elle va devoir s'y habituer avec sa maîtresse...

« Uuuuuuuh.... »

Elle avait peur à l'entendre dire ça... La vampire commençait à l'embrasser et à lécher sa zone sensible à bien des reprises, lui arrachant quelques soupirs et gémissements qu'elle tentait vainement de retenir, mais c'était de plus en plus difficile pour elle de se retenir. Sa maîtresse obtenait gain de cause en la faisant couiner de plaisir, son corps tremblotait de plus en plus de désir. Après quelques minutes de cette douce torture, elle n'en pouvait plus, elle abandonnait !

« Maî-maîtreeeeesse... si... s'il vous plaît... »

C'était presque un supplice dans son regard qu'elle lui transmettait. Le souffle lourd, le corps tremblant, elle devait le dire en entier pour que cela soit pris au sérieux.

« O-occupez-v-vous de... de m-moi... »

Ses mains se cramponnaient déjà aux couvertures, elle faisait bien de se préparer.

Mélinda ne voulait plus de doutes après ça. Plus d'hésitations. Elle ne voulait pas que Tomoko se réveille demain matin en souhaitant partir, en niant tout ce qui venait de se passer. Elle allait donc tout faire pour que celle-ci abandonne définitivement l'idée de renoncer à la servir. Que Tomoko comprenne que le bonheur était ici, que son futur était là, entre les mains de Mélinda, et contre ses lèvres. Sans doute aurait-elle quelques hésitations ensuite, c'était naturel. Mélinda ne pouvait malheureusement pas s'occuper continuellement de tous ses esclaves, et, quand on était loin des yeux, on était loin du cœur aussi. Il faudra donc ensuite insérer Tomoko dans le sein de la famille, de cette communauté... Une tâche qui n'était pas évidente au début, car chaque esclave rêvait, en soi, d'arracher le cœur de leur Maîtresse, d'être spécial à ses yeux. Or, il fallait aussi savoir renoncer à son propre égo ici. C'était le prix de la servitude. Mais, pour l'heure, Mélinda avait réussi la première étape. Tomoko était séduite, conquise. La vampire faisait preuve de tout son talent, la léchant longuement ; tout en se disant qu'elle confierait sans doute ensuite l'insertion de Tomoko aux bons soins de sa Main.

*À voir, cinq filles d'un coup, cela risque d'être beaucoup pour Tomoko... Peut-être que ma femme voudra s'y coller ?*

Il allait falloir qu'elle y réfléchisse ! Elle pensait avoir bien cerné Tomoko, et la manière dont celle-ci réagissait. Affreusement timide, Tomoko avait du mal à s'ouvrir, et, même là, après tout ce qu'elles avaient fait, elle dut la lécher pendant plusieurs minutes avant que la belle ne cède. Elle s'attaquait avec appétit à son sexe, et la sentait se tortiller sur place, hésitant à prononcer les mots souhaités. Elle avait toujours en elle ce délicieux carcan de timidité. Rien à voir avec les ardeurs de Ai ! Mais, finalement, Tomoko, en soupirant, finit par demander à sa Maîtresse de venir la prendre. Il faut dire aussi que Mélinda la léchait plutôt bien, évitant soigneusement de la faire jouir en arrêtant toujours de lécher au bon moment, et embrassait alors des zones connexes, évitant de titiller son bouton de plaisir, puis recommençait ensuite. Ses mains comprimaient les délicieuses fesses de Tomoko, qui finit donc par succomber. Elle était alors toute frétillante, pleine de désir, et la bouche de Mélinda était imbibée de sa mouille.

Souriant doucement, Mélinda commença par se redresser, et vola à Tomoko un long baiser. Ses lèvres se plaquèrent sur les siennes, sa main se serra sur ses cheveux, et elle s'allongea contre elle, venant l'embrasser longuement. Sa langue se fourra dans sa bouche, et elle soupira doucement, sa verge en érection frottant contre les cuisses de Tomoko.

« Hmmm... »

Mélinda rompit ensuite le baiser, un sourire ravi sur le coin des lèvres. Son regard croisa le sien, et elle frotta ensuite doucement son nez contre le sien.

« Allez, ma chérie... Viens te mettre à quatre pattes, que je te prenne bien comme il faut ! » s'exclama alors Mélinda en se redressant.

Tomoko avait beau se dire que, comme beaucoup de jeunes femmes, elle voulait que sa première fois soit avec une personne spéciale, qui partageait sa vie. Fille ou garçon, elle ne savait pas trop, elle a souvent joui, sans jamais franchir ce cap. Elle n'était pas du genre à se dire que, non-vierge, elle serait un déshonneur pour sa famille, mais malgré tout, elle gardait un petit côté romantique, ce qui est ironique quand elle fantasmait parfois sur des orgies ou de véritables gang-bang ! Mais bon, entre fantasmes et désir, c'était difficile à joindre les deux parfois. Mais avec ce que Mélinda lui avait offert, allait lui offrir et, les propres barrières de Tomoko étaient déjà un frein, quand bien même demain, elle rencontrait la personne avec qui elle passera une grosse partie de sa vie, franchirait-elle le cap si facilement ? Soyons honnête en plus, si c'est une personne qui sert Mélinda, que Tomoko soit vierge ou non, ce ne serait qu'un détail.

Mélinda l'avait encore fait jouir, rien qu'avec sa bouche et elle, elle était prête à franchir le cap cette fois et à s'offrir à la vampire, à sa maîtresse. Mélinda lui souriait, venant lui demander de se mettre à quatre pattes après un tendre frottage de nez tout mignon. Mais... à quatre pattes ? Elle aurait pensé lui faire face, allongée sur le lit, non ? Après, même à quatre pattes, ça n'empêchait pas de perdre sa virginité, disons juste qu'elle ne s'était pas attendue à cela. Mais bon, elle obéissait et se redressa pour se mettre à quatre pattes, toujours en serrant déjà les couvertures, même sans savoir à quel point, elle va avoir mal. Ce n'était pas une douleur intense, mais ça se ressentait quand même après tout donc, elle appréhendait un peu cela. Elle se mordait déjà la lèvre inférieure en avance, espérant quand même que ça va vite partir ou qu'elle s'y habituera facilement. On disait que la première fois n'était jamais glorieuse après tout, ça valait aussi quand on le faisait avec une personne qui avait beaucoup d'expérience ou pas ? En tout cas, elle attendait maintenant, que sa maitresse fasse d'elle une vraie femme. Par-dessus son épaule, elle jetait un regard vers elle quand même, pour voir ce qui se passait vraiment ?

Tomoko se tortillait sur place, nerveuse, excitée, prête à offrir sa virginité à celle qui était désormais incontestablement sa Maîtresse. Dans son dos, Mélinda l’observa. À quatre pattes, Tomoko était magnifique, avec un cul délicieux. Ses deux belles fesses s’orientaient vers la vampire, et la verge de Mélinda, tendue, redressée, caressa cette zone, glissant contre sa croupe. La vampire soupira doucement en se mordillant les lèvres, et pinça avec appétit les délicates fesses de Tomoko-chan. L’intéressée tourna la tête vers elle en rougissant, n’osant rien dire. Mélinda sourit alors, et pinça l’une de ses fesses, lui arrachant un délicieux couinement. Elle était prête à la prendre, et caressa ensuite ses lèvres intimes en descendant un peu son membre. La vampire frissonna en sentant la mouille de Tomoko glisser sur sa queue. Le contact était exquis, l’excitant doucement. Elle prenait bien sûr tout son temps, mais sentait la nervosité de Tomoko.

« J’ai très envie de te baiser comme ça, Tomoko-chan… Mais je pense que tu mérites une première fois plus romantique, non ? »

Elle frottait doucement sa verge sur elle, puis se retira alors, et la poussa sur le côté. Tomoko tomba sur le côté, puis se coucha sur le dos. Mélinda était agenouillée sur le lit, et attrapa sa main dans la sienne, entremêlant ses doigts avec les siens. Les gestes étaient doux, tendres, mesurés. On pouvait y sentir l’affection profonde et sincère de Mélinda pour Tomoko, qui déplaça son autre main pour caresser sa joue.

Non, la première fois de Tomoko se devait d’être mémorable.

« Je vais te faire l’amour en te regardant dans les yeux, Tomoko-chan… Tu peux les fermer de temps en temps, mais je veux que tu me regardes. Je veux que tes yeux se rivent sur les miens. Je veux que tu perdes ta virginité en me regardant, je veux voir le désir éclater dans tes yeux, l’amour sans borne que tu me portes, inconditionnel et illimité… »

La vampire sourit doucement suite à cette déclaration, puis se pencha encore en avant. Sa verge retourna caresser  le corps de Tomoko, qui rougit lentement. Mélinda se pinça doucement les lèvres, et caressa ensuite ses lèvres avec ses doigts, puis l’embrassa une nouvelle fois. Elle s’allongea ainsi contre elle, caressa ses cheveux, leurs seins se frottant tendrement.

« Tu es prête, ma Tomoko ? Si tu ne peux pas le dire, pose ta main sur mes fesses, et presse cette zone avec force… »

Encore une fois, Mélinda ne voulait pas la forcer, et souhaitait que l’expérience soit pleinement consentie…

L'angoisse était totale, malgré son accord, la demoiselle ne savait pas trop où donner de la tête, perdue dans toutes ses choses qu'elle ne connaissait pas encore. Le monde du sexe était immense et Tomoko n'en était pour ainsi dire qu'à la première page. Elle en avait entendu des choses à ce sujet, mais les vivres ? C'était tout autre chose. Par chance, même si la vampire était assez impatiente de passer à la suite, elle savait y faire et retourna finalement la jeune femme qui se retrouva ainsi face à elle. Oui, là, ça, elle l'avait imaginé au moins dans cette position pour une première fois. L'anal encore, ça semblait logique, le cul est à l'arrière du corps, mais là, sa virginité, c'est devant quoi. Sa maîtresse était là, serrant sa main dans la sienne, rien que ce petit geste romantique lui donna une source de bonheur en plus dans tout cela, un peu de courage en plus n'était pas rien dans une situation pareille après tout. En bonne maîtresse qu'elle était, elle dictait même la façon dont ça allait se passer, voulant que Tomoko la regarde dans les yeux pendant l'acte. Bien entendu, elle pouvait les fermer, mais disons qu'elle pouvait les fermer pour s'hydrater les yeux, tout au plus.

Intimidée malgré tout, elle hocha doucement sa tête pour répondre, sans avoir à ouvrir la bouche. De toute façon, actuellement, elle n'arriverait pas vraiment à dire quoi que ce soit. C'est fou comme elle avait la gorge sèche par ailleurs ! Son corps s'écrasait sur le sien, à nouveau, elle sentait une vague de chaleur la gagner, sa poitrine rebondie sur la sienne, elle n'était pas plate mais pas aussi développée que la vampire, son ventre sur le sien, sentait-elle son cœur battre à travers son sein ? Elle était excitée et nerveuse, Mélinda devait le savoir, mais quelque part, c'est ce qui faisait le charme de la demoiselle aussi. La timidité à l'extrême, la nervosité si poussée, pourrait-elle espérer un jour la voir agir normalement, sans crainte, sans stress ? Elle devait elle-même lancer l'assaut, soit avec un mot, soit avec un geste, mais les deux cas la gênait un peu à dire vrai. Elle ravalait le peu de salive qui lui restait avant de souffler la réponse dans un soupir presque inaudible.

« Je suis prête... maîtresse... »

Toujours si rouge, si timide, elle avait au moins annoncé le top départ, venant même doucement approcher ses lèvres des siennes, sachant qu'elle devait garder les yeux dans les siens... cela ne sera pas des plus simples pour elle mais... elle va tenter après tout, elle n'avait pas le choix. Sa première fois se devait d'être magique et inoubliable. C'était donc partit ?

Tomoko-chan était donc prête ! Mélinda se pinça doucement les lèvres, comme toujours assez excitée à l’idée de prendre pour la première fois une jeune vierge. Tomoko-chan était tout simplement parfaite, et c’est avec une très grande nervosité, presque sur un inaudible soupir, qu’elle annonça être prête. La Maîtresse hocha la tête, et, en voyant les lèvres de Tomoko-chan chercher à se rapprocher des siennes, elle l’embrassa en retour. Un tendre baiser, que Mélinda rompit ensuite, avant de lui sourire doucement, délicatement. Elle posa finalement sa main sur sa verge, et la rapprocha de la fleur intime de Tomoko-chan.

« N’oublie pas, Tomoko-chan… Regarde-moi, je veux tout voir dans tes beaux yeux. »

Pour le coup, Tomoko-chan était terriblement nerveuse, se recroquevillant sur place. Mélinda sentait ses cuisses se resserrer nerveusement, et soupira doucement, avant que sa verge ne commence à rentrer. Elle se heurta rapidement aux parois intimes de la jeune femme, et grogna doucement. Mélinda se pinça les lèvres sous l’effort, sentant que sa queue n’arrivait pas à passer, l’espace était trop petit.

Rapidement, en voyant le regard de Tomoko se défiler, Mélinda posa un doigt sur ses lèvres.

« Re-Regarde-moi, Tomoko-chan, hmm… Tu… Tu es si étroite ! »

C’était bien la fleur intime d’une vierge, un sexe qui n’était pas habitué à se dilater, et qui restait donc fermé. Fort heureusement, Tomoko avait commencé à mouiller, ce qui dilatait un peu ses parois. Reprenant son souffle, Mélinda poursuivit, continuant sa pénétration. Elle glissait de haut en bas, déplaçant son bassin d’avant en arrière, s’enfonçant ainsi progressivement dans le corps de sa partenaire. Tomoko-chan se tortillait encore sur place, et couina à nouveau. Mélinda continuait son ascension, millimètre par millimètre, donnant des coups de reins plus puissants pour amener les lèvres intimes de Tomoko, à se dilater, à s’écarter.

Mélinda soupira une nouvelle fois, son regard croisant celui de Tomoko, alors que sa verge perçait l’hymen de la jeune femme, et qu’elle sentait son sang virginal sur sa queue. C’était un plaisir inouï, et elle déplaça sa main, venant recueillir des dépôts de sang filant le long des cuisses de Tomoko pour les suçoter, avalant avec appétit ce sang humide, parfait… Un nectar divin pour la belle vampire, qui ne perdait pas une miette des réactions de Tomoko-chan…

Sa première fois... il y avait de quoi avoir peur quand même mais Tomoko était prête, même si elle ne savait pas encore comment tout cela allait vraiment se passer ? Elle en a vue des vidéos pornos, elle savait ce qu'était le sexe même si les vidéos « première fois », ce n'était pas sa catégorie favorite donc... disons qu'elle savait la suite, mais pas le début. Enfin, elle venait quand même de se faire sodomiser donc, la première fois vaginale, ça serait la même chose, non ? Avec un peu plus de sang peut-être, mais bon, juste un peu, ce n'était pas non plus un film d'horreur qui allait se passer entre ses cuisses ? Mélinda était là pour la rassurer un maximum, mais plus elle s'approchait pour franchir cette première fois et plus elle avait peur. Pas plus qu'une autre, mais oui, plus ça approchait et plus... elle se demandait à quel point ça serait douloureux ? Face à la demande de la vampire, elle relevait les yeux, observant ses yeux, jusqu'à y voir un peu son propre reflet dedans... Elle ne se trouvait pas vraiment belle... L'inquiétude, le stress, beaucoup de choses entrait en cause pour qu'elle pense cela d'elle-même, mais ce n'était pas le moment de penser cela, que Mélinda bande pour elle et s'apprête à y faire sa première fois, c'était bien la preuve qu'elle était belle, non ?

Elle remua doucement la tête pour lui répondre alors qu'elle sentait son pénis face à son entrée intime, qui s'apprêtait de plus en plus à forcer son entrée. Même face à cela, sentir sa verge commencer son petit bonhomme de chemin en elle, rapidement ralentie par sa barrière naturelle. Même si là encore, Mélinda la recadrait pour qu'elle la regarde.

« Pa-pardon ! »

Autant pour ses yeux qui dérive que son étroitesse naturelle, mais ça, elle n'y pouvait pas grand-chose au final, mais bon, elle était habituée à cela et s'excusa naturellement alors que la vampire forçait de plus en plus. Douleur et plaisir se tenaient la main en elle alors qu'elle parvenait enfin à lui prendre sa première fois, créant un petit pique de douleur quand même. Elle couinait faiblement avec quelques perles de larmes aux coins des yeux vu que ça faisait quand même un peu mal, mais ça s’effacera complètement bientôt.

« Maî-Maîtreeeeeesse... »

Maintenant, plus que jamais, elle avait besoin d'elle.

Vanillia allait sûrement la punir pour ça. Habituellement, elles convenaient que chacune prenne une virginité de leurs nouveaux esclaves, mais, ce soir, Mélinda allait faire une exception. Enfin, cela n’aurait que pour conséquence que sa femme la punisse ensuite, alors elle prenait ce risque. La priorité restait de faire définitivement de Tomoko-chan son esclave. Sur ce point, la vampire avait bien progressé, et elle pensait avoir atteint le point de non-retour. Elle tenait néanmoins à s’en assurer définitivement, ce qui l’amena donc à opter pour une pénétration plus classique, en missionnaire.

Quand elle demanda à Tomoko-chan de la regarder, celle-ci s’excusa, et Mélinda lui sourit alors, puis l’embrassa sur la joue.

« C’est… C’est pour, To-Tomoko-chan… Tu n’as pas à être désolée, hmmm… »

La seule à devoir s’excuser, ce serait Mélinda, si Tomoko ne prenait pas son pied. Elle s’enfonça en elle, et perça rapidement l’hymen. Avec délectation, Mélinda sentit le sang virginal de la jeune femme sur son sexe, et l’entendit couiner, gémir. Tomoko-chan se tortilla sur place, mais s’efforça de regarder sa Maîtresse. De son côté, celle-ci lécha ses joues, essuyant les larmes qui avaient coulé dessus, et sourit en l’entendant gémir, l’appelant.

Son con était très serré, alors la douleur devait être forte.

« Là, Tomoko-chan, hmmm… F-Fais confiance à ta Maîtresse, haaa… Maîtresse veille sur toi, hmmm… »

Tout en soupirant, elle l’embrassa sur les lèvres, et serra sa main sur ses cheveux.

« Laisse sortir la douleur, Tomoko-chan… Qu’il n’y ait plus que le plaisir en toi. Laisse-là sortir, haaaa… Unis-toi à Maîtresse. Caresse mon dos, palpe mes fesses, pince ma chair… Unis-toi, Tomoko-chan, haaaa… Nous ne faisons plus qu’une, après tout… »

Leurs corps étaient liés ensemble, et Mélinda continuait à remuer en elle avec amour, sentant peu à peu les parois intimes de Tomoko se dilater, s’écartant, facilitant ainsi le passage de sa queue, ce qui la comprimait moins, et rendait la scène exquise… Mais elle regardait aussi sa partenaire, voulant voir ses joues s’empourprer, voulant voir le désir exploser sur son corps…

C'était sa première fois, le grand moment ! Le genre de chose où, impossible de recommencer. Ce n'était pas un Dark Souls en se disant que ça allait être pénible, recommencer et réussir tôt ou tard, y avait qu'une seule et unique première fois. Mais au moins, contrairement à Dark Souls, plus elle va pratiquer, plus elle va aimer, là où DS était un jeu SM où l'on aimait avoir mal. Pour mieux gravir le jeu et ses difficultés ? C'est ce que les joueurs se disent, juste qu'ils aiment se faire rouler dessus, c'est tout. Là, Mélinda se rapprochait en elle, jusqu'à défoncer la porte de son petit château fort et l'assiéger. Oui, cela avait fait mal, on ne lui avait pas menti, maintenant, reste à savoir quand le plaisir allait remplacer la douleur ? Car il n'y avait plus de demi-tour possible, sa première fois à été donné à Mélinda, il n'y avait pas de marche arrière possible. Mélinda tentait de la réconforter, de la conseiller et elle tentait de suivre ses conseils.

« Mai-Maîtresse... »

Avec ses yeux humides, elle se serrait contre elle, son corps se pressant contre le sien pour s'unir à elle, trouver un peu de réconfort en quelque sorte. Même si pendant quelques instants, elle ne la regardait pas, c'était pour mieux se serrer contre elle, son corps chaud et doux se serrant contre le sien alors que sa maîtresse remuait doucement en elle, que c'était bon ! Oui, doucement, mais sûrement, la douleur laissait place au plaisir, ça s'équilibrait doucement pour le moment. Mélinda parvenait à revoir son visage rougir de plaisir, elle en profitait pour la regarder, même si elle n'arrivait plus à parler, bien trop concentrer à gémir et prononcer son mot favori du moment, Maîtresse. Elle ne serrait pas ses jambes à sa taille, préférant les laisser le long du corps pour mieux sentir Mélinda s'enfoncer en elle. Elle ne voulait pas changer la force de sa maîtresse, elle voulait voir ce qu'elle pouvait faire pour elle, sans la moindre aide. Dans ses grands yeux verts, on y sentait la passion et l'amour pour cette femme qui lui aura volé bien des premières fois, il lui tardait de voir ce que ça ferait de sentir son utérus se remplir de ce foutre chaud. Une grande première.

Le point de non-retour avait été atteint. Que Tomoko-chan l’ait voulu ou non, elle appartenait maintenant entièrement et intégralement à Mélinda. De tout son être, de tout son corps, et de toute son âme. Mélinda la pénétrait, elle venait de faire d’elle une femme, de balayer toutes les angoisses de Tomoko-chan. Elle, la mal-aimée, celle à qui personne ne s’intéressait, celle qu’on ne choisissait jamais en sport… Celle qui n’aurait jamais cru qu’une femme aussi populaire que Mélinda puisse s’intéresser à elle, elle était en train de lui faire l’amour ! Mélinda pouvait deviner tout ce qui agitait Tomoko-chan en ce moment. La vampire était au lycée Jinmu depuis plusieurs années maintenant. Bien trop longtemps pour une simple lycéenne, mais c’était au lycée qu’on trouvait les meilleurs esclaves possibles. Les jeunes femmes comme Tomoko étaient des cibles privilégiées pour Mélinda, qui les aidaient. Jamais personne n’avait autant fait plaisir à Tomoko que Mélinda. La vampire la pénétrait avec une affection sincère, un amour réel. Elle allait prendre soin d’elle, elle lui trouverait même un mari s’il le fallait, et Tomoko lui offrirait de beaux enfants. Cette jeune femme ne devait alors clairement pas penser à ça, mais Mélinda était visionnaire, elle voyait toujours plus loin que les autres. Elle façonnait la vie de ses protégés, de personnes comme Tomoko.

Tomoko gémit son nom, ou, plutôt, son appellation. Dans le plaisir suprême, elle reconnaissait ce que Mélinda était pour elle : non pas une petite-amie, mais bien une Maîtresse… Ce qui, à bien des égards, était nettement mieux ! La vie serait tellement plus simple sur Terre si les humains se contentaient d’admettre qu’ils avaient besoin d’un Maître ou d’une Maîtresse pour les guider avec passion et sagesse.

« Hmmm… To-Tomoko-chaaann… »

Mélinda gémissait son nom, son visage contre elle. Elle frottait tendrement son nez contre sa joue, glissant sur elle, s’enfonçant avec appétit dans son corps. Elles ne formaient alors plus qu’un seul corps. Tomoko venait de perdre sa virginité, et la jeune fille mouillait passionnément, remuant doucement ses jambes. Mélinda déplaça son visage, et l’embrassa sur les lèvres, caressant l’un des seins de Tomoko au passage. Elle pinça le téton de la jeune femme, continuant à la stimuler avec talent et passion.

« Hnnn… Abandonne-toi au plaisir suprême, ma chérie… Jouis ! »

Tomoko ignorait à quel point cela était si bon et surtout, combien de fois Mélinda allait profiter de tout cela. Elle s'en doutait que la vampire n'allait pas juste lui prendre sa virginité et la laisser de côté, mais elle ignorait encore à quel point la vampire avait un gros appétit ! Elle était allongée sur le lit, sentant le corps de Mélinda l'écraser, son membre s'enfoncer en elle, elle le sentait remuer en elle, ce n'était en rien déplaisant même, mais la vampire y allait avec douceur. Elle sentait quand même une certaine envie d'aller plus loin, d'être plus brusque, mais la vampire gardait un rythme encore assez doux pour continuer sur cette lancée. Le plaisir se faisait de plus en plus grand en elle, elle ignorait à quel point ça allait encore grimper, mais chaque fait et geste de la vampire semblait être fait pour augmenter son plaisir. Bouger lentement son corps en sentant la poitrine de Mélinda se frotter contre la sienne, susurrer son prénom, laissant le bout de son nez se frotter sur sa joue, elle était une véritable manipulatrice. Tomoko était loin d'être bête, elle pouvait même être trop vigilante, mais face à une situation inconnue comme ça, toutes ses barrières tombaient. En temps normal, oui, elle se serait méfiée en sachant qu'un tel programme allait avoir lieu, mais face à l'inconnu en mettant les pieds ici, elle était plus naïve que d'ordinaire.

« Haaaaaaaa ! Maîtresse ! »

Tout se chamboulait en elle, impossible de prévoir la suite, même Mélinda lui demandait de jouir, de s'y abandonner, mais jouir, ce n'était pas une chose que l'on déclenchait comme ça. La vampire allait un peu plus loin, voulant pincer l'un de ses tétons par la même occasion, provoquant en elle, bien des frissons, sans pour autant encore atteindre le point de non-retour. Mais alors que sa maîtresse y donnait du sien, à force de persévérance, Tomoko se relâchait sans parvenir à retenir son plaisir, même dans sa gorge.

« Haaaaaaaaaa, MaîTREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESSE !!!!!! »

Elle se cambra en arrière autant que possible, son corps se collait à Mélinda en sentant le foutre remplir son utérus. Mélinda lui avait pris sa virginité, elle avait aussi rempli sa chatte en première. Les yeux écarquillés sous le plaisir, elle redevenait souple au bout de quelques secondes, reprenant son souffle alors que son petit cœur entamait un solo de batterie impressionnant. Le regard perdu, elle était sur son petit nuage, ignorant Mélinda ou la situation. Ça y est... Elle était une femme.

Mélinda prenait la bienheureuse Tomoko. Elles y étaient, et Tomoko était désormais son esclave. Elle venait de lui prendre sa virginité, elle venait de changer sa vie, évidemment pour le meilleur ! Tomoko, si discrète et si timide, allait maintenant pouvoir s’affirmer. Mélinda veillerait sur elle, elle en prendrait soin, elle la façonnerait au mieux. Elle l’entendait gémir, elle sentait le sang de Tomoko s’enflammer, et la jeune femme finit par jouir. Mélinda se pinça les lèvres en la voyant s’abandonner. Le visage d’une Tomoko ravie, traversée par le désir et par la joie, voilà qui était magnifique ! Mélinda l’observa encore, clignant des yeux, et l’embrassa doucement sur les lèvres.

« Tu viens de jouir, ma chérie… »

C’était un constat indéniable, simple à vérifier, et impossible à démentir. Mélinda restait lovée contre elle. Elle-même venait de jouir, crachant sa semence dans la chatte de Tomoko, remplissant son ventre. Sa main caressa distraitement ce dernier, et elle resta blottie contre elle, sentant la respiration de Tomoko revenir progressivement à un rythme normal. La vampire aurait pu continuer, mais il fallait aussi profiter de ce genre de moments, de leurs deux corps entrelacés. Que ses esclaves l’aiment, c’était ce que Mélinda souhaitait. Elle savait maintenant que plus jamais Tomoko ne l’oublierait, elle était son esclave, fidèle, dévouée, aimante, la preuve qu’il n’y avait pas de meilleure chaîne que celle de l’amour.

Elle la laissa donc reprendre ses esprits, jusqu’à se déplacer un peu. Mélinda caressa ses cheveux, se frottant encore contre elle, et l’embrassa sur la bouche.

« Alors, Tomoko-chan, comment tu te sens ? Regrettes-tu ta soirée en ma compagnie ? »

La vampire se doutait déjà un peu de la réponse, mais l’entendre, cela faisait toujours plaisir !

Tomoko ne pouvait penser à rien d'autre que le plaisir. Mélinda venait de jouir en elle, elle était si heureuse et libérée, ce n'était pourtant qu'un début, pour cette soirée, pour sa vie. Mais elle était heureuse. La vampire prenait soin d'elle, la câlinant doucement, la gardant contre elle et sa chaleur, elle était si bien qu'elle ne voulait pas en bouger. Sa maîtresse était si douce et pleine de tendresse, elle voulait que cela dure longtemps, quitte à ne pas parler, à ne pas bouger, juste se contenter du bruit de leur respiration, ça lui convenait parfaitement. Mais entre caresses et baiser, Mélinda voulait s'assurer que le travail avait été fait, que Tomoko en était même heureuse ! Elle leva ses yeux verts vers elle, répondant d'abord timidement par un signe de la tête, désapprouvant ce que la vampire lui demandait, mais elle fit l'effort de faire entendre sa voix, faible, hésitante et timide, mais quand même bien présente.

« N-non, Maî... Maîtresse. Je... Je suis heureuse d'être avec vous... »

Véritable petite boule de nerfs toute douce, elle frotta son visage dans son cou, sans la mordre contrairement à Mélinda, câlinant un peu plus la vampire en lui offrant de la douceur, chose qu'elle ne refuserait sûrement pas, venant de sa part. Elle n'était pas une figure de mode contrairement à bien des filles qu'elle avait aperçu ici, elle était plus banale. La Japonaise typique, pas grande, peu de formes, on lui ajoutait juste quelques cernes et des cheveux toujours placé de sorte à se cacher et éviter les regards, c'était ça Tomoko. La demoiselle avait bien des questions qu'elle se posait encore, mais tout cela trouvera une réponse tôt ou tard. Est-ce que l'amour de sa vie se trouvait auprès de Mélinda ? Elle ne savait déjà pas vraiment si elle préférait un homme ou une femme à ses côtés, même si après avoir goûté à une futanari, elle risquait de voir sa balance plus penchée dans ce choix plutôt qu'un autre, mais on ne sait jamais. Et puis... Qu'est-ce qui l'attendait ce soir ? Concernant le sexe. Là, c'est comme si elle avait juste lu la quatrième de couverture d'un livre aussi grand et épais qu'un dictionnaire ! Elle avait les bases les plus basiques, le reste, c'était si vaste et large à découvrir.

Quittant le cou de Mélinda, elle relevait vers elle son regard hésitant et fuyant, faisant quand même des efforts pour maintenir ce regard plus de trois secondes avant de regarder ailleurs.

« Que... qu'est-ce qu'on va f-faire, Maîtresse ? »

Sa question restait vague, mais c'était fait exprès, elle voulait savoir, tant sur l'instant présent que dans un futur plus ou moins proche. Libre à Mélinda de répondre à une de ses deux propositions, ou même autre chose. Elles pouvaient même juste dormir et se reposer de cette soirée déjà si riche en émotion pour Tomoko, mais, même sans connaître Mélinda encore sur le bout des doigts, elle se doutait que ce ne soit pas tout pour ce soir. Ça ne pouvait pas finir comme ça. C'était comme un film, une série, on savait qu'il y allait y avoir une suite et finir sans un petit cliffhanger, ce n'était pas normal...

Mélinda et Tomoko se retrouvaient à un moment de répit, de calme bien mérité entre les deux femmes. Soupirant longuement, la vampire se dressait contre le corps de Tomoko. La petite nerveuse, qui n’osait pas regarder Mélinda il y a encore quelques jours, se serra contre elle, embrassant Mélinda dans le creux du cou. Elle reprenait brièvement ses esprits, et réalisait combien elle était chanceuse d’être ici. Tomoko-chan se tortillait lentement contre elle, et lui demanda quelle était la suite du programme. Mélinda comprit qu’elle ne parlait pas que de ce soir.

Son regard croisa celui de Tomoko, et elle lui caressa le visage.

« Et bien… Tu es l’une de mes protégées, maintenant. Cela signifie que tu auras droit à ta propre chambre au sein de mon manoir, et que tu dormiras ici quotidiennement. Tu rejoins désormais une grande famille, la mienne. Cela signifie aussi que tu ne seras plus jamais seule. »

La vampire lui sourit doucement, tendrement, et l’embrassa délicatement sur les lèvres.

« Pour le reste, tu continueras à aller au lycée, à mener ta vie comme avant… Mais au sein de mon clan. Je sais que ce n’est pas ce dont tu rêves, ma chérie, et que tu voudrais passer tout ton temps avec moi… Mais tu dois aussi comprendre que, même si j’ai l’apparence d’une jeune femme, je suis plus âgée que tes grands-parents. Je ne fonctionne pas comme les humains, puisque je suis une vampire. »

Elle réfléchissait un peu à comment aborder la chose, car c’était toujours le point compliqué. Mélinda voyait ses amantes comme des enfants, qui souhaitaient passer plus de temps avec leur mère… Ou Maîtresse. Mais ça, Tomoko-chan finirait par le comprendre.

« Mais ne va pas croire que je ne t’aime pas, Tomoko-chan… Toi et moi, nous passerons encore de nombreuses nuits ensemble… Et pas que des nuits. »

Un sourire malicieux orna ses lèvres suite à ce propos, et elle l’embrassa encore.

« Mais la nuit n’est pas encore finie… »

Mélinda se redressa alors, et attrapa la main de Tomoko.

« Suis-moi. »

Les deux femmes n’allèrent pas très loin, elles se contentèrent de rejoindre la penderie, abritant quantité de vêtements. Des tenues élégantes et sensuelles aux goûts variés. Il y avait des tenues en latex, mais aussi de belles robes, ou des tenues de haute couture. Relâchant la main de Tomoko, Mélinda se glissa dans son dos, et caressa ses épaules, descendant ensuite ses mains sur ses hanches, frottant tendrement sa peau.

« Alors, dis-moi, quelle tenue te ferait plaisir à porter ? » demanda-t-elle contre son oreille, amusée par la situation.

Elle souhaitait aussi voir comment Tomoko allait réagir suite aux révélations de Mélinda, car cela pouvait parfois… Entraîner des complications !

Dans le lit de Mélinda, Tomoko reprenait doucement ses esprits, l'orgasme retombait, du moins les effets si délicieux s'écoulaient lentement, lui laissait le bonheur, mais en version plus facile à digérer. Et aux côtés de sa maîtresse, la jeune femme se demandait à quoi allait se résumer la suite ? Autant ce soir que pour les prochains jours, elle doute qu'après avoir tant lutter à obtenir Tomoko à ses côtés, elle soit délaisser comme une vieille chaussette sale. C'est sûr qu'il va y avoir du travail pour rendre Tomoko superbe, en une véritable fille qui sert Mélinda Warren, mais cela ne se fera pas en un jour. Relooking, travail sur soi, ça n'allait pas être une mince affaire, mais la vampire avait sûrement réussie à faire d'autres miracles par le passé, sur Terre ou sur Terra. Doucement, elle lui expliquait la suite de sa servitude et déjà, il y avait un souci. Vu comment elle tournait les choses, elle sous-entendait vivre ici ? Qu'elle passe la voir souvent, voir qu'elle dorme ici le week-end, cela lui semblait pas trop difficile à obtenir, mais « vivre » ici ? Non seulement, elle risque d'être très stressée, mais même ses parents, sans être toujours sur son dos, ils allaient se poser des questions à ne plus voir leur fille chez eux !

À dire vrai, elle avait surtout retenu ce passage-là, que ce soit un mauvais choix de mot ou elle qui avait bien compris, elle paniquait à l'idée de rester ici. L'idée de secte n'était pas très loin dans son petit esprit troublé, mais outre ses paniques « normales », il y avait l'aspect parent, ect, derrière. Elle ne voulait pas causer de soucis à Mélinda... mais elle ne voulait pas rester prisonnière ici non plus. Perdue dans ses pensées, elle en fut extirpé en suivant Mélinda. Par chance, elles ne quittèrent pas la chambre, se retrouvant devant sa penderie, bien des tenues avec plus ou moins de tissu ou matière se retrouvait devant ses yeux. Elle devait choisir pour elle ? Mais elle aurait trop honte de choisir quoi que ce soit. Mais elle ne pouvait pas non plus en faire qu'à sa tête, pas après tout ce que sa maîtresse lui proposait sur un plateau. L'hésitation était un de ses nombreux ennemis, mais elle décida de lutter contre par un habile procéder pour ne pas choisir... De base, elle aurait opté peut-être pour une tenue de soubrette. Non pas qu'elle était spécialement attirée par ça, mais elle avait demander une tenue similaire à Mélinda donc, un échange équivalent en quelque sorte.

Mais pour lui répondre, elle gardait les mains jointes sur sa poitrine, frissonnante de plaisir, peut-être un peu de panique aussi aux mains de la vampire sur ses hanches. Après lui avoir tant couru après, Mélinda devait bien se douter qu'elle n'allait pas la changer en un claquement de doigts.

« Je... Que qu'est-ce... qu'elle tenue vous ai-aimeriez me me voir p-porter ? »

Si sa maîtresse choisissait pour elle, elle ne pouvait pas se tromper. Et ça restait un choix ! Après, quelle pioche quelque chose qui n'a que quelques centimètres de tissus en guise de « tenue » ou un kigurumi qui laisse peu de place à l'imagination et aux formes, ce sont les choix de la vampire. Mais au moins, ce dilemme lui évitait de trop réfléchir à ce qui l'avait préoccupé juste avant, à sa voir, si elle allait devoir vivre ici ou juste y passer du temps. C'est que Tomoko était une petite chose fragile qui avait besoin d'être rassuré le plus souvent possible. Qu'elle ne s'étonne pas si les prochains jours, elle colle Mélinda, elle risquerait d'avoir trop peur de se mêler aux autres personnes ici.

Tenue de Tomoko :

• Vue de devant,
• Vue de derrière.

Tenue de Mélinda :

• Vue de devant,
• Vue de derrière.

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Mélinda ne s’attendait pas à voir Tomoko prendre une initiative. Dans ce moment de calme, elle ne tarda pas à retrouver sa nervosité. La vampire la laissa réfléchir, et, quand Tomoko finit par battre en retraite, Mélinda se lova dans son dos. Ses seins heurtèrent sa peau, et elle posa ses mains sur chacune de ses épaules, les caressant doucement.

« D’accord, trésor… Mais je vais te bander les yeux, c’est une surprise ! »

La vampire attrapa sa propre culotte, et la posa sur les yeux de Tomoko, puis tira les ficelles vers l’arrière, pour nouer sa culotte contre sa nuque. Celle-ci était humide, et Mélinda sourit en se déplaçant, attrapant Tomoko par la main.

« Au fait… Tout à l’heure, j’ai senti ton sang tressaillir quand j’ai mentionné le fait que tu dormirais chez moi. Sache que ce n’est pas obligatoire. J’ai oublié que tu avais des parents. Certains de mes pensionnaires alternent entre ici et chez leurs parents, mais fais-moi confiance… Plus tu passeras de temps ici, et plus tu voudras y rester. »

Mélinda récupéra ensuite une tenue, et commença par s’habiller. Elle enfila une nuisette transparente avec des motifs de fleurs brodés dessus. La nuisette faisait aussi office de robe particulièrement sensuelle. Largement ouverte sur le dos, elle tombait à merveille sur le corps de Mélinda, qui récupéra ensuite une belle tenue de soubrette, et habilla patiemment Tomoko.

« J’adore habiller mes protégées… C’est comme si tu étais ma petite poupée que j’habille pour la rendre encore plus belle qu’elle ne l’est ! »

Il fallut tout de même à Mélinda un petit peu de temps pour bien habiller Tomoko. Une fois celle-ci prête, Mélinda se redressa, et l’attrapa par sa main, puis se rapprocha du miroir. Sa main attrapa ensuite la culotte bloquant la vue de Tomoko, et elle la retira d’un coup sec, avant de se mettre devant et à côté de Tomoko, ce qui lui permettait potentiellement de loucher sur ses fesses.

« Alors ? Qu’en penses-tu, ma belle ? Charmée ? »