Re: Être une bonne chienne [Higashiyama Kobeni]
Posté : 27 nov. 2024 00:32
Makima dominait tranquillement la situation. Elle n’avait besoin de rien d’autre que de voir des personnes se soumettre à elle. Oui, s’il fallait choisir quelque chose, s’il fallait séduire Makima et lui plaire, c’était en se soumettant. Elle aimait cela, alors elle aimait Kobeni-chan. Nerveuse, Kobeni s’exécuta, léchant les jambes de Makima, commençant par ses pieds. Elle lécha donc, mais sans véritable talent, ou passion.
*Cela viendra avec le temps…* songea Makima.
Elle aimait cette forme de domination, la soumission absolue d’une personne qui vous léchait les pieds. Kobeni remonta progressivement, et Makima la sentit bien plus intéressée par la partie de son corps au-dessus de sa ceinture. Elle la laissa grimper sur elle, et la jeune femme prit appui sur son sexe, sa puissante verge qu’elle nicha entre ses cuisses. Elle commença à remuer, léchant les seins de Makima, puis glissa sur le creux de son cou, ses joues, ses aisselles, et le reste de ses bras. Elle revint ensuite près d’elle, et s’amusa à soulever et à abaisser son bassin, se frottant contre la verge de Makima.
Souriant doucement, l’intéressée posa sa main sur le menton de Kobeni-chan, relevant sa tête.
« Dire que tu es si pudique… Et, pourtant, tu te frottes avec insistance sur ma queue. C’est à croire que tu as envie de l’avoir en toi, ma petite Kobeni-chan… »
Makima sourit à nouveau, et se pencha vers Kobeni. Elle l’embrassa avec saveur, fourrant sa langue dans sa bouche. Son autre main s’appuyait sur les fesses de Kobeni, et Makima se redressa ensuite. Elle laissa les jambes de Kobeni s’enrouler autour de sa taille, tandis que sa verge tendue se pressait contre le corps de la jeune femme.
Se déplaçant lentement, Makima rejoignit son grand bureau, et renversa Kobeni dessus. Plusieurs fournitures volèrent dans tous les sens. Makima était contre le bureau, les jambes de Kobeni glissant sur le rebord de ce dernier. Makima les redressa lentement, et approcha sa verge de la chatte de son esclave.
« Je t’autorise à parler, ma Kobeni-chan. Tu vois, je suis romantique, je vais te prendre ta virginité afin que tu me vois… Oublie l’idée d’avoir un mari, un petit-ami, ou ce genre de choses… Tu es destinée à être mon esclave, Kobeni-chan, maintenant et pour toujours ! Je suis ta patronne, ta mentor, ton idole, mais je reste d’abord et avant tout… Ta MAÎTRESSE ! »
Et c’est sur cette ultime phrase que, dans un soupir, Makima la pénétra, sa verge s’enfonçant avec force dans sa chatte !
*Cela viendra avec le temps…* songea Makima.
Elle aimait cette forme de domination, la soumission absolue d’une personne qui vous léchait les pieds. Kobeni remonta progressivement, et Makima la sentit bien plus intéressée par la partie de son corps au-dessus de sa ceinture. Elle la laissa grimper sur elle, et la jeune femme prit appui sur son sexe, sa puissante verge qu’elle nicha entre ses cuisses. Elle commença à remuer, léchant les seins de Makima, puis glissa sur le creux de son cou, ses joues, ses aisselles, et le reste de ses bras. Elle revint ensuite près d’elle, et s’amusa à soulever et à abaisser son bassin, se frottant contre la verge de Makima.
Souriant doucement, l’intéressée posa sa main sur le menton de Kobeni-chan, relevant sa tête.
« Dire que tu es si pudique… Et, pourtant, tu te frottes avec insistance sur ma queue. C’est à croire que tu as envie de l’avoir en toi, ma petite Kobeni-chan… »
Makima sourit à nouveau, et se pencha vers Kobeni. Elle l’embrassa avec saveur, fourrant sa langue dans sa bouche. Son autre main s’appuyait sur les fesses de Kobeni, et Makima se redressa ensuite. Elle laissa les jambes de Kobeni s’enrouler autour de sa taille, tandis que sa verge tendue se pressait contre le corps de la jeune femme.
Se déplaçant lentement, Makima rejoignit son grand bureau, et renversa Kobeni dessus. Plusieurs fournitures volèrent dans tous les sens. Makima était contre le bureau, les jambes de Kobeni glissant sur le rebord de ce dernier. Makima les redressa lentement, et approcha sa verge de la chatte de son esclave.
« Je t’autorise à parler, ma Kobeni-chan. Tu vois, je suis romantique, je vais te prendre ta virginité afin que tu me vois… Oublie l’idée d’avoir un mari, un petit-ami, ou ce genre de choses… Tu es destinée à être mon esclave, Kobeni-chan, maintenant et pour toujours ! Je suis ta patronne, ta mentor, ton idole, mais je reste d’abord et avant tout… Ta MAÎTRESSE ! »
Et c’est sur cette ultime phrase que, dans un soupir, Makima la pénétra, sa verge s’enfonçant avec force dans sa chatte !