Re: Le Talisman et la Louve [Shad]
Posté : 07 sept. 2024 13:47
Shad tenait à leur rappeler qu’elle était une forte tête, et, que toute soumise qu’elle soit, ce n’était qu’une apparence. Un comportement digne d’une Magoa, qu’elle prouva en mordant Maora. Cette dernière soupira en remuant la main, et Shad, cette courageuse Okami, si courageuse et si brave qu’elle n’hésitait pas à errer en Enfer, un endroit où les petites Okamis n’avaient pas leur place. Onyxian la sentit forcer, et, lentement, Shad entreprit de se retourner, ce qui eut pour effet de retirer légèrement les verges de la Matriarche. La Succube, joueuse et patiente, la laissa faire, et vit ainsi le visage de Shad, contre elle. Elle l’aida à se redresser, et la tête de la petite Louve finit par atteindre les seins de la démone à la peau rouge.
« Hum... Brave petite Louve... »
Une main se crispant sur ses cheveux, elle laissait Shad sucer ses seins, remuant dessus, avec une énergie agréable et impressionnante. Malgré les deux verges qui étaient en train de pilonner son corps, elle s’évertuait à agir, à lui rendre la pareille. Son énergie était impressionnante, et les doigts d’Onyxian caressaient et se crispaient contre cet agréable cuir chevelu. Shad savait y faire, et elle s’appliquait à embrasser, à lécher, et à sucer chacun de ses seins et de ses tétons, faisant longuement soupirer Onyxian. Pour autant, la Succube ne restait pas inactive, car, avec son autre main, posée sur les fesses de la femme, elle remuait son corps de haut en bas, renforçant ainsi ses pénétrations et ses coups de reins.
Pour l’occasion, plus personne ne venait s’occuper de Shad, mis à part Onyxian. Elles étaient ensemble, toutes les deux, dans une sorte de câlin maternel et fusionnel, ponctué de soupirs, de gémissements, de coups de griffes. Contrairement aux humains, si frileux et si frêles, Onyxian supportait plutôt bien la douleur, et, même, l’appréciait. La douleur, en effet, avait quelque chose de jouissive, d’agréable, quelque chose qui, de fait, était, avec le plaisir, une composante fondamentale du sexe. Le sexe n’était rien sans souffrance et sans plaisir, car ils étaient les deux manières que la Vie avait pour s’exprimer, et le Sexe, lui, était une façon de sublimer la Vie, de la résumer à ce qu’elle avait de plus simple et de plus pure. Autrement dit, quiconque aimait le Sexe aimait la Vie. Et, en suivant cette philosophie, la Luxure, loin d’être un Péché Capital (aux yeux d’Onyxian) n’était que l’expression logique de la Vie. Les démons n’étaient guère très religieux, et Onyxian avait toujours traité avec dédain les religieux, estimant qu’ils étaient responsables de la Luxure. Sans eux, en effet, la Morale n’aurait jamais existé, et c’était bien la morale qui empêchait les êtres humains de laisser libre cours à leur passions et à leurs pulsions.
« Là, ma belle, làààà... Tu aimes ça, hein ? Téter et sucer de beaux seins... »
Onyxian était maintenant debout, sur son lit, et maintenait Shad tout contre elle, sa queue caudale continuant à remuer en elle, tout comme sa verge. Et, petit à petit, Shad était en train de se rapprocher des Magoa. Elle avait goûté à Alastar... Et, maintenant, c’était à la Matriarche en personne qu’elle goûtait, et Dieu sait qu’Onyxian était difficile à satisfaire. La redoutable Matriarche laissait Shad prendre son pied contre elle, et, au bout d’un long moment, les sexes érigés de la terrible démone à la peau rouge se détendirent, et sa semence siffla dans le corps de la femme. À cet instant, les bras d’Onyxian se resserrèrent un peu contre le corps de la jeune femme.
Elle balança sa crème en elle, et soupira longuement.
« Voilà qui fait du bien... N’est-ce pas, Shad ? »
Et Onyxian ponctua le tout par un tendre et sulfureux baiser sur ses lèvres.
« Hum... Brave petite Louve... »
Une main se crispant sur ses cheveux, elle laissait Shad sucer ses seins, remuant dessus, avec une énergie agréable et impressionnante. Malgré les deux verges qui étaient en train de pilonner son corps, elle s’évertuait à agir, à lui rendre la pareille. Son énergie était impressionnante, et les doigts d’Onyxian caressaient et se crispaient contre cet agréable cuir chevelu. Shad savait y faire, et elle s’appliquait à embrasser, à lécher, et à sucer chacun de ses seins et de ses tétons, faisant longuement soupirer Onyxian. Pour autant, la Succube ne restait pas inactive, car, avec son autre main, posée sur les fesses de la femme, elle remuait son corps de haut en bas, renforçant ainsi ses pénétrations et ses coups de reins.
Pour l’occasion, plus personne ne venait s’occuper de Shad, mis à part Onyxian. Elles étaient ensemble, toutes les deux, dans une sorte de câlin maternel et fusionnel, ponctué de soupirs, de gémissements, de coups de griffes. Contrairement aux humains, si frileux et si frêles, Onyxian supportait plutôt bien la douleur, et, même, l’appréciait. La douleur, en effet, avait quelque chose de jouissive, d’agréable, quelque chose qui, de fait, était, avec le plaisir, une composante fondamentale du sexe. Le sexe n’était rien sans souffrance et sans plaisir, car ils étaient les deux manières que la Vie avait pour s’exprimer, et le Sexe, lui, était une façon de sublimer la Vie, de la résumer à ce qu’elle avait de plus simple et de plus pure. Autrement dit, quiconque aimait le Sexe aimait la Vie. Et, en suivant cette philosophie, la Luxure, loin d’être un Péché Capital (aux yeux d’Onyxian) n’était que l’expression logique de la Vie. Les démons n’étaient guère très religieux, et Onyxian avait toujours traité avec dédain les religieux, estimant qu’ils étaient responsables de la Luxure. Sans eux, en effet, la Morale n’aurait jamais existé, et c’était bien la morale qui empêchait les êtres humains de laisser libre cours à leur passions et à leurs pulsions.
« Là, ma belle, làààà... Tu aimes ça, hein ? Téter et sucer de beaux seins... »
Onyxian était maintenant debout, sur son lit, et maintenait Shad tout contre elle, sa queue caudale continuant à remuer en elle, tout comme sa verge. Et, petit à petit, Shad était en train de se rapprocher des Magoa. Elle avait goûté à Alastar... Et, maintenant, c’était à la Matriarche en personne qu’elle goûtait, et Dieu sait qu’Onyxian était difficile à satisfaire. La redoutable Matriarche laissait Shad prendre son pied contre elle, et, au bout d’un long moment, les sexes érigés de la terrible démone à la peau rouge se détendirent, et sa semence siffla dans le corps de la femme. À cet instant, les bras d’Onyxian se resserrèrent un peu contre le corps de la jeune femme.
Elle balança sa crème en elle, et soupira longuement.
« Voilà qui fait du bien... N’est-ce pas, Shad ? »
Et Onyxian ponctua le tout par un tendre et sulfureux baiser sur ses lèvres.