The Multiversity

Confuse, Hina était peu à peu en train de sombrer, de goûter à un plaisir inouï et indescriptible. D’exquises vagues de chaleur, dérangeantes mais bienvenues, remontaient en elle. Son corps expérimentait un certain nombre de grandes sensations, et elle se tortillait sur place, soupirant encore. Respirer par le nez n’était vraiment pas simple, surtout quand on était dans son état ! Et puis, ce membre était vraiment dérangeant ! Sale, gluant, épais, et ça puait ! L’odeur était atroce ! Comment pouvait-on aimer ça ? Sa raison lui ordonnait d’arrêter ça, de nettoyer sa bouche qui était en train de se salir… Et, pourtant, oui, pourtant, une petite voix remontait progressivement en elle, une petite voix qui lui disait que c’était… Bon. Cette petite voix têtue appréciait cela, et, même si elle semblait minoritaire, elle s’imposait sur tout le reste. Les joues rougissantes, elle sursauta quand Eido-sama lui annonça qu’il allait… Jouir en elle !

*Quoi ?!*

Hina écarquilla les yeux, avant de trembler nerveusement. Ce membre puissant l’étouffait, et, quand elle essayait de l’enfoncer dans sa bouche, elle ne tardait pas à déglutir sur place, sentant ce membre épais l’étouffer à moitié. Quelle sensation désagréable ! Elle se tortillait sur place, gémissant lentement, incapable de faire autre chose. La main d’Eido-sama était ferme, et, même si ce dernier semblait se retenir, elle n’avait qu’à lever la tête pour constater qu’il était en train de se rapprocher de l’orgasme. Son visage se tendait, elle voyait des expressions faciles inattendues sur sa figure, tandis que sa queue enflait et grossissait encore.

La jeune fille ferma alors les yeux en gémissant faiblement, et sentit Eido-sama grogner doucement, avant de… Jouir. Hina déglutit en sentant sa queue tressauter sur place, et sentit un liquide chaud et poisseux taper contre sa gorge. Un liquide gluant et collant, comme une sorte de glu liquide qui la fit trembler de honte, de dégoût… Mais aussi de cette fiévreuse et troublante excitation, qui l’amena à déplacer instinctivement sa main entre ses cuisses. Chaud, elle avait si chaud ici bas ! Et ça la démangeait si fort qu’elle se caressa intimement, presque inconsciemment, sans même y songer… Et, de fait, tandis qu’Eido-sama jouissait en elle, elle se surprit à jouir aussi. L’orgasme la traversa à l’idée d’être comme Shion. Shion avait avalé du sperme, alors elle pouvait le faire ! Mais il y en avait tellement ! Eido-sama jouissait si fort ! Ou est-ce que tous les garçons étaient comme ça ? Hina n’en savait rien !

Eido-sama se relâcha en elle, et, suivant ses ordres, elle commença à déglutir, s’efforçant d’avaler… Mais ce n’était clairement pas bon ! C’était amer et collant, très gluant, et elle récupéra une bouteille d’eau, nettoyant sa bouche en se relevant, un peu nerveuse… Sans avoir constaté que ses cuisses étaient humides, signe qu’elle avait de petites fuites à hauteur de son bassin, trahissant son excitation durable. Elle éternuait aussi, ayant la gorge un peu enrouée, et tira tout de même la langue, n’osant pas avouer à Eido-sama qu’elle n’avait pas trop aimé le goût écœurant du sperme.

*Pourtant, Shion n’a pas l’air de détester ça… Comment fait-elle ?!*

Est-ce que cela viendrait avec l’habitude ? Hina n’en savait rien. Tout ce dont elle était sûre, c’est qu’elle était encore plus troublée par ce qu’elle avait vécu, et que son émoi n’était toujours pas parti, bien au contraire !

Hina devait bien admettre que ce liquide n’était vraiment pas bon ! Poisseux, collant, écœurant, il lui retournait l’estomac en lui donnant envie de vomir ! Elle avait tout avalé, mais dut boire, tout en éternuant aussi. Sa tête lui tournait, et elle ne réalisait pas davantage que, en tournant ainsi le dos à Eido-sama, elle lui offrait une belle vue sur son postérieur ! D’un autre côté, Hina ne s’était jamais prise pour une gravure de mode ! Elle avait toujours envié les gros seins de Shion, et estimait qu’elle n’était pas très jolie. Oh, elle avait quand même de la poitrine, mais ses seins lui semblaient ridiculement petits par rapport à ceux de Shion. Si Hina n’y connaissait pas grand-chose au sexe, elle savait que la poitrine, c’était important, alors elle avait toujours complexé sur cet élément. Ceci étant dit, elle ignorait que les hommes pouvaient aussi être encore plus intéressés par ses fesses, car elle estimait qu’elle n’avait pas un cul forcément très intéressant… Jusqu’à maintenant.

Eido-sama se glissa soudain contre elle, et elle rougit encore quand elle sentit sa verge frotter ses fesses, glissant contre la croupe, s’enfonçant dans le coton de sa culotte. Pour Hina, tout ça était si perturbant ! Elle qui se pensait inintéressante au possible découvrait que son proviseur, qu’elle considérait un peu comme une sorte de Dieu vivant omnipotent, fantasmait sur elle ! Elle ne savait vraiment pas quoi en penser, car il y avait tant de filles jolies qu’il devait avoir pour lui… Alors, est-ce que ça voulait dire qu’elle était belle ? Désirable ? C’était sans doute un peu réducteur, mais Hina devait bien admettre que l’idée que des hommes la trouvent séduisante suffisait à faire remuer son cœur dans sa poitrine.

« Ei-Eido-sama… »

La jeune lycéenne déglutit doucement quand il la complimenta. Elle avait instinctivement croisé ses bras sur sa poitrine, et gémit quand sa culotte lui fut retirée. Eido-sama la glissa doucement, et elle constata que celle-ci était vraiment très humide ! Hina rougit encore plus, si tant est que cela fut possible, tout en tremblant nerveusement. Que lui arrivait-il ? Elle ne comprenait pas tout ! Eido-sama parlait si crument… Il disait qu’elle le faisait « bander », et, si de tels termes auraient dû la choquer, elle en ressentait au contraire une curieuse  excitation, qui la git frémir davantage. Basculant peu à peu, Hina se retrouva ensuite sur le bureau.

« Eido-sama ! » répéta-t-elle encore.

Que pouvait-elle dire de plus ? Tout son esprit était si confus ! Elle était désormais toute nue, et sentit la grosse langue d’Eido-sama glisser sur ses poils pubiens. Hina couina alors en fermant les yeux, et continua à se tortiller sur place, joignant ses mains entre elles, dans une sorte de curieuse prière… Elle aimait bien quand il lui parlait comme ça, quand il disait des mots gentils, mais… Elle aimait aussi l’entendre parler salement !

*Mais qu’est-ce qui m’arrive, je n’y comprends rien !*

Est-ce que c’était ça que Shion ressentait ? Hina avait chaud et en même temps froid, elle tremblait sur place. Elle se sentait indisposée, et, pourtant, elle ne voulait rien ressentir d’autre au monde ! De fait, elle était sûre que, si Eido-sama lui avait dit qu’ils en restaient là, elle aurait été frustrée ! Tout son corps était en train de lui échapper, et elle gémit encore quand Eido-sama lécha son sexe. Comment faisait-il pour lui faire autant de bien ?!

*Sa langue… Sa langue en moi…*

Hina se mit à gémir une nouvelle fois, repensant à cette grosse verge, ce gros membre qu’elle avait pris en bouche, et qu’Eido-sama allait sûrement enfoncer… En elle ! Cette idée l’effrayait assurément, mais déclenchait aussi d’autres pulsions chez elle. Elle se mit à soupirer encore, tandis que sa mouille ruisselait contre la langue de son proviseur.

« Ei-Eido-sama… En… Encore, haaaa… »

Toute résistance s’envolait, toute retenue. Mais que voulait-elle dire par là ? Qu’il continue à la lécher ? Elle couina encore. Dans sa tête, c’était comme si des fissures se formaient sur un carcan, comme si un mur se fissurait, chaque coup de langue de l’homme agissant comme un coup de marteau qui fragiliserait ses protections.

« J-Je… Haaa… Est-ce que cela p-plaît à… À votre trique ? »

Cette dernière phrase ne voulait pas dire grand-chose, mais elle voulait surtout placer le mot « trique », qui résonnait dans sa tête comme un mot compte triple, et qui offrait à Eido-sama une nouvelle faille à exploiter chez Hina-chan…

Hina soupirait doucement, dans une sorte d’état second, de transe profonde dont elle peinait à ressortir. Eido-sama lui faisait un bien fou, et, peu à peu, tous ses doutes s’envolaient. Comment nier ce plaisir ? Comment nier cette vague chaude et doucereuse qui était lentement en train d’exploser en elle ? Eido-sama la léchait encore et encore, avec un appétit croissant et féroce. Le Proviseur s’attaquait à son sexe, et chaque coup de langue sur sa chatte diffusait en elle un plaisir incroyable, chaud et puissant. Les vagues déferlaient en elle, croissant avec appétit,  et Eido-sama finit alors par se relever. Hina avait l’impression de mouiller beaucoup, et cela la gênait, car elle avait l’impression d’uriner… Sans pour autant uriner ! Du moins, ce qu’elle produisait n’était pas aussi poisseux ou brûlant que l’urine, c’était plus doux, plus… Agréable.

Quand Eido-sama l’embrassa, cette fois, elle lui répondit. Elle ferma les yeux, ses joues toujours rouges, et posa ses petites mains sur ses épaules. Elle crispa ses doigts dessus, et gémit lentement, sentant le corps d’Eido-sama l’écraser. Hina se pressait contre lui, et l’homme la redressa ensuite. Ils partagèrent ensemble un long baiser, qui sembla bien durer plusieurs minutes aux yeux d’Hina. Un baiser langoureux et appuyé où leurs langues jouèrent finalement ensemble. Du moins, ce fut surtout la langue d’Eido-sama qui s’enfonça dans sa bouche, et elle qui releva la sienne. Elle eut un petit frisson en heurtant celle de son proviseur, sentant comme des petits frissons électriques qui la firent trembler.

« Hmmm… ! »

Soupirant encore, Hina profitait de ses lèvres, de ce corps massif qui l’écrasait contre le bureau. Elle sentait surtout l’épaisse trique de son Proviseur, qui glissait sur sa chatte, et… Si elle avait toujours peur, cette peur semblait cette fois diffuse, atténuée, écrasée dans un cocon de désir, dans une envie furieuse et dans une soif terrible de sentir ce membre en elle. Elle avait comme un vide à combler, un manque qui ne demandait qu’à s’exprimer. Cette queue, elle la voulait en elle ! Elle gémit doucement, commençant à sortir du carcan dans lequel Hina était plongée. Le sexe abattait tout ça, pulvérisait son mur, et elle sentait ses seins durcir, la pointe de ses tétons frottant sur le corps d’Eido-sama.

Celui-ci mit finalement fin à ce baiser, et se pencha vers ses seins, venant les titiller. Retrouvant l’usage de la parole, Hina gémit à nouveau, tout en prononçant le nom de son Proviseur :

« Ei-Eido-sama… ! »

Elle voulait lui dire de la pénétrer, mais elle n’y arrivait pas. C’était comme si un marteau l’avait assommé, et elle peinait à émerger, à retrouver des sensations normales. Eido-sama se pressait contre elle, mais finit par la renverser. Hina s’étala sur le bureau, et cligna des yeux, croisant le regard de son Proviseur. Il se recula un peu, et se déshabilla alors. Tous ses vêtements tombèrent. Elle vit une toison de poils sur son torse épais et velu, et sa grosse queue qui se redressait, tapant sur son estomac. Sa gorge sembla se dessécher sur place, et les mains d’Eido-sama caressèrent ses cuisses, celui-ci se rapprochant d’elle.

Hina frémit doucement, et sentit sa verge se rapprocher de sa petite chatte… Puis il la pénétra ensuite, et perça son hymen.

« Haaa ! »

La jeune lycéenne ferma les yeux et se mordilla les lèvres en sentant une terrible pointe de douleur éclater en elle. Elle en eut des larmes aux yeux tandis que son sang virginal s’enroulait autour de la queue d’Eido-sama. Un long frisson la traversa à nouveau, et elle regarda Eido-sama, se forçant à le regarder, comme pour y trouver la force de continuer. Mais cette douleur ! Ah, cette terrible douleur ! Elle ne s’y attendait pas, et elle déferla en elle… Mais, pour autant, cette douleur ne la bloqua pas, elle ne mit nullement fin à cette vague perturbante qu’elle ressentait en elle.

Davantage, elle en voulait surtout davantage, car cette soif la tenait toujours !

Hina-chan était pleine de confusion et de sentiments étranges ! Eido-sama… Eido-sama lui faisait l’amour ! La jeune Hina-chan n’arrivait pas à y croire ! Comment tout cela avait pu évoluer jusqu’à ce stade ? Au stade où son professeur viendrait lui faire énergiquement l’amour ? Se tortillant sur place, Hina-chan soupirait doucement, mais, quand son hymen fut percé, elle hurla de douleur, et versa même plusieurs larmes ! La douleur fut si intense, si violente, qu’elle l’annihila provisoirement, avant qu’elle ne reprenne peu à peu ses esprits. Eido-sama lui parlait si crument, elle en était mortifiée, mais aussi… De plus en plus excitée ! Est-ce que c’était ça, le désir ? Elle se sentit très étrange quand il lui indiqua qu’elle était désormais une « vraie femme », et qu’il avait pris sa virginité. Est-ce que cela voulait dire qu’ils allaient devoir se marier ? Dans l’esprit innocent d’Hina-chan, elle ne s’imaginait tomber amoureuse que d’un seul garçon, avec qui elle se marierait et lui offrirait beaucoup d’enfants ! C’était donc là son rôle !

*Je vais devoir épouser Eido-sama ?!*

Cette idée la saisit brusquement, mais disparut quand il donna un brusque coup de reins. Elle couina sur place en clignant des yeux, et releva la tête. Eido-sama agrippa ses jambes, et les souleva lentement, gagnant ainsi davantage de place pour pénétrer la jeune femme. Incapable de lutter, Hina-chan mouillait énergiquement, sentant cette vive douleur s’atténuer, se noyant avec un sentiment indescriptible. Ce sentiment d’être… D’être remplie, unie, de sentir son corps remuer, de sentir tout ça bouillonner en elle ! Oh, elle n’arrivait pas à se le décrire sereinement, mais c’était intense, si violent, si puissant, et, et… Si bon ! Oui, c’était magnifique, et c’était finalement cette dernière idée qui s’instillait en elle, l’idée que ce qu’elle éprouvait en ce moment était dantesque, et que, pour rien au monde, elle ne voudrait y mettre fin !

« Ei… Eido-sama, haaaaa… »

Entre plusieurs soupirs, c’est ce qu’elle arriva à dire, tandis que le Proviseur continuait. Elle ferma les yeux en couinant encore, et rougit furieusement. Une vague la traversa, et elle se sentit partir, s’abandonnant dans une sorte de déluge blanc. Hina-chan perdit le fil, elle perdit le rythme, et, quand ses yeux se rouvrirent, Eido-sama pourrait voir que ses yeux ne regardaient rien en particulier. Ils étaient perdus dans le vent, tandis qu’elle succombait à un orgasme tonitruant. C’était la première fois qu’elle ressentait ça, et elle poussa un cri silencieux, fermant à nouveau les yeux en jouissant, encore et encore.

Sa mouille fusa abondamment de sa petite chatte, décorant la verge de son Proviseur. Elle jouit sur lui, et hurla alors, relâchant le trop-plein :

« Kyyyyyaaaaaahh… Maître !! »

Maître ! L’ultime aveu, tandis qu’elle se mit à jouir avec appétit, s’abandonnant à tout, oubliant tout le reste, sauf son Maître, Eido-sama… L’homme dont elle se disait qu’elle venait de tomber amoureuse… Eido-sama !

Eido était en train d'accomplir l'impensable dans une société aussi traditionnelle, il était effectivement en train de doucement baiser l'une de ses propres élèves. Oh si ça devait se savoir il serait limogé et traîné dans la boue, mais il avait pris quelques précautions pour s'assurer que ça n'arrive jamais, et que Hina-chan garde le silence. La jeune femme ne s'en était probablement pas rendu compte, mais elle était filmée depuis tout ce temps, et la totalité de ses ébats avec le proviseur étaient enregistrés sous de multiples angles, car il y avait au bas mot une bonne dizaine de caméras cachées dans son bureau. Le cas échéant il n'hésitera pas à rendre tout ça public...mais il avait bien l'impression que ça ne serait pas une nécessité.

Aaaaaah ma toute belle...

En effet si la jeune femme s'était crispée de douleur après qu'il lui aie percé son hymen, Hina-chan commença peu à peu à ressentir du plaisir à mesure que le vieil homme se frayait un chemin dans sa petite chatte, dont il dilatait peu à peu les parois à l'aide de sa bite bien dure. Il le voyait et le sentait bien, elle se mettait à gémir de plaisir et se tortillait sur le bureau, en mouillant comme une fontaine contre son sexe, qu'il parvint finalement à enfoncer jusqu'à la garde. A partir de ce moment Eido se mit à remuer plus profondément, et plus vite surtout, il abandonna la douceur initiale dont il avait fait preuve au début pour commencer à vraiment la baiser, ce qui fini par amener cette petite traînée à un orgasme. Eido en fut grandement satisfait, surtout lorsqu'elle laissa échapper un petit maître à son encontre...

Oh Hina-chan...

Il la laissa jouir contre lui, avant de s'abaisser vers elle pour lui lécher la joue.

Oui ma Hina-chan, je suis ton maître désormais, ce qui fait de toi mon esclave, ma petite pute personnelle, tu aimes ça hein ? Tu devais déjà fantasmer sur le fait de te faire prendre comme ça par un vrai homme, tu étais juste trop timide pour l'admettre...

Ce n'était peut-être pas le cas, mais il comptait sur la confusion de la jeune femme pour lui suggérer ces insanités et l'influencer ainsi. Ce faisant Eido se retira d'elle pour pouvoir la repositionner sur le bureau, de façon à l'allonger complètement dessus, et grimpa alors en commençant à s'allonger sur elle.

Allez, je vais te marquer de mon foutre maintenant ma petite salope, tout comme j'ai joui dans ta bouche, je vais innonder ta petite chatte de mon sperme...

Il ne lui laissa même pas l'occasion de protester, puisqu'il s'enfonça lourdement en elle d'un coup, tout en allant l'embrasser en s'étalant sur elle. Il était si gros que sa masse de graisse recouvrait et écrasait son corps contre lequel il se mit à remuer férocement, dans l'optique évidente de jouir en elle. Avait elle déjà eu des règles ? Prenait elle la pilule ? Ou bien risquait il de la rendre ainsi enceinte ? Il n'en avait cure de son côté de façon bien égoïste...

Il semblait évident de dire qu'Hina-chan ne prenait aucune pilule contraceptive, ou quoi que ce soit dans ce genre ! Le sexe était jusqu'à présent pour elle une grande inconnue, quelque chose dont elle ne s'était jamais intéressée. Une naïveté confondante qui justifiait assurément que Shion ait suggéré à Eido-sama de venir s'occuper de la petite Hina-chan, avant qu'un malotru ne le fasse. Quitte à la dépuceler, autant que cela passe par les mains d'un expert... Et quel expert ! Eido-sama besognait avec une vigueur incroyable la belle Hina-chan, qui n'était désormais plus qu'une délicieuse poupée de chair entre les mains et le corps massif de cet homme. Eido-sama ne lui épargnait rien, il la prenait avec une force incroyable, et elle rougissait quand il l'insultait. Hina-chan ne pouvait se l'expliquer. Elle trouvait ça très excitant, mais sans aucune raison précise. Que lui arrivait-il donc ? Elle était confuse, si excitée, si... Si perdue ! Tout ça était si nouveau pour elle, et Eido-sama pouvait l'entendre gémir longuement !

Finalement, il lécha sa joue, et s'écrasa plus fort sur elle, l'étouffant presque. La belle couina, sentant ce corps massif, ces centaines de kilos, venir l'écrabouiller sur place. Et cette sensation d'écrasement, cette sensation d'étouffement avec ce gros corps en sueur sur elle, c'était... Elle ne réalisait pas encore clairement ce qu'était un fantasme, mais se surprit à jouir à nouveau très rapidement.

« Haaaa... »

Elle soupira en sentant Eido-sama jouir, ce qu'elle ressentit, car... Elle sentit ce foutre jaillir, elle couina à nouveau quand elle constata qu'il avait joui, et se demanda...

*Est-ce qu'il m'a rendu enceinte ?*

Du sexe, elle ne savait effectivement pas grand-chose, mais elle savait en revanche que cela pouvait rendre enceinte. Cette idée la traversa donc tandis qu'Eido-sama jouissait en elle. Mais, après tout, si elle se fiait à ce que ses parents lui avaient appris, elle se devait maintenant de porter les enfants d'Eido-sama, et de l'épouser. Ils venaient de faire l'amour, il lui avait pris sa virginité, alors elle était à lui... Il venait de jouir en elle, mais elle se demandait s'il en avait fini pour ce soir ou non... Car son endurance sexuelle semblait tout bonnement incroyable, et Hina-chan était en train de réaliser que c'était bel et bien elle qui l'excitait autant. Est-ce que cela signifiait qu'il la trouvait belle, ou, à tout le moins, intéressante ? Cette idée était très perturbante pour elle, car elle se disait qu'Eido-sama devait être un homme accompli, qui avait dû rencontrer quantité de femmes. Pourtant, c'était elle qui l'avait intéressé.

« Eido-sama, vous... Je vous plais vraiment, alors ? » demanda-t-elle, nerveuse.

Alors, c'était ça, le sexe ! Une chose très étrange pour Hina-chan, qui ne l'avait encore jamais ressenti jusqu'à présent... Elle venait de s'offrir à son Proviseur, elle était désormais sienne. Elle s'était toujours promise de n'avoir qu'un seul homme, de ne coucher qu'avec une seule personne. Est-ce qu'elle allait devoir se marier ensuite avec Eido-sama ? Cette idée la frappa subitement, et elle rougit, plus choquée de penser à ça que de se sentir offensée par ce qu'elle avait vécu... Mais le fait est qu'elle avait pleinement apprécié ce qu'Eido-sama lui avait fait, et qu'elle n'avait tout simplement rien à regretter. Elle rougit encore quand Eido-sama lui assura qu'il avait aimé ça, qu'il la trouvait... Jolie ! Qu'elle lui plaisait ! Hina-chan rougit encore, surtout quand elle constata qu'il était toujours excité. Elle écarquilla les yeux également, ne pouvant se dire que c'était un tel membre qui était rentré en elle.

« Oh... »

Il semblait sérieux, en plus ! Hina-chan était une petite poupée qui se laissa donc faire. Eido-sama la coucha lentement sur le bureau, et elle gémit quand sa queue se frotta contre ses seins. Un couinement s'échappa même de ses lèvres, et elle frémit en sentant l'homme manipuler ses seins.

« Ei-Eido-sama, je... J'ai encore chaud, moi aussi... » soupira-t-elle en réponse à sa question.

Elle déglutit encore, consciente qu'elle devait offrir une réponse plus détaillée à son Proviseur.

« Ça... Ça m'a fait mal, mais... Pas la douleur habituelle... Une douleur que j'ai encore envie de ressentir, Eido-sama... Douloureux et plaisant à la fois... »

Pour elle, c'était difficile de décrire cette sensation, d'y accoler des mots. Elle ne comprenait pas trop ce qu'elle avait ressenti, et cherchait donc naturellement à définir ça au mieux. Clignant encore des yeux, elle haleta doucement, et, reprenant ses esprits, posa à Eido-sama la question qui lui brûlait les lèvres :

« Je... Est-ce que nous allons devoir nous marier, maintenant, E-Eido-sama ? »

Hina-chan allait donc se marier avec Eido-sensei… Elle ignorait ce que cette nouvelle était supposée débloquer chez elle. Elle se pinça nerveusement les lèvres en observant encore Eido-sensei, qui lui annonçait que leur relation devait être secrète le temps que Hina-chan soit suffisamment grande. Bien sûr, il aurait pu mentir, mais Hina-chan ne pouvait même pas envisager une telle hypothèse ! Elle se tortillait sur place, sentant cette épaisse verge remuer entre ses seins, et l’observa ensuite. Ce membre était si gros, si fort, si puissant !

« O-Oui, Eido-sama… »

Se marier avec son Proviseur ! Elle s’était plutôt imaginée épouser un autre élève, mais Hina n’avait jamais eu d’amour d’enfance, de grand amour auquel se marier. Elle avait été formée à bon escient par ses parents. Le mariage était une chose fondamentale pour une jeune Japonaise, elle se sentait donc surtout soulagée. Certes, elle ne devait pas le dire, mais elle avait un époux ! Alors, elle devait se dévouer pour lui, et n’avait pas le droit de lui refuser quoi que ce soit. Elle posa donc ses mains sur ses seins, continuant à le masturber avec. Ce membre chaud et gluant lui inspirait des sentiments confus, mais elle avait encore chaud entre ses cuisses, surtout quand Eido-sama annonça qu’il allait encore la baiser ensuite. Il parlait si salement, si crument… Cela la fait rougir, mais ça l’excitait aussi, en même temps. Son petit cœur remuait furieusement dans la poitrine. Était-ce ça, l’amour ? Ce sentiment confus, troublé, où elle perdait le contrôle d’elle-même ?

Elle entrouvrit ses lèvres, et lécha sa queue avec sa langue, puis se rapprocha encore.

« Hi-Hina-chan appartient à Eido-sama, son époux… Eido-sama peut me baiser autant qu’il veut, je… Je suis désolée de ne pas avoir aimé le sperme de mon mari ! »

Hina allait devoir réparer ses erreurs, elle allait faire de son mieux !

« Jouissez en moi, Eido-sama, je dois forcer mon corps à aimer votre sperme ! »

La jeune lycéenne ne réfléchissait plus très logiquement, tant la situation actuelle l’excitait fortement…

Dans l’esprit de Hina, seul le mariage était envisageable, maintenant ! Elle avait été bien éduquée, elle, et elle savait que le sexe était réservé aux époux. Elle s’était toujours dit qu’elle épouserait la personne qui lui ferait l’amour, car c’était ainsi que les choses devaient aller ! La douce et timide Hina devrait donc se marier avec Eido-sama. Elle n’aurait jamais cru devoir un jour se marier avec le Proviseur du lycée, mais c’était désormais chose faite. Hina serait sa femme dévouée et aimante, et c’était une chose qu’elle savait faire. Elle massait donc l’épaisse verge de son futur époux entre ses seins. Si elle n’avait pas la généreuse poitrine de Shion-san, Hina n’avait pas non plus à rougir de ses formes. Les Japonaises étaient connues pour leurs petites formes, réputées pour leurs petits seins. Hina avait toutefois de quoi faire, elle n’était pas une planche à pains ! Elle était donc très heureuse de pouvoir contenir l’épais membre trempé et joufflu de son Proviseur entre ses seins, et remuait ses seins dessus. Elle se tortillait sur place, se dandinant en faisant remuer cette grosse queue, une verge qui tapait contre son menton.

« Oh, Eido-sama… ! » soupira-t-elle.

Quand il lui assura qu’elle ferait une « excellente épouse », Hina sentit sa chatte s’enflammer doucement. Elle avait de plus en plus chaud ici, entre les cuisses. Le désir croissait doucement en elle, et elle ne pouvait retenir cette vague qui menaçait de l’emporter, de l’engloutir avec délectation. Elle se laissait donc porter, continuant à donner des coups de langue. Hina se risqua même à sucer la pointe de cette queue, la fourrant dans sa bouche. Ses joues rougirent, et elle continua son office, jusqu’à sentir la queue d’Eido-sama tressauter sur place. Il posa sa main sur la tête d’Hina-chan, l’incitant à conserver ce membre en bouche. Sa queue cracha ensuite des filaments de sperme, et Hina écarquilla les yeux. Il y en avait tant qu’elle finit par reculer la tête, et se reçut des déjections de sperme sur le visage.

Hina éternua à plusieurs reprises, sentant le foutre maculer son visage. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, et releva la tête. Elle avait la bouche pleine de sperme, mais aussi la figure, et il lui parla. Elle l’écouta silencieusement, et joua donc avec sa langue, tout en ayant toujours très chaud entre les cuisses. Petit à petit, elle avala tout, déglutissant, et réussit à ne pas recracher. C’était toujours amer, mais c’était le sperme de son époux ! Alors, elle ne pouvait rien rejeter de lui ! Elle avala donc lentement, et, ensuite, le Provisdeur alla s’asseoir sur le canapé. Il attrapa sa verge, qui retrouva sa dureté, et lui ordonna de venir s’empaler sur lui. Hina rougit encore, et hocha la tête.

« O-Oui, Eido-sama… ! »

Elle se releva alors, et fut tentée de se nettoyer le visage, mais Eido-sama le lui interdit. Ce sperme chaud et collant était sur son visage, un contact poisseux qui la troublait. Tremblant nerveusement, elle réussit à rejoindre le fauteuil, et grimpa dessus. Son genou heurta le gros ventre d’Eido-sama avant qu’elle ne le déplace, et ses jambes glissèrent à droite et à gauche d’Eido-sama. Elle s’enfonça dans le fauteuil, et posa ses deux mains sur ses épaules. Son corps remua doucement sur sa peau, son sexe proche du sien. Elle se pencha vers lui, venant l’embrasser.

« J-Je vous aime, Eido-sama… Je vous aime tellement… »

Elle soupira, et attrapa la verge d’Eido-sama, puis, tout en remuant un peu, essaya de l’orienter vers sa chatte. Elle écoutait les conseils de son époux, tout en se disant, à nouveau, qu’un membre aussi gros ne rentrerait jamais en elle ! Néanmoins, les ordres de son époux et Maître faisaient loi ! Elle se positionna donc, et gémit au contact de ce membre contre ses lèvres intimes. Hina se mordilla les lèvres, rougit à nouveau, mais elle était si excitée que ses doigts glissaient sur cette queue ! Il y en avait tout simplement partout ! Elle glissa ainsi, et sentit sa verge remonter d’un coup en elle !

« Haaa… »

Soupirant lentement, Hina ferma les yeux, et les rouvrit ensuite, croisant le regard d’Eido-sama. Elle attrapa chacune de ses mains dans les siennes, et commença alors à danser sur sa queue, rebondissant sur son ventre flasque, couinant et gémissant…

Hina vivait un doux rêve éveillé. Eido-sama était un homme responsable et respectable, un Proviseur de lycée ! C’était assurément un excellent parti, quelqu’un de puissant, qui respectait les traditions ! Plus que tout, Hina avait craint de rencontrer comme amoureux un jeune garçon indiscipliné, l’un de ces adolescents irresponsables qui, après avoir couché avec elle, l’auraient abandonné. Mais, avec Eido-sama, c’était impossible ! Hina était donc très chanceuse d’avoir rencontré comme futur mari quelqu’un de fiable et de respectable ! Oh, il allait encore falloir attendre quelques années qu’elle soit adulte, mais elle n’était pas inquiète à ce sujet. Ses parents seraient ravis et flattés que Hina ait un si bon parti ! Elle était tout de même surprise… Elle ne savait pas que les garçons étaient si endurants ! Elle n’avait encore jamais vu de sexes d’homme à part celui-là… Elle n’avait encore jamais vu un membre d’homme de sa vie, et elle était surprise… Impressionnée, effrayée, mais aussi, très étrangement… Furieusement excitée ! Quand Eido-sama lui demanda de s’empaler sur sa queue, Hina-chan rougit comme une tomate, ses douces joues pales devenant cramoisies. Elle se mordilla les lèvres, sentant une étrange et perturbante chaleur croître entre ses cuisses. Elle frotta instinctivement ses jambes les unes contre les autres, comme quand elle avait envie d’uriner, mais qu’elle se retenait quand même.

« Ei-Eido-sama… »

Perchée sur lui, Hina-chan laissait la vague l’envahir, la submerger. Un plaisir immense déferla en elle, croissant au fur et à mesure qu’elle s’enfonçait, qu’elle le sentait s’enfoncer. Hum, hum ! Cette sensation était fabuleuse, délectable au possible ! Han, quelle sensation ! Quelle magnifique et merveilleuse sensation que celle d’être remplie, celle de se sentir enfin pleine ! Cette queue massive lui fit très mal, bien sûr, mais ce n’était pas une douleur rédhibitoire. Au contraire, c’était une douleur agréable, addictive, une douleur que Hina-chan aimait ressentir ! Elle aimait ça, oui ! Elle sentait ses parois intimes se dilater, s’écartant au passage de ce gros membre, de cette queue veineuse et assoiffée. Savoir que Eido-sama la trouvait belle et désirable, malgré ses petites formes, voilà qui ne pouvait que la motiver davantage ! Alors, quand il lui demanda de poser ses mains sur ses épaules en appui, elle le fit spontanément, crispant ses petits doigts sur sa peau en sueur, griffant sa chair en essayant de prendre cette queue le plus loin possible.

Elle avait en effet pu remarquer combien Eido-sama semblait aimer ça, lorsqu’elle s’enfonçait profondément, lorsqu’elle donnait de grands coups de reins et s’efforçait d’engloutir tout ce membre en elle. Oh, la tâche était pourtant loin d’être simple, car Eido-sama avait une verge puissante et grosse. Hina-chan se forçait donc, gémissant alors. Elle couinait en se mordillant les lèvres, sentant un pic de douleur croître, provoquant en elle des résultats inattendus, et indescriptibles. Elle avait l’impression que cette queue devenait comme une épée de chair la labourant de l’intérieur pour remonter jusqu’à son cerveau ! Elle soupira encore en sentant les grosses mains de son futur époux palper ses fesses.

« Haaaa… Ei-Eido-saaammaaa !! » gémit-elle.

Elle se dandinait sur place, prenant peu à peu conscience qu’elle adorait sentir les mains de Eido-sama sur ses fesses. Ce contact, ses doigts gros et libidineux qui palpaient son cul, cela la rendait toute chose ! Elle était en train de mouiller avec joie, remplissant le bureau d’Eido-sama de ses couinements, de ses gémissements. C’était une véritable Princesse en transe, s’approchant d’un nouvel orgasme, et mouillant abondamment sur la queue et sur les cuisses de son Proviseur tant aimé !

Comme Hana avait changé en si peu de temps ! Mais la cause était entendue, la messe était dite ! Eido-samla était un Proviseur, c’était un homme puissant, respectable. Le fait qu’il veuille d’elle ne pouvait que plaire à Hina, qui était évidemment bien loin de pouvoir suspecter Eido-sama de quoi que ce soit. À ce stade, il était difficile de dire qu’elle était vraiment amoureuse, elle était confrontée pour la première fois de plein fouet, et sans aucune protection quelconque, face au désir sexuel. Ce désir noyait tout le reste, la faisant délirer. Enfiévrée, elle s’imaginait déjà porter les enfants d’Eido-sama, et l’épouser ! Et puis, il l’avait dit, alors, s’il l’avait dit, c’était bien la preuve qu’il comptait le faire ! Hina s’empalait donc sur sa grosse queue, soupirant encore, gémissant contre lui, frissonnant au contact de ses mains sur son corps… Mais, quand il commença à toucher ses fesses, elle gémit, et se tortilla un peu plus, comme si cette palpitation était différente des autres, plus marquante, plus forte !

« Haaaa… Ei-Eido—sama, hmmm… »

Elle gémit encore, et couina quand il enfonça son pouce en elle, dans son fondement. Hina ferma les yeux en rougissant furieusement, et ses parois vaginales se contractèrent davantage autour de l’épaisse queue de son amant. Les réactions de son corps trahissaient ses fantasmes profonds, ce désir inné qu’elle avait de se faire prendre par là ! Elle était inexpérimentée, mais pas non plus totalement sotte. Elle savait que les sodomies existaient, mais cette idée l’avait toujours fait rougir, notamment quand Shion lui en parlait. Elle était convaincue, désormais, que Shion avait dû faire l’amour. Hina frémit quand le pouce d’Eido-sama remua en elle, puis quand il glissa son majeur en elle. Hina remua d’avant en arrière, ses petits seins durcis heurtant son torse. Elle heurtait son ventre proéminent, et enroula ses bras autour de la nuque d’Eido-sama, puis l’embrassa, tandis qu’elle gémissait. Ses yeux se voilèrent sous l’effet d’un énième orgasme. Elle soupira ensuite, et jouit devant lui, un sourire béat et idiot sur les lèvres. Bon, c’était siiii bon !

Hina jouit donc avec appétit sur la grosse queue de son Maître, et Eido-sama la complimenta. Hina rougit. Elle avait joui abondamment, et elle sentait ce liquide sur ses cuisses, dégoulinant sur le divan.

« Je… Maître… »

Sa verge étant toujours dure, elle le soupçonnait de n’avoir pas joui. Il la coucha délicatement sur le divan, et elle soupira, sentant sa mouille contre ses jambes. Il se dressa au-dessus d’elle, et elle sentit son gros ventre s’abattre sur elle, l’étouffant. Sa poitrine l’écrasa, et elle écarta les jambes, avant de gémir encore quand il la pénétra. Elle rougit encore quand il lui parla, quand il lui indiqua combien il aimait être dans sa chatte. Elle rougit confusément, et soupira lentement, hochant la tête en le regardant.

« Ma… Ma chatte vous appartient, Maître… Soulagez-vous en moi… S’il-vous-plaît… »

Jouir sur elle, cela lui semblait bizarre ! Et puis, si elle voulait être enceinte, il fallait bien qu’il jouisse en elle ! Donc, le choix était vite fait…