The Multiversity

Bobbie avait enfilé une nouvelle tenue de dominatrice, comprenant une robe noire assez moulante et des collants moulants noirs également, ainsi que de longs gants noir opéra. Elle restait pour l’heure à distance, laissant Joana s’amuser avec Carl. Nerveux, le jeune homme observait la femme avec de grands yeux surpris, peinant à croire qu’il allait vraiment coucher avec une femme aussi belle. Bobbie, elle, sourit doucement, sentant sa verge s’élancer furieusement. La finalité n’était pas d’initier Carl au plaisir sexuel, mais d’en faire leur soumis, d’en faire le premier « nouvel homme » de Stepford. Déglutissant, il observa du coin de l’œil Bobbie, avant que Joana ne replante son regard sur elle, ses nanites continuant à agir. Carl déglutit, et, quand ses mains moites se posèrent sur les seins de Joana, il les pinça instinctivement, sursautant doucement.

« C’est… C’est si doux… » réussit-il à dire.

Elle attrapa ensuite sa main, et il sursauta en touchant ses fesses, et rougit alors. Il fut tenté de la retirer, mais Joana insista, et il posa ses doigts dessus, avant de serrer, et gémit encore. Sa queue l’élançait furieusement, il bandait comme jamais auparavant, mais… Il arrivait à se contrôler, suffisamment pour réfléchir.

« Vous… Vous êtes sérieuse, alors ? Je… Je vais vraiment… C-Coucher avec vous ? »

Les talons de Bobbie claquèrent alors, et elle se rapprocha du lit. Carl déglutit en la voyant, et elle se pencha vers eux, venant caresser les cheveux de Carl.

« Tu crois que, parce que nous sommes mariées, nous n’aimons pas les hommes, Carl ?
-  Je…
-  Ta Maman m’a beaucoup parlé de toi… Je suis sa patronne, tu le sais, n’est-ce pas ? Mais je suis aussi sa Maîtresse… »

Carl sursauta en entendant cela, mais n’avait pas décroché ses mains du corps de Joana.

« Ce soir, tu vas devenir notre homme, Carl… C’est le rôle des hommes de Stepford, non ? Dominer les femmes ? »

Elle sourit encore, et se pencha vers Joana, allant embrasser sa femme. Carl ne contredit pas Bobbie, comme s’il savait ce qu’on attendait de lui, mais sans oser avouer qu’il n’avait jamais fantasmé sur ça. Lui, il préférait les femmes dominantes, mais c’était un fantasme que son père ne voulait pas comprendre. Il hocha la tête, conscient toutefois de la chance qu’on lui offrait.

« C’est pour ça que nous sommes là, Carl… Comme Jessica. Toute ville a besoin de ses prostituées. Et Jessica toute seule ne pouvait pas satisfaire l’appétit des hommes de Stepford. Alors, nous sommes venues. Notre seul rôle est de satisfaire les hommes. Alors, montre-nous à quel point tu es un homme fort, baise ma femme, fais-lui sentir toute ta virilité ! »

Il était trop excité pour comprendre qu’elle plaisantait, qu’elle se moquait de lui, car elle savait pertinemment qu’il n’arriverait pas à satisfaire Joana… Mais c’était aussi comme ça qu’elle voulait le faire craquer, et en faire leur petit chien !

Toujours face à un Carl hésitant sur ce qu’il devait faire, Joana eut le renfort de sa chère femme, qui vint caresser les cheveux du jeune garçon en lui expliquant que les deux femmes étaient devenues des prostituées pour la ville entière, que Jessica toute seule ne suffisait plus, que leur seul rôle était de satisfaire les hommes de Stepford comme lui. Elle voulait qu’il leur montre à quel point il était un homme viril, et sa femme sourit en l’entendant dire ça.

Au début oui... mais ensuite tu le soumettras avec ta belle queue.

Joana et Bobbie étaient pleines d’assurance, mais Carl, lui, semblait perdu. Pourtant, malgré tout ce qu’il avait pu entendre, ses mains étaient encore sur le corps de la femme de Stepford, et elle sentait ses doigts malaxer sa chair moelleuse, ainsi que son érection puissante contre sa cuisse. Au moins elle était sûre qu’elle lui avait donné envie. Mais comme leur amant était un garçon à la nature profondément soumise, elle devait l’amener à lui obéir tout en donnant l’illusion qu’elle lui obéissait. Et elle savait exactement comment faire ça.

Après avoir laissé Carl découvrir son corps voluptueux à son rythme, caressant ses belles formes et bandant toujours plus dur, Joana profita du petit gain de confiance que son amant avait trouvé au fond de lui pour l’encourager dans cette voie.

« Tu sais Carl... si tu penses que c’est trop tôt pour toi, ou que ma femme et moi ne sommes pas ton genre, on peut très bien en rester là. Je dirai à tes parents que ça n’a pas pu se faire, que les circonstances n’étaient pas bonnes, ou juste que tu n’en avais pas envie. »

Elle lui laissa quelques secondes le temps qu’il s’interroge, puis elle le déstabilisa aussitôt en utilisant ses nanites.

« Ou alors... tu peux mettre ta jolie queue toute dure dans ma bouche pour que la suce goulûment et que tu puisses te vider les bourses une première fois. Après ça, tu pourrais m’enlever ma culotte... enfoncer ta trique dans l’un de mes trous... et jouir en moi. Ça te plairait ? »

Le but était de perturber sa réflexion, de l’amener à moins penser avec son cerveau et plus avec sa bite. Parce que là, il n’y avait pas de doute sur ce qu’il fallait faire : baiser le couple Eberhart. Tout le reste viendrait ensuite.

Carl avait du mal à réfléchir, ou à admettre ce qu’il voulait vraiment. Déjà, il fallait se faire à l’idée que des adultes voulaient coucher avec lui. Est-ce que ça n’était pas illégal ? Carl n’était pas non plus un jeune garçon, mais il savait aussi où il vivait. Son père ne cessait de lui dire que Stepford était une ville parfaite, qui n’avait rien à voir avec les grandes villes où la société périclitait, s’effondrait progressivement. Véritable héritier de la communauté WASP qui dominait l’Amérique, Dale mettait sur le compte du melting pot, du brassage des cultures, et de l’ascension du droit des femmes, l’effondrement latent de son pays, et s’énervait contre les hommes qui n’étaient pas virils, les « tapettes ». Pour lui, ils étaient pires que tout, car, comme il le disait souvent, les Romains avaient trouvé la solution parfaite. Un homme se devait d’être le pater familias, le chef de sa maison, saillant sa femme, tandis que celle-ci se chargeait de l’entretien de la maison. Ainsi fonctionnait l’harmonie naturelle d’un couple, avec l’homme qui travaillait, qui s’occupait des affaires extérieures du couple, de son patrimoine, tandis que la femme gérait les enfants et l’entretien de la maison. Cependant, Carl avait du mal avec cette vision. Avoir deux femmes aussi magnifiques face à lui aurait dû l’exciter furieusement au point de vouloir les baiser énergiquement, mais ce n’était pas ça qui le travaillait… Du moins, il ne fantasmait pas que sur ça.

Dans son dos, Bobbie caressait ses cheveux, tout en commençant à avoir une belle érection. Carl était vraiment le choix parfait, et il ne faisait désormais plus aucun doute qu’il allait les rejoindre. Dale serait peut-être un peu plus compliqué, mais Bobbie faisait parfaitement confiance à Kelly pour ça. En attendant, Joana proposa à Carl d’en rester là, ou qu’elle le suce. Carl rougit furieusement, et sentit les mains de Bobbie caresser ses cheveux. Certes, le plan initial était qu’Joana s’occupe seule de baiser avec Carl, mais il fallait bien savoir improviser, et Bobbie commençait à avoir une belle érection.

« Je… Je… Vous… Vous feriez vraiment ça ? »

Il avait les yeux rivés sur le corps de Joana, peinant visiblement à savoir quoi ne pas regarder, tant tout son corps n’était qu’un appel au plaisir profond. Il déglutit donc silencieusement en la regardant. Sa queue lui faisait terriblement mal.

« Bien sûr, répondit Bobbie à la place de sa femme. Tu es un jeune homme plein d’énergie, Carl, nous devons veiller à ce que cette énergie soit bien dépensée, de manière à ce que tu ne deviennes pas un délinquant… »

Ce discours le fit rougir en lui rappelant celui de son père. Dale parlait ouvertement du sexe, en affirmant que la société américaine était devenue trop pudibonde en laissant trop de place aux « tapettes » et aux femmes. Un vrai homme se devait de besogner sa femme pour ne pas s’énerver, car c’était un moyen de dépenser toute son énergie. Sinon, celle-ci s’exprimait autrement, à travers la violence. Carl en arrivait peu à peu à se convaincre que ces deux filles étaient envoyées par son père. S’il ne couchait pas avec elles, il risquait de le payer…

Le jeune homme hocha alors la tête, tandis que sa queue l’élançait furieusement.

« O-Oui, Ma… Madame E… Eberhart… »

Bobbie sourit lentement, et incitait le jeune homme à se redresser. Il déglutit silencieusement, tandis que Joana se mettait en position, et Bobbie, restant à côté de lui, l’embrassa sur la joue.

« Tu vas jouir en moins d’une minute, mon chéri… Mais ne t’inquiète pas, ma femme est une spécialiste du sexe oral… Elle va te sucer comme jamais personne ne t’a sucé… Enfin, en même temps, je pense que personne ne t’a encore sucé, non ? »

Carl, pour seule réponse, se mit à rougir, tandis que la belle maid se positionnait lentement, telle une redoutable succube. Bobbie, quant à elle, caressait le visage de Carl avec sa main, approchant ses doigts de ses lèvres.

« Si tu veux les sucer, tu peux… » observa-t-elle alors, avec un ton légèrement malicieux.

Au fond, elle savait parfaitement ce que Carl voulait…

Joana ne pensait pas que Carl serait si difficile à convaincre. Elle pensait qu’il suffirait qu’il voie son joli corps dans sa tenue de soubrette et qu’il se jetterait sur elle, mais il fallut encore une intervention de Bobbie pour le convaincre que coucher avec elles était la bonne chose à faire.

« Parfait. Redresse toi un peu que je puisse prendre la bonne position. »

La futa resta à côté du jeune homme pour lui expliquer qu’il allait jouir très vite et que c’était normal, puis elle glissa ses doigts dans sa bouche pour les lui faire sucer. Ce ne fut pas une surprise de le voir les accueillir avec joie et de jouer avec.

« Allons-y. Détends-toi et savoure les sensations. »

Joana commença par lécher la queue de Carl pour le faire frissonner et lui donner un avant-goût, elle joua un peu avec ses testicules et embrassa son gland dur comme la pierre avant de finalement prendre son sexe en bouche. Pour un jeune homme, il était déjà plutôt bien équipé, et plus elle le suçait, plus Joana pensait qu’il aurait pu faire un bon amant mâle avec le temps. Dommage qu’elle ait déjà d’autres projets pour lui.

Tu seras une très bonne amante pour ma femme et moi.

Elle l’imaginait déjà avec un corps voluptueux et une belle chevelure blonde. Elle le voyait pénétré par Bobbie, couinant son plaisir de sa voix féminine, réclamant toujours plus de cette belle bite pour lui remplir tous ses orifices, la rendant peu à peu accro au sexe. Mais elle s’imaginait aussi la baiser dans des rapports 100% femme, lui léchant l’entrejambe, caressant ses seins ou faisant un ciseau avec elle. A moins qu’elle n’en fasse une futa ? La technologie de Stepford offrait tant de possibilités...

Perdue dans ses pensées, Joana ne vit pas le temps passer jusqu’à ce que Carl ne finisse par jouir dans sa bouche. A sa grande surprise, il avait tenu plus d’une minute, presque deux. Son sperme éclata avec puissance, remplissant rapidement la bouche de son amante, si bien qu’elle dut plusieurs fois avaler sa semence entre deux jets. Après cette belle éjaculation, elle se retira et nettoya sa trique avant de s’adresser à lui.

« Eh bien mon beau... on peut dire que tu jouis drôlement fort. Les filles qui aiment se faire couvrir de sperme... seront heureuse avec toi. »

Peut-être serait-il une femme fontaine une fois transformé. Joana retira ses gants ainsi que son bonnet de maid et les lança vers Carl, qui put apprécier la douceur du tissu sur sa peau nue.

« Si tu veux que j’en enlève plus mon grand... il va falloir prendre les choses en main. »

Elle se mit à quatre pattes devant lui, avança telle une lionne en chasse en lui offrant une vue plongeante sur son décolleté, puis elle se tourna pour lui montrer ses belles fesses, laissées nues par son string.

« Laisse parler tes pulsions mon grand. Enlève-moi mes vêtements... ou viens juste me baiser. Je suis toute à toi. »

Ou alors tu peux aussi renoncer dès maintenant, admettre que tu aimes être dominé par des femmes fortes, laisser Bobbie baiser ton petit cul et me laisser faire de toi une femme.

Le but final était d’en faire leur soumis, alors peu importe le rythme tant que le résultat était là.

Carl ne le réalisait pas, mais le spectacle devenait de plus en plus éprouvant pour Bobbie ! Elle disposait d’une libido surdéveloppée, et avait déjà baisé Joana dans toutes les positions imaginables et dans une très grande variété de costumes. Infirmière, policière, ouvrière, bunny girl, et évidemment maid… Et voir Joana comme ça… Hum ! Bobbie avait une envie furieuse de la prendre là, de la baiser dans sa belle robe ! Alors, elle se retenait, rongeant son frein devant les atermoiements de Carl. Le jeune homme venait de jouir confusément dans la belle bouche de sa femme, confirmant qu’il était un homme doué, et, même si Bobbie savait que Joana l’imaginait déjà travesti,  il fallait prendre son mal en patience !

Retirant son petit chapeau et ses fins gants soyeux, elle les déposa à Carl. Même si le jeune homme venait de jouir, il n’était pas plus hardi, et vit ensuite Bobbie se mettre à quatre pattes devant lui, approchant ses fesses de son visage. Oh ! Quelle scène ! Quelle tentation ! Une irrésistible invitation, et il rougit donc, sa queue se redressant… Puis se pencha vers le fessier de Joana, et commença à le lécher. Sa langue fila sous la robe, et lécha le sous-vêtement de la femme de la Futanari, s’y attaquant avec tendresse et envie. Elle sourit donc, et se rapprocha alors. Attrapant la petite coiffe que Joana avait jeté, elle la posa sur la tête de Carl, et se frotta dans son dos, sa verge en érection venant s’appuyer contre le bas de son dos, proche de ses fesses.

« Enfile les gants de ma femme, Carl… »

Elle l’aida à les mettre, prenant son temps, et il se retourna, louchant sur la belle verge de Bobbie. Sa queue membrée se redressait joyeusement, épaisse et solide, assoiffée. Un sourire amusé éclaira les lèvres de Bobbie.

« Au fond de toi, tu ressens cela, Carl… La société a voulu faire des femmes des créatures soumises, mais nous portons la vie. En notre for intérieur, nous sommes des mères, et vous, les garçons, êtes faits pour nous obéir. C’est cela que tu ressens, Carl, ce sentiment primaire d’obéissance envers le beau sexe.
-  Je… Je ne sais pas…
-  Mais moi, je le sais. Stepford est fondée sur l’idéal de transformer la société américaine, de la guérir de ses vices… Mais le chemin pris est le mauvais. La transformation de Stepford passera par l’avènement des femmes, Carl… Et par des gens comme toi, des garçons qui, en leur for intérieur, savent qu’ils sont là pour obéir aux femmes.
-  Mais… »

Carl ne savait plus trop où se mettre. Bobbie sourit doucement, et l’embrassa sur les lèvres alors. Le contact le surprit, et Bobbie rompit le baiser, caressant les joues de Carl.

« Je vais te dépuceler, Carl… Je vais te sodomiser, mais, avant ça, je veux que tu suces ma verge. »

Carl rougit furieusement, et observa encore la verge de Bobbie. La femme sourit doucement, et déplaça sa main, venant palper le fessier de Joana.

« Je suis sûre que tu suces très bien… Et Joana va t’aider, elle va te donner des conseils pour bien sucer. Nous construisons un nouveau monde ici, Carl, un monde où les hommes ne seront plus jamais malheureux, car ils accepteront enfin l’idée que les femmes, qui sont les mères du monde, soient aptes à les diriger. »

Et, ayant dit cela, Bobbie se déplaça, et alla se mettre en position, s’asseyant sur le bord du lit en attendant que le duo se mette en position…

A la base, le plan consistait à déchaîner la virilité de Carl avant de le confronter à ses vrais désirs et de le soumettre. Mais alors qu’il commençait juste à jouer avec le cul de Joana et à lécher son sous-vêtement, Bobbie vint lui enfiler la coiffe de soubrette et les gants que sa femme avaient retirés.

« Hhhmmm... à quoi tu joues ma chérie ? »

Elle était en train de changer le plan. Plutôt que d’attendre encore, la futa décida de confronter directement Carl à ce qu’elle savait sur lui : c’était un garçon soumis, le genre qui comprenait que les femmes devaient diriger, contrairement à ce que la société leur a imposé pendant des siècles. Le jeune garçon semblait hésitant, mais Joana ne manqua pas de remarquer la façon dont il louchait sur la belle verge de sa femme. Cette dernière, après un rapide baiser, lui annonça qu’elle allait lui prendre sa virginité anale, mais d’abord elle voulait qu’il la suce.

« Tu n’as pas peur d’aller un peu vite ? Notre pauvre Carl vient à peine de découvrir ce que procure une fellation, et tu veux déjà lui faire sucer une bite ? Qui plus est la tienne ? »

En seule guise de réponse, Joana eut droit à une main aux fesses, et Bobbie expliqua à Carl que sa femme allait lui donner des conseils pour bien sucer. Elle semblait avoir pris sa décision, et ce n’était pas sa femme qui allait la contredire.

« Aaahhh... comme tu voudras ma chérie. »

Bobbie alla s’installer sur le rebord du lit, et Joana accompagna Carl pour qu’il se mette à genoux devant elle, le visage face à sa trique.

« Ne t’inquiète pas, c’est facile tu vas voir. Imagine que c’est une sucette. Tu as déjà mangé des sucettes quand tu étais petit ? »

« Euh... oui... oui bien sûr. »

« Eh bien là c’est pareil. Tu mets la sucette dans ta bouche... et tu l’aspires. Et si tu le fais bien... tu auras une belle récompense. »

Ne voulant laisser aucune place au hasard, Joana utilisa encore une fois ses nanites sur Carl.

« Tu es un bon garçon Carl. Et contrairement à ce que dit ton père, il n’y a pas de mal à aimer les femmes fortes. Tu as le droit d’aimer ce que tu veux. Et on sait tous les deux que ce que tu aimes... ce sont les grosses bites bien juteuses... et les femmes qui te dominent. »

La femme de Stepford embrassa le jeune garçon tout en le masturbant un peu, juste ce qu’il fallait pour que son désir et son envie de sexe deviennent vraiment puissants. Puis elle se retira aussitôt.

« Maintenant voilà ce que tu vas faire : tu vas mettre la bite de ma femme dans ta bouche, et tu vas la lécher comme si c’était une sucette, tout en aspirant l’air entre tes joues. Une fois que tu te sentiras à l’aise, tu commenceras à bouger ta tête le long de cette trique pour la faire aller et venir dans ta bouche. Et tu continueras, encore et encore, jusqu’à ce que ma femme jouisse.
Mais avant que tu fasses ça, j’aurais une petite question à te poser. Ta mère m’a raconté que tu avais déjà porté une poitrine en plastique, et que tu aimais te mettre des godes dans le cul. »

Loin de Joana l’idée de faire trop attendre Bobbie, mais elle était vraiment curieuse de voir si son plan pour Carl avait des chances de se réaliser.

« Carl... est-ce que tu as déjà voulu... devenir une femme ? »

Le plan initial devait être évolué. Elles ne traitaient pas avec un robot, mais avec un être humain, et, si la stratégie initiale de Joana était louable, Bobbie restait accrochée à la finalité de cette opération. Et l’objectif était de faire de Carl un soumis, un jeune efféminé qui servirait de cobaye aux nouvelles expériences de Stepford pour en faire une fille. Joana fut donc surprise, et il fallut une claque sur ses fesses pour la ramener au calme. Elle aida ensuite Carl, et Bobbie sourit en s’asseyant sur le rebord du lit. Carl écarquilla les yeux devant cette grosse verge, bien tendue, veineuse. Il rougit en la reniflant, n’osant pas encore s’approcher. Si mignon ! Le jeune homme sentit ensuite Joana près de lui, l’encourageant à agir. Bobbie, elle, sourit en voyant que Carl avait une furieuse érection. Il avait du mal à réfléchir, et, quand Joana lui avoua qu’elles savaient qu’il portait parfois une fausse poitrine, il rougit encore plus… Mais, quand elle lui demanda s’il voulait être une fille, il secoua alors la tête, en répondant d’une voix tremblotante :

« Je… N-Non ! Je suis un homme, et… Et j’aime les femmes ! »

Bobbie sourit alors, et caressa les cheveux du jeune homme.

« Et alors ? Tu peux aimer les femmes en étant toi aussi une femme, tu sais… Regarde-moi avec Joana, hum ?
-  Je… Oui, mais Papa…
-  Ton père t’a éduqué dans l’erreur, tu sais… Il t’a éduqué dans cette conception biaisée des rapports humains où les hommes sont supposés nous diriger… Mais la vérité est que les hommes ne sont qu’une malformation génétique, Carl. Leur apport dans le processus créatif se résume juste à apporter une goutte. Le rôle de la technologie est de palier à cela, et de créer un sexe unique.
-  Je…
-  Tu as été choisi pour faire partie des premiers hommes qui recevront ce don, Carl… Et, si tu ne me crois pas, sache que, dans une heure, ce cher Dale voudra également devenir une fille. Nous allons vous ouvrir les yeux, Carl, et Stepford sera le point de départ d’une nouvelle révolution sexuelle. N’est-ce pas magnifique ? »

Dit comme ça, Bobbie aurait pu ressembler à ces méchants dans les films de James Bond, mais elle n’envisageait nullement de détruire le monde, ou de le gouverner. Non, c’était un monde d’un nouveau genre qui se profilait, un monde plus juste, plus pur. Carl, de son côté, déglutissait lentement, et finit par se rapprocher, reniflant sa verge.

« V-Vraiment ? Mais… Je… Je…
-  Là, là, arrête de te poser des questions, et viens t’attaquer à ma verge, mon mignon… »

Carl déglutit, et déposa un premier baiser. Il était extrêmement timide, et déposa ensuite un second baiser, sursautant en sentant la queue de Bobbie se redresser. Celle-ci soupira encore, se pinçant les lèvres, et le laissa agir. Il lécha donc son membre, remuant dessus, et Joana eut alors tout loisir d’aller masturber le jeune homme. Petit à petit, en s’absorbant dans le sexe, il en oubliait tout le reste, y compris ses propres doutes sur sa sexualité.

« Hmmm… Hmmm…
-  Regarde comme il adore lécher ça, Joana… Tu sais, Carl, à la base, nous comptions que tu fasses l’amour avec Joana, mais, plus je te voyais agir ainsi, et plus je me disais que je trouve encore plus excitant de garder ta belle petite queue vierge aussi longtemps que possible… »

Sous ses doigts, Joana put sentir la verge de Carl se redresser encore. Était-ce une simple coïncidence ? On pouvait le croire… Mais la vérité est que Bobbie ne cessait de viser juste, comme si elle lisait en lui comme dans un livre ouvert !

Bien que les goûts sexuels de Carl ne faisaient plus aucun doute pour Joana, ce dernier continuait à s’accrocher à ce que lui avait appris son père. Mais Bobbie lui fit entrevoir une autre réalité, celle d’un monde où les garçons comme lui, qui aimaient les femmes fortes, deviendraient la norme, même s’ils seraient tous changés en demoiselles. L’important était qu’il n’allait plus être seul bien longtemps. Et à chaque fois qu’il semblait douter ou s’interroger, les deux femmes le rassuraient et l’encourageaient à se concentrer sur le sexe plutôt que sur ses interrogations. Finalement, il déposa un premier baiser timide sur la verge de Bobbie, puis un deuxième, puis il se mit à la lécher.

« C’est bien Carl... continue comme ça. »

Pour l’encourager sur cette voie, Joana se mit à le branler doucement. Et sans surprise, elle sentit sa queue devenir de plus en plus dure à mesure qu’il léchait celle de sa femme. Peu importe ce qu’il aurait pu dire, elle savait bien que c’était parce qu’il prenait plaisir à jouer avec le sexe d’une futa. Bobbie était d’avis de laisser le jeune garçon

« Voilà Carl, c’est très bien. Maintenant que tu l’as bien humidifiée... il est temps de la prendre dans ta bouche. »

« Dans ma bouche ? Je... je ne sais pas... »

Joana lui mit encore un petit coup de nanites pour dissiper ses craintes, toujours en l’astiquant doucement.

« Aie confiance en nous Carl. Nous ne voulons que ton bien. Ta mère a eu assez confiance en nous pour te confier à nous, alors tu peux me croire quand je te dis que tu n’as rien à craindre.
Fais juste un essai. Mets cette queue dans ta bouche et suce-là. Si tu n’es pas totalement convaincu, on arrête tout. »

Bien sûr, Joana savait déjà que Carl ne pourrait pas résister une fois qu’il aurait goûté au plaisir, alors elle ne prenait pas trop de risque en lui faisant des promesses. Le jeune garçon, bien qu’un peu hésitant, ouvrit timidement la bouche et accueillit ce chibre entre ses lèvres, le suçant comme Joana lui avait dit de le faire. Une main sur ses cheveux, l’autre sur sa trique, la femme de Stepford le regardait savourer cette expérience, et elle fit un clin d’œil à sa femme.

On y est. Bientôt il sera prêt.

Bobbie sourit doucement devant ce fascinant spectacle. Sa verge tendue se redressait fièrement sous le nez de Carl, qui l’avait léché avec appétit. Il se prenait peu à peu au goût, tandis que Bobbie savait quelle était la finalité du projet. Il fallait faire de lui le premier nouvel homme stepfordien. Une véritable révolution sexuelle s’annonçait, et Bobbie frémissait à l’idée d’en être à l’origine. Le jeune homme continuait à la lécher, tandis que Joana le masturbait doucement. Bientôt, oui, très bientôt, Bobbie retournerait Stepford. Elle ne se faisait aucune illusion. Ce serait long, très long. Le projet durerait plusieurs années, mais, à terme, elle comptait faire de la Terre un monde meilleur en perfectionnant le genre humain. Carl gémissait lentement, et rougit encore quand Joana l’invita à sucer l’épaisse verge de Bobbie. Il déglutit, surpris, mais son érection ne mentait pas, et il dut donc obtempérer. Bobbie posa également sa main sur sa tête, serrant fermement ses cheveux, et se mit à soupirer, déglutissant en sentant sa bouche filer sur sa hampe de chair.

« Là… Pense à bien respirer par le nez, mon beau… Ne mords pas, aspire ta salive fort… »

C’était une voix posée, tendre, mais non moins ferme. Bobbie savait se montrer patiente, mais elle était aussi autoritaire. Elle soupira lentement, exhalant par le nez, tandis que Carl s’enhardissait progressivement. Bobbie vit alors Joana lui sourire, et lui rendit son sourire en retour. Oui, oui, tout cela était magnifiquement prometteur ! Carl succombait progressivement, et n’arrivait plus à retirer sa tête, les deux femmes l’en empêchant. Il était temps pour lui de succomber, de goûter à ce plaisir ultime ! Il allait admettre ses véritables pulsions, ses fantasmes latents !

Bobbie était prête à continuer, et grogna lentement, sa queue se durcissant encore. Les joues de Carl se déformaient, et il rougissait joyeusement, se tortillant sur place, peinant à se retenir. Sa queue bien tendue semblait sur le point d’exploser, mais Bobbie savait ce qui allait l’achever. Car il était temps de poser l’estocade finale, de l’achever.

« Enfonce un doigt dans son cul, Joana… Je suis sûre, hmmm… Que ça va le faire jouir ! »

Le beau petit cul de Carl était très attirant, et Joana allait pouvoir s’amuser avec, titiller sa prostate, afin de le faire joyeusement jouir. Car c’était bien là tout ce que les deux femmes voulaient : soumettre définitivement le jeune homme, en faire leur petit chien… Puis leur chienne !

Carl se laissait enfin aller. Il suçait joyeusement la queue de Bobbie, qui lui donnait des conseils pour bien respirer tout en la pompant, accompagnant les mouvements de sa tête avec sa main. Ce jeune garçon était très prometteur, il serait parfait comme premier nouvel homme de Stepford. Joana le regardait avec plaisir s’occuper de la trique de sa femme, son visage rougissant joyeusement, les joues déformées. Sa femme lui demanda ensuite de mettre un doigt dans le cul de leur amant afin de le faire jouir.

« Tout de suite ma chérie. »

Carl avait un derrière très féminin, et Joana se fit une joie d’aller jouer avec. Elle commença par lécher son index afin de bien l’humidifier, puis elle vint titiller l’entrée du fondement du jeune garçon. Il n’était pas aussi serré qu’elle se l’imaginait, sûrement grâce à tous les sextoys qu’il avait fait passer dedans, mais elle n’allait quand même pas pouvoir y progresser sans encombre. Elle enfonça son index progressivement dans ce petit couloir qui s’offrait à elle, et à mesure qu’elle progressait, son amant soupirait plus fort.

« Oui mon beau... régale-toi. Plus tu aspires la queue de ma femme... et plus j’enfonce mon doigt en toi... ooouuuhhh... plus le plaisir monte. Aaahhh... tu le sens n’est-ce pas ? »

Joana décida alors de jouer un petit tour au jeune homme. Elle cala les mouvements de son index sur l’avancée de sa fellation pour faire en sorte qu’il jouisse à peu près au moment où il se recevrait la crème de la futa dans la bouche. Elle espérait ainsi renforcer son goût déjà existant pour les futas et la sodomie. Son plan état rendu possible par la capacité que sa femme et elle avaient à se comprendre sans avoir besoin de mots. Elle voyait bien le plaisir sur son visage, elle savait quand elle était proche de jouir, elle pouvait donc se caler sur son rythme. Cependant, une chose la travaillait.

Est-ce que Carl sera capable de tout avaler ?

Sa femme jouissait quand même fort, et c’était encore un débutant.

Bobbie observa avec appétit le jeune homme en train de sucer sa queue. Carl soupirait sur place, sentant cette belle verge remuer en lui. Il avait une bouche magnifique, et respirait longuement par le nez, suivant les instructions de ses deux Maîtresses. Joana était sous le charme, et, pour Bobbie, ce spectacle était vraiment superbe. Elle se mordilla doucement les lèvres en les observant, et vit que Joana commençait à bien s’y attacher, et à éduquer sexuellement Carl. Le jeune homme risquait de devoir souvent les revoir, et, en ce moment, Bobbie trouvait amusant de conserver sa virginité, tout en faisant de lui un amant très talentueux. Peut-être pourraient-elles lui mettre une cage de chasteté ensuite ? L’idée amusait fortement la puissante hermaphrodite, qui se mordilla un doigt en sentant sa verge grossir, enflant doucement dans la bouche de son jeune partenaire.

Quand Joana glissa un doigt dans son fessier, Carl écarquilla des yeux, mais sa queue se durcit encore, et il se laissa faire, couinant doucement. Joana maîtrisait la chose, et Bobbie sourit encore, serrant sa main sur les cheveux de Carl, la déplaçant ensuite pour caresser le visage de Joana, glissant sur la joue de son épouse.

« Hmmm… Comme c’est bon ! » commenta Bobbie.

Elle soupira une nouvelle fois, ses joues commençant à s’empourprer sous l’effet du désir, de cette flamme qui était en train de brûler en elle.

« Tu te débrouilles très bien, Carl… Continue à pomper mon dard, mon beau… »

Des compliments délicieusement flatteurs pour le jeune homme, qui poursuivait son office, sentant le corps de Joana se serrer contre le sien. Elle déplaça son autre main pour caresser sa verge, mais ne le masturba pas, préférant plutôt caresser et gratter ses testicules. Carl couina encore, rougissant furieusement, sa queue tendue rebondissant contre son petit ventre, sur le point de recracher sa chaude semence. Le jeune homme se tortillait sur place, et Bobbie soupira encore.

Elle recracha finalement sa semence tout en sentant Carl jouir alors. Sa queue se recracha en l’air, salissant son torse et les jambes de Bobbie. Elle jouit joyeusement, surprenant Carl qui écarquilla les yeux devant cet afflux de sperme. Bobbie serra bien sa tête, crispant ses doigts sur ses cheveux, afin de s’assurer qu’il boive bien tout le contenu qu’elle lui déversait. Sonné, le jeune homme ne savait plus où donner de la tête, et Bobbie croisa rapidement le regard de sa femme.

« Embrasse-le, aide-le à avaler mon délicieux sperme, mais je veux aussi qu’il y goûte… Carl doit prendre goût à ce qui deviendra désormais sa boisson quotidienne ! »

S’il pensait qu’il en finirait ce soir avec les deux femmes, le jeune homme se trompait lourdement !

Carl était devenu le jouet du couple Eberhart. Tandis que Bobbie profitait de la fellation qu’il lui offrait, Joana le titillait en glissant un doigt dans son anus et en caressant doucement sa verge. Elle ne le branlait pas pour être sûre que seul le fait de sucer et de se faire doigter le cul serait une source de plaisir pour lui. Il était tellement érigé que sa queue caressait son ventre. La femme de Stepford se régalait rien qu’en le regardant prendre son pied.

« Oui Carl... régale-toi mon beau. Fais-toi plaisir. »

Quand le jeune garçon finit par jouir, sa semence éclaboussa le sol et son propre ventre, et il macula également les doigts de Joana. Peu de temps après, Bobbie jouit à son tour, surprenant Carl qui écarquilla les yeux devant cet afflux de sperme. Si la futa n’avait pas gardé ses mains sur sa tête, il n’aurait sûrement pas tout avalé. Et une fois son éjaculation finie, elle libéra le jeune homme, désorienté et hagard. Elle demanda à sa femme de l’embrasser pour l’aider à avaler son sperme, sa nouvelle boisson quotidienne.

« Avec plaisir ma chérie. »

Joana attrapa le menton de Carl et fourra sa langue dans sa bouche. Encore à moitié sonné, le jeune garçon se laissa docilement faire. La blonde sentit qu’il restait encore pas mal de sperme dans sa bouche, elle utilisa sa langue pour le rassembler petit à petit et le lui faire avaler progressivement. Il n’avait pas encore l’habitude pour le moment, mais ce n’était qu’une question d’éducation, il avait déjà tous les goûts en lui.

Après quelques minutes de ce délicieux baiser gluant, Joana laissa Carl reprendre son souffle. Le jeune garçon était encore un peu sonné, mais la femme n’était pas dupe, l’érection de nouveau présente entre ses jambes montrait qu’il était excité. Elle caressa doucement sa trique en essayant de ne pas trop l’agiter.

« Ca doit te sembler un peu intense pour une première fois mon beau... mais il vaut mieux commencer haut dès le début. Ça ne pourra que t’aider pour la suite. »

Elle se tourna ensuite vers Bobbie.

« Alors ma chérie... c’est quoi la suite ? »

Puisque la futa avait pris la formation de leur nouveau serviteur en main, c’était à elle de donner la direction. Sa femme n’était là que pour l’aider.

Bobbie ne put qu’admirer avec un appétit grandissant cette scène absolument parfaite. Sa queue venait de recracher sa chaude semence dans la bouche de Carl, et le jeune homme en sembla fort surpris. Il ne s’attendait visiblement pas à une telle projection de foutre, et Joana alla naturellement l’aider, l’embrassant goulûment et énergiquement. Carl répondit à ce baiser avec appétit. Il se pressa nerveusement contre le corps d’Helena, et tremblait fiévreusement. Oh, comme il aimait ça ! Carl gémissait lentement en fermant les yeux, et les deux s’embrassèrent longuement. Imperturbable, Bobbie se contenta de les observer en souriant doucement. Elle n’avait rien de particulier à dire, se lavant les yeux en admirant ce beau baiser. Joana pouvait être très douée dans son domaine, et, quand le baiser se rompit, Carl frémissait doucement, rougissant benoîtement.

Joana se retourna alors vers sa femme, qui sourit doucement. La tête penchée sur le côté, sa verge avait retrouvé de sa superbe, et Carl observa cela en étant assez curieux… Mais lui-même se sentait encore très excité, plus excité que jamais.

« Comptes-tu toujours à nier l’évidence, Carl ?
-  Je… Je ne sais pas… Maîtresse… »

Un sourire victorieux se nicha sur les lèvres de Bobbie. Maîtresse… Voilà qui était dit ! Les Eberhart étaient en bonne voie, et Carl ne pouvait maintenant plus nier tout le désir qu’il ressentait ! Nerveux, il restait agenouillé devant Bobbie, tandis que Joana attendait, le visage excité, les yeux empreints de malice également.

« Tu es un bon garçon, Carl… Moi et Joana, nous allons transformer cette ville magnifique, nous allons montrer aux hommes qu’ils se trompent, et que la société se portera bien mieux si les femmes redeviennent ce qu’elles étaient jadis… Le sexe fort et dominant. Et, au fond de toi, tu l’as toujours su.
-  O-Oui, Maîtresse…
-  Je pense que tu es prêt… »

Bobbie avait une idée derrière la tête, et demanda à Joana de mettre un collier autour du cou de Carl. Celle-ci s’exécuta, et relia le collier à une laisse. Elle n’avait toutefois pas encore terminé, et posa sur le corps de Carl une cage de chasteté. Sa queue se retrouva enfermée dans une cage moderne, que ses Maîtresses pouvaient utiliser via une application mobile. La cage pouvait diffuser des champs électriques destinés à amplifier l’excitation de son porteur. Carl couina doucement en sentant son membre disparaître sous la cage.

La cage disposait également d’une fonction à l’arrière avec un plug anal qui s’enfonça doucement en lui. Il était possible d’ouvrir la trappe à l’arrière en rétractant alors le plug pour le sodomiser. Joana attrapa la laisse, et le duo sortit alors de la chambre.

« Je veux te montrer quelque chose, Carl… »

Souriant malicieusement, Bobbie sortit de la chambre, et traversa le couloir menant à l’autre chambre. Elle posa sa main sur la poignée, et sourit encore. Elle savait que le dernier obstacle de Carl était son père, Dale… Alors, elle ouvrit la porte.

Derrière, c’était un petit salon avec des bibliothèques. Sur un trépied, une caméra filmait un homme agenouillé à quatre pattes sur le sol. C’était… C’était Dale ! Carl écarquilla les yeux devant cette scène. Kely était assise sur un fauteuil face à Dale, qui léchait ses jambes recouvertes de collants en latex avec des talons. Il léchait les talons, tandis que son cul rougi témoignait des fessées qu’il avait reçu… Mais, surtout, Zoey était en train de le sodomiser !

« Hnnnn… »

Pour Carl, son père avait sans doute toujours représenté un symbole de virilité, de puissance masculine… Une puissance réduite à néant. Bobbie sourit donc, ravie.

« C’est… Papa ?!
-  Ton père a accepté cette réalité, lui aussi… Maintenant, je suis sûre que ma femme a envie de te soulager de cette soif qui doit remonter entre tes fesses… »

Bobbie comptait aussi le sodomiser, mais ce serait peut-être mieux, pour lui, de commencer par Joana ?

Même après avoir convaincu Carl de sucer Bobbie et l’avoir fait jouir en glissant un doigt dans son cul, ce dernier ne semblait toujours pas convaincu. Pourtant il venait d’appeler la futa Maîtresse, ce qui était un bon progrès. Bobbie décida de passer à la vitesse supérieure, et Joana alla chercher de nouveaux jouets pour leur soumis : une cage de chasteté contrôlée par smartphone, un plug anal rétractable pour garder son cul bien dilaté en attendant sa prochaine sodomie, et un joli collier relié à une laisse. Une fois équipé, le jeune garçon était devenu leur petit chien. De son côté, la blonde enfila un gode-ceinture, se dotant ainsi d’un magnifique chibre en silicone muni de plusieurs petits excroissances sur toute sa surface pour plus de plaisir. Jamais cela ne vaudrait le sexe de sa femme, mais au moins elle pourrait satisfaire leur soumis si nécessaire.

Joana suivit sa femme adorée, qui tenait leur amant en laisse, et ils allèrent tous les trois retrouver Zoé et Kelly. Elles avaient bien travaillé, Dale était à présent à genoux devant elle, léchant les collants de Kelly tandis que sa femme le sodomisait. Devant ce spectacle, Carl ne pouvait plus douter du bienfondé des paroles du couple Eberhart.

« Ton père a toujours été un modèle pour toi n’est-ce pas ? Tu voulais devenir aussi fort et dominateur que lui... mais regarde bien. Ton cher père, l’un de ces hommes qui prétendait que la femme devait être soumise et obéissante face au mâle, se retrouve à lécher les pieds de notre amie Kelly, pendant que ta maman lui remplit le cul. Tu trouves qu’il a l’air malheureux ? »

En effet, le père de leur soumis semblait aux anges, sa queue avait encore des traces de sperme d’un précédent orgasme.

« Tu comprends maintenant ? Les hommes ne sont pas faits pour dominer. »

Elle vint murmurer.

« Vous êtes faits pour obéir au sexe féminin. A vos mères, vos sœurs, vos femmes... c’est comme ça que vous êtes heureux. »

Bobbie proposa donc à Carl de satisfaire la soif qui remontait entre ses fesses en se recevant une bonne sodomie de la part de sa femme. Cependant, Joana n’était pas aussi emballée qu’elle par cette idée.

« Vraiment ma chérie ? Moi je pense qu’il est important que la première sodomie de ce garçon soit fait par une experte avec un vrai sexe masculin. Même si mon gode-ceinture est très réaliste, ça ne vaudra jamais mieux que ta magnifique queue. »

Certes, sa femme était plus puissante et cela allait sans doute marquer plus profondément leur soumis que si c’était elle, mais n’était-ce pas leur but premier ? Bobbie avait voulu avancer rapidement dans la formation de Carl pour lui faire sucer sa queue avant qu’il ait la chance de se servir de la sienne, autant continuer sur cette lancée et lui donner tout de suite la vraie queue pour sa première fois.

« Après, si tu es convaincue qu’il vaut mieux qu’il commence par mon gode, je ne te contredirai pas. Mais pendant que je lui baiserai le cul... hhhmmm... est-ce que je pourrais goûter à ta queue ? Ma petite bouche se languit... de sa présence. »

Un léger sourire étira les lèvres de Bobbie devant les propos de sa femme. Joana savait employer les mots justes, et Carl était confus. Cette scène obscène allait à l’encontre de tout ce qu’on lui avait enseigné sur Stepford, sur la « virilité masculine ». Son père lui avait maintes fois dit que le féminisme était l’un des cancers rampants de la société actuelle, une société qui avait été fondée sur l’autorité du père de famille, sur le pater familias. Tout cela était écrit dans la Bible, affirmait-il. L’infériorité d’Ève, la nécessité de dominer les femmes… Toute société qui allait à l’encontre de ce principe finissait par péricliter, et Stepford était grandissante pour ça. La femme se devait de gérer le foyer tandis que l’homme s’occupait du reste. Carl avait suivi cette éducation, qui se heurtait toutefois à sa nature profonde, et toutes les expériences et traitements à la clinique n’avaient pas permis de lutter contre ses pulsions profondes. Bien sûr qu’il aimait les femmes, mais il aimait aussi les hommes, et il aimait aussi l’idée de se faire dominer. Et voilà que tout ce que son père représentait volait en éclats. L’avait-on drogué ? C’était probable, mais, vu la manière dont son père bandait, il ne semblait pas détester ça…

Carl déglutit quand les deux femmes évoquèrent l’idée de le sodomiser. En les voyant, Kelly leur sourit doucement. La famille de Carl était réunie au grand complet, unie dans le stupre, dans une luxure obscène et profonde. C’était un véritable cercle vicieux qui était en train de s’installer, et la famille de Dale ne serait plus jamais la même ensuite. Cependant, Joana proposa que Bobbie s’attaque au petit cul de Carl, alors qu’elle-même avait enfilé un vibromasseur très attirant. Bobbie réfléchit donc à sa proposition, se pinçant les lèvres, tandis que Carl, les joues écrevisses, devait bien admettre, en son for intérieur, que tout ça le tentait fortement.

« Mais… Maîtresses… »

Bobbie acheva sa réflexion en souriant alors, et retira le plug anal du jeune homme. La Futanari était bien excitée, et n’allait pas revenir sur cette proposition.

« Désolée, Joana, mais, puisque tu m’offres ce joli cul, je compte bien en profiter… »

Les parois anales de Carl étaient bien dilatées par l’effet de ce plug, et le jeune homme se dandinait sur place. Bobbie lui ordonna de se redresser un peu. Carl se roidit sur place quand il sentit la verge de la femme, de sa Maîtresse… Sa Maîtresse. Il se pinça les lèvres à cette idée, sentant sa queue se durcir furieusement sous sa cage de chasteté. Bobbie frotta sa queue sur son fondement, glissant sur sa croupe, et se retourna alors vers Joana.

Elle sentait bien que celle-ci était impatiente d’utiliser son vibromasseur, et lui sourit alors.

« Qu’est-ce que tu attends, ma chérie ? Ne me dis pas que mon cul ne t’attire pas. Viens me sodomiser, ma belle… »

Bobbie se pinça doucement les lèvres, et commença ensuite doucement à sodomiser le beau Carl…

Après quelques instants de réflexion, Bobbie décida que sa femme avait raison, et elle prit donc la responsabilité d’être la première sodomie de Carl. Joana regarda avec excitation sa femme ôter le plug anal de leur soumis et se mettre à quatre pattes en suivant ses instructions. La futa vint frotter son membre sur son fondement, et elle demanda à sa chérie de venir la sodomiser à son tour pendant qu’elle s’occupait de leur petit chien.

« Oohh... mon amour... »

Joana était trop excitée pour réfléchir, elle vint juste se mettre dans le dos de Bobbie, qui avait commencé à enculer Carl, et elle lui mit une claque sur la fesse droite.

« C’est vrai que ton cul m’attire... mais en même temps... aaahhh... il attirerait n’importe qui. »

La blonde savait que sa femme et elle étaient très regardées en public. Elle avait souvent surpris des hommes et des femmes les reluquer dans la rue, en particulier leurs seins ou leurs fesses, et parfois quelques regards curieux vers l’entrejambe de sa femme. Forcément, dans une ville où toutes les femmes sont des gravures de mode, les regards vagabondent facilement. L’une des choses qu’il allait d’ailleurs falloir changer à Stepford, d’ailleurs, était le fait que ces regards n’allaient jamais plus loin. Dans leur nouveau monde, chaque femme sera libre de regarder les autres femmes et, si elles sont toutes les deux d’accord, d’aller plus loin. Plus jamais des concepts archaïques comme la monogamie ou la morale sexuelle ne viendraient se mettre sur le chemin du désir.

Joana caressa allègrement les fesses de sa femme, se léchant les babines devant ces deux belles bosses fermes, elle s’amusa même à s’astiquer un peu le gode en regardant ce fessier remuer au rythme de la sodomie. Elle aurait pu rester longtemps comme ça, à se laisser hypnotiser par les mouvements envoutants de ce joli derrière, mais elle préférait de loin aller le visiter elle-même. Elle écarta donc les fesses de sa chère et tendre et vint y enfoncer son gode.

« Aaahhh... ooouuuiii... »

Il ne lui fallut pas longtemps avant de se caler sur les mouvements de bassin de sa femme, et elles se mirent à bouger ensemble. Carl devait sûrement le sentir car Joana accompagnait les mouvements de Bobbie, et quand elle se logeait en elle, elle lui donnait plus d’élan pour aller plus profondément dans le cul de leur soumis. Cette combinaison promettait une expérience redoutable.

Bobbie savait qu’elle était en train de priver sa femme d’un magnifique mets. Elle tenait sûrement beaucoup à l’idée de sodomiser ce jeune puceau, ce délicieux vierge… Mais Joana avait tendu la perche, en proposant à Bobbie de le sodomiser. Si elle ne s’était pas proposée, Bobbie l’aurait laissé faire ! Mais l’idée d’enculer Carl pour la première fois, de goûter à ce fondement propre et pur, était aussi excitante que l’idée de voir Joana baiser ce cul. Cependant, ce n’était que partie remise, car, bientôt, Joana enfilerait de jeunes vierges. Leur priorité serait de s’emparer du contrôle de Stepford Lake Lodge, et, ensuite, Bobbie pourrait s’amuser à voir sa belle Joana enfiler les patients ! Mais, pour l’heure, elle offrait à Joana un lot de substitution qui manqua la faire défaillir : son propre cul !

Un joli cul bien excitant que Joana se mit à palper, tandis que Carl se tortillait sur place. Il avait une furieuse érection, et Bobbie croisa le regard de Kelly. Les deux femmes sourirent doucement, et, du doigt, Kelly fit signe à Tara de se rapprocher. La jeune assistante rejoignit le trio, et s’agenouilla à côté de Carl, puis caressa doucement son visage. Sa main glissa sur ses cheveux, et, avec l’autre, elle releva son visage.

« Observe donc ton père, Carl, regarde comme il est heureux… »

Carl soupira lentement. Bobbie se voyait un peu comme la sauveteuse de l’Amérique. Le pays était en train de sombrer, de se déchirer en deux. Pour elle, c’était le prix à payer quand on laissait les hommes diriger le pays. Ils étaient incapables d’avoir une vue d’ensemble, réfléchissant toujours avec ce concept préhistorique et ridicule de virilité. Bobbie soupira donc, heureuse de voir son plan avancer, et effleura le fondement de Carl.

« Haann… Maî-Maîtresse, je… J’ai tellement chaud, haaa… »

Tara fourra un doigt dans sa bouche, incitant Carl à le sucer.

« Tu es si beau, mon chéri ! commenta Zoey en regardant son fils. Si tu savais comme je t’envie, hmmm… Que Maîtresse Bobbie soit la première à goûter à ta verge est un immense honneur !
-  Hmmm… »

La famille sombrait doucement dans la luxure la plus profonde. Pour Bobbie, c’était un pur régal, et elle commença donc son office. Très rapidement, elle sentit la résistance du petit cul serré de Carl, qui se crispa sur sa queue. Les mains de Bobbie se crispèrent sur les fesses du jeune homme, et elle trembla sur place, avant de sentir sa femme se presser contre elle. Joana la sodomisa plus facilement que sur Carl, et Bobbie se pinça les lèvres, griffant également le cul de Carl. La jeune Futanari grogna donc, et accéléra encore, s’enfonçant plus profondément dans le cul de Carl.

Elle soupira de plaisir, et se pinça les lèvres, continuant à remuer.

« Gnnnn… Quel cul serré, Carl ! Han, quel pied, mon chéri ! »

Bobbie était en train de s’extasier sur place. Sodomiser Carl était une véritable épreuve, ce cul était douloureux, mais c’était aussi, parallèlement, une sensation exquise, terriblement jouissive !

Contrairement à Bobbie, qui devait avoir un peu de mal à enfoncer son sexe dans le fondement de Carl vu comme il était étroit et sa queue épaisse, Joana prenait réellement son pied à visiter le cul de sa femme avec son gode-ceinture. Et pourtant, elle enviait la situation de sa femme. Être la première à visiter le fondement d’un amant, ce devait sûrement être une sensation incroyable. Elle avait préféré lui laisser cette chance car elle voulait que leur soumis ait droit à la meilleure expérience possible pour ses débuts, ce qui l’aiderait à mieux accepter tous les changements qui allaient bousculer sa vie dans les prochaines semaines. Le simple fait d’avoir vu ses parents en pleine extase sexuelle avait déjà dû bien le marquer.

« Aaahhh... ma chérie... hhhmmm... enfonce toi profondément... dilate-moi ce petit cul... ooohhh... prépare-le bien. »

Joana comptait bien aller s’occuper du fondement de Carl une fois qu’il aurait reçu sa première décharge de sperme et qu’il aurait joui. La sodomie allait devenir une habitude pour lui, son cul serait fréquemment visité par le couple Eberhart, et peut-être aussi par Jessica. Mieux valait limiter son nombre de partenaires tant qu’il n’était pas pleinement à l’aise.

L’expérience du plaisir fut longue pour Carl, qui eut le temps de jouir trois fois avant que Bobbie ne finisse par atteindre l’orgasme, expulsant une belle quantité de foutre dans son petit cul. La futa, satisfaite de ce moment, se délogea ensuite de ce fondement encore un peu serré et lui donna une claque sur la croupe. Il était désormais offert à Joana, mais cette dernière ne voulut pas lui prendre les fesses tout de suite. Elle vint plutôt s’asseoir en tailleur devant lui et lui montra son chibre en plastique.

« Tu as un petit cul encore étroit Carl. Lubrifie un peu mon gode avec ta salive, et ensuite j’irai m’occuper de tes petites fesses. »

La femme se régalait à voir cet adorable soumis à quatre pattes devant elle, sa bouche entourant son sextoy, l’avalant avec envie. En plus de l’observer lui, elle pouvait aussi observer son père, Dave, occupé à lécher les jambes de Kelly tandis que sa femme lui remplissait l’anus avec un gode-ceinture. Sa chute avait sans aucun doute joué un rôle dans le fait que son fils commençait à se mettre vraiment dans son nouveau rôle.

C’est là la place des hommes : à genoux devant les femmes, nous remerciant pour tout ce que nous leur avons offert. Le patriarcat va tomber, un mâle après l’autre, et au final, nous aurons un monde apaisé et rempli d’amour.

Une fois que Carl eut fini de bien pomper le gode de Joana, cette dernière alla se mettre dans son dos. Elle enfonça son index dans sa porte arrière.

« Hhhmmm... tu es encore serré... et je sens le sperme de ma femme. Ca va être... oohh... merveilleux. »

Pas aussi bon que si elle avait été la première à visiter ce petit cul, mais elle allait quand même s’éclater. Elle écarta les fesses de son amant et y enfonça son gode-ceinture, avançant progressivement jusqu’à arriver au fond. Une fois bien installée, elle fit signe à sa femme.

« Et alors ma chérie... aaahhh... tu ne viens pas t’occuper de mon derrière ? »

Elle l’avait fait pour elle, elle pouvait bien lui rendre la pareille.

Carl et Dale étaient les premiers prototypes du futur homo sapiens de Stepford, le prototype d’un homme expurgé de sa virilité, expurgé de cette  masculinité déplacée et destructrice. Jadis, les sociétés primitives honoraient les femmes, elles étaient matriarcales, appréciant la femme qui était porteuse de vie. Bobbie souhaitait revenir à cette vision ancestrale saine, celle où les hommes se sacrifiaient pour les femmes. Ils étaient alors plus heureux, et c’était à ce mode de vie que Bobbie souhaitait revenir. Elle ne tarda pas à inonder le cul de Carl, et le jeune homme eut un nouvel orgasme, répandant son sperme sur le sol, mais aussi sur son corps. Il tremblait nerveusement, et, quand Bobbie se retira, Carl couina sur place. Il se tortilla lentement sur place. Ses parois anales étaient joyeusement dilatées, et un air neuf filait contre son postérieur, glissant sur l’intérieur de son corps. C’était extrêmement excitant,  et il n’était plus en état de se retenir, ou de feindre de dissimuler son propre plaisir. Bobbie lui ébouriffa les cheveux, et attendit que Joana délaisse sa belle bouche pour qu’il vienne nettoyer sa queue.

« Lèche ma verge, petit Carl… Sois un bon petit chien !
-  Hnnn-hnnn… »

Sa verge se raidit encore quand Joana s’enfonça en lui, et il gémit brièvement, avant de lécher sa queue. Bobbie tirait sur ses cheveux, redressant ainsi sa tête, et sourit doucement, laissant la langue de Carl jouer maladroitement sur sa verge, la nettoyant approximativement. Joana était de plus en train de bourrer le jeune homme, l’empêchant de mener à bien sa succion. Bobbie finit par relâcher son visage, et rejoignit Joana. Elle se déplaça lentement, et alla dans le dos de sa femme.

Zoey rejoignit alors le trio, et s’assit devant son fils, à côté de lui. Elle caressa doucement son visage d’une main, glissant sur ses cheveux, et l’autre caressa sa joue et ses lèvres, fourrant un pouce dans sa bouche que le jeune homme se mit à sucer doucement. Carl était très excité, il pouvait enfin accomplir ce qu’il était, et s’épanouir pleinement dans la soumission. C’était tout simplement exquis ! Carl admettait désormais beaucoup plus facilement sa condition, et Bobbie se pinça les lèvres en se glissant dans le dos de sa femme.

« Oui, il est absolument parfait, mon amour… Notre bon petit chien… »

Sa queue glissa contre le cul de sa femme, tendue et excitante. C’est tout naturellement qu’elle alla la pénétrer à nouveau, grognant doucement en sentant le délicieux cul de sa femme. Elle déplaça ses mains, venant s’appuyer sur ses seins, qu’elle pinça à hauteur de ses tétons, et grogna contre elle, écrasant son corps contre le sien. Puis, lentement, Bobbie commença à remuer, filant d’avant en arrière,  s’enfonçant en elle.

« Pu-Putain, ce que j’aime ça… Ton cul serré, hmmm… !! »

Tout en grognant lentement, Bobbie alla l’embrasser dans le creux du cou, léchant sa peau, et continua son office, très heureuse de s’unifier avec sa femme, et de lui offrir ce magnifique soumis comme cadeau, et comme promesse d’un futur meilleur pour leur ville !

Tandis que Joana prenait Carl avec plaisir, ce dernier était aussi occupé avec Bobbie, qui lui ordonna de nettoyer sa queue. Et pour compléter le tableau, Zoey vint se joindre à la bande pour caresser le visage de son fils, glissant son pouce dans sa bouche, se réjouissant de le voir en train de s’épanouir dans la soumission avec leurs maîtresses.

Joana sentit ensuite Bobbie passer dans son dos, frottant sa verge contre son cul. Elle n’eut pas à attendre bien longtemps pour la sentir la pénétrer, ses mains s’appuyant sur ses seins, qu’elle pinça à hauteur de ses tétons, son corps s’écrasant contre son dos.

« Aaahhh... oui ma chérie... c’est comme ça que je l’aime. »

Le sexe gentillet et délicat, c’était bon pour les adolescentes. Le couple Eberhart aimait le sexe quand il était physique et un peu douloureux, cela faisait ressortir la puissance de la jouissance. Elles étaient déjà comme ça avant d’arriver à Stepford, et elles l’appréciaient encore plus depuis leur transformation. Avec sa femme la baisant joyeusement, la blonde ne pouvait qu’être plus motivée à s’occuper du petit cul de leur chien, qui couinait comme un fou quand sa mère ne s’amusait pas à mettre ses doigts dans sa bouche.

C’est bien Zoey... montre à ton fils qui commande.

Carl était sûrement un enfant obéissant avant, mais son père avait sûrement toujours eu le dernier mot dans son éducation. A présent, c’était sa mère qui allait porter la culotte à la maison, comme cela aurait toujours dû être. Joana se fichait bien de ce qu’elle allait faire de son mari, mais elle allait être très attentive à l’éducation qu’elle allait donner à son fils à partir de maintenant. Il allait falloir l’accompagner pour qu’il adopte de plus en plus son attitude de soumis pour, à terme, le convaincre de devenir une femme grâce à la technologie de Stepford. Ce petite chien allait être leur premier sujet de test pour voir s’il était possible de soumettre suffisamment un homme pour qu’il devienne une femme de son plein gré. En effet, la femme de Stepford préférait l’idée que cette conversion se fasse avec l’accord des intéressés plutôt que de les forcer. Pour elle, il n’y avait pas d’avenir pour leur monde de rêve si elles le bâtissaient sur la contrainte. Bien sûr il y aurait quelques cous à tordre, mais elle espérait que dans l’ensemble, les choses se feraient sans qu’elle ait à forcer trop de monde.

Très vite, Joana se cala sur le rythme des coups de butoir de sa femme pour sodomiser Carl, le tenant fermement par les hanches.

« Ah... aaahhh... tu es content mon beau ? Tu es heureux que tout le monde... ooohhh... s’occupe si bien de toi ? »

Deux maîtresses et une maman, toutes pleines d’attention pour lui... Carl allait vite comprendre pourquoi, en tant qu’homme, il se devait de rendre hommage aux femmes de son entourage.