The Multiversity

Ce qui se passait était juste incroyable, il n'aurait pas pensé cela, pas une seule fois, il avait pensé à pareil dénouement en imaginant cette sortie. Quand bien même il n'avait rien contre sa collègue de travail, ce n'était que depuis ce matin, quand ils s'étaient retrouvé si proches, qu'Hirotaka avait enfin vu combien cette jeune femme était belle. Loin de la trouver moche avant cela, il n'avait pas eu juste conscience de la chance qu'il avait de pouvoir travailler avec elle. Et là... Finir avec elle, dans le même futon, c'était au-delà de ses espérances, mais il ne comptait pas laisser passer une chance pareille. Il faut dire que la tisane offerte par Alice aidait aussi beaucoup. Hikari était en train de lui faire une fellation, il ne voulait pas la déranger, pas l'empêcher ou lui demander de se presser, mais ses mains sur sa tête restaient une façon de prouver son accord, d'avoir l'occasion de toucher ses cheveux. Non pas qu'il soit vraiment fétichiste, mais au Japon, le fait de toucher une personne, c'était quand même très privée, surtout s'il lui touchait la tête. Vu la situation, lui toucher les cheveux était loin d'être la chose la plus intime qui se passait, mais voilà, à chacun sa vision des choses.

Elle était si belle, parfaite et douce, mais son but n'était pas de la finir ainsi, juste de réveiller la bête en lui. Car quand elle fut sûre que sa verge était bien droite et dure, la jeune femme venait de nouveau le chevaucher, s'enfonçant dessus. La sensation de sentir de nouveau ses lèvres intimes presser sa queue lui renvoyait une vague de plaisir. Elle avait beau ne pas être grande ou forte – elle semblait dans la moyenne des Japonaises – elle le maîtrisait pour le moment, sans avoir recours à la violence ou autres. Elle maîtrisait tout !

« Haaaaaaa ! Hikari-chan ! Haaaaaa ! Et moi... je veux de nouveau... jouir en toi ! »

Mais elle avait déjà attaqué la première, il ne risquait pas de tenir plus longtemps que la première fois – à moins que si ? – alors il profitait de cela, savourant la moindre action de la part de cette douce femme qui se tenait à lui, son petit poids, il sentait ses mains sur son torse pendant qu'elle remuait, tandis qu'il baissait son visage vers elle, il la voyait ô combien ravissante, belle et féminine, tout simplement. C'était compliqué, car il ne voulait pas la déranger, mais plus elle remuait sur lui, plus il avait envie de prendre les choses en main. Son visage se crispait de plaisir alors qu'il la voyait, toujours plus belle, mais à un moment donné, il ne tenait plus. Il la renversa sur le côté et inversait les positions, reprenant le contrôle. Au-dessus d'elle, il pilonnait le corps d'Hikari, comptant bien donner le même résultat final, même si pour le moment, c'était à son tour d'agir. Doucement, son corps l'écrasait, gardant à la fois une posture proche et distant tandis que chaque coup de reins, il cognait au fond, mais espérant bien la remplir une fois de plus. La jeune femme méritait de jouir bien plus de fois qu'elle n'en serait capable. Chaque seconde à ses côtés, le rapprochait un peu plus d'elle.

« Haaaaa ! Haaaaaa ! Tu es haaaaa... Si belle ! Je veux te remplir, Hikari-chan... Autant de fois... que j'en serais cap-capable ! »

Plus le temps passe... plus il la désirait, de bien des façons.

Hikari succombait, elle aussi. Elle dansait sur le corps d’Hirotaka, transcendée par ce moment. Depuis quand avait-elle envie de coucher avec lui ? Elle n’aurait su le dire, car elle l’avait après tout toujours considéré comme un bon collègue, quelqu’un qui l’impressionnait par son sérieux, par son dévouement, ainsi que par ses compétences. Mais elle découvrait une autre facette d’Hirotaka, elle découvrait un homme passionné, qui sortait peu à peu de ses gonds. Il soupirait lourdement sous elle, en proie à une excitation féroce qui l’envahissait de part en part. Hikari pouvait sentir cette excitation poindre chez Hiorotaka-san. Il se tortillait sur place, peinant à conserver son calme. Son corps se couvrait de sueur, et Hikari le pressait volontiers, renonçant à toute dignité, à toute hauteur d’esprit. Oh, c’était si bon ! Elle s’enfonçait dans le stupre avec délice, et, même si elle savait que la tisane l’aidait, Hikari se sentait toujours elle-même. La tisane n’avait fait que la désinhiber avec un indéniable talent. Elle se pencha ainsi vers lui, courbant son corps vers l’avant, et partagea avec Hirotaka un baiser, tout en caressant son torse, le griffant légèrement.

« Hi-Hirotaka-chan, haaa, ta queue… Elle est si grosse, hmmm… ! J’aime tant la sentir en moi, haaa… »

Son amant ne put plus se retenir, et la retourna brusquement. Hikari bascula sur le sol, s’affalant sur les tatamis, et sentit Hirotaka la prendre à nouveau. Il s’affala sur elle, et la prit à nouveau en missionnaire. Hikari gémit doucement en attrapant la nuque d’Hirotaka. Elle serra ses cheveux dans le creux de sa main, et écarta les jambes, sentant sa verge la pilonner avec appétit. Ils copulaient comme deux animaux en rut, et ça l’excitait.

« En-Encore, Hirotaka-chan… Haaa… Encore ! »

Elle pouvait sentir son excitation, sa fougue. Hirotaka-chan la pénétrait avec vigueur, sa verge s’enfonçant dans sa chatte trempée. Il l’écrasait, s’aplatissait sur elle, et ce pour le plus grand bonheur d’Hikari ! Elle ne cherchait nullement à le repousser, mais au contraire à le sentir davantage en elle, davantage à la prendre, à la baiser !

« Oui… Remplis-moi, hmmm… Hi-Hirotaka-chaaaann !! »

Et Hikari sentit un nouvel orgasme l’envahir, la traversant de part en part…

Hirotaka avait beau être un homme sérieux, intelligent – en tout cas concernant l'histoire, Japonaise surtout – il n'aurait jamais imaginé la face sombre du lycée et encore moins soupçonner que la jeune Korvander ai pu les droguer à son insu. Son état actuel n'était qu'une sorte de réaction alchimique entre eux. Sans être un pro en chimie ou en sentiment, cette image n'était pas forcément loin de la vérité tandis qu'il écrasait le corps de sa partenaire. Hikari était si belle, si parfaite à ses yeux, pour certains, elle était une Japonaise typique vu son apparence, mais pour lui, il serait compliqué de trouvé mieux que ce qu'elle proposait. Une jolie femme, intelligente, sérieuse, à lunettes – un détail pour certains, qui comptait beaucoup pour lui, quand bien même ce point n'était pas le plus compliqué à remplir pour lui plaire – alors oui, maintenant que ce pas entre eux étaient franchis, il allait être difficile pour la gente féminine d'attiré son attention. Déjà que c'était compliqué avant... sauf s'il perd tout souvenir de cette soirée, mais ce serait étonnant que ça arrive. Son corps nue écrasait celui de la jeune femme, il était plutôt grand pour un Japonais, sans être musclé, il était plutôt bien battis, surtout en comparaison d'un Japonais moyen.

« Haaaaaa ! Mmmmmh, Hikari-chan ! »

Il tentait de faire en sorte que le haut de son corps soit au plus proche d'elle, soupirant ses mots avec passion, mais le bas de son corps tentait de se séparer d'elle, ne serait-ce que pour mieux remuer et s'enfoncer en elle. L'excitation et le plaisir se tenant la main, il ne tardait pas à enfin jouir de nouveau en elle, tout comme elle. Lui, venait de nouveau remplir son utérus de son foutre, cette fois, le corps bien plaqué contre elle, tandis qu'il sentait la cyprine éclabousser le bas de son corps. Ses couilles se vidaient en elle, sentant quelques gouttes couler le long, une sensation agréable pour eux. Il gémissait doucement, sa bouche près de son oreille, il sentait sa douce odeur, le rendant toujours plus envoûté de cette jeune femme tandis qu'il reprenait son souffle après ce second orgasme de la nuit. Lui-même n'aurait pas cru cela possible, pas en si peu de temps en tout cas.

Il remua doucement, de sorte à lui faire face alors qu'il respirait doucement, mais lourdement, il passait l'une de ses mains sur son visage, caressant sa peau de soie, affichant sans s'en rendre compte un petit sourire à son égard. Même si sa verge profitait de ce petit repos après ce second round, il passait ses mains dans le dos de la jeune femme, se redressant en emportant Hikari avec lui. À genoux, il embrassait sa collègue avec douceur, même si la douceur chez le professeur semblait doucement se mélanger à l'envie et à l'excitation, rendant cela toujours un peu meilleur, selon les envies aussi de sa partenaire. Après avoir joui deux fois en elle, par le même trou, si son appétit le lui permettait, ainsi que la jeune femme, il allait pouvoir varier les plaisirs même si, une fois de plus, elle risquait d'être un peu en retrait. Après, si elle aimait cela ou sa proposition, tant mieux, sinon, elle allait devoir de nouveau imposer ses choix, en espérant que cette fois, il ne reprenne pas les rennes en approchant de la fin.

Son corps doux, merveilleux et beau se frottait contre le sien, sa verge se réveillait doucement elle aussi, même si on était encore loin de la belle érection qu'il lui avait déjà proposé, mais, cela ne saurait tarder après.

« Hikari-chan, tu es une femme magnifique... J'aimerais encore te faire l'amour, mais, d'une façon un peu différente, cette fois. Me permettrais-tu que... je passe par-derrière ? »

Il la retenait, les mains sur ses petites fesses, malgré le coup de pouce d'Alice, il restait courtois, poli en demandant la permission de sa partenaire, ce qui était normal après tout, ils ne se connaissaient pas encore assez pour agir sans demander. Après tout, c'était aussi une zone intime, peut-être que Hikari n'aimait pas ça, ou n'avait jamais pratiqué ça après tout ? Lui-même ne s'en cacherait pas si elle le lui demandait, ce n'était pas sa première fois qu'il passait par-derrière, mais dans sa courte carrière sexuelle, il a surtout coucher « normalement » avec ses partenaires même si, ça lui était donc déjà arrivée aussi.

Hikari et Hirotaka venaient de faire l’amour avec énergie, et, tandis qu’Hirotaka avait joui copieusement en elle, l’esprit d’Hikari s’était envolé bien loin. Elle flottait avec joie dans un rêve blanc, et elle redescendait tout doucement. Elle savait qu’Alice les avait drogués, mais elle n’arrivait pas à lui en vouloir. Qui sait ce qui se passerait demain ? Mais elle était en compagnie d’Hirotaka-chan, et, plus que jamais, elle réalisait combien elle l’aimait. Oui, de l’amour, tout simplement ! Elle se pressait contre lui, heureuse de le sentir contre lui, si fort, si beau… Il n’était sans doute pas un homme plein de muscles, mais elle s’en moquait. Elle aimait son physique ordinaire, simple, sans fioriture, et elle le sentait haleter contre lui, respirant lourdement. Pour avoir une telle endurance, il fallait effectivement que son amant soit survitaminé, renforcé par les délicieuses potions de la jeune tête blonde. Hikari ignorait vraiment qui était cette jeune femme, mais elle savait qu’elle n’était clairement pas une simple lycéenne. Dire qu’Hirotaka-chan ignorait tout de cela… Un jour, Hikari devrait le lui dire, mais, pour l’heure, elle avait juste envie d’en profiter !

Pour l’heure, Hikari se sentait bien, heureuse, sereine, et… Oui, heureuse ! Elle ne se voyait pas partir ! Hikari se tortillait donc sur place, et Hirotaka-chan finit par se relever. Il retira son sexe de sa peau, mais elle sentait sa queue durcir doucement, tandis que leurs regards se croisèrent.

« Hirotaka-chan… ! »

Un léger soupir s’échappa de ses lèvres, et elle caressa la joue de son homme, son pouce glissant sur ses lèvres. À ce moment, Hikari n’avait nullement en tête l’idée qu’elle ait pu être enceinte, car ils avaient après tout joui simultanément tous les deux. Les spermatozoïdes d’Hirotaka-chan avaient donc rencontré les ovules d’Hikari, son armée blanche partant à l’assaut de son corps… Il la sortit de ses pensées en lui demandant s’il pouvait la prendre… Par l’arrière. Les yeux d’Hikari s’écarquillèrent et ses lèvres s’entrouvrirent. Le temps sembla se suspendre, et on aurait pu craindre que Hikari soit effrayée par cette proposition. Allait-elle le gifler ? Le doute d’Hirotaka était aisément perceptible.

Hikari sourit alors, et l’embrassa sur le front.

« Tu es infatigable, Hirotaka-chan… Mais… Il faudra me préparer un peu. »

Hikari se retourna alors, et se déplaça un peu. Elle se cambra, et, peu à peu, se retrouva complètement nue, présentant ses magnifiques fesses à son partenaire.

« Mais, avant ça, Hirotaka-chan, je suis choquée… Je ne pensais pas que tu appréciais autant mes fesses. Pourtant, je ne trouve pas que j’ai un si beau postérieur… Qu’est-ce que tu as envie de faire quand tu le vois, hein ? Je suis sûre que tu ressens bien des choses inavouables, mais… À moi, tu peux tout me dire, Hirotaka-chan. »

Elle insista sensuellement sur le suffixe, comme pour lui donner un tournant plus sensuel. C’était une toute nouvelle personnalité d’Hikari Harigato que Hirotaka-chan était en train de découvrir. Sous la jeune femme timide, réservée, voire coincée, il y avait une vraie succube prête à bondir, et à l’emmener avec lui dans les spirales infinies du stupre !

Cette femme le rendait fou, tout simplement. Il n'a pas été insensible aux filles et à l'amour jusqu'ici, mais sa soif de savoir et de réussite pendant sa formation scolaire plaçait les filles au second plan. Sans s'y désintéresser, il n'était pas aussi concentré sur elles que certains de ses camarades. Le Japon n'a jamais été le pays le plus en avance sur ce détail-là après tout, ce n'était pas si rare pour Hirotaka, mais même depuis qu'il était dans la vie active, qu'il avait eu ce travail, il n'avait jamais vraiment pris le temps de regarder les femmes qui l'entouraient et pourtant, maintenant, il ne voyait plus qu'elle. Certes, le lycée avait de bien belles professeures ou de femmes au sein du personnel. Oui, il ne prenait pas en compte les élèves, il n'était pas du genre à regarder les filles encore à l'école, surtout mineure ! Mais Hikari... Cette femme était d'une beauté sans défaut, sans nom, il ferait tout pour elle, tout ce qu'elle avait envie ce soir, ou plus tard, ils avaient franchi une étape et peu importe la suite, plus rien ne sera comme avant. Tout comme le fait qu'il avait des vues sur la croupe de sa collègue, un fessier des plus attirant.

La belle jeune femme lui tendait une perche, voulant savoir ce que son cul lui inspirait, mais tant de choses à vrai dire... Il était même le premier étonné que la liste soit si longue concernant son cul. Il s'en approchait, se plaçant devant ses fesses, sa main glissa sur la surface comme s'il caressait quelque chose de fragile avant de lever les yeux vers elle.

« Peu importe ce que tu en penses, ou ce que les autres en penses. Moi, je trouve que tes fesses ne peuvent pas trouver mieux ailleurs... Elles sont parfaites. »

En disant cela, il déposa un baiser sur l'une de ses fesses, continuant de les caresser pendant qu'il continuait de parler.

« J'ai tellement envie de toi, Hikari-chan... Je veux embrasser tes fesses, les pincer, même... les faire rougir, si besoin. Oui... je veux te prendre par-derrière... Comme un chien, et ne faire qu'un avec toi. »

L'image n'avait rien de très romantique, mais la sodomie, ça faisait penser à deux animaux en train de copuler, même si techniquement, les animaux ne visaient pas l'anus, mais bien le vagin. Disant cela, il écartait doucement ses fesses, découvrant son petit trou secret vers lequel, sa langue glissa une première fois, il faudrait bien la lubrifier pour la suite, mais ce n'était que le début.

« Il me sera très dur de rester concentré maintenant... Rien que de t'imaginer dans ton tailleur... Hakari-chan, je risque de rêver à toi maintenant, constamment... D'imaginer ton... ton joli petit cul sur mon visage. Tu vas me rendre fou, tout simplement. »

Cessant de parler, il passait à l'acte en venant lécher son petit cul bien comme il faut, aussi longuement que possible pour que son petit trou soit des plus lubrifier, après, il pourra venir s'inviter en elle, mais, d'abord, préparer le terrain et rendre l'insertion aussi agréable que possible pour lui comme pour elle. Même si sa queue se tendait et ne demandait qu'une seule chose, il prenait son mal en patience pour ensuite rendre heureuse sa belle Hikari.

Hikari savait qu’Alice les avait drogués, mais elle ne lui en voulait pas vraiment. Après tout, quand une femme se parfumait pour séduire un homme, elle trompait ses sens. Le maquillage aussi, à bien y réfléchir. Cette tisane n’avait fait qu’embellir les choses, arrondir un peu plus les angles pour rendre Hirotaka plus réceptif aux avances d’Hikari. Et, finalement, la digue avait sauté. Hirotaka laissait désormais parler ses fantasmes, et, visiblement, le postérieur d’Hikari en était un. Il le malaxait, tout en parlant d’une voix fiévreuse. Ses mains palpaient ses fesses sans aucune hésitation tandis qu’il envisageait de la sodomiser. Hikari avait déjà été prise par là par sa Maîtresse Nanami, mais jamais encore par un homme. Elle rougit doucement quand il indiqua qu’il comptait la prendre comme un chien, puis alla la lécher intimement.

« Haaaa… »

Les joues d’Hikari s’empourprèrent quand elle sentit les mains de Hirotaka-chan écarter ses fesses l’une de l’autre, avant de s’y attaquer. Sa langue partit à l’assaut, titillant sa porte arrière. Hikari n’avait pas été sodomisée depuis longtemps, alors sa porte arrière allait mettre un peu de temps à se dilater. Les parois anales restaient encore assez serrées, et elle gémit donc, sentant Hirotaka partir à l’assaut. Il préparait la zone, soucieux après tout que sa dulcinée apprécie cela. Quelque chose disait à Hikari qu’ils allaient bien au-delà de ce qu’elle avait envisagé, mais elle n’allait pas s’opposer à ça… Bien au contraire ! Sentir ainsi son amant se glisser en elle, jouer de sa langue avec sa porte arrière, voilà qui était exquis ! Hirotaka était bien décidé à agir au mieux, et passa donc de longues minutes à la préparer.

La chatte d’Hikari commençait à luire, et elle soupirait encore, déglutissant lentement. L’estimant finalement prête, Hirotaka commença à se redresser, et Hikari, qui haletait, sentit contre ses cuisses la dureté de sa verge. Son mandrin caressait sa peau, et elle tourna la tête.

« Hirotaka-chan… Tu ne me prendras pas comme un chien, non. »

Elle se pinça les lèvres, et rajouta ensuite :

« Prends-moi comme si j’étais ta chienne, Hirotaka-chan… Défonce-moi le cul, fais-moi hurler, fesse-moi ! Aucun homme ne m’a encore pris le cul, alors, sois le premier ! Mon cul t’appartient, Hirotaka-chan ! »

On pouvait difficilement faire plus clair.

Pris de passion pour Hikari et son joli petit cul, Hirotaka n'aurait pas pensé être aussi obnubilé par cela et pourtant, il aurait pu continuer longuement, mais il s'attaquait à ce dernier, le léchant avec minutie. Il tentait de faire aussi bien que possible, pour faciliter le travail pour la suite et il ne comptait pas s'arrêter aussi vite. Oh que non ! Il léchait son petit anus, ignorant le temps qui défilait, ignorant ses lèvres intimes plus bas alors que pourtant, il pourrait lécher cette zone aussi très longtemps. Mais pour le moment, il était penché et léchait son petit trou secret, quand bien même l'envie se faisait fort ! Mais justement, quand enfin, il n'en pouvait plus, il se redressait, sa queue caressait la peau chaude de sa camarade qui était elle aussi à cran. La belle jeune femme en voulait plus que ce qu'il avait annoncé. S'il aurait voulu jouer sur les mots, il aurait dit que qualifier leur acte comme des « chiens », chien étant lui, elle serait bien une chienne mais il n'avait pas l'esprit pour parler de ça car la suite de ses propos jetait de l'huile sur le feu. Il se pencha sur elle, sa verge se pressait contre son corps, mais il se retenait encore un peu, ses mains doucement posées sur ses hanches pendant qu'il lui baisait le cou.

« Tu me fais un bien beau cadeau, Hikari-chan... Et je l'accepte. »

L'une de ses mains remontait le long de son corps, passant brièvement sur sa poitrine, ses doigts venaient tripoter ses lèvres, puis sa bouche. Lui, il continuait de lui baiser le cou avant de lui demander de cracher dans sa main. Oh, il n'avait pas de fantasme lié à la salive... pas qu'il sache en tout cas, mais après avoir lubrifié son petit cul avec sa salive, il n'était que justice que ce soit la salive d'Hikari qui lubrifie sa verge. Il se masturbait dans son dos, lubrifiant sa verge un instant avant que son gland ne se presse sur son anus. Il ne pouvait pas rentrer facilement, puis ce sera la première fois de sa jolie professeur. Elle avait bien précisé « première fois avec un homme » mais il ne supposait pas qu'une femme – même une simple fille – ai pu passer par-là avant lui. Après avec un jouet, peut-être, mais Hikari n'avait jamais parler ou montrer une attirance pour le beau sexe. Elle ne semblait pas vierge, mais pour lui, elle l'était donc par là. Une main sur sa hanche, l'autre tenait la base de sa verge alors qu'il serrait les dents à se glisser dedans, il ignorait si c'était aussi douloureux pour elle que pour lui, mais il s'enfonçait.

« Nnnnnnngh ! Si... étroite ! »

Ce n'était pas forcément un mal, mais il se glissait en elle lentement, avec difficulté, levant parfois les yeux vers elle, pour voir si tout allait. Elle avait bien dit d'y aller plus franchement, mais pour le moment, c'était à tâtons. Il n'y était pas encore entièrement alors, inutile d'aller trop vite. Et quand enfin, il en voyait le bout, il se blottissait contre elle, ceinturant la jeune femme en venant chercher un petit baiser. Une façon de s'assurer qu'elle allait bien pour cette « première » sodomie. Un moment doux malgré une petite douleur qu'ils se partageaient.

« Mmmmh, tu vas bien ? Je peux, continuer ? »

Son corps si doux, si fin entre ses mains, il avait envie d'elle, plus que jamais, mais il gardait encore sa tête pour se comporter comme un homme et non un animal.

La sodomie pouvait donc commencer ! Comme Hikari l’avait indiqué, elle était, techniquement, encore vierge par là, dans le sens où, effectivement, aucun homme ne l’avait encore pris par là. Sans doute devra-t-elle par la suite expliquer à Hirotaka-chan qu’elle était une professeur un peu particulière, une professeur qui avait couché avec deux de ses élèves, et dont l’une avait fait d’elle sa soumise. Une soumission un peu volontaire, et qui avait, somme toute, permis à Hikari de sortir de son cocon. Aurait-elle été capable de séduire Hirotaka-chan sans cette formation préalable ? Hikari avait de quoi en douter ! Mais, maintenant, les choses étaient bien avancées ! Il n’y avait tout simplement plus aucun retour en arrière possible ! Hikari était sienne, et elle voulait que cela se concrétise au mieux ! Alors, dans son dos, Hirotaka-chan, après avoir palpé et léché ses fesses, approcha son membre. Hikari se mordilla les lèvres en sentant cette verge épaisse, ce membre solide et assoiffé titiller sa porte arrière… Puis Hirotaka-chan poussa en avant, et Hikari écarquilla les yeux. Elle se pinça les lèvres et serra ses doigts sur le lit, sentant la verge heurter sa porte arrière… Et, même si cette zone avait été préparée par la langue curieuse de Hirotaka-chan, la douleur n’en restait pas moins intense !

« Hnnnnnn… !! »

Hikari se pinça les lèvres, rougissant en s’efforçant de ne pas crier. Oh, elle ne voulait surtout pas que Hirotaka-chan s’arrête en si bon chemin… Surtout pas ! Maintenant qu’il avait commencé son affaire, il fallait la terminer ! Sa verge commençait à coulisser en elle, à s’enfoncer. Millimètre après millimètre, il s’imposait en elle, le mâle prenant la femelle, la répétition d’une chorégraphie simple, aussi vieille que le monde, et pourtant toujours aussi efficace ! Elle, elle se devait de tenir, sentant la douleur s’envoler en elle… Une douleur très particulière, indescriptible, car elle n’était pas une douleur repoussante. Ce n’était pas comme de se couper et d’avoir mal à en pleurer. Non, ici, la souffrance était bienvenue, comme une force accueillante, entraînante, qui emportait Hikari.

« Hi-Hirotakaaa… !! » réussit-elle finalement à gémir.

Plus le temps passait, et plus la sensation devenait névralgique, emportant l’esprit d’Hikari. Toutefois, quand Hirotaka-chan se pencha vers elle, elle répondit à son baiser, et grogna encore. Il lui demanda si elle pouvait continuer, et elle grogna une nouvelle fois, avant de lui répondre, la douleur agissant comme une sorte de détonateur, vaporisant toutes les barrières d’Hikari, toutes les retenues et contritions qu’elle pouvait s’infliger :

« En-Encore… Raah, oui, encore… ! Baise-moi ! Baise-moi comme si j’étais la dernière des putes, Hirotaka !! Allez, remue ta queue, et DÉFONCE-MOI MON CUL DE SALOPE !! »

Elle avait lâché ça en hurlant, comme une folle hystérique, comme si un vilain petit démon venait de la posséder… Oh, Hikari ne se serait pas reconnue dans une glace en ce moment, mais Dieu que ça pouvait faire du bien !

Poursuivant cet acte qui les unissait comme jamais sans petit coup de main secret de la part d'Alice, Hirotaka profitait pleinement de cette union avec sa collègue qui, depuis ce matin, trouvait plus belle que jamais jusqu'ici. Hikari n'avait rien fait, mais ce rapprochement soudain où, face à elle, il avait remarqué combien ce professeur de mathématiques était incroyablement belle, ce n'était pas banal ! Surtout pour lui, qui, non sans être asexué, mettait le sexe et les relations amoureuses au second plan de sa vie pour le moment. Il était dans son dos, profitant de tout ce que la jeune femme avait à lui offrir en cet instant présent. Sa douce peau qui glissait sur sa peau, son odeur qui se diffusait, le son de sa voix qui se diffusait plus ou moins fort, les surprises que lui réservait cette femme. Comment aurait-il pu l'imaginer ainsi, même en osant imaginer Hikari dans un moment si intime ? Non, déjà, la vulgarité, il ne l'aurait pas deviné alors que pourtant, elle semblait bien partie pour le surprendre encore une fois ou deux. Même pour une première fois, elle semblait plus motiver que jamais, ce qui le motivait un peu à se donner un peu plus lui aussi même s'il ne sera pas aussi rapide – à moins que la drogue n'ait pas donné encore tout ce qu'elle avait à offrir dans son corps. Son bras glissa le long de son corps, ceinturant plus ou moins sa partenaire pour la blottir contre lui pendant que ses lèvres l'empêchaient de se montrer plus grossière.

Il se recula un peu pour mieux s'enfoncer, un peu plus fort, montrant bien à sa collègue qu'il allait y aller plus fort. Pas encore de fessée ou de claque sur sa peau, mais sa main se crispait sur sa peau et quand il remontait vers sa poitrine, il en pinçait doucement sa peau. Sa main se montrait légèrement plus forte, mais sa bouche continuait de parcourir ses lèvres ou sa peau, parfois, il était bon de la laisser couiner un peu plus. De délicieux bruits à ses oreilles, même si lui aussi grognait un peu en remuant en elle, il restait un peu à l'étroit, mais continuait tant bien que mal. Mais lui aussi était décidé de passer à la vitesse supérieure, sa main glissa sur sa hanche, repoussant doucement Hikari pour qu'elle se penche en avant, à quatre pattes, il allait lui faire plaisir.

« Si tu veux tant être ma chienne... commence par en avoir la posture. »

Bien attachée à elle, il entamait les premiers coups de reins plus solide, à la bonne allure et oui, après avoir trouvé son rythme, la première claque arriva. La marque de sa main s'imprima sur sa fesse droite pendant quelques secondes en remuant le corps d'Hikari contre le sien, ses bourses remuant, parfois en tapant la peau de la jeune femme quand il se montrait un peu plus endiablé.

« Je te savais... pas si Chienne !!! Mmmnnnhh ! Et étroite ! Ha ! Bo-bordel, t'es si bonne ! »

Lui aussi, il se lâchait un peu plus, doucement, sa carapace se fissurait.

On était typiquement dans ce genre de cas où, si on la filmait et si on lui montrerait ensuite les images, Hikari ne les croirait pas ! Ce ne pouvait pas être elle, cette folle qui se dandinait, qui se faisait sodomiser, et qui poussait des jurons aussi grossiers ! Non, non, voyons ! Et pourtant… Oui, pourtant, en ce moment, Hikari était totalement dans son rôle… À 200%, aurait-on pu dire ! Rien d’autre ne comptait, rien d’autre n’importait que cette sodomie, que cette vague en elle. Elle avait déjà ressenti ça avec Alice ou Nanami, mais, ici, l’intensité sexuelle était encore plus forte. Il n’y avait plus aucun tabou, plus aucun blocage, car elle ne couchait pas avec l’une de ses élèves, mais avec un autre professeur. Quelqu’un qui, comme elle, avait longuement refréné ses pulsions, avant de commencer à les assumer. Et là, la digue sautait. Hirotaka-chan la prenait avec force, et lui indiqua qu’il était temps pour elle de se comporter comme une chienne.

« Haaa… Hi-Hirotaka-chaaaann… !! »

Il l’embrassa, puis se redressa ensuite, et donna une claque sur ses fesses, non sans les palper. Petit à petit, les deux se lâchaient, s’abandonnant totalement. Cette grosse gifle fit naturellement réagir Hikari, qui se retrouvait prise à quatre pattes, étant désormais bel et bien en position de chienne.

« Wou-Wouff !! Haaa… !! Woouuff… !! »

Elle… Elle aboyait ! Hikari en était toute rouge, mélange de honte, de plaisir, d’excitation… Bref, de tout ! Et, en ce moment, tout ce qu’elle voulait, c’était que ce moment continue, encore et encore… Car c’était tout simplement bien trop bon !

Absorbée par l'ambiance apparue d'un coup dans sa chambre, Hirotaka ne se reconnaissait pas, il profitait pleinement du cadeau que le monde lui faisait. Quand bien même, aujourd'hui ses idées auraient pu divergé vers un futur commun avec sa collègue Hikari, il imaginait quelque chose de plus niais et innofenssif alors que là, c'était tout le contraire. Sans être deux personnes sauvages, ils étaient plongés dans la luxure, se libérant comme ils pouvaient, leurs pulsions et leur envie dirigeait leur corps. Accrochée à elle, il la besognait avec force, mais aussi avec amour, en partie. Cette sublime jeune femme était parfaite à ses yeux, bien qu'il ne l'ai remarqué que tardivement, il ne courrait pas après la blonde pulpeuse sortie d'un film Hollywoodien, ni même d'une minette trop jeune, non. Hikari était une Japonaise typique en apparence, mais son look élégant, sobre, sérieuse et surtout son intelligence, cela était les atouts qu'elle se donnait pour se sortir du lot et pour lui, ça valait tout les artéfices. Pris dans l'effort, ses mains claquait cette chair chaude et douce, variant entre une bonne claque sur le cul de cette chienne et une bonne prise.

« Haaaaaa ! Oh Hikari ! Hikari !!! »

Loin d'en avoir fini avec elle, il continuait, poursuivant son travail avec elle, soupirant en faisant bien des efforts. Sans être stéréotype, il ne faisait pas de sport en étant professeur d'histoire, mais il était un homme bien dans sa peau, loin d'avoir une petite bedaine ou autre, il était dans la norme, même s'il était plus grand que la moyenne des hommes japonais de son âge. Entendre cette femme aboyer avait un petit côté excitant, faut bien l'avouer, mais il n'aurait pas pensé ressentir une forme d'excitation face à cela. Oh, il ne jugeait pas les gens qui aimaient ce genre de choses, il n'avait jamais prêté attention à cela jusqu'ici. Il savait bien que les gens avaient bien des fantasmes – et au Japon, des fantasmes « originaux », il en avait des tas – mais bon, comme quoi, il ne s'était jamais vraiment posé la question. Il continua, ses claques venaient parfois caresser sa peau après impact, pour en pétrir cette petite chair si douce et chaude tandis qu'il se penchait doucement sur elle.

« Bombe-moi ton cul... ha, mais reste en partie allongé ! »

Le haut de son corps pouvait s'accroupir, mais le bas devait plus se redresser car, à peine eut-il prononcé ces mots qu'il posa ses mains sur le futon, surplombant Hikari sans l'écraser. Il tendait ses jambes, comme elle, donnant ainsi de meilleurs coups de reins, plus fort et plus dynamique en soupirant et en grognant sous l'effort. Il sentait la sueur perler sur sa peau pendant l'acte qui allait le mener très bientôt à l'orgasme, encore. Cette fois, il allait remplir l'étroit petit fondement du professeur de mathématiques.

« Hi-Hikari-chan ! Je haaa, je viiiiiiens ! Haaaaaaaaaaaaa ! »

Ses poings se serraient sur les draps pendant qu'il sentait sa queue expulser le foutre, vidant ses bourses en elle, un plaisir dont il voulait encore profiter longuement ce soir, et même encore après. Il avait goûté au fruit défendu et à présent, il ne voulait pas croquer le fruit, mais en manger encore plus ! Chaque fruit que cet arbre pouvait produire, il voulait tout les manger. Il allait jouir avec elle, en elle, sur elle, de nombreuses fois. Il le voulait, il le ferait. Tandis que l'effet bénéfique se dissipait doucement, son excitation ne s'était pas tarie pour autant, mais il s'était calmé, au moins pour quelques minutes alors qu'il l'écrasait doucement, lui laissait l'occasion de changer de position si elle le souhaitait, son corps nu servait de rempart, il la protégeait, du froid ou de n'importe qui ou quoi cette nuit.

« Je regrette tellement, Hikari-chan... Je regrette de ne pas vous avoir remarqué plus tôt. Est-ce que tout va bien ? Je n'ai pas été trop violent avec toi ? »

Malgré la fougue qui l'habitait, il restait encore prévenant avec elle, la passion n'avait pas assez embrumé son cerveau pour le transformer en une simple bête de sexe.

Hirotaka-chan la prenait avec une telle force ! Oh, quel pied ! Hikari était en train de succomber à tout ça, à cette vague de jouissance infinie ! Le plaisir l’envahissait pleinement, se mélangeant à une douleur exquise et intense. Hirotaka-chan se déplaçait doucement, avant de s’allonger dans son dos. Elle le sentit s’arquer, bander ses muscles, et il continua à la bourrer, encore et encore, grognant derrière elle. Une vague intense, jouissive, qui la faisait trembler. Hikari le sentit s’abandonner en elle, et elle s’affala contre le tatami, soupirant longuement, le corps en sueur, sa longue chevelure défaite. Hirotaka-chan était très endurant, et il soufflait lourdement dans son dos. Elle sentait sa sueur sur son peau, elle se sentait doucement écrasée par lui, et cette sensation était tout simplement délectable. Hirotaka-chan agissait avec force et passion, laissant enfin parler en lui l’homme qu’il était, sortant du carcan du professeur strict et rigide.

« Hannn… Hi-Hirotaka-chaaaann… !! »

Hikari gémit encore, se tortillant sur le tapis, coincée par Hirotaka-chan. Il lui avait demandé de ne pas trop se coucher, mais, plus il la pénétrait, et plus il la prenait avec force, et plus elle avait du mal à conserver son équilibre… Ce qui fit qu’elle finit par glisser, et s’étaler sur le tapis, griffant le tapis, couinant longuement , avant de le sentir se finir en elle. Elle-même gémit longuement, sentant son orgasme la traverser. Tout son corps frémit sur place, et elle s’affala sur le tapis, soupirant longuement. Hikari resta silencieuse, sentant alors Hirotaka-chan se retirer, et lui demander comment elle allait. Son timbre de voix reprit sa douceur naturelle. Pendant un bref moment, Hikari ne répondit pas immédiatement, et se retourna lentement. Elle se coucha sur le dos, le cul doucement endolori, ne ressentant pas encore vraiment la douleur. Elle était après tout encore assez excitée, et caressa la joue de son amant, puis lui sourit ensuite.

Une lueur amusée dans les yeux, Hikari frotta ses jambes contre les siennes, et l’embrassa sur les lèvres, en caressant ses cheveux.

« Et bien… Pour être honnête, je pense que tu aurais pu faire mieux… »

Elle se tut pendant quelques instants, et reprit ensuite, l’embrassant sur la joue.

« Tu aurais pu m’insulter, me gifler, ou tirer sur mes cheveux… »

Hikari était débridée, totalement débridée ! Elle resta lovée contre Hirotaka.

« J’aime quand tu me baises comme ça, Hirotaka-chan… »

Le sexe n'a jamais été aussi bon. Loin d'être un spécialiste, il avait quand même eu quelques orgasmes en charmante compagnie, mais dans ses souvenirs, jamais à un tel niveau, ce qui mettait Hikari sur un piédestal, comme si ce n'était pas déjà le cas. Il avait joui en elle, de nouveau et il se sentait doucement redescendre sur Terre tandis que, bien qu'elle en était ravie, sa collègue avait un petit détail à corriger. Elle aurait préféré le voir plus brutal, grossier. Cela ne collait pas à son image, ni même à celle de la jeune femme. Vulgaire, encore, il pourrait peut-être y parvenir avec un peu d’entraînement et d’habitude. Lui tirer les cheveux ? La gifler, sûrement sur la fesse bien qu'elle n'avait pas précisé, ça aussi, ça semblait trop pour lui. Même si faire quelques efforts, ça pourrait changer, mais dit comme ça... Malgré ses petites choses dont elle avait envie, ça ne retirait rien au fait qu'elle a aimé.

« J'aurais du mal à faire ça, Hikari-chan... Tu es si belle, douce et parfaite. Tu n'as pas le profil, ni l'apparence de ce genre de fille vulgaire. »

Ça semblait rien, dit comme ça, mais on parlait d'un homme qui ne pensait pas avoir de fantasmes ou de préférence sexuel. Là où il a déjà entendu certains collègues évoquent des infirmières en latex, des filles soumises et déguisé en étudiante, lui... Une femme, c'était déjà bien suffisant, non ? Alors évoqué cela, c'était un peu comme dire que l'habit faisait le moine. Une « salope » méritait d'être traitée comme ça. Là, il avait commencé la soirée avec une superbe femme en yukata, comment imaginer une telle suite ? Certes, pour le coup, l'habit ne fait pas le moine, mais justement, cette soirée s'était si bien passée, elle avait été si douce. Sa main caressa doucement son corps, la douceur semblait être dans ses cordes en tout cas.

« Comme tu es, cela me suffit amplement. Après, si c'est ce que tu veux vraiment, je ferais des efforts pour toi. Mais la Hikari que je connais est si belle, douce et gentille. Elle ne mérite ni insulte, ni fessée, ni tirage de cheveux. Là, tout ce que je veux t'offrir, c'est de la douceur, de l'amour. »

Comme il le disait, si elle le voulait vraiment, il le ferait mais la pression étant doucement retombé, difficile de se prononcer pour le moment. Il lui avait bien mis une petite fessée ou deux en insinuant qu'elle était une chienne, l'espoir était permis, mais ça n'allait pas se faire en un claquement de doigts. Tout contre elle, il retourna chercher ses lèvres, sa verge reprenant du poil de la bête, se redressant contre sa peau.

« Dis-moi ce que tu veux cette fois... je tâcherais de faire des efforts pour te rendre heureuse... Ma... Ma belle petite chienne ? »

Est-ce qu'elle avait demander ça sur le coup et donc, ça ne passe plus ou en avait-il l'autorisation ? Voilà un terrain qu'il ne maîtrisait pas encore...

Hikari était couchée sous Hirotaka, et elle lui sourit doucement. Ils venaient de jouir, mais l’idée de l’insulter semblait en l’état impossible pour Hirotaka, qui lui avoua qu’elle la trouvait trop douce et trop gentille pour oser l’insulter. Hikari rougit chaudement, et se mordilla les lèvres en le regardant. Elle sentit la verge d’Hirotaka se redresser contre sa peau nue, et elle l’enlaça, venant l’embrasser avec force. Sa main se serra sur sa nuque, et ce fut un long baiser, passionnel. Quand ils le rompirent, elle lui sourit alors.

« Je t’aime, Hirotaka… »

Elle le lui avoua sans difficulté, car cela semblait être la chose la plus naturelle au monde… Et, dans la foulée, elle donna un coup de hanches, et retourna Hirotaka. Son amant se retrouva sous elle, et elle se redressa, venant le chevaucher. Elle sentait le durcissement de sa verge dans le renflement de ses fesses, comme une douce tige durcie qui s’appuyait sur elle. Hikari se mordilla les lèvres, et remua dessus, d’avant en arrière. Sa main s’empara de la verge d’Hirotaka, et elle se redressa, jusqu’à ce que ce membre ne se glisse de nouveau en elle. Hikari soupira, et commença à danser sur lui. Elle était si belle, et faisait preuve d’une assurance dont on n’aurait jamais pu la croire capable ! Hikari gémit donc, et remua de haut en bas, tout en gémissant doucement.

Son regard croisa le sien, et elle attrapa les mains d’Hirotaka, chacune dans la sienne, et appuya dessus. Elle commença donc à remuer, s’appuyant sur ses genoux, et lui répondit alors :

« Tu as le droit de me fesser, Hirotaka-chan… Ne crois pas que ce soit un manque de respect, hm… C’est ça, l’amour, faire des choses contradictoires, mais fusionnelles… Haaaa… »

Hikari gémit encore, continuant à danser sur lui. Elle ignorait encore quand elle pourrait lui dire qu’elle faisait l’amour avec Alice… Car, tôt ou tard, elle finirait bien par le dire ! Mais, pour l’heure, elle dansait sur lui, sentant avec délectation sa verge enfler en elle ! Elle se pencha en avant, et posa ses mains sur ses épaules, puis l’embrassa à nouveau. Un baiser fougueux, qu’elle rompit ensuite en souriant.

« Si tu veux être si doux… »

Elle resta lovée contre lui, et murmura contre son oreille une idée saugrenue, curieuse de voir comment il réagirait à cette phrase :

« Tu sais que tu as un corps parfait pour te travestir ? »

Il ne jugeait pas, il savait que des hommes comme des femmes aimaient parfois ce genre de comportement, que ce soit comme on dit, pour un jeu de rôle ou naturellement, mais lui, il n'avait jamais été un grand fan. Pas vraiment de la pratique, mais du sexe en général. Il ne crachait pas dessus, trouvait les femmes belles et séduisantes, mais il n'était pas aussi actif que devrait l'être un homme de son âge ou, à défaut d'être actif, intéressé. Sa carrière passait en premier plan après tout. Mais ce soir, face à Hikari, doucement, la jeune femme commençait à prendre plus d'importance, devançant chacune de ses priorités, laissant de côté tout le reste pour qu'elle soit au centre de tout. Pour elle, il pouvait faire bien des choses, peut-être, arriverait-il a garder la tête et à ne pas partir dans l'excès, mais pour le moment, elle restait la seule femme qui l'obsédait, dans le bon sens du terme. Cette même femme qui avouait avec simplicité qu'elle l'aimait. Dans d'autres circonstances, il aurait perdu ses mots, ne sachant pas quoi dire, mais là, il avait la même attitude qu'elle. Les mots l'atteignait et lui faisait plaisir, mais il n'était ni choqué ou autre, son attitude ne changeait pas d'un poil !

La jeune femme venait à le retourner, laissant son poids l'écraser pour qu'elle s’empale sur la verge d'Hirotaka. Il gémit face à cela, tandis que ce petit bout de femme venait prendre ses mains, le guidant en lui faisant comprendre que la fesser ne serait pas un manque de respect, ni un mal. Elle semblait bien connaître le sujet, par expérience ou simplement en ayant vue bien des dramas ou autres, il n'en savait rien, il ne la connaissait pas assez bien pour connaître ses sources. S'il savait... Quelle serait sa réaction ? Rationnellement, il trouverait ça dangereux qu'elle fricote avec des mineurs, surtout ses élèves ! Dans les faits... Il restait un homme, l'idée de voir Hikari avec une autre femme, pourquoi pas ! Mais bon, c'est sûrement bizarre dans cette ville, mais Hirotaka n'était pas attiré par les jeunes, non pas que ce soit l'opposée, mais c'était la raison ou son sens moral, mais des mineurs, il était naturellement repoussé donc imaginer sa partenaire avec une élève, il trouvait ça dérangeant... Imaginer Hikari avec une collègue, c'est déjà plus intéressant. Mais il était trop tôt pour parler de ça ou même espérer aborder le sujet en toute innocence, pour le moment, seulement elle suffisait à ce jeune homme pour le motiver plus que de raison. Mais il faut bien dire que les derniers mots de la belle professeure de mathématiques avaient de quoi le sortir un peu de tout cela. Lui ? Se travestir ?

« Quoi ? »

C'était sorti de nulle part, rien n'avait amener une telle façon de pensée – sauf si elle l'avait toujours vue ainsi – mais il était loin d'être extraverti au point d'en arrivée là. Même si ça lui était arrivée de boire un verre avec ses collègues, cela restait un seul verre, pas de quoi l'imaginer partir si loin. Se déguiser en femme, sérieusement ? Une fois encore, il n'avait rien contre les hommes qui allaient si loin, n'oublions pas qu'au Japon, il y a bien un personnage de télévision qui se fait appeler Hard Gay ? Pas besoin de faire de dessin donc il doit bien y avoir quelques Queers célèbres, mais autant il connaissait les grands noms de l'histoire du Japon, autant ce genre de noms n'était pas ou très rarement demander lors d'examen. Mais du coup, c'était quoi la condition ? Pour être doux avec elle, il faut se déguiser en femme ?

« Je n'ai pas besoin, hum, d'aller jusque-là pour te le prouver. »

Il connaissait mal cet univers, mais qui dit homme qui se déguise en femme, il imaginait ce dernier plutôt soumis du coup ? Il n'avait pas vraiment le bon état d'esprit pour endosser un tel rôle. Mais peut-être Hikari saura agiter un appât qui pourrait le faire changer d'avis, mais sur un simple coup de tête, ce n'était pas gagné. Comme pour le prouver ou changer de sujet, sa main droite s'abattait sur sa fesse, laissant naître un petit sourire en coin, baisant ses lèvres avant de rajouter.

« C'était une provocation de ta part ? »

Qui sait, après tout ?

Dansant joyeusement sur lui, Hikari était aux anges. Oh, que sa verge était bonne ! Elle s’unissait à ce solide membre, dansant dessus avec joie. De haut en bas, son corps dansait sur cette solide queue, tandis qu’elle lui avait fait une proposition des plus insolentes, et des plus inédites. Une idée qui avait jailli de son esprit… L’imaginer, lui, déguisé en femme… D’ailleurs, la proposition ne manqua pas de le surprendre ! Hirotaka-chan la regarda, se demandant même si Hikari ne plaisantait pas. Elle sourit alors, et se pencha en avant. Son corps s’abattit sur le sien, et elle l’embrassa avec appétit, plaquant amoureusement sa bouche à la sienne.

« Hmmm… »

C’était un baiser plein de fougue, empreint d’énergie, où elle se pressa chaudement contre Hirotaka-chan, coupant court à ses interrogations. Elle, plaisanter ? Elle aurait pu basculer en arrière, rebrousser chemin en feignant la plaisanterie, oui, mais le désir l’envahissait. Elle se redressa donc, un sourire enjoué sur les lèvres, et recommença à danser sur son corps, le chevauchant avec passion. On pouvait entendre la verge de Hirotaka-chan taper contre son col de l’utérus alors qu’elle s’enfonçait jusqu’à la garde en lui. Les douces joues pâles d’Hikari prenaient une teinte rosâtre, tandis qu’elle soupirait longuement, sentant les mains de son amant se crisper sur ses cuisses. Après tant d’années, elle était désormais convaincue d’avoir trouvé son mari. Tout comme l’alcool déliait la langue, le sexe la rendait euphorique. Elle s’imaginait déjà enceinte… Oh ! Hikari soupira, et lui sourit alors.

« Hum… Peut… Peut-être, haaaa… »

Hikari soupira encore. Elle ne voulait pas non plus que son idée soit mal interprétée par Hirotaka-chan. La sueur coulait sur le corps de Hikari-chan, dont le désir était réel, sincère.

« Peut-être que, malgré ta grosse verge en moi, Hirotaka-chan, je te vois bien devenir… Ma meilleure amie, hmmm… Homme ou femme, tu es si beau, et… Haaaa… J’aime tant te sentir en moi, mon chéri… »

À bien y réfléchir, elle se demandait comment ils avaient pu si longtemps se voiler la face ! Certes, l’aphrodisiaque d’Alice agissait, mais il n’était qu’un catalyseur, révélant au grand jour des pulsions longuement refoulées.

« Et toi, haaa… Tu-Tu aimes être en m-moi, haaann… ? »

Lui, en femme ? Il ignorait où et comment elle avait pu trouver une idée aussi insensée ! Ce n'est pas comme si elle avait découvert que ce dernier portait une culotte de femme ou qu'il était maquillé, ni l'un, ni l'autre. Sinon ça voulait dire quoi, qu'Hikari serait l'homme ? Elle, déguisée en homme avec une verge ? … étrangement... L'idée de cette femme avec une verge ne le repoussait pas ? Peut-être, car il était actuellement détendu et si bien avec elle qui remuait sur sa queue, l'idée d'imaginer cette magnifique femme avec un pénis... ce n'était pas dégouttant à ses yeux. C'était à méditer, au calme, loin de l'euphorie du moment et à bien penser chaque situation, mais contrairement à elle, cette idée, aussi saugrenue et subite soit-elle, il ne la partageait pas à voix haute. Il se contentait de l'observer, elle, si belle et menue sur son corps, il savourait ce plaisir non pas inédit mais bien trop rare à son goût. Il sentait sa queue cogner au fond d'elle, mais ce n'était pas grave, ce n'était pas douloureux pour lui comme pour elle, c'était même une excuse pour continuer et aller plus loin tandis qu'il la sentait se coller contre lui, dans un nouveau baiser. Ses mains la serrait contre lui, qu'elles soient sur ses fesses ou plus simplement dans son dos, il touchait cette douce peau contre laquelle il se frottait involontairement.

C'était peut-être l'aphrodisiaque qui parlait, mais même lui en était sous son charme, il ne relevait pas les mots doux, en temps normal, il ne trouverait pas ça déplacer, mais cela ne le laisserait pas de marbre, là, quand bien même il entendait et acceptait volontiers, il n'avait pas ce déclic, pas ce soir en tout cas. Il se contentait de l'observer avec amour, savourant tant ses mots que ses actes. Glissant le long de son corps, ses mains venaient presser ses fesses, un léger sourire malgré tout en travers du visage.

« Et comment ! Hmmm oh, Hikari-chan... Tu es si magnifique... je veux te faire l'amour... jusqu'à l'épuisement, je remplirais haaaa ! Chacun de tes trous... mmhhh, je te veux, ma chienne ! Non ! Ma chérie. »

Même si les rôles comme les noms pouvaient switcher, l'ambiance semblait ne pas être – pour le moment – à la traiter comme une chienne, mais comme la sublime jeune femme qu'elle était. Il ne voulait pas lui imposer le rythme, il lui avait déjà volé ça juste avant, il devait laisser ses mains ne pas guider Hikari, donc, surtout au-dessus de la ceinture, l'une d'elles glissant même sur son visage, se calant derrière sa tête, ses doigts glissant entre ses cheveux.

« Je te laisserais hmm, prendre les choses en main... parfois... Mais sache que, haaa... Je saurais te combler... et te montrer tout mon amour, pour toi. »

Prenant appui, il approchait sa tête de la sienne dans un nouveau baiser plein de passion, laissant sa belle collègue décider si elle voulait accélérer les choses ou les faire encore un peu traîner, tant qu'il pouvait sentir ou voir sa beauté, il n'allait pas s'en plaindre quand même.

« Ma chérie, haaa, je te veux, ce soir, demain, tous les jours ! Tu es ma drogue, mhhh ! Je peux déjà plus... me passer de toi ! »

C'était l'aphrodisiaque qui parlait un peu, car il n'était pas si possessif, même en étant amoureux, mais là, dans la folie du sexe, oh oui, il la voulait à ses côtés à jamais. Il se libérait doucement, mais sûrement de cocon qu'il avait forgé.

Hikari et Hirotaka s’envoyaient joyeusement en l’air, et, la passion aidant, se mettaient joyeusement à délirer. Hikari avait lâché un curieux fantasme sur le fait de « féminiser » Hirotaka. Nul doute que, si elle avait pu lire dans les pensées, et apprendre qu’Hirotaka fantasmait aussi à l’idée d’avoir une Hikari membrée, celle-ci se débrouillerait pour que cette situation fantasmagorique se concrétise vraiment. Elle avait déjà pu voir, avec Nanami et Alice, que les femmes pouvaient être hermaphrodites. À Yoake, tout était possible, et cet aphrodisiaque en était la preuve. Ils en avaient à peine bu un peu pour que les deux se libèrent complètement. Hikari sourit quand Hirotaka lui indiqua combien il l’aimait, et rougit quand ses pensées le trahirent, et qu’il la qualifia de « chienne ». Elle sourit donc, sentant toujours le renflement de sa verge, ses mains trempées venant palper ses fesses. Hikari se sentait comme possédée, totalement désinhibée. Oh, quel spectacle ! Hikari le sentait encore en elle, et cette sensation était extrêmement plaisante, jouissive à souhait ! Elle le laissait se tortiller sous elle, tandis qu’il multipliait les douces attentions à son égard.

Gémissant lentement, Hikari se pencha vers Hirotaka, et l’embrassa fiévreusement, son corps se pressant contre le sien.

« Hi-Hirotaka… M-Moi aussi, je te veux… Maintenant, demain… Tout le temps ! Hi-Hirotaka-chaaann… !! »

Elle répétait son nom en soupirant, sentant sa mouille suinter de ses lèvres intimes. Hikari recommença à danser, plus fortement encore, faisant trembler le sol. Le tapis sur lequel ils étaient couchés était couvert de leur sueur. Hikari gémissait encore, haletant fortement, laissant le désir l’envahir pleinement. Des vagues onctueuses remuaient en elle, et se concentraient autour de cette verge, ce beau membre niché en elle, ce membre planté qui la marquait comme on plantait d’un drapeau un territoire à conquérir. Oui, oui, elle lui appartenait, elle lui appartenait pleinement, et, en ce moment, c’était la seule chose qui comptait vraiment !

« Hi-HIROTAKA !! »

Dans un soupir, la professeur s’abandonna. Ses mains griffèrent le torse d’Hirotaka, tandis qu’elle se relâchait, et contractait un nouvel orgasme, impatiente de sentir la saillie de son amant, de sentir son foutre en elle…

Étendue sur le futon, Hirotaka savourait la douce vision de sa collègue qui dansait sur son corps, la séduisante jeune femme était à ses yeux la plus belle femme qu'il n'avait jamais rencontré. Il y avait peut-être plus belle, mais il ne l'avait jamais rencontré puis après, tout était une question de goût. C'était peut-être dû à ce moment, mais il imaginait mal une autre femme pouvant détrôner Hikari tant elle était belle sur le moment. Et encore, rien ne la mettait spécialement en valeur sur le coup. Si elle réunissait tout ce qui pourrait jouer en sa faveur, là, oui, rien ni personne ne pourrait la surpasser. La belle et jeune professeur de mathématiques continuait de danser sur sa verge tout en éprouvant les mêmes envies que lui, ne plus se séparer, laisser de côté tout le reste pour juste laisser parler leurs envies de luxure. Sa chaleur corporelle, sa sueur, son odeur, tous ces petits riens formaient un tout de plaisir qu'il ne voulait pas laisser échapper, même quand elle approchait de l'orgasme, son visage se déformant sous le plaisir, tout comme lui, mais la voir et la sentir jouir, c'était trop pour lui. Ses mains s'agrippaient à son cul, pressant ses fesses en la plaquant contre lui, le sperme venant de suite inonder une fois de plus son utérus pour leur laisser à tout les deux une sensation des plus agréables.

« HAAAAAAAAAAAAAAA HIKARI !!!!!!! »

Il se vidait en elle, ses bourses se vidaient et le bonheur s'installait. Après quelques tressauts de sa verge pour expulser le plus possible, il se détendait, n'ayant pas ou peu fait attention aux coups de griffes de la jeune femme sur lui. Ce serait même vu comme un honneur en quelque sorte. Reprenant son souffle, ses bras autour d'elle, elle réalisait encore mal ce qui se passait, il savourait l'instant présent, seul le bruit de leur respiration trahissait le silence installé dans la chambre. Le calme après la tempête même si elle n'allait pas tarder à reprendre. Elle qui était si belle avec ses yeux bleus, autant dire une beauté rare pour une Japonaise, mais ce n'était qu'un détail qui la rendait belle, elle était bien plus que cela. Car après quelques instants de calme et de repos, ses mains parcouraient son corps si doux, remontant autant vers sa tête que descendant vers son petit cul d'amour.

« J'en ai encore envie, Hikari... Mais cette fois... je veux te prendre par-derrière... Ton petit cul... doit être si agréable. »

Disant cela calmement, sa main ou plutôt ses doigts glissaient sur sa joue, un instant romantique et un tantinet lubrique aussi.

Hikari dansait sur son corps. Elle s’unissait à son amant, à Hirotaka-chan, ne faisant plus qu’un avec lui… Unis ! Han, quelle sensation exquise ! Elle le sentait se crisper à elle, matraquer ses fesses, couinant et soupirant contre elle, sa verge tendue prête à exploser dans sa chatte. Hnn-hnn, Hikari salivait de bonheur à ce contact ! Et voilà qu’elle remuait encore, engloutissant cette belle verge dans sa chatte. Sa queue tendue disparaissait en elle, membre turgescent et assoiffé qui ne demandait qu’à expulser d’épaisses quantités de foutre dans sa chatte trempée. Et comme elle en avait envie ! Oh, oui, sincèrement ! Cette vague l’envahissait pleinement, ce désir la dominait totalement… Irrépressible, insurmontable ! Elle mouillait contre lui, enserrant sa verge entre ses lèvres intimes, se crispant à lui.

« Haaa… Haaaa… Hi-Hirotaka-chaaaann… !! Ç-Ça v-vient… ! »

Et ça vint ! Hikari se relâcha, sentant sa salive couler de ses lèvres, se sentant partir, comme une explosion, comme si son esprit se déconnectait de son corps avant d’y revenir, comme si tout son corps éclatait en une immense sensation de plaisir, une vague qui lui vrilla le cerveau, et tout le corps… Une petite mort intense, un orgasme délicieux qui la laissa pantoise, toute tremblotante. Hikari soupira lentement en croisant le regard d’Hirotaka-chan. Ses cheveux étaient défaits, elle sentait la sueur sur son corps, ainsi qu’une délicieuse sensation de chaleur, et elle se laissa naturellement tomber contre lui.

« Hirotaka-chan… »

Lovée contre lui, elle sentit les mains d’Hirotaka-chan glisser sur son corps, empoignant ses cheveux, son dos, glissant sur sa peau… Puis alla sur ses fesses. Il lui glissa alors qu’il avait envie de la prendre par là. Hikari frémit lentement en se mordillant les lèvres, et embrassa tendrement Hirotaka-chan sur les lèvres.

« Tu en as encore à revendre ? Très bien… Mon corps t’appartient, tu sais… En intégralité. »

Qu’il agisse, et Hikari suivrait… Elle rougit doucement avant de rajouter, après un nouveau baiser, plus sensuel, qui se termina notamment par un mordillement de ses lèvres :

« Et puis, j’ai très envie que tu me prennes par là… »