The Multiversity

Devoir faire l'amour à Felicia, c'était un bon exercice pour le moment. Doutzen allait devoir compter que sur son ouïe pour savoir ce qui se passait à côté d'elle. Aoki n'avait rien contre cette pratique, elle a déjà goûter à ça plusieurs fois, que ce soit en écoutant Felicia se faire plaisir seule de bien des façons ou d'écouter sa partenaire faire l'amour avec Black Widow – entre autres -, ça cultivait son imagination sur ce qu'elle pouvait entendre. Et après, Aoki était déchaînée à faire l'amour avec elles. Autant dire que quand elles allaient libérer la petite, elle allait avoir une folle envie de sentir leurs corps s'occuper du sien. En attendant que cela arrive, car elle comptait lui ôter certaines choses au fil des orgasmes d'Aoki, Felicia venait contre elle, l'embrasser en caressant son cul. Une partie que la Black Cat raffolait tant, surtout depuis qu'elle était membrée.

Prenant place sur le lit, comme elle le souhaitait, la Black Cat décida de pimenter la chose en faisant appel aux autres personnes habitants ici. Une nuée de chats arriva à elle une fois ses seins saupoudré de cette petite chose qu'ils raffolaient tant. C'était plus ou moins de la zoophilie, mais ça ne dérangeait aucunement Aoki. Elle a déjà fait pire avec des animaux. C'était une des premières choses qu'elle a avouer à sa compagne actuelle après avoir franchit le cap. Oui, il lui était arrivée d'être littéralement une chienne, laissant son chien venir lui grimper dessus et s'occuper d'elle. Certes, la première fois, elle était bourré, écroulé à moitié au sol et sur son lit et elle avait appris à ses dépends ce qui s'était passé et c'était bien avant d'avoir connue Felicia. Mais la curiosité l'avait emporté et elle avait recommencer, consciente. Une fois... ou deux. Ce n'est pas qu'elle adorait ou qu'elle détestait, c'est juste... elle ne savait pas, parfois elle n'osait même pas y repenser et parfois... pourquoi pas. Alors avoir des chats user de leur petite langue sur ses seins, c'était gentil encore.

« Haaaaan ! Vilaine chatte... Huuuum, ça t'excite, hein ? Huuum, de les voir... me lécher comme ça... »

Aoki se mordait la lèvre inférieure en tenant Felicia du regard. Un regard de braise qu'elle espérait transmettre à sa belle chatte. Un feu intérieur à partager. Les bras relevés au-dessus de la tête, elle était là, offerte à sa partenaire habillée de ce cuir noir et si sexy, se laissant prendre par elle, pendant que sa poitrine se faisait harceler par cette bande de chat droguée à sa petite poudre. Oui, une sorte de coke pour chat. Rien de plus qu'une sorte d'herbe à chat en pourdre, mais le fait est, qu'elle sentait leur petite langue râpeuse sur ses seins, sur ses mamelons tout dur, pendant que Felicia l'observait. Elle tourna rapidement la tête, voir comment s'en sortait Doutzen, mais à part quelques gémissements et sa tête qui bougeait un peu, rien de spécial. Ce n'était que le début et sa situation ne pouvait donc pas s'améliorer – ou empirer, ça dépend du point du vue – tant qu'elle ne prenait pas son pied une – nouvelle – première fois.

« Hmmm haaaan... j'espère que tu prendras exemple sur eux... hum, après.... Han... J'aime la sentir entre mes jambes... mais j'aime, mmh, sentir aussi... ta petite langue de chatte... »

Oui, Aoki adorait sa belle et longue verge greffé juste pour elle, en son honneur même ! Mais depuis, Felicia oubliait qu'Aoki était tombée amoureuse d'elle en tant que femme avant tout. Sentir ses doigts passer dessus, sa langue... sa petite chatte aussi. Elle avait adoré autant qu'elle aime ce qui se passe récemment, toutes les choses partager avec sa partenaire. Bien que cela ne faisait que commencer pour Doutzen, il fallait bien faire travailler son imagination, tout comme ce fut le cas pour elle avant. Observant Felicia avec un regard malicieux, elle souriait en espérant que Doutzen allait bien entendre ça.

« Vas-y plus fort... Je veux voir ta grosse bite me déformer l'entrejambe... han, une belle bosse qui grossit en moi... »

Il fallait être sévèrement membrée pour voir une telle chose, mais ce n'était pas impossible là. Si sa queue était bien dure, en poussant un peu, en jouant avec elle, Aoki pourrait voir une petite bosse à mi-chemin entre l'entrée de son entrejambe et son nombril. Si Doutzen imaginait cela, ça donnerait quoi ? Le genre de scène que l'on ne pourrait voir qu'en représenter en dessin ? Comme si Felicia avait une queue aussi grosse et énorme que celle d'un géant ? Aoki ne pouvait pas savoir ce qu'elle allait imaginer, mais elle pouvait au moins diriger plus ou moins ses pensées salaces.

Félicia et Aoki pouvaient faire l’amour doucement, de manière exclusivement féminine… Mais cela finissait presque toujours par déraper, tant elles étaient gourmandes toutes les deux. Aoki avait avoué à Félicia un penchant pour la zoophilie, et cela n’était pas tombée dans l’oreille d’une sourde. Félicia était très chat, mais, pour l’occasion, elle avait aussi acheté un chien, Rex. D’aucuns auraient pu trouver cela ignoble et immoral, mais elle avait formé Rex pour qu’ils fassent l’amour aux deux femmes. Allait-elle sortir Rex ce soir ? Vu comment elles étaient parties, l’idée la tentait de plus en plus… Ses chats titillaient les seins d’Aoki, léchant avec impatience ses tétons. En soir, l’attirance sexuelle des animaux de Félicia s’expliquait, selon elle, par ses phéromones. Elle avait constaté cela dès New York, quand ses chats venaient la lécher intimement au réveil. Elle n’avait pas besoin de leur ordonner quoi que ce soit, et ils agissaient d’eux-mêmes, spontanément, venant s’attaquer à ses zones intimes, la faisant jouir à son réveil. Avec le temps, Félicia avait compris qu’elle ne pouvait pas lutter contre ses phéromones, et elle avait donc accepté cette situation, aussi bizarre soit-elle.

« Oh, ma belle Aoki, tu es si gourmande… »

Toujours assise, Doutzen soupirait lentement, se dandinant sur place. Elle avait entendu les miaulements, de petits cris silencieux témoignant d’une excitation fébrile dans la place. L’idée d’inclure des animaux sembla exciter encore plus Doutzen, qui commençait à joyeusement mouiller. Elle n’arrivait plus à réfléchir calmement, car un frisson d’excitation fébrile la traversait de part en part, remontant dans tout son corps.

*Elles sont vraiment insatiables, c’est incroyable…*

Sa Maîtresse demanda alors à Hardy-sama de faire gonfler sa queue, de… De former « une belle bosse ». Debout devant elle, Félicia attrapa les cuisses d’Aoki, et les écarta, tout en donnant des coups de reins de plus en plus puissants et profonds. Elle souriait malicieusement, une lueur perverse dans le blanc des yeux, et donna une bourrade supplémentaire, avant de se concentrer. C’était une verge magique, après tout, et, pendant ce temps, elle utilisait à fond les capacités athlétiques et élastiques du corps d’Aoki. L’une de ses jambes se redressait lentement, pour se tendre à l’extrême vers le haut, remontant ainsi petit à petit vers le visage d’Aoki. Une position de grand écart très intense.

« Hnnn… Petite salope, haaaa… Nous avons dépassé le stade des léchouilles, ma Aoki… Maintenant, je te baise comme une chienne en rut ! »

Elle gifla ses hanches, tandis que sa main prenait appui sur la jambe tendue d’Aoki. L’une était posée sur le lit, légèrement redressée à hauteur du genou, mais l’autre partait vers la tête d’Aoki. Celle-ci posa sa main sur sa propre jambe, et, en abaissant sa main, elle pouvait embrasser sa jambe. Une souplesse à toute épreuve, rendue possible par son passé de gymnaste, et par ses formations au sein du S.H.I.E.L.D. Félicia appuya encore, et se concentra donc. Ses ongles se transformèrent en griffes quand elle commença à gonfler sa queue, la durcissant dans la chatte d’Aoki. Celle-ci se tordit sur place, et Félicia grogna encore, se pinçant les lèvres, voyant une bosse se former à hauteur du bassin d’Aoki.

Une véritable déformation de l’estomac, sa queue semblant encore s’étirer, tapant contre le col de l’utérus. Aoki n’avait même plus la force de hurler, poussant de longs soupirs, et la Chatte Noire grogna encore, venant la pénétrer ainsi, durement, soupirant encore. Ses joues rougissaient furieusement, et elle poursuivait son effort, n’épargnant tout simplement rien à sa belle Aoki.

Et Doutzen, elle, commençait à avoir tous ses sens en chaleur en entendant le claquement des corps, et le grincement du lit…

Ce qui se passait ce soir n'était pas si étonnant que ça. Certes, d'habitude elles sont souvent que deux, ou parfois il y a des invités mais qu'elles connaissaient un minimum toutes les deux et habituée à cette débauche de leurs parts. Harley et Ivy, Natalia, Daisy, oui, souvent des amies de Felicia mais Aoki s'en fichait, elle les aimaient bien. Mais ce soir, c'était elle qui avait ammener une invitée qui ne connaissait pas encore ce côté de sa maîtresse ainsi que de son professeur. Elle se faisait baiser joyeusement, laissant cette belle femme profiter de son corps, lui faire autant de bien que de mal, si cela pouvait permettre à cette belle queue de jouir en elle, alors d'accord. Aoki avait vécu étant enfant comme bon nombre d'enfant modèle suivant à la lettre les ordres parentals. Bonne élève, bonne dans tout ce qu'elle entreprenais, elle n'avait pas le temps pour les histoires d'amours puis le sexe. Cela lui était arrivée tardivement, à la fac. C'est aussi pour ça que depuis qu'elle était indépendante, elle se lâchait, n'hésitant pas à côtoyer de près le doux comme le sale.

« Mmmmh, haaaan... Mais tu aimes ça... quand je réclame ta grosse bite. »

Et la vulgarité aussi, oui, ça allait de soit. C'était toujours indispensable, comme le petit sachet de sauce piquante dans les pizzas. Pas obligatoire mais qui rajoutait tellement de saveur. Suivant la demande d'Aoki, elle jouait donc avec son corps, venant soulever une de ses jambes, la levant doucement pour l'abaisser près de sa tête. Les chats ayant commencer à se dispercer, le seul chat restant était la Black Cat. Aoki retenait sa jambe pour laisser plus de faciliter à sa partenaire de mieux la prendre. Elle jetait un regard vers Doutzen qui, évidemment, ne pouvait rien faire d'autre que d'écouter mais elle devait s'imaginer tellement de choses... Elle aurait bien aimé savoir ce qu'elle imaginait quand même. Bref. La queue de la voleuse grandissait un peu en taille et aussi en largeur, rendant la pénétration que plus vigoureuse. Faire un tel effort faisait remonter le côté chat sauvage de Felicia et Aoki n'avait rien contre ça. Combien de draps à telle déchirée lors d'un acte si intensse qu'on aurait pu croire que Aoki avait passer la nuit avec Wolverine ?

« Haaaaaan ! Plus fort, vas-yyyyy.... Haaaaaaan ! P-par contre... je me dois d-de... te corriger... »

Certes, afin de parler, l'acte était nettement moins intensse mais c'était aussi fait pour la corriger que la titiller. Aoki était soumise mais faire sa madame-je-sais-tout, eh bien, peu de perosnne n'aime ça. Mais bon, ça pouvait peut-être l'agacer dans le bon sens. Puis Doutzen était là pour apprendre, non ?

« Les chiennes... sont en chaleur... Han... les mâles... en rut... Alors c'est toi... Mmmh, qui est... en rut... »

Valable avec tout les animaux. Mais bien qu'elle ne le précisait pas, elle était en chaleur, toujours quand venait le soir et que Felicia n'était pas parti gambader pour se remplir les poches. Même quand cela arrivait, au retour, ça finissait comme ça, sauf qu'il y avait parfois des bijoux dans le lit, donner un côté plus luxueux à cette petite baise. Rarement des liasses de billets, de nos jours, les vols d'argents se font électroniquement après tout. Une de ses mains allait sur son ventre, caressant la petite bosse. Elle touchait son ventre mais sous plusieurs couches de chair, il y avait le gland de sa chérie...

« Haaaaan ! Haaaaaaaaan ! Encore, encore ! Mmmmmh, ouiiiiii, lààààà.... Han ! C'est t-toi... la meilleure... mmmmh, haaaan ! Personne ne m'a BAISER comme toi !!! Haaaaaan, jamaiiiiis ! »

Aoki en rajoutait un peu plus que d'habitude, non pas que c'était surjoué ou utile de le dire mais il fallait bien faire travailler les méninges de la petite Doutzen. En tout cas, elle savait ce qu'elle ferait après avoir jouit... Retirer son baillon, qu'elle puisse entendre sa petite poupée gémir. Oui, elle allait garder les yeux bandés car elle devait travailler son imagination et le vibro, car sans, ce serait moins amusant.

« Remplis-moi la haaaaan... la CHATTE !!!! Et après... mmmh, ta intérêt... à ha... être en forme... Car tu vas m-me remplir, mmh, le Cul ! Non... Me Défoncer le cul ! »

Un programme alléchant pour sa chérie, une délicieuse station de radio pour Doutzen. Mais pas maintenant, Aoki n'avait pas encore jouit même si ça pouvait vite arriver.

Doutzen était peu à peu en train de réaliser que l’absence de vision était un véritable piège. Attachée sur le fauteuil, le corps immobilisé par les cordes, incapable de parler, ses oreilles s’abreuvaient des hurlements frénétiques de sa Maîtresse, des soupirs et des longs gémissements des deux femmes. C’était un spectacle rare, terriblement excitant. Se crispant sur place, Doutzen poussait de faibles soupirs, étouffés par le gag ball sur ses lèvres. Elle était en train de saliver, peinant à croire que tout cela était bien réel. Elles devaient faire l’amour depuis des heures… D’où tenaient-elles une telle force, une telle endurance ? Cette force s’expliquait chez Félicia, car elle était une mutante, mais, chez Aoki… En réalité, Félicia s’était souvent demandée si Aoki ne disposait pas de pouvoirs surnaturels inconscients liés au sexe, car son endurance était assez surréaliste. Mais, d’un autre côté, il suffisait de consulter le Guinness Book des records sexuels pour voir des centaines d’Aoki, page par page. Alors, peut-être que Félicia était juste tombée sur la bonne personne…

En tout cas, la partie de sexe était terriblement intense. Félicia prenait énergiquement sa partenaire, qui en oubliait la présence des chats. Doutzen put en tout cas en sentir deux de se frotter contre ses jambes, ce qui la fit rougir. Elle remua encore, assez faiblement. Les cordes l’immobilisaient plutôt bien, et elle imaginait la scène dans son esprit, mouillant contre ses cuisses. Aoki, elle, hurlait de plaisir, tandis que Félicia la mettait à la limite de sa résistance. Sa queue avait bien gonflé, mais la Chatte Noire semblait comme possédée, adoptant une attitude plus féline, plus sauvage…

« Hmmm… Tu… Haaa… Oh, Aoki, hmmm… »

Même parler devenait compliqué pour elle. Elle donnait de grands et profonds coups de reins, s’unissant à sa partenaire, et remonta ses mains. Elle les posa sur ses épaules, griffant souvent ses épaules en sentant des spasmes musculaires la traverser. Aoki faisait preuve d’une souplesse étonnante, d’une endurance exceptionnelle…

« Tu fais trop de bruits, ma belle, haaaa… Shtttt… ! »

Elle posa alors ses mains sur son cou, et se mit à serrer, étranglant sa partenaire, tout en continuant à la pénétrer énergiquement. Aoki se mit à gémir plus faiblement. La strangulation sexuelle, un autre sport sexuel très intense, mais que Félicia et Aoki pratiquaient tout autant que le reste.

« J’aime tant t’étrangler en te baisant comme ça, Aoki, ma petite salope.. Tu te crois maligne en me donnant des cours d’orthographe, hm ? Petite catin, infatigable salope ! »

Puisqu’elles avaient un public, Félicia pouvait se lâcher. Elle le faisait donc énergiquement, et continua à la prendre, jusqu’à ce que, au bout de plusieurs minutes, les deux femmes ne finissent par jouir. Félicia se relâcha joyeusement dans la chatte d’Aoki, se libérant en elle. Un orgasme foudroyant, qui la fit partir. Elle relâcha le cou d’Aoki, et posa ses mains sur les hanches de sa belle, continuant à balancer des giclées de sperme.

Félicia se calma progressivement, et papillonna des yeux. Le silence s’instaura dans la pièce, uniquement rompu par les soupirs de Doutzen.

« Hmmm… Je y’avais presque oublié, Doutz’-chan. »

Une provocation, bien sûr. Félicia aida Aoki à se redresser, et se lova contre elle, l’embrassant dans le creux du cou. Une touche de douceur, une pointe de tendresse, une courte parenthèse avant de passer aux choses sérieuses.

« Et si tu te mettais contre Doutzen ? Tu pourrais enlever son gag ball, l’embrasser partout, tout en me présentant ton cul… Ta pauvre esclave a l’air d’avoir grand-besoin qu’on s’occupe d’elle… »

C’était une vérité, même si Doutzen ne pouvait pas le dire ! Mais des tremblements nerveux traversaient son corps, ainsi que des gouttes de sueur qui glissaient le long de son visage, témoignant de son excitation, mais aussi de toute sa frustration…

Aoki était une humaine tout ce qu'il y a de plus simple sur Terre. Pas de gêne Mutant en elle, le SHIELD a sûrement pris soin de vérifier son sang lors de ses séances d'entraînement là-bas, en compagnie de Felicia ou Natacha. Mais non, rien de surnaturel chez elle. Pas de pouvoir magique non plus, sinon ça se serait remarqué tôt ou tard, juste une jeune femme, Japonaise qui, une fois adulte à laisser parler son corps et ses désirs après une jeunesse où la découverte de ce monde s'était fait tardivement. Et voilà aujourd'hui un résultat qui n'était pas pour déplaire à sa jolie voleuse. Cette dernière la prenait sans ménagement pendant qu'Aoki se faisait une joie de hurler son plaisir, plus que d'habitude étant donné que Doutzen faisait travailler son imagination en écoutant ce qu'elles fabriquaient ensemble, bien qu'elle savait bien ce qui se passait dans les grosses lignes, elle ignorait précisément comment ça se passait.

« Haaaaaaaaaan Plus foooort !!!! Haaaan oui, Baise-moi, Féli-Nyan, Baise-moi ! »

Une chance que Felicia ai sûrement insonorisé son apparement, car depuis qu'elle a emménagé chez elle, ses voisins auraient bien du mal à dormir avec ce couple peu commun. Même si sa belle Américaine venait à passer ses mains autour de son cou après avoir légèrement abîmé ses épaules, Aoki n'était pas déranger par ça. Ce n'était pas ce qu'elle préférait, loin de là même, mais tant qu'elle ne perdait pas connaissance, ça allait. Puis c'était rare, Felicia était plus tenté par marquer son joli cul avec ses traces de mains ou de griffes plutôt que laisser des marques sur son petit cou. Mais bon, elle la laissait faire, le volume de sa voix étant soudainement plus bas. Heureusement, car pour la provoquer, elle aurait sûrement souligner que ce n'était pas un cours d'orthographe qu'elle venait de donner, mais plutôt de biologie. La vie, le corps, les animaux, rien à voir avec la façon dont s'écrit un mot.

Mais après bien de longues minutes de plaisir encore, l'orgasme venait les libérer, Aoki sentant sa grosse queue venir libérer un elle un torrent de plaisir et la voleuse venait de passer de redoutable panthère à un adorable chaton envieux de câlin. Elle se laissait câliner par elle, partageant un nouveau baiser plein de douceur avec elle en parcourant son corps avec ses mains. Avec tout ça, leur petite Doutzen avait dû jouir, ce qui laissait quelques choix pour elle. Libérer ses yeux ? Sa bouche ? Retirer son sex-toy ? Ou ses mains ? Non, les mains seraient cruelles, elle ne pourrait rien faire. Se caresser la poitrine, c'est tout. Les yeux, plus tard, le but était de faire travailler son imagination. Son sex-toy ? Non, jouir juste en écoutant, sans se stimuler, c'est presque une torture. La bouche était la meilleure option, en effet. Aoki continuais de se trémousser contre le corps de sa belle voleuse en jetant un oeil vers sa petite poupée.

« Oh, ma pauvre chérie... On va te retirer ça, mais avant, il ne faudrait pas oublier une chose importante, ma chérie. Il ne faut pas oublier de la nourrir. »

Aoki se rapprochait, retirant doucement ce qui obstruait sa bouche, venant lécher ses lèvres pour en nettoyer la bave qui coulait même si bien vite, une langue impatiente ne tardait pas à venir chercher sa bouche. Mais Aoki avait parlé de la nourrir. Elle écartait sa bouche de la sienne, grimpant sur le fauteuil en évitant de l'écraser avant d'approcher son entrejambe de sa bouche, lui collant ses autres lèvres contre les siennes.

« Là, ma belle, tu peux prendre toute la crème de Felicia si tu veux... Comme ça, elle pourra me remplir à nouveau sans risque de déborder. »

Ses mains sur sa tête caressaient en se tenant à elle par la même occasion, le temps que la semence coule vers le bas pour sortir de son vagin et couler doucement dans la bouche de Doutzen. Après oui, elle pourra user l'idée de Felicia pour continuer, mais en attendant...

« Avant de m'enculer devant notre poupée, tu pourrais commencer par me lubrifier le cul, non ? »

Sauf si elle préférait se branler en les observant, c'était à elle de voir si elle voulait un peu participer ou non ?

C’était une nuit sans fin. Une nuit où Doutzen réalisait qu’elle n’aurait jamais cru que son corps puisse faire preuve d’une telle endurance, d’une telle résistance. Rien ne semblait devoir vraiment la fatiguer, et, alors que les deux femmes venaient de faire à nouveau l’amour devant elle, elle soupira en les entendant se rapprocher. Doutzen venait effectivement de jouir grâce aux vibromasseurs nichés dans son corps. Elle avait déjà été formée de cette manière par Reto, en étant attachée d’une façon similaire. Son corps avait été travaillé pour être amélioré, pour qu’elle soit plus perverse, pour qu’elle ait un comportement sexuel tendant à une certaine forme de nymphomanie. Aoki avait considérablement amplifié cela, et il ne faisait aucun doute que cette soirée s’inscrirait dans le marbre. Elle avait affaire à deux femmes qui, prises séparément, étaient déjà extrêmement perverses… Alors, quand on les mettait ensemble l’une avec l’autre, leur perversion mutuelle s’harmonisait pour un résultat final époustouflant.

Elle les entendit se rapprocher, et soupira doucement, avant de relever la tête quand les doigts gantés d’Aoki titillèrent son visage. Le gag-ball lui fut retiré, et elle soupira lentement, avant que sa Maîtresse ne l’embrasse. Doutzen gémit à ce simple contact, et sentit tout son corps frissonner. Elle crispa et décrispa ses mains, partageant avec sa Maîtresse un tendre baiser, qui devint onctueux et très sensuel, leurs langues allant se joindre l’une à l’autre.

« Hmmm… »

Puis Aoki se redressa, et s’installa sur le fauteuil. Celui-ci était solide, et Doutzen sentit la main de sa Maîtresse se crisper sur ses cheveux, avant de sentir son bassin contre son nez, puis son sexe trempé contre ses lèvres. Elle soupira une nouvelle fois, et entreprit d’obéir aux ordres d’Aoki, venant lécher son intimité, fourrant sa langue en elle. Doutzen se délectait de ce liquide, ce mélange de sperme et de cyprine qui filai dans sa bouche.

Félicia, de son côté, reprenait aussi ses esprits, et se masturbait lentement. Sa queue avait perdu de sa rigueur, mais ce n’était que passager. Sa transformation en hermaphrodite déclenchait toujours, chez elle, une sorte de force sexuelle, de terrible vigueur qui ne s’éteignait que très difficilement. Cette vigueur fonctionnait au gré de ses orgasmes, comme une sorte de montagne russe qui montrait jusqu’au pic vertigineux avant de redescendre, puis de remonter. La Chatte Noire reprenait donc lentement ses esprits, tout en voyant Aoki remuer doucement son bassin, mettant ainsi en valeur son petit cul.

Un sourire éclaira les lèvres de la Chatte Noire suite à la dernière provocation d’Aoki, et elle se rapprocha ensuite. Félicia posa ses mains sur les fesses d’Aoki, et l’amena à se presser davantage contre la tête de Doutzen, avant de glisser ses pouces  contre sa croupe. Elle écarta chacune de ses fesses l’une de l’autre, et, même si le fondement d’Aoki était déjà très dilaté, elle alla le lécher tendrement, sensuellement.

« Hmmm… »

Sa langue glissa sur sa peau, et elle titilla sa petite porte arrière. Ce traitement était en soi aussi efficace qu’une masturbation, et elle prit donc son temps, se délectant des soupirs de sa belle.

« Tu es vraiment incorrigible… Tu veux que je te sodomise contre Doutzen, hum ? »

Félicia sourit encore, et déposa un nouveau baiser sur les fesses d’Aoki, avant de reprendre son délicieux traitement…

Doutzen venait de se libère d'une des choses qui la maintenait prisonnière. Elle était attachée avec un vibromasseur entre les jambes, en plus d'avoir les yeux bandés. Techniquement, il fallait encore à la demoiselle trois orgasmes pour qu'elle puisse être totalement libéré de ce fauteuil et jouer pleinement avec elles. Mais même dans sa cruauté, Aoki savait être douce et venait donc embrasser sa petite poupée, avant de lui faire lécher sa petite chatte, tout en sentant Félicia venait lui lécher son petit cul le temps de passé à la suite. De quoi faire vite revenir sa gaule bien dure. Mais la sodomie attendra un peu, pour le moment Aoki savourait cette délicate attention d'avoir deux belles langues qui s'occupaient d'elle sous la ceinture. Félicia reprenait des forces et Doutzen avait de quoi étancher sa soif.

« Recule, ma chérie, on va passer à la suite. »

Descendant du fauteuil, elle titillait les lèvres de Doutzen avait ses doigts, s'amusant à la voir si impatiente. Se reculant jusqu'à se blottir contre la Black Cat, elle sentait sa virilité bine dur dans le bas de son dos, se glisser entre ses jambes pendant qu'elle tournait la tête assez pour partager un baiser devant Doutzen qui ne pouvait pas voir ce qui se passait. Elle montait ses lèvres près de l'oreille de Felicia, parlant à voix basse pour ne pas que Doutzen entende ça pour le moment.

« Je crois qu'on a trouvé notre demoiselle d'honneur. »

Le mariage. Un sujet qui avait été rapidement mis sur le terrain après que Felicia lui ait clairement déclaré sa flamme, voulant vivre ensemble. Bien entendu, cela ne sera pas officiel aux yeux de la loi, mais un peu comme Harley et Ivy qui en avaient discuter avec elles, elles aussi vont franchir le cap. Pas faire ça en même temps, non, ce sera d'abord le jour de Pam et Harley puis tard, le leur. Même si la date n'était pas prévue, elle savait que les deux Gothamienne travaillaient dur pour que cela se fasse, tout comme leur projet de famille. Aoki s'en faisait encore un peu, en parler ou non à ses parents, leur présenter Felicia ? Ils étaient vieux jeu donc pas sûr que savoir leur fille lesbienne leur fasse plaisir, surtout une Américaine... Mais l'amour quoi. Prévoir une belle robe de marier pour l'occasion, d'un blanc si pure, prévoir les invités, s'amuser et surtout une des choses les plus tentante, la nuit de noces... Pour le moment, jamais Aoki n'avait parlé d'avoir un bébé, comme leurs amies, mais l'idée ne lui déplairait pas. Mais bon, là encore, elle y allait avec des pincettes étant donné que Félicia avait déjà des enfants qu'elle ne voyait plus, sujet sensible quoi...

« Moi, je pense, qu'elle sera parfaite pour ce rôle, pas toi ? »

Tout se préparait doucement, mais petit à petit, le projet avançait bien. Mais elle fermait cette parenthèse, venant se rapprocher à nouveau de sa poupée, son nez se frottant au sien, Aoki se tenait aux accoudoirs en mettant bien en valeur sa croupe vers Félicia.

« Maintenant, je vais profiter de tes lèvres et de ta petite langue pendant que Félicia m'encule comme sa petite pute d'amour, tu n'as rien contre, Doutz-chan ? »

Elle l'aurait facilement deviner, mais autant lui mettre l'eau à la bouche avant de sceller leurs lèvres ensemble. Félicia n'avait plus qu'à saisir ce délicieux cul qui se balançait et à en remplir ce joli petit trou de tout son amour crémeux.

Doutzen était délicieusement prisonnière de ses deux femmes, une situation exquise pour elle. Se tortillant sur place, elle gémissait lentement, soupirant de plaisir. Sa Maîtresse était là, tout contre elle, l’excitant doucement, la chauffant avec appétit. C’était une scène exquise, pour sûr, qui l’amenait à se tortiller sur place. Elle remuait faiblement sur sa chaise, car elle était après tout immobilisée. On avait commencé à la libérer un peu, mais ses yeux étaient toujours bandés. Elle sentait le souffle de sa Maîtresse contre ses lèvres, et gémit faiblement. Difficile de réfléchir, tant son esprit lui donnait l’impression d’être fragmenté, fracturé, comme si une grenade à défragmentation avait explosé dedans.

« Haaaa… »

Maîtresse Aoki l’embrassa alors, et annonça la couleur. Félicia la gifla alors en entendant ça, et proposa alors quelque chose, tout en récupérant son téléphone portable.

« Je veux que tu l’embrasses, Aoki… Et que vos lèvres restent collées jusqu’à ce que je jouisse dans ton délicieux cul. Tu crois pouvoir faire ça, petite traînée ? »

Elle ponctua cette assertion d’une seconde gifle. Filmer leurs ébats était un grand classique. Félicia adorait le sexe, mais elle envisageait désormais sérieusement de fonder un couple avec Aoki… Tout comme elle envisageait aussi de récupérer ses enfants. Ceux-ci appartenaient toujours à Flash Thompson, mais leur idylle n’avait jamais vraiment tenu. Félicia ignorait qu’elle était très proche de les obtenir, car Flash Thompson était maintenu occupé à voyager dans le Cosmos. Mais, en ce qui concerne Aoki… Leur mariage serait-il le prélude à une famille nombreuse ? Dans la conception japonaise, on se mariait pour avoir des enfants. Et, même si leur mariage ne serait pas reconnu légalement, Félicia réfléchissait déjà à cette hypothèse. Sa queue hermaphrodite était potentiellement capable d’enfanter Aoki, mais cela nécessitait bien des efforts… Des efforts que les deux femmes faisaient à vrai dire assez régulièrement.

Cette idée lui trottait donc dans la tête, et Félicia balaya tout ça en enfonçant sa verge dans le cul d’Aoki. Un délicieux soupir accompagné d’un ronronnement s’échappa de ses lèvres, tandis qu’elle avait, sous les yeux, la vue toujours aussi impeccable du corps d’Aoki. Un corps parfait qui s’étalait langoureusement et sensuellement devant elle. Félicia s’y planta avec plaisir, et le corps d’Aoki, ou, plutôt, son visage, alla s’écraser contre celui de Doutzen.

« Hmmm... »

Ensemble, les deux jeunes femmes partagèrent un baiser qui s’annonçait long, la langue de Doutzen allant jouer avec celle d’Aoki.

Était-il nécessaire de préciser que, à ce stade, l’intimité de Doutzen mouillait doucement ?

Aoki n'avait pas honte en compagnie de Félicia, si faire l'amour de la sorte lui faisait plaisir, elle le faisait sans hésiter, livrée à ses amies qui profitaient de son corps, attachée pendant que Rex enfonçait sa queue dans son cul, servant de chiotte pendant que sa belle lui pissait dans la bouche et sur son corps, elle n'avait pas honte. Alors vouloir filmer ça, elle était gentille encore. Cela restait dans le privé même si elle se doutait bien que leurs petits films arrivassent parfois sur le portable de Pamela Isley sinon pourquoi les deux leur envoyaient elles aussi leurs petites photos ou petits films ? Aoki se fichait bien de cela, même si cela était un éternel combat, car après avoir vu leurs vidéos, ça les motivaient à en faire autant et ça ne se terminait jamais. Sentant les mains de sa belle gifler son cul pour ponctuer ses phrases, elle gémissait en prenant grand soin de bien remuer sa belle paire de fesses sous les yeux de la Black Cat.

« Mmmh, pour qui me prends-tu ? N'oublie pas que je suis ta petite salope... embrasser Doutz-chan sera un jeu d'enfant. »

La Japonaise n'attendait même pas le début de la pénétration, elle allait embrasser Doutzen, un délicieux baiser vorace, ponctuer d'un délicieux couinement quand Felicia venait enfin faire entrer sa longue queue dans son petit cul. Sans en attendre plus, elle venait déjà donner le rythme en prenant son cul sans lésiner sur sa force, faisant parfois qu'Aoki se cognait contre elle, mais ce n'était pas grave. Ses lèvres restaient collées à celles de la belle esclave pendant que sa partenaire était en train de s'occuper de son cul, sentant parfois une main s'abattre dessus, ce qui ralentissait le baiser le temps de gémir et de mieux remuer son cul pour elle. Faut dire que Felicia aimait son cul, et Aoki aimait la rendre folle alors, elles se complétaient bien.

« Mmmmmmh !!!! »

Aoki écartait comme elle pouvait les jambes, sentant mieux sa queue filer en elle et de plus, elle sentait aussi sa petite intimité mouillée, sentant de petites gouttes tombé au sol pendant cela. Est-ce que Doutzen mouillaient beaucoup ? Elle l'ignorait pour le moment, elle se tenait trop aux accoudoirs pour toucher et voir où elle en était. Mais ça lui faisait au moins une petite surprise. Aoki brûlait d'e,vie de parler, pour mieux excitée ses deux beautés, mais elle savait que le jeu était sérieux avec Felicia, et même si c'est pour mieux l'exciter, elle pourrait la punir pour ça. C'est peut-être ce qu'elle recherche cela dit... Mais Aoki ne se fera pas avoir si facilement, pas tout de suite en tout cas. Elle allait attendre qu'elle remplisse son cul avant de savoir faire parler sa langue pour mieux exciter Felicia. Entre temps, elle devra peut-être retirer quelques choses à Doutzen, mais quoi ? Son bandeau sur les yeux ? Ses mains ? Pas son vibro en tout cas, ce serait pénible pour elle se subir tout ça sans pouvoir se soulager.

« Mmmmmmh ! Mmmmmmm-mmmmmmh ! »

Aoki continuait de l'embrasser, se montrant passionné dans ce baiser, mais elle n'était pas la seule vue comment Doutzen lui rendait si bien la pareille. Felicia risquait d'avoir deux belles salopes à calmer quand elle sera libre.

Doutzen était aux anges. Ce moment, c’était sa période de « repos » à elle. Elle reprenait des forces, et, pour s’assurer qu’elle soit bien motivée ensuite, ses deux Maîtresses jouaient sur sa frustration. C’était vil, mais en même temps savoureux. Et, surtout, ça marchait ! Doutzen sentait des frissons remonter entre ses cuisses, tandis qu’elle partageait avec Aoki un baiser interminable. Les ordres de Félicia étaient très clairs, après tout, et Aoki embrassait divinement bien. Doutzen se rappela qu’elle avait déjà eu l’occasion de l’embrasser longuement, parfois pendant plus de dix minutes quand Aoki veillait à sa formation. Sa Maîtresse pouvait se montrer aussi cruelle que douce, aussi aimante que violente.

« Hmmm… »

Tout ce que Doutzen avait à faire, c’était savourer ce long baiser. Sa langue jouait avec celle d’Aoki pendant de longues secondes, mais, quand Félicia commençait à adapter un mouvement de repli, les langues se détachaient, et Aoki venait mordiller sa lèvre, tirant dessus avec appétit, déclenchant d’agréables pointes de douleur dans le corps de la petite Doutzen. Elle aussi, elle n’hésitait pas à mordiller ses lèvres, tirant lentement sur les cordes et les liens qui la retenaient. Oh, comme tout ça était bon ! Doutzen adorait ça, et crispait ses doigts sur les accoudoirs, Aoki s’appuyant contre elle.

Félicia n’y allait pas de main morte, giflant sèchement le cul de sa dulcinée. L’amour pouvait être passionnel, et parfois être très violent, comme en ce moment ! La nuit était encore loin d’être terminée, et Félicia comptait bien en profiter longuement ! Elle s’enfonçait ainsi puissamment dans le cul de sa partenaire, défonçant son fondement, s’enfonçant jusqu’à la garde, avant de repartir, et de recommencer ! La Chatte Noire ronronnait furieusement, la sueur se mélangeant à sa combinaison en latex, l’absorbant lentement.

« Hnnnn… Oh, vous êtes si belles, toutes les deux ! » rigola-t-elle.

La Chatte Noire gloussa encore, et continua à s’unir en elles. Il fallut bien une petite dizaine de minutes avant que, dans un soupir, Félicia ne se mette à jouir à nouveau. Elle inonda le cul bien rougi d’Aoki, ce qui tombait plutôt bien, bu qu’Aoki commençait à baver sur le visage de Doutzen. Se relâchant tranquillement, Félicia sourit doucement.

« Bien, bien… Merci, Aoki. »

Félicia caressa alors affectueusement son postérieur, et déposa un baiser dessus, remettant ensuite sa culotte en place. Elle tirait sur sa laisse, rompant ainsi le baiser avec Doutzen, et le remplaça par un baiser avec elle. La Chatte Noire se pressa doucement contre elle, et continua à palper son cul. Doutzen déglutissait lentement, et sentit son bandeau être arraché par Félicia. Elle put ainsi voir ses deux Maîtresses s’embrasser, tout en ayant les joues bien rouges, sous l’effet d’une croissante excitation qui remontait en elle.

La Chatte Noire sourit alors, une main toujours posée sur le postérieur de sa belle Aoki.

« Tu préfères mon baiser ou celui de Doutzen ?
-  Maîtresses… » gémit doucement l’intéressée.

Félicia sourit brièvement, et frotta son nez contre celui d’Aoki.

« Désolée, ma belle, mais je crois que notre invitée n’en peut plus… Tu devrais la détacher pendant que je vais chercher Rex. »

Elle sourit, devant la suite. Si Doutzen pensait avoir tout vu… Félicia sortit donc de la pièce, et, Doutzen soupira brièvement. Elle laissa Aoki la détacher, et lui sourit alors doucement.

« Maîtresse, lança-t-elle alors. Je… »

Un peu gênée, Doutzen se pinça la lèvre inférieure, crispant ses doigts sur les accoudoirs, puis reprit :

« Je voulais vous dire que… Je passe la meilleure soirée de toute mon existence ! »

Et elle était sincère !

Faire l'amour était toujours un véritable plaisir, surtout quand c'était avec Felicia, elle se faisait vraiment plaisir et savourait chaque instant. Et là, elle avait en plus le droit à un baiser avec sa petite Doutzen, ce n'était pas rien. Ce n'était pas vraiment un punition qu'elle subissait ni même une torture, c'était une formation. Aoki continuait de tendre son cul qui était délicieusement sodomiser par Felicia qui allait de plus en plus vite au fil de la séance, la douceur laissait place à la sauvagerie mais dans le bon sens car ça restait toujours aussi bon. Elle avait beau se faire prendre le cul tout les soirs pour ainsi dire, la sodomie restait toujours excellente. Même si sa chérie la tirait un peu, de quoi l'éloigner un peu de sa petite Doutzen, elle parvenait à l'embrasser un peu, mordillant un peu sa lèvre par la même occasion, et ce, jusqu'à l'orgasme ! Felicia venait de jouir abondement dans son cul, venant la redresser pour l'embrasser doucement en se demandant qui embrassait le mieux entre elle et Doutzen ?

« Ses petites lèvres ont beau être délicieuse, ce sont les tiennes que je préfère. »

L'habitude ou l'amour, ça pouvait changer sa réponse mais elle ne posait pas la question pour débattre. Aoki remuait doucement en se pressant contre son corps alors que la Black Cat venait décider de libérer Doutzen une fois son bandeau retirer. Entièrement ou elle lui laissait son jouet ? Bah, pour le moment elle lui laissera, elle verra cela par la suite. Rex allait donc rejoindre leur petite soirée, soit. Elle se penchait pour doucement détacher Doutzen qui semblait vouloir dire quelque chose. Difficilement, elle venait avouer passer la plus belle soirée de son existence. Aoki lui souriait tendrement en venant l'embrasser alors qu'elle était toujours attachée.

« Mais la soirée n'est pas fini, ma Doutz-chan. Attend demain matin pour nous dire ce genre de choses. Felicia sera elle aussi heureuse de l'entendre de ta petite bouche. »

Aoki, c'était un subtil mélange de douceur presque maternelle et d'une maîtresse qui se dandinait dans des tenues de cuirs et de latex. Pour le moment, c'était la douceur qui rentrait en jeu, Felicia avait plus le rôle de maîtresse même en présence de Doutzen, Aoki devait jouer sur les deux fronts car d’ordinaire, elle subissait juste les désirs de sa maîtresse d'amour. Retirant ce qui la liait au fauteuil, elle l'aidait à se redresser, venant la serrer contre son corps, une main caressant son petit cul, l'autre se perdait dans ses cheveux pour maintenir sa tête. Là, elle pouvait caresser sa maîtresse comme bon lui semble sans se sentir attachée. Mais quand Felicia était de retour avec leur nouvel invitée, elle se détachait doucement de son élève en approchant Felicia.

« Bon, la grande question, c'est de savoir s'il va me baiser la chatte ou me prendre comme une chienne ? Une préférence ? »

La question était pour Felicia mais peut-être la balle sera renvoyé à Doutzen ? De toute façon, ça n'allait pas se faire simplement, Rex va d'abord passer sa langue entre ses jambes pour se mettre en appétit, après, elles verront bien ce qu'elles arriveront à lui faire ? Il ne faut pas croire, mais réussir à lui faire rentrer sa queue entre ses fesses était plus complexe qu'il n'y en avait l'air. Son beau berger-allemand tirait la langue devant elles, sachant que généralement, quand il rejoignait la chambre de sa maîtresse le soir, ce n'était pas pour dormir au pied du lit. Les chats avaient goûté à son corps, place à Rex. Cela dit, quelque chose lui faisait dire que Felicia allait leur facilité la tâche avec un petit quelque chose pour mieux le stimuler ou le guider ? Aoki caressait la tête de son chien en se pressant contre le corps de sa jolie chatte d'amour. Oui, entre elles, l'amour repoussait certaines limites.

Doutzen sentit peu à peu les liens la retenant se retirer. Elle pouvait dès lors respirer à nouveau, tout en ayant les sens en ébullition. La jeune femme avait délicieusement subi le redoutable traitement de ses Maîtresses visant à réveiller sa soif de sexe… Et ça avait marché ! Attachée sur cette chaise, Doutzen avait laissé le désir l’envahir, et avait désormais très envie de faire encore l’amour, comme si la fatigue qu’elle avait ressentie n’était que passagère ! Ses Maîtresses étaient tout simplement inépuisables. Prenant tout son temps, Aoki la détacha, et la câlina doucement. Elle l’embrassa tendrement, et Doutzen soupira à son tour, fermant les yeux. Elle remonta sa main pour s’appuyer à la nuque d’Aoki, et son corps se pressa contre le sien. Retrouvant enfin l’usage de ses membres, elle partagea avec elle un long baiser.

Aoki lui expliqua que sa soirée était encore loin d’être terminée, et Doutzen sourit alors, se pinçant les lèvres.

« Vous avez raison, Maîtresse, mais… Je voulais quand même vous le dire ! »

Elles restèrent ensuite lovées l’une contre l’autre, Doutzen venant partager avec elle un câlin. Dans cette débauche de stupre et de luxure, Doutzen se livrait à un moment de douceur, un élan de tendresse. Elle avait après tout perdu sa mère. Ses parents l’avaient vendu aux Petrovski, et, là, en ce moment, elle s’identifiait à Aoki. À travers cette luxure impressionnante, Aoki était, en quelque sorte, son horizon. Elle continua donc le câlin jusqu’à ce que la porte s’ouvre de nouveau.

Félicia venait de revenir, dans sa superbe combinaison noire moulante, mais avec un autre pensionnaire. Doutzen rougit en voyant qu’elle tenait une laisse reliée à un collier, avec le mot « REX » sur une plaque dorée. Un gros berger allemand se trouvait là, et Doutzen rougit à nouveau. Elle avait bien noté la présence des chats de Félicia, mais ignorait qu’il y avait un chien.

« Vous… Vous avez un chien ?
-  Hmmm-hmmm… » acquiesça doucement Félicia.

La Chatte Noire avait toujours eu des fantasmes assez extrêmes. Ce n’était après tout pas pour rien si Peter et elle avaient rompu il y a de cela quelques années. Doutzen s’écarta un peu d’Aoki en comprenant que Rex était là pour Aoki. Le chiens e rapprocha lentement, sa longue langue sortant de sa bouche, comme en signe de sa profonde excitation.

« Rex a été formé à ce genre de choses… Pas par nous, mais… Comme il était dangereux, l’association qui l’a recueilli voulait l’euthanasier. Alors… Je l’ai capturé.
-  Oh… Et… Il fait l’amour avec… Avec vous ?
-  Mieux vaut ça plutôt qu’il aille attaquer d’autres chiens, non ? On l’éduque aussi… Mais ça reste un animal. Ceci dit, dans cet état, Aoki étant davantage une chienne qu’une humaine, je pars du principe que Rex a tout à fait sa place. »

Doutzen ne savait pas trop si elle devait être horrifiée… Ou excitée. Ces deux femmes étaient folles, totalement perverses, mais qui était-elle pour critiquer ? Reto aussi l’avait formé à aimer le sexe, à le pratiquer intensivement. Mais là, elle ne risquait pas de détruire des vies, ou d’aider la mafia russe. Alors, ce n’était, somme toute, pas si mal. Félicia se rapprocha encore, et Aoki s’assit sur le rebord du lit, puis Rex renifla en se rapprochant d’elle.

Sa grosse langue lécha ensuite le sexe de la jeune femme. Félicia sourit avant de relâcher la laisse, tandis que le chien préparait sa partenaire, venant la lécher. Sa langue fila contre ses lèvres intimes, répandant sa bave. Doutzen, de son côté, se pinça encore les lèvres, observant cette scène sans trop savoir quoi dire. Elle était allongée à côté d’Aoki, et voyait sa belle Maîtresse remuer lentement, tandis que Félicia, toujours debout,  les regardait également.

Très clairement, cette soirée était encore loin d’être finie !

Bien que cela n'avait pas super bien commencé entre elles, du fait qu'Aoki avait été confronté à Reto qui tentait plus ou moins de la faire chanter, depuis, sa Doutzen était importante pour elle. Faut dire qu'elles ont appris à un peu mieux se connaître juste avant l'épisode de Kanzaki et après une aventure et un repos bine mérité, elle retrouvait sa jolie petite européenne. Bien entendu, c'était surtout sexuel, mais ça n’empêchait pas de se sentir proche de cette petite. Qui sait, elle était peut-être destinée à rester proche de ses maîtresses pendant de longues années ? Felicia étant de retour avec Rex, elle pouvait comprendre que cela était étonnant, des gens qui pratique ce genre de chose, ça ne courent pas les rues. Mais il suffit de franchir le cap, comme pour l'ondinisme. Puis ce n'était pas comme si c'étaient elles qui prenait le chien, c'est l'inverse donc ce n'était pas méchant.

« Tu sais Doutz-chan, ça n'a rien de bien sorcier, ça reste un être vivant et s'il n'aurait pas envie de nous, il ne répondrait pas présent à ce genre de choses. Mais pour le moment, tu peux juste regarder, ça ne coûte rien. »

Aoki ne lui demandait pas de se mettre à quatre pattes et de se laisser prendre par leur chien, non, si elle voulait, elle le pouvait, mais là, c'était le moment de le faire participer. Aoki se plaçait au bord du lit, écartant ses jambes pour la laisser lubrifier sa petite zone intime. C'était comme avec une personne normale, ça servait de préliminaire, le mettant en confiance pour ce qui pourrait suivre par la suite. Aoki le laissait faire, caressant sa tête en sachant qu'entre ses jambes, ça devait commencer à se voir que ce bon gros chien aimait ça.

« Tu sais, ma petite chérie, ça n'a rien d'étrange, mhhh tu verras combien il va être tout gentil après. Et comment Felicia sera bien excitée aussi. »

L'un n'allait pas sans l'autre. Une fois que Rex aura fait son affaire, il sera bon pour se reposer dans un coin et éventuellement plus tard revenir, mais fois lui suffit. Cependant Felicia... Voir sa chérie se faire prendre par un chien, ça avait de quoi lui redonner un petit coup de fouet ! Aoki était passé par tous les stades avec leur chien, devant, derrière, et même une fellation bien que ce soit le moins amusant. Ça restait un animal, le mieux était de le voir à quatre pattes sur elle et la prendre comme une chienne, le reste, ce n'était que du bonus.

« Si cela t'intéresse un jour, je pourrai te former ? Mmmmh. Je suis sûr que Rex adorait lui aussi jouer avec toi ? »

De toute façon, elle pouvait toujours commencer par juste laisser Rex lui lécher son intimité, comme actuellement avec Aoki. Elle verra ainsi ce qu'elle en pense, si c'est trop pour elle ou bien si elle veut bien essayer d'aller plus loin ? Rex étant maintenant bien excité, il était temps de passer à la suite. Felicia le reprenait par la laisse le temps qu'Aoki prenne place sur le lit. Elle écartait bien les cuisses, le cul légèrement relevé pour lui laisser plus de facilité, il était temps de laisser son côté chienne ressortir, pour le plus grand plaisir de son public.

« Lâche-le quand tu veux, chérie. »

Parfois, il pouvait avoir besoin d'un peu d'aide, ne serait-ce que pour bien la pénétrer et ne pas juste jouir sur elle, tout comme elle devait l'inciter parfois à la prendre et non pas juste continuer de lui nettoyer sa petite chatte ou son petit cul. Comme ça, Rex avait l’embarras du choix.

À dire vrai, Félicia n’avait jamais trop su comment Rex était devenu ainsi. Elle n’avait donné à Doutzen qu’une version courte. Le chien avait visiblement été éduqué à des fins sexuelles, car, à l’association, il était extrêmement calme. Il mangeait bien, il n’attaquait pas les autres chiens, mais avait toujours envie de coucher avec les femmes humaines. Les chiennes ne l’attiraient pas, et c’était pour ça qu’il avait été envisagé de l’euthanasier. Félicia en avait parlé avec Aoki lors de l’une de leurs séances, et elles avaient décidé, ensemble, de sauver Rex. Depuis lors, le chien était avec elles. En soi, la zoophilie n’était pas totalement exclue avant ça de leur couple, s’exprimant surtout à travers les chats de Félicia. Celle-ci ne les avait pas formés à ça, mais elle soupçonnait que, suite à sa transformation en Chatte Noire par le sérum du Caïd, elle avait développé progressivement des phéromones qui excitaient les chats. Il était ainsi fréquent que ceux-ci viennent lécher les parties intimes de Félicia au matin, quand son corps libérait des phéromones. Tout était parti de là… Jusqu’à l’arrivée de Rex.

Surprise, Doutzen vit le chien lécher l’intimité de la femme, ainsi que son fondement. La main de Félicia caressa ses cheveux doucement, et elle lui sourit brièvement, avant de croiser son regard. Son sourire ne tarda alors pas à s’accentuer, tandis qu’elle voyait dans ce regard une lueur qui semblait lui parler. Elle sourit alors, et embrassa Doutzen sur le front.

« Enfin, ça n’a pas l’air de te choquer, plutôt… De te stimuler. »

L’intéressée se pinça les lèvres, rougissant poliment. Elle ne pouvait pas nier cela, tout simplement, et hocha donc la tête.

« Et bien, disons que… Au lycée, j’ai découvert le plaisir des tentacules avec Isley-sensei, et… Depuis ça, je… Je dois bien admettre que… Ma sexualité me vaudrait un séjour dans un institut psychiatrique, non ? »

Sa Maîtresse sourit brièvement, et tapota la tête de Doutzen. La jeune blondinette frémit encore, tandis qu’Aoki se déplaça. Félicia retint alors Rex par le collier, et sentit ce dernier grogner. Il avait désormais une belle érection, et, sous sa masse, sa queue se tendait furieusement, signalant son érection, et sa soif d’aller besogner la jeune femme. Même Félicia ne pourrait le retenir éternellement, et, quand elle lâcha la laisse, Rex bondit alors. Il sauta sur place, et ne tarda pas à s’écraser sur le dos d’Aoki, puis enfonça sa trique dans son cul.

Félicia soupira en entendant le hurlement de plaisir d’Aoki, mais aussi, et surtout, de douleur. Doutzen, elle, rougit encore, tandis que Rex grogna, avant de se redresser. Il s’enfonça douloureusement en elle, jusqu’à ce que son nœud vienne bloquer son membre dans le fondement de sa partenaire. Félicia soupira donc en voyant la gueule de Rex se redresser.

« Il a envie qu’on l’embrasse…
-  Q-Quoi ?!
-  Je te l’ai dit, Rex est très particulier. J’ignore qui l’a formé, mais… Il est vraiment incroyable. »

Comme tout cela devait être assez violent pour Doutzen, ce fut Félicia qui se rapproche. Rex grogna encore, aboyant même, et Félicia caressa sa tête d’une main, son museau de l’autre, avant de partager avec lui un sensuel baiser, sa bouche canine se plaquant fermement contre la sienne. Doutzen devait en tout cas bien admettre que le rendu final était aussi impressionnant que troublant !

Aoki n'avait rien contre leur chien, bien entendue, jamais elle n'aurait pensé un jour coucher avec un chien, mais voir Felicia au réveil couvert de plusieurs chats qui la léchait, il fallait bien avouer que la scène était plutôt belle et donnait bien des idées à Aoki. Adopter Rex ne fut pas la priorité, en réalité, cela venait d'Harley. Elle avait frappé un groupe de type louche un soir et Rex faisait partie du lot. Il fut donc confier au refuge, mais quand elle avait appris qu'il risquait de finir piquer, Harley aurait remuer ciel et terre pour lui trouver une famille et vue sa « particularité », il ne pouvait certainement pas être confié à une famille avec des enfants. Non pas qu'Harley soupçonnait Aoki de jouer le jeu du chien, mais elle savait que sa nouvelle amie nippone aimait bien les animaux. Face à ce dernier, Aoki restait près de lui, écartant doucement les jambes pour qu'il puisse passer sa langue autant entre ses cuisses que ses fesses. On ne pouvait pas dire qu'il était difficile, il prenait le trou qu'on lui proposait.

Et quand il semblait prêt, Aoki en fit autant, se plaçant à quatre pattes sur le lit, les jambes bien écartées, elle laissait Rex se placer, souvent maladroitement, contrairement à elles, il avait besoin d'avoir la bonne position, al bonne prise avant de pouvoir s'enfoncer et faire sa petite affaire. L'occasion de le sentir lui et sa langue passer le long de ses orifices entre chaque essai. Aoki tapotait ses fesses pour le forcer à lui grimper dessus. C'était tout de même la meilleure position, et la plus agréable à regarder par la même occasion. Quand il fut bien en place, ses pattes avant s'accrochait à ses cuisses alors qu'il laissait enfin la nature entrée en jeu. Bien enfoncer en elle, il commença ses vas et viens en respirant fort, grognant légèrement, mais il n'était pas méchant.

« Oh ouiiii, mon beau... ha, occupe-toi de maman... Huuum, oui, comme ça... »

L'avantage – comme l'inconvénient – c'est qu'il était plutôt rapide à jouir pour ensuite rester coincé avec elle le temps que son sexe se dégonfle, mais au moins après il était plutôt calme et sage. Mais elles n'en étaient pas encore là. Aoki avait la poitrine et le visage presque collée au lit alors que Rex réclamait le visage de sa seconde maîtresse qu'il aimait embrasser. Il faut dire que c'était souvent cet ordre-là. Aoki servait à Rex et Felicia récompensait leur gentil toutou. Aoki se faisait besogner par leur chien pendant que sa fiancée partageait avec lui un « baiser », sentant sa virilité s'enfoncer en elle. Un peu de douleur, mais aussi de plaisir, un subtil équilibre qui lui faisait beaucoup de bien. Mais heureusement, Aoki avait de quoi s'occuper, rien qu'avec cette belle queue qui pendait juste sous ses yeux, si ça, ce n'était pas la preuve que Felicia voulait prolonger leurs petits jeux.

Juste avec sa bouche, elle attrapait son sexe semi-tendue en se chargeant de le rendre plus productif et plus tendu, le léchant avec plaisir sous le regard curieux ou amusée de Doutzen. Tôt ou tard, elle tissera aussi des liens avec Rex, mais Aoki ne voulait pas trop lui en donner pour une première soirée chez elles. Elle avait déjà été fister, elle avait eut assez de sensation forte pour ce soir, maintenant, elles restaient sur un domaine qu'elle connaissait mieux au moins. Au moins elle était sûre d'une chose, sa petite Doutz-chan aura hâte de revenir dormir chez ses maîtresses.

Doutzen était statufiée, sous le choc. Jamais elle n’aurait pu imaginer que cette soirée prendrait un tel tournant, que la dépravation irait à ce stade ! Devant ses Maîtresses, un puissant chien venait de les rejoindre, et elle pouvait voir la Chatte Noire l’embrasser tendrement. Rex fourrait sa grosse langue dans sa bouche, le chien grognant doucement, tout en continuant à bourrer sa Maîtresse. Il aurait pu faire sortir ses griffes, mais Rex avait visiblement été très bien éduqué, puisqu’il se contentait de s’appuyer sur Kou-san, écrasant sans doute la jeune femme sous son poids massif. Doutzen savait qu’on pouvait éduquer les chiens à des fonctions très précises, elle en avait eu l’illustration avec les chiens d’attaque dressés par les Petrovski, mais… De fait, elle avait toujours plus ou moins cru à une légende urbaine en ce qui concerne les chiens pédophiles. Mais Rex était redoutable, tout simplement !

Et, tandis qu’il embrassait Félicia, la queue de celle-ci durcit doucement, venant taper contre le doucereux visage d’Aoki. Celle-ci, écrasée sous le chien, trouva la force de relever son délicat minois, et attrapa son membre, venant le gober dans sa bouche.

*Oh, c’est… C’est incroyable !*

Il fallait le voir pour le croire ! Se pinçant encore les lèvres, Doutzen rougissait, sans trop savoir ce qu’elle devait vraiment ressentir. Félicia caressa ensuite avec ses mains la tête de Rex, qui la lécha longuement. Il aurait été impensable de confier Rex à une famille normale, et le rééduquer de même. Les deux femmes avaient donc fait un choix, un choix que beaucoup pourraient sans aucun doute contester, mais qui n’en restait pas moins le leur.

Doutzen récupéra le téléphone portable, et, sans qu’on ne lui en fasse aucune demande, filma cette scène incroyable, surréaliste. Elle voyait Rex prendre Aoki lourdement, son nœud l’empêchant de se retirer. Même si Rex jouissait vite, il bénéficiait d’une endurance formidable, qui faisait qu’on ne pouvait pas l’épuiser si vite.

« Hmmm… Oh, Aoki, tu es si gourmande, ma chérie… »

Félicia sentit Rex lécher encore son visage, avant de se concentrer plus pleinement sur sa partenaire, sur cette saillie intense qu’il était en train de faire. La main de Félicia réussit à attraper les cheveux d’Aoki, l’immobilisant contre son membre, étouffant ses gémissements. En sueur, les cheveux légèrement défaits avec une mèche rebelle tombant près de ses yeux, elle se tourna vers Doutzen.

« Tu veux l’embrasser, mon ange ?
-  M-Moi… ?
-  Bien sûr ! À qui d’autre pourrais-je parler ? »

Doutzen déglutit, et se rapprocha lentement. Elle tremblait nerveusement, autant d’excitation que de peur, et grimpa sur le lit. La main de Félicia caressa sa nuque, glissant sur ses cheveux, et elle vit Rex tourner la tête vers elle, sa langue pendouillant hors de sa gueule. Il continuait à prendre sa Maîtresse, qui devait respirer par le nez, car Félicia ne retirait pas sa queue, bien rigide, de sa bouche. Doutzen se pencha alors, et approcha sa main, venant caresser le museau de Rex.

Le chien gronda doucement, et lécha ses lèvres, avant d’aboyer.

« WOUF ! »

Surprise, Doutzen sursauta brièvement, avant de se pincer les lèvres, et se rapprocha encore… Puis embrassa Rex, sentant la main de Félicia se serrer sur ses cheveux, comme pour immortaliser ce premier moment zoophile dans la vie de Doutzen.

Une nouvelle étape dans sa dépravation sexuelle…

Ce n'était pas banal ce qui se passait dans cette chambre, dans cet appartement tout simplement, mais pour le couple, disons que c'était une soirée banale. De l'amour, du sexe, un zeste de zoophilie et une nouvelle invitée dans leur petit jeu, non, rien de bien surprenant. Aoki gardait les fesses en l'air, sentant son gros chien la prendre en remuant avec passion son bassin pour la prendre comme une de ses femelles, l'écrasant de tout son poids, non pas que ce dernier était aussi lourd que Felicia, mais on parlait d'un Berger-Allemand, pas d'un chihuahua. Elle n'avait pas l'occasion de s'ennuyer, car pendant qu'elle se faisait prendre, Felicia partageait un « baiser » avec Rex, et que ce soit ce dernier ou sachant qu'Aoki était si proche, sa belle queue venait à se redresser et Aoki n'avait qu'un grand plaisir à prendre sa queue en bouche, suçant avec plaisir sa voleuse préférer.

« Mmmmhhhh... »

Rex y mettait toujours du sien, même si ses coups de reins étaient assez rapides, Felicia ne bougeait pas trop pour le moment, lui laissant tout le loisir de savourer sa délicieuse longue queue toujours aussi bien redressée quand il s'agissait de combler sa petite amie. Aoki était focaliser dessus en se faisant prendre de plaisir mais la queue de Felicia remua un peu lorsque Doutzen venait la remplacer en ce qui concernait Rex. Elle ne voyait pas vraiment la scène, concentrée à sucer sa belle, elle entendait pourtant Rex légèrement grogner et aboyer, mais les bruits de langues qui suivaient prouvait que sa petite poupée prenait part au jeu. Aoki retira la queue juste un instant, pour lui donner un conseil.

« Ouvre la bouche, han, et tire la langue... il s'occupera, ouf, du reste... »

Elle débutait dans ce domaine, autant laisser un professionnel s'en occuper, non ? Reprenant sa belle queue en bouche, Aoki continuait de la sucer avec plaisir en allant jusqu'au bout quand c'était possible, sentant toujours le plus fidèle ami de l'homme qui adorait faire d'elle sa petite chienne. Ce n'était pas compliqué, Aoki était la chose de Felicia, et elle prenait un malin plaisir à le rappelé assez souvent comme ça. Elle adorait lui laisser les commandes et voir ce que sa voleuse avait prévue pour elles, avec ou sans Rex. Parfois elle laissait juste leur chien venir lui lécher son intimité jusqu'à ce qu'il s'en passe pour ensuite faire ce qu'il était justement en train de faire. Et parfois, c'était Aoki qui jouait le rôle de la chienne, léchant sa Felicia avec amour et passion jusqu'à plus soif pour ensuite, malgré tout, lui tendre son cul, à voir si la Black Cat préférait lui prendre le cul ou la chatte d'abord, ça dépendait des jours. Elle espérait que ce soit une autre bête qui s'occupe d'elle après Rex, une Chatte Noire par exemple ? Mais chacun son tour. Pour le moment, elle avait une belle queue à sucer, mais viendra un moment où elle va jouir ou bien qu'elle en veuille plus avant que ça n'arrive ?

Plus le temps passait, et plus Aoki et Félicia semblaient s’amuser à repousser toutes leurs limites ! Confuse, Doutzen était partagée par cette scène. D’un côté, cela l’excitait fortement, mais, de l’autre, cette même excitation l’inquiétait aussi… Car le fait de se sentir excitée par ça était, en soi, problématique ! C’était la preuve que Doutzen avait changé, qu’elle avait gagné en perversion, et que, petit à petit, ses inhibitions avaient sauté. Se rapprochant du lit, elle vit ce solide chien partager un long baiser baveux avec Félicia. Sa bouche n’était pas faite pour celle d’un être humain, et, quand Doutzen se rapprocha, Rex se tourna vers elle, sa langue pendouillant sur place. Doutzen avança une timide main pour caresser Rex, qui jappa alors, avant de lécher le visage de Doutzen. Une langue chaude et visqueuse qui la fit sursauter, la bave chaude du chien restant sur sa joue droite, remontant jusqu’à la pointe de ses cheveux.

Doutzen frémissait sur place, sentant Rex la renifler, léchant encore son visage. Sa main remonta pour caresser son museau, presque comme elle pourrait caresser la joue d’un amant. Maîtresse Kou l’encouragea alors, et Doutzen se pinça délicatement les lèvres. Elle rougit encore, et se pencha alors vers Rex. Le chien l’embrassa alors, et elle sursauta, surprise par la qualité de… De ce baiser. Comment un simple chien pouvait faire ça ? Rex fourra sa langue dans sa bouche, une grosse langue humide et baveuse qui fit couiner Doutzen. Celle-ci se tortilla sur place, avant de sentir Rex se déplacer, posant ses deux pattes avant sur les épaules de Doutzen. La jeune adolescente soupira encore, et sentit ensuite la main de Félicia caresser ses cheveux, glissant sur elle, la maintenant en place.

« Crois-moi, tu n’es pas prête de rencontrer un autre chien que Rex, hmmm… J’ignore qui l’a dressé ici, mais… C’est assez incroyable ! »

Rex se pressait contre Doutzen, qui s’appuyait aussi sur lui, sans qu’il ne cherche à la griffer. Doutzen tremblait encore, avant que Rex ne rompe le baiser, et ne lèche ses lèvres. Il se concentra ensuite à nouveau sur Aoki, laissant sur le visage de Doutzen une impression tremblante. Rex aboya encore, défonçant méthodiquement le bassin d’Aoki, faisant gémir fortement la femme. La jeune femme se rapprocha ensuite de Félicia, et se lova contre elle, venant partager un baiser, tout en caressant le corps de sa Maîtresse, glissant ses mains sur son latex, jusqu’à se rapprocher du visage d’Aoki, qu’elle serra de sa main à hauteur des cheveux.

Rex lécha ensuite les seins de Félicia, semblant également se régaler du contact du latex, faisant gémir la Chatte Noire, qui bomba son corps vers l’avant, soupirant encore. Infatigable, Rex continuait à prendre Aoki, bien décidé à prendre tout son temps avant de jouir en elle…

Ce bon vieux Rex continuait de prendre Aoki sans la moindre hésitation, ses pattes arrièrent sur le lit pendant que son bassin remuait. C'était loin de ressembler aux coups de bassin de la belle Felicia, mais ça restait bien agréable. Doutzen s'initiait doucement à ce nouveau domaine, sentant le bon gros Rex se rapprocher pendant qu'elle hésitait doucement, ce qui était normal la première fois. Mais les coups de langue de leur chien avaient fini par avoir raison d'elle, partageant donc son premier baiser avec un chien. Il savait y faire et bientôt la belle petite poupée venait à sentir le chien se faire plus présent. Mais malgré tout, il n'abandonnait pas Aoki pour autant, sa queue continuait de remuer en elle, même s'il s'amusait aussi autrement.

La Japonaise continuait de sucer avec passion la belle queue de Felicia, la gobant parfois entièrement, laissant sa salive entourer toute sa puissante queue avant de recommencer, suçant et branlant sa belle voleuse. Plus le temps passait et plus Aoki faisait preuve de perversion pour plaire de plus en plus à sa fiancée. Elle avait évoqué d'essayer avec un Saint-Bernard, bien plus gros comme chien, elle sera encore plus soumise, allant même jusqu'à plaisanter en évoquant un cheval. Là oui, elle savait bien que si un cheval irait vraiment la monter, son petit cul allait vraiment souffrir ! Mais qui sait quel genre d'idée cela a pu faire naître dans la tête de Felicia ?

Quoi qu'il en soit, Aoki prenait toujours autant de plaisir, tout comme Rex qui variait ses partenaires, tantôt Felicia, tantôt Doutzen, mais toujours Aoki sous la ceinture. Soumise, elle n'attendait plus que Rex se fasse plaisir, tout comme Felicia, elle voulait sentir le torrent de sperme être envoyé dans sa gorge. Mais dans un sens, c'était aussi ça sa définition personnelle du bonheur...

Cette séance avec ce gros chien sonnait comme l’apothéose finale de cette longue orgie. Confuse, pleine d’excitation, Doutzen ne savait tout simplement plus où se mettre. Elle voyait ces amants s’envoyer fougueusement en l’air, et avait du mal à assembler ses pensées dans sa tête. Tout se bousculait dans sa tête. Très excitée, elle tremblait nerveusement, et se pinça doucement ses délicieuses lèvres. Elle partagea plusieurs baisers avec Rex, le chien de ses Maîtresses, avant de le laisser agir. La scène dura bien une bonne demi-heure, de longues minutes pour Aoki à sentir le bestiau la besogner. Impossible, alors, de songer à retirer Rex, de le stopper. L’animal poursuivrait son office jusqu’à atteindre le plaisir suprême. Le chien grognait de plus en plus, bavant sur l’épaule d’Aoki, encore, encore et encore, inlassablement. Le spectacle était, en un sens, hypnotique. Les muscles massifs du chien s’enfonçaient énergiquement et puissamment en elle, jusqu’à ce qu’il finisse par atteindre son point de rupture.

Doutzen fut aux premières loges quand Rex aboya longuement, avant de pousser un grognement, et de se taire. Il se mit à jouir compulsivement. Sa queue monstrueuse inonda le corps d’Aoki, et il se déversa en elle, jouissant furieusement. Son sperme éclata dans le cul d’Aoki, remontant en elle, jusqu’à ce que Rex semble se calmer. Il jouit pendant une bonne minute, et se retira enfin. Aoki tenait à peine debout, et s’écroula d’ailleurs sur le lit, tombant sur les cuisses de Félicia, tandis que Rex se retirait. Le chien sauta au sol, d’une démarche un peu gauche, puis alla ensuite se mettre en boule, et se coucha lentement. Sans savoir quoi dire, ni même où se mettre, Doutzen observa le duo.

Félicia reprenait ses esprits en caressant distraitement les cheveux d’Aoki.

« C’était… Ce… Woow !
-  Ça t’en bouche un coin, hein ? »

Doutzen acquiesça lentement, tandis que Félicia lui expliqua l’histoire de Rex.

« Nous avons recueilli Rex quand il était déjà dans cet état. La garderie comptait l’euthanasier, faute de pouvoir le libérer. J’ignore qui l’a fait ainsi. Il a un marquage sur le cou, mais il ne correspond à aucun numéro japonais. Toujours est-il qu’on a décidé de le recueillir, on ne voulait pas le laisser mourir. Donc… Dans un sens, ce n’est pas vraiment notre faute si c’est un chien qui aime… Le sexe entre espèces différentes. »

La jeune adolescente hocha la tête. Aoki semblait épuisée, mais Félicia n’en avait pas encore totalement fini. La nuit était de fait si bien avancée qu’on pouvait commencer à voir l’aube se lever. De fines zébrures orangées décoraient le ciel, confirmant qu’elles avaient fait l’amour toute la nuit. Doutzen ressentait la fatigue, bien sûr, mais celle-ci était compensée par cette farouche excitation qui traversait son corps. Non, ce n’était pas encore terminé, et, à vrai dire, elle ne voulait pas que ça se termine ainsi, de manière si précipitée.

Félicia soupira donc à nouveau.

« Aoki, je pense que nous devrions prendre toutes les deux une dernière fois notre belle Doutzen, qu’en penses-tu ? L’une devant, l’autre derrière… Un joli dessert après avoir enduré Rex, non ? »

Au début, Aoki était incapable de tenir face à Rex. La première fois qu’elle savaient couché avec lui, ça avait été terriblement intense, mais Félicia l’avait formé, à sa manière, par une pratique du sexe intensif.

Et le résultat final était époustouflant, non ?