The Multiversity

Izaël ne perdait jamais l’occasion de retourner la situation à son avantage. La servitude volontaire de Juliette envers cette roturière posait problème ? Qu’à cela ne tienne, il n’y a qu’à en profiter ! Coup du sort ou non, le fait est que Décatis n’était pas une simple femme, elle avait un véritable poids au sein de la population. Elle appartenait cul an Warren, et Izaël y avait donc vu logiquement une occasion de faire fructifier les affaires de sa famille. Clan très récent, le clan Warren ne manquait pas de faire parler de lui. Vanillia Warren, Morticia Lacour… Ce clan naissant savait attirer à lui, grâce au charisme indéniable de sa fondatrice, de puissantes personnes ! Pour Izaël, l’occasion était donc parfaite. Parvenir à nouer une alliance, à consolider les affaires de son clan, ne manquerait pas d’améliorer sa position dans la course à la succession du clan. Izaël parvenait ainsi à transformer un problème en solution.

À côté d’elle, Décatis n’était pas hostile à cette idée, mais souhaitait avoir les coudées libres pour former Juliette, et pour faire d’elle ce qu’elle voulait.

« Mes yeux me disent que vous n’apportez que du bien à ma chère sœur. J’ignore ce que celle-ci ressent vraiment pour vous, mais, tant qu’elle ne s’allie pas de nouveau avec une menace potentielle pour notre clan, j’approuve votre relation. J’ai tout simplement confiance en vous, Décatis. »

Mélinda n’aurait pas non plus accepté que Décatis devienne une sœur vampirique si elle n’avait pas confiance en elle. Mine de rien, et même au sommet des plus hauts clans impériaux, des choses aussi basiques que la confiance restaient centrales. Il fallait avoir foi en son allié, en la parole donnée. Fort heureusement, Mélinda était une femme qu’Izaël connaissait bien. Devant elles, Juliette continuait à prendre son pied, s’enhardissant avec Nylla, l’embrassant tendrement, palpant son corps en se glissant dans son dos. Elle avait cessé de la battre pour palper ses seins, les pressant tout en l’embrassant longuement, yeux clos, le tout sur une Nylla qui était entièrement conquise à cette idée.

Izaël les laissait faire, avant de poursuivre :

« En ce qui me concerne, vous avez mon soutien, Décatis. Continuez à améliorer Juliette, à la rendre heureuse… C’est tout ce qu’elle mérite, et c’est vraiment tout ce que je souhaite pour elle. »

Ça, et rien de plus !

Décatis continué d’observé Juliette qui semblait se lancé enfin d’avantage tout en discutant avec sa sœur. Cette dernière voyait en elle un allier intéressant, pour ses liens avec le clan et surement aussi quelque personnalité de sa clientèle. Ce qui était intéressant était qu’elle lui donnait son soutien pour Juliette, c’était un bon point, mais ce n’était pas encore suffisant. Le soutien officiel de toute ou du moins de la majeure partie de la famille était le plus important.

-J’apprécie votre soutien, j’espère pouvoir avoir celui de votre mère. Je pense que ça ne rassurait pas mal Juliette dans ce cas-là.

Elle avait envie de poursuivre sa visite du salon, mais voir Juliette joué ainsi avec l’esclave, elle ne voulait pas interrompre ce moment. Mélinda de son côté était toujours avec Limma à quatre patte. Voire une telle chienne, lui faisait toujours autant envie.

-Dites-moi, vous repéré des stand intéressant à visité ? Des choses à voir ? Pour le moment on est passé par un stand de tenue et le stand de Mélinda, mais je suppose qu’il y a plein d’autre curiosité dans se salon dédié au sexe.

Mélinda lui avait parler de la particularité des toilettes, même si ça l’intriguait, c’était pas vraiment un lieux à visité. Puis elle voulait voir cette chienne testé d’autre chose et continué son observation de Juliette pour trouvé des idées pour elle.

« Oh, et bien... Il y a des stands et des attractions plus... Osées. Là-bas, c’est l’aile exotique, avec des plantes aphrodisiaques, des fruits qui vous excitent furieusement... Je vous déconseille le stand des insectes, c’est assez repoussant. Après, si vous aimez, il y a aussi les plantes tentaculaires... »

Izaël semblait bien connaître le salon, et parlait sur un ton très calme. Contrairement à sa sœur, le sexe était quelque chose qu’Izaël pratiquait régulièrement, et qu’elle se voyait bien faire avec Décatis. Ceci étant dit, si celle-ci était bien une sœur vampirique de Mélinda, cette perspective devenait très vraisemblable. Izaël souriait doucement, tout en regardant Décatis, se demandant ce qui pourrait bien plaire à cette femme refermée. Les tentacules ? Les plantes aphrodisiaques ? Il y avait bien sûr d’autres ailes. De manière générale, le salon de la sexualité était assez apprécié à Mijak, et, à travers les différentes ailes, on pouvait avoir tout un panorama de la société impériale. Les mœurs sexuelles formaient après tout le reflet d’une société.

La noble se déplaça doucement, et écarta les bras.

« Ici, nous sommes dans l’aile de la domination. Votre chère amie Mélinda y tient plusieurs stands. C’est l’une des ailes les plus appréciées en général. Je suppose que vous vous doutez pourquoi. Pour le reste, il y a de temps en temps des animations, des séances... Des spectacles d’érotisme, de bondage, des danses sensuelles... L’endroit est conçu pour avoir de quoi s’occuper. »

Comme à son habitude, Izaël s’était bien renseignée sur les lieux.

« Mais je gage que ce qui peut t’intéresser est l’utilisation des sex toys... Tu es une enchanteresse, non ? Et je suis sûre que tu sais déjà utiliser des objets sexuels pour améliorer tes parties de plaisir. »

Elle l’indiqua avec un léger sourire sur le coin des lèvres, s’amusant de la situation.

Mais, au final, le choix appartenait à Décatis...

Les informations qu’avais donné Izaël étaient intéressante. Curieuse aussi, car elle n’avait pas parler d’insecte, bien que Décatis avait du mal à trouver ça excitant, elle se demandait vraiment comment c’était. Les plantes lui faisaient plus d’effet déjà, elle en connaissait quelqu’une grâce à ses connaissances alchimiques, même si ces dernières étaient moins développées que l’enchantement.

-Effectivement, les sexe toys sont plus dans mon domaine. J’en produis et en vent plusieurs sorte dans ma boutique. Si un jour ça vous intéresse.


Elle lui offrit un sourire et décida donc de reprendre un peu la visite. Libre à Izaël de poursuivre avec elles ou non. Elle retourna donc au prés de Juliette et de l’esclave. Plusieurs idée en tête et à lui proposé.


-On vas continuer, je pense il y a tant à voir ici n’es pas ? Et je crois que notre chienne a besoin de se dégourdir un peu.

D’un signe de tête elle lui montra Limma tenue par Mélinda.

-Que dirais tu de la promener jusqu’à la suite ? Vas demander à Mélinda si elle peu te passé la laisse.

Elle lui fit un sourire et la poussa doucement dans le dos. Là encore c’était dans un but d’observation. Avec Juliette, Décatis retourna donc auprès de leur deux autre compagne de visite.

-J’ai entendu parler de quelques stand sympa, on m’a parler d’insecte. Pas que ça me plaise, mais j’avoue que j’en suis curieuse. Mais je serais plus pour aller voir les innovations en sexe toy et après la partie végétale. Qu’es que vous en pensez ?

Juliette s’éloigna finalement de la redoutable esclave. Nylla était terrible, et laissait Juliette pantoise, toute chaude et les joues rougies. Nylla, elle, gloussait doucement en la saluant, tandis qu’Izaël avait décidé de laisser sa petite-sœur en paix. Cependant, la situation n’était pas stable pour autant, car Décatis lui proposa de tenir Limma en laisse.

« Oh… Euh… T-Très bien, Maîtresse. »

Elle observa Limma. Celle-ci avait une longue chevelure blanche, et embrassait tendrement le pied de sa Maîtresse, y frottant sa joue. Juliette se rapprocha alors en se raclant la gorge, assez nerveuse.

« Euh… Hmmm… Ma-Madame Warren, je…
-  Hmm ?
-  Puis-je la tenir en laisse ? »

Le plus impressionnant fut qu’elle arriva à prononcer cette phrase d’une seule voix. Mélinda écarquilla doucement les yeux, avant de baisser la tête.

« Tu parles de Limma ? »

Juliette acquiesça lentement. Mélinda sourit alors, avant de poursuivre :

« Je veux bien, mais je dois vous accompagner, alors. Si je m’éloigne trop de Limma, elle va paniquer.
-  D’a… D’accord ! »

Difficile de dire si avoir Mélinda avec soi était une bonne chose ou non. Juliette attrapa en tout cas la laisse, et vit Limma la regarder. Elle lui sourit et la salua doucement, puis Limma l’embrassa sur le pied, ce qui la fit encore rougir. Juliette retourna ensuite voir sa Maîtresse, qui proposa d’aller voir les autres parties du salon. Rien qui ne permit de calmer Juliette, qui pouvait voir que Nylla était déjà occupée avec un homme, l’embrassant longuement en frottant sensuellement son corps contre le sien.

Juliette hocha donc la tête devant Décatis, acquiesçant à ses idées. C’était elle la Maîtresse, après tout, et, même si Juliette était timide, elle devait bien admettre que sa curiosité était titillée ici !

Décatis avait proposé plusieurs idées pour la suite, mais Mélinda ne semblait pas décidé à l’aidé à faire un choix. Du coup tempi, tout le monde allait suivre. Sur ses hésitations, elle décida de mettre l’histoire des insectes de côté. Bien qu’elle était curieuse de voir ce que ça donnait vraiment, ça risquait quand même de refroidir un peu l’ambiance, peut être sur la fin.

-Allons voir les sexe toy alors, j’ai envie de voir ce qu’il peut se trouver dans les nouveautés du moment.

Le petit groupe repris la marche dans les allées, laissant alors l’esclaves attacher à disposition des passant. Décatis observait attentivement les réactions de Juliette en promenant ainsi l’esclave de Mélinda. Limma se frottait dans ses jambes, lui baiser les pieds quand elles étaient à l’arrêt. Décatis était curieuse de voir si la citation l’excitait, si lui donnait envie de prendre sa place ou si elle était juste gênée.

-Merci Mélinda du lui avoir prêté, elle est adorable cette esclave.

Bien que Décatis connaissait sa particularité pour l’avoir étudié déjà. C’était aussi intéressant de voir les autres visiteurs, des gens en tenue de dominateur, d’autre en soumis ou esclave. Il y avait du beau, de l’osé, du limite étrange, les gens n’avais pas honte de montré leur fétichisme, c’était vraiment un bel événement.

Après un peu de marche, elles arrivèrent à un stand qui correspondait. Bien sûr c’était un stand dédier particulièrement à la vente des jouets sexuelles. Il y avait même des esclaves à disposition pour des démonstration ou des essais des jouets eux même.

-Et bien il y a du choix. J’ai une petite idée de se que je veux. Je vous laisse regardé le temps que je trouve.

Elle fit un petit clin d’œil à Juliette, lui laissant comprendre que c’était pour elle qu’elle avait cette idée.

Juliette tenait donc Limma, et, à chaque pose, la petite esclave aux longs cheveux blancs se frottait contre ses jambes, et l’embrassait tendrement. Elle déposait de délicats baisers sur ses pieds, se frottant silencieusement et docilement à elle. Mélinda menait le petit groupe, semblant très bien connaître les lieux. Juliette constata d’ailleurs que beaucoup de gens la saluaient, et elle rendait volontiers leurs salutations, leur offrant des sourires cristallins, embrassant même sur les lèvres plusieurs personnes. Visiblement, le salon de l’érotisme était une chose importante pour elle. En chemin, le groupe voyait quantité de phénomènes, comme une femme tenant en laisse trois hommes avançant à quatre pattes, le visage dissimulé par des cagoules en latex, la dominatrice les frappant régulièrement avec une cravache. Le petit groupe se rapprocha ainsi d’une sorte de grand hall avec des cages suspendues en l’air abritant des femmes, et où d’autres dansaient sur des estrades, dans ce qui ressemblait à une sorte d’auberge.

Décatis remercia alors Mélinda pour le prêt de Limma, ce qui fit sourire la jeune vampire.

« C’est normal, Limma est une créature à qui on s’attache facilement. »

Juliette acquiesça doucement, et le duo rejoignit ensuite une aile réservée aux jouets sexuels. Il y en avait de toute nature, des simples vibromasseurs à des instruments bien plus sophistiqués, pour beaucoup conçus à partir de la technologie uatéenne. Pas de Gynoïdes ou de cyborgs, mais de curieux instruments. Le groupe rejoignit ainsi une estrade, où Juliette rougit en dissimulant ses lèvres derrière sa main. Elle voyait une sorte de gros coussin ovale, qui déployait des tentacules phalliques grisâtres, se redressant fièrement en l’air.

« Pour les esclaves sexuelles, voici notre nouvelle ceinture de chasteté. »

Une élégante ceinture, avec des reflets dorés, et abritant deux vibromasseurs orientés vers l’intérieur. Juliette rougit encore, s’imaginant porter un tel instrument. Il y avait également des tenues spéciales, des harnais en latex, tout un assortiment de godes, de boules de geisha, de plugs anaux… En s’avançant, on pouvait voir des scènes publiques, comme des piloris avec des appareils phalliques derrière. Des hôtesses étaient en train de se faire pénétrer par ces appareils, agissant comme des tentacules, leurs yeux obstrués par un bandeau, leurs corps recouverts d’une tenue moulante en latex ondulant sensuellement sur place…

C’était un spectacle envoûtant, et Juliette déglutit doucement, avant de regarder sa Maîtresse.

« Je… À quoi pensez-vous, Maîtresse ? »

Elle allait sans doute regretter par la suite d’avoir posé cette question…

Avec le petit groupe Décatis était arrivé à un stand de vente de sex toy. L’enchanteresse voulait voir les nouveautés, à la fois pour sa propre boutique, car parmi ses objets enchantés certain était bien dédier au plaisir, mais aussi pour des usages plus personnel. Bien sûr elle avait une idée en tête et l’avait laisser comprendre à Juliette. Cette dernière regardait ce qui l’entourais se posant des questions sur ce qui l’attendait et surement l’imagination qui travaillait.

-Tu vas pas tardé à le savoir Juliette, tu as qu’as regardé si quelque chose te plait ou te fait envie, le temps que je trouve ce que je veux.

Décatis laissa donc Juliette et Mélinda le temps de parcourir les articles et chercher ce qu’elle avait en tête. Elle perdit quelques secondes à regarder les démonstrations sur les hôtesses. C’était plutôt pratique ce genre de salon pour faire ça. Elle n’eut pas trop de mal à rassemblé ce qu’elle voulait. Discutant avec l’une des vendeuses, elle ut l’autorisation de les prendre sans pour l’instant les acheter, tant qu’elle restait sur le stand bien entendu. Avec ses trouvailles, elle s’approcha de nouveau de Juliette.

-Alors tu as vue des choses intéressantes ? Pour toi, tes sœurs ou des esclaves ?

Bien sûr, elle disait ça pour noyer un peu son rôle à ceux qui écouterais, car bien sûr c’était surtout à elle qu’elle pensait. Elle cachait ce qu’elle avait pris dans un petit sac, pour pas qu’elle ne voit pour l’instant. Bien qu’elle se doutait que Juliette n’avait pas vraiment prévue de se prendre quelque chose, mais qui sais, l’ambiance, la présence de la chienne qu’elle tenait en laisse ou encore celle de Mélinda, peut être qu’elle pouvait la surprendre.

Après a sa réponse, elle lui montra le sac où se trouvait les objets qu’elle avait récupéré.

-Voilà ce qu’on va faire. Soit tu pioche un au hasard, soit tu les sorts tous et en choisie un par toi-même. Ensuite, je l’achète et tu le porteras pour le reste du salon.

Allait-elle se faire la surprise à choisir au hasard, avoir le courage de regardé et faire un choix ? Décatis était curieuse de le savoir. A l’intérieur se trouvait trois objet, un plug anal avec une pierre précieuse décorative, un œuf vibrant que Décatis comptait bien contrôler et le dernier n’en était pas vraiment un, étant un bonbon aphrodisiaque à garder en bouche et à laisser fondre longtemps.

-Une fois ton choix fait, on iras au toilette pour mettre ça en place. Mais si tu n’arrives pas à choisir, je demanderais à Mélinda de choisir pour toi.

Il y avait de nombreux objets variés. Juliette était assez impressionnée, vu que la finalité de tous ces objets, c’était la jouissance, quelque chose de simple et d’excitant. Il y avait les classiques godes et vibromasseurs, de toutes les couleurs, de toutes les tailles, certains avec des picots, d’autres pouvant se déclipser… Mais également des tenues érotiques, des ensembles érotiques faits en cuir, avec des sangles, qui restreignaient les mouvements. Juliette vit ainsi plusieurs figurants sur une estrade, se contorsionnant dans des tenues érotiques en cuir, chaque mouvement provoquant des frictions, stimulant leurs zones érogènes, les laissant dans un état de plaisir constant, de désir contenu et continuel. Juliette en rougissait, et sa main caressait malgré elle une cuisse tendue, sentant une peau douce, en sueur, au milieu de collants et de morceaux de vêtements en cuir ou en latex.

Sur une autre estrade, on avait installé une sorte de table en latex, et une femme était comme attachée dedans. Elle se mouvait faiblement, et la table se relevait, permettant aux gens de caresser la femme. Des pompes se trouvaient dans son corps, la remplissant d’eau, tandis que des vibromasseurs remuaient régulièrement en elle, des œufs de plaisir posés le long de ses seins.

*Et encore… Ce n’est même pas un salon underground !*

Décatis revint finalement à elle, et, à voir les rougeurs de Juliette, Décatis comprit vite que sa discrète servante aristocrate avait visiblement eu quelques idées malicieuses en voyant tout ce spectacle. Décatis ne manqua d’ailleurs pas de l’interroger à ce sujet, et celle-ci se pinça doucement les lèvres, réfléchissant silencieusement à ce qu’elle allait devoir dire. Avec Décatis, rien ne tombait jamais dans l’oreille d’une sourde !

« Et bien, euh… J’ai vu ces tenues érotiques et ces strap-ons avec des vibromasseurs internes, et… Enfin, je me dis que tout cela m’irait bien, peut-être… »

Petit à petit, Juliette se libérait. Elle devenait de moins en moins nerveuse à l’idée de parler de sexe, mais sa nature profonde était toujours là. Décatis lui proposa ensuite un petit jeu consistant à récupérer l’un des objets qu’elle avait récupéré, ou à les sortir tous, et à choisir ensuite. Juliette se pinça doucement les lèvres en réfléchissant, avant de se dire que…

*Si je vois ce que c’est, je n’arriverai pas à choisir, et Maîtresse en profitera pour me punir !*

Juliette se connaissait bien, et elle savait comment elle fonctionnait. Juliette glissa donc sa main dans le sac, et tira dessus, en sortant…

…Un œuf vibrant rose. Elle le fit tournoyer doucement entre ses doigts, avant de rougir en regardant sa Maîtresse.

« Je… Voilà, Maîtresse, je… Je suis prête à ce que vous l’utilisiez sur moi… »

Évidemment, Juliette n’était jamais trop assurée à l’idée de voir sa Maîtresse affirmer sa perversion naturelle…

Décatis avec son sourit si charmeur qui était le sien regardait Juliette attendant son choix. Elle tenait devant sa soumise un petit sac avec les trois objets. Trois s’offrais alors à Juliette, en prendre un au hasard, les sortir tous et faire son choix ou laisser Mélinda choisir pour elle. Le choix fut peu surprenant, et la jeune fille dira donc à l’aveugle dans le petit sac, sortant alors l’œuf vibrant. Le choix qui intéressait le plus Décatis, c’était parfait.

-Bien, ça vas être intéressant.

Elle lui reprit l’objet des mains, il ne restait plus qu’a confirmé l’achat de ce dernier.

-Vas prévenir Mélinda qu’on vas au toilette. Le temps que j’achette ton nouveau joué. Après on ira le mettre en place.

Décatis lui fit un sourire et la laisser prévenir Mélinda. Elle rendit les deux autres choix qu’elle avait proposé et payas donc l’œuf vibrant et sa télécommande. Ceci fait, elle retourna auprès de autres pour retrouver Juliette.

-On y vas, Mélinda tu nous attend ou tu veux venir avec nous ?

C’est donc avec Juliette et son nouveau jouet qu’elle se rendit vers les fameuse toilette particulière du festival. Bien qu’elle avait idée de ce qui les attendait, Décatis était curieuse de voir vraiment comme c’était fait. Puis elle avait aussi l’excitation de ce qu’elle préparait pour Juliette. Pour autant Décatis restait la même, laissait rien paraitre autre que son beau sourire et son attitude noble commerçante habituel.

Il fallait lentement faire sortir Juliette de sa timidité, ce qui était un travail sur la durée, que Décatis s’efforçait de pratiquer. Dans ce domaine, Mélinda n’était pas une aide de trop, car, en matière de timidité, la vampire en connaissait un rayon. Après tout, elle avait chez elle beaucoup d’adolescents qui, somme toute, fonctionnaient un peu comme Juliette. La jeune femme commençait toutefois à s’ouvrir, car, il y a encore quelques semaines, elle aurait été tout simplement incapable de faire cette proposition, de choisir elle-même un sex toy. Décatis proposa donc de l’enfiler dans les toilettes du salon, toilettes qui n’avaient de toilettes que le nom. Mélinda hocha la tête, mais préféra laisser ce moment pour les deux femmes, ne voulant pas trop s’imposer.

« Je vais vous rejoindre, ne vous en faites pas… Mais profitez-en ! »

Les deux femmes s’élancèrent donc. Les toilettes étaient assez élégantes, avec de grandes cabines, mais servaient avant tout à des fins sexuelles. Des hôtesses accueillaient les clients dans les toilettes, généralement pour des fellations. Il ne s’agissait donc pas vraiment, en soi, de latrines où faire ses besoins naturels, mais clairement d’une aire sexuelle spécialement pensée pour ce salon. Juliette s’en pinça doucement les lèvres, un peu intimidée par cet endroit, et se retourna vers Décatis.

« Vous… Vous voulez qu’on utilise l’une des cabines, Maî-Maîtresse ? » demanda-t-elle d’une petite voix, en rougissant de nouveau.

Décatis et Juliette laissèrent donc Mélinda pour un instant, pour aller les rejoindre les toilettes du salon. Un endroit aménager plus pour le sexe que pour une réelle utilisation pour les besoins naturels, bien que ça restait possible, surement même de façon fantasmé en plus. Elle imaginait sans mal des esclaves servir d’urinoir.
Juliette demanda si elles prenaient une cabine. Décatis-lui sourit et lui prit la main souriant de façon rassurante, face la timidité de sa soumise. Après tout elle n’était pas encore habituée à autant d’exposition de luxure, pourtant avec une famille comme la sienne c’était surprenant. Juliette était un joyaux que bien d’être malsain se serrais amusé avec…et elle n’était pas forcément mieux qu’eux, mais au moins elle prenais soin d’elle et lui donnais tout autant d’affection que de plaisir.

-Oui allons dans la cabine.

Décatis trouva une cabine libre et fit rentré Juliette à l’intérieur. C’était plus confortable qu’on aurait pu le penser. Il y avait de quoi faire dans se pourtant si petit espace. Décatis sortie l’œuf qu’elle avait acheté et regarda alors Juliette.

-Relève ta robe, je m’occupe de te le mettre en place. Il faut que je puisse voir parfaitement.

Elle lui fit un sourire, le même qu’elle faisait quand elle lui faisait ce genre de demande. Un sourire à la fois maternel et dominateur, mais surtout excitant.

Toujours vierge, Juliette était peu à peu en train de s’initier au sexe avec celle qui était sa formatrice, mais aussi son amante. C’était, somme toute, un schéma assez classique dans le monde de la magie. Quand un magicien prenait un apprenti, il arrivait fréquemment que ceux-ci se rapprochent intimement… Ou s’entretuent. Il n’y avait donc rien d’exceptionnel à ce que Juliette et Décatis finissent ainsi, et c’était même une chose que Juliette acceptait pleinement, jusqu’au jour où sa Maîtresse consentirait enfin à lui prendre sa virginité. Un jour que Juliette attendait avec une impatience croissante, de plus en plus grandissante.

Là, dans les toilettes du salon d’érotisme, Décatis récupéra l’œuf vibrant. Juliette releva nerveusement sa robe, dévoilant son bassin. Elle s’épilait désormais, et elle présenta ainsi une fine culotte, que Décatis écarta, avant d’y glisser l’appareil. Décatis avait pris l’habitude de la voir nue, et Juliette pouvait parfois être avec Décatis en ayant l’ordre d’être nue, y compris en présence d’invitées, pour s’habituer. Elle ne perdrait sa virginité que quand elle serait « prête », même si Juliette ignorait précisément quand elle serait prête.

« Hmmm… »

Juliette soupira quand sa Maîtresse glissa l’objet, tremblant nerveusement. Elle rougit également, et la regarda à nouveau, nerveuse, et… Commençant à sentir une certaine forme d’excitation pointer en elle.

« Je… Et… Et maintenant, Maî-Maîtresse ? »

Elle avait envie de lui demander si elle était prête pour que sa Maîtresse lui prenne enfin son hymen… Mais elle n’osait pas le faire !

Décatis se tenais debout face à Juliette dans la petite cabine, observant sa soumise tenir sa robe relever. Elle regarda avec le sourire sa jolie culotte puis le visage de Juliette se régalant de sa réaction. Elle passa sur le tissue pour vérifier son état et sa douceur, puis glissa ensuite sur le devant l’œuf. Place contre ses lèvres légèrement rentré sans l’enfoncé à l’intérieur.

-Alors tout ça te fait de l’effet. Que pense tu de tout ça pour l’instant ?

Elle lui fait un sourire de plus et retira sa mains de sa culotte. Elle ne lui dit rien pour sa robe volontairement attendant sa réponse. En même temps, elle prit la télécommande de l’œuf et l’activa pour observer sa réaction et voir s’il ne bougeait pas trop.

-Bien ça me semble pas mal. Tu vas pouvoir le gardé comme ça toute la journée.

Maintenant le teste fini, elle coupa la vibration et rangea la télécommande. Le but était bien sûr de joué avec et à n’importe quel moment pouvoir la faire vibré par surprise.

-On vas-y retourné, prend bien note de ce que tu vois. Si quelque te plait, tu me le dis surtout. On pourra regarder ou se servir de la chienne de Mélinda pour tester et te montré.

Posant une mains sur la porte et l’autre dans celle de Juliette, elle l’invita à suivre et à relâcher sa robe pour finalement sortir et retrouvé Mélinda.

Face à sa Maîtresse, Juliette était peu à peu en train de succomber. Sa Maîtresse y allait plutôt lentement avec elle, travaillant soigneusement l’initiation sexuelle de Juliette. Décatis prenait tout son temps, au risque de frustrer la jeune femme. Juliette avait toutefois été bien éduquée. Au sein des Beaumont, elle n’élevait jamais trop haut la voix, elle suivait silencieusement les consignes et les ordres qu’on lui donnait, et était d’un naturel effacé et soumis. Décatis installa donc les œufs vibrants, et s’amusa un peu avec elle, faisant doucement rougir Juliette. La jeune aristocrate se pinça nerveusement les lèvres, avant que Décatis ne leur fit signe de sortir.

« B-Bien, Maîtresse… »

La visite allait se poursuivre, et Juliette sentit son cœur battre nerveusement dans sa poitrine. Ses doigts s’enlacèrent autour de ceux de Décatis, et elles sortirent donc. Décatis l’invita à lui signaler tout ce qu’elle apprécierait, et Juliette hocha doucement la tête, tout en rougissant encore doucement. Elle était encore partagée par ses sentiments envers Décatis, et par cette frustration sexuelle qui commençait doucement à croître en elle, et qui ne faisait qu’être entretenue dans ce salon.

En se dirigeant vers l’aile plus exotique du salon, elles approchèrent d’un stand d’alchimie, et le regard de Juliette fut capté par un étrange et fascinant spectacle. Une femme embrassait une statue, une statue qui avait été humanisée à l’effigie d’une magnifique femme. C’était une forme de pierre liquide, plus humaine, un corps très particulier, car son corps n’était pas une pierre solide et rocailleuse contre laquelle on se couperait. Juliette rougit doucement devant cette scène.

« C’est… C’est fascinant, Maîtresse, vous ne trouvez pas ? »

Mélinda, de son côté, était à proximité, dans une pièce où une étrange scène avait lieu. Elle était assise sur un fauteuil face à une estrade, où une femme à la peau pâle. Elle était couchée sur une sorte de divan soyeux, avec des mitaines noires, des bottes noires, et, face à elle, de curieux moines se déplaçaient, préparant manifestement quelque chose, tandis qu’une légère brume s’élevait sur la scène, remontant tout autour du groupe…

Décatis et Juliette sortirent des toilettes pour venir rejoindre Mélinda et Limma. L’enchanteresse gardait dans sa robe la petite télécommande qui permettrait de délicieusement jouer avec son apprentie. Mais pour l’instant elle ne l’avait pas encore fait. Le petit groupe reprit la visite du salon, avec calme habituel Décatis appréciait beaucoup se qui l’entourait. Les tenues des autres visiteurs, les différents stands et surtout les différents pratiques de l’érotisme présenté. Tout ce qui sortait de l’ordinaire l’intéressait, enfin presque certain truc restait quand même dérangeant ou plutôt pas à son gout.

Finalement la suite s’arrêta sur l’air dédié à une forme artistique de l’érotisme, après tout c’était un point très représenté dans le domaine. Juliette était très intéressé par une femme qui embrassait une statue d’elle-même, la statue tenant même des outils de taille de la pierre. Donnant un intéressant mélange entre le réel et l’art, les interprétations était nombreuse. Décatis était fasciné par le réaliste de la statue.

-Fascinant c’est le mot, je me demande qui est l’artiste, si c’est elle-même c’est encore plus fascinant.

La qualité de réalisme et de la reproduction du modèle, si c’était vraiment elle-même c’était à se demandé comment elle pouvait si bien se représenter. Puis son attention fut attirée par Mélinda qui semblait aussi attiré par quelque chose. Limma était toujours à quatre patte à ses pieds et regardait la scène. Une femme était étendue sur un divan, presque nue et entouré de silhouette encapuchonné. Une sorte d’encens était rependu autour d’elle de façon cérémonieuse.

-C’est la reproduction d’une scène ou un vrai rite ?

C’était plutôt mystérieux et l’intriguait particulièrement. D’un signe elle invita Juliette à venir voir de plus prés.

Mélinda ne disait pas tout ce qu’elle savait, gardant volontairement le suspens, entretenant le doute sur ce qui se passait de l’autre côté. Juliette et Décatis rejoignirent donc Mélinda et Limma. C’était une sorte de représentation, de spectacle érotique. Au milieu d’une sorte d’assemblée de cultistes, une femme se prélassait sur un divan. Très belle, magnifique, avec de belles bottes en cuir avec des talons. Juliette s’assit à côté de Décatis, et avisa brièvement le public. Il y avait beaucoup d’hommes, mais également un certain nombre de femmes. Ici, à Mijak, le sexe était une chose beaucoup plus facilement admise qu’à Lumen. Juliette se disait souvent qu’avec son romantisme et sa timidité, elle faisait figure d’exception… Ce qui était sûr au niveau de sa propre famille.

Il ne fallait pas oublier que les filles étaient dans l’aile exotique du salon. Les cultistes psalmodiaient une douce mélopée, tandis que la femme au centre soupirait encore, se dandinant lentement et sensuellement sur place. Des gestes élégants et appuyés, tandis que, peu à peu, l’estrade se mit à luire. Un pentagramme se formait sur le sol, et Juliette déglutit, sentant les vibrations magiques l’enrouler, la faisant doucement frémir.

*De la magie…*

Ils n’invoquèrent pas un incube ou un succube, mais des tentacules jaillirent alors du sol. Ils remontèrent doucement, et caressèrent le corps de la femme. Des tentacules noirâtres, ressemblant vaguement à des branches d’arbres, qui se subdivisèrent en d’autres tentacules, s’enroulant autour des chevilles et des poignets de la femme, continuant à grimper jusqu’au plafond.

« Ce sont des arbres du Cercle de la Luxure… »

Dans l’obscurité, des créatures remontaient au plafond, et, soudain, la jeune femme tomba au sol. Et Juliette vit alors une silhouette monstrueuse émerger dans son dos. Une créature indescriptible, au corps élastique, ressemblant à une sorte de pouple, se lova dans le dos de la femme, tandis qu’une autre s’approcha sur le devant, une sorte de grosse bestiole avec un énorme ventre verdâtre. Des tentacules jaillirent de la créature située derrière, des tentacules gluants et visqueux qui s’enroulèrent autour du corps de la femme, piégeant ses seins, tandis que d’autres tentacules sortaient du ventre de la créature, son abdomen s’ouvrant en deux, libérant une sorte d’épais mucus au milieu des tentacules, qui pénétrèrent la femme.

Quant à la créature de devant, une espèce d’arachnide, elle posa une patte sur le dos de la femme, qui se mit à gémir, sa gueule se rapprochant de son visage, une longue langue baveuse en jaillissant.  La femme embrassa alors le monstre.

Le spectacle était aussi fascinant que glauque, et partageait Juliette entre diverses émotions contradictoires, à mi-chemin entre la répulsion et la vénération. Comment cela était-il possible ? Cette vue était une véritable dichotomie, lui donnant autant envie de vomir que… Que d’applaudir !

Décatis regardait cette scène mystérieuse. Elle prit place sur un siégé au côté de Mélinda qui ne dit rien gardant le mystère.  Elle invita Juliette à venir les rejoindre également, attendant d’en voir plus. Décatis sentie rapidement la magie se mettre en place, elle déduit rapidement que ce n’était pas une simple reproduction, mais qu’un vrai rituel se mettait en place sous leurs yeux. Ce n’était pas la première fois qu’elle voyait de la conjuration, invoqué ainsi un arbre de la luxure par contre c’était inédite pour elle. La femme se retrouvait prise dans les branches de l’arbre tentaculaire. La suite fut par contre moins belle à ses yeux, la femme une fois retombé au sol, se retrouva entouré par deux étrange créature. Les deux commençant alors à s’occupé de la femme, c’était très perturbant, surtout dans la docilité de la femme.

Décatis avait entendu parler de l’émergence d’un culte lié au déesse de la folie, qui se mêlait à la luxure. Le duo de déesse, depuis un certain temps avait de plus en plus d’influence et différent culte dédié à des formes particulières de folie était née.  Elle ne serait pas surprise d’apprendre que ce groupe en faisait partie. Elle ne le serait pas non plus si à la fin il y avait une invitation à les rejoindre.  Elle se tourna vers Mélinda.

-Je savais qu’il y avait un certain plaisir au sexe avec des créature tentaculaire, mais là j’avoue qu’avec celle-là j’aurais du mal.

Souvent des rituels permettait ce genre de plaisir, mais souvent, seul les tentacules était invoqué, ce n’était peut-être pas sans raison après tout.

Mélinda haussa les épaules en se retournant vers Décatis.

« Nous sommes dans le salon exotique, il faut surprendre autrement qu’avec des tentacules… »

La vampire n’était toutefois pas non plus très amatrice des insectes, même géants. Mais le spectacle jouait là-dessus, sur l’opposition entre un corps d’une voluptueuse beauté et des amants d’une extraordinaire laideur. Une opposition exquise, confuse, qui étonnait également Mélinda. Bien sûr, elle n’irait pas jusqu’à modifier ses pratiques sexuelles. Juliette, de son côté, ressentait un peu la même chose que sa Maîtresse, relativement confuse par ce qu’elle voyait.

Ce spectacle toucha ensuite à sa fin, et le public se dispersa progressivement. Mélinda se racla la gorge, et rejoignit la sortie du salon, suivie par Décatis et Juliette.

« Je vais vous laisser toutes les deux, annonça-t-elle alors. Je ne suis pas venue ici que pour me rincer l’œil. »

Mélinda salua Décatis par un léger baiser sur ses lèvres, se hissant pour cela sur la pointe de ses pieds. La petite vampire fila ensuite. Juliette restait, elle, à proximité de Décatis, et se pinça les lèvres.

« C’était… C’était vraiment une représentation particulière, mais… Ne vous sentez pas obligée d’utiliser des insectes ! À la place de cette femme, je crois que j’aurai vomi… »

Cette scène confirmait en tout cas que certaines personnes avaient des fantasmes très bizarres ! Un peu confuse, Juliette attendait maintenant de voir la suite, et de savoir où sa Maîtresse souhaitait la conduire…

Décatis restait partager sur ce spectacle, mais n’insistait pas plus sur le sujet. Sortant de la partie réservée à la scène, le groupe s’approcha de la sortie où finalement Mélinda s’arrêta. Elle avait à faire et devais donc les quitter, après tout la vampire avait ses propres affaire sur le salon. Après un baiser sur ses lèvres, sa sœur vampirique partie tenant toujours en laisse Limma qui la suivait en bonne chienne. L’enchanteresse et son apprentie ses retrouvèrent donc plus que toute les deux. Juliette profita alors qu’elle ne soit plus que toutes les deux pour lui avouer qu’elle n’était pas emballée pour l’idée de goûter à ce qu’elle venait de voir.

-Vraiment ? Tu as de la chance ce n’est pas dans mes projets pour toi.

Elle lui sourit et reprit à marcher dans les allée de l’évènement un peu au hasard, il y avait tellement de chose partout, que c’était difficile de vraiment tout voir. Vêtements, objet, promotion d’établissement ou même de pratique. Par curiosité, elle s’arrêtât même devant un stand qui faisait la promotion d’une école.

-hum « La boite à Poupée », c’est intéressant comme lieux. Qu’es que tu en pense Juliette ?

Une école pour fille, pour les formé sur de nombreux point du sexe. Il y a avait des formations pour la noblesse, les roturière et même pour les esclaves.

-On trouve vraiment de tout.

Elle sourit et à ce moment-là, elle ut quelque chose qu’elle n’avait pas ut depuis longtemps…Le bijoux à son œil se plaça alors devant son œil et une vision d’un future éminent commença…