The Multiversity

Ah, le petit malin ! Mélinda sourit en voyant que Kamiye tirait profit de sa soumission extrême pour refuser de répondre. Un réflexe mécanique qui amusa beaucoup Mélinda. Elle caressait encore le visage du jeune homme, et fourra son pouce dans sa bouche, l’amenant ainsi à le sucer, tandis qu’il avait fini d’une voix tremblante en demandant quoi faire avec Irène.

« Tu sais, les soumis ont le beau rôle… C’est vrai, vous pouvez vous exonérer de tous vos fantasmes en disant que vous ne faites qu’obéir aux directives de la personne qui vous domine. C’est plutôt vicieux, mais je suis habituée… Je sais très bien ce qui se passe dans ta tête en ce moment, mon petit Kamiye, tes yeux me disent tout ce dont j’ai besoin de savoir. »

La vampire s’amusait à le titiller, à le provoquer, avec délicatesse.

« Nous allons faire l’amour, mon chéri, et, si Irène le souhaite, nous lui ferons aussi l’amour… »

Elle se rapprocha de lui, et passa sa main sur le sexe de Kamiye, qu’elle commença à caresser. Elle l’empoigna entre ses doigts, et remua dessus. Elle put sentir en face son amant frémir. Quand Mélinda vous caressait intimement comme ça, le mieux était de se laisser faire, de se laisser porter… La Maîtresse pourvoyait à vos besoins et à vos désirs, Mélinda était là pour ça ! Elle s’amusait de Kamiye, mais c’était pour finalement mieux lui faire l’amour. Elle sentit ainsi sa verge durcir, mais Mélinda n’en avait pas fini.

Souriant doucement, elle se pressa davantage contre Kamiye.

« Ce n’est pas que pour moi, mon Kamiye, je m’adapte aux fantasmes de mes chers esclaves… Ceux qui aiment le latex, je porte du latex, ceux qui aiment les tenues d’infirmières, j’en mets une… Et ceux qui, comme toi, perdent tout leur moyen quand on porte de la lingerie fine, je leur fais ce plaisir. »

Elle l’embrassa ensuite sur les lèvres, puis s’écarta finalement, et s’assit sur le rebord du lit, en croisant les jambes.

« Pour commencer, pourquoi ne pas te satisfaire ? Viens honorer ma tenue, Kamiye… Caresse-là, embrasse-là, lèche-là… Que ce soit mes pieds, mes jambes, ou mon torse… Montre-moi combien tu aimes voir ta Maîtresse ainsi vêtue… »

En infirmière ? Kamiye ne comprenait pas du tout ce qu’il y avait d’érotique dans cette uniforme. Les infirmières faisaient ce qu’elles pouvaient pour combattre la misère du monde. Mais aussi les souffrances, les blessures et contenir tout ce qui ressortait d’un corps et qui ne devrait pas… Alors NON, Kamiye ne voulait pas voir sa Maîtresse en infirmière.

« … »

Telle le chant d’une sirène, les mots de Mélinda hypnotisaient l’esclave. Que lui dire de toute manière ? N’avait-elle pas dit que ses yeux lui révélaient déjà tout ? Alors il se laissa faire. (comme elle l’avait dit) Il se laissa embrasser. Il se laissa se faire masturber. Jusqu’au moment où elle s’en alla.

*Pourquoi ? *

Elle croisa ses jambes.

*Pourquoi ? Je ne suis pas sensé la, euh, pénétrer ? Comment faire si elle a les- Oh ! ♥ *

Il comprit.
Avec un grand sourire, il s’approcha de sa Maîtresse adorée.
Désolé (pas désolé) pour la belle Irène. Mais l’esclave s’était faite éclipser par leur Maîtresse.
Kamiye finit agenouillé devant sa muse aux jambes croisées.

Ses mains ne tardèrent pas à glisser sur ses jambes. Bizarrement, il n’avait pas osé se poser sur la peau nue au-dessus des bas. Cette bande plus épaisse qui semblait câliner la cuisse pour ne pas glisser. Kamiye exerçait une pression pour tester les limites de cette bande anti-glisse. Bien entendu qu’il pouvait déshabiller la jambe. Mais il ne voulait pas. Alors ses doigts continuèrent à glisser. Il voulait éprouver chaque maille. Glisser sur le mollet et en éprouver les muscles délicats. Descendre encore sur le pied. Si cette partie du corps ne l’excitait pas, il devait avouer que faire glisser ses doigts sous la plante nerveuse pouvait être intéressant pour la titiller.

Il releva les yeux.

« Vous êtes si belle, Maîtresse. »

Il se releva alors pour être en appui sur ses genoux. Ses mains vinrent se poser sur ses hanches. Il n’y avait qu’une lanière de chaque côté. Mais là, juste pour un instant, il n’avait pas envie de bouger. Sentir ce « petit » corps entre son étau. Cette peau nue qui semblait aussi juteuse qu’un fruit dans lequel croquer. Cette peau nue sans défense aucune pour l’animal en lui. Tout cela le rendait affamé. Il se sentait perdre sa réserve au fur et à mesure qu’il explorait son corps à elle. Avait-elle anticipé tout ça, sa merveilleuse Maîtresse ?

Alors ses doigts commencèrent à tripoter les lanières sur le côté. C’était comme des rubans enfermant le cadeau à l’intérieur de la boîte. Excepté que, tel un chat, Kamiye préférait beaucoup plus l’emballage au contenant. C’était ainsi. Malgré la beauté du corps de sa Maîtresse, il n’avait d’yeux que pour un corps magnifié par la lingerie. La peau nue semblait si… NON. Il ne voulait pas se laisser emporter dans un tel flot de pensées.

« J-je me permets. »

Ses dents mordillèrent la peau de son ventre à travers la lingerie fine.
Sa langue vint humidifier les tétons. Les voir batailler en durcissant et ne pas pouvoir sortir entre les mailles, il y avait quelque chose qui le rendait fou !

Face à la prédominance de la Maîtresse, pourquoi vouloir lutter ? Irène ne fut pas surprise de voir que la tenue parfaite de sa Maîtresse fascina Kamiye. Face à sa Maîtresse, elle était comme un deux face à un flush royal, elle n’avait tout simplement aucune chance, aucun moyen de faire face ! Elle le vit donc s’agenouiller devant Mélinda, absorbé par la tenue de celle-ci. Mélinda souriait doucement, sur le coin des lèvres. On lui connaissait bien ce sourire pour savoir qu’il signifiait que la situation l’amusait beaucoup.

« Là, là, viens, mon mignon, viens, et profite… »

Elle fit signe à Irène, qui avait sorti un téléphone portable. Il n’y avait pas de réseau à Mijak, bien sûr, mais le téléphone portable fonctionnait quand même, et lui permettait de filmer. La première fois de Kamiye, cela se devait d’être immortalisé. Il s’était agenouillé devant sa Maîtresse, et partit tout naturellement à l’assaut de son corps parfait. La dévotion dont il faisait preuve était magnifique à voir, et amusait Mélinda.

Kamiye caressa respectueusement ses jambes, caressant les collants comme on toucherait à une idole. Il descendit le long des magnifiques jambes fuselées de sa Maîtresse jusqu’à éprouver ses pieds. Elle le sentit appuyer sur la plante de ses pieds, et la vampire en frissonna doucement. Mélinda se mordilla les lèvres, gémissant brièvement, avant de reprendre son calme.

« Haaaa, tes mains sont si douces, mon Kamiye… Toi aussi, tu es beau, mon chéri, tu es si beau… »

Un point sur lequel Mélinda ne mentait clairement pas, Kamiye était un garçon magnifique ! Un jeune homme dont la beauté gagnait à être connue, et à être partagée au plus grand monde ! Avec amusement, la vampire constatait que le jeune homme, tout à son exploration, évitait autant que possible de toucher la peau de sa Maîtresse. Par gêne ? La peau de la vampire n’étant pas radioactive, c’était sans doute une hypothèse probable. Mélinda s’en amusait plus qu’autre chose.

Elle le sentit jouer avec les lanières de son body, les caressant, les empoignant, tirant dessus. Mélinda soupira doucement, et se mordilla les lèvres.

« Hmmm… Tu caresses ma tenue comme si elle était divine, mon chéri… »

Son visage se rapprocha de ses seins, et, quand il se « permit » de les mordiller à travers le body, Mélinda soupira doucement. Sa main se posa sur sa tête, et elle crispa ses doigts sur ses cheveux, avant de les caresser.

« Permets-toi, mon Kamiye. Cette nuit est la nôtre… Celle où tu rejoins définitivement notre grande famille. Celle où tu vas devenir un homme. Alors, mon corps est le tien autant que le tien est le mien. Cette nuit, je veux que tu t’en rappelles toute ta vie… »

Il avait le droit de se permettre ! Ça fit l’effet comme d’une petite explosion lumineuse dans sa tête. Il aurait dû répondre. Déjà avant peut-être, en qualifiant sa Maîtresse de « Déesse » ? Peut-être. Mais cette tenue… Ces petits crocs qui mordillaient les tétons excités du traitement qui leur infligeait… Tout cela le rendait fou. Une folie positive qui mettait son corps dans de chaleureuses dispositions accompagné d’une altération d’esprit.

C’était cette lingerie fine sur ce corps qu’il trouvait à cet instant « parfait » qui le faisait respirer un peu fort. A un niveau sonore qui le rendait d’autant plus mignon. Et ce souffle venait caresser la peau de Mélinda. Cette lingerie fine, donc, il ne voulait pas l’abimer. Il ne voulait pas non s’en débarrasser pour atteindre les petits seins de sa Maîtresse. Ce qui ne signifiait pas qu’il allait les éviter !

Une main délicate passa donc sous la résille noire, la droite. Cette texture. La façon dont sa Maîtresse avait réagi en découvrant qu’il devenait audacieux. Tout cela lui plaisait.

« Ma Muse… Ma Déesse… Mon futur modèle… »

Il lui avait été très difficile de stopper de mordiller pour parler. Il était déjà en manque. Il lui fallait embêter ce téton dur. Et cette caresse de son sein gauche… Il en voulait plus. Il s’agaçait tout seul à être si limité physiquement. A ne pas pouvoir être partout. Alors, « à contrecoeur », il abandonna le téton pour venir lécher la peau nue au-dessus de ses seins. Son nez inspira de façon audible. Il la sentait. Son odeur. Sa fragrance si féminine.

« Si je devais un jour perdre la vue, je vous reconnaîtrais toujours à votre parfum… »

La main droite quitta son petit sein. Mais elle ne quitta pas sa peau. Suivant tel un fil d’Ariane, il glissa sur ses cotes. (mangeait-elle assez ? Kamiye eut une réaction contradictoire en sentant la dureté des os de ses cotes. Il fallait qu’il prenne soin de leur Maîtresse à TOUTES !) Cette main qui arriva dans son dos. Une nouvelle découverte en perspective ! Suivre les petites lanières noires. Découvrir dans quelle proportion de son dos les fleurs avaient poussé. Et puis…

« Grrah !... »

Une petite exclamation de contrariété. Ces lanières qui lui plaisaient tant. Elle empêchait sa main de descendre. Il dut quitter la peau envoutante de sa Maîtresse pour revenir dessus. Mais de nouvelles lanières ! Il voulait les arracher ! ET IL NE VOULAIT PAS SACCAGER ! Cette frustration faisait ressortir son côté animal. Impulsif. Et voilà ! Du bout de son doigt prisonnier de la lingerie fine, il pouvait sentir le début de cette ligne fabuleuse qui séparait ses deux petites fesses.

Kamiye continuait à explorer le corps de sa Maîtresse, tout en sachant très bien comment lui parler. « Déesse », « muse », voilà des mots qu’il était agréable d’entendre. Elle le laissait profiter, heureuse des progrès accomplis. Quand il était arrivé, Kamiye était terrorisé, tellement nerveux qu’il passait son temps à s’excuser à chaque phrase. Et, maintenant, il explorait le corps de sa Maîtresse, il ne songeait plus à s’excuser, ou à lui demander ce qu’il pouvait faire. Mélinda était donc très satisfaite de cette évolution, et elle le laissa continuer à explorer son corps. Kamiye se retrouva ainsi confronté à un autre problème, il fallait choisir entre l’emballage et la peau de sa Maîtresse. La tenue l’empêchait d’accéder à ses parties intimes, mais, d’un autre côté, il ne se voyait pas la retirer, ou, pire, la déchirer. Mélinda le laissait faire, et caressait d’une main les cheveux de son jeune amant.

« Tu cherches à accéder à mes fesses, hein, petit pervers ? »

Mélinda sourit doucement. Elle l’embrassa sur les lèvres, puis s’écarta un peu de Kamiye. Elle se retourna alors, puis se redressa, et finit finalement à quatre pattes devant Kamiye, offrant ainsi à ce dernier la vue magnifique de sa croupe. Peu importe sous quel profil on la voyait, Mélinda restait toujours appétissante au regard. Elle pencha ensuite la tête sur le côté, en souriant.

« Cela va être plus simple comme ça, non ? Ne te focalise pas sur les lanières si tu veux écarter le bas de la tenue, il suffit juste de tirer sur le tissu. »

La vampire lui fit une petite démonstration en posant sa main sur le rebord de son body, à hauteur de ses fesses, et releva la tenue, libérant ainsi l’une de ses fesses.

« Viens, mon chéri, continue ton exploration, je veux que chaque partie de mon corps te motive et te fasse fantasmer… »

L’animal en lui réagit ! S’il avait été davantage renard qu’humain, il aurait hurlé à la Lune. Mais c’était là le comportement d’un loup. Et il se trouvait avec un plafond au-dessus de la tête. Peu importait ! Le fait que sa Maîtresse se mette à quatre pattes devant lui fouetta le côté dominateur qui se trouvait chez tout mâle. Quelque chose qui avait un lien avec le fait de posséder un pénis. D’être celui qui prenait l’autre. Qui donnait. Qui s’insérait. Mais peu importait, encore une fois ! Seul comptait l’excitation de l’esclave qui était pour le moment désinhibé d’une partie de ses traumatismes.

(qui reviendraient, inévitablement. On ne guérissait jamais du jour au lendemain. On ne guérissait jamais vraiment totalement non plus…)

Au lieu de toucher en premier cette fesse exposée, il se mit lui aussi à quatre pattes à son tour. C’était si… exposé ! Son petit cerveau ne trouvait pas d’autres termes. Toute cette chair à sa portée. Ca lui donnait des envies de mordre dedans !... Mordiller. Oui, mordiller pourrait être accepté. Laisser sa marque sur ce corps qui paraissait immaculé.

Alors il posa le bout de son nez sur la fesse et renifla.

Son autre main se posa sur la fesse encore dans sa lingerie noire. Ses doigts jouant déjà entre la peau nue et le textile magnifique de détails et de délicatesse.

« Je ne sais pas comment je pourrais survivre sans ce parfum à l’avenir… »

A cet instant précis, ce n’était pas une façon de parler. Mélinda avait ce « don » de se faire désirer. Si les Déesses étaient d’abord mortelles, alors Mélinda avait découvert comment monter chaque marche l’une après l’autre pour entrer dans un Panthéon.

Ce fut ensuite la langue humide qui vint lécher cette petite fesse qui foutait le bordel dans ses pensées. RIEN QU’A LUI. C’était le genre de message que son cerveau reptilien lui envoyait. Enfin la main se posa sur cette fesse. SA FESSE. SA PROPRIETE. Il pelota cette fesse avec amour. Avec dévotion. Avec envie. Avec gourmandise.

« Ce doigt aussi veut explorer… »

La main qui était sur la fesse nue tendit l’index vers la raie des fesses. Elle fit davantage. Elle avança. Phalange après phalange. Et plus il explorait, plus un double sentiment le tenaillait. L’excitation de faire quelque chose d’interdit. L’impossibilité de faire demi tour aussi. Et il continua. Il ne voulait pas que fantasmer. Il voulait tout explorer. Laisser des marques de sa personne sur tout son corps à elle. Morsures. Salive. Parfum. Et pourquoi pas même placer une PORTEE DANS SON VENTRE FERTILE ! L’idée d’ensemencer une Déesse, SA Déesse lui fit passer un nouveau palier dans l’excitation. Il était tel un chien très content battant de la queue rapidement et dans l’impossibilité de rester sur place.

Mélinda se mordilla doucement les lèvres en sentant l’excitation de Kamiye. Cette excitation se voyait sur son visage, mais elle la sentait surtout aussi dans la manière dont son sang s’emballait à toute allure. Finir à quatre pattes comme ça, c’était une position très sauvage, très reptilienne. Les animaux faisaient l’amour ainsi. Mais, après tout, le désir sexuel, c’était une force préhistorique qui existait pour vous rappeler que, aussi civilisé et évolué que soit un être humain, il restait avant tout un animal. On conservait toujours ses racines. Et cela était encore plus vrai pour quelqu’un comme Kamiye, qui était un Furry, et qui avait donc une part bestiale plus prononcée que Mélinda. Si cette part avait été étouffée sous les mauvais traitements qu’il avait subis, Mélinda avait réussi à la faire ressortir en un délai record. Elle savait qu’elle aurait encore des problèmes par la suite, et qu’elle allait sans doute devoir imposer à Kamiye une thérapie pour le guérir de son stress post-traumatique, mais, pour l’heure, elle ne pensait presque à rien de tout ça. Tout ce à quoi elle pensait, c’était à l’excitation de son amant. Elle se montrait très libre avec lui, ce qui pourrait surprendre Irène, qui n’avait jamais eu la chance de pouvoir doigter sa Maîtresse sans son accord. Mélinda savait ce qu’elle faisait, elle voulait montrer à Kamiye qu’il était bien ici, que sa demeure était son nouveau foyer.

« Hum, petit pervers… Tu aimes le cul de ta Maîtresse, hein ? Tu aimes l’explorer ? »

Elle sourit, et se mordilla les lèvres quand, après avoir écarté le tissu du body, Kamiye glissa un doigt en elle. Elle pouvait sentir la moiteur de ses mains, symbole de son excitation, de sa fébrilité. Elle n’imaginait alors pas qu’il puisse concevoir de la féconder. Mélinda n’était pas télépathe, mais elle pouvait sentir son excitation. La vampire se mordilla les lèvres, crispant ses mains sur la couverture de son lit en sentant ce doigt intrusif en elle. Elle soupira donc, et remua encore son bassin de gauche à droite.

« Ne te contente pas d’un seul doigt, Kamiye… Utilise ta langue, aussi, et d’autres doigts… »

Irène s’agenouilla à côté, et caressa avec sa main les cheveux de Kamiye, tandis que son autre main vint masturber le jeune homme. Irène perçut ainsi son érection, et cela la fit sourire. La jeune servante n’était pas jalouse que Kamiye soit très attirée par leur Maîtresse. C’était normal, c’était leur Maîtresse ! Elle-même ressentait pour sa Maîtresse la même dévotion que Kamiye commençait à éprouver encore elle. Elle se rapprocha ensuite de lui, et lui fournit quelques indications en les susurrant au creux de son oreille :

« Maîtresse aime beaucoup qu’on la prenne par l’arrière… »

Et, tout en disant ça, elle serra ses doigts sur la verge de Kamiye, comme pour lui montrer implicitement quoi faire…