Re: RP numéro 13 [avec Jeannie]
Posté : 16 juil. 2025 22:15
Il lui faut un temps pour comprendre. Ce fichu cerveau qui aura bugué en pensant qu’il y avait deux Liliane. Une derrière elle qu’elle avait laissé sous le drap. Et une autre, (un peu moins bien) déjà en train de lui faire un copieux petit-déjeuner. Mais non ! C’est Abigail. Qui parle ! Quel choc.
« Je suis désolé. Excuse-moi. »
Elle aura été un peu rude. Regarder de très (trop) près son cou. Pas la moindre trace de cicatrice ! Mais surtout, rien qui pourrait ressembler à un cou en métal avec une sorte de coque transparente pour voir ce qui se tramait du génie biologique de la Cyborg. Ne plaisantez pas ! Il existe un vrai cas de vaches avec des hublots sur leur ventre ou quelque chose dans le genre…
Alma aura donc le temps de faire un câlin de joie. Et aussi de félicitations à Abigail. Et puis ce sera elle qui se fera câliner. (encore diront certains. N’a-t-elle pas eu son compte la nuit passée, pourraient ajouter les mêmes). Toutes les trois peuvent parler. C’est formidable. Alma est véritablement entrée dans une nouvelle période de sa vie. Tout lui réussit. Elle marche sur un chemin pavé d’or. Mais n’y a-t-il pas une histoire d’une fille marchant sur un chemin jaune et qui… Non ! Pas de petite nuage noir. Pas maintenant.
« Il va t’en falloir du courage maintenant, Abigail. Tu te rends compte ? Maintenant que tu as retrouvé ta voix, il va falloir que tu rattrapes le temps perdu avec Liliane. Et tout le monde sait qu’elle peut être une vraie pipelette, n’est-ce pas ! Et tu n’auras plus l’excuse de te cacher derrière ton infirmité : ah ah ! »
Il n’y a absolument rien de blessant. Alma fait tout pour resserrer leurs liens à toutes les trois. Elle se fait même conseiller du Rouge pour ne pas déraper. Contrôle des émotions de sa voix, tout ça tout ça. Même Jimmy est prier de sa fermer sa petite gueule lui aussi. Ou alors, c’est intervention uniquement pour faire rire Abigail ! Enfin, à la condition que rire ne soit pas douloureux. Sait-on jamais. Alma n’y connait rien en gorge, voix ou médecine. Et, a priori, ce n’est pas comme si Giana avait laissé un mode d’emploi ou une espèce de feuille où est marquée les médicaments à aller chercher à la pharmacie.
« Petite cachotière. Fuguer en pleine nuit alors qu’on se faisait du mouron pour toi, Liliane et moi. »
*Bon, ok, ce n’est pas vraiment la vérité. Mais ce n’est pas comme si Abigail allait nous en parler ! Et… et si maintenant qu’elle avait récupéré sa voix, elle regagnait en confiance. Enfin, ça, ce serait normal. Mais si elle ramenait un homme à la maison (magique) ? Non. Qu’est-ce que je raconte ? Ce n’est pas son genre. Ou alors je la connais vraiment mal. *
« Je ne sais pas trop si je devrais rester. Attention, vous me supporterez encore pendant le petit-déjeuner ! Mais je veux dire, après. Vous devez surement avoir des choses à vous dire. Et si je reste, je me doute que je vais essayer que les choses s’accélèrent. Et je ne voudrais pas gâcher quoi que ce soit. A vous de me dire, les filles. »
Les deux options lui conviennent. Passer la journée à admirer Abigail avancer rapidement sur son chemin pour atteindre son plein potentiel. Ou s’en aller, laisser les deux sœurs dans un moment charnière de leur vie et trouver la localisation d’Aisling. C’est qu’elle ne la connait pas, au final. Est-il temps d’avoir une véritable conversation ?
*Pour parler de quoi ? Je ne sais pas trop… Probablement revenir au début. Demander pourquoi on s’est rencontré dans ma tête. Pourquoi elle était blessée. Non ! Pourquoi elle m’en voulait. Et surtout QUI m’en voulait. *
« Je suis désolé. Excuse-moi. »
Elle aura été un peu rude. Regarder de très (trop) près son cou. Pas la moindre trace de cicatrice ! Mais surtout, rien qui pourrait ressembler à un cou en métal avec une sorte de coque transparente pour voir ce qui se tramait du génie biologique de la Cyborg. Ne plaisantez pas ! Il existe un vrai cas de vaches avec des hublots sur leur ventre ou quelque chose dans le genre…
Alma aura donc le temps de faire un câlin de joie. Et aussi de félicitations à Abigail. Et puis ce sera elle qui se fera câliner. (encore diront certains. N’a-t-elle pas eu son compte la nuit passée, pourraient ajouter les mêmes). Toutes les trois peuvent parler. C’est formidable. Alma est véritablement entrée dans une nouvelle période de sa vie. Tout lui réussit. Elle marche sur un chemin pavé d’or. Mais n’y a-t-il pas une histoire d’une fille marchant sur un chemin jaune et qui… Non ! Pas de petite nuage noir. Pas maintenant.
« Il va t’en falloir du courage maintenant, Abigail. Tu te rends compte ? Maintenant que tu as retrouvé ta voix, il va falloir que tu rattrapes le temps perdu avec Liliane. Et tout le monde sait qu’elle peut être une vraie pipelette, n’est-ce pas ! Et tu n’auras plus l’excuse de te cacher derrière ton infirmité : ah ah ! »
Il n’y a absolument rien de blessant. Alma fait tout pour resserrer leurs liens à toutes les trois. Elle se fait même conseiller du Rouge pour ne pas déraper. Contrôle des émotions de sa voix, tout ça tout ça. Même Jimmy est prier de sa fermer sa petite gueule lui aussi. Ou alors, c’est intervention uniquement pour faire rire Abigail ! Enfin, à la condition que rire ne soit pas douloureux. Sait-on jamais. Alma n’y connait rien en gorge, voix ou médecine. Et, a priori, ce n’est pas comme si Giana avait laissé un mode d’emploi ou une espèce de feuille où est marquée les médicaments à aller chercher à la pharmacie.
« Petite cachotière. Fuguer en pleine nuit alors qu’on se faisait du mouron pour toi, Liliane et moi. »
*Bon, ok, ce n’est pas vraiment la vérité. Mais ce n’est pas comme si Abigail allait nous en parler ! Et… et si maintenant qu’elle avait récupéré sa voix, elle regagnait en confiance. Enfin, ça, ce serait normal. Mais si elle ramenait un homme à la maison (magique) ? Non. Qu’est-ce que je raconte ? Ce n’est pas son genre. Ou alors je la connais vraiment mal. *
« Je ne sais pas trop si je devrais rester. Attention, vous me supporterez encore pendant le petit-déjeuner ! Mais je veux dire, après. Vous devez surement avoir des choses à vous dire. Et si je reste, je me doute que je vais essayer que les choses s’accélèrent. Et je ne voudrais pas gâcher quoi que ce soit. A vous de me dire, les filles. »
Les deux options lui conviennent. Passer la journée à admirer Abigail avancer rapidement sur son chemin pour atteindre son plein potentiel. Ou s’en aller, laisser les deux sœurs dans un moment charnière de leur vie et trouver la localisation d’Aisling. C’est qu’elle ne la connait pas, au final. Est-il temps d’avoir une véritable conversation ?
*Pour parler de quoi ? Je ne sais pas trop… Probablement revenir au début. Demander pourquoi on s’est rencontré dans ma tête. Pourquoi elle était blessée. Non ! Pourquoi elle m’en voulait. Et surtout QUI m’en voulait. *