The Multiversity

[Fut-Corp]

Autant se le dire, avec un F-Boy, la partie de billard prenait un tournant bien plus intéressant ! Le mignon trap en tenue mauve faisait désormais l’assaut conjoint de Kenneth et de Paul. La partie de billard ne devenait plus qu’un prétexte pour que les hommes fassent l’amour, si bien que Paul que grimpa sur la table, laissant sa verge à l’air libre pour qu’Usagi s’y penche. Réduit au rôle de spectateur, Haruko ne perdit pas son temps. Il filmait la scène avec son téléphone portable, mais avait aussi activé son chronomètre.

« Allez, les gars, chronomètre pour voir qui va tenir le plus longtemps !
- Tu ne t’es pas chronométré… Hmmm… Quand tu l’as baisé, glissa Paul.
- Ouais, mais c’est moi qui l’ai réservé, ça m’offre un essai gratuit !
- Putain, il me pompe la queue, c’est dingue… ! soupira Kenneth en serrant les cheveux d’Usagi avec ses mains. Il suce mieux qu’une pute, ce salaud ! »

Les trois amis étaient autant des amis que des amants. Ils se connaissaient depuis l’enfance, et, si leur bande s’était régulièrement agrandie, ils étaient toujours restés ensemble. Une preuve que les liens d’amitié survivaient aux origines sociales, car, si Kenneth était un fils de corpo, Haruko avait une origine plus modeste, mais surtout Paul, qui venait de l’un des mégabuildings de la ville, avec une famille qui vivait sous pression constante. Dans le dos de Usagi, Paul s’activait donc. Ils étaient des clients réguliers de l’Afterlife, et ne pourraient que donner un bon avis à Usagi. Kenneth fut de fait le premier des deux à jouir, car Usagi le suçait très bien.

« Ouais, tu es doué, mon joli… » commenta Kenneth.

Paul redressa un peu Usagi, afin qu’il s’appuie à nouveau sur la table, mais, avant cela, Kenneth releva le visage du jeune Usagi, et l’embrassa tendrement. L’homme retourna ensuite à la table de billard. Haruko commençait à avoir une sérieuse érection, même s’il avait chronométré. Paul risquait toutefois d’être le grand gagnant. Même Usagi pouvait le sentir. Dans son dos, l’homme grognait en donnant de solides coups de reins. Il remonta sa main pour malaxer le cou d’Usagi, et mordilla le creux de son cou.

« Tu as un cul incroyable, mon joli, hmmm… J’adore tes couinements de petite salope ! »

[Tek_Usagi]

Je trouve qu’être au centre de l’attention rajoute à l’excitation du moment. Je me rappelle quand les F-Girls m’ont filmé tandis qu’elles me baisaient dans les bureaux et qu’elles écrivaient des mots graveleux au feutre sur mon corps, ç’a été le pied intégral. Etre pris en sandwich entre deux mecs en rut qui me baisent est loin d’être aussi intense mais c’est quand même amusant, j’aime sentir la queue de Paul aller et venir dans mon fondement et sucer celle de Kenneth qui me remplit la bouche. Faire l’amour avec eux a presque quelque chose de reposant après avoir enchaîné les F-Girls infatigables, j’en profite à fond et leur en donne pour leur argent. A côté de nous Haruko s’amuse à filmer et à chronométrer ses amis pour voir qui va tenir le plus longtemps avec moi, ces derniers s’offusquent un peu qu’il ne se soit pas lui-même chronométré quand il m’a baisé plus tôt mais ils se reconcentrent vite sur moi, surtout Haruko qui adore la façon dont je le suce.

« Hhhmmm… »

Ravi que ça te plaise mon beau…

Je ne savais pas trop à quoi m’attendre quand on m’a proposé cette soirée à Night City mais je dois dire qu’elle commence plutôt bien. Je repense à l’offre de Rogue, à sa solution pour que je devienne à la fois homme et femme grâce aux nanites… ce serait la réponse à mon hésitation et pourtant je continue de penser que ce n’est pas une bonne idée. Mais pourquoi ? Est-ce que je fais encore un blocage à cause de mon passif avec les nanites ? Est-ce que je fais une dysphorie de genre après avoir vécu au Lys si longtemps en tant que femme ? Je dois trouver une réponse… mais pour l’instant je dois m’occuper de mes amants. Je pompe la queue de Kenneth avec beaucoup d’appétit, jouant habilement de ma langue et creusant mes joues pour aspirer autant d’air que possible, le pauvre doit avoir l’impression que son sexe est coincé dans un aspirateur. Pour Paul je remue juste les fesses pour attirer son regard et l’encourager à me mettre une fessée.

Kenneth est le premier à jouir, je sens son sexe qui tressaille dans ma bouche avant d’expulser son foutre, et comme une bonne petite pute j’avale tout ce qu’il m’envoie. Quand il se retire Paul devient plus actif avec mon corps, il m’attrape pour me ramener contre lui et me mordiller le cou en disant qu’il aime mes couinements de salope.

« Aaahhh… fais-moi jouir mon beau… et tu entendras de vrais couinements de plaisir. »

Je sens bien que ce commentaire l’a motivé, ses coups de reins deviennent plus intenses et ses mains se baladent sur tout mon corps. Il n’y pas à dire je suis devenu doué pour exciter mes amants, mais quoi de plus normal après tout ce temps passé à faire la fille de joie ? Pendant que Paul me finit je regarde en direction d’Haruko qui continue de filmer, je fais des signes peace à la caméra et je laisse ma langue pendre au bord de ma bouche.

« Assure-toi… de prendre mon bon profit… aaahhh… quand je me fais enculer. »

Je crois que j’ai vraiment un truc avec les caméras.

Je tiens Paul pendant encore quelques minutes avant qu’il ne jouisse et je ne tarde pas à le suivre.

« Ooouuuiii… pppyyyooonnn ! »

Je sens son sexe gonfler dans mon anus, son foutre jaillir par grandes giclées et me remplir, puis je sens mon propre sexe tressauter sur place et mon sperme gicler devant moi, arrosant la table de billard. J’espère que la patronne ne sera pas fâchée qu’on salisse le matériel. Paul me libère après avoir bien joui en moi et je me retrouve affalé sur la table, reprenant tranquillement mon souffle. Je ne peux pas dire que ces garçons m’ont épuisé, j’ai déjà vu bien pire, mais même moi je ne peux pas enchaîner aussi vite.

« Aaahhh… Haruko… j’espère que tu as bien… tout filmé. »

Je veux qu’ils aient un beau souvenir de moi sur lequel ils pourront se masturber à l’avenir. Après deux minutes de récupération je me redresse et je m’assois sur la table face à mes amants.

« On reprend le jeu les garçons ? Il reste encore beaucoup de boules à mettre dans les trous… alors attrapez vos queues et venez jouer. »

A ce niveau ce n’est plus un sous-entendu c’est une invitation…