The Multiversity

Lucinda provoquait-elle Lissandre ? À son corps défendant, la Reine Noire avait beaucoup à faire avec cette femme ! Elle était assez imprévisible, comme elle l’avait démontré en tentant de se suicider (involontairement). Et puis, Lucinda ne pouvait pas nier que sa femme était également charmante, et que, au-delà de sa beauté, cette Fönn semblait aussi avoir quelques surprises en stock. Sa visite n’était peut-être pas totalement anodine, et Lucinda commençait à se dire que Lissandre avait sans doute accepté sa venue, et l’avait souhaité, pour que Lucinda puisse l’étudier. Cette histoire en Enfer l’intriguait, et elle s’était donc promise de se renseigner sur Fönn. Cela allait nécessiter quelques examens, mais, pour l’heure, elle était curieuse de la voir agir en direct. Elle vit ainsi le corps de Fönn se rapprocher de celui de sa femme, prête à s’y emboîter, quand Lissandre décida d’agir autrement. Utilisant l’organisme de Mélissandre, Lissandre projeta une série de tentacules roses qui jaillirent de sa combinaison de Slime, et s’enroulèrent autour des membres de Lucinda et de Fönn. Surprise, Fönn, qui n’avait encore jamais vu les tentacules de sa femme agir avec autant d’aisance, se retrouva relevée en l’air.

Fönn ne s’était pas transformée en démone cette fois, contrairement à ce qui s’était passé lors de la soirée infernale au Palais d’Asmodée suite à leur mariage infernal. Lissandre avait déployé des ailes dans son dos, de belles ailes roses, les tentacules jaillissant ensuite de sa colonne vertébrale. Elle volait entre les deux, et Lucinda sourit doucement.

« Terrible… Surtout pour ta femme. Quelle cruauté de la faire souffrir ainsi !
-  Li… Lissandre, haaaa… »

La verge assoiffée de Fönn se dressait fièrement. Personne ne voulait la toucher, et Fönn était détenue, elle aussi, par des tentacules. Elle n’avait pas de moyens de réagir à ce qu’elle subissait, mais la frustration se devinait sur son corps, elle se lisait sur son visage, sur la manière dont elle essayait de tirer sur les tentacules. Ce faisant, la laisse qui les reliait toutes les deux s’était brisée, ne laissant plus que deux colliers de part et d’autre. Lucinda laissait Lissandre agir à sa guise, trouvant cette situation assez amusante, et elle était curieuse de voir comment Lissandre allait gérer ses tentacules. Lucinda aurait tout à fait pu inverser la situation, mais elle n’avait aucune raison de le faire. Elle préférait laisser Lissandre aux commandes, et voir comment celle-ci allait agir…

Ah.

Personne n’était donc venue la chercher. Ni Fönn et sa nature démoniaque, ni Lucinda et ses pouvoirs magiques n’avaient tenté ou réussi à renverser la situation. Lissandre se retrouvait au plafond et… se sentait peu conne là-haut toute seule.

*Qu’est-ce que je fais-moi, maintenant ? Oui, mon bébé, je suis désolé. Tu vas bientôt pouvoir jouer avec la nouvelle verge de Maman Fönn, ne t’inquiète pas. *

« Donc voilà tout ? La petite française fait quelques efforts et on n’arrive plus à la suivre ? C’était bien la peine de faire étalage de ses pouvoirs ou de ses nouvelles capacités de transformation. Je devrais rester là-haut pour vous punir. »

Elle croisa les bras et s’appliqua à retrouver l’expression de dédain bourgeoise dans laquelle elle avait baigné étant petite. Mais Lissandre n’avait jamais été totalement de ce monde. Encore moins aujourd’hui avec ces femmes exceptionnelles sous elle !

« Soit. Je vous concède mon retour. Mais uniquement parce que mon bébé meurt de faim. Perverse et généreuse, n’est-ce pas une délicieuse combinaison que je suis ? »

Avec un sourire malicieux, elle redescendit avec splendeur. Ses ailes se résorbant petit à petit dans son dos. Par contre, ses tentacules de slime étaient toujours bien présents. Retenant avec leur force magique la nouvelle puissance physique de sa femme.

Lissandre n’avait d’yeux que pour elle : sa Fönn.

« Viens par-là mon amour. »

Ses mains glissèrent sur les joues de sa femme frustrée, et elle l’embrassa avec une telle passion que Fönn oubliait déjà qu’elle devait être en colère contre sa femme.

« Mélissandre à faim, ma Fönn. Je compte sur toi pour la remplir à satiété. »

Avec délicatesse, Lissandre s’inséra sur la verge de Fönn. Lentement, elle glissa sur chaque centimètre. Jusqu’à ce que ses lèvres intimes aient tout avalé.

« Tout au fond. Hum, mon dieu que c’est bon. Enfin, mon diable, peut-être ? Hi hi ! »

Puis elle donna quelques coups de rein, pour réveiller sa femme, pour lui redonner le contrôle du rythme des coups de butoir.

Lissandre fixa ensuite Lucinda. Dans son regard, elle parlait. Elle disait « Je sais que tu étais capable de me faire redescendre. Sale voyeuse, va ! ».

Ma Fönn... La verge de Fönn se durcit doucement à ce mot.L'usage du possessif marquait entre elles une indéniable promiscuité, un lien qui illustrait leur mariage, cette relation si particulière. Elles n'avaient pas encore célébré ce mariage sur Terre, mais Fönn se promettait de le faire. Elles le méritaient ! Un mariage qui ne serait sans doute pas des plus reposants, mais, avec Lissandre, c'était quelque chose à quoi on pouvait s'attendre. Sa femme semblait être tout droit sortie de ces films déjantés des années 60's/70's. C'était pour ça que Fönn l'aimait ! Celle-ci, en prenant conscience que ses amantes étaient retenue par des tentacules, descendit au sol, libérant Fönn de ses tentacules, et posa ses deux mains gantées sur ses joues. Toute nue, l'intéressée frémit lentement, et posa les siennes d'abord sur les hanches de Lissandre, puis sur ses fesses.

« Lissandre... Ma Lissandre »

Le possessif initial de Lissandre résonnait avec celui de Fönn, et les deux femmes s'embrassèrent avec appétit, sous les yeux admiratifs de Lucinda, qui observait la scène en étant toujours retenue par les tentacules. Elle aurait effectivement pu se libérer sans difficulté, mais il était toujours plus amusant de voir Lissandre agir. Elle vit ainsi les doigts de Fönn se crisper sur les fesses de Lissandre, faisant doucement couiner le latex. Fönn, qui ne s'était pourtant jamais considérée comme une femme fétichiste, devait bien admettre que, depuis que sa route avait croisé celle de Lissandre, elle s'intéressait un peu plus à ce genre de choses. Elle palpait en tout cas tendrement les fesses de Lissandre, qui finit par repousser sa belle. Fönn gémit en tombant sur le lit, sa verge raide et bien dressée. Pas de transformation en démon à noter, juste un joli chibre assoiffé, sur lequel Lissandre ne tarda pas à s’empaler.

Les mains de la Norvégienne glissèrent sur les hanches de Lissandre, et la femme commença à danser, de haut en bas, engloutissant rapidement ce vit jusqu’à la garde. Elle dansait sur elle, magnifique, somptueuse, la combinaison crissant sous ses coups de reins. Fönn devait bien admettre qu’elle aimait ça… Elle aimait toucher la peau humaine, bien sûr, mais elle devait bien admettre que ce latex rutilant, qui couinait et qui crissait sur elle, ne la laissait pas indifférente. Elle gémit encore, laissant Lissandre danser, tandis que Lucinda se débarrassa sans difficulté des tentacules. Elle se rapprocha du lit, et grimpa dessus. Elle finit dans le dos de Lucinda, et posa ses mains sur ses épaules, puis sur ses seins, et les pétrit à travers sa combinaison, se lovant dans le dos de la Française.

« Je suppose que tu as conscience que je vais te baiser très fort pour ton effronterie, non ? » lui murmura-t-elle dans le creux du cou, avant de mordiller son lobe de l’oreille.

C’était là tout ce que Lissandre méritait !

Baiser avec sa Fönn était délicieux ! Lissandre prenait son pied. Et elle aurait continué à aller et venir sur cette verge s’il n’y avait eu une Reine dans les parages. Ce n’était pas un plan à 2. C’était un plan à 3.

« Des promesses, toujours des promesses, ma Reine. »

Lissandre tourna sa tête pour regarder Belle-maman. Elle avait un de ces sourires… qui présageait quelque chose. En écho, Mélissandre entrait en action. Des tentacules rose latex fusèrent et enserrèrent la taille de la Reine.

« Moi je vais faire en sorte que vous baisiez. Et tout de suite. Pas de promesses. Mais une action immédiate. »

Après un petit « Désolé, ma belle » à l’encontre de sa femme, Lissandre se décala jusqu’à s’asseoir sur le visage de Fönn. En fait, elle ne s’assit pas tout de suite. Sa croupe redressée, elle fait découvrir le spectacle. Les tentacules de Mélissandre vont chercher à faire déplacer la Reine sur la verge de celle qui pourrait devenir une démone à la peau rouge.

*Coquine, va ! Hi hi ! *

En effet, Mélissandre veut elle aussi se nourrir de sexe. Et elle veut jouer avec le petit trou serré royal.

« J’espère que tu mesures ô combien je fais des sacrifices pour toi, ma femme. Je t’offre une chatte de Reine, rien de moins que ça ! Et, sans vouloir te mettre la pression, je crois que c’est le genre d’occasion unique. Tu n’as pas intérêt de la décevoir ! Hi hi ! »

Mais il restait tout de même un point à éclaircir. Est-ce que Lucinda allait se laisser faire ? Ou tenait-elle tant à baiser très fort Lissandre pour son effronterie comme elle le lui avait dit ? Dans tous les cas, Lissandre s’en fichait. Parce que peu importe le scénario, il y allait avoir du sexe. Et elle allait forcément monter au septième ciel au moins une fois !

*Même si j’aimerai bien redescendre en Enfer pour goûter à nouveau à ma femme quand elle entre dans cet état si particulier. Hi hi ! *

Avec Lissandre, il fallait bien s’attendre à ce que rien ne se déroule comme prévu. C’était précisément ce que la jeune femme avait prévu ! En voyant la Reine se rapprocher, et alors que Lucinda comptait honorer Lissandre, celle-ci opta pour autre chose, et délaissa la verge de Fönn ! L’intéressée poussa un soupir et un couinement de frustration en sentant ainsi sa verge être si inélégamment exploitée ! Toutefois, Fönn n’allait pas s’ennuyer trop longtemps, car Lissandre, véritable pile électrique, demanda à « Belle-Maman » de s’empaler dessus, tandis qu’elle-même comptait s’asseoir sur le visage de Fönn. La Norvégienne soupira lentement, et, sur son pubis, Lucinda put voir une rune magique se former. Ce n’était pas un inmon comme elle avait parfois l’habitude d’en voir, mais une rune scandinave, un glyphe magique venant de la mythologie scandinave. Elle sourit lentement, tandis que Fönn vit les cuisses de Lissandre s’écarter au-dessus de sa tête. Ses lèvres s’humidifièrent au contact de son nectar intime, met elle vit surtout un curieux spectacle… Tout autour des lèvres intimes de Lissandre, recouvertes de cette combinaison rose latexo-slimesque, des tentacules remuaient lentement, grouillant. Fönn sourit en s’imaginant brièvement une sorte de gouffre, de gueule béante avec des dents édentées cherchant à la dévorer.

Elle vit alors des tentacules jaillir du dos de Lissandre, et amener la Reine. Fönn rougit, prenant vaguement conscience qu’elle allait coucher avec une Reine.

« C’est dingue… Tu sais, Lissandre, je ne suis même pas capable de dire où je suis… »

Et, pourtant, cela n’allait pas lui empêcher de s’envoyer en l’air ! Lucinda aurait sans doute pu repousser l’invitation de Lissandre, mais elle n’en fit rien, et s’empala sur la verge de Fönn. La Norvégienne soupira longuement, et sentit ensuite les cuisses de Lissandre s’abattre sur elle. Ses mains vinrent se serrer sur les cuisses de Lissandre, et sa langue s’enfonça dans le sexe de Lissandre. Elle titilla sa chatte, sentant contre les bords de sa langue le contact glissant si particulier de cette combinaison rose slimesque. Elle ondulait contre sa bouche, s’écartant pour qu’elle puisse sentir la peau de Lissandre. Elle avait néanmoins avalé la mouille de sa Lissandre, une mouille qui n’était pas innocente, et son corps se crispa en sentant le corps de la Reine Noire s’abattre sur elle.

« Oh, quelle belle verge ! »

Lucinda se pencha vers Lissandre, et l’embrassa avec appétit.

« J’apprécie ton offrande, ma belle… »

Si proche de Fönn, Lucinda pouvait sentir combien elle était particulière, spéciale… Sa main s’approcha, et son doigt se posa sur la rune magique de Fönn. La rune s’illumina alors, et Fönn soupira, sentant son corps se crisper, ses muscles se tendre… Et, sans même le réaliser, son corps commença à se transformer, prenant la dernière forme qu’elle avait eu… Soit celle d’une puissante démone à la peau rouge. Lucinda pouvait sentir avec délectation la verge de Fönn gonfler et durcir en elle, et frémit de plaisir, encore largement humaine pour pleinement apprécier ce moment de pur plaisir…

Après le baiser de la Reine, Lissandre ferma les yeux. C’était bien plus jouissif de se priver de la vue pour ressentir à fond la langue joueuse de sa femme dans sa chatte. Et… Quoi ? Que se passait-il soudainement ? Tous les muscles de sa Fönn se contractèrent. Mais ce n’était pas un orgasme. Elle la connaissait suffisamment maintenant pour lire les contractions de son délicieux corps. Alors quoi ?

Lissandre rouvrit les yeux et cria de plaisir !

« Ouais ! Ah ah ah ! Trop génial ! »

La beauté norvégienne se métamorphosait en démone en rut. Mais… Comment ? Elles avaient essayé des tas de trucs toutes les deux depuis leur retour de leur mariage en Enfer. Mais rien n’y avait fait. Quel était la clé de la transformation ? Non, Lissandre devait réfléchit. Bon, c’était une chose compliquée entre le cunni de sa femme et la vision de sa belle-maman en train de chevaucher la bite infernale de sa femme.

*Belle-maman ! C’est elle la clé. Forcément ! *

Les yeux de Lissandre brillaient d’excitation. Pas uniquement sexuelle. Elle était à nouveau comme une gamine le jour de Noël ou de son anniversaire.

« Comment ! C’est quoi le truc pour transformer ma femme en démone ? Il faut appuyer quelque part ? Il faut une formule magique ? Qu’est-ce que je dois faire pour avoir cette peau rouge et tout ce qui va avec à volonté ? Allez, dis-moi dis-moi dis-moi ! »

Ses yeux redécouvraient ce corps qu’elle croyait parfois avoir imaginer. Ce corps impossible qui était né en Enfer. Lissandre avait commencé à se faire une raison : elle ne pourrait pas retrouver cette facette de sa Fönn avant d’être morte et transformée en succube pour son après-vie. Qu’est-ce que c’était libérateur de savoir qu’une fois avoir longuement vécu, avoir pris des rides en compagnie de sa femme et laissée derrière tout un clan de Verrières : elle poursuivait son amour en compagnie de Fönn avec un nouveau corps de succube.

Et voilà qu’elle découvrait la rune sur le pubis.

« C’est quoi ça ? C’est ça la clé ? C’est ça ! Tu entends ma Fönn, je vais bientôt savoir comment te transformer en perverse à peau rouge à volonté ! Qu’est-ce qu’on va faire en économie de sextoy ! Hi hi ! »

Lissandre dansait sur le corps de Fönn, sans réaliser immédiatement que celle-ci avait changé de forme, qu’elle avait repris sa forme démoniaque… Et, quand elle le réalisa, le corps de Lissandre sembla se réveiller, s’animer sur place. Surexcitée, elle se mit à remuer d’avant en arrière, cherchant à comprendre ce qui déclenchait les transformations de sa femme. Lucinda en déduisit ainsi que Lissandre semblait beaucoup aimer l’idée d’avoir comme femme une démone membrée et entreprenante. Il est vrai que la transformation n’était pas uniquement physique, la psychologie de Fönn s’adaptait à cette transformation.

Très enjouée, Lissandre s’empressa de demander à sa « belle-maman » ce qui se passait, et si cette rune était responsable de cette transformation.

« Ce… C’est plus compliqué que cela, hmmm… »

Lucinda sentait une épaisse verge remuer dans ses entrailles. Le vit assoiffé de sa partenaire s’enfonçait joyeusement en elle, remontant chaudement dans son antre. Oh, quel contact savoureux ! La Reine Noire sentait cette solide queue chaudement nichée en elle, sans aucune envie de la retirer, bien au contraire ! Elle triait même dur cette hampe, s’y empalant avec plaisir, glissant de haut en bas. Sous elle, elle sentait le plaisir l’envahir, et elle l’accueillait avec délectation.

« Le… Le Seidr… Est une magie complexe, tout comme les transformations liées à cette magie… Ta femme y est sensible, mais elle le fait inconsciemment. Cette rune se manifeste lorsque la transformation a eu lieu… »

Ce n’était d’ailleurs pas en soi une métamorphose, mais l’expression du Hamr, l’une des cinq composantes d’un être vivant. Chaque humain et chaque animal disposait d’un hamr, et ceux qui maîtrisaient le Seidr pouvaient séparer leur hamr du reste de leur corps, et prenaient alors la forme physique de ce hamr. Mais comment faire pour que Fönn passe naturellement d’un état à l’autre ?  Il allait falloir que Lucinda comprenne mieux ce qui se passe.

Pour l’heure, elle prenait son pied, tout comme Lissandre, dont l’intimité était prise d’assaut par la longue et onctueuse langue de Fönn. Une langue reptilienne qui filait dans sa chatte, encore et encore.

« Hmmm… !! »

Incapable de parler, Fönn était bien décidée à faire jouir une première fois sa partenaire, puis à la baiser ensuite sauvagement. C’était sa Lissandre, et elle méritait un traitement d’exception !

Bon, OK, une explication scientifique (ou magique, difficile de penser, mais c’était justement le but de cette phrase avant l’ouverture de ces parenthèses) n’était peut-être pas appropriée durant un coït. Mais que voulez-vous ? Lissandre est d’une nature curieuse et fonceuse. Forcément que le résultat donné est celui-ci.

« Si Belle-maman comprend déjà de quoi il est question, alors nous sommes entre de bonnes mains pour maîtriser ce nouvel aspect de notre vie. N’est-ce pas, ma belle et démoniaque femme ? Hi hi ! »

Maintenant rassurée qu’une réponse trouvait au bout du chemin, Lissandre ferma les yeux et se concentra à fond sur les ressentis de la nouvelle langue de sa Fönn. Et purée de putain que c’était bon ! D’un côté, sa Fönn commençait à bien connaître son corps. Certes, mais si Lissandre se libéra d’un orgasme, ce fut d’abord parce qu’elle s’était transformée. Lissandre et les nouveautés égale CRI DE PLAISIR !

« Merci ma Fönn. Tiens, un baiser pour te remercier. »

Lissandre s’allongea sur le corps de sa femme et l’embrassa. Un moment presque câlin, doux en comparaison de ce que la Reine prenait sauvagement entre ses jambes ! Mais c’était bien ses contrastes qui rendaient les choses intéressantes. Plus que ça, qui gravaient de délicieux souvenirs dans leur mémoire à toutes.

« Quand Madame la Reine aura récupéré sa jouissance, la roturière aimerai très beaucoup prendre sa place pour prendre sa jouissance à son tour. Cordialement, un petit bout de femme en rut. Hi hi ! »

Lissandre quitta le corps de sa femme pour venir s’allonger à côté d’elle. Après tout, ce n’était pas tous les jours qu’on pouvait voir une Reine baiser. Qui plus est avec sa femme. Qui plus est encore avec une forme démoniaque de sa femme !

Pour Lucinda, une hypothèse de dessinait en effet. Elle était une magicienne très expérimentée, quelqu’un qui connaissait de multiples arts magiques. Si la magie était à l’origine un enseignement divin, sa pratique variait selon les cultes et les époques. Le Seidr était une magie très particulière, que Lucinda ne maîtrisait pas en soi à la perfection, mais dont elle connaissait les grandes lignes. Elle était pour le coup très curieuse d’en savoir plus au sujet de la jeune femme qui se tortillait sous elle, cette belle Fönn qui s’était transformée en une belle démone rouge sexy. Devant elle, Lissandre avait arrêté l’idée de chercher à comprendre pour l’heure. La baise dans un premier temps, et les explications ensuite ! Lissandre sentait la langue démoniaque de Fönn jouer en elle, titillant son bouton de plaisir, pressant son clitoris. Le symbiote remuant sur elle était également très excité. Les mains de Fönn se crispaient sur les cuisses de Lissandre, s’enroulant autour de ses jambes. Lucinda pouvait sentir la force de cette femme, sa grosse verge remuant dans sa chatte.

« Hmmm !!
-  Haaa… »

Voilà aussi pourquoi Lucinda aimait tant le sexe. Oh, quel pied ! Ce sentiment total d’aliénation, cette impression de se diluer au contact de son amante… C’était si bon, si savoureux ! La Reine Noire se laissait donc prendre, encore et encore, dansant sur la verge de Fönn, jusqu’à ce que Lissandre ne s’écarte. La Française voulait se faire prendre ensuite, et Lucinda put, de son côté, voir le visage de Fönn… Une forme démoniaque somptueuse, à n’en pas douter ! Fönn se retourna vers sa belle, et déplaça sa main pour caresser ses cheveux, soupirant contre elle.

« Je… Je t’aime, Lissandre… »

Lucinda se pencha alors en avant, et ramena le visage de Fönn vers elle, avant de l’embrasser.

« Il n’est jamais bon de ne pas regarder une Reine quand on la baise, petite démone… »

Fönn frémit lentement, et posa ses deux mains sur les fesses de Lucinda, qu’elle se mit à les malaxer. Couchée sur le flanc, Lissandre était aux premières loges, et elle vit Fönn renverser Lucinda, la couchant sous elle. Fönn commença ainsi à la baiser, en grognant, s’enfonçant copieusement en elle. Sans rien lâcher, elle s’enfonça en elle, la pénétrant furieusement, en grognant longuement.

« Tu as beau être une Reine, là, tu es ma salope !! »

Sous cette forme, Fönn perdait contrôle, elle perdait toute retenue, devenant beaucoup plus perverse et dominatrice. Si cela pouvait surprendre, ce ne serait pas vraiment un problème pour Lissandre, qui était effectivement la prochaine sur la liste. Fönn bourrait joyeusement Lucinda à côté de Lissandre, la queue caudale de la démone remuant en l’air, venant se rapprocher de Lissandre, pour la caresser affectueusement, comme pour inciter cette dernière à sortir de sa contemplation… Ou à y rester, si elle voulait juste profiter du spectacle, de ce coït brutal, cette prise du missionnaire intense au beau milieu du lit !

Son sourire s’agrandit quand elle découvrit à quel point sa douce Fönn, parfois même sa timide Fönn, retourna sans ménagement la Reine ! Cette sauvagerie démoniaque qui ne prenait pas en compte les positions hiérarchiques plaisaient beaucoup à Lissandre.

Elle en frissonna de plaisir quand elle l’entendit insulter Belle-maman de salope. Entre l’insulte et les bourrades rustres, le plaisir était trop puissant pour qu’elle reste à l’état de spectatrice. Lissandre se releva et positionna sur ses jambes repliées. Les cuisses ouvertes, le bassin relevé : elle commença à se frotter le clitoris nerveusement. Comme s’il fallait à tout prix qu’elle se débarrasse d’un orgasme rapidement !

« Tu as raison, ma belle. Insulte-la ! Baise-la comme si elle n’était rien. Je te l’avais bien dit qu’elle voulait être dominée, oui ? Alors vas-y à fond. »

Frotter furieusement le clitoris n’était pas assez. Alors Lissandre commença à se donner de petites tapes sur le bourgeon. Mais encore une fois, ça ne suffisait pas. Il y avait comme quelque chose qui avait « trigger » en elle. Elle perdait la raison, à tel point qu’elle mélangeait les termes anglais dans ses phrases françaises.

*Est-ce que l’Enfer et sa marque auraient encore leur influence sur nous ? *

Alors elle se donna des tapes plus fortes. Puis elle commença à s’insérer un doigt. Très rapidement deux puis trois.

*Ma Mélissandre chérie, sois mignonne et bourre le cul de maman avec quelque chose qui ressemble à des boules de geishas. HUM ! Oui, comme ça ! *

Lissandre perdit le contrôle de son corps. Ses cuisses tremblèrent nerveusement alors qu’un orgasme terrassait son système nerveux. Quand ce fut passé, elle se jeta sur sa femme démoniaque et l’embrassa comme si c’était là leur dernier baiser. Elle se fichait pas mal que Fönn soit dans Lucinda.

« Mon tour ! »

Les démons n’étaient pas connus pour leur sens de la politesse ou pour le respect de la hiérarchie. Et, visiblement, en se transformant en démone, Fönn avait repris cette idée. Elle était impertinente, baisant puissamment la Reine. La queue caudale de Fönn sembla porter ses fruits, et Lissandre finit par se masturber en observant la scène. Ses yeux trahissaient son excitation, et Fönn soupira encore, sa verge s’enfonçant lourdement dans la chatte de Lucinda. C’était une position de missionnaire intense, que Fönn appliquait avec force. Elle la pénétrait avec force, encore et encore, ses coups de reins se multipliant. Sa queue caudale en avait oublié de pénétrer Lissandre. À son corps défendant, Fönn ne maîtrisait pas encore sa forme aussi facilement qu’elle le voudrait, et elle laissait ses émotions s’exprimer.

« Hmmm… Haaaa… !! »

Grognements et éructations remplaçaient les insultes et les encouragements. Lucinda serrait ses doigts sur les épaules et la nuque de Fönn, tandis que Lissandre se rapprochait lentement. Fönn soupirait longuement, embrassant Lucinda avec passion. Elle la pénétrait avec force, remuant lourdement sur elle. Le lit grinçait fortement, et Lissandre finit par se rapprocher. Elle était visiblement impatiente, et exigea son tour, poussant Fönn. Lucinda cligna des yeux, surprise, et Fönn gémit, frustrée qu’on la prive ainsi de son plaisir. Sa main jaillit brusquement, et attrapa le cou de Lissandre, l’étranglant à moitié. Elle la plaqua contre le lit à son tour, et grogna sur place.

« Oh, tu veux que je te baise, hein ? Tu veux que je te baise ! »

Fönn se redressa alors, passant de la question à l’affirmation, et déplaça Lissandre. Elle la mit à quatre pattes, et palpa ses fesses, glissant ses deux mains dessus. Même s’il y avait une Reine avec elles, Lissandre restait celle qui était sa femme ! Il était donc tout à fait normal qu’elle se préoccupe avant tout de son épouse, qu’elle se dépêcha donc de pénétrer, s’enfonçant avec lourdeur dans sa chatte, sa grosse verge de démone venant dilater ses parois vaginales, et imposant à Lissandre un rythme soutenu et jouissif…

« Oh putain ! Oh putain OUI ! »

C’était une double excitation. D’abord de se faire pénétrer par la verge démoniaque de sa femme. Mais aussi d’avoir provoqué l’ire du démon à virer une Reine.

*Ce visage qu’elle a eu. Cette surprise de se sentir soudain vide. Ah ah ! Elle me le fera surement regretter plus tard. Mais là, c’est que du bonheur ! Ah ah ! Désolé, Belle-maman ! *

Lissandre allait à contre-rythme avec Fönn. De cette façon, les coups étaient encore plus lourds quand le bassin du démon cognait les fesses de Lissandre. Elle avait l’impression qu’elle allait être éjectée tellement c’était puissant !

« Fais-moi jouir ! »

Bizarrement, ce fut à ce moment-là qu’elle se posa cette étrange question. Est-ce que c’était dangereux pour son futur bébé ? Lissandre avait déjà tourné quelques scènes pornos avec des femmes enceintes à différents mois de grossesse. Mais là, on parlait d’une femme transformée par la luxure de l’Enfer. Certes, sa progéniture était également infernale mais…

« Jouis en moi ! Nourris mon bébé ! »

Elle-même ne savait pas de qui il était question. Son bébé slimesque avide de sexe ? Ou celui qui n’avait pas encore de nom et qui la quitterait peut-être lorsqu’il aurait atteint l’âge de la majorité ? Elle ne savait définitivement pas. Mais elle était tellement excitée que ses inquiétudes furent reléguées au second plan.

« Baise-moi si fort que ma chatte restera béante et grande ouverte encore des heures après que tu aies terminée ! »

La jouissance était proche : c’était certain. Ensuite, Lucinda demanderait surement à ce que sa femme démoniaque la finisse. Puis il faudrait retourner aux affaires qui les attendaient. A savoir un dîner avec les éminences de la Cité des Airs. Ca promettait d’être intriguant et intéressant.

Lucinda ne comptait pas rester éternellement sur le banc de touche, pas après la façon dont Lissandre l’avait joyeusement allumé. Cette jeune humaine à la combinaison rose était très excitante, et elle ne se privait pas pour l’être. Elle était aussi instable qu’érotique, et sa femme était, à sa manière, elle aussi très surprenante ! Quand Lucinda l’avait vu pour la première fois, elle n’avait pas perçu en elle ce potentiel magique, ce qui laissait entendre qu’il était latent, mais aussi étouffé. Mais, là, maintenant que Fönn s’était transformée en une belle et puissante démone, qui prenait sa femme en levrette, la Reine Noire pouvait sentir sa magie, et elle était curieuse de mener des expériences sur elle, de comprendre le fonctionnement de sa magie. Le seiðr était une magie très obscure, complexe et subtile, qui accordait une grande importance à la transformation magique. Fönn l’avait utilisé intuitivement pour changer de forme, et elle grognait doucement, pénétrant sa femme, empoignant ses cheveux d’une main, claquant ses fesses de l’autre. Sa solide verge tapotait contre son col de l’utérus, s’enfonçant en Lissandre jusqu’à la garde. Un rythme lourd et soutenu, ses bourses tapant elles aussi régulièrement contre le corps de sa belle.

« Han, petite salope, tu respires tellement la luxure… Tu passes ton temps à te faire baiser ici, et ce n’est que maintenant que tu m’invites ! »

Fönn et Lissandre avaient toutes les deux été enfantées par le même homme, l’incube Alastar, et c’était également par l’intermédiaire de ce dernier qu’elles s’étaient rencontrées. La luxure était un pilier important de leur union, sacralisée par leur mariage au sein du Cercle de la Luxure. Fönn n’en voulait donc pas vraiment à Lissandre, ce n’était qu’un prétexte idéal pour lui faire l’amour avec force. Sa verge s’enfonçait avec force dans sa chatte trempée, dilatant ses parois. Elle continuait à la prendre, encore et encore, faisant crisser sa combinaison, la faisant gémir, jusqu’à ce que les deux femmes ne se mettent à jouir.

« Hmmmm… !! »

La Norvégienne démoniaque se relâcha avec appétit dans la chatte de sa partenaire, jouissant longuement. Sa verge tressauta, balançant des chapelets de foutre. Elle respira longuement, et Lucinda se rapprocha alors.

« Je n’ai pas encore dit mon dernier mot, Mesdames… Et cela tombe bien, Lissandre a deux trous… »

Fönn sourit alors. Sous cette nature démoniaque, elle était bien plus endurante, et elle libéra le vagin de Lissandre. Fönn souriait malicieusement, et décida donc de passer à l’acte final.

« Je vais te briser les reins, ma chérie… »

La démone se lova contre Lissandre, et passa ses bras le long de ses jambes, puis la souleva ensuite, en faisant passer ses bras sous ses jambes. Elle opta pour un « full nelson », une position lourde et épuisante, inspirée du catch, qui consistait à soulever son partenaire par les jambes pour le tenir ensuite par la nuque, en joignant ses mains à cette hauteur. Lissandre était ainsi « assise » contre Fönn, ses jambes relevées et pendouillant à gauche et à droite. La position était exigeante en soi, mais, pour la finaliser, la verge de Fönn se rapprocha du fondement de Lissandre. Lucinda se rapprocha à son tour, et caressa les joues de Lissandre. Elle l’embrassa ensuite tendrement, et la pénétra à son tour, tandis que Fönn s’enfonça dans son cul simultanément.

Aucun doute que, suite à un tel effort, Lissandre allait devoir reprendre des forces !

« Vous êtes impitoyables toutes les deux ! Hi hi ! »

Lissandre sentait la chaude semence de sa femme dans son ventre. En plus de cela, elle était aussi remplie de l’orgasme qui avait été servi avec. Ça aurait pu se terminer ici. Bon, peut-être avec un dernier acte où sa femme à la peau rouge aurait terminé de jouer avec la Reine-chienne. Mais non, les deux femmes avaient d’autres projets pour elle.

« M’infliger pareil supplice alors que je reviens d’une tentative de suicide. Je devrais être alitée, hi hi ! »

C’était de fausses plaintes, bien évidemment. Lissandre prenait plaisir à cette double pénétration. Comment un esprit aussi curieux et lubrique que le sien pourrait-il résister à une démone et une reine ? Non, totalement impossible !

« Allez, brise-moi les reins, petite démone ! Mais je te préviens, quand je serai en fauteuil roulant, tu devras obéir à chacun de mes ordres. Et surtout mes caprices ! »

L’idée d’arriver aux urgences était pour une fois rigolote. En oubliant l’hypocrisie du terme pour un service qui prenait des heures et des heures : Lissandre voyait déjà le visage des infirmières quand elle leur conterait l’histoire de son hospitalisation. Celles qui seraient outrées qu’on baise avec des démons. Au revoir petite religieuse prudence. Celles qui s’excuseraient pour aller faire un tour aux toilettes. Va te frotter le clito comme jamais, jeune excitée ! Oui, elle voulait bien se faire briser les reins pour ajouter cette histoire à sa légende et user de sa femme comme d’une servante à domicile.

« Et toi, ma Reine, tu n’es vraiment qu’une débauchée. Ça joue les grands airs quand le petit peuple la regarde, mais ça n’hésite pas une seule seconde à fourrer une chatte déjà remplie du sperme d’une autre ! Bonjour les mesures d’hygiène, hi hi ! »

Dans cette position, elle ne pouvait rien faire d’autre que blablater. Donc Lissandre parlait. Et Mélissandre se nourrissait. A la suite de cette petite sauterie, Maman Lissandre aurait besoin de repos mais Bébé Mélissandre pèterait le feu !

Autant la femme que son épouse étaient fascinantes ! Elle, Lissandre, cette Française qui avait fusionné avec le bébé-Slime de Mélona, créant ainsi un symbiote-slime. Une chose unique au genre ! Et, comme si ça ne suffisait pas, voilà que sa femme était aussi dotée de pouvoirs magiques liés à son sang scandinave. Cela faisait beaucoup de coïncidences pour que tout cela soit anodin. Est-ce que ces deux femmes étaient prédestinées à se rencontrer ? Est-ce qu’elles s’étaient inconsciemment rapprochées l’une de l’autre en ayant chacune intuitivement consciente que l’autre lui était pareille ? L’amour était chose difficile à comprendre pour Lucinda, qui n’avait jamais ressenti ce genre de sentiments à l’égard de quelqu’un d’autre. Elle n’était pas dénuée d’amour, certes, mais son amour ne s’exprimait pas à l’égard d’un proche qui lui serait comparable. Lucinda aimait Mélona, ou Lissandre, mais c’était davantage une sorte d’amour transversal, celui d’une idole envers ses dévots. Cet amour pouvait aussi s’exprimer de manière très physique, comme en ce moment, où Lissandre se faisait proprement baiser par Fönn.

Lucinda les rejoignit donc, caressant les longues jambes fuselées de Lissandre, qui parvenait encore à parler tout en étant prise en full nelson. La main de Lucinda glissa pour caresser la joue chaude et moite de Lissandre. L’intéressée claquait nerveusement es deux, tandis que la verge de la Reine Noire se faufila dans sa chatte, se glissant en elle.

« Hum… Je crois sincèrement que tu es la plus perverse de nous trois, ma belle, hmmm…
-  Haaaa… C’est toi qui as voulu que je me transforme, hmmm… Toi qui as même repoussé la Reine pour que je te saute ! Tu es… Une sacrée nympho’, Lissandre ! »

La Reine Noire la pénétra donc, et les deux femmes membrées remuèrent chaudement en elle, poussant de longs soupirs. Lucinda poussait effectivement sentir la mouille de Lissandre, mais aussi le sperme de Fönn… Qui n’était toutefois pas aussi abondant qu’elle aurait pu le croire. Mélissandre avait sans doute déjà absorbé ce précieux liquide, tout en renforçant aussi le corps et les articulations de sa mère, ce qui lui permettait de pouvoir endurer si facilement cette pose pourtant acrobatique et épuisante. Se mordillant les lèvres, Lucinda l’embrassa encore, serrant de sa main les cheveux moites de Lissandre. Elle s’enfonçait en elle à son tour, et, peu à peu, les minutes défilèrent, les coups de reins s’accentuant avec force. Les deux femmes étaient bien décidées à baiser puissamment la belle Lissandre !

« Belle-maman semble presque déçue ? Aurait-elle chuter de son trône ? Il va falloir redoubler de perversité alors pour me ravir mon trophée, hi hi ! »

Elle tira la langue comme un animal quand la Reine la pénétra son tour. Elle pouvait mettre l’intensité qu’elle voulait dans ses coups de reins : ça ne changerait en rien la situation. Elle qui prend son pied. Elle qui reste la plus perverse. Elle qui nourrit sa famille. Son bébé et sa femme. Elle tourna d’ailleurs la tête vers elle.

« Tu me dis tout ça presque comme si c’était ma faute, comme si tu étais désolé, ma Fönn. Pourtant, même si ta bouche a exprimé quelques hésitations, ta verge n’a jamais désépaissit. Au contraire, plus tu sombrais dans la dépravation, et plus elle gonflait. Et puis, nous avons été toutes les deux Enfer, hi hi ! »

La position était compliquée à ternir, certes. Mais Lissandre était comme plongée dans une sorte de transe sexuelle. Son corps tout entier pataugeait dans différentes drogues de bonheur. Il y avait les naturelles. Et il y avait l’effet de sa Mélissandre. C’était comme entendre une petite fille jouée dans un parc. Un sourire énorme. Une joie de vivre que perdait les adultes. Certes certes, cette joie était sexuelle. Mais Lissandre s’en fichait. Toute sa famille prenait son pied !

*Régale-toi, mon Bébé. Profite de la vie ! Ris, jouis ! Hi hi ! *

Immobilisée, Lissandre profitait pleinement du « full nelson ». Elle n’avait plus qu’à attendre l’épuisement de ses deux partenaires. Que tout le monde s’écroule à terre, les poitrines essouflées et les sexes dégoulinants.

Lissandre allait plutôt bien, alors même que son corps était soumis à une forte pression. Le full nelson était en effet une posture de catch, qui connaissait un sympathique, mais éprouvant, détournement sexuel. Soumise à rude épreuve, Lissandre se faisait prendre avec force, et elle se tortillait sur place, peinant à conserver son calme. Au lieu de ça, elle continuait à répondre aux deux Futanaris qui la pénétraient avec force. Fönn grognait dans son dos, maintenant sa femme en usant de ses muscles. Une telle prise, elle aurait été incapable de l’utiliser sous sa forme humaine, mais, sous sa forme démoniaque, elle était tellement plus forte… Ou, en tout cas, elle se sentait plus forte. C’était une sensation délectable, jouissive, qui ne pouvait que plaire à Lucinda. La Reine Noire, qui comprenait mieux tout l’attrait que Lissandre vouait à sa femme, besognait à son tour la belle Française, les deux verges s’enfonçant profondément en elle.

Petit à petit, parler devenait de plus en plus compliqué, car le désir l’emportait sur tout le reste. Lucinda grognait longuement, ne parvenant plus à retirer sa verge. Dès qu’elle se reculait, elle sentait les rebords de la combinaison slimesque de Lissandre appuyer sur la base de sa verge, la bloquant. Mélissandre aussi voulait sa dose ! Le corps de Lissandre était comme un magnifique chewing-gum rose géant qui crissait et couinait dans tous les sens. Fönn était folle de ces crissements, de ces sons. Elle ne s’était pourtant jamais vraiment vue comme une fétichiste, mais, quand on avait une femme comme Lissandre, on ne pouvait que succomber !

« Hmmm… !! Tu… Tu es si serrée… !! »

Mélissandre devait encore agir pour refermer les parois vaginales sur la verge de Lucinda, une verge qui filait jusqu’à taper le col de l’utérus de Lissandre, heurtant cette ultime barrière à plusieurs reprises. La verge de la Reine la remplissait totalement, ses mains s’appuyant sur les jambes relevées de Lissandre, ou se déplaçant pour pincer ses seins, chose que Fönn ne pouvait pas faire, du fait de sa position. Les deux femmes approchaient du point de rupture, Lucinda le sentait venir, mais il leur faudrait encore une bonne dizaine de minutes, et sans doute plusieurs orgasmes de Lissandre dans la foulée, pour que Lucinda et Fönn se mettent à jouir simultanément.

Un double orgasme puissant et fort, leurs spermes se déversant avec appétit dans le corps de Lissandre !

« Bien entendu que je suis serrée ! Sous ta forme démoniaque, tu es tellement épaisse ! Hi hi ! »

*Sans compter que la magie de mon bébé Mélissandre agit efficacement. N’est-ce pas, mon bébé ? Hi hi ! *

Elle n’avait plus rien ajouter. Lissandre était complètement asphyxiée par le sexe. Une brume sexuelle occupant ses pensées. Elle était remuée, pénétrée dans tous les sens, dans tous les trous. Plus rien n’avait de sens. Toute sa vie semblait se résumer à cet instant. Du moment pur et immédiat. Le reste n’importait pas.

Puis le double orgasme finit par arriver. Fönn-démon et Lucinda jouirent abondamment en Lissandre. Le sperme était magique. Il devait avoir un goût unique pour Bébé Mélissandre. Avec ce qu’elle avait déjà mangé avant, Lissandre l’imagina le ventre rond et tendu. Nul doute qu’elle allait faire une « sieste » et qu’elle se sentirait… seule. Une étrange conception. C’était un peu comme imaginer une personne solitaire qui se retrouvait sans ses animaux de compagnie. Avant les animaux, on vivait une vie seule sans s’émouvoir. Après, il y avait un manque qui se créait. Un silence étrange. Lissandre était à peu près certaine que Mélissandre ne lui répondrait pas quand elle l’appellerait plus tard. Sauf en cas d’urgence, bien entendu.

« Vous avez tellement éjaculées les filles que ça coule par tous les trous ! Hi hi ! »

Et Lissandre n’allait pas se plaindre. Si Fönn se révélait être devenue une fétichiste du latex et des bruits qu’il produisait. Lissandre adorait sentir en elle les fluides chauds. Elle adorait les voir couler des chattes et des anus. Et elle était la première à apprécier que ça lui arrive. Actrice ou spectatrice : ça lui faisait toujours de l’effet !

« Le royal sol va être maculé de vos semences. Je me demande comment le personnel d’entretien réagit à ça ? »

Un regard malicieux. Soudain, Lissandre avait envie d’être là pour observer ces gens travailler. Est-ce qu’ils allaient en parler comme d’un caprice de leur Reine et nettoyer avec serpillère et seau ? Ou est-ce qu’il y avait un personnel aussi nympho que leur Reine ? Dans ce cas, Lissandre ne serait même pas étonnée de voir des langues lécher le sol. Il se pouvait même que ça entre dans des recettes magiques ! Sans compter le nombre de slimes qui vivait dans ce château !

Tout ça et le sexe faisaient tourner la tête de Lissandre alors qu’elle était toujours tendue en position de « full nelson ».

Fönn grognait doucement en inondant le cul de sa femme, jouissant goulûment et puissamment en elle. Elle en ferma les yeux, sentant tout son corps s’abandonner à ce plaisir suprême, névralgique. Une véritable explosion de foutre, tout son corps s’électrisant à ce contact.

« Haaaa bordel… !! »

Sous cette forme, Fönn était complètement délurée, et beaucoup plus injurieuse, plus violente et plus passionnelle aussi ! Elle n’hésitait pas à pincer, à mordre, à forcer, à se délecter des supplications qu’on lui faisait. Elle ne faisait pas qu’embrasser une forme démoniaque, elle en captait aussi la nature. Si Lucinda prenait son pied, elle notait également tout cela, constatant l’efficacité de cette métamorphose. Ce n’était pas un simple changement physique, elle sentait aussi chez cette Fönn démoniaque une énergie démoniaque, une nature démone. Lucinda était vraiment curieuse et impatiente d’examiner davantage cette femme, de découvrir les subtilités de son être et de sa nature profonde. Pour l’heure, les deux femmes venaient de jouir avec force et abondance dans le corps de Lissandre, et Fönn la maintenait comme ça, comme si elle sentait le plaisir de Lissandre, le plaisir indicible qu’elle prenait à être ainsi étirée. Elle pouvait sentir le jus intime de Lucinda couler, celui de Fönn se retirant plus lentement, car la démone avait toujours sa queue nichée dans le fondement de Lissandre, bien au chaud.

Fönn soupira lentement, et finit par relâcher sa femme. Elle tomba alors sur le lit, emmenant Lissandre avec elle, et la maintint contre son corps, tandis qu’elle reprenait sa forme normale. Sa verge se rétracta enfin, ses cornes disparurent, sa taille décrut, tout comme ses muscles. Petit à petit, Fönn retrouvait sa forme d’humaine, et elle sourit doucement à Lissandre.

« Ta femme est impressionnante, Lissandre… Ses pouvoirs magiques sont remarquables. »

Lucinda s’allongea à son tour sur le lit, se couchant sur le flanc, et caressa les cheveux de Lissandre, qui avait la tête posée contre les seins de sa femme.

« Et je me dois aussi d’admettre que c’est une fantastique amante… »

« Je te l’avais dit. Pour une femme exceptionnelle comme moi, il fallait que ma femme soit au moins aussi spéciale. Mais je commence à me dire que je devrais peut-être être jalouse. Elle est belle. Elle a fait des études de médecine donc elle en a aussi dans la tête. Sans compter ses pouvoirs incroyables. Je pourrais avoir l’impression d’être la fille ordinaire si ça continue. Hi hi ! »

Sa Fönn lui paraissait si normal, si naturel. Presque fragile maintenant qu’elle avait retrouvé son apparence humaine. Mais attention, Lissandre ne regrettait pas ce retour. En fait, son cœur battait fort. Bien sur, parce qu’elle venait de vivre un moment de sexe très sportif. Le full nelson avait demandé à son corps des trésors de ressources. Mais son cœur battait fort pour sa femme.

« Qu’est-ce que je t’aime, toi. C’est fou. »

Elle était bien contre sa peau. Contre ses seins. Contre sa chaleur humaine.

« Et dire que nous allons devoir rentrer dans notre monde. Ça me fait un peu peur. J’ai l’impression que le rêve va cesser. Qu’on pourrait être aspirées dans la routine métro/boulot/dodo… »

Affronter des dragons. Se retrouver tout au fond d’une piscine emplie d’un millier de slimes. Toutes les situations improbables et potentiellement effrayantes/dangereuses/mortelles valaient mieux que le train-train quotidien de la quasi majorité des êtres humains. Lissandre avait tellement peur de la routine. Elle refusait que le temps passe sans qu’elle vive. Hors de question ! Et plus ce qu’elle vivait était fort, plus la chute était profonde. Elle le réalisait. Après tous les moments d’euphorie, il y avait la redescente. Son visage changea. Son humeur se dégrada. Des larmes, timides, commencèrent à couler. C’était inévitable : très bientôt, elle serait de retour chez elle, et son humeur serait très basse.

« Je suis désolée. Ca va passer. Seulement, je sais que je ne vais pas être au meilleur de ma forme en rentrant chez nous. Et je ne veux pas que fasses la rencontre de cette Lissandre maussade et déprimée. Je ne veux pas infliger ça à la femme que j’aime. »

Enfouie dans la chaleur de Fönn, sa main s’en alla derrière elle pour chercher le contact de Belle-maman. Jamais le concept de famille avait été aussi puissant. Et donc aussi effrayant car tout était amené à disparaître un jour. Le Temps était impitoyable.