The Multiversity

Ce fut une sacrée séance et Aoki avait encore donné de sa personne pour que Rex puisse se soulager et qu'Aoki prenne aussi son pied. Peut-être bientôt, leur gentil toutou allait avoir une nouvelle amie avec qui partager tout cela ? Cela restait encore à méditer mais après tant de coup de rein, il finit par jouir, et Aoki se sentie libérer de tout cela, retombant sur les cuisses de sa voleuse de cœur. Elle aurait pu dormir, car vu que l'aube ne tarderait pas à se lever et vue cette nuit de folie, ce serait une sacrée grasse matinée pour le trio. Aoki se laissait caresser par Felicia et elle aurait pu s'endormir sans peine, mais elles avaient une dernière chose à faire, soulager une dernière fois Doutzen. Elle leva les yeux vers sa jolie poupée en gémissant, de plaisir, de fatigue, difficile à dire.

« Mmmmmmmh, après en avoir pris plein le cul, je ne vais pas te faire subir ça, Doutz-chan... Mais te fourrer ton petit minou, ça me parle plus. »

Aoki se redressa tant bien que mal, tendant ses bras pour faire venir sa poupée à elle, et l'embrasser tendrement, caressant ses cheveux avec douceur. Oui, elle était trop fatiguée pour jouer les maîtresses qui fouettent des culs et donne des ordres. La douceur sera au rendez-vous pour elle. Libre à Felicia de prendre le relais de ce côté, elle, elle était calmée. Aoki se recula, de façon à bien s'installer sur le lit, laissant sa jolie poupée venir se blottir contre elle.

« Mmmmh, tu t'es bien amusé ce soir, ma Doutz-chan, mais on a une dernière chose à faire avant que tu puisses te reposer. »

Felicia lui donna sa pilule, juste un petit bout, que sa queue tienne un orgasme, pas la peine de continuer encore pendant des heures. Elle retourna l'embrasser ensuite, le temps que cela fasse effet, elle y sentait aussi le poids de Felicia qui l'écrasait, cherchant aussi sa part du baiser. C'était beau, c'était doux pour le moment, c'était parfait. Après quelques minutes de baiser et de caresse, Aoki se tortillait, sentant sa queue pousser, se nichant entre les cuisses de Doutzen, se frottant à la queue de sa fiancée.

« Je suis prête à te remplir une dernière fois, ma petite chérie. »

Aoki remuait, de façon à pouvoir la pénétrer, un plaisir qui se lisait facilement sur son visage. Elle caressa à nouveau son visage avant de l'embrasser en douceur.

« Tu es bien installé ? Mmmh, alors en piste. »

Cela n'allait pas être un rodéo de sa part, mais elle allait assurer sa part du travail, une dernière fois en rendant Doutzen heureuse avant de se reposer dans leur lit. Ce ne sera pas la première fois qu'elles ne dorment pas seule dans ce lit, mais bon, c'est vrai que d'habitude, c'est surtout Pamela et Harley qui viennent, parfois Natalia mais c'était plus rare.

« Allez ma toute belle... huuum, laisse-toi aller... une toute dernière fois ! »

Doutzen était épuisée. C’était le cas de le dire ! Aoki et Félicia étaient des amantes d’exception, elles avaient dépassé ce soir, et cette nuit, toutes les limites possibles et inimaginables. Elles avaient tout simplement tout pulvérisé, démontrant à Doutzen combien celle-ci, bien que talentueuse en matière sexuelle, avait encore beaucoup à apprendre. Nerveuse et excitée, la jeune femme tremblait doucement sur place, tandis qu’Aoki l’invitait à s’allonger. Ce serait leur dernière danse, et celle-ci était bien méritée. Un soupir traversa lentement les lèvres de Doutzen, tandis qu’elle se couchait sur le dos, s’appuyant sur ses avant-bras pour croiser le regard de sa partenaire.

Un frisson la traversa quand elle vit Félicia donner à Aoki une pilule rose, qu’elle avala. La transformation ne se fit pas tarder, et Doutzen gémit, se pinçant les lèvres en sentant une agréable bosser caresser ses cuisses. Un membre chaud et veineux remontait sur sa peau, la faisant longuement frémir.

« Maî-Maîtresse… »

La jeune femme gémit doucement, tandis que, tout aussi lentement, Aoki s’installa sur elle. Le latex et la sueur s’appuyèrent sur son corps, et l’adolescent se pinça les lèvres, remontant ses mains pour caresser les épaules de sa Maîtresse. Elle sentit celle-ci se déplacer encore, et, dans un soupir, Doutzen la laissa rentrer en elle. Son membre assoiffé s’enfonça contre ses lèvres intimes, et le contact la fit gémir. Elle crispa ses doigts sur ses épaules,  et la sentit remuer ensuite, accélérant doucement, tendrement. C’était une délicieuse fin de partie, et Doutzen écarta les jambes, simplifiant ainsi l’accès de sa Maîtresse.

Elle agrippa ses cheveux humides, et vola à Aoki un baiser. Sa Maîtresse colla contre elle son corps langoureux, la sueur aidant à les faire adhérer l’une à l’autre. Les jambes de Doutzen remuèrent lentement, se frottant contre les collants d’Aoki. Elle ne demandait pas non plus de la perversion, juste… Une dernière fois avec sa Maîtresse. Sentir celle-ci la remplir, s’unir à elle. Tout son corps frissonnait à cette idée. C’était… C’était magnifique ! Il n’y avait pas d’autres mots pour décrire ça.

Heureuse. C’est ce que Doutzen était, en ce moment.

Paré pour son dernier tour, Aoki avait ce joli bâton de chair tendue entre ses jambes, ce même membre chaud et dur qui ne demandait qu'à pénétrer la jolie Doutzen. Aoki était prête à s'écrouler et récupérer de cette nuit torride, mais avant ça, elle avait une dernière chose à faire. Elle ne sera pas la plus performante pour cette dernière fois, mais elle pouvait tenir un peu le coup pour que Doutzen soit combler par sa première soirée chez ses maîtresses. Allongée sur le lit, elle laissa la demoiselle venir s'installer sur elle, soupirant de plaisir quand elle prit place. Si durant la soirée, Aoki aimait jouer les maîtresses qui aimaient se faire sentir supérieure, là, elle allait y aller mollo, après tout ce qu'elles ont vécu, et pour finir, Rex, elle allait souffler un peu. Baisant ses petites lèvres, elle profitait de son délicat corps chaud et tendre, bien qu'il lui était difficile de vraiment jauger sous ses gants, mais elle le supposait. Ses gants de latex glissaient, crissaient parfois en la caressant, son corps suant et chaud contre le sien.

« Mmmmh, ma petite chérie... Savoure, ma belle... savoure. »

Aoki profitant de son jeune corps, ses caresses s'étalaient dans son dos, venant doucement glisser vers son joli petit cul qu'elle pressait avec tendresse et amour. Mais elle ne sera pas la seule à en profiter, car elle écartait doucement ses dernières, dévoilant son délicat petit trou secret, qui sera évidemment offert à Felicia. Elle aussi devait profiter de ce dernier moment de tendresse avant de se reposer toute ensemble, leur lit était bien assez grand pour trois personnes.

« Felicia, vient... Viens la remplir de plaisir... Nous jouirons ensemble, dans Douz-chan. »

Il ne restait plus qu'elle pour les rejoindre et doucement finir en douceur cette magnifique soirée, sous les premières lueurs de l'aube pour passer une très grasse matinée à se reposer de tant d'effort. Et dire que cela n'était que la première nuit de Doutzen ici... Qu'allait donner ses prochaines nuits, c'était une grande question !

La belle Doutzen avait été baisée ce soir et cette nuit dans tous les sens possibles et inimaginables. Cette soirée méritait indéniablement de figurer dans son Top 3, et même d’être à la première place. Sa Maîtresse et sa petite-amie avaient été incroyables toutes les deux, plongeant Doutzen dans une véritable tornade de sexe dont la jeune femme peinait encore à se remettre. Reprenant péniblement ses esprits, Doutzen luttait contre l’envie de dormir, car elle avait encore l’envie de faire l’amour, au moins une dernière fois… Mais elle sentait bien qu’elle allait dormir longuement ensuite. Consciente que son esclave approchait de ses limites, Aoki se montrait plus douce, venant caresser son dos. Couchée sur le ventre, Doutzen soupirait doucement en sentant les mains gantées de sa Maîtresse caresser son corps en sueur. Elle délaissa rapidement ses cheveux pour s’attaquer au reste de son corps, glissant dessus, se rapprochant progressivement de ses fesses. Et, quand les mains d’Aoki vinrent les peloter, un soupir de plaisir s’échappa des lèvres de Doutzen.

« Hmmm, Maîtresse… Mon corps tout entier vous appartient… »

Doutzen ignorait ce que la suite allait donner. Pourrait-elle revenir ici ? Pour ça, il allait falloir que sa Maîtresse trouve un terrain d’entente avec Reto, ce qui n’était pas gagné d’avance. Mais elle avait envie d’y retourner, de goûter encore à ses deux femmes. Félicia sourit quand Aoki lui proposa de venir, et la main de la Chatte Noire caressa brièvement le visage d’Aoki, puis les deux femmes s’embrassèrent tendrement. Doutzen, qui commençait à se tortiller sur place, sentit ensuite les mains de Félicia venir également la caresser. De fait, elles ne la pénétrèrent pas immédiatement, mais tâchèrent plutôt de la stimuler, amenant progressivement la jeune femme à sentir le désir croître de nouveau en elle, remuant dans son corps.

Félicia gloussa en ressentant ça, et se frotta dans le dos de Doutzen, allongeant son corps contre le sien. En sentant cet uniforme en latex se coller à son corps, Doutzen gémit une nouvelle fois. Avec son corps en sueur, elle sentait le latex adhérer plus facilement à sa peau, et, quand Félicia remuait de haut en bas, la sensation de décollement du latex de sa peau était très excitante, confirmant en tout cas les pulsions fétichistes de Doutzen.

« Haaa…
-  Tu vois, j’étais sûre que notre esclave avait encore un peu d’endurance… Tu ne comptes tout de même pas laisser tes Maîtresses ainsi, hein, Doutz’-chan ?
-  N-Non, hmmm… »

Elle se déplaça alors, et sentit des mains la redresser. Aoki se déplaça également, et passa sous Doutzen, qui se mit à quatre pattes. Elle sentit la verge de sa Maîtresse contre ses parois intimes, et son regard croisa celui de sa Maîtresse. Doutzen alla alors, très spontanément, lui voler un baiser. C’était sa Maîtresse, et, à sa manière, Doutzen l’aimait. Ce n’était pas un amour l’amenant à vouloir être son épouse, mais à vouloir qu’elle la domine, un amour tortueux et biaisé, à la hauteur de ce que Doutzen était. Mais elle n’avait nullement envie de changer. L’amour normal, naturel, l’avait mené à cette situation quand ses parents l’avaient abandonné pour la vendre à Reto. Alors, pourquoi aurait-elle voulu des activités normales ?

Félicia palpa encore ses fesses, et les deux verges s’enfoncèrent en elle, celle d’Aoki dans sa chatte, et celle de la Chatte Noire dans son fondement. Doutzen gémit à nouveau, rompant le baiser avec sa Maîtresse, et celle-ci put avoir la chance de voir le visage de sa soumise se tordre de plaisir juste sous ses yeux… Un plaisir immense, à n’en pas douter, pour le dernier rodéo de cette nuit !

Ce serait la dernière fois pour ce soir, enfin, le soleil ne tarderais pas à se lever, autant dire que ce fut une très bonne soirée. Doutzen avait beaucoup vécu, beaucoup appris, mais Aoki aussi en avait eut pour son grade, auprès de sa chérie, avec Rex, autant dire que ce ne fut pas de tout repos. Il n'y a que les petites séances avec Doutzen où, reprenant la main, elle pouvait souffler un peu en général. Alors là, avant que leur poupée ne fasse un gros dodo, elles allaient pouvoir se soulager une dernière fois. Après une telle soirée, il était évident qu'Aoki allait faire en sorte que sa poupée revienne dormir à la maison, pas forcément quand elle aurait une audition le lendemain, car pour ça, elle doit être en pleine forme ! Mais pour fêter sa réussite ou juste par plaisir, pourquoi pas ? Ce ne serait pas Felicia qui serait contre cette idée. Malgré la fatigue, Doutzen restait présente et joueuse, bien moins qu'à son arrivée mais c'est normal après tout ce qui s'était passait depuis qu'elle avait franchit cette porte.

« Je le sais, ma poupée, tu m'appartiens... à moi, et à Felicia. »

Doutzen pourrait bien devenir leur esclave favorite, Pamela leur avait souvent parlé de sa petite préférer, une certaine Chloé qu'elle adorait baiser, parfois avec Harley, parfois sans. Doutzen pourrait bien devenir leur Chloé. Aoki caressait son corps avec douceur, ses mains gantés s'humidifiaient avec sa sueur, glissant sur sa peau de porcelaine, jusqu'à son petit cul dont elle en écartait l'entrée pour sa chérie qui n'allait pas se priver. Bien qu'elle la fit doucement languir, elle la positionna, laissant sa chérie venir d'abord la pénétrer entre les jambes, suivit de Felicia. Ensemble, elles allaient la remplir une dernière fois. Un baiser entre amoureuses, et il était temps de s'occupé pleinement de la belle poupée russe.

« Elle a encore un peu d'endurance, hum, mais ne va pas me trop me l'épuisé, huuuum, pour autant. »

Rien n'était prévue pour elle demain mais il est une chose de la combler, il en est une autre de totalement l'épuiser. Ensemble, les deux femmes la prenait, leur membre bien dur remuait dans le corps de Doutzen, s'assurant que le plaisir soit toujours là, toujours plus grand ! Son corps glissaient entre elles, rebondissant toujours plus sous leurs coups de reins, alors qu'elle continuait de faire entendre sa douce voix pleine d'amour. Aoki avait dans l'idée de monter un groupe d'Idol, et si y placer Doutzen pouvait être une bonne idée, ce n'était déjà pas son rêve, et de deux, le Japon était très attachée à l'idée d'une Idol Japonaise ou au pire, asiatique. Aussi mignonne pourrait être Doutzen, le public Japonais aurait du mal à adhérer à ce concept. Dans le pire des cas, quand son idée prendra forme, elle irait voir si sa poupée voulait s'essayé dans cette branche, cela pourrait toujours l'aider à mieux se faire connaître. Combien d'Idol se sont essayé à la musique ou aux spots de pub avant de décrocher des rôles plus grands ici et là ? Attendons déjà de voir son projet prendre forme et voir comment la carrière de sa petite Doutzen allait démarrer.

Les lèvres d'Aoki se perdait dans le frêle cou de sa poupée, l'embrassant, le léchant doucement tout en laissant ses mains la caresser.

« Huuuum, ma poupée... Je te rendrais grande... huuum, et célèbre, ma petite Doutz-chan... »

C'était là son travail, même si Aoki va se donner à fond pour ça, Doutzen devra aussi en faire tout autant et pas se reposer sur ses lauriers.

C’était le final, et il serait à la fois doux et brutal, comme Doutzen pouvait l’espérer avec ses deux Maîtresses ! Le moins qu’on puisse dire est qu’elles n’avaient clairement pas épargné la jeune femme. Elles l’avaient baisé dans tous les sens possibles et inimaginables, lui faisant découvrir des sommets de plaisir que la jeune Doutzen n’aurait jamais pu imaginer autrement. Elle avait été prise pendant des heures et des heures, à tel point que, dehors, l’aube commençait à se lever. À chaque fois, elles avaient su l’exciter encore, réveillant sa flamme endormie, attisant son désir et sa perversité. Doutzen ne pouvait tout simplement pas lutter ! Ces deux femmes étaient beaucoup trop fortes, bien trop endurantes. Elles faisaient vivre à Doutzne un rythme de sexe infernal !  Même là, ce final était tout de même intense, car elle sentait les deux femmes la prendre.

Elles étaient toutes les trois couchées sur le lit, de flanc, leurs corps adhérant entre eux grâce à toute cette sueur qui avait coulé, s’accumulant progressivement. Elles la prenaient toutefois sans trop de violence, juste pour le plaisir de lui faire encore l’amour. Maîtresse Hardy palpait ses sens, et elle sentit l’une des mains de Maîtresse Kou palper son délicieux cul, tout en l’embrassant. Doutzen gémit encore, mouillant sur la verge de Kou-san, hoquetant délicieusement tandis que les deux femmes continuaient à la prendre avec appétit, avec une passion lente et dévorante.

« Han, Maî-Maîtresses… »

Doutzen papillonnait des yeux, le désir et le plaisir se partageant à la douleur. Elle allait sûrement avoir des sacrées courbatures par la suite, mais quelle nuit ! Très clairement, Doutzen avait pris un pied d’enfer, et cette soirée de baise méritait sans peine de figurer au sommet du podium ! Kou-san s’était surpassée en compagnie d’Hardy-san, et les deux femmes ne lui avaient tout simplement laissé aucun répit, remplissant ses nuits à venir d’étoiles roses qui pulseraient fortement !

Doutzen sourit doucement, et remonta sa main le long des côtes de Kou-san. Elle attrapa ensuite ses cheveux moites, et l’embrassa chaudement sur les lèvres, serrant son petit corps en chaleur contre le sien.

« Hmmm… »

Elle se laissait faire, et hocha la tête, répondant aux injonctions d’Aoki.

« Oui, je suis à vous, Maîtresse… Rien qu’à vous, votre… Votre petite poupée, hmmm… »

Et que demander de plus, après tout ?

Doutzen était prise en sandwich entre elles et elle prenait un pied d'enfer, une dernière fois. Même si Aopki et Felicia étaient très endurantes, elles n'en pas moins des humaines avec leurs propres limites. À deux, elles ont sû plaire pleinement leur petite poupée et ce n'était qu'un début. Lorsque Doutzen serait bien habituée à leurs pratiques bien particulières, elle sera encore plus comblé. D'intenses séance de fisting, de baise torride avec Rex ou pourquoi pas, un autre chien, pour qu'elles puissent se faire prendre ensemble ? Et sous les yeux de Felicia, maîtresse parmi les maîtresses ! Il y avait encore tant à faire pour leurs prochaines soirées qu'il serait bien compliqué de définir un planning précis. Mais pour le moment, il fallait donner le coup de grâce pour que la petite poupée puisse enfin se reposer et récupérer de cette épuisante nuit, en compagnie de ses deux maîtresses. Sa chérie avait beau donner du sien de son côté, Aoki en fit tout autant, leurs trois corps ne faisant qu'un, à la recherche de l'ultime orgasme.

« Haaaaan, oui ma petite poupée... notre poupée chérie... »

Même si elle était plus à Aoki que Felicia, elles formaient un couple où Felicia portait la culotte donc, elle appartenait à Felicia donc il en était de même pour Doutzen. Mais qui appartenait à qui, ce n'était pas important, là, ce qui important, c'était de remplir cette petite chatte, ce petit cul pour se vider une dernière fois avant de dormir ensemble. Leur corps chaud, en sueur, épuisée, mais pleinement satisfait aussi. Elle pressait ce délicieux petit cul si bon à enculer pendant que son corps se pressait contre le sien. Même si les mains de sa chérie gênaient le contact entre leurs poitrine, il fallait penser aussi à Felicia qui pour elle, c'était très bien comme ça ! Elle pelotait la poitrine de Doutzen, écrasé par la généreuse poitrine d'Aoki. Son visage ou sa queue entre ses seins aurait été mieux, mais même comme ça, c'était pas mal !

« Ma poupée... huuuum, ma petite poupée à moiiiii... »

Aoki venait l'embrasser pendant qu'elle lui caressait les cheveux, un baiser intense, langoureux, chaud et lourd, mais si agréable dans une telle situation. Elles savaient que leur corps était en train de donner leur dernière force, après ça, elles ne pourront que se reposer. Elle remuait toujours ses hanches pour mieux la prendre en même temps que sa chérie dont ses mains venaient caresser plutôt ses hanches à elle.

« Chérie... jouissons ensemble... »

Se tenant à elle, elles allaient devoir tenter cette belle performance et jouir à l'unisson avant de pouvoir enfin se reposer et rependre des forces ! Peut-être pour une nouvelle séance demain même si Doutzen devait retourner chez Reto mine de rien. Il était temps de littéralement puiser dans ses dernières forces avant d'enfin pouvoir souffler.

Dehors, on pouvait voir les premières lueurs de l’aube. Depuis qu’elle était ici, à Yoake, Félicia avait constaté qu’elle était une femme bien plus endurante qu’à New York… Comme s’il y avait quelque chose de particulier à Yoake, une sorte d’aura qui renforçait vos performances sexuelles et votre lubricité. Les trois femmes avaient littéralement baisé toute la nuit ! Rex dormait aux pieds du lit, et leurs verges remuaient encore dans le corps de Doutzen. À ce stade, on ne pouvait même pas exclure que l’une des deux femmes n’ait pas pu la rendre potentiellement enceinte. Une hypothèse en réalité assez peu probable, vu que Doutzen prenait régulièrement la pilule.

« Haaaaannn… !! »

Félicia continuait à la prendre, tout comme Aoki. Leurs corps moelleux et chauds l’écrasaient avec appétit, et Doutzen haletait, n’arrivant même plus à retenir sa salive. Félicia n’alla pas l’embrasser, et se pinça les lèvres quand la délivrance suprême vint enfin.

« Maî-Maîtresse !! »

Le triple orgasme final arriva. Une libération jouissive, un plaisir exquis et torride qui se déversa dans le corps de Doutzen. Elle sentit les deux puissantes s’abandonner en elle avec un grand plaisir. Doutzen sentit ensuite ses dernières forces l’abandonner, et Félicia lui ferma les yeux. La jeune femme s’écroula contre les seins d’Aoki, qui la prit doucement dans ses bras, et l’enlaça tendrement. Dormir au milieu de ses deux Maîtresses, c’était pour Doutzen une fantastique aubaine.

Aoki se retrouva ensuite couchée sur le dos, Doutzen sur elle, et Félicia caressa les cheveux de la jeune femme. Ils étaient trempés, tombant en cascade au milieu de son dos.

« Elle est vraiment incroyable… » soupira-t-elle.

Félicia reprenait lentement ses esprits. Elle était en sueur, et se coucha sur le côté, caressant encore distraitement le corps de Doutzen.

« Tu devrais y aller, Aoki… Te rapprocher de Reto… Tu pourras mieux protéger Doutzen, et… Je crois que c’est ce qu’elle veut. Que tu le veuilles ou non, tu n’es pas que sa Maîtresse, tu es aussi sa mère de substitution. »

Il suffisait de voir comment Doutzen se lovait contre le corps d’Aoki pour le réaliser. La jeune femme dormait, et ne pouvait donc pas entendre Félicia. La pauvre avait été tellement poussée dans ses retranchements que cette dernière double pénétration l’avait tout simplement achevé. Elle s’était mollement effondrée, et dormait maintenant du sommeil du juste, sous les caresses de ses deux Maîtresses…

Ensemble, elles étaient en train de baiser Doutzen, une dernière fois, avant de pouvoir vraiment se reposer après une telle nuit d'amour. Aoki venait à jouir en elle en compagnie de Felicia qui venait aussi mettre sa pierre à l'édifice et ainsi conclure cela. La petite poupée russe venait à doucement abandonner, restant contre sa maîtresse dont la queue se retirait doucement, elle n'avait plus la force de continuer, elle avait épuisé sa dernière cartouche. Gardant la demoiselle contre elle, elle lui caressait les cheveux, se fichant bien de la sueur ou autre, seul le repos comptait. Sa fiancée était à ses côtés, caressant aussi Doutzen, laissant entendre qu'elle devait se rapprocher de Reto, ne serait-ce que pour mieux veiller sur elle. Elle y avait songé, elle y pensait de plus en plus au fil de cette soirée. Et sa dernière remarque ne manquait pas de la marquer. Elle avait bien vu le regard de Doutzen, ce n'était pas juste du respect pour sa maîtresse, elle avait bien vu au fond de son regard qu'il y avait autre chose.

« Oui... Je dois veiller sur elle. Je ne veux plus souffrir comme pour Kanzaki... »

Un triste épisode qui l'avait marqué, une chose qui la poussait donc à se montrer plus proche de Doutzen, mais aussi de ses autres filles. Elle va devoir mieux veiller sur elles afin que tout puisse se passer au mieux pour elles, que rien de grave n'arrive. Elle baisa le front de la demoiselle, la gardant toujours contre elle. Si Aoki était une sorte de mère, alors Felicia aussi, elles allaient de paire. Peu à peu, la Black Cat réalisait les désirs de la jeune femme, sans s'en rendre compte – ou si justement – car bon, Aoki voulait une relation solide, c'était le cas. Elle avait rêvé mariage, Felicia lui avait fait la surprise pendant leurs vacances de lui demander sa main. Il restait encore cette idée d'avoir des enfants qui la tentaient, mais il y avait deux hic à ça, hors le fait qu'elles étaient deux femmes. Le premier était que Felicia avait déjà des enfants qui vivaient avec leur père, elle ne voulait pas, quelque part, remuer le couteau dans la plaie. Et la concernant, il y avait ses parents. Accepteraient-ils déjà que leur fille soit mariée à une femme, Américaine en plus ? Alors avoir un enfant... Ce serait compliqué à expliqué... Dans un sens, faire d'eux des grands-parent pourrait aider à voir cela sous un meilleur angle, mais les Japonais avaient la rancune tenace... Enfin, même si ça lui ferait mal, elle refusait d'être malheureuse pour les rendre heureux. Elle avait déjà sacrifié son enfance pour être une enfant modèle, avec de bonnes notes, elle a décroché son diplôme à Todaï, elle était libre comme l'air maintenant.

« Mais si je suis sa mère de substitution, et que tu deviens ma femme, tu deviendras aussi sa seconde maman ? On va devoir tout faire pour protéger notre petite fille, et la rendre heureuse à chaque fois qu'elle passera du temps avec nous. »

Sur ça, ça semblait simple, elles étaient plutôt douée dans le domaine ! Doutzen était entouré d'amour pour dormir et ça, c'est une chose qui ne changeras pas quand elle viendra ici.