The Multiversity

Bobbie était heureuse. Cette scène ne pouvait que lui plaire. La cellule révolutionnaire de Stepford était en train de s’agrandir, et le jeune Carl allait être un nouveau pas, un nouveau jalon dans leur domination à venir sur cette ville. La verge de Bobbie se mit à durcir encore, et elle grogna en se mordillant les lèvres, sentant la résistance de son fessier. Joana était une femme magnifique, et lui faire l’amour était toujours très agréable. Prenant son pied, Bobbie remuait encore, posant ses mains sur les hanches de sa femme, et accéléra encore, embrassant sa femme dans le creux de son cou. Joana se faisait plaisir à sodomiser ce brave jeune homme. Carl se tortillait sur place, couinant joyeusement, sous le regard ravi de Zoey. Sa mère était désormais totalement entre les mains de Bobbie et de Joana, et était ravie de s’unir ainsi à son fils, de pouvoir l’éduquer parfaitement.

De son côté, Carl avait basculé. Il couina et soupira en sentant la main de sa mère sur sa verge. Sa queue était très dure, témoignant de sa furieuse excitation. Zoey se mordilla les lèvres en se rappelant ce que sa Maîtresse lui avait dit.

« C’est donc vrai… Les hommes aiment vraiment qu’on les sodomise… »

C’était l’opposition entre ce qu’on pourrait appeler « identité sexuelle de nature » et « identité sexuelle sociétale ». La société humaine amenait les hommes à agir comme des personnes dominatrices, des individus s’imposant sur les femmes, et refusant donc de se faire pénétrer. Pour autant, contrairement aux femmes, ils avaient une prostate. Quand on stimulait le rectum par le biais d’une sodomie, on pouvait heurter cette glande, ce qui stimulait l’érection, et pouvait déclencher des orgasmes. Bobbie ne tarda pas à regarder Zoey.

« Arrête ça, Zoey… N’aide pas Carl à jouir, hmmm… Laisse Joana faire jouir ce petit rebelle…
-  Pardon, Maîtresse ! »

Zoey rougit benoîtement, et acquiesça. Carl, de son côté, continuait à se laisser porter, et avait du mal à retenir sa salive. Zoey caressa donc son corps, glissant sa main sur ses longs cheveux, et prit soin de lui. Plus tard, elle ferait sûrement l’amour avec son fils, mais, pour l’heure, Bobbie poursuivait sa stratégie. Elle voulait rendre Carl accroc à la sodomie, qu’il jouisse encore à force que sa prostate soit titillée. De fait, Carl tremblait longuement, se mordillant les lèvres.

« Maî-Maîtresses… MAÎTRESSES ! »

Il jouit encore, furieusement, crachant sa chaude semence sur le sol et sur son corps. Han, que c’était bon ! Il suffisait de voir son regard pour comprendre que Carl était désormais convaincu…

…Joana et Bobbie venaient d’acquérir un esclave !

Face à un tel talent, Carl ne pouvait que succomber. Joana lui défonçait le cul avec allégresse, calant ses mouvements sur ceux de sa femme, tandis que Zoey titillait son fils mais sans l’aider à jouir. Le but était de le rendre accro à la sodomie et d’utiliser son plaisir sexuel comme un moyen de le soumettre. Le jeune garçon était de nature docile, ce qui facilitait le travail et le rendait plus agréable. La femme de Stepford regardait son dos cambré couvert de sueur, sa chevelure rousse étonnamment longue pour un garçon dans ce genre de ville aux valeurs conservatrices, l’écoutait gémir avec une voix aiguë, et imaginait déjà le jeune garçon en belle rousse plantureuse avec des lèvres pulpeuses, une longue chevelure de feu, une poitrine bien rebondie et un cul encore plus juteux qu’il ne l’était déjà. Ou peut-être qu’elle le teindrait en blonde pour lui donner un look de bimbo.

Peu importe... elle restera appétissante.

Quand Carl finit par jouir de cette sodomie, il lâcha un grand cri et cracha furieusement sa semence. En voyant son regard, Joana comprit qu’elles avaient réussi : le jeune garçon était désormais leur esclave. Elle le coucha sur le dos et l’embrassa, caressant son torse et le bout de son sexe.

« Sois le bienvenu parmi nous Carl. Toi et tes parents... vous serez les premiers membres... de notre Nouvelle-Stepford. Nous vous donnerons notre amour... en échange de votre obéissance... et ensemble... nous allons bâtir... un monde merveilleux. »

La soirée fut longue et délicieuse pour tout le monde, et au petit matin, la famille rentra chez elle aussi naturellement que si elle sortait d’un dîner ordinaire chez des amis. De leur côté, les Eberhart célébrèrent rapidement leur victoire avant que leurs filles ne se lèvent et qu’elles doivent reprendre leurs vies de mamans. La vraie mission allait pouvoir commencer.

Dans les deux semaines qui suivirent, Joana et Bobbie aidèrent Carl, Zoey et Dave à se faire à leur nouvelle vie de famille. Zoey apprenait à s’imposer dans son couple tandis que Dale apprenait à se taire et à obéir, avec des récompenses quand il se soumettait et des punitions quand il se rebellait. Quant à Carl, il apprenait à écouter d’abord sa mère et à assumer librement ses goûts pour les femmes dominatrices et la sodomie. Dans cette idée, sa mère avait mis en place une nouvelle règle : interdiction de se masturber en se touchant directement la verge, il devait forcément se satisfaire en se mettant un sextoy dans le cul. Zoey était également devenue plus gourmande au lit, et plus exigeante. Son mari n’arrivant plus à la satisfaire, elle baisait souvent au bureau avec Bobbie, mais la grande nouveauté du moment, c’était qu’elle avait commencé à coucher avec Carl. Son fils et elle s’étaient beaucoup rapprochés depuis que les rôles avaient changé à la maison, et elle voulait le préparer aux changements qui s’annonçaient. Avec l’accord de ses maîtresses, elle avait donc fini par sodomiser Carl, tout en travaillant sur une autre consigne des Eberhart : faire ressortir le côté féminin de son fils pour le convaincre de devenir une fille. Ce projet était important pour les Eberhart, et Zoey était clairement la mieux placée pour convaincre le jeune garçon. Elle l’encourageait à se travestir, lui prêtant ses vêtements et sa lingerie, à se laisser pousser les cheveux, à mettre du maquillage et à se pomponner longuement chaque jour. Il ne lui avait jamais ouvertement avoué qu’il voulait devenir une femme, mais chaque jour, il semblait accorder plus d’intérêt à tout ce que sa mère lui proposait. Et bien sûr, chaque fois qu’il allait dans son sens, elle le récompensait avec une bonne sodomie.

En parallèle, Dale travaillait à l’intérieur de l’Institut pour le faire peu à peu passer sous le contrôle de ses nouvelles maîtresses, mais les choses n’avançaient pas assez vite. Pire encore, certains employés commençaient à se méfier. L’équipe était encore trop faible pour risquer d’alerter leurs ennemis, ils étaient donc obligés de jouer la sécurité, mais du coup leur plan n’avançait pas. Il fallait prendre des mesures.

Kelly avait déjà prévu une réunion de crise pour trouver des solutions, mais en attendant, le couple Eberhart avait des projets plus agréables en vue. Dans le but de protéger leur famille, elles avaient décidé de convertir toutes les personnes proches d’elles ou de leurs filles, afin qu’aucune de ces personnes ne soit tentée de se retourner contre elle. Et la première sur leur liste était Cassie Maxwell, la gouvernante de leurs filles, une jeune lycéenne de 17 ans qui se faisait un peu d’argent de poche en parallèle de ses cours. C’était une jeune fille sérieuse, intelligente et travailleuse, et bien qu’ayant grandi à Stepford, elle semblait déjà prête à s’émanciper du schéma classique dans laquelle on avait voulu l’enfermer et à faire bouger les choses. En plus d’être un bon exemple pour ses filles, elle ferait une bonne recrue pour leur équipe.

Le couple avait invité la jeune fille chez elles un après-midi où elle n’avait pas cours sous prétexte de vouloir lui parler de son travail avec leurs filles. Cassie était arrivée chez elles après le déjeuner, vêtue d’un top blanc et d’un mini-short gris, et dès qu’elle entra, Joana l’accueillit dans leur salon, vêtue de l’un de ses tabliers sexy et avec rien en-dessous. Bobbei, elle, préparait encore son entrée. Avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit, la jeune fille eut droit à une petite décharge de nanites qui transforma sa surprise en excitation.

« Entre Cassie, je t’en prie. Viens t’asseoir. »

Joana s’installa sur son canapé et fit signe à Cassie de venir s’asseoir à côté d’elle. La jeune fille obéit en rougissant, ne pouvant s’empêcher de mater le décolleté de la femme. Elle avait également maté ses fesses nues quand elle lui avait tourné le dos.

« Alors... hum... pourquoi vouliez-vous me voir ? »

« Je voulais te remercier Cassie. Depuis que nous sommes arrivées en ville, tu as toujours su te montrer disponible et impliquée quand nous avions besoin de toi. Tu t’occupes bien de nos filles et tu es un bon exemple pour elles. Et Bobbie et moi, nous nous disions que tu méritais plus qu’un salaire. Nous voulons te prouver notre gratitude d’une façon plus... marquante. »

La jeune fille faisait de son mieux pour ne pas mater la femme au foyer, mais sous l’influence des nanites, elle ne pouvait pas s’en empêcher. La femme de Stepford sourit en la voyant jeter des coups d’œil rapides à son décolleté, et elle s’amusa à presser ses seins l’un contre l’autre.

« Ne te prive pas Cassie, tu peux mater mes seins autant que tu veux. J’ai enfilé ce tablier rien que pour toi. »

Joana aurait pu l’achever en un éclair avec ses nanites, mais elle voulait la séduire. Elle se mit à quatre pattes sur le canapé et vint agiter son superbe cul devant ses yeux.

« Que penses-tu de mes fesses ? Toutes les femmes à qui je les ai montrées ont été sous le charme. Et encore, tu devrais me voir en string. »

Cassie était une jeune fille vierge et frustrée par une pression sociale archaïque. C’allait être un jeu d’enfant

Après leur joyeuse orgie, le club de Bobbie s’était joyeusement accru, mais elle avait besoin de consolider ses positions. Si Zoey était définitivement acquise à leur cause, Dale était encore plus complexe. Il vivait dans une ville machiste, où les femmes devaient obéir, et avait encore du mal à admettre que sa femme le domine. Il dut de fait subir plusieurs séances de traitements. La maison de Bobbie devenant un peu trop risquée avec leurs enfants, elles utilisèrent la maison de Kelly Lawford. Travaillant pour la Fondation Viritas, elle n’eut aucune difficulté à rejoindre la mairie, et offrit à Bobbie et à Joana un accès à sa maison, une ferme aux abords de la ville avec une grange spéciale où Kelly installait un matériel de pointe pour reformater les hommes. Dale était enfermé à chaque crise dans les enclos de l’ancienne écurie, où les femmes le sodomisaient à tour de rôle.

S’en prendre à l’institut était pour le moment bien trop risqué, car Bobbie n’était pas en état de mener une révolte. Elle disposait d’un bon contact avec Joyce, la belle femme du maire, mais le maire était encore hors d’atteinte. Bobbie se rapprocha également de Joyce, et le ranch de Kelly devint finalement le parfait quartier général de son association, et de son plan visant à révolutionner Stepford. Kelly en profitait pour leur instruire sur la puissante Fondation Viritas. C’était une fondation ancienne, qui remontait en soi à l’époque de l’Antiquité, et qui avait toujours voulu préserver la supériorité des hommes. Leurs racines semblaient remonter à la Loi salique, un recueil de lois utilisé en France à l’époque de Clovis, et exhumé des siècles plus tard, sous le règne des Capétiens, pour interdire aux femmes d’hériter du pouvoir. Pour Kelly, c’était là le symbole le plus évident de l’apparition de cette fondation, qui disposait de beaucoup d’argent, et de politiciens. Kelly leur apprit qu’il existait un ranch plus grand à proximité de Stepford qui était un lieu de villégiature d’un sénateur américain en bonne marche pour les élections présidentielles.

Le plan de Kelly n’impliquait pas uniquement Stepford, qui était juste la première étape de son plan.

« Vous pouvez voir Stepford comme une ferme, une ferme destinée à réécrire les femmes et tuer leur esprit de velléité. Il existe d’autres fermes à travers le monde, d’autres Stepford, mais Stepford est une ferme très importante, car c’est ici que la fondation a développé de très bons résultats. »

Elles faisaient bien sûr aussi très souvent l’amour, tout en continuant à rabaisser Carl. Le jeune homme s’habillait désormais en fille, et, quand la direction de l’école le signalerait, il deviendra leur parfait cheval de Troie pour infiltrer l’Institut. C’était là la grande étape du plan de Kelly, mais, pour l’heure, il fallait davantage de monde.

C’est comme ça que les Eberhart décidèrent de s’attaquer à une camarade de classe de Carl, Cassie Maxwell. Belle et gentille, elle était une jeune adolescente pleine de vie, qui se déplaçait en portant souvent peu de vêtements. Elle était encore vierge, et les deux femmes décidèrent de faire d’elle leur amante, afin d’infiltrer davantage l’école. L’école de Stepford était ouverte à toutes les sections jusqu’au lycée, évitant ainsi que les enfants ne s’éloignent. C’était une autre des cibles de Kelly, car l’école était l’une des institutions de la ville.

Cassie, elle, était aussi déléguée de classe, et elle était la fille du directeur de l’école, qui avait sa femme comme vice-directrice. Cassie faisait la baby-sitter chez les Eberhart, ainsi que le ménage, et était généreusement payée… Mais, aujourd’hui, c’était quelque chose de très différent qui l’attendait.

Joana n’avait pas fait les choses à moitié, et avait enfilé un tablier terriblement sexy, avec de la dentelle, et pratiquement nu derrière. Elle s’occupait d’enflammer doucement les sens de Cassie en lui proposant un goûter très difficile à contrer.

Quand Joana lui parla de ses fesses, Cassie rougit furieusement.

« Je… Madame Eberhart, je ne suis pas sûre de comprendre ce que… »

Cassie allait se relever quand deux mains gantées se posèrent sur ses épaules, et la forcèrent à s’asseoir sur le canapé. Des crissements résonnaient dans son dos, où Bobbie était finalement arrivée. Elle avait opté pour un style très prononcé, une combinaison intégrale en latex avec un dos ouvert. La combinaison moulait ses formes, mais pas sa verge, qui était à l’air libre.

« Navrée d’avoir mis autant de temps, mais ma verge me faisait bien trop mal dans la combinaison… »

Cassie déglutit en voyant cette queue qui se dressait joyeusement.

« Je… Mais c’est… C’est… »

Sa voix devint blême et effacée. Kelly avait aussi appris aux Eberhart que les enfants de Stepford étaient très sérieusement encadrés. Ils portaient en eux les gènes de leurs parents, ces gènes de soumission. Toutes les adolescentes étaient encore vierges, car, quand elles s’unissaient pour la première fois avec un homme, avec une verge, elles liaient leur plaisir sexuel à celui-ci, et réciproquement pour les garçons pénétrant une femme. Autrement dit, la belle Cassie n’était destinée qu’à être la première de tous les adolescents de Stepford, que les Eberhart comptaient bien corrompre !

Cassie avait beau être assommée par la puissances des nanites, elle avait encore assez de lucidité pour voir que quelque chose n’allait pas. Elle voulut partir, mais Bobbie arriva dans son dos et posa ses mains sur ses épaules, la forçant à se rassoir. La futa avait opté pour une combinaison en latex intégrale qui recouvrait tout son corps, hormis une partie de son dos et sa queue, qui se dressa joyeusement devant le visage de la jeune fille. Cette dernière était divisée entre la crainte et le désir, attirée par la vue et l’odeur de cette verge veineuse et puissante tout en sachant qu’elle devait quitter cette maison au plus vite.

Joana se plaça juste à côté de Cassie, caressant sa cuisse nue.

« Oui Cassie, c’est une verge. Tu es assez grande pour pouvoir le dire sans avoir honte non ? »

De son autre main, elle caressa son visage tout en l’encourageant à bien regarder la queue de sa femme, qu’elle agitait devant son visage.

« Tu es à un âge où on se pose des questions sur le sexe, et je suis sûre que tes parents ont déjà dû te faire tout un discours sur la façon dont tu devais vivre ta sexualité. Et puis, les choses sont un peu particulières à Stepford. Tu es encore vierge n’est-ce pas ? Je parie qu’on t’a dit et répété à plusieurs reprises que tu devais offrir ta première fois à ton mari, et que tu deviendrais une parfaite épouse pour lui. Mais au fond de toi, tu sais que ce n’est pas ce qu’il faut faire. »

« Aaahhh... non... ce n’est pas bien. Je dois... je dois rester vierge... pour mon mari. »

La femme de Stepford fixa les yeux de l’adolescente dans les siens et déploya ses nanites.

« C’est faux, et tu le sais bien. Pourquoi t’habilles-tu toujours très court, comme aujourd’hui ? Parce que tu aimes sentir le regard des garçons sur toi. Et pourquoi te disputes-tu si souvent avec tes parents ? Parce que tu refuses leur modèle d’éducation. Je parie que tu aimerais pouvoir passer d’un amant à l’autre et prendre joyeusement ton pied sans avoir à penser à une quelconque forme d’engagement, je me trompe ? »

« Ooohhh... »

« Mais tu ne peux pas, parce que tu as été conditionnée, comme les autres adolescentes de cette ville, à lier ton plaisir sexuel à la première verge qui te pénétrerait. Ainsi, vos futurs maris s’assurent de vous garder dociles et obéissantes. »

« Ce n’est... non, vous vous trompez... »

« Mais il y a une faille dans ce système : à force d’accroitre votre désir pour vous rendre toujours plus soumises, les hommes de cette ville ont créé des dizaines de femmes frustrées. Et c’est là que ma femme entre en jeu. Elle et Jessica, les deux futas de cette ville, devaient vous garder sous contrôle en vous donnant le plaisir dont vous aviez tant besoin et que vous ne trouviez pas dans le sexe avec vos maris. Mais vois-tu, ils n’avaient pas pensé que, en baisant une femme suffisamment fort, on pouvait briser le conditionnement. »

Elle marqua une petite pause le temps de lui laisser assimiler ces informations, puis elle fit signe à sa femme de venir près d’elle. Ainsi, elle put continuer à parler à Cassie en la regardant dans les yeux tout en caressant sa queue de sa main encore libre.

« Ce n’est pas aux femmes de retenir leur libido pour faire plaisir aux hommes. C’est aux hommes de se dépasser pour satisfaire les femmes. Et bientôt, ma femme et moi bâtirons un monde où les femmes reprendront la place qui leur revient de droit, en tant que reines et mères de l’humanité.
Et toi, ma chère Cassie... tu vas être la première adolescente à nous rejoindre. »

Joana prit rapidement la queue de Bobbie en bouche pour la mettre en appétit, mais aussi pour chauffer leur invitée. Cette dernière avait beau se poser encore beaucoup de questions, elle ne pouvait ignorer la chaleur qui grandissait en elle. Une partie d’elle avait toujours refusé de vivre selon les règles strictes imposées par Stepford, mais son conditionnement avait su la garder docile. On lui avait promis une vie heureuse, libérée de tout le superflu, où elle vivrait le grand amour avec son mari en échange de sa loyauté éternelle, et elle l’avait accepté. Mais aujourd’hui, face à elle, une autre voie se montrait. Une voie où elle redeviendrait maîtresse de son destin, où elle pourrait s’affirmer, et où elle pourrait vivre pleinement sa sexualité. Et avec l’excitation qui la gagnait rapidement, difficile de croire qu’elle ne se laisserait pas tenter par cette voie.

« Allez viens Cassie... ne sois pas timide. »

La jeune fille bougea presque machinalement et vint se mettre à la place de Joana pour faire face à la queue de Bobbie. La femme de Stepford resta à côté d’elle pour lui donner des conseils.

« Caresse cette queue... imprègne-toi de son odeur... laisse ton désir t’envahir... ensuite tu commenceras à la sucer. »

Bobbie laissa sa femme compléter à merveille leur discours. Tout était effectivement vrai. La Fondation Viritas misait sur le développement de son mutagène à travers les générations futures pour créer des femmes dociles. C'était un plan aussi simple que redoutable, qui fonctionnait plutôt bien à Stepford. Cassie faisait partie de cette nouvelle génération de Stepfordiens qui étaient issus de mères génétiquement modifiées. Ces modifications génétiques avaient été transmises, mais étaient aussi savamment entretenues par les scientifiques de la fondation. Comme tous les autres enfants de Stepford, Cassie avait toujours été voir le docteur généraliste de la ville, qui officiait à la clinique, et qui s'assurait ainsi que les enfants reçoivent un traitement approprié. De cette manière, lorsqu'ils arrivaient à l'âge adolescent, et que la puberté commençait à se manifester, ils façonnaient le désir sexuel. Comme Kelly l'avait dit, l'objectif de la clinique était de pouvoir, dès l'enfance, destiner des couples à se former. Cependant, si les expériences de la Fondation permettaient, à ce jour, de créer le désir sexuel et, dans une certaine mesure, de le contrôler, la Fondation Viritas n'avait pas encore percé le secret de l'amour. Elle n'arrivait pas encore à amener Cassie à devoir aimer celui qui serait son future mari, alors elle jouait sur le désir sexuel pour que la femme reste soumise à celui qui la prendrait sexuellement, et qui serait génétiquement encodé pour être le seul à faire ça. Alors, Kelly avait envisagé d'utiliser Bobbie et Joana pour « sauver » cette génération.

Cassie était leur premier choix, et elle rougissait furieusement en écoutant les explications de Joana. Elle n'osait plus partir, et était comme inextricablement attirée par les yeux de Joana, ainsi que par la verge de Bobbie. Elle se pinçait doucement les lèvres. Le sexe ne lui était pas une inconnue, mais elle n'avait jamais fait l'amour avec d'autres, quand bien même certains garçons la tentaient. Ses parents le lui avaient interdit, et elle soupira en regardant Joana sucer la queue de Bobbie. La femme hermaphrodite frémit doucement, posant une main sur la tête de sa femme, tout en croisant le regard de la belle Cassie.

« Écoute bien ce que dit ma femme, Cassie... Nous sommes venues ici pour libérer Stepford, pour adapter celle-ci au nouveau monde. Jadis, les femmes dominaient les hommes, tu sais ? Le rapport de force s'est inversé, et on ne peut guère dire que cette culture du patriarcat soit une franche réussite. C'est dans la nature des hommes, hmmm... Je souhaite faire de Stepford un matriarcat décomplexé du carcan des hommes, où tu n'auras pas à craindre d'assouvir tes désirs sexuels en craignant le regard désapprobateur d'individus arrogants qui veulent te soumettre à leurs petites queues... »

Elle parlait sans doute moins bien que Joana, mais sa femme avait déjà tout dit, et, après tout, elle avait sa queue dans la bouche de sa femme. Difficile de parler intelligemment dans ce cas de figure ! Néanmoins, quand Joana demanda à Cassie de venir, celle-ci se mit à genoux devant la verge de Bobbie, et commença à la renifler. Cette odeur aurait normalement dû la repousser, mais l'odeur de cette belle verge ne fit que l'exciter davantage, faisant rougir furieusement ses joues.

« C'est... Elle est si grosse, je...
-  Commence par bien t'en imprégner, embrasse-là, lèche-là... »

Bobbie était en soi admirative des travaux de la Fondation, de ce qu'ils avaient réussi à faire. À terme, elles devront sans aucun doute poursuivre et améliorer leurs recherches. Et, s'il est exact que les deux femmes n'étaient pas venues initialement à Stepford pour cette révolution, le fait est qu'elles avaient fini par adopter ce rôle.

Soupirant lentement, Cassie commença son office, ornant la verge de Bobbie de baisers, de coups de langue timides et nerveux... La jeune fille ne savait pas vraiment comment faire, mais Bobbie faisait largement confiance à Joana pour la former bien comme il faut.

Voyant que Cassie avait du mal à se lancer, Joana décida de la mettre en appétit en suçant sa femme. Bobbie fit à la jeune fille un autre discours sur l’avenir de Stepford, un avenir matriarcal libéré du carcan des hommes où elle pourrait assouvir librement ses désirs. Après ce petit encouragement, Joana s’écarta et laissa vraiment leur invitée s’imprégner de la vue et de l’odeur de ce chibre dressé et couvert de salive. Elle sourit en voyant son visage tout rouge et ses tentatives un peu timides, ne sachant visiblement pas comment s’y prendre. Heureusement, elle avait de très bons professeurs avec elle.

« N’aie pas peur ma chérie, elle ne va pas te manger. Imagine juste que c’est une grosse sucette. Tu aimes les sucettes ? »

« Je... j’en ai plus mangé depuis que je suis petite. »

« Eh bien ça, c’est une sucette pour les femmes adultes comme toi. Alors lèche-là tranquillement, à ton rythme, et ensuite tu pourras la sucer. Tu te souviens encore comment on fait n’est-ce pas ? »

L’action de sucer était quelque chose qu’un humain faisait tout au long de sa vie. Depuis les bébés qui suçaient le sein de leur mère ou leur tétine, jusqu’aux adultes qui suçaient des choses longues et dures pour le plaisir. Alors évidemment, une jeune fille aux hormones en ébullition et conditionnée pour devenir la soumise d’un homme ne pouvait que savoir. Elle se mit donc à donner des coups de langue plus appuyés, plus confiants, et plus le temps passait, plus l’odeur de ce chibre à ses narines et sa texture sur sa langue lui donnaient envie. Ses seins devenaient durs, ses tétons pointaient douloureusement contre les bonnets de son soutien-gorge, et elle sentait un picotement agréable entre ses jambes qu’elle soulageait en frottant son bassin sur le canapé. Elle agissait à l’instinct, et c’était ce qui réjouissait le plus la femme de Stepford qui l’observait attentivement.

C’est en train de venir. Une fois que Bobbie aura joui dans sa bouche, elle sera à nous.

Après quelques minutes, Cassie arrêta les léchouilles et embrassa le gland de Bobbie, qui frémit à ce contact. Joana interrogea la jeune fille avec ses nanites pour être sûre qu’elle ne lui mentirait pas.

« Comment te sens-tu ma belle ? »

« Aahh... mes seins... me font mal. Et... j’ai envie... de cette queue. »

« Ah oui ? Et tu en as envie comment ? »

« Hhhmmm... dans ma bouche. J’en ai envie... dans ma bouche. »

Les mots sortaient naturellement, le conditionnement psychologique de la jeune fille était en train de faiblir. Et d’un autre côté il se renforçait, puisque c’était ce même conditionnement qui devait la préparer à se lier à un homme par son premier acte sexuel. Les responsables n’avaient sans doute pas prévus que leur science serait détourné de cette façon.

« Alors fais-toi plaisir Cassie. Accueille cette magnifique verge dans ta bouche... accueille le plaisir en toi. Et n’oublie pas ce que je t’ai dit à propos de la sucette. »

De toute façon, elle restait près d’elle pour la guider s’il le fallait, et elle savait que sa femme la ménagerait... au début.

Joana compara la fellation au fait de sucer une sucette. Bobbie sourit doucement devant cette comparaison audacieuse, mais qui n’était pas totalement infondée non plus.

« Évite de mettre les dents, par contre, ça reste une zone sensible ! »

La jeune Cassie, si pure et si innocente, allait bientôt devenir l’une de leurs nouvelles amantes et esclaves. Cette idée ne manquait pas d’exciter furieusement Joana, qui se pinça doucement les lèvres en la voyant se rapprocher. S’appuyant sur ses genoux, Cassie avait reniflé cette belle verge. Son visage innocent était un pur régal, et, quand elle entrouvrit ses lèvres, Bobbie frémit. Elle serra ses mains sur les cheveux de Cassie. Bientôt, ce serait elles qui formeraient la nouvelle Stepford, une Stepford libérée de l’institution patriarcale, et de tout ce que cela impliquait. Bobbie avait en horreur ce modèle inspiré de sociétés patriarcales avec une famille monolithique où l’homme contrôlait tout. Elle rêvait d’une société plus libre, et c’était ce modèle qu’elle allait instaurer. Elle soupira quand sa grosse queue fut titillée par la bouche de Cassie, qui la prit doucement entre ses lèvres.

De discrets gémissements s’échappèrent de ses lèvres, et Bobbie frémit encore, croisant brièvement le regard de Joana. Dans le dos de Cassie, celle-ci veillait soigneusement à cette dernière, lui prodiguant des conseils, notamment quant au fait de respirer.

« Hmmm… Là, là… Lève les yeux, Cassie, regarde-moi, nous sommes tes Maîtresses, désormais… Regarde mes yeux, laisse-les t’inspirer… »

Et Cassie s’en inspira ! Elle releva ses beaux yeux clairs, et Bobbie croisa donc son regard. Elle lui sourit doucement, caressant ses cheveux, tandis que Joana se blottit dans son dos. Elle l’embrassa dans le creux du cou, la faisant soupirer, et Bobbie continua à caresser les cheveux de Cassie. Il n’y avait aucune raison de se montrer brusque ou sauvage,  elle voulait au contraire prendre tout son temps, et la former soigneusement. Une si belle adolescente ne méritait pas autre chose ! Elle continuait donc à la sucer, s’enfonçant progressivement en elle, relevant ses yeux, tout en ayant de plus en plus chaud.

Bobbie invita Joana à venir soulager Cassie, et sa femme s’écrasa encore davantage dans le dos de sa partenaire. Sa main fila entre les cuisses de la jeune femme, et caressa son intimité trempée. Son autre main alla palper ses seins, et elle la caressa ainsi, l’embrassant dans le creux du cou. Cassie soupira encore, tandis que les mains de Bobbie se crispèrent davantage sur ses cheveux. Un long frisson traversa les lèvres de Bobbie, qui regarda encore Cassie, jouant avec elle.

« Respire par le nez, ma belle, prends le temps de déglutir, rien ne presse… Hmmm… C’est bien, Cassie, c’est bien, ma belle, renifle cette odeur… »

L’odeur de ce sexe imprégnait les narines de Cassie, remontant directement dans son cerveau, l’encodant sur place. Les manipulations génétiques de la Fondation Viritas étaient redoutables, et particulièrement prometteuses pour Bobbie, qui se pinça encore les lèvres, soupirant à nouveau. Sa queue devenait plus dure, plus lourde, et elle commença aussi à remuer. Elle voulait cadrer son orgasme avec celui de Cassie, et savait que Joana allait se débrouiller pour la faire jouir précisément quand elle le voulait. Son regard croisa donc celui de sa femme, afin de savoir précisément quand elle allait la faire jouir.

C’était un magnifique travail d’orfèvre, et Joana s’amusait à retirer ses doigts de la chatte trempée de Cassie, caressant alors le pourtour de ses lèvres intimes, jouant ainsi avec sa propre excitation. C’était un doucereux spectacle, très exquis, et Cassie commença à sucer, à pomper ce dard tout en couinant et en se tortillant sur place.

« Ooooh, elle aime ça, ma chérie… Hmmm… ! »

Cassie rougissait joyeusement, incapable de parler, et ses yeux commencèrent à se voiler. L’orgasme la saisit, et Bobbie se pinça les lèvres. Ses doigts se crispèrent sur les cheveux de Cassie, et elle jouit copieusement en elle, enfonçant d’un coup sa trique en elle. Les yeux de la jeune femme s’écarquillèrent brièvement sous l’effet de cette gorge profonde, et de tout ce sperme qui explosa dans sa délicieuse bouche. Bobbie soupira en se relâchant copieusement, et, consciente que ce liquide serait un peu de trop pour Cassie, regarda Joana.

« Empêche-là de recracher ce sperme, ma chérie… Embrasse-là, qu’elle avale le plus de mon sperme possible ! »

Car, si elle recrachait tout, l’encodage génétique pouvait ne pas marcher. Cassie était sonnée, et Bobbie retira sa queue, laissant ensuite sa femme agir…

Au début, Bobbie ne fit pas grand-chose, hormis offrir son sexe à Cassie. Mais une fois que l’adolescente eut trouvé un bon rythme, elle posa ses mains sur sa tête et lui demanda de lever les yeux pour la regarder. Evidemment, la jeune fille obtempéra, et ce contact visuel l’inspira. La gêne et la crainte disparaissaient peu à peu de son esprit pour ne laisser qu’une excitation grandissante. Plus elle goutait à ce sexe, plus elle en avait envie. Joana et Bobbie la conseillaient sur la façon de sucer et de respirer tout en flattant son corps, surtout Joana. La femme de Stepford passa dans le dos de l’adolescente et se mit à l’embrasser dans le creux du cou, pelotant ses seins d’une main et caressant son entrejambe de l’autre. Elle n’avait même pas besoin de passer sous ses vêtements pour l’exciter.

« Laisse le plaisir t’envahir ma belle... laisse ton corps s’exprimer. Oublie les codes machistes qu’on t’a implanté depuis ta naissance... laisse cette belle queue te libérer. »

Cassie ressentait réellement la force du désir pour la première fois. Les caresses sur ses zones intimes, l’odeur de la verge de Bobbie, sa dureté dans sa bouche... tout cela lui faisait lentement perdre la tête. Quant à Joana, elle faisait ce qu’elle voulait d’elle, travaillant son plaisir pour que son orgasme coïncide avec celui de sa femme. Cela ne ferait que rendre le conditionnement plus efficace.

Quand Joana vit que la tension commençait à bien monter chez Bobbie, elle glissa ses mains sous les vêtements de Cassie pour venir la toucher directement. Evidemment, l’adolescente monta très vite dans les tours, et son plaisir la rendit plus gourmande. Elle se mit vraiment à pomper ce dard tout en couinant et en se tortillant sur place, affamée par une faim qu’elle n’avait encore jamais ressentie.

« Ouh... mais c’est qu’elle devient gourmande. Allez mon amour, donne à cette petite affamée ce qu’elle demande. »

Quand la futa finit par jouir, elle enfonça d’un coup sa trique dans sa gorge, ce qui surprit la jeune fille, mais ensuite elle sentit le sperme jaillir dans sa bouche. Juste après, elle eut elle aussi un orgasme, et comme prévu, son conditionnement le rendit détonant. Elle inonda sa culotte et son short, à tel point que le canapé en fut mouillé, et tout son corps trembla sous le coup de cette explosion intérieure. Jamais elle n’avait ressenti une telle chose, et cette sensation allait la marquer au plus profond de son être. Pour autant, elle ne quitta pas Bobbie des yeux, et voir l’expression de plaisir sur son visage lui fit encore plus plaisir. Ce visage, comme pour son orgasme, allait rester dans sa mémoire pour toujours. Le conditionnement de Stepford se retournait à présent contre ses créateurs.

Joana prit rapidement le relais. Quand sa femme se retira, elle plaqua aussitôt sa bouche contre celle de Cassie, lui roulant une magnifique pelle tout en s’arrangeant pour pousser un maximum de sperme dans sa bouche. Elle en prit aussi un peu de son côté pour éviter que la jeune fille ne s’étouffe, mais elle lui en laissa la plus grosse partie. Encore une fois, le conditionnement génétique de Stepford fit son office, et son corps assimila l’ADN de la semence qu’elle avalait. Ce fut ainsi que Bobbie devint biologiquement son amante attitrée.

Une fois le baiser terminé, Cassie se sentait toute chose. Tout son corps était en éveil, et elle regardait Bobbie avec des yeux remplis d’envie. Joana, ravie de voir la tournure que prenait les choses, ne manqua pas de titiller l’adolescente.

« Alors ma belle... comment te sens-tu ? »

« Aaahhh... j’ai chaud... si chaud... »

La jeune fille retira un à un tous ses vêtements jusqu’à se retrouver complètement nue sur le canapé. La langue pendant hors de la bouche, ses yeux étaient rivés sur le sexe encore tendu de la futa, et son visage rouge ainsi que sa respiration lourde trahissaient son excitation.

« Cette sucette... non... cette verge... je la veux encore. Dans ma bouche... et entre mes jambes. »

Joana était ravie, mais voir Cassie agir de la sorte lui donnait aussi des envies.

« Et tu vas encore l’avoir ma belle. N’est-ce pas mon amour ?  »

Elle laissa la jeune fille aux bons soins de sa femme, qui allait pouvoir lui offrir sa première pénétration, et pendant ce temps, elle prit la petite culotte trempée de son invitée et vint la renifler tout en se caressant la vulve.

« Aahh... pendant que Bobbie satisfait... hhhmmm... tes envies de grosse bite... moi je vais satisfaire mes envies... de jouer avec ta culotte. Et ensuite... ooohhh... je te donnerai ton premier cunnilingus. »

Mais Cassie n’était déjà plus attentive. Elle n’avait plus d’yeux que pour Bobbie.

C'était un plan établi sur plusieurs années. Il fallait bien ça pour changer la société, pour mettre fion au machisme ambiant ! Depuis des millénaires, les hommes dominaient les femmes, et il était désormais temps que cela change, que cette pratique barbare et rétrograde cesse ! Bobbie rêvait d'une société où les hommes finiraient petit à petit par disparaître, par n'être plus que des traps, par des espèces de femmes, et elle rêvait d'un monde où il n'y aurait finalement plus qu'un seul sexe, avec des variantes. Après tout, Bobbie restait une femme, mais avec une verge. L'hermaphrodisme représentait en définitive la meilleure manière d'aboutir à une meilleure humanité.

Et cette petite Cassie allait avoir la chance exceptionnelle d'être la première de cette nouvelle génération, la « génération stepfordienne ». Elle suçait cette belle queue, tandis que Joana l'avait masturbé, puis les deux femmes s'embrassèrent ensuite. Cassie avait joui, et répondit avec envie au baiser de Joana, mais, alors même que Bobbie craignait que le goût du sperme ne soit trop fort pour elle, Cassie chercha jalousement à protéger ce liquide. Une attitude qui fit sourire Bobbie, mais qui confirmait que Cassie était soumise à elle. Décidément, ce mutagène était terriblement efficace ! Et, de fait, quand Joana rompit le baiser, tout ce que Cassie voulait était à nouveau goûter à cette verge.

Bobbie sourit doucement en la voyant renifler sa queue, la léchant et l'embrassant avec appétit. Tendrement, elle caressa ses cheveux, la laissant faire, tout en croisant le regard de sa femme.

« Elle est magnifique, non ? Ma belle Cassie, tu es déjà subjuguée... »

Bobbie était surprise par la manière dont le mutagène s'adaptait à sa situation, et avait modifié Cassie. Elle avait franchi un point de non-retour, et plus rien ne pourrait la faire revenir en arrière. Joana avait attrapé la culotte de Cassie afin de satisfaire ses pulsions fétichistes. Si l'idée excita Bobbie, elle laissa Cassie indifférente, car celle-ci n'avait d'yeux que pour la verge de sa Maîtresse. Bobbie réfléchit un peu, et se racla la gorge.

« Je vais te prendre ta virginité, ma petite Cassie... Mais il faut que tu offres un beau spectacle à ma femme, qui est aussi ta Maîtresse, et ce au même titre que moi.
-  B-Bien, Maîtresse... »

Bobbie sourit doucement, constatant combien Cassie était en manque. Oh oui, tout ça devait la démanger furieusement en ce moment ! Bobbie lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur le tapis au milieu du salon. C'était un tapis rembourré, de manière à ne pas lui faire mal. La jeune femme obtempéra silencieusement, et Bobbie se positionna dans son dos, venant malaxer le beau petit cul de Cassie. Celle-ci gémit doucement, tandis que Joana était face à elles, assise sur le canapé, avec la culotte trempée de la jeune adolescente.

Lentement, Bobbie prenait tout son temps.  Elle palpait le délicieux cul de Cassie, et ses pouces glissèrent près de sa croupe, écartant lentement ses fesses l'une de l'autre. Cassie rougit encore en se tortillant sur place, et sentit la verge de sa Maîtresse coulisser contre ses lèvres intimes. Bobbie sourit lentement, et entendit Cassie gémir à nouveau.

« Maî-Maîtresse, j'ai si chaud là, pitié... Maîtresse ! »

Un léger gloussement s'échappa des lèvres de Bobbie, qui pinça le cul de Cassie.

« La fougue de la jeunesse... C'est vraiment quelque chose de magnifique. »

Mais Bobbie ne voulait pas se montrer inutilement cruelle. D'habitude, une première fois était toujours difficile, surtout quand on avait une grosse verge comme celle de Bobbie à devoir avaler en soi. Mais, quand Bobbie s'enfonça en elle, Cassie eut un orgasme instantané. La douleur envahit le corps de la jeune femme quand Bobbie perça son hymen, mais cette douleur s'étouffa devant une incroyable vague de plaisir. Les joues rouges pivoines, Cassie se mit à gémir  fortement, tandis que Bobbie s'attaquait à elle avec appétit.

Sa verge s'y enfonça avec appétit, et elle commença à remuer en elle, venant la dominer, le tout sous le regard envieux de Joana, qui avait de quoi se régaler en voyant le visage joyeux de Cassie exprimer tout son plaisir...

Pendant que Joana satisfaisait ses pulsions fétichistes en reniflant la culotte de Cassie, cette dernière se présenta face à Bobbie, prête à perdre sa virginité. Suivant les consignes de la futa, elle se mit à quatre pattes sur le tapis du salon, un beau tapis bien rembourré pour qu’elle puisse se faire prendre en levrette sans se faire mal. Elle frémit de tout son être en sentant les mains de sa maîtresse sur son cul, pressant et malaxant tendrement ses fesses, et sa queue contre ses lèvres intimes. Elle se mordait déjà les lèvres d’anticipation, tout comme Joana, qui se caressait la vulve avec la petite culotte de leur soumise contre son nez.

Ooohhh… elle est tellement trempée… elle va prendre un pied monstrueux.

Quand Bobbie décida finalement de la pénétrer, Cassie sentit cette délicieuse verge coulisser entre ses lèvres intimes, s’enfonçant peu à peu en elle, et elle eut aussitôt un orgasme.

« OOUUII ! Maîtreeeesse… votre queue… hhhmmm… elle est si bonne ! »

Après une vague de douleur dû à sa première pénétration, le plaisir la noya aussitôt. Les joues rouges pivoine, la jeune fille se mit à couiner fortement tandis que la futa la prenait avec appétit. Tout son corps n’était que plaisir tandis qu’elle s’offrait complètement à sa nouvelle maîtresse, impatiente de sentir son sperme chaud la remplir à ras-bord.

Joana s’attendait bien à ce que la première fois de Cassie soit rapide, mais quand elle la vit jouir aussitôt pénétrée, elle réalisa à quel point la génétique de Stepford était puissante. Bien sûr elle savait déjà que ce n’était pas un sujet à prendre à la légère, mais vu la facilité avec laquelle sa femme faisait jouir leur soumise, convaincre les adolescentes de Stepford de rejoindre leur cause allait être une partie de plaisir. C’était même tellement facile que c’en était effrayant. La jeune femme imaginait toutes ces jeunes filles, en proie au tourment à cause de leurs hormones en ébullition, manipulés par leurs parents et par d’horribles machistes pour se lier par le sexe à un homme, qui les enchaînerait ensuite par le mariage et la grossesse, pour au final les délaisser. Jamais elles ne pourraient avoir une vie libre et épanouie parce qu’elles seraient prisonnières de leur rôle d’épouse et de mère. Si elles avaient eu le choix, Joana n’aurait rien dit, mais leur forcer la main de cette façon, c’était inadmissible. Voilà pourquoi le projet de sa femme et elle était si important. Elles voulaient offrir un monde meilleur aux femmes, un monde où on ne les rabaisserait plus jamais à cause de leur sexe, où elles pourraient enfin avoir la vie dont elles avaient envie. Qu’elles veuillent devenir médecins, astronautes, soldats, ingénieurs, avocats, ou même rester femme au foyer, plus aucun homme ne leur imposerait un chemin. D’ailleurs, les hommes n’auraient plus leur place dans ce monde. Joana comptait bien utiliser la technologie de Stepford pour unir l’humanité dans un seul sexe féminin, avec quelques variations. Femmes, futas ou traps, tous vivraient ensemble, heureux et satisfaits. Voilà le genre de monde que la femme voulait pour ses filles.

Observant avec plaisir la façon dont Bobbie culbutait Cassie, Joana se masturbait en frottant la petite culotte de l’adolescente contre sa vulve et son clitoris. Sans être particulièrement fétichiste des culottes, pouvoir jouer avec celle d’une adolescente qui découvrait le sexe pour la première fois était un petit plaisir qu’elle savourait avec joie. Se masturber faisait également bouillonner son imagination. Elle se mit à imaginer Cassie en uniforme d’écolière, avec une petite jupe très courte et un décolleté provoquant, qui recevrait une leçon de sexe de Joana, habillée d’un tailleur-jupe bien moulant.

La question est, est-ce que je suis élève ou maîtresse ?

L’uniforme la mettrait bien en valeur, et face à sa femme, elle était naturellement en position de soumise. Mais elle serait tout aussi élégante en tailleur, et face à Cassie, elle était la maîtresse. Quoi qu’il en soit, elle ne faisait qu’imaginer, cela lui donnait plus de plaisir quand elle se masturbait.

Joana était-elle meilleure que les hommes de Stepford qui asservissaient les femmes à des mariages frustrants et abscons ? La question méritait d'être posée, puisque Cassie allait après tout devenir son esclave. Mais, paradoxalement, elle allait aussi être plus libre, plus réveillée. Oui, elle se soumettait à Bobbie, mais de la même manière qu'on se soumettait à l'autorité publique, à l'État, ou à la loi. Bobbie avait force de loi ici. Elle ne soumettrait pas Cassie à un quelconque mariage, la jeune femme serait libre comme l'air, alors elle estimait que c'était tout de même préférable à l'idée de renouveler le modèle patriarcal traditionnel.

Face à elle, Cassie était impatiente, et Bobbie s'enfonça en elle comme dans du beurre. Cassie eut un orgasme instantanée quand la verge de sa Maîtresse perça son hymen, et ses joues s'empourprèrent, tandis qu'une indicible expression de plaisir vint perler sur son visage. C'était l'expression rayonnante du bonheur, un bonheur sincère et fort. Une jeune femme qui venait enfin de goûter au plaisir inattendu de l'orgasme. Cassie s'y absorba avec envie, son petit corps commençant à remuer sous les coups de reins de Bobbie, qui commença à s'enfoncer plus profondément en elle. La jeune Futanari soupira lentement en se pinçant les lèvres, et Cassie commença à gémir, bavant sur le sol. 

« Dieu, ce que tu es serrée, ma petite cochonne...
-  Maî-Maîtresse ! Han, Maîtresse ! »

Qu'est-ce qu'elle pouvait dire d'autre ? La jeune Cassie se laissait doucement porter par les coups de reins solides de Bobbie, qui maintenait une exquise pression. La Futanari remuait puissamment en elle, accélérant progressivement, au fur et à mesure que les parois internes de la jeune femme se dilataient. La douleur virginale liée à la percée de l'hymen fut pratiquement indolore pour Cassie, qui contracta rapidement un deuxième orgasme, se transformant en une jeune femme-fontaine. Bobbie gifla alors son cul, et Cassie hurla de plaisir, réagissant avec plaisir à tout ça.

Et Bobbie se mit aussi à s'imaginer professeur, dominant tous ces élèves libidineux, les soumettant les uns après les autres. C'était sans aucun doute une piste à explorer ! Mais, pour l'heure, elle offrait un singulier spectacle à Joana, qui avait de quoi s'enflammer sur place. Cassie était de fait proche des jambes de Joana, et, après plusieurs minutes, la jeune lycéenne rapprocha son visage, et vint embrasser la jambe de Joana, la léchant respectueusement.

« Quelle obéissance, hihi ! s'amusa Bobbie, non sans la gifler encore une fois. C'est à croire qu'elle aime ça, cette petite traînée ! »

Cassie couina encore, rougissant devant de tels propos. Loin de la choquer, cela ne faisait que l'exciter ! La verge de Bobbie cognait désormais contre son col de l'utérus, offrant à la jeune femme des plaisirs absolument exquis, des vagues de plaisir qui devaient remonter furieusement en elle. Elle découvrait un plaisir immense, jouissif... Et tout cela ne faisait fort heureusement que commencer !

Evidemment, une jeune vierge comme Cassie était un régal à baiser pour Bobbie. Quant à Joana, elle profitait pleinement du spectacle. Et contrairement à sa femme, elle ne se posait pas la question de savoir si son asservissement était plus légitime que celui que les dirigeants de Stepford prévoyaient. Ces hommes voulaient l’emprisonner dans un schéma machiste dépassé depuis des siècles, là où elles lui offraient une chance de faire partie de leur nouvelle communauté où elle serait une reine. Elles ne l’obligeraient pas à quoi que ce soit tant qu’elle leur resterait fidèle. Si elle décidait finalement de quitter Stepford pour aller vivre ailleurs, elles ne l’en empêcheraient pas. Elles voulaient juste lui montrer à quel point le mode de vie traditionnel qu’on cherchait à lui imposer était mauvais.

Devant la vue de Cassie à ses pieds, jouissant abondamment à chaque orgasme, Joana se sentait toute chose. Bobbie s’amusait à malmener son petit cul, l’excitant toujours plus avec son langage cru, à tel point que la jeune fille se mit d’elle-même à lécher les jambes de sa maîtresse.

« Aaahhh... obéissante et gourmande... on a fait une belle prise. »

Désormais, rien ne pouvait empêcher le couple Eberhart de soumettre l’adolescente à leur volonté. Alors Joana profitait à fond du spectacle, offrant ses pieds à Cassie pour qu’elle les lèche avec plaisir, tout en collant la culotte de cette dernière contre son nez.

« Ooohhh... Bobbie, ma chérie... pour notre prochaine conquête, si on prenait la capitaine des pom-pom girls ? Hhhmmm... je mouille rien qu’à l’idée de la voir secouer ses pompons pour nous.  »

L’adolescente ne serait pas la dernière à succomber sous les coups de butoir de la futa, il y avait des dizaines de femmes à Stepford, jeunes ou matures, qui allaient être utiles au plan du couple. Après Cassie, Joana pensait s’occuper du directeur et des maîtresses de l’école élémentaire et de la maternelle de Stepford. Tout comme Cassie, ces personnes étaient proches de leurs filles, et elle savait que si leur plan était découvert, il faudrait les protéger. Et grâce aux nanites et au soutien de sa femme, aucun civil ordinaire de cette ville ne pourrait résister. Mais elle pouvait aussi s’amuser un peu au milieu du plan. La chef des pom-pom girls était sans doute déjà promise au capitaine de l’équipe de foot, mais une fois qu’elle serait passée entre leurs mains, son joli petit cul ne serait plus qu’à elles.

Même si Joana aimait beaucoup voir Cassie lui lécher les pieds et les jambes, elle se dit rapidement que sa langue pouvait être utile ailleurs. Elle prit donc sa tête entre ses mains et l’amena jusqu’à son entrejambe, humide et chaude.

« Mmmhhh... montre-moi comme tu lèches bien. »

Et pendant ce temps, elle la regardait faire en continuant à renifler sa petite culotte.

Pour Cassie, c'était un sacré entraînement ! La jeune femme sexuellement inexpérimentée était en train de devenir une spécialiste du sexe ! Mais, avec Bobbie et Joana, il était difficile de faire outre. Le mutagène agissait donc à merveille, et Bobbie ne pouvait qu'admirer les talents des scientifiques de la Fondation Viritas. En fait, ils étaient même sans doute trop performants. En développant ainsi les talents sexuels des femmes, ils avaient créé des générations de frustrées, car, à moins d'améliorer également les hommes, ils ne pouvaient pas satisfaire les femmes. La Fondation Viritas avait été trop efficace pour elle-même, et il était dans ces conditions logique que Bobbie finisse par intervenir. Cassie était en tout cas en train de découvrir pleinement le sexe, et s'en sortait admirablement bien. Elle se mit à jouir rapidement, mais sans s'arrêter, continuant à gémir, en voulant encore plus. Ah, quel appétit ! Bobbie ne pouvait qu'adorer ça, et se mit à malaxer avec appétit le cul de la jeune femme.

Cassie couina encore, tandis que Joana suggéra de s'attaquer ensuite à la chef des pom-pom girls du lycée. Un léger sourire orna les lèvres de Bobbie à cette idée. L'idée n'était clairement pas mauvaise, et Bobbie sourit donc. Elle gifla alors le cul de Cassie, et hocha la tête.

« Hmmm... Maî-Maîtresse, c'est si bon, haaaa... !
-  Hmmm... C'est une bonne idée, Joana, mais je ne compte pas me contenter d'une seule personne... Je veux tout le lycée à nos pieds ! »

Bobbie avait de grandes idées, elle jubilait avec joie à l'idée de tout ce qu'elle allait leur faire, de cette armée de jeunes femmes et de jeunes hommes aux hormones en ébullition qu'elle pourrait baiser longuement. Bobbie continuait à la prendre, sentant sa mouille se recouvrir sur sa queue. On pouvait entendre une série de claquements, et Cassie couinait encore, peinant à lécher les jambes de Joana, mais s'appliquant à le faire. Elle salivait en revanche beaucoup, peinant à tenir encore à quatre pattes. Il fallait bien admettre que Bobbie était une femme puissante, qui ne lui épargnait rien. Elle la prenait avec force, et Joana se redressa ensuite, demandant à Cassie de lécher sa chatte en chaleur.

Cassie couina encore, et et se pencha en avant. Elle releva ses mains pour agripper les cuisses de Joana, tremblotant nerveusement. Intuitivement, elle savait comment faire ça, et lécha avec tendresse l'intimité de Joana. Ses mouvements étaient peu maîtrisés, peu appuyés, mais elle compensait par sa passion... Et, après tout, elle était joyeusement prise par Bobbie, qui continuait à claquer son délicieux cul ferme,

« Haaann... Ça va bien nous occuper, tout ça ! » s'exclama-t-elle.

Car Cassie ne serait que la première... La première d'une longue série à venir !

L'idée de Joana de s'en prendre à la capitaine des pom-pom girls plaisait à Bobbie, mais elle ne voulait pas s'arrêter là. Elle voulait tout le lycée à ses pieds.

« Aaahhh... évidemment. »

De toute façon, la ville entière finirait à leurs pieds à terme, il fallait juste décider qui passerait à la casserole en premier.

Bien que secouée par tout ce qui lui arrivait, Cassie faisait de son mieux pour suivre les consignes de ses deux maîtresses. Elle agrippa les cuisses de Joana en tremblant et colla sa langue contre sa vulve. Ses mouvements étaient peu maîtrisés, peu appuyés, mais elle compensait par sa passion. Et puis ça ne devait pas être facile pour elle de s'appliquer alors qu'une futa le prenait joyeusement la chatte en claquant son bon petit cul.

« Hhhmmm... oouuii... ça c'est une bonne fille. Continue comme ça... aaahhh... »

Une main posée sur la tête de la demoiselle pour caresser ses cheveux, son autre main toujours près de son visage pour renifler la culotte qu'elle lui avait prise, Joana se régalait. Bien sûr, sa soumise avait des progrès à faire, mais une fois que le lycée serait sous leur contrôle, le couple Eberhart pourrait organiser des classes d'orgies où filles et garçons s'entraîneraient à faire l'amour.

On pourrait même avoir un système de notations, et le meilleur couple gagnerait une baise avec moi et Bobbie.

Un peu de saine compétition encouragerait ces adolescents déjà bourrés d'hormones à se donner encore plus à la cause du couple.

Du fait de son inexpérience et de sa difficulté à se concentrer, il fallut à Cassie près de dix minutes pour que son cunni ne fasse jouir Joana. Dix minutes durant lesquelles la femme de Stepford accumula du plaisir et de la frustration en elle. Dix minutes durant lesquelles son esprit pervers vagabonda, alternant entre les idées pour faire avancer le plan et les fantasmes. Du coup, quand elle eut enfin joui, elle fit signe à sa femme de faire une pause et elle attrapa le visage de l'adolescente entre ses mains pour l'embrasser. Un baiser gourmand et passionné, et elle prit tout son temps pour le savourer. Quand elle libéra ses lèvres, elle se lécha les babines.

« Aaahhh... il est temps pour toi... de découvrir la sodomie. »

Sa formation ne pourrait pas être complète si elle ne découvrait pas le plaisir anal après tout. De son côté, Joana passa dans le dos de Bobbie, écrasant sa poitrine contre elle.

« Fais-toi plaisir mon amour. Dilate-lui le cul... bien comme il faut... »

Elle se mit également à caresser les fesses de sa femme d'une main et approcha la culotte de l'adolescente de son visage, pour que la futa puisse la renifler.

« Hhhmmm... je parie que tu bandes encore plus dur maintenant. Cassie va avoir mal... mais elle va adorer ça. Ooohhh... ne te retiens pas surtout. »

Et après ça, elle espérait bien que Bobbie voudrait la punir et utiliser sa lance sur elle. Car mine de rien, elle était pas mal excitée elle aussi.

C'était la différence entre Bobbie et les hommes de Stepford : son endurance sexuelle et sa perversité étaient sans comparaison avec eux. C'était aussi là la principale faille du Programme Viritas, le fait de ne pas améliorer les hommes, et de laisser les femmes dans un état croissant de frustration. Bobbie avait réussi à corrompre ce système pour mener sa révolution sexuelle, sa révolte contre ces hommes qui voulaient que les femmes restent de simples esclaves domestiques. Cassie allait être la première adolescente de Stepford à se révolter contre ce système. Elle était déjà convaincue, et faisait preuve d'une endurance surnaturelle pour une jeune femme inexpérimentée. Les gènes de Stepford coulaient en elle, et les minutes s'égrenèrent donc. Cassie contracta encore plusieurs orgasmes, tout en s'efforçant de lécher avec force et vigueur la chatte de sa femme. Joana, quant à elle, croisait le regard de Bobbie, et la Futanari pouvait lire dans les yeux de sa femme un émerveillement important, le signe que l'imagination perverse de sa femme travaillait à toute allure. Qui sait ce qu'elle allait encore imaginer pour Cassie, ainsi que pour tout leur harem ? Car Stepford, à plus ou moins long terme, ne deviendrait rien de plus que le harem géant des deux femmes ! Cette idée suffisait à faire joyeusement fantasmer Bobbie, qui continuait à prendre la belle Cassie.

Elle finit par se relâcher en elle. Quand Joana eut son orgasme, Bobbie cracha sa semence, tout en claquant le postérieur de la jeune femme. Elle se déversa joyeusement en elle. Un magnifique orgasme qui amena Cassie à tomber ensuite au sol, sonnée. Joana n'en avait toutefois pas encore fini, tout comme Bobbie. Joana se lova dans le dos de Bobbie, qui sourit en percevant son excitation. La puissante Futanari reprenait petit à petit ses forces, et, quand la main de Joana titilla sa verge, son excitation commença à croître. Joana suggéra une sodomie, et Cassie se retourna vers elle, rougissant doucement.

« Maî-Maîtresse, vous avez joui en moi...
-  Tout à fait, Cassie, et cela ne fait que commencer. Comment te sens-tu ? »

Au-delà des désirs des Eberhart, Bobbie voulait aussi s'assurer que tout se passait bien pour Cassie, et qu'elle ne commençait pas à ressentir un sentiment de rejet à l'idée de tout ce qu'elle subissait. Mais Cassie était joyeuse, et en même temps... Frustrée. Elle commençait visiblement à ressentir des démangeaisons dans tout le corps. Bobbie sourit, et se retourna vers Joana, venant embrasser tendrement sa femme sur les lèvres, et caressa ses fesses.

« Je vais la sodomiser, mais c'est sa première fois... Je pense que ta langue pourrait être utile, ma chérie, pour me préparer le terrain. Et, pendant ce temps... »

Bobbie n'avait sûrement pas oublié sa femme, et elle avait justement trouvé une solution qui permettrait de s'occuper d'elle ! Car Joana était évidemment très importante aux yeux de Bobbie. Tout en commençant à lui faire sa proposition, Bobbie déplaça sa main pour la poser sur sa croupe, et elle pressa le cul de Joana, qui se crispa légèrement sur place, frémissant à ce contact. Joueuse et autoritaire, Bobbie s'amusait avec elle, et poursuivit ensuite :

« ...Je te sodomiserai, toi. »

Ceci étant dit, leur chambre serait sans doute un meilleur endroit pour ça. Bobbie déplaça ensuite sa main pour caresser le visage de Cassie, qui était encore un peu sonnée par tout ce qu'elle venait de vivre, mais en même temps très excitée à l'idée de ce qu'elle allait encore ressentir ensuite !

Joana s’était beaucoup concentrée sur Cassie jusqu’à présent, mais elle ne voulait pas laisser Bobbie de côté. Après l’avoir un peu aguichée, elle la vite se tourner vers elle et soupira de plaisir quand elle joignit ses lèvres aux siennes, frémissant du contact de ses mains sur son derrière. La futa était d’accord pour sodomiser leur esclave, mais puisque c’était sa première fois, Joana allait préparer son anus en le léchant. Et pendant ce temps, son anus déjà bien entraîné aurait le plaisir de se recevoir le chibre puissant de sa femme.

« Ooohhh... mon amour... tu me gâtes. »

Mais avant de se lancer, le trio décida de changer de pièce. Elles montèrent à l’étage pour rejoindre la chambre du couple. Cassie s’installa à quatre pattes sur le lit, puis Joana se plaça derrière elle, posa ses mains sur ses jolies fesses et les écarta pour ouvrir l’accès à sa rondelle.

« Oui... je vais me régaler. »

La femme de Stepford commença à lécher la porte arrière de la jeune fille, qui gémissait et se tortillait sur place de ce petit plaisir. Cependant, elle savait que ce n’était qu’un prélude à la vraie récompense qui l’attendait : sa première sodomie. Et elle put en avoir un aperçu quand le couple Eberhart commença à baiser. Elle ne pouvait pas regarder, mais rien qu’en écoutant, elle savait qu’elle prendre son pied.

Dans son dos, Joana pouvait sentir la queue puissante de sa femme caresser sa rondelle, l’excitant doucement pour faire monter sa frustration. Une verge aussi délicieuse, elle se méritait.

« Hhhmmm... Bobbie, ma chérie... ta femme adorée a besoin... de ta grosse bite bien veineuse... dans son petit cul. Il n’est pas encore... ooohhh... totalement élargi. »

Ayant les mains prises, ni Joana ni Bobbie ne pouvaient s’amuser avec la culotte de Cassie. Joana décida donc de la lui rendre pour qu’elle puisse découvrir pourquoi la lingerie féminine était source de fétichisme.

« Tu as déjà reniflé une culotte Cassie ? Aaahhh... c’est une sensation... exquise. »

Femme aimante, Bobbie ne comptait pas trop négliger Joana. Voir sa femme baiser longuement cette jeune lycéenne avait dû fortement exciter Joana, et, puisque Bobbie avait pris sa virginité, elle commença à réfléchir à la suite. Certes, elle allait sodomiser Cassie, mais ne serait-ce pas aussi juste que Joana lui prenne sa virginité anale ? Bobbie trouvait l'image très romantique... Elle, une perverse, offrait à sa femme la virginité anale d'une jeune fille à qui elle avait pris sa virginité vaginale. Cette idée commença doucement à l'exciter et elle se frotta contre le dos de sa femme, frottant sa verge contre son délicieux cul. Joana se tortillait sur place, mouillant en pinçant les fesses de Cassie. À quatre pattes, la jeune adolescente mouillait encore. Elle était bel et bien une Stepfordienne, très endurante, sans même avoir une grande expérience sexuelle. Oh, Bobbie allait tellement se régaler avec elles ! Elle trépignait déjà d'excitation, et ne sodomisa pas tout de suite sa femme, préférant palper ses seins, l'embrasser dans le creux du cou.

« J'ai changé d'avis, ma chérie... Je pense que tu mérites de prendre son petit cul... D'enculer très fort cette petite salope... »

Cassie était excitée, excitée par ces mots crus. Bobbie attrapa ensuite la main de Joana, et l'incita à fesser le cul de Cassie. Joana venait de lui remettre sa propre culotte, et Cassie gémit encore, couinant à chaque fessée.

« Maî-Maîtresses, j'ai si chaud... Mon cul a si chaud ! »

Bobbie sourit, et gloussa même, puis attrapa un strap-on noir. Il arrivait à Joana de baiser sa femme, après tout. Bobbie n'était pas contre cela, car elle aimait profondément Joana. Le strap-on abritait des vibromasseurs, deux orientés vers l'intérieur pour pénétrer Joana par la chatte et par le cul, et un troisième pour pénétrer sa partenaire. Elle le mit elle-même sur le corps de sa femme, l'attachant soigneusement, et veilla à enfoncer chaque vibromasseur dans son corps.

« Ne t'inquiète pas, ma petite chienne, je vais laisser Joana te prendre... Crois-moi, tu ne le regretteras pas ! »

C'était une variante par rapport à ce qu'elles avaient prévu initialement, mais, avec Bobbie, c'était plutôt habituel. Elle s'écarta ensuite, sa verge toujours tendue. Pas encore de sodomie pour Joana, car ce serait sa récompense ! Au contraire, Bobbie voulait la frustrer avec ces vibromasseurs, qui étaient moins gros et moins puissants que sa propre verge ! Ainsi, le désir allait croître en même temps que la frustration de la jeune femme. Tandis que Bobbie se déplaça, elle alla récupérer une télécommande permettant de faire fonctionner les vibromasseurs, et déclencha ceux-ci en souriant joyeusement, une lueur perverse dans les yeux...

Joana s’attendait à ce que Bobbie attaque le cul de Cassie une fois qu’elle aurait été bien excitée, mais au lieu de cela, elle la surprit en lui proposant d’être celle qui prendrait la virginité anale de la jeune fille.

« Moi ? Oh mon amour... ce serait avec plaisir. »

Encouragée par sa femme, elle mit plusieurs fessées à la jeune fille, qui couina en disant que son cul avait très chaud. Joana se retrouva avec un strap-on noir entre les cuisses, avec deux vibromasseurs internes et un externe. Une fois équipée, elle regarda la futa aller s’installer un peu plus loin, une télécommande à la main pour commandes les vibromasseurs.

Le sourire aux lèvres, Joana se tourna vers Cassie et lui attrapa les fesses, les malaxant avant de les écarter pour venir frotter le vibro externe contre sa rondelle.

« Ca va te faire mal au début... c’est pour ça que tu dois crier. Mais ensuite ça ira mieux, et tu prendras vraiment ton pied. »

La femme de Stepford enfonça son sexe dans le cul de sa soumise, progressant petit à petit selon ce que la résistance de l’anus lui permettait. La jeune fille couina et cria, aussi bien de douleur que de plaisir, jusqu’à ce que sa maîtresse arrive à toucher le fond de son orifice. Bobbie lui avait enfilé un strap-on à la fois bien long et bien large, cette sodomie allait être intense.

« Aaahhh... voilà... je suis au fond. Et maintenant... hhhmmm... tu vas prendre ton pied... ma petite salope. »

Joana commença à bouger d’avant en arrière, doucement, le temps que Cassie s’habitue à la présence de son phallus en plastique dans son cul, puis elle accéléra le rythme au fur et à mesure, jusqu’à trouver le bon équilibre entre vitesse et puissance pour que sa soumise prenne vraiment son pied.

« Aaahhh... oui Cassie... désormais tu n’es plus vierge nulle part. Tu es notre soumise... ooohhh... et tu nous obéiras... pour nous aider à faire de Stepford... une ville parfaite pour les femmes. »

Pendant qu’elle besognait Cassie en fessant son petit cul rebondi, Joana sentait les vibromasseurs en elle s’agiter, lui donnant du plaisir mais surtout de la frustration. Elle savait que Bobbie jouait avec elle et la préparait pour aller la sodomiser une fois qu’elle en aurait fini avec leur soumise, et cela lui convenait. Elle était la soumise de leur couple, elle devait satisfaire les désirs de sa femme. Elle allait décharger un maximum de sa frustration sur l’adolescente qu’elle sodomisait, et ensuite elle se ferait baiser par sa femme.

Bobbie comptait bien laisser Joana s'amuser aussi. Après tout, c'était sa femme ! Joana méritait, elle aussi, de prendre la petite Cassie, et, même si, aux yeux de Cassie, Bobbie restait sa Maîtresse, Joana étant sa femme, elle se devait aussi de lui obéir. Elle avait très envie de sentir encore le gros mandrin de Bobbie en elle, quand bien même cette pénétration avait été très douloureuse... Mais ce bonheur qu'elle avait ressenti, ce plaisir intense et exquis... Elle voulait encore le ressentir ! Mais, tandis que Joana s'appliquait, Bobbie, elle, sortit une caméra, et commença à filmer sa femme. Elle voulait immortaliser ce souvenir, tout en tenant la télécommande dans son autre main.

Quand son vibromasseur s'enfonça dans le cul de Cassie, celle-ci gémit doucement. Elle couina sur place, se crispant sur le lit, bandant ses muscles. La jeune Cassie n'avait encore jamais découvert le sexe avec autant d'intensité. Si elle s'était parfois caressée intimement, cela n'avait jamais été jusqu'à se faire tringler de la sorte par deux femmes si puissantes ! Bobbie fut donc ravie de voir Joana la prendre. Sa femme la sodomisa avec énergie, et grogna de plaisir, appréciant visiblement beaucoup le petit cul serré de Cassie. Il fallait bien admettre que la jeune femme avait un corps très agréable, et que c'était pour Bobbie un pur régal de les voir ainsi.

« Oh, Joana, tu es si belle, ma chérie...
-  Hmmm... Gnnnn... !! »

Pour l'heure, Cassie avait encore du mal à supporter ce chibre en elle. La douleur était intense, mais aussi jouissive, sulfureuse, et de plus en plus libératrice. Elle commençait à se laisser aller, suant abondamment tout en remuant d'avant en arrière. Joana ne l'épargnait nullement, accélérant le rythme, tandis que Bobbie enclencha les vibromasseurs. Le plaisir commença à croître dans le corps des deux femmes, et Joana se mit à gémir, tandis que Bobbie filmait avec appétit la scène. Un spectacle très alléchant, après tout ! Les deux femmes continuaient à se faire l'amour avec appétit, et Cassie se laissait progressivement aller, son plaisir rythmé par les fessées de Joana, qui prenait son aise, tout en commençant à mouiller.

Bobbie se rapprocha lentement, et sourit doucement en percevant les soupirs onctueux de Cassie. La jeune femme était subjuguée, conquise, et laissait sa partenaire la prendre. Elle frémit alors en sentant la verge de Bobbie caresser son corps. Bobbie était désormais contre le flanc de Cassie, et se pencha vers Joana, venant l'embrasser énergiquement.

« Hmmm... J'aime tant te voir comme ça, ma chérie... Occupée à besogner ces petites salopes qui mouillent devant ma queue...
-  En-Encore, Maîtresses... Encore !
-  Tu vois ? Elle est totalement conquise ! »

Bobbie se rapprocha alors devant Cassie, et serra d'une main ses cheveux, la forçant à relever la tête, tout en caressant son visage avec sa queue. Un doux sourire ornait ses lèvres, tandis qu'elle approcha sa queue de ses lèvres.

« Allez... Viens me sucer, ma chérie, viens me sucer... »

Et Cassie, ravie de pouvoir avoir ses deux Maîtresses s'occupant d'elle, s'empressa d'accepter, allant gober cette magnifique queue tendue...

Joana avait bien compris à quel jeu jouait Bobbie. Elle s’amusait à faire monter sa frustration en contrôlant précisément les vibromasseurs, tout ça pour qu’elle se décharge complètement sur Cassie, et que sa première sodomie la marque profondément. Elle devait sans doute trouver très amusant de regarder sa femme besogner le cul de cette adolescente tout en filmant la scène. Elle vint même l’embrasser tout en frottant sa verge contre le visage de Cassie.

« Aaahhh... tu vas voir... je vais tellement bien la besogner... qu’après ça... hhhmmm... elle mouillera rien qu’en nous croisant dans la rue. »

Joana regarda Bobbie se rapprocher de Cassie, qui prit sa queue en bouche avec plaisir, et ce spectacle lui donna une nouvelle poussée d’adrénaline. Elle attrapa fermement les hanches de la jeune fille et enfonça son strap-on d’un coup sec jusqu’au fond de son cul. Elle ne pouvait pas crier parce qu’elle avait la bouche pleine, mais son couinement étouffé laissait comprendre qu’elle l’avait senti passer.

« Ooohhh... tu vas jouir ma belle. Et ensuite... Bobbie s’occupera de moi. »

Joana ne faisait plus dans la demi-mesure. Sa sodomie était intense, profonde, et elle allait prendre son pied un maximum, tout comme Cassie. Elle voulait voir cette jeune fille se tordre de plaisir, son esprit se vider pour ne plus penser qu’au sexe, et sa femme baver d’envie devant le spectacle. Bien sûr Bobbie filmait tout, et elle ne manquait pas de faire coucou à la caméra quand l’objectif était sur elle.

« Aaahhh... cette petite cochonne... a un si bon cul. Hhhmmm... quel pied ! »

Et Joana baisa ce délicieux petit cul, encore et encore, sans jamais ralentir ou offrir de moment de répit à Cassie. Elle ne s’arrêta que quand l’adolescente finit par jouir, un orgasme aussi bien de plaisir que de douleur. Après ça, son anus était bien dilaté et son cul bien rouge. Elle était parée pour une autre sodomie si le couple Eberhart se sentait d’humeur, mais pour l’instant, Joana n’avait qu’une idée en tête : que Bobbie la saute. Elle se délogea du fondement de l’adolescente et l’éloigna de sa femme.

« Aaahhh... tu vas être sage et attendre ici. Tu peux te toucher si tu veux... mais Bobbie est à moi maintenant. »

La femme de Stepford se débarrassa de son strapon et vint se coller au corps de sa femme, caressant son chibre d’une main et son cul de l’autre.

« Hhhmmm... y ai-je droit maintenant ? »