Re: Les nuits parisiennes [Ladybug]
Posté : 10 déc. 2024 01:48
L’amour s’exprimait de la façon la plus matérielle et la plus intensive qui soit. Adrien la pénétrait, il venait de la percer. Il en avait vaguement conscience, et frissonnait furieusement. Il n’avait jamais été dans un t(el état d’excitation, comme si un démon s’était emparé de lui ! Devant lui, Marinette lui demanda d’aller moins vite. Il l’entendit, et déglutit, se redressant un peu, retirant sa verge de quelques centimètres en elle.
« C’est… C’est si dur, Ma-Marinette… »
Pouvait-il s’arrêter si bon chemin ? Oh, cela lui semblait impossible ! Il déglutit, sentant les parois internes de Ladybug l’attraper. Il avait l’impression d’être coincé en elle, sentant son intimité s’humidifier. Elle se pressa contre lui, et il s’enfonça finalement encore, sentant les jambes de Marinette se resserrer autour de sa taille. Leurs combinaisons crissèrent ensemble, et il griffa les épaules de Marinette. Fort heureusement, sa combinaison et celle de Marinette absorbaient les griffures, ce qui fit que son amante ne ressentit qu’une douleur très virtuelle. Adrien l’embrassa encore, et déplaça sa main, pour caresser les cheveux de Ladybug. Il serra sa main sur sa nuque, et continua à la prendre, hale tant et soupirant, grognant également en retenant sa salive. Il était énergique et sportif. De fait, sans sa forme de Chat Noir, Adrien était sûr qu’il aurait déjà joui depuis longtemps ! Mais cette tenue lui confiait après tout une force et une endurance surnaturelles. Et, de toute évidence, cela marchait aussi pour faire l’amour !
Il sentit Marinette gémir différemment. Elle n’avait plus mal, il en était sûr ! Ou peut-être était-ce ce qu’il avait envie de croire ! Il ferma les yeux en soupirant encore, sentant le souffle précipité de Marinette sur ses lèvres. La sueur était là, faisant luire sa combinaison et son visage, mais il ne la sentait pas. Tout ce qu’il sentait, c’était cette vague, cette soif qui hurlait en elle, son être qui était en train de s’enflammer ! Il brûlait avec elle, et ne pouvait penser à rien d’autre. Elle l’envahissait pleinement, et cette énergie en lui… Elle était incroyable ! Il se sentait puissant, fort, plus énergique et plus endurant que jamais ! Et elle… Elle irradiait devant lui ! Si belle, si belle ! Adrien soupirait en la regardant, en l’entendant gémir, en voyant son visage se fondre sous l’effet d’un plaisir indicible et ancestral.
« Marinette, hmmm… Je t’aime… »
Elle se lova contre le creux de son cou, et il raffermit sa prise sur sa tête, puis, quand sa tête se décolla, Adrien l’embrassa encore. Il s’enfonçait encore, encore et encore… Jusqu’à ce que, finalement, tout son membre disparaisse en elle. Il heurtait son col de l’utérus, la prenant jusqu’à la garde. Sans qu’aucun des deux ne s’en rende compte, leurs pouvoirs les unissaient. Leurs Miraculous vibraient ensemble.
« Je… Je vais jouir en toi… Hmmm… »
Pour sa première fois, il ne se voyait pas faire ça autrement : il voulait jouir en elle ! Tout son corps sembla se tendre, il griffa le lit sans le remarquer, lacérant un oreiller. Ses doigts se serrèrent dans le coton à l’intérieur, et il grogna même, avant de sentir la vague l’envahir… Et l’expulsa ensuite dans un soupir silencieux.
…Et se mit à jouir en elle !
« C’est… C’est si dur, Ma-Marinette… »
Pouvait-il s’arrêter si bon chemin ? Oh, cela lui semblait impossible ! Il déglutit, sentant les parois internes de Ladybug l’attraper. Il avait l’impression d’être coincé en elle, sentant son intimité s’humidifier. Elle se pressa contre lui, et il s’enfonça finalement encore, sentant les jambes de Marinette se resserrer autour de sa taille. Leurs combinaisons crissèrent ensemble, et il griffa les épaules de Marinette. Fort heureusement, sa combinaison et celle de Marinette absorbaient les griffures, ce qui fit que son amante ne ressentit qu’une douleur très virtuelle. Adrien l’embrassa encore, et déplaça sa main, pour caresser les cheveux de Ladybug. Il serra sa main sur sa nuque, et continua à la prendre, hale tant et soupirant, grognant également en retenant sa salive. Il était énergique et sportif. De fait, sans sa forme de Chat Noir, Adrien était sûr qu’il aurait déjà joui depuis longtemps ! Mais cette tenue lui confiait après tout une force et une endurance surnaturelles. Et, de toute évidence, cela marchait aussi pour faire l’amour !
Il sentit Marinette gémir différemment. Elle n’avait plus mal, il en était sûr ! Ou peut-être était-ce ce qu’il avait envie de croire ! Il ferma les yeux en soupirant encore, sentant le souffle précipité de Marinette sur ses lèvres. La sueur était là, faisant luire sa combinaison et son visage, mais il ne la sentait pas. Tout ce qu’il sentait, c’était cette vague, cette soif qui hurlait en elle, son être qui était en train de s’enflammer ! Il brûlait avec elle, et ne pouvait penser à rien d’autre. Elle l’envahissait pleinement, et cette énergie en lui… Elle était incroyable ! Il se sentait puissant, fort, plus énergique et plus endurant que jamais ! Et elle… Elle irradiait devant lui ! Si belle, si belle ! Adrien soupirait en la regardant, en l’entendant gémir, en voyant son visage se fondre sous l’effet d’un plaisir indicible et ancestral.
« Marinette, hmmm… Je t’aime… »
Elle se lova contre le creux de son cou, et il raffermit sa prise sur sa tête, puis, quand sa tête se décolla, Adrien l’embrassa encore. Il s’enfonçait encore, encore et encore… Jusqu’à ce que, finalement, tout son membre disparaisse en elle. Il heurtait son col de l’utérus, la prenant jusqu’à la garde. Sans qu’aucun des deux ne s’en rende compte, leurs pouvoirs les unissaient. Leurs Miraculous vibraient ensemble.
« Je… Je vais jouir en toi… Hmmm… »
Pour sa première fois, il ne se voyait pas faire ça autrement : il voulait jouir en elle ! Tout son corps sembla se tendre, il griffa le lit sans le remarquer, lacérant un oreiller. Ses doigts se serrèrent dans le coton à l’intérieur, et il grogna même, avant de sentir la vague l’envahir… Et l’expulsa ensuite dans un soupir silencieux.
…Et se mit à jouir en elle !