The Multiversity

Bhouta s’enferma avec Akimbo dans une véritable tornade sexuelle qui fit trembler toute la cabane. Ils baisèrent sans relâche. Bhouta n’utilisait pas les préservatifs, il se sentait à l’étroit dedans, et il était quelqu’un de naturel. Il prit donc Akimbo, qui était en pleine frénésie sexuelle. Et on pouvait le comprendre ! Il s’était transformé en Buta en un temps record. C’était à ce stade un véritable miracle divin, et il en profitait donc bien, exalté et excité lui aussi. Bhouyta lui tirait les cheveux, le besognait encore, et ils finirent par recevoir, après plusieurs heures, Theorem et Ishtar. Bhouta et Akimbo s’accordaient alors un moment de pause, et la pièce était emplie d’odeur de stupre, de sexe, et aussi de tabac. Bhouta avait sorti un cigare qu’il fumait tranquillement, le corps en sueur. Akimbo gisait au sol, reprenant lentement ses forces après une ultime sodomie qui l’avait projeté hors du lit, sur le sol. Bhouta fut assez surpris de voir Ishtar bander sa main, et croisa son regard.

« Hum… Merci. »

À ce stade, il ignorait ce qu’elle pensait vraiment. Ishtar était certes ravie de voir que la transformation avait réussi, mais, de là à lui montrer un semblant d’attention, cela le surprenait. Il remua les doigts, réfléchissant un peu. On lui avait emmené à manger, des viennoiseries. Le lubrifiant ne servait à ce stade plus à grand-chose, vu comment Bhouta avait baisé Akimbo, et du fait aussi de sa nature de Buta. Tandis que le duo commençait à se retourner, et qu’Akimbo en demandait plus, Bhouta eut soudain une idée.

« Hep ! Ne partez pas si vite ! Maintenant que le rituel est fait, cette cabane me semble un peu petite… »

Bhouta s’était rapproché de la porte. Les deux étaient dans le couloir, en compagnie d’Alice.

« Je vous ai bien aidé, non, Ishtar ? Je ne veux pas qu’Akimbo conserve de votre manoir comme dernier souvenir cette cabane sinistre. Je veux le promener dans votre manoir, et le baiser dans chaque pièce et dans chaque couloir, lui ramoner le cul contre chaque fenêtre… Votre maid portera la bouffe. Je vous laisse décider si vous voulez me suivre ou pas. »

Alice rougit encore, mais elle n’allait pas s’opposer. Bhouta tenait dans sa main la laisse d’Akimbo, puis se retourna vers lui. Il se glissa dans son dos, et posa sa main sur son cou, puis le releva alors, et le sodomisa dans la foulée. Alice l’aida en récupérant le panier.

« Nourris-le, donne-lui un croissant…
-  B-Bien, Maître… »

Bhouta était suffisamment massif pour porter Akimbo. Il attrapa ses cheveux, et les relâcha pour faire pencher le jeune homme, afin qu’il puisse manger le croissant, tandis que Bhouta le tenait également par les bras, utilisant son énorme ventre pour soutenir le jeune homme. Alice aida aussi en relevant les jamùbes d’Akimbo derrière Bhouta, et relia entre ses chevilles une chaîne, l’empêchant ainsi de tomber. Bhouta commença ensuite à marcher, maintenant Akimbo contre lui, sa verge glissant dans son cul d’avant en arrière à chaque pas qu’il faisait.

« Héhé, allons faire un petit tour, mon chéri… »

Il fit tourner la tête d’Akimbo, et Bhouta l’embrassa avec passion, avant de se diriger hors de la cabane, suivant Alice, qui se chargerait de les guider…

Une nuit de folie s'enchaînait avec une journée de baise. Akimbo avait dormit par petites bribes, mais la drogue qu'il avait prit la veille commençait enfin à totalement disparaître. L'esprit de nouveau clair entre chaque orgasmes, il ne pouvait cependant pas cacher un attachement très profond envers Bhouta. Il l'avait transformé, ça avait été donc une véritable révélation. Pourtant, Akimbo n'en était qu'à ses premiers pas dans le monde des Buta. Il ne devinait pas qu'après cette libido démentielle se cacherait d'autres choses. Une fois harnaché à son maître qui n'avait aucune difficultés à le porter contre lui, sa verge toujours profondément en lui, Akimbo ne put que sentir un sentiment d'admiration. Bhouta parvenait quand même à le porter comme ça, à le baiser tout en se déplaçant... Quelle endurance et quelle puissance ! Le nouveau Buta lova un moment son visage contre l'épaule de son dominant avant de se retrouver dehors. Couvert de sueur, l'air frais du soir bien que toujours chargé d'humidité dans Nachtheim lui fit le plus grand bien. Mais la révélation suivante ne s'effectua que quand Alice lui tendit un croissant qu'Akimbo mit dans sa bouche avec une certaine forme de honte vu qu'il était encore en plein acte. Mais une fois la morsure faite dans la pâte alvéolée, il ouvrit en grand les yeux.

"Mais... ce croissant... C'est... Ca n'a plus rien à voir..."

Il croqua de nouveau dedans puis une deuxième bouchée succéda. Sa langue semblait pouvoir analyser de manière plus fine. Les goûts étaient plus intenses, plus puissants. Rien que l'odeur de ce croissant était surréaliste. C'était comme si le sucre qui le composait et son beurre prenait une tout autre forme. Il arrivait même plus ou moins à deviner que ce croissant avait été cuit quelques minutes de trop... Et que le sucre n'était pas uniforme... Probablement incorporé trop tard dans la pâte.

*J'ai déjà mangé les pâtisseries du manoir et je me disait qu'ils étaient moyens... Mais mes nouveaux sens de Buta font qu'ils ont un saveur incroyable... Je me demande ce que ça va donner avec des croissants de grande qualité...*

Terminant son croissant tout en subissant les assauts de son maître, ils ne tardèrent pas à arriver au manoir. La suite ? Il la connaissait... Son maître lui avait dit qu'ils le baiserait dans toutes les pièces et c'est ce qui se passa. Bien entendit ils firent des pauses et parfois ils ne restèrent que quelques minutes, le temps de plusieurs coïts avant de changer d'endroits. Etrangement le lieu où il se sentit le mieux fut la serre. Les bonnes odeurs de plantes se mêlaient à celle de leur baise et il adorait ça. la honte disparue progressivement jusqu'à ce qu'ils finissent sur la table de la salle à manger. Akimbo se sentait beaucoup plus endurant que dans sa nature humaine. Il avait fait ce marathon sexuel et pourtant à l'issue de ce dernier, à part son cul ouvert que Bhouta ferma avec un plug anal, il s'en sortait pas trop mal. Un peu épuisé et transpirant, il regarda Bhouta avant de soupirer.

"Maître... Je voudrais goûter d'autres choses... Mon sens gustatif est tellement affiné, je veux tout redécouvrir... Mais avant, pourrais je faire un brin de toilettes et me rhabiller ?..."

La question n'était pas anodine, après autant de sexe, il devait faire peur à voir...

Bhouta dut s’y reprendre à plusieurs reprises le temps de prouver une bonne position pour Akimbo. Alice l’aida à serrer la chaîne dans son dos. Si Akimbo glissait trop, la chaîne venait se heurter au dos de Bhouta, lui permettant ainsi de le retenir. On lui mit également un collier autour du cou avec une laisse. Si jamais il glissait trop, Bhouta n’avait plus qu’à tirer dessus pour le relever. Heureusement, Bhouta avait une endurance surnaturelle. Grand et massif, il pesait plus de 200 kilos, et pouvait donc tenir Akimbo. Il arriva ainsi à le maintenir contre son ventre, et enfonça sa verge dans son cul, puis suivit Alice. La démarche fut assez maladroite au début, avant que Bhouta n’arrive à trouver un bon rythme. Il soufflait dans le creux du cou d’Akimbo, et s’amusait parfois, pour se soulager, à le faire basculer en bas. Akimbo se retrouvait alors dans une position d’équerre face à Bhouta, à la perpendiculaire, et proche du sol. Bhouta le retenait à ce stade par la laisse reliée à son cou, puis finissait par tirer dessus, redressant Akimbo pour reprendre sa marche.

Une fois à l’intérieur du manoir, les choses furent plus simples, car il y avait des murs sur lesquels s’appuyer. Il y avait beaucoup de pièces dans le manoir, et Alice faisait le guide, tout en leur offrant des viennoiseries dans un panier qu’elle portait devant elle, soutenu par des sangles autour de ses épaules. Elle ouvrait le panier, et offrait croissants, pain au chocolat, chausson aux pommes, pain aux raisins, et autres viennoiseries… Akimbo constatait alors que, par sa nature de Buta, il pouvait beaucoup mieux ressentir le goût et la composition de chaque aliment. Bhouta en souriait, tout en avalant à son tour.

« Bien sûr, pourquoi crois-tu que nous sommes de fins gourmets, hein ? Cette Ishtar est sans aucun doute furieusement sexy dans ses tenues en latex, mais, en ce qui concerne la bouffe, personne n’égale les Butas ! »

Ils continuèrent à faire le tour, rejoignant notamment l’une des chambres de la famille Von Nacht. Même à travers l’épaisse porte renforcée, on pouvait entendre les hurlements de Malaurie, qui devait se faire besogner furieusement. Alice rougit doucement, mais poursuivit la tournée sans rien dire. Akimbo, quant à lui, se retrouva souvent pris contre le mur, faisant face à la libido disproportionnée de son amant. Comme à son habitude, Bhouta était un amant assoiffé et insatiable. Leur petit tour dura un certain temps, même s’ils ne virent finalement pas toutes les pièces du manoir. Ils se rendirent dans la serre de ce dernier, devant des arbres tentaculaires qui s’agitèrent sous la débauche de sexe. Alice frissonna en sentant les tentacules s’approcher d’elle. Ce fut finalement dans la salle à manger que Bhouta reposa Akimbo, et que les chaînes le retenant furent retirées. Akimbo s’effondra sur la nappe, épuisé, et Bhouta devait bien admettre que, après ce marathon sexuel, il avait la respiration lourde.

Reprenant peu à peu ses esprits, Bhouta écouta Akimbo lui demander une douche. Il allait répondre quand leur guide se manifesta alors :

« Si je peux me permettre, Maîtresse Ishtar souhaite vous inviter à sa table d’ici quelques heures. »

Aria, l’esclave de Theorem, arriva aussi de l’arrière de la salle à manger.

« Maîtresse Ishtar souhaite vous remercier, vous et Akimbo, pour votre contribution à ses recherches. Et, si vous nous y autorisez, nous nous chargerons de nettoyer Akimbo et de le préparer pour le repas, je suis certaine que vous allez apprécier ce que nous avons en tête. »

Bhouta souffla longuement, et caressa avec sa main trempée la joue d’Alice.

« La prochaine fois que je reviendrais ici, si tu n’as plus ta cage, il faudra que je te saute. Ishtar est une sacrée perverse, ça ouais, mais je crois que tu l’es encore plus qu’elle, toi… »

L’intéressée rougit poliment. Bhouta accepta néanmoins. Il comptait profiter lui aussi de ces quelques heures pour dormir, et se nettoyer. Alice et Aria emmenèrent donc un Akimbo assez sonné, qui les suivit sans protester…
Plusieurs heures après, c’est un Bhouta frais qui retourna dans la salle à manger. Elle était désormais un peu mieux remplie qu’auparavant, et il constata un grand espace vide au centre. Il avait une place assez large. Quand il arriva, les Von Nacht étaient déjà là. Ishtar, Theorem, Chengzu, et Malaurie. Lui s’assit en face du trio, salua tout le monde, et la porte ne tarda pas à s’ouvrir. Alice et Aria entrèrent à nouveau, traînant une table en argent avec les menus, répartis sur le corps nu, lavé et parfumé d’Akimbo. Il ne portait plus que ses collants et gants en latex roses, également nettoyés.

« Oh… Ma chère Ishtar, permettez-moi de vous dire que, même si votre manoir a quand même de quoi foutre les jetons, vous savez recevoir ! »

C’était une grande table. Bhouta ne sembla pas gêné outre mesure de voir Akimbo réduit en buffet. Quand son corps commençait à se vider, les deux soumises se déplaçaient, et venaient remettre des feuilles avec des plats dessus. Pensant à l’appétit vorace de Bhouta, il y avait des morceaux de viande chaude et saignantes qu’on posait sur les cuisses d’Akimbo.

« Je connais très bien Volony, j’en suis originaire… Je serai curieux de venir dans votre auberge.
-  Vous y serez tous les bienvenus… Si Madame Naviento peut supporter d’être entourée de beaucoup d’hommes. »

Chengzu savait que Bhouta était un grand chef-cuisinier. C’était aussi, à sa manière, un explorateur et un aventurier, et il s’amusait souvent, en allant chercher à manger, à caresser les cuisses d’Akimbo, ou à titiller sa cage de chasteté. Joueur, il ordonna à Alice de répandre de la crème de chantilly sur sa cage, et de la lécher. La jeune femme se mit à quatre pattes, au-dessus de l’homme. Même avec sa tenue serrée de maid, ses jolis seins ressortaient, mais Akimbo ne pouvait pas les toucher. Il était réduit à un rôle de spectateur impuissant, soumis, sentant la langue d’Alice glisser sur sa cage.

Bhouta avalait joyeusement du pain frais.

« Akimbo et moi, nous allons partir rapidement, il faut bien entretenir ma ferme… Et je dois aussi le dresser.
-  Qu’avez-vous prévu de faire ?
-  Nous sommes civilisés à Volony, Akimbo devrait déjà commencer par signer un contrat spécial. Il sera autant mon apprenti que mon esclave. Je n’oublie pas que c’est un aventurier à la base, je devrais m’assurer de sa soumission. Pour cela, il y a diverses méthodes. Je m’inspirerai de ce que j’ai vu ici. »

Chengzu acquiesça, tout en laissant Malaurie manger, et en l’embrassant quand il le fallait.

« Aria, Alice, Theorem, c’est le dernier repas d’Akimbo dans cette demeure ! Faites-lui honneur, léchez-le, partagez des fruits avec votre bouche ! »

Les deux esclaves et Theorem acquiescèrent, grimpant sur la grande table. Bhouta sentit une douce érection monter en lui, tandis que Chengzu demandait à Malaurie si elle souhaitait pénétrer l’un des trois. Les langues glissaient sur les jambes, les cuisses, le ventre, le torse et les bras d’Akimbo. Alice attrapa un sushi, et le fourra dans la bouche d’Akimbo, qui ne pouvait que subir. Akimbo avait bien demandé de « lécher », alors les trois femmes s’appliquaient.

« Pour le dessert, voilà ce que je vous propose, Bhouta… Nous sommes plusieurs dominants, et il y a plusieurs soumis. Alignons-les dans le hall d’entrée, et choisissons ceux que nous voulons sodomiser… Ou peut-être pourrait-on organiser une tombola, hum ? Histoire de se répartir les rôles… Aria pourrait choisir, ce serait amusant. »

Il suffisait de mettre les noms sur des bouts de papier, puis de sortir un nom de soumis et un nom de dominant. Chengzu se retourna vers Malaurie, et lui sussurra dans le creux de l’oreille :

« Je serai enchanté que tu participes, ma chérie, tu es ma dominante, après tout… »

Après le repas, un peu d’exercice ! Le petit groupe rejoignit le hall d’entrée, accessible directement depuis la salle à manger. Un vestibule massif avec ce grand escalier d’intérieur qui menait à la mezzanine. Bhouta sentait une douce excitation perler quand il vit les quatre soumis s’asseoir devant eux, s’agenouillant en ligne, mains derrière la tête. Aria était la seule autorisée à parler, et remplit donc la tombola. Un léger sourire orna les lèvres perverses de Bhouta quand il eut le droit de retourner prendre Alice. En un sens, tout avait commencé avec elle, quand il l’avait sodomisé et baisé. Chengzu se retrouva avec Akimbo, et se retourna vers Malaurie, puis lui sourit, en attrapant sa main. Alice sentit les mains d’Ishtar retirer plusieurs de ses cadenas, afin de libérer l’accès seulement à ses fesses.

Alice et Theorem se retrouvèrent positionnés à côté l’un de l’autre, à quatre pattes, présentant leurs fesses à Bhouta et à Malaurie. Bhouta sourit en les rejoignant, et caressa le cul d’Alice.

« Je me souviens encore du pied que j’ai pris en te baisant, ma petite Alice… Tu t’en rappelles aussi, n’est-ce pas ? »

L’intéressée se mordilla les lèvres en tournant la tête, rougissant doucement.

« Bien sûr… Maîtresse n’aime pas que je l’évoque… »

Elle rapprocha son visage de Theorem, et l’embrassa sur la joue.

« Je le fais pour qu’elle me punisse » glissa-t-elle à voix basse, comme si cela l’amusait.

Chengzu encouragea Malaurie à prendre Theorem fort, en lui faisant comprendre, tout en la pelotant que, si elle parvenait à l’épuiser au point qu’il soit dans le coma, il pourrait la baiser toute la nuit ensuite. De quoi sans doute la stimuler… Puis Chengzu se rapprocha d’Akimbo, qui fut à son tour mis à quatre pattes, mais devant Alice et Theorem, ainsi que devant Bhouta. Chengzu se retrouva à côté d’Ishtar et d’Aria, le groupe formant ainsi un quadrilatère au milieu de la grande pièce. Chengzu palpa les fesses d’Akimbo.

« Dire que je t’ai jalousé… Mais tu es finalement revenu à ta place, Akimbo. Je dois admettre que je regrette un peu de te voir partir, j’aimais l’idée de baiser mon Theorem jusqu’à satiété devant toi… Un peu comme quand Ishtar baise Helena devant les yeux de Yokva et qu’il doit filmer… »

C’était une manière comme une autre, très explicite, de raffermir sa domination sur lui. Souriant encore, d’un sourire prédateur, Chengzu approcha sa verge du cul d’Akimbo. Alice et Theorem étaient face à lui, et les esclaves pouvaient encore se tenir la main. Nul doute que les positions allaient changer cette nuit, Alice tremblait en tout cas en sentant déjà le gros ventre de Bhouta, qui la faisait légèrement plier. Sa verge épaisse heurtait son corps, glissant contre sa croupe…

…Et le départ sonna dans un concert de grognements, soupirs, griffures, hurlements, et gémissements !