The Multiversity

Rien ne pouvait stopper Ai, elle était en train de redevenir celle que Mélinda à connu. Recoller les morceaux pour qu'elle soit comme avant, ça prenait du temps, mais actuellement, ça prenait forme. Elle couchait avec Mélinda, sa maîtresse, mais dans son dos, Edessa prenait elle aussi son pied en couchant avec elle, ne faisant qu'augmenter son envie de jouir ! Pour d'autres c'était peu, mais pour elle, ne pas jouir une journée, c'était un exploit aussi grand que de courir un marathon en entier ! Alors oui, depuis, elle s'était libérée de tout cela et se sentait plus légère, mais penser que la petite tornade verte allait se contenter de jouir si peu ? C'était mal la connaître. Tout ce plaisir lui inondait le cerveau, elle ne pensait à rien si ce n'est jouir au plus vite et remplir sa maîtresse avec son foutre ! Le raz-de-marée blanc allait de nouveau frapper et ça allait amener la vampire directement au septième ciel ! Mais elle n'allait pas y grimper seule, Edessa prenait elle aussi son pied en Ai et toutes les trois, laissaient leur orgasme exploser ! Mélinda le sentait, son ventre gonflait, elle était autant remplit qu'elle débordait déjà d'affection de la part de son esclave. Elle n'a jamais fait à moitié pour jouir. À part en fin de journée, quand elle avait déjà trop jouis, la petite tornade verte était du genre généreuse en foutre. Et encore, même en fin de journée, elle avait encore de quoi remplir un bon verre de lait en général !

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !!!!!!! »

Edessa la lâchait, la petite futanari retombait sur sa maîtresse, elle n'était qu'une poupée de chiffon dont Mélinda pouvait jouer avec. Toute lover contre elle, elle se laissait dorloter pendant que sa maîtresse et son ventre bien rond la câlinait en lui baisant le bout du nez. C'était elle qui avait le gros ventre, c'était Ai qui respirait fort.

« Maîtresse... »

Ce n'était pas une vraie réponse, mais à sa voix, à son regard, oui, elle était heureuse et elle espérait jamais décevoir de nouveau la vampire, elle voulait la servir et vivre à ses côtés aussi longtemps que la vie le lui permettra. Elle n'osait pas câliner Mélinda sans autorisation ou autres, mais elle profitait de ses caresses, de son odeur, et même de sa présence. Ça y est. Mélinda était de nouveau le centre de sa vie. Elle espérait pouvoir jouir encore de nombreuses fois en elle ou sur elle, c'est tout ce qu'elle demandait pour vivre heureuse. Après, elle ignorait de quoi était fait demain, quand et avec qui elle partagera sa vie, avec une personne aussi importante que Mélinda à ses yeux, mais pour l'instant, elle n'avait pas l'ombre d'un indice. Elle pouvait donc pleinement profiter de Mélinda – et Edessa, car elle était avec elles, mais surtout la vampire après tout.

« Maîtresse... est-ce que vous pouvez aussi me faire l'amour ? »

Ai était certes naturellement une dominante, malgré ce que laisse penser sa taille et sa carrure, mais Mélinda était de ces personnes avec qui elle se laissait dominer. C'était quand même sa maîtresse !

Ai ne répondit pas directement à sa question, mais celle-ci n’attendait pas vraiment de réponse. La réponse  était évidente, et Ai l’exprima à sa manière, en lui demandant de lui faire l’amour. Mélinda sourit doucement. Elle avait le ventre explosé, et Ai l’avait rempli. Une femme ordinaire aurait sans doute été bien trop épuisée pour ça, mais c’était mal connaître Mélinda. Ses muscles se crispèrent brusquement, elle serra ses doigts sur les longs cheveux soyeux et trempés de Ai-chan, qui put alors entendre sa Maîtresse gémir brièvement. Ensuite, une belle verge remonta pour taper contre le corps d’Ai. La queue de Mélinda venait de pointer, et heurta celle d’Ai, remontant dessus, s’y frottant avec appétit.

« Hmmm… Une telle invitation, cela ne se refuse pas ! Mais, vu comment mon ventre est gros, je doute de pouvoir te baiser très fort, ma chérie… »

De fait, il allait falloir que ce gros ventre se dégonfle ! Mélinda soupira donc, lentement, et remua un peu. Sa verge commençait à durcir très naturellement, devenant plus épaisse, plus dure, plus forte. Sa verge témoignait de son excitation, et la vampire embrassa tendrement Ai-chan sur les lèvres.

« Mais tu peux t’empaler sur ma queue, ma petite-chérie… Je veux te voir danser sur moi. Rebondis sur mon ventre, cela m’aidera à dégonfler… Puis, comme ça, je pourrais te baiser bien fort ensuite ♥ ! » glissa Mélinda sur un ton mielleux.

Elle s’amusait de cette situation, et Edessa, de son côté, comptait assurément en profiter pour glisser sa verge là où on lui laisserait une place…

Ai profitait joyeusement de ce retour à la maison, auprès de sa maîtresse qui lui avait tant manqué en une petite journée, c'était bien la preuve qu'elle était autant attachée à elle qu'une chienne à sa maîtresse. Elle avait bien rempli la vampire, mais peu importe le trou dans lequel elle se glissait, elle a toujours été si généreuse au moment de jouir après tout. Mais faut bien dire ce qui est, dans Mélinda, c'était le luxe ! Elle était encore jeune, elle était encore loin de penser à trouver une fille avec qui passer sa vie et devenir maman, elle n'avait pas la même vision qu'Harmony à ce sujet alors qu'elles avaient à peu près le même âge. Pour la petite futa, le plaisir et le jeu avant tout ! Elle se laissait une dizaine d'années avant de potentiellement changé d'avis. C'est qu'elle n'avait même pas encore fini le lycée après tout, et sans ça, sans être contre devenir maman, elle se jugeait trop jeune pour ça. Mais baiser, ça par contre, elle avait le bon âge ! La vampire lui faisait le plaisir de sortir sa queue, elle la sentait passer entre ses cuisses, caressant la sienne, ce qui la fit frissonner ! Mais comme elle le disait, elle était trop remplis pour bien se déchaîner, mais la petite tornade allait devoir l'aider avant de pouvoir se sentir prise par sa maîtresse. Elle se rapprochait, lui prenant les mains pour les joindre aux siennes avant de doucement s’empaler sur sa queue, sa longue verge se glissant entre ses lèvres intimes. Sa verge tressautait doucement en ressentant ce plaisir l'envahir de nouveau. Car Ai était une dominante, mais pour Mélinda qui lui offrait tout un monde, elle se laissait volontairement et avec plaisir, dominé !

« Mmmmh, Maîtresse. »

Elle n'était pas encore redevenue cette fameuse Ai qu'elle avait rencontrée quand Shi lui avait rapportée qu'elle s'amusait à se branler dans les culottes des filles en cours de piscine, car bien sûr, personne ne soupçonnerait une fille pour cette affaire. Mais bon, suite à ça, elle s'était fait grillée par Shi et elles avaient passé un agréable moment dans un des vestiaires à se cacher des autres et la suite... Elle était tout aussi agréable. Remuant doucement sur elle pour se mettre en forme, elle espérait bien vidé Mélinda pour ce soit elle qui la prenne ensuite ! Elle laissait son anus de libre exprès pour ça même si elle se doutait bien que Edessa allait aussi en profiter de son côté, impossible qu'elle reste spectatrice, mais, pour le moment, Ai cherchait juste à regagner sa maîtresse avant tout. Doucement, le rythme devenait plus intense, bien décider à libérer sa maîtresse de ce poids.

*SPLOUITCH ! SPLOUITCH !*

Le ventre de Mélinda produisait des bruits sourds et spongieux au fur et à mesure que Ai-chan dansait dessus, remuant avec appétit. Ai dansait avec appétit, s’empalant sur la verge de Mélinda, mais, effectivement, avec son ventre éclaté et bien rebondi, Mélinda ne pouvait pas trop lutter ! Elle la laissait donc agir, et ses mains s’entrelacèrent contre les siennes. Ensemble, les deux femmes continuaient à remuer, et Ai remuait de plus en plus, s’empalant sur cette puissante verge, cette queue qui se mettait à durcir, à gonfler, accueillant avec joie la délicieuse chatte trempée d’Ai-chan.

Couchée sur le lit, Mélinda souriait donc, entendant avec délectation les doux soupirs de sa partenaire, ses couinements et ses soupirs. Elle savait qu’Ai-chan était habituée à dominer, à fesser, mais, avec Mélinda, les rôles s’inversaient souvent. Mélinda aimait la baiser fort, que ce soit ici, ou dans le lycée. À chaque fois que Mélinda allait au lycée, c’était pour s’amuser avec ses partenaires, pour faire l’amour dans les endroits les plus improbables qui puissent avoir lieu.

« Hmmm… Oh, Ai-chan, haaaa ! »

En appuyant ainsi avec son bassin sur le ventre de Mélinda, Ai le faisait naturellement se dégonfler, les secousses faisant sortir son sperme plus rapidement. Comme à chaque fois, après le passage de la tornade verte, le lit allait devoir être nettoyé en profondeur et en intégralité ! Mais, pour l’heure, seul comptait le plaisir immédiat des femmes ! Mélinda la laissait jouer, et, très rapidement, des mains supplémentaires se posèrent sur les épaules d’Ai.

« Ne m’oubliez pas si vite ! C’est très discourtois de faire l’amour devant une succube sans l’inviter… »

Edessa avait pris sous son aile Ai Aihara. Même avant que l’éveil de ses pouvoirs ne semble s’imposer aux yeux de Mélinda, Edessa avait senti cela instinctivement. Elle se lova dans le dos de la belle Futanari, et orienta sa verge. Sa queue caudale fila s’enrouler autour de la taille de sa partenaire, et elle s’enfonça ensuite dans son cul, commençant à la sodomiser avec envie.

« Là, oui… Ton cul est toujours aussi magnifique, ma chérie ♥ ! »

Et avoir la chance de coucher avec Edessa, c’était toujours aussi savoureux !

Pour Ai, le sexe était une grosse partie de sa journée alors forcément, pouvoir retrouver goût à cela, avec sa maîtresse, ce n'était mieux que tout au monde ! Elle préférait voir Mélinda plus active, mais elle aussi avait droit d'aimer sentir la petite tornade verte se vider en elle ! Même si c'était toujours une sacrée expérience que de sentir Ai jouir en quelqu'un. Mais pour aider sa maîtresse à se vider un peu, elle s’empalait sur elle, ainsi, elle prenait son petit plaisir en laissant Mélinda se reposer, tout en l'aidant à perdre un peu de tout ce foutre en elle. Elle lui tenait les mains, couinant et gémissant en gardant Mélinda dans son regard, sa verge tressautait, se cognant sur le ventre de sa maîtresse, qui se dégonflait doucement. Elle était ravie de pouvoir l'aider et prendre son pied, de sentir sa queue si dure bien loger entre ses cuisses, elle faisait le bonheur de la vampire, cela lui suffisait à être heureuse !

« Haaaaaan, Maîtresse. »

Elle n'oubliait pas Edessa, mais Ai, et c'était normal pour quiconque ici, pensait avant tout à Mélinda, la vampire était la priorité de tout le monde ici. Même si les esclaves avaient leur liberté et ne traînaient pas dans les pattes de Mélinda toute la journée, quand elle était présente, elle était celle qui passait avant toute chose ! Donc, que la succube se glisse dans son dos pour venir elle aussi se loger en elle, cela ne la dérangeait pas, elle sentait même sa verge se tendre un peu plus encore.

« Mmmmmmmh~ Haaaaaan~ »

Elle la sentait en elle, la prenait entre passion et retenue, même si Mélinda était encore un peu hors-jeu, elle savait qu'elle risquait tôt ou tard de redevenir un sandwich pour elles. Non pas que l'idée lui déplaise, loin de là. Elle était impatiente de revoir la vampire retrouver ses forces, son autorité, son talent, redevenir sa Maîtresse, tout simplement.

Subir de plein fouet l’un des « giga-orgasmes » de Ai était toujours une sacrée épreuve, même pour Mélinda ! Qu’elle soit un peu sonnée n’était donc pas une surprise. L’inverse, voilà qui aurait été surprenant ! Clignant des yeux, Mélinda reprenait peu à peu ses esprits, tandis que son ventre, gonflé comme un ballon de baudruche, était en train de diminuer. Petit à petit, elle émergeait, et finit par se redresser. Mélinda soupira, et Ai put sentir ce réveil en percevant la verge de sa Maîtresse. Mélinda se releva lentement, clignant des yeux à plusieurs reprises. Elle avait bien entendu Ai-chan demander si Mélinda pouvait aussi lui faire l’amour, et la vampire se releva lentement.

« Ma chère Edessa, j’ai l’impression que tu ne suffis pas à Ai-chan, elle veut que je vienne participer…
-  O-Oui, hmmm… Ai-chan est… Elle est très gourmande ! »

Edessa embrassa la jeune femme dans le creux du cou, et elle continua à remuer. Edessa s’enfonçait dans son fondement avec appétit, et Mélinda attrapa les jambes d’Ai. Un sourire malicieux orna ses lèvres, signe qu’elle avait prévu sa contre-attaque. Edessa la suivit naturellement. Elle était grande et opulente, et usa donc de ses formes au mieux. Mélinda l’aida, pliant les jambes d’Ai, aidant ainsi Edessa à faire passer ses mains sous les cuisses d’Ai-chan. Edessa releva ensuite les jambes d’Ai-chan, et mit cette dernière dans une position intense et sportive, une variante atypique d’une prise de catch, le « full nelson ». La succube grommela doucement, sentant son cœur battre doucement dans sa poitrine, tandis que son épaisse verge continuait à ramoner le fondement de Ai. Ses mains s’appuyaient sur la nuque de Ai, retenant l’ensemble de son corps, ses jambes douloureusement relevées.

Mélinda caressa les cuisses de la jeune femme, approchant sa verge du fondement de Ai.

« Laisse-moi une place, ma chère Edessa…
-  Hmmm… Je… Je vous rassure, Maîtresse… Notre chère Ai-chan peut contenir nos deux verges ! »

La vampire sourit  malicieusement, et la pénétra ensuite, sa verge venant caresser celle de la succube, se mélangeant à elle en s’enfonçant simultanément dans le délicieux cul d’Ai-chan !

Ai était si heureuse de retrouver cette ambiance, elle en a été privée qu'une journée, mais ce fut tellement long, dorénavant, elle voulait faire le bonheur de sa maîtresse et c'est tout. Prise par Edessa, elle en profitait, oui, mais c'était surtout Mélinda qu'elle observait, sa maîtresse était le centre de cet univers, car sans elle, elle n'aurait rien de tout cela. Elle a bien vu hier, Edessa avait passé une chaste nuit avec elle, pas la moindre caresse ou baiser, Ai n'avait jamais été aussi perdue. La vampire refaisait surface et elle ne tardait pas vouloir bien plus, maintenant qu'elle était de nouveau opérationnel. Sa verge tendue, Edessa lui fit changer de position en se sentant quelque peu compressée contre la succube. Un de ses avantages de sa petite taille, c'était plus simple. Elle sentait toujours la verge d'Edessa dans son fondement et devinait que sa maîtresse voudrait sa place entre ses cuisses, ce serait logique ! Sa verge se tendait aussi sous le plaisir, mais Edessa la convainquait que deux verges, ça irait très bien. Ai n'en était pas si sûre, mais elle faisait confiance à sa maîtresse qui se rapprochait.

Sa verge se pressait sur celle de la succube avant de doucement forcer l'entrée et de rejoindre Edessa en elle. Ai serrait les dents en essayant de se contenir, mais ça devenait de plus en plus dur si bien qu'elle ne tardait pas à enfin crier face à cette invasion.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !!!!!! MAÎ-TREEEEEEEEEEESSE !!!!!!!!!!!!!!!! »

Compresser entre elles, toutes les deux étroitement liées dans son fondement, Ai avait la tête en arrière, sur l'épaule d'Edessa alors qu'elle se faisait prendre, c'était si intense ! Même sa verge se dandinait sous l'effet du plaisir, compressée entre son corps et celui de sa maîtresse. La bouche grande ouverte, elle criait son plaisir, essayant malgré tout de regarder Mélinda, mais c'était compliqué. Sa maîtresse était libre de venir l'embrasser, de lécher sa langue à découverte ou même cracher sans sa bouche, Mélinda avait tous les droits de toute façon. C'était plutôt rare pour elle de subir une telle chose, mais Mélinda et Edessa venaient d'entrouvrir une porte qui aura du mal à se refermer par la suite. Le début était un peu intense, mais après... Elle allait y prendre goût.

Edessa avait décidé de faire subir à Ai une position assez intense, l’une de ces positions dont la succube avait le secret, et qu’elle pouvait faire grâce à sa grande taille. Ce full nelson était à la base une prise de catch, sur laquelle Edessa appliquait une variante toute à elle, qui n’était pas pour déplaire à celles ou à ceux qui le subissaient. Il fallait juste être assez souple pour ça. Fort heureusement, c’était le cas d’Ai, qui sentit un mélange exquis de douleur et de plaisir l’envahir. La douleur ne venait pas que de la sodomie dans cette position, mais aussi de ses jambes, et se diffusait ensuite dans tout le corps. C’était une sensation exquise, particulièrement délectable. En se rapprochant du couple, Mélinda put voir les yeux d’Ai s’écarquiller dans ses orbites, tandis qu’Edessa maintenait une position stable et solide. Elle remuait sa verge en déplaçant son bassin de haut en bas, décrivant des mouvements circulaires assez irrésistibles à voir. Puisant sur ses muscles, la belle succube de Mélinda tenait bon, ce qui n’empêcha toutefois pas Mélinda de les rejoindre.

Quand Mélinda s’enfonça en elle, que sa queue heurta celle d’Edessa, le plaisir sembla encore monter d’un niveau, atteignant d’exquis sommets. Une vague envahit la vampire, qui s’appuyait sur les jambes relevées d’Ai, s’en servant comme soutien tout en se sodomisant sa partenaire. Sa queue tendue et assoiffée se glissa en elle, et elle soupira longuement, sa verge heurtant celle de la succube. Leurs deux verges se mirent ainsi à remuer dans le fondement de la petite succube, se tortillant dans son corps.

« Oooh, Ai… Ai-chan !! »

Pour seule réponse, celle-ci hurlait son plaisir, se tortillant sur place, remuant entre les deux femmes. Edessa maintenait sa prise, ondulant encore contre elle. La verge d’Ai remuait d’avant en arrière, secouée au rythme de cette double et rude sodomie.

« Vous… Vous sentez comme son petit cul de salope est agréable, Maîtresse ? Hmmm… J’aime tant la prendre comme ça, notre… Notre petite Ai !
-  O-Oui, hmmm… Quel cul agréable, ma petite Ai-chan… Magique ! »

Clairement sous le charme, Mélinda continuait son office, dansant avec Edessa, malmenant le délicat postérieur de Ai-chan. Leur joyeuse petite Futanari se tortillait entre elles, s’apprêtant à jouir. Pour l’encourager, Mélinda déplaça sa main, et empoigna sa queue, venant la masturber avec appétit. Elle glissa dessus, la secouant énergiquement, bien décidée à la guider vers un nouvel orgasme !

Ai était prisonnière d'Edessa, mais ça en valait la peine ! Prise dans cette position très étrange, la succube la prenait sans peine et Mélinda ne tardait pas à venir en faire de même, se logeant dans son fondement déjà occupée, les deux se serraient pour mieux se glisser en celle, chose qui fit encore plus crier la demoiselle qui voyait son plaisir s'envoler encore plus loin ! La petite futanari serrait les dents, les yeux bien ouverts face à cette délicieuse intrusion, ensemble, dans le même trou, bloqué dans les bras de la succube. Elle subissait, elle n'avait pas le choix, d'autant plus qu'elle continuait de s'en vouloir, pour ce qui s'était passé alors, bien qu'un peu douloureux, elle acceptait, pour le plaisir de sa maîtresse et celui d'Edessa. Ce serait mentir de dire qu'elle détestait ça, c'était juste intense et elle n'y était pas habituée, voilà tout.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan !!!!!! »

Mais c'était si bon ! Elle subissait leurs coups de reins, leurs verge glissant dans son fondement, sa maîtresse pressée contre son corps, jouant avec le feu en la branlant encore plus vite, encore plus fort ! C'était trop pour elle, elle ne risquait pas de tenir bien longtemps si en plus Mélinda agissait de la sorte. Elle se secouait, sous le plaisir et la douleur avant que sa queue ne finisse par exploser ! Une explosion blanche et crémeuse qui jaillissait de sa petite lance à incendie. Elle arrosa abondamment Mélinda, comme il se doit, alors qu'elle hurlait de plaisir, des flots de foutre jaillissant de sa verge, venant finir par juste s'écouler le long de sa lance de chair, de laissant qu'une bosse blanche couverte de foutre entre ses cuisses.

« Haaaaaaan... Haaaaaaaan... Pa... Pardon... Maîtresse... »

Elle savait pourtant ce qui allait arriver, mais elle a continué. Elle n'allait pas lui jeter la faute, Mélinda avait agi en connaissance de cause, mais dans le doute, un pardon vaut mieux que de ne rien dire. Mais si Ai avait joui, ce n'était pas encore le cas des deux autres.

Le full nelson était une position très exigeante et lourde, et ce pour tout le monde. Ai méritait bien cette position, elle méritait de se faire prendre ainsi, de se faire besogner lourdement.  Ai était en train de perdre la raison, de s’abandonner à un plaisir particulièrement lourd et puissant. Une vague incroyable l’envahissait, et les deux femmes occupées à la prendre constataient cela avec un plaisir immense, particulièrement savoureux. Mélinda se mordillait les lèvres en agissant de la sorte, sa verge se heurtant à celle d’Edessa, déformant progressivement la délicate intimité de sa petite Futanari.

« Oh… Ai-chan, hmmm…!! »

Furieux et puissant, le désir s’exprimait  à travers leurs coups de reins. Cette double sodomie mettait Ai en heureuse position. Elle se faisait prendre avec force par les deux femmes, et n’arrivait plus à se retenir. Mélinda pouvait l’entendre hurler, et cela ne pouvait que la motiver davantage. Continuant à la prendre,  elle se délectait des hurlements de la femme, et masturbait la queue d’Ai, bien décidée à l’amener au point de rupture… Et ce point de rupture finit par arriver ! Dans un grand soupir, Ai se relâcha alors. Elle se mit à jouir copieusement, et éclaboussa tout naturellement le ventre de Mélinda Son sperme fusa, joyeux geyser blanchâtre qui éclaboussa les seins de Mélinda, et remonta jusqu’à son cou Ai eut un très puissant orgasme, libérateur et salvateur

« Oh, ma chérie ! »

Enthousiaste, Mélinda la laissa jouir avec force, et l’intéressée reprit ensuite des forces, tout en sentant Mélinda et Edessa jouir à leur tour, inondant son cul, le tapissant de leur foutre joint Mélinda était toute serrée contre la verge d’Edessa, et inonda avec appétit le fondement de la Futanari. Elle jouit avec force, encore et encore, écrasant son corps contre le sien, mélangeant son sperme, provoquant des claquements spongieux quand le sperme se frottait à leurs peaux. Elle l’embrassa à nouveau, terminant ainsi son orgasme, puis Edessa rendit à Ai son corps, relâchant la pression. La jeune femme glissa sur le sol, et Mélinda la maintint contre elle, l’empêchant de tomber. Elle posa ses mains sur ses fesses, leurs verges trempées se frottant mutuellement, et l’embrassa longuement, avec amour.

C’était un baiser sincère, un baiser qui témoignait de son bonheur à retrouver sa chérie, sa petite tornade verte de foutre.

« Hmmm… Là, comme ça, tu es parfaite… »

Mélinda lui sourit à nouveau.

« Alors, ça t’a plu, ma chérie ? »

La petite futanari était bien entourée, c'était sûr ! Elle était compressée d'amour entre elles ! Mélinda face à elle, Edessa dans le dos, les deux femmes la prenait avec force et amour, sans qu'elle ne puisse vraiment se débattre. Les deux maîtresses de la petite tornade verte n'y allèrent pas de main morte, elle grognait, gémissait, elle bavait même un peu tant la pression était forte et plaisante à la fois. Sa verge dans la main de la vampire qui la branlait pour mieux la faire souffrir de désir, elle ne mis plus très longtemps à craquer et à jouir abondamment contre elle. Son foutre fusa, éclaboussant son ventre tandis que certains jets parvenaient à atteindre sa tête et son cou. Oh ça oui, sur ça, elle n'avait pas changé d'un pouce ! Tandis que les deux femmes continuaient de se presser mutuellement en elle pour mieux la faire jouir, elles ne tardaient pas à leur tour à s'abandonner en elle, ruinant de foutre son petit anus bien écartée sous leurs triques.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNN !!!! »

Hurlant son plaisir, elle s'agrippait comme elle le pouvait à Mélinda, succombant ensemble au désir. Allongée par terre, dans une flaque de foutre, Ai était à peine consciente. C'était quelque chose de supporter une telle position après tout, surtout une première fois ! Malgré ses yeux ouverts, elle était dans le flou sous les paroles de sa maîtresse qui prenait de ses nouvelles. Mais la petite futa pressait son visage tendrement dans son cou, qu'importe qu'elle se colle à sa propre semence.

« Je serais... toujours heureuse... avec vous, maîtresse... »

Elle était toute câline, toute douce, c'était adorable. Son corps se pressait contre le sien, contre sa semence par la même occasion, mais elle s'en fichait royalement ! Elle avait retrouvé Mélinda, elle lui appartenait de nouveau, c'est tout ce qui comptait pour elle. Un câlin collant, c'était bien peu cher à payer pour sentir la pression de sa maîtresse autour de son petit corps. La luxure et sa maîtresse, deux choses qui la rendront toujours heureuse.

« Je suis si contente... de pouvoir vous enlacer à nouveau. »

Cela venait du cœur, il y avait zéro pourcentage de mensonge dedans.

Ai était… Heureuse. Son orgasme final fut une explosion de sperme, assez habituelle chez elle, et toujours aussi surprenante. Épuisée, la jeune Futanari se coucha sur le sol, en sueur, et Mélinda la rejoignit. Elles étaient ensemble l’une contre l’autre, et, quand Ai lui avoua avoir passé un très bon moment, Mélinda l’embrassa doucement dans le creux du cou, puis sur la joue. Des baisers simples et heureux, trahissant son plaisir sincère, sa joie de la retrouver. Sa petite Ai-chan… Mélinda avait dû hausser la voix, et cela avait été douloureux pour Ai… Mais aussi pour Mélinda. La vampire avait certes beaucoup d’esclaves, mais elle tenait à chacun d’entre eux.  Ses esclaves représentaient à ses yeux ce qui s’apparentait le plus à une famille. Elle avait grandi avec eux quand elle était humaine, et, à ses débuts, les esclaves de son père avaient représenté son seul noyau social. C’était donc, à ses yeux, une unité globale familiale. Elle avait certes maintenant une femme, Vanillia, une fille, Elizabeth, et son clan, mais cela ne changeait rien à cette construction, à cette éducation qui tendait à faire des personnes comme Ai des êtres très proches.

« Je refuse que tu me quittes, ma Ai-chan… Jamais. »

Et elle l’embrassa ensuite sur les lèvres. Ai allait donc suivre une formation magique. Sa petite Futanari avait déjà des prédispositions dans ce domaine, et Mélinda était curieuse de voir ce que cela donnerait. Sa Ai deviendrait une magnifique sorcière et prêtresse de la Luxure… Mélinda avait naturellement hâte de voir le résultat final ! Et, pour célébrer cela, elle l’embrassa encore.

« Tu seras toujours avec moi, ma belle… Je ne peux pas me priver de ma petite Futanari adorée ! »

Mélinda se lovait à elle, profitant de ce doux moment, ce moment de bonheur exquis…