Avec tout ça, je suis claquée ! J’ai beau avoir une endurance supérieure à la moyenne, si j’enchaîne les orgasmes, je vais finir par fatiguer. Et faut dire qu’on n’a pas fait semblant de s’amuser avec les filles. Toujours sur le sol, je regarde un peu autour de moi et constate qu’on est un peu toutes dans le même état… Je crois qu’on est mortes en fait.
L’air est chaud dans la pièce, on a l’impression d’être en plein été. Et une forte odeur de sexe se dégage d’ici. Je crois qu’on peut dire qu’on a super bien bossé. Saya propose qu’on se repose et cela semble de l’avis de tout le monde en fin de compte. Comme quoi, nous ne sommes pas sœurs pour rien. Je peux voir que toutes les filles se lèvent et se rassemblent vers nous pour venir s’allonger finalement à nos côtés. Je souris grandement, me retrouvant entre Yukiko et Saya. J’ai bien envie de les tripoter un peu mais je me retiens. En fait, je pense même que le moment est bien choisi pour faire une petite déclaration :
- Je suis contente d’avoir des sœurs comme vous les filles. Merci de m’avoir accepté aussi facilement. J’espère qu’on saura reformer notre famille à l’avenir mais… je ne me fais étrangement pas de souci pour ça. Et puis… ce qui est cool avec nous, c’est que les disputes, on peut les régler avec une bonne partie de jambes en l’air !
Je ris à ma propre bêtise. Je ne suis pas dans le meilleur des états pour faire un super discours exprimant ma joie d’être avec ma réelle famille. J’ai encore l’esprit un peu ailleurs quoi. Alors…
- Enfin bref… Je vous aime les filles.
Voilà, c’est simple, clair et précis. Pourquoi se faire chier avec des longs monologues sérieux ? Je me positionne sur le côté, enlaçant Yukiko avec tendresse et pose ma tête contre sa poitrine. Je crois même que je pourrais m’endormir dans un tel cocon de nudité et de luxure…
L’air est chaud dans la pièce, on a l’impression d’être en plein été. Et une forte odeur de sexe se dégage d’ici. Je crois qu’on peut dire qu’on a super bien bossé. Saya propose qu’on se repose et cela semble de l’avis de tout le monde en fin de compte. Comme quoi, nous ne sommes pas sœurs pour rien. Je peux voir que toutes les filles se lèvent et se rassemblent vers nous pour venir s’allonger finalement à nos côtés. Je souris grandement, me retrouvant entre Yukiko et Saya. J’ai bien envie de les tripoter un peu mais je me retiens. En fait, je pense même que le moment est bien choisi pour faire une petite déclaration :
- Je suis contente d’avoir des sœurs comme vous les filles. Merci de m’avoir accepté aussi facilement. J’espère qu’on saura reformer notre famille à l’avenir mais… je ne me fais étrangement pas de souci pour ça. Et puis… ce qui est cool avec nous, c’est que les disputes, on peut les régler avec une bonne partie de jambes en l’air !
Je ris à ma propre bêtise. Je ne suis pas dans le meilleur des états pour faire un super discours exprimant ma joie d’être avec ma réelle famille. J’ai encore l’esprit un peu ailleurs quoi. Alors…
- Enfin bref… Je vous aime les filles.
Voilà, c’est simple, clair et précis. Pourquoi se faire chier avec des longs monologues sérieux ? Je me positionne sur le côté, enlaçant Yukiko avec tendresse et pose ma tête contre sa poitrine. Je crois même que je pourrais m’endormir dans un tel cocon de nudité et de luxure…