Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté : 28 sept. 2024 00:52
Spectatrice silencieuse, Ilinia voyait devant elle un spectacle aussi effrayant que sensuel. Rien ne semblait devoir fatiguer la Reine des Lames dans son labeur. Depuis plusieurs heures maintenant, l’Annexienne enchaînait les amantes. Elle avait couché avec toute une escouade de femmes, et il n’en restait maintenant plus que deux... Ou une et demie, à voir la manière dont Schield se dandinait sur le sol. Des tentacules avaient rejoint Sarah pour l’aider à prendre la femme. Ils s’enroulèrent autour de ses jambes, les écartant, et d’autres se rapprochèrent, caressant son dos, avant de la fouetter. Schield couinait et gémissait, et Sarah l’entendit alors hurler son nom, lui hurler d’y aller plus fort.
« Ouuuuiii... Ouiii, ma chérie, haaa... Ne t’en fais pas, Schield, tu... Tu es ma salope ! »
L’esprit des deux dernières Uatéennes était en train de lâcher. Voir Tirch se battre, et être finalement capturée, avait été leur ultime espoir. Maintenant, le désespoir s’était instauré, broyant leur volonté, et laissait place à une sorte d’inversement... La femme honnie devenait leur ultime repère, et Schield avait donc avoué son échec. Brisée, elle se rabattait devant Sarah, espérant que, en se montrant soumise, la femme ne la tuerait pas... Sarah souriait donc, et entendre Schield l’appeler « Maîtresse » ne fit que l’exciter davantage. Son membre, sa terrible verge, se durcit encore plus, provoquant des frissons tout le long de ce chibre. Sarah enfonça ses griffes dans la combinaison, et continua à la prendre, plus rapidement, en s’aidant des tentacules, fouettant aussi Schield. De délicieux coups de fouet, qui s’abattaient sur son dos, rythmant sa respiration.
La douleur... Dans le plaisir sexuel, elle était toujours importante, une sorte de composante indispensable et nécessaire. La douleur noyait Schield sous un océan de plaisir, et elle continuait à être prise en levrette, Sarah donnant de grands coups de reins, ses bourses venant claquer contre le cul de la belle Uatéenne à la combinaison blanche. Elle adorait entendre les crissements de la combinaison, sentir les formes de cette dernière, ce corps lourd et tendre. Un vrai corps de soldate qui se tortillait devant elle, sans pouvoir rien faire d’autre que subir.
« Hmmmmm... Haaaa, ma chérie !! Tu es vraiment... Une... Une magnifique pute ! »
Rien ne semblait pouvoir arrêter l’ardeur de Kerrigan, qui continuait ses fougueux coups de reins, dans le corps de la femme, en soupirant, encore et encore... Les minutes passaient ainsi, rythmées par l’excitation de la femme, jusqu’à ce que l’orgasme finisse par arriver, après l’orgasme de Schield. Sarah se vida en elle à peu près au même moment, venant l’engrosser, puis la relâcha, tous les tentacules se retirant d’un coup.
À force, Schield s’était retrouvée en suspension, maintenue en l’air par les tentacules, qui déplaçaient son corps en suivant les mouvements de bassin de Kerrigan. Maintenue ainsi par les bras, les jambes, et le ventre, elle accompagnait donc la queue de Kerrigan, et, quand l’orgasme vint, libérateur, la femme la relâcha. Schield s’écroula sur le sol, du foutre sortant de ses cuisses.
Restant debout face à elle, Kerrigan était en train de reprendre son souffle, et un léger sourire vint éclairer ses lèvres :
« Suis-je toujours ta Maîtresse, ma chérie ? Si tu es prête à m’aider un peu... Tu resteras auprès de moi. »
Une idée venait de germer dans l’esprit de la Reine...
Une idée délicieuse !
« Ouuuuiii... Ouiii, ma chérie, haaa... Ne t’en fais pas, Schield, tu... Tu es ma salope ! »
L’esprit des deux dernières Uatéennes était en train de lâcher. Voir Tirch se battre, et être finalement capturée, avait été leur ultime espoir. Maintenant, le désespoir s’était instauré, broyant leur volonté, et laissait place à une sorte d’inversement... La femme honnie devenait leur ultime repère, et Schield avait donc avoué son échec. Brisée, elle se rabattait devant Sarah, espérant que, en se montrant soumise, la femme ne la tuerait pas... Sarah souriait donc, et entendre Schield l’appeler « Maîtresse » ne fit que l’exciter davantage. Son membre, sa terrible verge, se durcit encore plus, provoquant des frissons tout le long de ce chibre. Sarah enfonça ses griffes dans la combinaison, et continua à la prendre, plus rapidement, en s’aidant des tentacules, fouettant aussi Schield. De délicieux coups de fouet, qui s’abattaient sur son dos, rythmant sa respiration.
La douleur... Dans le plaisir sexuel, elle était toujours importante, une sorte de composante indispensable et nécessaire. La douleur noyait Schield sous un océan de plaisir, et elle continuait à être prise en levrette, Sarah donnant de grands coups de reins, ses bourses venant claquer contre le cul de la belle Uatéenne à la combinaison blanche. Elle adorait entendre les crissements de la combinaison, sentir les formes de cette dernière, ce corps lourd et tendre. Un vrai corps de soldate qui se tortillait devant elle, sans pouvoir rien faire d’autre que subir.
« Hmmmmm... Haaaa, ma chérie !! Tu es vraiment... Une... Une magnifique pute ! »
Rien ne semblait pouvoir arrêter l’ardeur de Kerrigan, qui continuait ses fougueux coups de reins, dans le corps de la femme, en soupirant, encore et encore... Les minutes passaient ainsi, rythmées par l’excitation de la femme, jusqu’à ce que l’orgasme finisse par arriver, après l’orgasme de Schield. Sarah se vida en elle à peu près au même moment, venant l’engrosser, puis la relâcha, tous les tentacules se retirant d’un coup.
À force, Schield s’était retrouvée en suspension, maintenue en l’air par les tentacules, qui déplaçaient son corps en suivant les mouvements de bassin de Kerrigan. Maintenue ainsi par les bras, les jambes, et le ventre, elle accompagnait donc la queue de Kerrigan, et, quand l’orgasme vint, libérateur, la femme la relâcha. Schield s’écroula sur le sol, du foutre sortant de ses cuisses.
Restant debout face à elle, Kerrigan était en train de reprendre son souffle, et un léger sourire vint éclairer ses lèvres :
« Suis-je toujours ta Maîtresse, ma chérie ? Si tu es prête à m’aider un peu... Tu resteras auprès de moi. »
Une idée venait de germer dans l’esprit de la Reine...
Une idée délicieuse !