Re: Until The Last Back (Tekworld Hero Team)
Posté : 16 sept. 2024 01:24
Je le sens pas, le coup de l’économie d’eau. En fait j’ai du mal à croire que Nika se plierait à ce genre de directive aussi spontanément. Je suis pas idiotes, la baignoire n’est vraiment pas assez grande pour deux, on va être serrées comme des sardines... On va être collées l’une contre l’autre, toutes nues dans l’eau... Ça m’aide pas à me détendre, en fait je crois que je passe par de nouvelles gammes de rouge en réalisant que je suis piégée avec elle. Mais son petit baiser sur le front me laisse une drôle d’impression. Je crois que je suis un peu déçue qu’elle n’en fasse pas plus.
« Dangereuse ? »
Je l’ai à peine soufflé, elle n’a sans doute pas entendu. Elle est dangereuse, je l’ai vue à l’œuvre, mais ce n’est pas ça qui m’impressionne. Ce qui m’impressionne c’est justement ce qu’elle me colle sous le nez. Je détourne la tête en comprenant qu’elle se déshabille, mais je détourne les yeux pour ne rien manquer. Ce serait vraiment dommage d’en rater une miette. J’espère qu’un jour j’aurais une poitrine comme la sienne, et autant d’aisance à la dévoiler à une autre. Sous la tente on s’est touchées, mais pas déshabillées.
Rien qu’à cette idée je prends une douche froide. Côté pile ou face je suis une planche à repasser comparée à cette femme. Il va rien m’arriver mais j‘ai envie qu’il m’arrive des choses ! Trop de contradictions, je chope le premier prétexte venu pour jouer la vexée. En plus, les vapeurs de la semaine à transpirer dans un lit d’hôpital sont plus nettes une fois une fois que l’eau chaude entre en jeu. Ça calme !
« Bien sûr que j’ai déjà vu des filles à poil ! Tu crois qu’on a toutes des salles de bain privées à la caserne ? »
Ok, c’est un gros mensonge. Mais au moins je tremblote déjà plus autant. Allez, ma fille ! Elle est canon mais elle pue, autant que toi mais c’est pas une raison. Il se passera rien dans cette baignoire et c’est pas dommage !... Pas dommage du tout même si elle est vraiment sublime, cette femme. Je me déshabille en résistant comme je peux à l’envie de partir en courant ou me trouver une excuse. Par contre je planque d’une main ma... Enfin, surtout la petite flamme violette. C’est trop ridicule, je savais que j’aurais pas dû faire ça en m’épilant. Savoir que quelqu’un va voir ça, c’est pas pareil que toute seule devant le miroir.
Je me glisse dans la baignoire avec elle, ou plutôt sur elle vu le peu de place qu’on a. Je fais ce que je peux pour pas trop l’embêter, mais je dois remuer entre ses cuisses pour trouver une bonne position.
« Désolée... C’est vraiment petit... »
Et elle prend de la place, ou c’est juste parce que je sens ses deux gros seins dans mon dos ? Je me laisse glisser autant que possible entre ses cuisses et me retrouve avec les jambes repliées et la tête à hauteur de sa poitrine. Je crois que si l’idée c’est de barboter on trouvera pas mieux. Je me tord le cou pour arriver à capter son visage du coin de l’œil. Qu’est-ce qu’elle a la peau douce ! Tout à coup mon souffle m’échappe et je frissonne encore.
« Heum... Je... Ça va ?... Je... Je te gêne pas trop. »
« Dangereuse ? »
Je l’ai à peine soufflé, elle n’a sans doute pas entendu. Elle est dangereuse, je l’ai vue à l’œuvre, mais ce n’est pas ça qui m’impressionne. Ce qui m’impressionne c’est justement ce qu’elle me colle sous le nez. Je détourne la tête en comprenant qu’elle se déshabille, mais je détourne les yeux pour ne rien manquer. Ce serait vraiment dommage d’en rater une miette. J’espère qu’un jour j’aurais une poitrine comme la sienne, et autant d’aisance à la dévoiler à une autre. Sous la tente on s’est touchées, mais pas déshabillées.
Rien qu’à cette idée je prends une douche froide. Côté pile ou face je suis une planche à repasser comparée à cette femme. Il va rien m’arriver mais j‘ai envie qu’il m’arrive des choses ! Trop de contradictions, je chope le premier prétexte venu pour jouer la vexée. En plus, les vapeurs de la semaine à transpirer dans un lit d’hôpital sont plus nettes une fois une fois que l’eau chaude entre en jeu. Ça calme !
« Bien sûr que j’ai déjà vu des filles à poil ! Tu crois qu’on a toutes des salles de bain privées à la caserne ? »
Ok, c’est un gros mensonge. Mais au moins je tremblote déjà plus autant. Allez, ma fille ! Elle est canon mais elle pue, autant que toi mais c’est pas une raison. Il se passera rien dans cette baignoire et c’est pas dommage !... Pas dommage du tout même si elle est vraiment sublime, cette femme. Je me déshabille en résistant comme je peux à l’envie de partir en courant ou me trouver une excuse. Par contre je planque d’une main ma... Enfin, surtout la petite flamme violette. C’est trop ridicule, je savais que j’aurais pas dû faire ça en m’épilant. Savoir que quelqu’un va voir ça, c’est pas pareil que toute seule devant le miroir.
Je me glisse dans la baignoire avec elle, ou plutôt sur elle vu le peu de place qu’on a. Je fais ce que je peux pour pas trop l’embêter, mais je dois remuer entre ses cuisses pour trouver une bonne position.
« Désolée... C’est vraiment petit... »
Et elle prend de la place, ou c’est juste parce que je sens ses deux gros seins dans mon dos ? Je me laisse glisser autant que possible entre ses cuisses et me retrouve avec les jambes repliées et la tête à hauteur de sa poitrine. Je crois que si l’idée c’est de barboter on trouvera pas mieux. Je me tord le cou pour arriver à capter son visage du coin de l’œil. Qu’est-ce qu’elle a la peau douce ! Tout à coup mon souffle m’échappe et je frissonne encore.
« Heum... Je... Ça va ?... Je... Je te gêne pas trop. »