The Multiversity

Les Kryptoniens avaient une vulnérabilité à la magie. Leur puissance physique exceptionnelle ne les rendait pas immunisés à la magie, et ils tendaient même à y être plus sensibles que les humains, comme s’ils n’avaient aucune défense particulière en la matière. Et, chez Karen, la magie rose était terrible, agissant comme un amplificateur de sa libido qui était déjà déséquilibrée depuis qu’elles avaient rejoint ce monde. Helena était donc partie pour un sacré rodéo, et sa future femme commençait à se lâcher, réclamant à être prise « comme une truie ».

Karen soupira en se mordillant les lèvres, et remua plus puissamment sa verge dans la chatte de sa femme, s’y enfonçant avec délectation. Son membre disparaissait en elle, tandis que, dans son dos, Candy sodomisait également avec force Helena. La perversion de ce duo n’avait jamais échappé à Candy, et c’était avec un plaisir sincère qu’elle se glissait en elle, s’enfonçant dans son fondement, tout en sachant très bien que la situation n’allait faire que croître.

« Co-Comme une t-truie, hein ? Hmmm… Mais… Haaaa… T-Tu n’es pas habillée comme il faut pour ça, ma chérie… »

Karen caressa à nouveau les hanches d’Helena, et l’embrassa, tout en donnant le tempo. Elle donnait des coups de reins très intenses, s’enfonçant avec force dans le corps d’Helena. Elle savait doser sa force, mais les coups de reins s’accentuaient malgré tout, avec une certaine intensité.

« Voilà… Une belle salope, hnnnn… »

Elle se pencha en avant, nichant sa tête contre les seins d’Helena, et continua à la prendre, à y aller « à fond ». Les claquements sonores se multipliaient quand sa verge s’enfonçait dans les tréfonds du corps d’Helena, s’enfonçant jusqu’à la garde en elle. Karen continuait à la prendre vigoureusement, et, pour accéder aux seins d’Helena, elle posa sa main sur les boutons de la robe, et tira dessus si fort que la robe se déchira, en émettant des craquements sonores.

Ce n’était pas la première tenue que Karen détruisait, ni la dernière. Les lambeaux de la robe tombèrent, la robe se déchirant par l’arrière sous le mouvement brusque de la Kryptonienne, révélant le dos nu d’Helena, qui finit ainsi toute nue. Elle put sentir la main de Karen s’abattre sur sa croupe, la fessant, tandis que Candy déplaça ses mains pour empoigner les lourds seins d’Helena, les malaxant en les relevant, comme pour en faciliter l’accès à Karen.

« Quand on aura juté dans ton corps de belle pute, Helena, susurra Candy, il faudra que tu enfiles… Une tenue en harmonie avec ce que tu es entre nous… Une tenue de belle salope nymphomane ♥ ! »

Elle ponctua ces deux derniers mots en léchant l’oreille d’Helena, puis en en mordillant sensuellement le lobe…

Une robe de plus sacrifiée sur l’autel d’une Kryptonienne ! Ce ne serait ni le premier ni le dernier vêtement d’Helena que Karen déchirait. Elle lui en offrirait toutefois une autre, comme elle le faisait à chaque fois. Même quand les robes étaient rares, Karen avait cet avantage d’être super-riche, et de pouvoir, soit retrouver des robes similaires, soit en recommander. Avec elle, rien n’était jamais totalement perdu ! Et puis, ce n’était pas totalement de sa faute, Helena était beaucoup trop excitante… Elle était donc au moins aussi coupable qu’elle ! Karen la pénétrait donc avec force, et sentit Helena jouir. Ce soir, elles ne se contentaient pas de faire seulement l’amour. Ce soir, Karen comptait bien la mettre enceinte ! Elle soupirait donc, et embrassa sa femme, l’enlaçant ensuite, puis pressa encore ses fesses, tout en sentant derrière Helena les coups de reins de Candy. La célèbre star du porno les soutenait, elle les suivait à sa manière, embrassant Helena dans le creux du cou. Quand le baiser de Karen se rompait, Candy embrassait Helena en lui faisant tourner la tête. Ses lèvres étaient d’une douceur incroyables, les lèvres d’une redoutable Prêtresse de Luxure, de quelqu’un qui vivait pleinement et totalement dans le stupre. Et, tout en embrassant langoureusement Helena, celle-ci put sentir Karen contracter un orgasme dans sa chattez. Cette fois, Karen ne cherchait plus à retenir ses orgasmes, elle les focalisait et les synchronisait avec ceux de Helena, ce qui fit que, lors du deuxième orgasme de Huntress, Karen jouit en elle.

« Haaaaa… !! »

Candy, quant à elle, n’avait pas encore joui. Karen continua à prendre Helena, et les deux femmes continuèrent ainsi à la baiser avec force. La chair claquait contre la chair, la peau claquait contre la peau, mélange de sueur, de stupre, de foutre, de soupirs et de grognements. C’était du sexe sauvage, passionnel et vorace, où Karen y allait franchement, sans aucune retenue. Elle lui faisait l’amour longuement, sa puissante verge défonçant sa petite chatte. Le désir se lisait sur les yeux d’Helena, tandis que son corps continuait à se faire puissamment ballotter. Candy jouit à son tour, au bout du troisième orgasme de Karen, qui jouit encore avec Helena, continuant à remplir sa chatte.

Après une bonne demi-heure, Helena fut reposée, et Karen l’embrassa ensuite sur les lèvres. Candy sortit une cigarette, tandis que Karen prenait Helena dans ses bras, et lui faisait un gros câlin, avant de caresser son ventre.

« Je t’ai préparé une première tenue, ma chérie… La nuit est encore longue, et, quand nous en aurons fini, tu porteras notre enfant… Puis, après, je porterai le tien. »

Elle sourit à Helena, et l’embrassa sur les lèvres. Karen lui mit ensuite un bandeau autour des yeux, pour lui faire la surprise, et alla se charger de l’habiller. Elle conduisit pour cela Helena dans une penderie adjacente. Elle fit enfiler à Helena de longs gants opéra moulants, un collier, une guêpière en latex avec un corset par-dessus, et enfin des porte-jarretelles. Elle-même s’était également changée, et rapprocha ensuite Helena d’un miroir, puis, tout en la caressant et en la pelotant, et en faisant crisser leurs combinaisons respectives, elle retira le bandeau. Helena pouvait d’ores et déjà sentir contre l’une de ses fesses la verge tendue de Karen, dont les pulsions fétichistes étaient comme toujours très stimulées quand elle habillait Helena.

• Tenue de Helena,
• Tenue de Karen.

Les mains de Karen glissèrent pour empoigner les seins d’Helena, et les malaxa à travers sa combinaison.

« Le rouge et le noir te vont si bien, mon amour… Retournons dans la chambre, mets-toi à quatre pattes sur le lit, je compte encore jouir longuement en toi. »

Avant de faire cela, Karen retourna toutefois Helena. Elle posa sa main sur son menton, releva un peu la tête de sa chérie, et l’embrassa tendrement sur les lèvres.

« Sache que je t’aimerai toujours, Helena… »

• Tenue de Helena,
• Tenue de Karen.

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Il était incontestable que Karen offrait à Helena une garde-robe aussi fournie que les tenues qu’elle déchirait. Elle s’en amusait souvent elle-même en lui disant qu’elle était sa « poupée Barbie », celle qu’elle habillait continuellement de bien des façons. Infirmière, policière, pompière, lingerie fine, latex… Karen habillait Helena de toutes les façons possibles, et refaisait chaque vêtement d’elle qu’elle déchirait. De là à dire si elle en faisait exprès, la question pouvait légitimement être posée. Karen n’y répondait jamais clairement, il fallait bien entretenir le mystère. Et, ce qui était sûr, c’est que sa Helena continuait à l’emballer comme jamais. Elle frottait sa verge contre les fesses de son amante, tandis que Candy fumait. Ce n’était pas une cigarette ordinaire, car la fumée qu’elle exhalait était rose. Elle emplissait l’air de cet aphrodisiaque, sans doute pour s’assurer que ses amantes restent bien excitées toute la nuit. Pour autant, Karen n’oubliait pas son objectif principal : féconder Helena. Cela fit que, quand son amante se mit à quatre pattes, et bomba ostensiblement son insolent petit cul, elle lui rappela, elle aussi, son objectif.

Karen malaxait avec l’une de ses mains le délicieux cul de son amante, et sourit en retour.

« Je ne l’ai pas oublié, ma chérie, et tu dois me croire quand je te dis que je prends beaucoup sur moi, car ton insolent derrière me fait toujours autant envie… Mais, ce soir, ma verge ira exclusivement dans ta petite chatte. »

Elle approcha ainsi son verge, glissant contre la minijupe moulante. Une fermeture Éclair à écarter permettait d’accès aux parties intimes de Helena, qui put alors sentir la verge de sa femme filer dans sa chatte. Karen se mordilla les lèvres, et posa ensuite ses mains sur les hanches de Helena, tout en la prenant en levrette. Sa verge filait dans sa chatte humide, déformant à nouveau ses parois intimes. Candy s’était rapprochée du bord du lit, et ses jambes se retrouvèrent au sol. Assise sur le rebord, elle souffla encore avec sa cigarette, et Helena put ainsi inhaler la fumée aphrodisiaque qui s’échappait de sa partenaire. De quoi la faire frémir de partout !

« Allez, Helena, viens lécher et sucer, tu aimes ça, non ? Montre-nous combien tu aimes le sexe, montre-moi combien l’héroïne modèle que tu es peut être dépravée… »

• Tenue de Helena,
• Tenue de Karen.

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La tornade de sexe allait pouvoir commencer.

Karen sourit, et donna une grosse gifle sur le cul d’Helena, tandis que Candy jeta son mégot à la poubelle, et déploya une belle verge qui tapa sur le visage d’Helena. Son ordre fusa ensuite, tandis qu’elle observait Helena.

« Suce, salope. »

Sa verge s’enfonça ensuite dans la bouche d’Helena, et Candy remua à son tour. Prise à quatre pattes, Helena n’était pas encore au bout de ses peines. Karen sentait avec délectation sa chatte se crisper, ses parois s’humidifier et se resserrer autour de son épaisse queue. La Kryptonienne en tremblait nerveusement, excitée comme jamais. Oh, qu’elle était bonne, sa Huntress ! Karen soupira, faisant crisser le latex, et s’enfonça encore, d’avant en arrière, provoquant une série de claquements spongieux.

Les yeux de Karen prirent également une teinte rose, tandis qu’elle sentait une force remonter en elle. Elle gémit encore, et continua à baiser son amante, amplifiant le rythme. Les deux mains de Candy serraient les cheveux d’Helena, et sa queue continuait à labourer sa bouche sans relâche.

« Hnnn, ta chatte est si étroite, ma salope… Haaaa, ce que tu es bonne…
- E-Exactement, elle me bouffe la queue comme une affamée… »

Candy profitait pleinement, et, au bout d’une demi-heure, les deux femmes se mirent à jouir dans le corps d’Helena. Karen soupira lentement, et s’abandonna dans sa chatte, puis se redressa ensuite. Sa queue se retira, et Candy en fit de même. Les yeux de Candy luirent encore, et la verge de Karen se mit à frémir. Karen soupira alors en serrant les poings.

« Haaaa… Viens me lécher, Helena, et regarde… Ce qui t’attend… »

La langue d’Helena fila sur la queue trempée de Karen, mais Helena put aussi sentir la queue de sa femme grossir, croître, s’épaissir… C’était un spectacle surprenant. Karen se recula finalement, et Helena put voir la verge de Karen finir par devenir très rouge, avant de se dédoubler brusquement. Deux queues lui tombèrent sur le visage, et Karen soupira lentement.

« Ooohh… Désolée, je n’ai pas l’habitude de les déployer, ma belle… Mais tu mérites bien que je me force. Je crois même que c’est la première fois que j’y arrive…
- Effectivement, tu n’avais encore jamais réussi à déployer pleinement une seconde verge. Il faut croire que Helena t’inspire beaucoup. »

Karen sourit à nouveau malicieusement. Candy caressa en se déplaçant les cheveux d’Helena.

« Mon rôle est accompli. Je vais aller m’amuser avec tes invités, ma chère Karen. Personne ne va venir vous déranger cette nuit. »

Karen hocha la tête, puis Candy sortit ensuite. Restant seule avec Helena, Karen se rapprocha d’elle.

« Tu es prête, ma belle ? Cette fois, je vais te baiser comme jamais… »

Et, vu tout ce qu’elles avaient déjà fait ensemble, ce n’était pas peu dire !

L’une des plus célèbres phrases attribuées à Socrate était la suivante : « Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien ». Cette phrase était l’expression de l’ambivalence du savoir et de la soif de connaissance ; plus une personne se renseignait et apprenait des choses, et plus elle avait envie d’apprendre des choses. Autrement dit, quand on se cultivait, on réalisait qu’on ouvrait une porte donnant sur un océan infini de connaissances supplémentaires, à tel point que toutes vos connaissances emmagasinées semblaient très faibles. Le rapport entre cette maxime de Socrate et la situation actuelle était liée au fait que Helena prenait conscience de la puissance de la magie rose.

*Cette fois, c’est sûr, on fera un tour à Lusst’ghaa… Peut-être pendant ta grossesse, Helena… Et la mienne aussi…*

Karen comptait mettre Helena enceinte, mais la réciproque était vraie. Elle aussi, elle voulait un bébé. Helena s’agenouilla devant les deux verges de Karen. Les deux verges avaient une base commune, de sorte que les deux sexes pouvaient être, soit l’un au-dessus de l’autre, soit à côté.

« Profite, ma belle… Ce n’est qu’un avant-goût… De ce qui t’attend quand nous irons à l’Oasis de Lust. »

Si Karen avait aiguisé la sexualité de Helena, Ishtar avait fait d’elle une perverse hors concours. Karen savait que Helena se retenait avec elle. Quand on commençait comme elle à maîtriser la magie rose, l’amour était aussi l’occasion de pouvoir se synchroniser sexuellement avec son partenaire, d’avoir des visions de ses expériences sexuelles. Karen savait donc que, avec Ishtar, Helena avait pris goût au fit de dominer des hommes, de les rabaisser sexuellement, et même de se prostituer. Tandis que Helena s’attaquait à ses sexes, Karen restait songeuse. Elles n’avaient pas encore vraiment parlé des nouvelles expériences de Helena à Nachtheim, et Karen ne savait pas trop si Helena était prête à en faire autant avec elle qu’elle le faisait avec Ishtar… Mais là, en la voyant jouer avec ses queues, elle pouvait sentir l’immense perversion de sa femme.

Karen sourit donc, et caressa d’une main les cheveux d’Helena.

« Tu aimes ça, hein ? Su-Sucer mes grosses queues… Et les imaginer te baiser pendant toute la nuit… »

La Kryptonienne sentait Helena jouer avec la pointe de ses verges, cherchant à les mettre dans sa bouche en les coinçant. Helena prenait son temps, et pouvait sentir tout l’effet qu’elle faisait à Karen, qui gémissait, et serrait parfois ses cheveux dans le creux de sa main. Helena aurait pu la faire jouir, mais elle finit par s’arrêter, et se mit ensuite à quatre pattes sur le lit. Les deux queues dressées de Karen étaient prêtes à rugir.

« J’arrive, ma chérie… Et sache que je vais te baiser toute la nuit, jusqu’à l’aube. Même si tu tombes dans les pommes, je continuerai à te baiser. »

S’il y avait bien un lien à tracer entre Karen et Ishtar, c’était leur inépuisable endurance sexuelle. Chez Karen, cela venait bien évidemment de sa nature de Kryptonienne. Mais, avec l’entraînement que Helena avait reçu à Nachtheim, elle pourrait sans aucun doute tenir la cadence… En tout cas, Karen grimpa sur le lit, et commença par donner une bonne fessée sur le cul d’Helena.

« Tu es tellement en chaleur, ma belle… Il va falloir y aller sérieusement, ma belle salope d’amour ! »

La première verge de Karen se glissa dans le fondement d’Helena, et la deuxième dans sa chatte. Karen soupira, et posa sa main sur les cheveux d’Helena. Elle tira dessus pour la redresser, et donna un premier et épais coup de reins, grognant en faisant coulisser ses membres en elle.

« Han bordel, tu es si bonne, Helena, ma chérie… Oooohh, je t’aime, ma belle, je t’aime !! »

La nuit était encore longue, et Karen double-pénétrait désormais Helena. C’était bien sûr risqué, car il fallait que Karen se contrôle, qu’elle ne libère pas sa super-puissance. C’est pour ça qu’elle ne s’était pas encore risquée à utiliser ce sortilège avec Helena… Mais comment aurait-elle pu lui faire du mal ? Tous les doutes de Karen s’étaient levés. Elle avait sous-estimé Helena, elle avait sous-estimé son endurance, et sa perversion. Cette erreur, Karen ne comptait pas la refaire. Elle la besognait donc, la baisant à quatre pattes. Karen soupirait, tirant sur les cheveux d’Helena pour la redresser. C’était une levrette solide, où Power Girl rappelait à Helena pourquoi on l’appelait Power Girl ! Sa main venait régulièrement claquer le cul d’Helena, tandis que ses deux verges s’enfonçaient progressivement, jusqu’à la prendre le plus profondément possible. Ses verges s’enfonçaient ainsi jusqu’à la garde, avant de reculer simultanément, puis de repartir.

« Haaaaa… B-Bordel, tu as beau être une belle pute, tes trous restent si étroits, haaaa… !! »

Karen se mordilla les lèvres, tremblant encore, et poursuivit son art. Elle finit par retourner Helena, et déchira sa tenue. Au fur et à mesure que les minutes passaient, les vêtements des deux femmes se lacéraient. Karen la prenait désormais en étant debout face à elle, et releva les jambes d’Helena, optant pour une position de l’enclume. Ses queues la labouraient avec force, et on pouvait voir les joues de Karen rougir, s’empourprant sous l’effort. Elle posa sa main sur le cou d’Helena, et appuya dessus, tout en souriant encore. Ses yeux s’illuminèrent alors, et deux lasers jaillirent pour toucher les seins d’Helena, sur les tétons mis à nu. Ses lasers étaient de très faible intensité, et ne visaient qu’à stimuler les tétons de son amante. Karen cligna ensuite des yeux, et relâcha le cou d’Helena, avant de jouir en elle.

« Mmmhmmm… »

Ses deux verges balancèrent des filaments de foutre dans son corps. Karen serra alors ses mains sur les genoux d’Helena, jouissant longuement. Ses verges restaient solides, et elle reprit ses coups de reins ensuite, voyant le ventre d’Helena se déformer quand sa queue tapait sur son col de l’utérus.

« Haaaa… Haaaaa… »

Karen se pencha alors contre elle, et sentit le lit craquer sous elles. Les lattes en bois soutenant le matelas se rompirent, et le lit tomba au sol dans un craquement. Karen n’en avait cure, et embrassa Helena dans la foulée, avant de la relever. Elle la plaqua contre le proche mur, et tapa si fort que le mur se fissura autour d’Helena. La magie rose protégeait le corps de la jeune femme, et Karen sentit les jambes d’Helena se resserrer autour de son bassin. Power Girl la baisa alors, sans ménagement, et posa une main sur le mur, en appui, son autre main glissant sur la cuisses d’Helena.

« Je… Je t’aime, Helena… Haaaa… Je vais te foutre enceinte, hmmm… Puis tu me mettras enceinte, haaaaaa… Et je te baiserai, et je te baiserai encore, ma chérie… Ma salope adorée, haaaaaa… »

Karen l’embrassa à nouveau, tandis que la main qu’elle avait posé sur le mur s’enfonçait dedans, ses doigts s’agrippant au placo, tandis qu’elle sentait encore une nouvelle vague orgasmique la saisir. Toutefois, la verge dans la chatte d’Helena sauta lors de la vague, et le foutre jaillit sur le ventre d’Helena, remontant sur sa peau, allant jusqu’à éclabousser ses seins et son menton…