The Multiversity

Poison avait bien joué avec Lady Tentacle et pour sûr, elle reviendrait la voir tôt ou tard, mais pour le moment, ce n'est pas qu'elle s'ennuyait, mais devait rejoindre la prochaine épreuve. Miranda l'avait mise au défi et, sans aller vers l'absurde, elle ne refusait pas un défi. De toute façon, elle avait pour idée de réunir toutes les jolies demoiselles croisées sur sa route pour en faire un grand film ! On en oublie que Poison était aussi une réalisatrice, se permettant parfois un caméo plus ou moins discret mais oui, elle touche-à-tout dans le domaine porno, ce qui explique aussi sa grande popularité. Passant dans un nouveau couloir après avoir quitté Lady d'un baiser volé, elle vit plusieurs tableaux la montrant petite. Parfois seule, parfois avec Virus. Ses années à l'orphelinat n'avaient rien de très amusant à dire vrai. Il y avait aussi des photos de sa mère porteuse. Elle avait déjà fait des recherches, mais la pauvre était prostitué non pas par choix, mais par nescessité et sa famille à elle était inexistante. Non pas qu'elle fut aussi orpheline, mais ils étaient morts ou disparu. C'était sa famille du côté de celui ou celle qui a enfanter sa mère qui reste un mystère. Assez fortuné pour cacher son identité aux personnes contrôlant ce genre de test de parenté, donc une personne fortunée, et, peu à peu, sa petite liste se réduisait, ce soir, c'était à Miranda de passer à table...

« C'est sympa, mais je suis pas très nostalgique du passé. Y a rien de vraiment amusant ou joyeux de ce côté de ma vie. »

Sa seule joie fut son enfance avec Virus, aveugle de naissance, elle était comme sa petite sœur, car les enfants sont parfois si cruelles. Évidemment, Virus a aussi été la première à subir les découvertes de Poison liée au sexe, même si la petite avait à peine un ou deux ans de moins qu'elle, elle a accepté, elle ne refusait rien à Poison à cette époque, et même une fois viré de l'orphelinat, Poison a de suite été la chercher dés qu'elle eut la majorité pour ne pas vivre séparer d'elle. Passant ce couloir, elle arriva dans une nouvelle salle, une salle de bain plus précisément où deux cyber personne – appellé plus communément Gynoïdes – semblait l'attendre. À Uatis, c'était monnaie courante de découvrir ce genre de « jouet », Poison a elle aussi goûté à la marchandise, et même si c'est de la bonne came, rien ne vaudra pour elle les vraies personnes. Elle comprenait les gens qui en possédait ou en voulait un/e à tout prix, mais pour elle, elles ne sont utiles que pour quelques scénarios de film, rien de plus.

« Okay mes mignonnes, mais vous attendez quoi de moi ici ? Que je prenne un bain avec vous ? Que je vous asperge de mon foutre pour vous tartiner le corps, hum ? »

C'était bien gentil de proposer deux Gynoïdes pour elle, faudrait-il encore savoir les règles ? Car certes, ce sera sexuel, ça, c'était l'évidence même de ses épreuves, mais en dehors de ça ? Poison tendit sa main vers elle, caressant sa peau synthétique, tout en lui tournant autour. Belles formes, ça sera amusant de les baiser, ça oui. Poison allait même se rapprocher de Chi, passant sa main sur elle aussi, passant sur son visage, ses cheveux.

« Donc, toi, tu es sa sœur, Chi. Mais alors, dis-moi comment se nomme ta sœur, ma petite poupée ? Et tant qu'à faire... Dites-moi ce que vous attendez vraiment de moi ? »

Assise sur le bord de la baignoire, ses doigts passaient sur les lèvres de Chi, son index venait glisser sa première phalange dans sa bouche alors que son regard allait vers l'une, puis l'autre.

Chi et Hanya étaient magnifiques toutes les deux, et, après avoir commencé à les caresser, Poison s’assit sur le rebord de la baignoire en demandant quelles étaient les règles de cette nouvelle épreuve. Les deux Gynoïdes sourirent tendrement, avant de se relever. Les deux s’extirpèrent de la baignoire, exposant leurs corps magnifiques.

« Jadis, nous étions des humaines… Deux sœurs qui étaient condamnées à mourir d’une maladie incurable qui nous dévorait lentement… »

Elles avaient été les victimes de la maladie de Charcot, une dégénérescence neuronale qui entraînait l’atrophie progressive de tous les muscles du corps humain. Plus le temps passait, et plus le corps devenait une prison, un sarcophage meurtrier, jusqu’à ce que les fonctions vitales ne cessent de fonctionner. Les nanomachines de Novac ne permettaient que de ralentir cette maladie, qui était pour l’heure incurable. Pour survivre à ce funeste destin, Chi et Hanya avaient fait partie d’un programme expérimental consistant à sauvegarder leur cerveau pour en faire une copie dans le corps d’une Gynoïde. Cette technologie de pointe fonctionnait sur la base des IRM, et avait permis de sauvegarder les données de leur cerveau, les retransmettant ensuite, à l’aide de plusieurs superordinateurs, dans des disques durs, pour les renvoyer ensuite dans le corps d’une Gynoïde.

Chi et Hanya avaient ainsi vu le jour. Les deux Gynoïdes étaient intimement liées, et arboraient une peau synthétique ressemblant beaucoup à la peau humaine. Quand la main de Chi glissa sur le visage de Poison, c’était un contact agréable, qui n’était pas dur et métallique. Elle sentait une véritable peau, chaude, mais également lisse, comme gommée des imperfections d’une peau humaine. De fait, les deux femmes amenèrent Poison à s’asseoir sur un fauteuil, et Chi grimpa sur elle, venant la chevaucher tendrement, frottant son bassin contre le membre de Poison, et l’embrassa encore.

« Hmmm…
-  Madame Forge nous a embauchés pour passer un peu de temps avec vous, Maîtresse Poison. Nous ne sommes pas de simples partenaires sexuelles, vous savez. Toute cette pièce a été aménagée, et abrite de nombreux capteurs biométriques destinés à mesurer notre excitation sexuelle, notre… Notre désir. »

Hanya désigna un écran collé sur un mur. L’écran ne tarda pas à s’allumer, et montra un numéro, un pourcentage qui s’affichait au milieu de l’écran en gros.

« Ce pourcentage varie selon différents critères… Notre excitation naturelle, mais, globalement, tout ce qui se passe. Ton défi, Poison, c’est de faire en sorte que nous atteignons un plaisir de 100% en une heure. Sache que l’orgasme ne permet pas de rejoindre le 100%... Il va falloir que tu varies tes actes.
-  C’est le défi que nous proposons à tous nos clients. Pour l’heure, en une heure, personne n’a réussi à atteindre le 100%. Sache que, si quelqu’un y arrive, le contrat prévoit que nous devenons ses esclaves sexuels. »

Chi lui sourit alors, et se redressa un peu, restant lovée contre le corps de Poison.

« Alors, Maîtresse, êtes-vous prête à relever ce défi ? Pensez-vous y arriver ? Car nous sommes… Très gourmandes ! »

Le faire avec des gynoïdes, pourquoi pas. Poison préférait évidemment le faire avec une vraie humaine, en chair et en os, mais elle n'allait pas cracher dans la soupe, surtout que le gain à toutes ses épreuves était une chose qui la motivait. Jouer avec deux poupées, c'était largement dans ses moyens. Chi et Hanya lui tournaient autour, la caressant, l'une d'elles la chevauchait pour l'embrasser pendant que la seconde expliquait leur histoire. Assez triste, certes, mais elles ont eut cette alternative qui semblait les ravir alors tant mieux ! Le but étant de faire le plus gros score sur leur excitation afin de les combler, ce n'est pas comme si Poison en était étonnée. Si elle parvient à leur faire atteindre le maximum, elles lui appartiendront. Elle n'avait pas vraiment besoin de poupée, Poison était assez célèbre pour que, si elle avait envie de baiser quelqu'un, elle en fasse simplement la demande, il n'y avait qu'un petit pourcentage que ce soit un non. Un non dû à un manque de temps ou simplement pas fan d'elle. C'est rare, mais Poison n'était pas non plus acclamé par Uatis en entier, mais presque.

« Ha oui, des gourmandes ? Et toi, tu crois que toutes celles avant toi ne croyaient pas gagner ? Je les ai toutes baisées... et si elles auraient pu, elle m'auraient garder pour en redemander. »

Il n'y avait que les F-Girls où elle a dû écourter son séjour, mais ce n'était que partie remise alors nul crainte. Poison pressait le petit cul de sa poupée en souriant. Sa bosse commençait à naître entre ses cuisses. Ses mains pressaient ce petit cul qui semblait si réel, mais pour faire atteindre le maximum, elle avait des pistes pour y arriver. Elle ne savait pas comment, mais elle comptait les faire jouer ensemble, les faire jouir ensemble. Deux sœurs, forte possibilité d'inceste.

« Je vais commencer par toi, ma toute belle comme tu es bien installée. Mais j'oublie pas ta sœur, je lui laisse même le choix ! Hanya, pendant que ta sœur va me chevaucher, tu pourras me lécher les couilles, les gober même si tu veux, ou bien, tu pourrais t'occuper du joli cul de ta chère sœur. »

Peu importe comment, avec sa langue, ses doigts, en se faisant pousser une bite, Poison ne donnait que des ordres vagues pour voir la possibilité, leur choix, leur préférence. L'un comme l'autre, au final, c'était surtout Poison qui allait devoir donner le rythme, sinon Hanya aura du mal à s'occuper de ses bourses ou du cul de sa sœur si elle y allait avec la bouche. Laissant Hanya faire son choix, l'actrice glisse sa main entre ses cuisses, libérant son colosse de chair qui se tendait entre elles ! Elle remuait, soulevant Chi pour en dégager son mini-short, se sentant déjà plus à l'aise.

« Petite question par habitude, ma poupée... quel est ton film favori ? »

Elle demandait toujours ça à ses fans, ça lui donnait une idée de la marche à suivre, de leurs préférences. Poison a surtout eu des rôles de dominante, mais il y a tant de variantes sur ça. Super vilaine, directrice de prison, professeur particulier, instructrice en chef dans un bataillon de soldates, la domination laissait tant de portes ouvertes pour peaufiner son art !

« Et n'oublie pas de me branler pendant que je me rends compte combien ton cul est moelleux... ouais... tôt ou tard, je te prendrais le cul et tu crieras plus fort que lorsque ta mère ta sortie de sa chatte ! »

Poison comptait bien en arriver là, les faire hurler de toute leur âme ! Une par une d'abord...

Poison allait avoir très largement de quoi jouer avec Chi et Hanya ! Y avait-il là de quoi renforcer son attirance pour les Gynoïdes ? Miranda n’ignorait rien des passions de l’actrice, et elle avait conçu ces épreuves comme ça. Mais là, face à Chi et à Hanya, elle allait devoir se montrer très polyvalente. Le défi était à la fois passionnel et technologique, consistant à remplir une jauge de désir. Il ne s’agissait pas « juste » de les mener à l’orgasme, car cela ne remplissait pas la jauge à fond. De fait, Poison était déjà avantagée, car, quand elle libéra sa puissante verge, les deux Gynoïdes tremblèrent d’excitation sur place. La jauge de désir grimpa ainsi à 5%, et Poison alla ensuite donner ses premières directives, invitant Chi à venir s’empaler sur elle, tandis qu’Hanya pourrait lécher ses testicules, ou s’attaquer à Chi.

« Nous avons été programmées pour le sexe, Maîtresse… Mais nous ne sommes pas de simples sexbots, nous sommes des créatures expérimentales, conçues à partir d'une personnalité humaine… Nos corps n’ont par définition aucune limitation sexuelle. Vous pouvez nous décrire comme des succubes technologiques… »

Hanya sourit devant cette description. Comme toute machine, elles avaient besoin de carburant, d’électricité… Et, chez elles, elles disposaient de batteries très spéciales, qui fonctionnaient avec les fluides sexuels, se rechargeant avec le sexe. Elles pouvaient volontiers faire vibrer leurs corps. C’était une situation assez exceptionnelle ! Chi frottait avec ses lèvres intimes le membre tendu de Poison, cette verge magique. Elles pouvaient aussi regarder tout cela avec un œil technologique. Dans cette vision spéciale, elles ressentaient les pulsations cardiaques de leurs partenaires, et leurs microprocesseurs disposaient de multiples capteurs pour aboutir à cette vision. Pression sanguine, pression cardiaque, rigidité du sexe ou sécrétion de cyprine… Quand Hanya utilisa cette vision, elle sourit en se mordillant les lèvres, voyant la magnifique verge de Poison se mettre à grossir, à durcir, s’illuminant même.

Poison leur avait demandé leur film préféré, et Chi posa un doigt innocent sur ses lèvres, comme si elle faisait mine de réfléchir à cette question.

« Hmmm… Je ne sais pas trop, Maîtresse…
-  C’est que beaucoup de vos films nous ont plu… Mais je dirai que ce serait la saga des Technoids… »

Sans surprise ! Cette saga en plusieurs numéros dépeignait le développement d’un virus informatique transformant des femmes en Technoids, des amantes sexuelles amplifiées par des implants cybernétiques, et désirant envahir le monde. Poison avait joué dans chacun de ses films, comme une héroïne combattant initialement les Technoids, avant d’y succomber, et devenir une Reine alpha. Autant dire que, pour Hanya et Chi, c’était quelque chose de magnifique !

Chi s’empala alors sur la verge de Poison, et gémit lentement, tandis qu’Hanya vint lécher les testicules de Poison, les embrassant tendrement, frottant son nez sur sa verge ou sur le corps de Chi, qui se déforma sous ce membre. Leurs peaux synthétiques étaient très douces, très tendres, une peau très réussie, en même temps très lisse.

« Nyyyuu, c’est si bon, Maîtresse…
-  Nous aimerions tant tourner un film vers vous… Une suite aux Technoids, ce serait formidable, non ? »

La saga se terminait par l’éradication du virus quand Poison était soignée du virus. Une ultime orgie avait lieu, où l’ardeur sexuelle de Poison devait satisfaire les Technoids le temps qu’un antivirus se mette au point. Une scène superbe, qui avait demandé plus d’un millier de figurants ! Cette scène était si intense qu’elle avait même duré les trois quarts du film ! Pour les deux Gynoïdes, c’était indéniablement une référence !

Poison n'avait jamais été une grande fan d'androïde ou peu importe leur nom, dans le porno. Non pas qu'elle avait peur de se faire chiper sa place, mais elle préférait faire ça avec de véritables personnes. Ce genre d'androïde était utile pour la chirurgie ou ce genre de tâche bien minutieuse, mais le sexe, ce n'était pas ça. C'était faire parler ses plus bas instincts pour mener son ou sa partenaire au plaisir ultime de l'orgasme. Poison avait enfilé bien des rôles, souvent en dominatrice avec un vrai scénario ou parfois en caméra cachée comme dans la saga célèbre de « Uatis Rape » où elle se faufilait dans des transports en commun bondé, bondé de personnes travaillant pour elle, pour mieux violer une jeune femme au hasard, ou en amenant une personne au hasard dans une ruelle, la menaçant d'une lame pour soutirer de nouvelles images très chaudes. Évidemment, une fois que c'était dans la boite, elle s'excusait, demandait la permission de diffuser les images et dédommageait la personne. En général, dés qu'ils remarquaient qu'il s'agissait de Poison, on lui pardonnait. Elle avait beau être une actrice porno, petits et grands lui donnerait un organe si elle le demandait. C'était Poison ! Si elle voulait devenir Maire de cette ville, ça serait trop simple ! Mais bon, jamais elle ne voudrait d'un tel boulot.

Questionnant les deux jouets sur leur goût en matière de film, elles citèrent sans surprise la sage Technoids, vu le scénario, ça devait être leur came, en effet. Plusieurs épisodes ont été tournés, amenant Poison de plus en plus dans le côté des ennemis avant de faire marche arrière. C'était intéressant de la voir sombrer de plus en plus au virus au fil des films avant de faire sa rédemption dans le dernier épisode et sauver le monde. De grands moyens, des drones, des caméra intégrer à leurs lunettes pour des prises en « Point de Vue », des scan pour mieux voir en temps réel leur queue se vider dans leur partenaire, vidant leur couille et remplissant des utérus de plus en plus débordant de foutre. Poison ne faisait pas de film porno, elle faisait des blockbusters porno ! Certes, elle était plus calme entre deux films, se faisant plus classique, mais quand elle avait une idée, elle ne lâchait pas le morceau, peu importe le budget ! Trop confiante ou génie de l'industrie, elle fonçait droit devant et rien ne l'arrêtait, même quand les producteurs ou acteurs était mitigé, elle fonçait et elle gagnait ! Même si on prend en compte son film le plus « mauvais » en terme de rentabilité, c'était au début de sa carrière, et même en étant en bas de la liste, il avait bien rapporté quand on savait que c'était ses débuts. Avec Chi sur ses cuisses qui se faisait prendre en laissant Hanya lui lécher les couilles avant de s'occuper de son amie, l'actrice s'en amusait de tout cela.

« Miranda fait tout pour me refiler ses actrices en herbe ou quoi ? »

Ses mains posées sur le cul de la Gynoids, elle la faisait remuer un peu sur ses cuisses alors qu'elle voyait une nouvelle personne lui demandant de tourner dans un film. Certes, avec Poison en garantie, succès était au rendez-vous, et même si elle ne tournait pas avec ou pour Poison, avoir sa recommandation, c'était avoir un ticket en or ici ! Elle allait vraiment devoir mettre les bouchées doubles pour ses prochains films.

« Commencer par me convaincre, mes salopes, après, on verra ça ensemble. »

De quoi motiver les jolies poupées à mieux remuer sur sa queue pour commencer. Ses mains écartaient ses petites fesses bien douces pour libérer son accès à son cul, Hanya n'avait qu'à tendre sa langue pour lui lécher le trou de balle.

« Vous voulez une suite à votre saga fétiche et moi, je peux réaliser votre rêve... il faut juste y mettre du votre, les filles. »

Ce n'était pas vraiment du chantage ici, même si dans le monde du showbiz, ce genre de conversation pouvait être réelle, pour Poison, il y a déjà eut des contrats signé de la sorte, mais c'est juste que la baise remplaçait le champagne et les petits fours. Donner son accord pour une chose qui ne lui tenait pas à cœur juste pour baiser, non. Mais lui montrer un projet qui tient la route et qui demande juste un coup de pouce de sa part, oui. Un grand oui.

« Mmmh, dis-moi... quel a été le plus haut score enregistré pour le moment ? »

Personne n'a eut les cent pour cent mais qui ou combien a été enregistré en haut de leur classement ?

Chi et Hanya allaient profiter de leur invitée ! Poison était encore un peu passive, se contentant de palper leurs corps. Elles présentaient un alliage très particulier, car le matériau formant leur peau était assez souple, tout en présentant une apparence métallique. C’était assez particulier, car, quand Poison se mit à palper le cul de l’une des deux Gynoïdes, elle sentit cette peau se presser. C’était une peau artificielle extrêmement réaliste, et les deux Gynoïdes sourirent malicieusement devant leur hôte. Poison s’attaqua au cul de la belle Chi, tandis qu’Hanya se trouvait dans son dos.

« Y mettre du nôtre ? Vous ne nous trouvez pas assez motivée, Maîtresse ?
-  Nous avons été conçues à partir de vous, vous ne comprenez pas ? »

Chi l’embrassa alors sensuellement. Hanya se déplaça alors, et vint masser les épaules de Poison, frottant ses seins contre sa tête. Les deux Gynoïdes n’avaient pas encore révélé tous leurs secrets à cette femme.

« C’est Maîtresse Forge qui a conçu nos corps, et nos personnalités. Pour cela, elle a utilisé quantité de vos films pour modeler nos personnalités…
  - C’est elle qui nous a formés… Pour que nous nous surpassions à chaque fois, au niveau de nos performances sexuelles. Elle n’a arrêté que quand elle n’a pas réussi à atteindre les 100%. »

Le défi était donc d’importance… Poison allait devoir se montrer plus perverse et plus endurante que Miranda Forge en personne ! Ce n’était donc pas si simple, et il allait falloir qu’elle se surpasse. Il suffisait de goûter au baiser de Chi pour le réaliser.

« Nous avons été conçues avec beaucoup d’argent, nous ne sommes pas que de simples androïdes… Je dispose d’une multitude d’implants et de capteurs, Maîtresse… Vous voyez, quand je promène mon doigt sur vos lèvres, là, je ressens toutes les variations de votre peau, et les endroits précis où je peux mordre. Maîtresse nous a conçu pour offrir une technologie du sexe. Nous analysons le corps humain sous le regard du sexe. »

Il fallait s’appeler Miranda Forge pour concevoir de telles créatures ! Elles n’avaient décidément rien à voir avec des sexbots standards. Miranda avait conçu celles-ci personnellement, avec patience, dans son laboratoire. C’était une manière, pour elle, de combler son manque d’affection maternelle, sa carence de n’avoir jamais pu élever ses propres enfants. Chi retourna embrasser Poison, et lui fit la démonstration de ce qu’elle avait dit, la mordillant, tandis qu’Hanya déplaçait ses mains.

« Maîtresse Forge nous a toujours fait atteindre les 100%, et nous avons perfectionné nos techniques, encore et encore, jusqu’à ce qu’elle fasse 99%... Nous nous améliorons sans cesse, et ce sera désormais à vous de nous perfectionner, Maîtresse Poison… »

Leurs mains exploraient le corps de Poison, recherchant ses zones érogènes, les points sensibles qui pouvaient amplifier le désir de la jeune femme.

« Vous êtes prête à relever le défi, Maîtresse ? »

Poison devait donc s'amuser avec les deux robots afin de pouvoir leur offrir bien plus et continuer son épreuve. Elle ignorait à quel point elle devait se surpasser pour réussir, mais elle le saura tôt ou tard. Et sans être prétentieuse, elle savait qu'elle allait réussir. La fierté des Forge coulait dans son sang, mais c'est surtout qu'elle en a connu des hommes et des femmes se croyait au-dessus d'elle, voulant la soumettre et au final, c'étaient eux qui étaient à genoux à idolâtrer sa bite comme si c'était la réponse à tous leurs soucis. Alors deux robots – ou peu importe le vrai terme – au-delà d'avoir une jauge à plaisir, ça sera pour ainsi dire la seule différence avec les autres. Elle y allait doucement pour le moment, uniquement pour récolter le plus d'information possible afin d'avoir toutes les cartes en main. Donc, de leur corps d'origines, Miranda en a fait des putes de luxe qui se surpassaient de plus en plus, calqué sur sa filmographie ? Sur ça, elle ne pouvait pas nier que les deux devaient avoir une sacrée expérience ! Mais pour la suite, ça restait à prouver. Les deux poupées se démenaient tour à tour pour la séduire et quelque part, la provoquer un peu.

« Je suis prête à vous faire jouir, mes poupées. »

Elle se blottissait plus sur Chi pour l'embrasser, laissant Hanya la caresser si elle le désirait. Sur ça, Poison n'était pas très originale, ses zones érogènes, c'était surtout sa poitrine et ses bourses. Le cul comme sa queue l'étaient aussi, mais pour avoir accès à son cul, ce n'était pas donné à tout le monde ! Autant dire que grâce à cette épreuve, les F-Girls en ont bien profité ! Se délestant de son mini-short, elle laissait là son beau cul bien visible et palpable, mais Poison écartait les cuisses pour une bonne raison.

« Soit gentille Hanya, vieux sucer mes couilles... Tu vas me stimuler pendant que je m'occupe de ta sœur. »

Petite ou grande sœur, peu importe. Sa queue était tendue, prête à faire buger la belle poupée mécanique, mais évidemment, ça n'allait pas se faire si facilement, sinon, ça serait trop beau.

« Donc, des poupées basées sur mes films qui arrivent à jauger les performances... Soit. Je vais tenter de te faire dépasser le maximum alors, si c'est possible ? »

Leur donné permettait de jauger le maximum sur leur meilleur coup – et donc, lors de son dernier rapport, Miranda a fait moins bien qu'avant – ou alors elles fixaient une limite censée être le maximum ? Des donnée techniques que Poison allait repousser, évidemment ! Sans se vanter, elle était celle qui repoussait les limites ! Elle était une simple humaine qui n'avait pas fait de chirurgie à son attirail, il était d'origine, loin d'être la plus grosse et la plus grande queue d'Uatis, et pourtant, elle soumettait tout le monde qui lui cherchait des noix. Nul besoin d'avoir un bras entre les jambes pour se croire forte quand on s'appelle Poison !

« Je devine à votre attitude que vous adorer la soumission, mais qu'est-ce qui déclenche cette fuite de cyprine pour vous deux, hum ? »

Leur point faible donc. Se faire pincer ? Insulter ? Fesser ? Cracher dessus ? Simplement être baisée comme une pute ? Il y avait tant de possibilités que Poison se fera une joie d'essayer.

« Mmmmmmh, bien, bien... Gentille petite Hanya... Tu vois ? Ta sœur me suce les couilles pour que je puisse mieux te remplir la chatte... Tu as intérêt à la remercier comme il se doit, après. »

Autant dire qu'il faudra plus qu'un « merci » pour ça. Mais maintenant en action, Poison venait pénétrer doucement Chi, sa queue pénétrant dans sa cyber-chatte, se délectant toujours de ce petit plaisir.

« Je me demande, si je te remplit assez, tu auras le ventre gonfler ou pas ? »

Certes, pour la remplir au point de lui faire gonfler le ventre, il en faudra des quantités de foutre, mais simple curiosité de la part de Poison. Pressée contre son corps, elle y allait doucement pour le moment, c'est que ses couilles étaient entre les mains d'Hanya, elle ne voulait pas se faire mal en allant trop vite.

Chi et Hanya étaient toutes les deux des poupées sexuelles magnifiques. Difficile de ne pas se lier à elles, et Poison allait vite découvrir combien les deux Gynoïdes étaient appétissantes. Elle donna rapidement ses premiers ordres. Hanya sourit doucement, et s'agenouilla devant elle, observant sa belle verge, qu'elle renifla lentement, ce qui ne manqua pas de l'exciter. Se mordillant doucement les lèvres, elle admirait cet organe, cette verge. Un organe très spécial, à la fois élastique et dur, souple et puissant, qui pouvait gonfler et se durcir. Les propriétés physiques de cet organe étaient fascinantes, tout simplement, et Hanya commença à le lécher doucement, ne s'attaquant toutefois qu'aux testicules, conformément aux demandes de Poison. Elle déposa plusieurs baisers, avant que sa langue ne glisse dessus, et continua à renifler. Les deux Gynoïdes tremblaient déjà d'excitation, mais il allait en falloir plus pour remplir à fond leur barre de désir. Chi observait sa sœur, presque avec jalousie, puis regarda encore Poison, qui approcha sa verge de sa fente intime...

Elles avaient soigneusement expliqué à Poison comment elles fonctionnaient. Elles étaient des sexbots très évoluées, des humaines qui avaient été cybernétisées, ou des androïdes conçus à partir d'anciens êtres humains. En réalité, les deux Gynoïdes n'en savaient trop rien, mais, en devenant des sexbots, elles savaient qu'elles avaient pu lutter contre la vieillesse, Leur corps mécanique leur permettait également de maximiser le plaisir sexuel. Ce faisant, elles étaient d'incroyables réussites, et Chi sourit en sentant le rythme cardiaque de Poison s'emballer furieusement. Sa verge se durcit rapidement, s'élançant pour caresser les cuisses de Chi, puis Poison se rapprocha encore, prête à la pénétrer.

« Ça, Maîtresse, c'est à vous de découvrir ce qui nous excite...
  -  Mais vous êtes sur la bonne voie, nous ne nous faisons aucune inquiétude... »

Aucune inquiétude, en effet, car Poison était très douée, et se rapprocha ensuite de Chi, venant doucement la pénétrer, Toutefois, la présence d'Hanya dérangeait les deux femmes, empêchant une bonne pénétration. Impossible pour Chi de trop écarter les jambes, car elle rencontrait le corps de sa sœur. Devant ce blocage, Hanya se retira alors...

« Maîtresse Forge adore quand je lèche son fondement tandis qu'elle pénètre ma sœur... Ou inversement ! »

Poison allait vite comprendre que les deux Gynoïdes n'étaient pas totalement dociles, elles prenaient aussi des initiatives personnelles, et Hanya se déplaça donc, rejoignant le dos de Poison, tout en restant agenouillée sur le sol. Elle attendit que Poison la pénètre plus longuement, et vit Chi enrouler ses gracieuses jambes autour du bassin de Poison, au-dessus de ses belles fesses rebondies. Hanya observa ce beau postérieur, et palpa ses fesses avec ses mains. Elle les malaxa avec appétit, et rapprocha ensuite sa langue, venant lécher le délicieux fondement de la jeune femme.

Oui, Poison était magnifique, et elle allait vite comprendre que les Gynoïdes avaient des zones érogènes très sensibles partout. La réponse à sa question initiale sur les zones à presser pour les exciter était donc en soi simple à trouver : elle pouvait les caresser absolument partout ! Mais, pour l'heure, c'était bien elles qui s'amusaient, et la langue d'Hanya commença à titiller la porte arrière de Poison, venant s'y glisser avec appétit…

Face à ses deux belles sex bot, Poison n'allait pas devoir leur faire de cadeau, c'était toute façon le but pour pouvoir passer à la suite, elle devait vaincre le dernier record de Miranda pour ça. Elle commençait donc avec Chii, sa queue dressée ne tardait pas à venir doucement l'empaler pour commencer le travail, pour le reste, Hanya commençait à s'écarter en voulant offrir à Poison une autre façon de s'amuser, une chose dont Miranda était habituée. Elle n'avait rien à ce qu'on lui lèche le trou de balle, mais en pure dominante, il n'était pas simple de brandir une queue et vouloir lui prendre le cul.

« Fait donc si tu te sens à la haute, ma jolie, mais ne crois pas que cela suffira à me vaincre. »

En soit, elle n'était pas contre cela et alors qu'elle se pencha un peu plus sur Chii pour la prendre, elle sentait sa sœur qui commençait à la caresser et à passer ses mains sur son corps alors que le show commençait tout juste pour elle.

« Bon, si je devais deviner ce qui te branche, toi... mmmmh... »

Penchée sur elle, elle commençait à la pénétrer, lentement, mais chaque coup de rein était sec, dur comme elle se devait de l'être à cause de son image, elle se questionnait cependant vraiment sur ce qui branchait cette gynoïde, en dehors de l'inceste... Le sexe, c'est large, mais par chance, elle n'avait pas juste droit à trois essais, elle devait trouver comment la faire craquer. Il y avait évidemment des zones sûres, mais parfois, il y avait toujours un petit coin spécial, pas forcément érotique qui pouvait faire craquer certaines personnes. Parfois, elles ne le savaient même pas ! L'oreille, le cou, un doigt, le coude, il y avait parfois aucune raison à cela, soit cela venait juste comme ça, sans aucune raison, parfois ça pouvait être une ancienne cicatrice ou autre, c'était vraiment tout et n'importe quoi. Mais vu qu'Hanya aimait lui lécher le cul – une chose qu'aimait Miranda, mais qui avait peut-être déteint sur elles aussi – cela lui faisait déjà une bonne piste à explorer.

« Toute façon, tu y aurais pas échappé, mais... et si après ça, hum, je te prendrais ton petit cul ? Ham, l'idée d'avoir ma bite dedans te rend déjà toute chose, j'suis sûre ? »

Le sourire s'étirait, ses coups de reins gardaient cette même puissance au moment de lui rentrer dedans, elle laissait Hanya se débrouiller pour lui lécher la rondelle, venant quand même glisser une petite caresse sur sa tête.

« Après tout, huum... toi et ta sœur... vous avez l'air de deux petites chiennes... à tortiller votre petit cul, ham, pour vous le faire défoncer joyeusement. »

Elle pouvait se tromper, mais le sexe, c'était son boulot, un sommelier savait faire son job quand on parlait de vin, même en dehors de ses heures de travail, déformation professionnelle, il en était de même ici. Elle voyait, elle analysait...

« Huhu... je vais tellement vous faire jouir ! »

Cela ne faisait que commencer pour elles, mais Poison voyait déjà les choses en grand !

Chi et Hanya étaient deux sexbots redoutables, mais, en toute objectivité, s'il y avait une personne sur Tekworld capable de rivaliser avec Miranda, c'était bien elle, sa fille cachée... Ce que Poison, à ce rythme, allait bientôt découvrir ! Les deux sexbots étaient évidemment ravies de coucher avec elle. Connaissaient-elles le secret de Poison ? C'était peu probable, car Miranda le gardait jalousement, mais elles se doutaient bien que Poison était spéciale aux yeux de leur Maîtresse, puisque celle-ci avait organisé cet immense show sexuel juste pour Poison. Sa carrière n'avait pas besoin d'un tel coup de projecteur, mais il était plus que probable que les journaux spécialisés ne manqueraient pas de commenter cette collaboration entre GWC et une icône aussi populaire que Poison. Mais, pour l'heure, Poison se contentait de savourer la délicieuse chatte de Chi, tandis qu'Hanya s'attaquait à son fondement.

Poison se demanda alors si les deux femmes cybernétiques n'étaient pas sodomites, et Hanya gloussa doucement, tandis que Chi gémit à son tour. Sentir cette belle verge en elle, c'était exquis, elle adorait ça ! Posant sa main sur la nuque de Poison, en appui, elle se pencha vers elle, venant l'embrasser avec appétit, et serra ses jambes autour de sa taille. Elle se crispa sur elle, et soupira de plaisir.

« Oui, Maîtresse, jouissez en moi, mon petit corps n'attend que ça, hmmm... ! »

Elle allait pouvoir constater que Chi mouillait. Comme quoi, l'androïde était vraiment bien fait, et la queue de Poison s'enfonçait dans une chair synthétique très tendre, très douce. Rien de douloureux pour elle, et Poison grogna encore, tandis qu'Hanya s'était relevée, et caressait désormais le dos de Poison. Ses doigts s'électrifiaient doucement en amplifiant la sensation de plaisir, glissant sur les zones érogènes de Poison situées dans son dos. Elle remontait essentiellement le long de sa colonne vertébrale, et Hanya sourit tendrement, avant de se rapprocher d'elle.

« Vous nous baiserez fort par le cul, Maîtresse ? Oh, j'ai si hâte à ça ! »

Hanya se pinça doucement les lèvres, et observa encore Poison agir. C'était un spectacle hypnotique, et la perspective de se faire également prendre par elle, de se faire sodomiser...

Ohlàlà, ça l'excitait clairement !

Poison prenait les défis au sérieux, combien de personne d'Uatis ont cru que Poison était juste un personnage, que les gens surjouaient devant la caméra, c'était faux. Elle leur avait prouvé de bien des manières que Poison n'avait pas besoin d'avoir une queue aussi grande qu'elle pour être une femme qu'hommes et femmes souhaitent côtoyer, quitte à être un vulgaire chien qui lui lèche les bottes. S'occuper de sex-bot n'était pas vraiment dans ses habitudes, sans avoir une dent contre la technologie, elle se disait que le sexe, c'était fait pour être pratiqué entre être vivant, pas avec des machines. Elle comprenait qu'en étant jeune, on puisse se toucher devant des images en 3D ou en 2D, car on est jeune, timide et qu'on a pas forcément une personne qui est sur la même longueur d'onde que soit, mais une fois le cap passé, on préférait le rapport humain. Alors avoir un sex-bot ou gynoïde, peu importe le nom, ce n'était pas mauvais, mais elle ne comprenait pas un tel engouement. Enfin bref, elle faisait quand même son travail, sans cracher dans la soupe, ça restait plaisant de coucher avec elles, mais moins qu'avec une vraie femme.

Elle continua de la prendre, sa vigoureuse queue pénétrant sa petite chatte pendant que sa copine restait derrière s'occupant comme elle pouvait de son fondement, avant de remonter doucement dans son dos, en la caressant sensuellement. Les deux sœurs étaient très excitées par ce qu'elle pouvait bien dire sur la suite du programme. C'est sûr qu'elle comptait réussir cette nouvelle épreuve et péter l'ancien record aussi par la même occasion.

« Patience... Le cul, la chatte ! La bouche... je vais vous remplir à fond, mes belles salopes ! »

Mais elle ne pouvait pas aller plus vite que la musique et devait donc agir une par une. Son corps s'écrasait sur Chi, poitrine contre poitrine, ses coups de reins ne perdaient pas en vigueur, s'enfonçant autant que possible en elle, pour la remplir, elle tourna quand même la tête vers Hanya, qu'elle embrassait du bout des lèvres, écraser en quelque sorte par les deux sex-bot.

« Quand j'aurais rempli ta sœur... tu lui boufferas la chatte pour pas en perdre une miette... pendant que je remplirais toi aussi ! »

Ce n'était pas graver dans le marbre, mais elle comptait elle aussi profiter de la vue. Et dieu sait qu'elle adore voir des femmes se brouter le minou. Chacun son petit plaisir, tant que ça touche la vulve, Poison en était friande !

Avec Chi et Hanya, Poison allait peut-être trouver de quoi rehausser son point de vue sur l'intérêt des Gynoïdes ! En tout cas, à travers cette série d'épreuves, elle remontait le long des fantasmes de Miranda Forge, elle découvrait tout ce que celle-ci enviait. Les Gynoïdes, c'était l'un des fantasmes de Miranda ! Et Poison commençait à se laisser aller. Tout en pénétrant Chi, elle sentait Hanya jouer dans son dos, enfonçant sa langue dans son fondement. Elle était talentueuse, indéniablement, et continuait son office.

« Hmmmm... »

Poison expliqua aux deux femmes que, quand elle aurait fini avec Chi, Hanya devra la lécher. Une perspective assurément alléchante pour la belle Gynoïde à la peau bleue, qui, il faut bien le dire, commençait à se sentir un peu négligée par toute cette histoire ! Elle avait donc hâte de pouvoir profiter du corps de Poison autrement que par son fessier ! Poison finit par jouir dans le corps de Chi, et se déplaça ensuite un peu, laissant le soin à Hanya d'agir rapidement. Se pinçant les lèvres, Hanya se jeta vers sa sœur. Les deux femmes pratiquaient ensemble une relation très incestueuse, qu'elles assumaient pleinement. La jeune femme nicha sa tête entre les cuisses de Chi, et sentit la main de sa sœur se serrer sur ses cheveux.

Soupirant doucement, Chi sentit la langue d'Hanya s'enfoncer en elle. Elles avaient beau avoir un corps artificiel, celui-ci était calqué sur une anatomie féminine, alors Hanya pouvait la titiller, et l'exciter par ce biais. Cela l'émoustillait, et, quand elle sentit Poison venir dans son dos, Hanya remua son bassin, frottant ses fesses contre sa verge.

« Maîtresse, gémit alors Chi, baisez bien fort ma sœur, c'est tout ce qu'elle demande ! »

Les deux Gynoïdes s'amusaient bien trop pour arrêter ça maintenant...

C'était une évidence, Poison se devait de finir ses épreuves, car Miranda à su bien agité la carotte comme il le fallait avec elle. Elle aurait pu juste parler de défi, elle en était friande et franchement, entre Poison et Miranda, difficile de dire laquelle faisait le plus souvent les couvertures des magazines ? Poison ne cachait pas ses aventures et acceptait ouvertement les paparazzis et journalistes si elle n'était pas pressée. Certes, ça retirait le piquant du scoop pris en flagrant délit, mais au moins ainsi, elle évitait toute surprise. Et Miranda, quand il ne s'agissait pas de business, elle était souvent prise en photo en charmante compagnie. Mais pour Poison, ce n'est pas vraiment la renommé, l'argent ou autre qui l'intéressait, Miranda avait frappé là où elle s'y attendait pas. Elle a pu savoir d'une façon ou d'une autre que Poison avait acceptée cette entrevue à l'origine pour retirer son nom de sa liste de parent potentiel, mais cette série de défis... c'était étrange mais si elle savait quelque chose, la réponse ou bien une piste, elle acceptait. Elle avait fait le tour de la ville, d'abord des rares hommes riches et influent à Uatis, mais aucun de ceux-là n'étaient son père. Il fallait se rendre à l'évidence, même si ça pouvait être un parfait inconnu qui était son père, après avoir laissé une telle somme d'argent à sa mère, ce n'était pas n'importe qui. Et Poison avait donc commencer à chercher du côté des femmes puissantes et dieu sait qu'à Uatis, ça n'en manquait pas ! Et ce soir, elle faisait ça pour s'en rapprocher. Miranda, sa seconde mère ? Pas impossible, mais Poison présumait plus à une piste ou une réponse, mais pas sa mère. Pourquoi ? Elle ne sentait pas que Miranda puisse être sa seconde mère.

Elle avait l'argent, le pouvoir, la renommé, elle aurait pu vivre avec elle, même cachée, elle ne voit pas pourquoi elle aurait refusé d'avoir sa fille à ses côtés, du moins, si elle le savait depuis le début. Elle n'irait pas jeter la pierre à sa seconde mère si elle venait de l'apprendre, mais si cette dernière savait pour elle et n'avait pas agi.... elle risquait de mal le prendre. Mais elle était encore loin de sa réponse, pour le moment, elle était surtout occupée à remplir l'une des deux gynoïdes avant de laisser sa sœur venir elle aussi profiter de cela. L'inceste avait ses avantages, vu le nombre de ses films traitant sur le sujet, elle n'était pas contre. Puis elle et Virus, elles étaient sœurs sans même avoir le même sang donc, elle prenait un peu de plaisir à voir ses deux gynoïdes se faire des choses. La voir lécher sa sœur en dandinant son petit cul était appétissant, mais que Chi ne craigne rien, elle allait s'occuper d'Hanya.

« Ne t'inquiète pas pour ça, ma chérie... Ta sœur va bien sentir ma queue lui défoncer le cul. »

Pourquoi irait-elle doucement avec elle ? En grande majorité, les gens aimaient Poison pour son personnage, même si ça arrivait parfois qu'on lui demande d'agir normalement ou au contraire, d'être toute gentille et sage, en général, on voulait voir LA Poison. Pas une autre. S'agrippant à ses hanches, elle ne se fit pas attendre pour loger sa queue toujours aussi tendue dans son petit cul artificielle et donner de sacrés coups de reins ! Elle avait intérêt à bien être accrochée à sa sœur !

« Vous inquiétez pas ! Après, je vous défonce ensemble ! »

Elle va devoir souvent changer de trou, mais elle se fera les deux sœurs ensemble, quitte à jouir d'abord dans une puis dans l'autre. Ou alors simple jouir sur elles ? Elle verra bien quand ça viendra, mais pour le moment, elle devait s'occuper d'Hanya, ne manquant pas de fesser son petit cul bien rebondie, afin de la faire couiner et sûrement faire un peu grimper son score ? Mais une chose à la fois, elle continuait de la baiser, gardant aussi un œil sur Chi, voir si sa sœur la nettoyait bien comme il fallait.

« Je vais vous faire buger mes poupées, vous allez disjoncter !!! »

Peut-être pas si vite, mais une fois lancée, Poison était redoutable.

Miranda avait décidé qu'il était temps... Temps de réunir ses enfants. Il y avait son héritière légitime, Kara, qui était sur le point de découvrir la réalité, sa filiation, mais également ses autres héritières. Miranda savait que Poison n'hériterait jamais de sa fortune, mais elle savait aussi qu'elle n'en avait pas besoin. Shirley avait juste envie de retrouver sa Maman, et Miranda savait qu'elle allait se dépasser pour ça, pour enfin retrouver sa famille. Miranda avait de plus appris qu'elle avait déjà une petite-fille... Il n'en fallait pas plus pour émouvoir la puissante PDG, qui l'observait donc avec passion.

Poison couchait avec les deux Gynoïdes, besognant avec appétit le cul de Hanya. Chi se tortillait devant elle, la langue d'Hanya venant régulièrement la titiller. Leurs cheveux synthétiques étaient très réalistes, ressemblant à n'importe quels cheveux, et Poison se mit à gifler la jeune femme, fessant son postérieur. L'intéressée se mit à couiner fortement, se tortillant sur place, remuant son délicieux postérieur en fourrant sa tête entre les lèvres intimes de Chi. Elle léchait avec appétit sa sœur, et se pencha ensuite en avant, venant finalement l'embrasser sur les lèvres, la bouche pleine de la mouille de Chi, qu'elle enfonça entre ses lèvres.

« Hmmmm...
-  Han... »

Les deux Gynoïdes étaient de toute évidence très heureuses de leur sort ici, et aimaient que Poison s'occupe ainsi d'elles. Elles étaient toutefois très endurantes, mais, tandis que Poison prenait Hanya, le désir des deux Gynoïdes grimpait graduellement. Ce soir, l'endurance sexuelle de Poison allait être mise à rude épreuve, mais c'était à ce prix qu'elle arriverait à se faire obéir, et à pouvoir continuer les épreuves.

« Han, Maîtresse ! Encore, encore, pilonnez mon petit cul de chienne en chaleur ! »

Chi déplaça ses mains pour palper à son tour les fesses de sa sœur, veillant à écarter chacune de ses fesses, simplifiant ainsi les coups de reins de Poison.

« Maîtresse, vous la faites tellement mouiller, hooo... Baisez-là comme une chienne en manque, allez ! »

De la douceur à la perversité, il n'y avait qu'un pas, que les deux Gynoïdes étaient en train de franchir allégrement !

Poison avait une histoire, comme tout le monde et si sa jeunesse était plus proche du rêve Uatien de celle en bas de l'échelle qui arrive à se hisser sur les dernières marches tout en haut, ça n'a jamais été rose pour elle avant de se lancer dans le porno. L'orphelinat n'était pas si rose, forte tête comme elle était, elle s'entendait peu avec les adultes qui s'occupaient d'elle, mais forte tête ne veux pas dire sauvage. Au contraire, à l'arrivée de Virus et de son handicap, c'était elle qui veillait toujours sur elle face aux autres enfants. Puis en grandissant, elle a découvert son corps avec Virus et d'autres enfants de son âge, plus ou moins, avant que ce soit découvert et qu'elle soit expulsé. Grand bien lui fasse, ce sera sa petite vengeance ! Un temps à la rue, elle dû se prostituer pour avoir de l'argent, coup de poker qui la mena sur le monde du porno. Une femme membrée naturellement, ça excitait bien des gens ici. Commençant de nouveau en bas de l'échelle dans des vidéos et des petits films – très rechercher car Poison en véritable amatrice et soumise, bon sang il y avait de quoi se faire de l'argent – elle a vite grimper en tant qu'actrice, réalisatrice, bref, son CV s'allongeait de jour en jour ! Elle récupéra Virus à sa majorité et depuis, tout le monde lui ouvrait ses portes ! La sale gamine au caractère bien trempé était une vraie femme de pouvoir ! Pas du genre à vendre des armes, créer des choses incroyables, elle ne faisait que tourner et jouer dans des films de cul, développant son empire toujours dans le monde du sexe. Mais voilà, elle était une grande femme à présent !

Seul ombre au tableau, elle ignorait tout de ses parents. Ce ne fut pas bien compliqué de creuser du côté de sa mère, morte par accident, Poison avait survécu par miracle dans son ventre, une simple prostituer qui voulait au final, sortir de son monde avec ce gros chèque qu'elle avait eu d'on ne sait où mais hélas, la fin a été brutale pour elle. Mais connaître la personne qui lui a donné ce chèque où son père/mère fécondatrice, c'était flouté, caché. Pour quelle raison ? Une affaire de mafia qui expliquerait ce gros chèque ? De l'argent pour se débarrasser de ce bébé qui pourrait revendiquer un héritage plus tard ? Bien des questions, aucune réponse. Elle menait sa petite enquête, barrant des noms un à un de sa liste, voyant tour à tour les puissants de la ville pour tenter de leur faire obtenir un test ADN. Poison voulait connaître la seconde partie de son arbre, mais aussi savoir une chose. Etait-il/elle impliqué dans la mort de sa mère ? Ce parent, savait-il pour Poison à l'orphelinat ? Elle n'était pas là pour demander de l'argent, du pouvoir, juste des réponses à des questions qu'elle s'est toujours posé et que son influence et son argent ne pouvait payer. Chose assez rare, il faut dire. Alors si pour cela, elle devait passer les épreuves de Miranda, il n'en fallait pas plus. Aux chiottes sa réputation ou quoi, elle voulait qu'une chose, la vérité. Si cette dernière détenait la vérité ou même un bon indice, alors elle y sautait à pieds joints. Elle défonçait le cul de cette gynoïde avec force et envie, chaque coup de reins était signé Poison, du sexe à l'état brute, de la douceur ? Parfois, mais elles étaient à elles, peu importe les cris, les pleurs, les supplications, elles appartenaient à Poison et elle dirigeait la danse. Les deux sœurs robot se léchaient pendant qu'elle donnait tout pour cette poupée grandeur nature.

Même elles, venaient la supplier comme toutes ses partenaires. Poison ignorait son sang de Forge dans les veines et pourtant, elle en était bien une. L'une des deux écartait les fesses de sa sœur pour lui faciliter la tâche, mais la star du porno retira sa queue, choppant Chi par les cheveux en lui enfonçant sa queue dans sa bouche.

« T'inquiètes pas, ta chienne de sœur va jouir du cul. Mais ta petite bouche aussi mérite ma grosse bite, ma salope. Ta tellement une bouche de suceuse... comment résister ? »

Maintenant Chi par les cheveux, elle la lui faisait gober sa queue, n'hésitant pas une seconde à la lui faire avaler jusqu'au fond de sa petite gorge, se délectant des bruits de succion qu'elle lui offrait en plus.

« T'inquiètes pas Hanya... Je jouirais dans ton cul. Je laisse juste ta petite pute de sœur profiter un peu de mon outil de travail... Tiens, d'ailleurs, on va jouer, ma belle petite salope... Excite-moi, je veux que tu me forces avec tes mots à retourner de suite dans ton cul. »

Le sourire confiant, elle installait l'ambiance, elle se demandait comment elle allait la convaincre, maintenant qu'elle avait goûté à sa première dose de drogue, elle devait vraiment se battre pour avoir une nouvelle dose.

Ce n’était en réalité que très récemment que Miranda avait découvert que Poison était sa fille. L’argent que Poison avait reçu était lié à sa succession, une dot que Miranda avait donné à sa mère biologique, et qui l’avait placé sur un compte-épargne. À son décès, l’argent avait été distribué à sa fille, mais Miranda avait perdu la trace de Shirley. Quand elle l’avait enfin retrouvé, et qu’elle avait eu la confirmation qu’elle était bien sa fille, il était déjà trop tard. Shirley était devenue Poison, et Miranda avait commencé à envisager de la rapprocher d’elle. On aurait pu y voir une arrière-pensée mercantile, mais ce n’était même pas le cas, Miranda étant déjà extrêmement riche. Elle n’avait pas besoin des revenus de Poison, mais elle croyait à l’importance des liens familiaux. Toutes ces épreuves n’avaient que pour but d’amener Poison à montrer à Miranda qu’elle était bien une Forge. Endurante, forte, elle traversait chaque épreuve avec brio, et Miranda la pensait même encore plus énergique qu’elle-même. Sa force était incroyable !

Poison, de son côté, se retira du fondement d’Hanya, et attrapa les cheveux de Chi, forçant cette dernière à une longue fellation. Le score d’excitation sexuelle des deux sexbots était lentement en train de s’élever. Elle demanda à Hanya d’encourager Poison à la sodomiser, et la sexbot se pinça lentement les lèvres.

« Oh, maîtresse, il ne faut jamais laisser une tâche infinie !  Regardez comme mon petit cul se languit de vous ! Votre queue n’y était-elle pas bien, bien enfoncée en moi, au chaud, à sentir mes cuisses, à m’ouvrir comme une truie ?
-  Hmmm… »

Chi s’avérait très douée dans son office, suçant avec appétit la belle verge de Poison, couinant et gémissant longuement, sentant cette belle queue durcir en elle. Après tout, Poison avait interrompu sa sodomie, alors sa verge était évidemment dure. Chi se régalait donc, suçant en creusant ses joues, léchant la verge par le bas, enroulant sa langue dessus. Elle soupirait joyeusement, agissant avec appétit et force. Rien ne semblait devoir la stopper, sauf quand Poison tirait sur ses cheveux. Malicieusement, Chi souhaitait la faire jouir avant qu’elle ne retourne dans le fondement de sa sœur.

De son côté, Hanya remuait joyeusement ses fesses, impatiente à son tour de se faire prendre encore par Poison, et remuait lentement son cul, filant vers l’arrière, essayant de frotter ses fesses sur le membre de Poison.

« Vous êtes si cruelle, Maîtresse ! Me prendre comme ça, et… Vous arrêter ! Vous n’aimez pas mes petites fesses ? Maîtresse Forge adore me prendre par là ! »

Entre les deux sexbots, il était difficile de savoir où donner de la tête…

Poison ne laissait rien au hasard, pas quand un tel enjeu était à la clé. Devoir jouer avec les sexbots pour leur faire atteindre un pied encore inégalé, ça ne lui faisait pas peur. Elle était de celles qui préféraient faire ça avec de vraies personnes, les jouets sexuels, tout ça, c'est amusant quand on découvre le sexe, pour s'entraîner, mais le vrai sexe, ça se partageait avec une autre personne ! Homme, femme, furry, créature surnaturelle, du moment que ça sent le plaisir, que ce partage est consentie, aux diables l'image ! Bon, elle restait quand même prudente, même en tenant ce genre de discours, berner un gosse pour en profiter, ça, elle n'accepterait pas. Mais si ça restait des adultes, qui savaient ce qu'ils se proposaient mutuellement, bah ils pouvaient même aller dans l'extrême et le sale, du moment que les deux parties sont d'accord, ou était le problème ? Alors régler leur compte à deux petits robots, ça se faisait facilement. Elle en délaissait un peu une, histoire de mieux profiter de la seconde qui se languisait, mais surtout pour mieux faire accroitre le plaisir chez la première. Elle savait à force, que tout recevoir d'un coup, c'était moins plaisant que d'étaler ce plaisir, avec des pauses, ce genre de choses.

« Bande de salopes... Je suis sûre, j'aurais deux bites, vous serez pendue dessus ! »

Le sourire fière, elle ne perdait pas la face contre elles, elle l'ignorait, mais le sang des Forge bouillonnait en elle, forcément ! Chi et Hanya se battaient presque pour avoir droit en première à sa longue queue qui se trouvait pour le moment dans la bouche de Chi. Elle lui caressait doucement les cheveux en gardant son regard sur Hanya.

« Oh, c'est pas que j'aime pas ton cul... Je fait juste profiter ta sœur et après, je vais pas m'occuper de ton cul... Je vais te le défoncer. »

Elle disait ça calmement, mais il se dégageait d'elle une aura qui aurait laissé une femme aussi grande que musclé pétrifier de peur. Poison n'était pas une athlète de haut niveau, elle savait se défendre, mais sans plus, et pourtant, elle ne craignait pas les femmes deux fois grandes et plus large qu'elle. Elle laissait Hanya profiter encore un peu de sa queue, fessant le cul de Chi qui s'impatientait avant d'enfin retirer sa bite de sa bouche si attachée à elle.

« À ton tour de patienter, tu viendras me la nettoyer après, d'accord ? Peut-être même que je viendrais me vider dans ta bouche, d'une façon ou d'une autre ? »

Soit en ayant de nouveau un orgasme, soit en la prenant pour son nouveau jouet qui aimait l'urine ? Après les trois petites salopes qui avaient ouvert le bal, il fallait bien de nouvelles chiottes pour que Poison puisse se vider un peu la vessie et continuer, non ? Elle lui biflla amicalement les joues avant que sa lance ne se jette dans le trou de Chi qui retrouva enfin cette queue si longue et si dure en elle. Et chose promise, chose due, elle s'agrippa à ses hanches, écartant un peu Hanya, car la suite allait être mouvementée.

« Maintenant la petite pute, je vais tellement te déboîter la rondelle que tu vas devoir amener ton cul en réparation ! »

Elle exagérait, mais côté plaisir, elle comptait bien lui donner cette impression. Se penchant sur elle, son pied venait écraser son visage au sol, juste pour la maintenir, sans lui faire mal, tandis qu'elle donna de puissants coups de reins pour mieux remuer dans son cul et espérer faire exploser son compteur à plaisir ou au moins le faire bien grimper d'un coup !

Buvant tranquillement un verre d’alcool, Miranda observait depuis son fauteuil sa fille besogner avec énergie Chi. Elle était imperturbable, et, lentement, le score de plaisir sexuel des deux sexbots continuait à croître. À ce rythme, Poison allait assurément dépasser le record de Miranda. C’était la dernière épreuve de l’actrice pornographique, ou presque, si on excluait le bonus qui l’attendait dans une chambre à côté de son bureau. L’audimat était à son comble pour ce grand final, mais ce serait hors des caméras que Poison découvrirait la vérité sur son héritage, sur ses parents, sur sa mère… Pendant ce temps, Shirley continuait à prendre Chi avec force, grognant, tandis qu’Hanya venait embrasser Poison dans la foulée, se pressant et se frottant sensuellement contre elle.

Les trois femmes soupiraient longuement, le corps de Poison se couvrant de plaques rouges sous l’effort intense qu’elle fournissait. Les minutes défilaient, et Miranda finit par se retourner vers Hannah, qui l’assistait fidèlement.

« Tu vas l’accueillir, Hannah, je crois que ma chère fille a bientôt fini… »

Une bonne demi-heure avait passé ensuite, avant que les deux sexbots ne s’effondrent dans une ultime jouissance, sur le corps de Poison. Un triple orgasme qui termina cette séance, Poison se relâchant avec force dans le corps d’Hanya tout en faisant jouir Chi avec sa langue et ses doigts. La séance terminée, Chi et Hanya remercièrent tendrement leur Maîtresse, et invitèrent celle-ci à rejoindre la prochaine porte.

« Vous avez réussi, Maîtresse…
-  Nous étions votre dernière épreuve… »

Elles lui indiquèrent donc la porte. Poison pouvait reprendre son souffle si elle le voulait. Quand elle passa celle-ci, elle débarqua dans un couloir, et vit Hannah Labelle, qui lui sourit doucement en inclinant respectueusement sa tête.

« Bonjour, Poison. Je suis Hannah Labelle, fidèle domestique de Miranda Forge, et chargée de vous conduire à elle. Vous avez brillamment remporté vos différentes épreuves… Ce à quoi Maîtresse s’y attendait. Vous pouvez vous rafraîchir si vous le voulez, ou directement monter l’escalier pour recevoir votre récompense. Je tenais également à vous préciser que l’émission est terminée. Il n’y a désormais plus aucune caméra qui vous filme. »

Miranda avait veillé à tout. Elle avait beau vivre une vie extrêmement médiatique, certaines informations méritaient de ne pas être révélées au public… Comme l’enfant de Poison, et comme l’identité de sa mère. Hannah lui désignait une porte menant à une salle de bains, mais peut-être que, sous l’empressement, Poison souhaiterait grimper directement à l’étage, et ainsi rejoindre Miranda, pour savoir enfin qui était sa mère biologique…

Poison en avait fini, fini de ses deux sexbots accroc à sa queue ! Enfin, elle ne leur jetait pas la pierre, dans cette ville, des femmes tuerais pour jouer quelques minutes avec sa queue légendaire ! Poison était si adulée, elle pourrait facilement prendre la place du maire, même sans rien connaître en politique, mais, elle se fichait de tout ça ! Elle régnait sur le monde du sexe, les taxes, les impôts, elle s'en foutait, ce n'était pas son univers. Ses deux sexbots se reposaient tandis qu'on venait la chercher, ayant passé les épreuves de Miranda, il ne restait que la récompense, hors caméra évidemment. La belle secrétaire allait peut-être y passer aussi ? Après tout, qu'est-ce qui garantissait que c'était vraiment fini ? Pour l'audimat, fini, certes, mais Miranda, à voir d'avoir eu un harem à déguster devant sa prestation, elle devait encore avoir faim vu sa réputation. Enfin, ça, Poison l'ignorait, mais Virus et Isabelle avaient dû se relayer pour combler l'appétit de la dirigeante de la firme.

Poison accepta de boire un peu et à défaut d'une douche, au moins se passer un coup d'eau. À quoi bon une douche, connaissant sa réputation, elles risquaient fort de passer un moment ensemble même si Poison attendait surtout la réponse à sa grande question personnelle. Et attention à ce qu'elle pourrait dire, c'était le genre de sujet où elle n'aimait pas les plaisanteries alors avoir fait tout ça pour un « au fait, je sais pas » ou lui donner une réponse qu'elle connaît déjà, elles n'allaient pas devenir très copine... Une fois désaltérer, elle suivait la secrétaire, louchant sans gêne sur ses formes, pas de doute que Miranda tapait dedans, elle avait dû regarder d'abord autre chose que son CV pour l'embaucher, celle-là. Elle ne critiquait pas, elle faisait pareil. Enfin, dans le porno, c'est normal. Même la plus inculte du cul avec le profil parfait pouvait devenir une star ! Un petit gangbang pour commencer ou un truc plus chaleureux en guise de première fois devant les caméras, y avait du public pour toute sorte de catégorie alors, pas d'inquiétude.

Arrivant dans le coin privé de Miranda, Poison ne faisait pas de manière, elle s'était certes rhabillée pour un minimum de pudeur, mais sa tenue de « Poison » en montrait déjà pas mal. Ce n'est comme si son corps était constamment caché comme toutes ses fétichistes su latex quasi-intégrale qui ne laissait que la tête de libérer. Poison était peu attachée à ça, le latex, c'était sexy, mais sur elle, c'était une plaie ! Surtout entre les jambes. Son service trois pièces était comme elle, préférant la liberté que se sentir tout confiné.

« Bon, je suis venue... j'ai vu... J'ai vaincu... Elles l'ont eu dans le cul ! Parlons sérieusement, Miranda, ta du prendre ton pied autant devant ma performance que les chiffres de l'audimat, mais il est temps de rester sérieuse deux minutes. J'espère pour toi que c'était pas du pipeau. »

Du caractère cette petite ! C'était une Forge qui s'ignorait après tout. Poison était une femme charmante mais oui, la famille restait son domaine sérieux, donc là, elle était pas trop prête à rigoler donc. La famille avec un grand F, c'est son sujet tabou, ce qu'il a toujours manqué à sa vie. Elle se fout de jouer le rôle d'une maman qui baise sa fille, ses amies ou autres, un film, c'est un film, là, c'est la vraie vie.

Elles y étaient enfin ! Miranda avait vu sa fille coucher sans arrêt pendant plusieurs heures, surmontant toutes les épreuves posées par sa mère. Il n’y avait plus aucune caméra, si ce n’est les lunettes de Miranda, qui enregistraient ses archives personnelles. Elle resta silencieuse, tandis que Poison lui demanda, sur un ton inhabituellement sérieux et grave, de lui dire la vérité, tout en la menaçant si elle lui avait menti. Miranda soupira alors, et crispa ses mains. Un tremblement nerveux les secouait, et elle se redressa lentement. Elle ne dit rien pendant quelques secondes, et rejoignit son bureau provisoire, où elle avait ramené un dossier. Elle se rapprocha ensuite de Poison.

« Ta mère… Celle qui t’a porté au monde… C’était une jeune femme très gentille. Elle travaillait comme prostituée dans les bas-fonds de la ville. Voilà ce que j’ai pu récupérer sur elle. Ses parents ont été tués par les Xénos lors des premières invasions. Abandonnée, orpheline, elle est tombée entre les mains de gangs et d’organisations mafieuses qui l’ont prostitué. La spirale infernale de la rue… La misère, la pauvreté, la drogue… Ta mère était une bonne personne. »

Miranda en parlait de manière assez attendrissante. Elle avait produit une photo datant de l’époque où la mère de Poison était collégienne.

« Elle se faisait surnommer Scarlet, mais son vrai nom était Bianca. C’était une jeune fille rieuse, qui aimait la poésie, et qui était intelligente… Elle a été tuée par un gangster après avoir acheté un bijou qu’elle voulait offrir à la personne qui l’avait mise enceinte. »

Miranda se racla la gorge, retenant l’émotion qui remontait en elle.

« Cette personne… Cette personne voulait aider Bianca. La faire suivre une cure de désintoxication, l’embaucher, la faire déménager dans les beaux-quartiers de la ville. Et, quand Bianca a appris qu’elle était enceinte, elle a reçu une forte dot, une somme d’argent qui devait l’aider à entreprendre ses démarches, à racheter les dettes qu’elle avait contractés auprès de trafiquants. Malheureusement, Bianca est morte… Cet argent a été placé sur un compte bancaire ouvert auprès de la GeoBank, détenu par un cabinet en gestion du patrimoine. Je sais toutes les recherches que tu as entreprises autour de ce cabinet, mais tu n’aurais jamais pu trouver l’identité de ton donateur. Les fonds ont transité par le biais de plusieurs sociétés-écrans et comptes bancaires sur des établissements virtuels. Les riches savent masquer leurs traces… »

Toujours aussi nerveuse, Miranda se releva alors, et sortit une cigarette. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas ressenti le besoin de fumer. Elle n’osait pas regarder Poison, et fixa plutôt la ville par la fenêtre du bureau.

« Tu as été placée dans un foyer religieux, et ta trace s’est évaporée. Tu n’es revenue auprès de nous que lorsque, à ta majorité, tes comptes bancaires ont été débloqués. Sans doute aurait-il fallu que ton autre parent se manifeste à cette époque… Mais tu étais déjà une star naissante… Comment prendre le risque de se révéler à toi sans attirer sur tes frêles épaules une pression médiatique beaucoup trop forte ? Sans parler de tous les rivaux, et de tous les risques… »

Elle cligna des yeux, et essuya ses larmes.

« Alors, j’ai continué à veiller sur toi, Shirley… Comme je l’ai fait avec ma propre fille, de loin, sans jamais pouvoir me risquer à ce qu’on découvre la réalité… Moi qui ai tout au monde, moi qui peux tout avoir d’un claquement de doigts, je n’ai jamais pu tenir mes filles dans mes bras, et leur dire combien j’étais désolée d’être une mauvaise mère. »

Miranda se retourna alors, et ses yeux avaient rougi. Celle qu’on disait la femme la plus fière d’Uatis tremblait, et ressentait en elle ce détestable frisson qu’elle ne ressentait que trop peu à son goût : la peur. Sa main caressa la joue de Poison.

« Tu as les yeux de ta mère, ma Shirley… À l’époque, je n’avais pas l’influence que j’avais maintenant, je n’ai pas pu te récupérer. Tu aurais grandi auprès de moi, Shirley… »

Ou pas ? Aurait-elle fait de Poison la fille de substitution dont elle avait été privée ? Miranda avait aussi été privée de Kara, car la voie des Forge devait être suivie.

« Je suis désolée, Shirley… J’aimais ta mère, et elle t’a aimé aussi. Tu es le fruit de l’amour le plus sincère qui soit, ma fille… »