The Multiversity

Il n'en fallut pas plus pour Ghurren. La diplomatie et les bonnes manières s'étaient noyées dans le volume de sperme qu'il avait injecté dans le ventre de Fiona. Après un dernier coup de reins sec, il s'en sortit, laissant la vulve de la vampire dans l'état d'une brèche grande ouverte. Il en coulait des paquets collants de semence mais l'orc ne s'en soucia pas. L'utérus de la fille était comblé et le processus déterminant de l'élaboration d'une nouvelle vie était durement déjà en cours. Ghurren posa son énorme membre sur les fesses de Fiona. Son sexe était long et épais et reposait jusqu'au milieu du dos de la diplomate. Elle était superbe ainsi, à quatre pattes, le postérieur en l'air, prête à être emmanchée à nouveau.

"Oh, tu serais digne de n'importe quel dieu Fiona. L'empereur Wismerhill m'a fait un cadeau bien au delà de mes attentes en t'envoyant à moi. Je n'espérais pas tant."

L'orc tapota son sexe sur la peau pâle de Fiona avant de poser le bout de son gland à l'entrée de ses reins. Ghurren frémissait d'anticipation. Ce qu'il s'apprêtait à faire terraserait n'importe quelle humaine mais Fiona était au delà de cette simple condition. Il se pencha sur elle et écarta ses cheveux blancs de son oreille pour qu'elle comprenne bien ce qu'il allait dire.

"A présent, je vais te sodomiser. Je ne m'occuperai plus que de tes fesses maintenant que je t'ai imprégnée. Ce sera sauvage et je compte bien te faire perdre la tête tant tu aimeras ça."

Il pesa sur la fine rondelle qui peina à s'ouvrir devant l'énormité de son gland. Si il y allait fort, il la déchirerait, au début, aussi il prit le temps de l'ouvrir, quelques minutes, avant de pousser plus sérieusement. La moitié de son gland écarta le sphincter fermé, l'étirant à l'extrême. C'était invraisemblable qu'il y parvienne sans la tuer de douleur et quand il appuya encore plus, le gland fut aspiré à l'intérieur et l'anus se resserra sur son manche. L'orc se redressa alors, debout, et Fiona l'accompagna tout naturellement dans son mouvement. Ghurren l'enveloppa de ses bras musculeux pour qu'elle ne bascule pas en avant et laissa la gravité faire le reste. La fille était empalée sur sa queue et ses pieds étaient loin de toucher le sol. Son seul maintien consistait en cette grosse queue qui lui perçait le cul. Son poids l'incitait à glisser vers le bas, offrant à son corps, l'intrusion de cet énorme membre. Fiona était écartelée dans une position similaire aux suppliciés condamnés au pal. Ghurren lui lécha le cou et les épaules et lui prit les seins à pleines mains pour la peloter. Patiemment il la laissa faire. Qu'elle gigote ou patiente aussi, le résultat serait le même: elle allait le prendre tout entier dans ses fesses molestées. L'énorme mandrin qui la comblait était démesuré et dilatait son rectum comme jamais.

"Quand tu seras prête Fiona, dis le moi et je ferai de ton corps un autel à ta déesse."


Sans réactions négatives de la part du chevalier, Shagurash comprit qu'elle n'avait pas de contraintes. Elle était une pute professionnelle et savait parfaitement s'adpter aux exigences de ses partenaires. Si le sire Viscarion voulait se faire malmener, c'était dans ses cordes. Aussi, elle tira un peu plus sur les beaux xheveux de l'homme et augmenta le rythme et la force de sa sodomie pour l'obliger à résister pour garder son équilibre. Il avait un peit cul confortable et tant qu'il ne disait rien , elle durcissait son tratitement. Elle ne l'insulta pas mais se plut à l'imaginer en petite câtin. Et quand elle le prit finalement par les hanches, ce fut pour lui administrer une pénétration qui laiseerait des marques et des séquelles. Mais c'est ce qu'il semblait aimer. A la nouvelle confrontation du lendemain avec Ghurren, il aurait peut être du mal à marcher...

Willa, elle, avait parfaitement assimilée la réponse du chevalier. Si elle aimait sa vie de nomade, la tentation d'un confort tout autre prévalait sur ce mode de vie. Aussi, elle fit en sorte de bien s'aligner pour que le sexe du chevalier tape bien au fond de son vagin pour s'orienter vers l'accès à son utérus. Il fallait absolument qu'il s'y purge, et pas qu'une fois. Cette nuit allait être la sienne et elle ne le laisserait se reposer que quand elle aurait l'assurance d'être bien remplie. La jeune orc avait aussi saisi les orientations du chevalier et l'incitait à continuer.

"Allez chevalier, fais de moi ta pute et vide toi les bourses dans ma chatte de peau-verte."

La claque que Shagurash délivra sur les fesses de Lazare fit écho à la demande de sa fille.

S’il n’y avait eu Mélinda avant, et l’enseignement de la « Voie de Lust », de la magie rose, Fiona n’aurait sans doute pas passé un agréable moment, loin de là. Car Ghurren, même s’il ne s’enfonça pas d’un coup sec en elle (ce qui, de toute façon, aurait été physiquement impossible), ne perit pas non plus l’effort de dilater son fondement. Mais cela, Fiona s’y était préparée. Mélinda était sur le sujet du sexe plus ouverte que sa mère biologique, qui avait sans doute encore du mal à voir en Fiona une femme mâture. Mélinda lui avait dit que les Orcs étaient de bons amants, mais aussi redoutables, car ils ne prenaient pas le temps de préparer les choses. La Matriarche avait donc paré à cette éventualité. Alors, quand Ghurren s’était puissamment déchargé en elle, au point peut-être de la rendre enceinte (cela dépendait avant tout de son ovulation, même si, là aussi, la magie rose pouvait influencer les choses), Fiona avait utilisé les sortilèges qu’elle avait appris. Sur son pubis, un inmon s’était formé, et, à l’intérieur de son corps, ses parois anales commencèrent à se lubrifier. Cela n’avait rien de naturel, mais rien de désagréable non plus. C’était son jus intime, ce mélange de mouille et de sperme, qui était redistribuée pour voyager dans son organisme.

Néanmoins, même avec cette technique, la sodomie n’en restait pas moins douloureuse. Pour le reste, il fallait surtout se fier à sa nature vampirique. Là où les humains avaient un rapport difficile avec la douleur, els vampires se montraient plus masochistes. Pour ceux qui avaient frôlé la mort, et qui avaient dansé avec elle, la douleur était un signe de vie, une manière de réchauffer le corps de ceux qu’on considérait de manière abusive comme des « morts-vivants ». Fiona gémit donc, et ses joues s’empourprèrent, quand Ghurren, fidèle à sa nature d’Orc, alla l’entreprendre, présentant sa verge monstrueuse vers sa porte arrière. Fiona, qui avait un ventre joyeusement arrondi après toute cette décharge de foutre en elle, s’attendait désormais à un sacré rodéo. Elle caressa son ventre, pas tant pour vérifier l’état de ce dernier, que pour s’assurer que l’inmon était bien là, et frémit doucement.

Elle tourna la tête vers Ghurren, sentant en lui sa détermination. Tous ses muscles étaient tendus, son regard acéré témoignant du fait que, dès qu’il commencerait, il ne s’arrêterait pas. Un bref frisson de peur traversa l’esprit de Fiona.

*Tu es folle, il va te défoncer le cul !*

Si elle avait été dans une bande dessinée, un ange et un démon auraient flotté à côté de sa tête, le premier pour la dissuader, le second pour l’encourager… Et, comme souvent dans ce cas-là, c’est le deuxième qui l’emporta sur le premier. Elle sourit alors, et commença à remuer ses fesses, les frottant sur la pointe de la queue de son amant, glissant dessus.

« C’est une drôle de poésie que tu envisages, Ghurren… Mais oui… Viens ! » intima-t-elle.

De tous les membres du clan Viscarion, Lazare était sans doute la bête noire, le rebelle qui refusait d’obéir. Le seul à ne pas être marié, et à n’avoir aucune descendance légitime. Pour ce qui était de la production de bâtards, en revanche, Lazare décrochait sans doute la palme. Bisexuel, il était connu pour ses frasques, ses nuits de débauche à la capitale qui l’amenaient à finir en cellule de dégrisement après s’être battu dans une taverne. La dernière fois, il avait été ramassé dans une cellule après avoir tenté d’éperonner la garde avec un espadon exposé dans l’auberge, en étant torse nu. Toutes les frasques de Lazare étaient compensées par ses exploits guerriers, et Darion, pourtant un homme calculateur, avait fini par s’y faire, en se disant que cela permettait au moins de rendre les Viscarion populaires, et de jurer avec leur image d’aristocrates pédants. Après tout, Lazare ne rechignait pas à coucher avec de simples paysannes, et avait, à sa manière, un certain sens de l’honneur… Qui expliquait aussi souvent pourquoi il se retrouvait en plein cœur de rixes en fin de nuit.

Quand Shagurash s’enfonça en lui, Lazare soupira, et se mordilla les lèvres. Ses muscles se crispèrent, et une saine et éruptive douleur éclata en lui. Ses joues rougirent, et, devant lui, Willa lui demanda d’y aller franchement. Lazare sourit en grognant, et la déplaça un peu. Elle se retrouva couchée sur le dos, avec les jambes écartées à droite et à gauche. La verge de Lazare retourna la pilonner, et il grogna sur place, sa salive jaillissant parfois de ses lèvres pour tomber sur le corps de l’Orc, qui semblait luire sous l’effet de la sueur.

« Hrrrmppfff… J’adore ça… Me taper une mère et sa fille en même temps… Y a pas à dire, c’est vraiment le pied ! Par la Déesse, ce que tu es bonne, ma salope… ! »

Ah, qu’est-ce que c’était bon ! Il s’enfonça donc en elle, continuant à la prendre, semblant gagner en force au fur et à mesure que Shagurash s’enfonçait en lui. Les jambes de Willa finirent par partir en arrière. Lazare la prenait en utilisant la redoutable « position de l’enclume », se régalant du visage passionné de sa jeune amante. Il grogna encore, ses bourses finissant par claquer contre les fesses de la jeune femme.

« Re-Regarde comme ta fille prend son pied… Tu aimes ça, h-hein ? Hmmm… Dis-lui combien elle est belle, encourage-là, tu es sa mère, après tout, c’est toi qui en as fait une telle traînée… »

Qu’il soit la bête noire des Viscarion ou non, Lazare partageait en tout cas un point commun avec le reste de sa famille : leur passion pour l’inceste !

La nature avait fait les choses. Dans cette position particulière, Fiona s'était empalée sur le sexe de l'orc, glissant vers le bas jusqu'à ce qu'elle le prenne en entier entre ses fesses et qu'elle vienne buter à la base de cette énorme queue. Le membre de Ghurren occupait tout son rectum, garantissant trente épais centimètres de plaisir pur. Adossée au colosse, la petite vampire paraissait aussi  fragile qu'un bibelot de porcelaine. Mais ce n'était pas connaitre Fiona et sa nature particulière. L'inmon sur son bas-ventre pulsait d'une lumière rosâtre, preuve que la magie rose était à l’œuvre pour permettre cette sodomie improbable.Là ou la plupart l'aurait cru brisée, quelques uns seulement savait de quoi elle pouvait être capable et c'est bien pour cela que c'était elle, et pas une autre, qui était là. Elle n'avait pas été envoyé à l'abattoir, elle avait seulement les capacités nécessaires pour "négocier" avec cette horde venue du Nord. Ghurren ne s'attendait pas à une issue comme celle-ci mais il avait la rapidité de réflexion nécessaire pour mesurer quelle opportunité c'était. Un couple mixte? C'était plus risqué pour elle que pour lui. Pour le général des armées orcs, prendre Fiona comme première femelle représenterait une victoire aux yeux de ses congénères, plus simplets que lui. Par contre, que diraient les nobles de Mijak et de sa famille de belle lignée si Fiona devait annoncer des épousailles avec un vulgaire peau-verte?

Bien sûr, ils n'en étaient pas là mais Ghurren se savait fertile; une chamane réputée lui avait dit, et prédit qu'il aurait un enfant d'une humaine spéciale. Avec ce qu'il avait lâché dans les entrailles de la diplomate, il était probable que Fiona était bien l'humaine de la prédiction ... Cela lui convenait parfaitement. Fiona était suprêmement belle et séduisante. Elle était intelligente et vive d'esprit et en plus, disposait d'un penchant pour le sexe qui allait dans le sens de l'orc. Ah!! Wismerhill! Encore une fois, quel cadeau!

Ghurren fit deux pas en avant et un quart de tour sur le côté pour se trouver devant un grand miroir de plein pied. Il souleva les cuisses de Fiona pour exposer sa queue énorme plongée entre les fesses pâles de Fiona. Des rougeurs venaient perturber cet ensemble parfait, notamment là où le sphincter de l'anus de la vampire était étiré à l'extrême et aussi sur les hanches, là où il l'avait fermement tenue. Fiona pouvait les contempler et profiter d'une image qu'elle n'oublierait pas: un orc colossal la sodomisant dans une yourte aux confins de l'empire.

Et puis, Ghurren commença à bouger. Enfin ... pas vraiment ... Il la soulevait, sa petite plume mijakienne, jusqu'à ce qu'elle n'ai plus que le gland en elle et il la relachait sans la retenir. Ainsi, la dimension d'énormité de la queue de l'orc prenait tout son sens. C'était comme un totem la pénétrant brutalement jusqu'au bout. Trente centimètres, encore, encore et encore, de la même manière. Pour le général, cela ne demandait aucuns efforts tant elle était légère. Pour Fiona en revanche et malgré l'inmon, c'était une véritable épreuve d'endurance. Ghurren l'observait dans le miroir. Le visage de la femme prit une expression caractéristique des vampires: un visage contracté de douleur mais heureux de souffrir. Le regard de la mijakienne avait perdu de sa douceur naturelle au profit d'une perversité certaine. Elle avait un rictus figé en sourire  et les yeux plissés sur ce qui semblait être un début de folie. Oh, il n'en était rien. Fiona n'était pas folle, bien au contraire, et Ghurren ne l'ignorait pas.

"Tu aimes avoir mal dans ces conditions petite plume? Alors regarde ..."

Il se laissa tomber à genoux et son gland tapa dans une masse molle au fond des entrailles de Fiona. Il lui prit les mains et les lui verrouilla dans son dos. Ensuite, d'un coup de hanche, il bascula en avant, l'entrainant et l'écrasant de son poids. Elle ne pouvait pas lui échapper. IL LA DÉFONÇA COMME JAMAIS. Fiona avait à quelques centimètres d'elle le miroir qui lui renvoyait le reflet de son visage; et au dessus, de l'orc qui pilonnait son cul en la maitrisant. Oh quelle avait l'air si petite sous lui. Ses belles épaules rondes et pâles étaient tendues en arrière, elle ne pouvait que battre des jambes et Ghurren donnait tout ce qu'il avait pour la faire crier, supplier, abdiquer ... que ce soit pour continuer bien sûr. Il la baisait comme une chienne et la déboitait comme une pute. Les gentillesses n'avaient plus lieu d'être, ils savaient ce qu'ils voulaient...

Même la magie rose était mise à mal. Dans cette yourte, les plaisirs dépassaient l'entendement et l'inmon concentrait sa puissance sur le bas-ventre de Fiona pour que le sperme accumulé y reste au lieu d’être éjecté sous la pression de la sodomie passionnelle. Quelque part à Lust'ghaa, un ange d'amour de la fertilité luttait pour résister à la fusion des deux amants en maudissant le fait que ce soit lui qui ait à s'occuper de ces deux-là ...



Là où Shagurash était depuis longtemps une pute professionnelle, et donc avec un vagin considérablement élargi par les passages répétés de légions d'orcs, sa fille Willa avait encore le physique de jeune première qui plaisait particulièrement au chevalier. Avec elle, il pouvait ressentir un passage chaud et étroit, assez serré pour qu'il  puisse profiter pleinement de ce moment de détente. Willa était à présent sur le dos et continuait à l'inciter. Il fallait qu'elle se fasse remplir le plus possible pour multiplier ses chances de porter un rejeton de l'humain. C'était agréable. Avec les orcs, l'histoire était toujours la même: à quatre pattes à attendre que monsieur finisse et se barre sans savoir si elle avait pris son pied ... Au moins l'humain était créatif et variait les positions. Willa couina plus d'une fois. Lui aussi s'éclatait et il bavait quasiment sur elle. La jeune orc se caressait le corps, comprimant ses seins et secouant la tête pour écarter ses mèches rebelles qui lui tombaient dans les yeux. Écartant plus les jambes encore, elle parvint à se redresser suffisamment pour enlacer le chevalier et enfin, lui délivrer ... un véritable baiser d'orc, c'est à dire à la limite du respectable pour un humain.

"Encore chevalier! Tu vas me remplir et après tu me baiseras la bouche pour que je savoure ta queue et ton foutre. Tu vas faire de moi ta suceuse personnelle une fois que tu m'auras enfantée."

Il venait à son tour de la basculer en arrière. Shagurash suivit en ricanant. Il lui offrait là son petit cul d'humain et il allait morfler. Au risque de le contrarier, elle lui prit ses beaux cheveux longs à la base du crâne et serra. S'affalant sur lui, elle n'eut aucune pitié à le sodomiser tout en entrant dans son jeu. Quand l'humain bougeait, elle le clouait à sa fille d'un coup de rein perforant.

"Oh oui chevalier. Ma fille est une pute , tout comme moi, et tout comme toi. Ton cul est délicieux et moi aussi, je vais te remplir de foutre."

Et l'orc fit honneur à sa promesse et le baisa lui aussi, comme une trainée. Bien sûr, Shagurash n'était pas bête et elle tenait à la vie. Elle était à l'écoute de l'homme et de son corps et ne le pressait que jusqu'à une limite acceptable pour lui. Il ne fallait pas oublier qu'il représentait un empire et qu'il avait autant d'importance que l'orc n'en avait pas.




Au même instant, Ghurren hurla, donna ses derniers coups de reins brutaux et se sortit des fesses détruites de Fiona. Il l'avait sodomisé ainsi pendant près d'une demie heure. Une demie heure de folie sans limite où il n'avait fait preuve d'aucune merci. Ce qui s'était passé sur les épaisses fourrures qui jonchaient le sol de la yourte avait épuisé l'ange gardien de Lust. La créature s'était éreintée à protéger l'intégrité de Fiona et ce qu'elle portait dans son ventre. Médusé, l'ange allait devoir faire un rapport complet pour explique ce phénomène qui avait dépassé les limites de la magie rose. L'inmon , symbole connu et habituel des adeptes de magie rose, s'était étendu autour du vagin de la femme en de gracieuses courbes protectrices mais aussi avait imprimé ses entrelacs sur les hanches de l'humaine pour qu'ils se rejoignent et s'unissent au niveau de son coccyx, lui permettant le miracle de jouir de cette délicieuse sauvagerie ...

Ghurren remonta le corps de son égérie, l'emprisonnant entre ses cuisses puissantes. Ses grosses bourses étaient posées dans le creux du dos de Fiona et lui tourna la tête pour qu'elle présente son profil.

"Je te veux pour moi Fiona, comme reine."

Et il éjacula, inondant la belle chevelure de la vampire, tartinant son visage, l'ensevelissant sous des monceaux de sperme. Il haletait au dessus d'elle et la retourna ensuite sur le dos pour l'admirer. Son gland était posé sur une joue délicate et son sexe dorénavant mou barrait encore sa princesse.

"Je me demande comment vont se dérouler la suite des négociations tout à l'heure ..."

Et il éclata de rire!

Fiona allait passer un sacré moment… Et ce fut effectivement le cas. Semblant déchaîné, Ghurren s’efforça de la sodomiser, ou de l’embrocher, tant il la baisa fort. Sa grosse verge s’enfonça en elle, et coupa le souffle de Fiona. En son for intérieur, elle fut intimement convaincue que, si elle n’avait pas été vampirisée, Ghurren l’aurait assurément tué en la sodomisant ainsi. Les griffes de Fiona se déployèrent, et, pendant toute la durée de cette sodomie bestiale, ses instincts vampiriques prirent le dessus. Elle s’efforça de maintenir ses doigts sur le sol, car, si elle touchait le corps de Ghurren, elle l’aurait lacéré violemment. Ses canines pointaient également quand elle grognait, et elle continuait à gémir fortement. Des larmes glissaient le long de ses joues, qu’elle tentait de réprimer, tandis qu’elle avait le souffle régulièrement coupé. Ghurren la besognait fougueusement. Il la prenait en position de l’enclume, ayant relevé ses jambes au-dessus du torse de Fönn, comme pour pouvoir mieux la baiser. Il s’enfonçait avec force dans son cul, encore et encore, écartelant ses parois anales.

« Haaaa… Pu-PUTAIN, hnnngnnnh… !! »

Parler était impossible, elle recrachait sa salive, tout en se disant que, effectivement, elle avait été complètement folle de le provoquer ainsi ! Ghurren ne lui épargnait rien, et, après un moment qui semblait infini, se retira d’elle, puis alla jouir directement sur son visage. Fiona se retrouva la tête pleine de foutre, et ne réagit pas immédiatement aux propos de Ghurren. Sonnée, elle était comme absente. Quand il la retourna sur le dos, ce fut pour constater que Fiona était sous le choc. Elle ne réagissait pas à ce qu’il disait, la vague ayant explosé en elle. Pour la « suite des négociations », il allait sans doute falloir attendre qu’elle reprenne ses esprits !

Les trois amants continuaient à forniquer comme des bêtes en rut. Lazare aimait le sexe, à un point tel qu’il n’était pas exagéré de dire qu’il était un obsédé sexuel. Les gènes ne mentaient pas. S’il n’était pas marié, Lazare avait sans doute le plus grand nombre d’enfants adultérins des Viscarion, et il aurait lui-même été bien incapable de tous les compter ! Lazare frémit donc quand Willa se redressa, et s’enroula autour de son bassin, puis l’embrassa passionnément, en réclamant son droit à être « enfantée ». Lazare soupira encore. Pour tomber enceinte, il fallait que Willa ovule. Avec la magie rose, Lazare pouvait influencer ce genre de choses, mais cela ne restait pas une science exacte.

« Hmmm… »

Il posa ses deux mains sur les fesses de Willa, et répondit avec passion à son baiser, crispant ses doigts sur son cul. La jeune Orc était emballée, et visiblement impatiente de le servir davantage. Comptait-elle repartir avec lui ? Lazare n’avait pas prévu de ramener une Orc, mais il se disait bien que ses sœurs ou ses nièces apprécieraient une dame de compagnie orc et perverse. En attendant de choisir, il prolongea joyeusement leur baiser passionné, sa langue jouant avec celle de Willa. Dans son dos, Shagurash tira sur ses cheveux, rompant ainsi son baiser avec Willa, puis elle s’enfonça dans son fondement, grognant contre lui.

« Oh… »

Lazare soupira encore, et continua à prendre Willa.

« Je… Tiens-toi prête, ma chérie, je… Je vais venir ! »

Ghurren ne s'inquiéta pas de l'absence émotionnelle de Fiona. Elle avait provoqué cet ébat intense en connaissance de cause et était capable de l'encaisser. Ghurren s'allongea sur ce joli corps frêle et lui écarta les cuisses; il n'avait pas encore fini. Il parvint, même s'il était un peu mou, à pénétrer les fesses de la diplomate et lui fit à nouveau longuement "l'amour", sans violence, sans douleur. Sa poupée restait hébétée mais il sentait battre son cœur dans sa poitrine à un rythme régulier. Fiona Décatis-Cryptinna était une superbe offrande et même dans cet état, noyée dans la semence de son amant, elle était pour lui la plus belle femme du monde. Ghurren la besogna encore un long moment, terminant de s'approprier ce cul exceptionnel. Il s'y vida d'ailleurs, terminant lui aussi épuisé mais comblé. L'orc se releva péniblement de sa couche, dressé au dessus de sa Belle qui était méconnaissable, toute échevelée et baignant dans un jus odorant.

Ghurren se vêtit de son seul pagne et couvrit Fiona d'une couverture chaude. Il la prit dans ses bras et sortit de sa yourte. La nuit touchait et sa fin et une bordure lumineuse pointait à l'horizon. Tout était calme et l'immense campement des orcs n'était pas encore éveillé. Les sentinelles de garde ne firent pas de commentaires à la vue de leur général mais hochèrent la tête en remarquant l'humaine qu'il portait. Beau boulot! Ghurren rejoignit la yourte mise à disposition de la délégation mijakienne et en poussa un rabat pour y entrer. La servante personnelle de Fiona, attendait, assise sur un tabouret, une expression d'inquiétude marquant son visage.

"Ne t'inquiète pas petite humaine. Ta maitresse se porte bien. Elle est juste très fatiguée mais je te garantis qu'elle a passé une très bonne nuit. Où veux tu que je la dépose?"

Nul doute que Fiona allait être bichonnée, lavée, entretenue et auscultée sous toutes les coutures ... Le général orc repartit d'où il venait et s'autorisa un court repos qu'il mit à profit pour dormir. Deux heures suffirent avant qu'il n'émerge de nouveau. Derrière la yourte, on lui avait préparé des baquets d'eau chaude et il se lava consciencieusement. Cette lubie avait fait rire les autres orcs au début mais une fois qu'il leur eut décrit une épidémie de peste noire dut principalement au manque d'hygiène, beaucoup de ses guerriers s'étaient mis à se frictionner d'essences odorantes et purificatrices, à défaut d'adhérer complètement aux principes du bain.

Ensuite, Ghurren mangea puis reçu les principaux chefs de clan pour faire le point. Les consignes de la journée étaient les mêmes que celles de la journée précédente. Il fallait à tout prix montrer aux humains que les orcs n'étaient en rien des sauvages. A la fin de cette mise au point, un des généraux lança assez abruptement.

"Tu t'es amusé avec l'humaine envoyée par Mijak ? On l'a entendu gueulé toute la nuit."

Ces vieux briscards n'étaient pas dupes.

"En effet. Je ne te cacherai pas qu'elle pourrait t'apprendre des choses ..."

"HO HO ! Et tu n'aurais pas dans l'idée de la partager un peu avec nous ?"

"Elle seule le déciderai mon bon ami, mais je lui demanderai. N'oublie pas qui elle est et qui elle représente."

Plus tard, la yourte fut ouverte et aérée. On installa un grand plateau surélevé en guise de table et on y déploya une grande carte assez précise de l'empire de Mijak. La deuxième partie de la délégation humaine était arrivée de la ville de Nordval et le chevalier Viscarion devait surement être en train de converser avec Fiona. Ghurren avait reçu Shagurash et Willa qui lui avait fidèlement relatées tous les évènements et détails de la nuit. Approuvant, le général orc désigna deux gardes pour la protection personnelle de Willa qui aurait peut être la chance de porter un enfant de cet humain d'importance. Interdiction stricte que quiconque la touche, sous peine de mort!

Ghurren attendit ensuite ses invités en repensant ses plans originels qui risquaient d'être modifiés. L'objectif d'obtenir une terre pour une nation orc persistait  mais il aurait peut être aussi une autre    solution basé sur une intégration directe des orcs dans le fonctionnement mijakien. A voir et à négocier.


Au cours de la nuit, les deux orcs mises à disposition du chevalier Viscarion l'avaient vidé de toutes ses forces également. Et en retour, il les avait démonté avec fougue, jusqu'à les faire grogner de plaisir. Willa avait reçu tant de giclées dans le ventre qu'il était peu probable qu'elle échappe à un futur enfantement. Sur la fin de la nuit, elle s'était montrée extrêmement câline et avait léché tendrement l'anus de l'humain que sa mère avait failli déchiré tant elle l'avait martelé. Shagurash s'était amusée avec le corps de Lazare et nul doute qu'il serait difficile au noble de marcher le lendemain. Elle aussi s'était largement vidée en lui et avait parfaitement joué son rôle de pute à soldats.Elle n'était pas de toute première jeunesse comme sa fille, et il était difficile d'imaginer  que Lazare veuille d'elle pour la suite. En tout cas, elle évitait de croire qu'elle pourrait être sortie de son lot quotidien de fornication avec les guerriers orcs.

Ils avaient ensuite dormi, tous les trois, avant dêtre réveillés pour retourner au camp de Ghurren. Là, elles avaient été reçues par le Grand Général en personne qui avait été particulièrement exigeant en détails. Willa, très gênée, avait été surprise de recevoir la bénédiction de Ghurren.

Le lendemain, Fiona se reposait en compagnie de sa servante, une Papuanne qui était un membre du harem royal de Papua, Fairouz. Elle faisait partie des suivantes de Rhian Thoris, l’une des épouses de l’Empereur. C’était Mélinda qui avait mis Fairouz à disposition de Fiona pour l’assister dans toutes les tâches de la vie quotidienne. Fairouz savait que Fiona avait couché avec Ghurren, et elle constata vite, à l’issue d’examens internes, que le corps de Fiona cicatrisait plutôt bien. Il avait fallu que Fiona boive du sang. Elle avait indiqué à Fairouz que Ghurren était tombé amoureux d’elle, même si elle ne savait pas si c’était sérieux ou non. Fiona avait toutefois déjà un époux, alors elle allait voir si Ghurren était sérieux avant d’envisager ce qu’elle dirait. La manière dont il l’avait baisé, jusqu’à la laisser dans le coma, n’avait pas forcément plu à Fiona. Elle n’était pas une brute épaisse. Elle aimait le sexe passionnel, mais, quand on la baisait au point de la mettre dans le coma, elle ne savait pas si elle devait y retourner ou non.

Fiona passa le reste de la journée à se rapprocher des Orcs. Le camp de Ghurren était bien organisé, il y avait des enfants et de nombreuses familles. Elle essayait d’en savoir un peu plus sur ces derniers. La culture orc était très difficile à cerner, tant les clans orcs étaient souvent sauvages et primitifs. Ils avaient toutefois leurs rituels, et même leurs divinités. Le camp abritait un lieu de culte. Fiona savait qu’il existait un panthéon orc assez austère, leur divinité principale étant un Dieu de la conquête, Gruumsh. Les femmes orcs priaient surtout la compagne de Gruumsh, la puissante Déesse Luthic, Déesse de la fécondité, de la sorcellerie, et des cavernes.

En cours de journée, Lazare revint au camp en compagnie de plusieurs Mijakiens et de quelques Orcs, dont Willa, qui chevauchait sur le cheval de l’homme, lovée dans son dos. Fier et élancé, Lazare salua Fiona, puis indiqua que les discussions allaient se poursuivre. Willa prit congé de ce dernier, non sans un baiser appuyé, soutenu, et visible.

« Le jurisconsulte est arrivé en région, il sera là d’ici quelques heures. Les discussions pourront se poursuivre ensuite. »

Le jurisconsulte venait tout droit de la capitale impériale. Il arriva plus tard en compagnie de plusieurs cavaliers, à bord d’une caravane. De son nom Almauric de Sanston, il était chargé de rédiger les bases d’un traité. Gardien et représentant de la loi, il avait été nommé à cette fin par la Cour Impériale, la plus haute juridiction impériale.

« Sire Viscarion, Dame Cryptinna-Warren, c’est un enchantement de vous voir. »

Le groupe rejoignit ensuite la grande yourte de Ghurren. Fiona eut un léger frisson à hauteur de ses fesses en se rappelant que c’était dans cette yourte que Ghurren l’avait baisé jusqu’à plus soif. Les Orcs étaient nombreux. Almauric lissait sa longue barbe, tout en se demandant si ces Ocs savaient vraiment lire, ou non.

C’était à Ghurren d’annoncer la reprise des négociations…

L’arrivée d’un jurisconsulte était parlante. Les négociations commençaient vraiment. Les Mijakiens furent soulagés de voir que Fiona allait bien. Restant proche de Ghurren, elle indiqua aux émissaires qu’elle avait été très bien traitée. Certaines personnes ne furent pas dupes, notamment les magiciens, qui sentaient l’odeur de Ghurren et ses traces partout sur elle. Elles confirmèrent en tout cas que Fiona avait été bien traitée. Fiona réussit à ne pas trop rougir, car cela se remarquait facilement chez elle, avec sa peau pâle. Elle s’assit ensuite à la table des négociations, Ghurren l’invitant à s’asseoir à côté de lui. Évidemment, la venue la plus importante n’était pas tant Lazare, qui vint d’ailleurs en tenant dans chacun de ses bras Willa et Shagurash, ne masquant nullement qu’il les avait baisés, puisqu’il les embrassa en public. Il donna même une tape sur les fesses de Willa, avant de rejoindre la table des négociations. Lazare n’allait clairement pas être central au sein des négociations, il restait un éternel jeune homme, qui préférait croiser le fer que rédiger des traités.

De son côté, Stanton salua Ghurren. C’était un émérite professeur de droit, qui enseignait à l’académie juridique de Mijak. Un vénérable sage qui siégeait ici au sein de la Cour Impériale, l’ultime juridiction mijakienne. Ghurren parla le premier, et alla droit dans le vif du sujet, en indiquant ce qu’il voulait. Fiona resta silencieuse. Fairouz était près d’elle, portant une élégante robe. Comme toute Papuanne, elle n’était pas très pudique. Sa robe semie-transparente ressemblait à une longue tunique fantaisie avec les paillettes blanches qui se tenaient dessus.Vue de dos, la robe permettait de voir les sous-vêtements dorés de Fairouz quand elle se penchait en avant pour demander à Fiona si elle avait besoin de quelque chose, mettant ainsi en valeur ses fesses. Fairouz savait qu’on l’observait, et elle en prenait plaisir. Elle faisait partie des servantes envoyées par Papua suite à l’annonce du mariage de Rhian avec l’Empereur.

« Nos lois sont claires, Monsieur Ghurren. Pour bénéficier d’un territoire sur notre sol, vous devez prêter serment à notre Empereur. Notre Constitution autorise chaque province impériale à bénéficier d’une certaine autonomie, mais il existe un ensemble de règles auxquelles vous serez assujetti, et dont vous en serez le représentant. Comme vous l’avez soulevé à juste titre, la période actuelle est conflictuelle. C’est la raison pour laquelle l’Empereur restreint ses délégations, et accorde à ses épouses une place tout à fait particulière. Le Conseil Impérial a récemment approuvé une loi qui autorise l’Empereur à déléguer sa signature et son cachet à ses épouses. Il vous faudra toujours prêter serment, mais le traité que nous préparerons pourra être signé par l’une des femmes de l’Empereur, et sera ensuite ratifié par le Conseil Impérial. »

Fiona acquiesça lentement.

« Nous sommes confiants quant au fait que vous parviendrez à contrôler vos troupes, Ghurren. Vous deviendrez aux yeux de la loi un seigneur. Toutefois, votre nation ne saurait être réservée aux seuls Orcs, tout Mijakien doit pouvoir s’y rendre. Si les négociations aboutissent, la Reine de Sylvandell elle-même viendra signer le traité. »

Les discussions allaient être longues, car il allait falloir déterminer l’étendue du territoire orc…

Les négociations avançaient bien, et, là où les Orcs étaient globalement idiots et stupides, Ghurren se montrait étonnamment adroit, et suffisamment instruit pour évoquer les détails à venir des accords. Chaque province pouvait toujours négocier des points sur les contributions fiscales, les taxes, l’application des lois impériales… L’Empire était vaste et puissant, mais son système juridique était suffisamment souple pour éviter des frictions. Ghurren avait même trouvé un territoire, au nord de Papua, et au sud de Sylvandell. Un territoire qui abritait déjà des provinces impériales peu puissantes, et qui avaient d’ailleurs été dévastées lors de l’Olympomachie. Ghurren s’était donc bien renseigné. Il avait même choisi un nom : le Grand Kâhaânat Orc.

« Vous avez choisi avec minutie, à ce que je vois. Ces territoires sont en déshérence depuis l’Olympomachie. Il y a même plusieurs baronnies qui sont actuellement en crise de succession. Vos Orcxs auront fort à faire, mais je suppose que vous l’aviez escompté. »

Fiona avait rougi quand les autres orcs avaient évoqué la possibilité de lui faire massivement l’amour. Certes, sa nature vampirique et le sang de Mélinda lui avaient permis de coucher avec Ghurren sans s’effondrer, mais toute une bande d’Orcs, ce n’était tout de même pas la même chose ! Ghurren avait essayé d’apaiser les choses. Elle resta donc assez silencieuse, tout en se disant qu’il faudrait sans doute attendre la venue de la Reine de Sylvandell pour ça. Elle savait qu’elle était la fille de la Déesse Aphrodite, et qu’elle était considérée au sein du culte de Lust comme étant une Princesse de Luxure, ce qui, autrement dit, lui permettrait sans doute de tenir tête face à une armée d’Orcs assoiffés.

Ghurren annonça une suspension de séance. Les discussions qui suivraient risquaient d’être bien plus techniques et longues, mais l’accord de principe était trouvé. Fiona aurait pu suivre la délégation mijakienne, mais elle suivit Ghurren, consciente que ce dernier souhaitait encore lui parler. Elle le suivit donc, et rougit doucement quand il indiqua avoir pensé à elle toute la nuit.

« Oh, vraiment ? Je… C’est flatteur. Comme tu peux le voir, je vais bien. Les vampires récupèrent plutôt vite, tu sais… Et, en cas de baisse d’énergie, il nous suffit de… Enfin, de boire. »

Fiona se massait nerveusement l’arrière du cou.

« Tu es très intelligent, tu sais… Mais je ne pourrais pas supporter tous tes Orcs. Tu devrais leur dire d’attendre, on dit que la Reine de Sylvandell est inépuisable… Mais évite de lui répéter.} »

Diantre, Fiona n’avait pas envie qu’on l’accuse de lèse-majesté ! Elle était assez nerveuse. Comme sa mère, Fiona n’était pas forcément très sociale, alors elle ne savait pas trop comment se comporter devant Ghurren. Elle devait admettre qu’il la déstabilisait… Ce qui était d’autant plus surprenant que les Orcs n’étaient pas connus pour leur grande finesse d’esprit. Mais il y avait clairement chez lui quelque chose d’atypique !

De son côté, Fairouz avait moins de gêne vis-à-vis de l’Orc qui la séduisait de manière fort peu subtile. Elle lui sourit, et posa sa main sur son torse.

« Avant de me faire sauter, j’aime au moins savoir à qui j’ai l’honneur… Je sais que j’en ai l’air, mais je ne suis pas une prostituée, tu sais. »

Garen était un jeune orc fringuant. Pour un être de sa race, on pouvait le définir comme étant beau et plus d'une femelle de la horde était déjà venu briguer des ébats avec lui. Les reproductrices recherchaient les plus beaux mâles pour donner naissance à de futurs grands guerriers. Il faisait partie de la Garde du Grand Général Ghurren depuis peu, ayant enfin pu prouver sa valeur au combat lors d'une bataille récente contre un clan de barbares des glaces du grand Nord. Le jeune orc était avide d'ascension sociale, il voulait qu'on le remarque afin qu'il se positionne comme futur officier dans la nouvelle organisation de la horde qui se profilait. Le soir, au coin du feu, il écoutait les anciens parler. Bon nombre d'entre eux s'interrogeaient sur la viabilité du projet de Ghurren. La perspective d'une amélioration de la condition de vie des orcs faisait l'unanimité mais des questions légitimes se posaient. La transition entre nomadisation et sédentarisation prendrait du temps, tout comme l'abandon des raids et des pillages sanglants au profit de la culture, de l'extraction des minerais et de l'élevage. Il se disait aussi que des guerriers assureraient une présence de pacification  dans les provinces de l'empire et beaucoup espéraient rejoindre ce type de compagnie plutôt que labourer la terre.

Ghurren était un modèle pour Garen. Il le regardait faire, fier de son chef. L'orc débattait d'égal à égal avec les humains de l'empire et il diffusait une véritable aura d'autorité. Le jeune guerrier n'avait pas eu accès à la même formation que son chef. Il maitrisait mal les éléments de langage subtils ou les tournures de phrases sophistiquées. En revanche, il savait se battre, allumer un feu sous la tempête, survivre aux hivers rudes et protéger les siens; autant d'arguments vendeurs à étaler devant Fairouz. Il sourit de toutes ses dents et frappa sa poitrine de son poing.

"Garen! ... Clan du Croc Brisé! Guerrier et garde du Grand Général!"

Il avait parlé comme il le faisait toujours, bruyamment, attirant l'attention de Ghurren et de la jolie émissaire de l'empire. D'un signe de tête, Ghurren lui ordonna de sortir de la yourte et le jeune orc entraina Fairouz à l'extérieur.

"Ils vont baiser. Laissons les."

Garen trouva un coin à l'abri des regards entre deux autres yourtes. De toutes les conversations qu'il avait entendu, il revenait sans cesse le sujet de la mixité entre la population de la horde et les mijakiens. Pour Ghurren, c'était capital, il l'avait compris, et si Garen voulait montrer son intelligence de situation, cela commençait maintenant, à sa manière... La papuanne était une source sexuelle. Elle amenait irrémédiablement à bander, exhibée comme elle l'était dans sa tenue indécente, dévoilant sa peau brune et son corps appétissant. L'orc la pelota et tenta un compliment très ... traditionnellement orc.

"Je veux te remplir le ventre ..."

Il écarta son pagne pour libérer son énorme queue qui jaillit comme un serpent hors de son trou, claquant contre le ventre de la belle. L'un et l'autre s'étaient bien trouvés.

Ghurren avait regardé les deux jeunes sortir de sa yourte en ricanant.

"Et bien, il semblerait que nous ayons montré l'exemple ... J'espère juste que ta servante lui laissera la vie sauve, elle ressemble à une dévoreuse d'hommes papuanne ..."

Le général se glissa derrière la vampire et l'attira contre lui.

"En ce qui me concerne, j'ai plutôt tendance à aimer les beautés froides qui peuvent paraitre inaccessibles. Depuis cette nuit, je sais d'expérience qu'elles peuvent être très, très cochonnes et exigeantes."

Il l'embrassa derrière l'oreille.

"Est-ce que tu veux que je te récite toutes les cochonneries que tu m'as débitées?"

Les mains de l'orc couvrirent la poitrine de Fiona.

"Je suis intelligent pour un orc mais pas assez pour résister à ton charme, Fiona la Désirable. Quand la reine de Sylvandell viendra, je lui demanderai sa bénédiction, et celle de sa déesse."

Il fléchit des jambes et donna un léger coup de rein contre les fesses de l'humaine.

"Ainsi j'obtiendrai peut être le charme qui me rendra indispensable à tes yeux ... et tu feras de moi ce dont bon te semblera ..."

Il la taquinait,  ce qui s'était déjà passé entre eux ayant supprimé toute frontière.

"As tu gardé un bon souvenir de cette nuit? Nous avons un peu de temps devant nous avant de reprendre le cours de notre travail. Veux tu que je te sodomise?"

Elle était l’une des suivantes de Rhian, une femme qui vivait dans le harem royal de Papua. Fairouz était originaire de la haute aristocratie papuanne. La tradition était que chaque grande famille envoyait l’une de leurs filles au harem royal. Il ne s’agissait pas que de sexe, mais avant tout de politique. Au sens étymologique du terme, un harem était un endroit « interdit aux hommes ». C’était un dérivé du mot « haram », désignant l’interdit, l’illicite. Le harem était avant tout un siège de pouvoir politique, un endroit réservé aux femmes. Le harem royal de Papua était un moyen d’unifier les différentes familles aristocratiques papuannes, une méthode d’instaurer l’autorité du pouvoir royal sur les autres familles. Fairouz n’était pas circonscrite à vivre exclusivement au harem, elle jouait un rôle important, autant par son corps que par sa culture et ses connaissances. Si Rhian l’avait envoyé ici, ce n’était pas pour rien, elle faisait partie des ambassadeurs chargés d’approuver un traité de paix.

Fairouz laissa Garen l’emmener, sans se formaliser de ses avances fort peu courtoises. C’était un Orc, après tout… Et elle ne voulait pas décevoir Rhian en créant un incident diplomatique. Les épouses de l’Empereur fonctionnaient en synergie, mais cela ne signifiait pas qu’il n’y avait pas de compétition entre elles. Fairouz se devait donc de rendre honneur à celle qu’elle considérait comme sa « grande-sœur », et qu’elle aimait, à sa manière. Garen du clan du Croc Brisé la conduisit entre deux yourtes, annonçant clairement son intention de lui « remplir le ventre ».

« Hum… Toi, tu devrais apprendre à savoir parler aux femmes, Garen du clan du Croc Brisé… »

Fairouz se retourna pour l’observer, et croisa les bras.

« Je ne suis pas une prostituée qui accompagne les ambassadeurs, tu sais, je suis une ambassadrice… Si tu veux que je couche avec toi, il faut déjà trouver un endroit où le faire… Soit l’une de ces yourtes. Je ne compte pas me faire baiser à la sauvette entre deux tentes comme une vulgaire catin de bas étage ! »

Ils étaient partis, la laissant seule avec Ghurren dans la yourte. Elle restait devant la table de réunion, l’esprit confus. Ghurren se lova derrière elle, entreprenant, et l’embrassa dans le creux du cou, tout en la palpant. Il avait beau être très intelligent pour un Orc, il n’en restait pas moins un Orc. Ils n’étaient pas connus pour leur finesse, comme Garen l’avait prouvé en pelotant sans vergogne les fesses de Fairouz. Fiona, de son côté, frissonna en sentant la verge de Ghurren heurter ses fesses. Il la provoqua, la titilla, lui rappelant leur nuit intense, et les propos qu’elle avait pu tenir. Fiona rougit naturellement, mais sans vraiment chercher à le repousser. Elle était en réalité assez confuse, car, vu la manière dont il lui parlait, elle ne semblait pas avoir été qu’un coup d’un soir.

*J’ai rarement entendu les Orcs faire preuve de poésie…*

La bénédiction de la Reine… Mais pour quoi faire ? Ce n’était sûrement pas pour lui faire l’amour, vu qu’ils l’avaient déjà fait, et sans vraiment se retenir. Fiona frémit donc, et posa sa main sur celle de Ghurren, avant de tourner la tête vers lui.

« Je ne m’attendais pas à te faire autant d’effet, Ghurren… Comment pourrais-je ne pas aimer ce qu’on a fait cette nuit, hein ? Je n’avais encore jamais couché avec un Orc, et je comprends maintenant pourquoi on vous apprécie tant à Mijak… »

Elle se mordilla brièvement les lèvres, puis alla se pencher sur la table. Ses fesses heurtèrent ainsi la belle bosse de Ghurren.

« Baise-moi sur cette table, Ghurren… Fais-moi à nouveau ressentir ce plaisir exquis et sauvage que j’ai ressenti cette nuit ! »

Fairouz estimait nécessaire de rappeler à Garen son statut. Il fallait éviter les quiproquos, et, avec les Orcs, Fairouz n’avait pas spécialement envie qu’on lui saute continuellement dessus. Pour autant, il ne fallait pas non plus froisser son hôte, et c’est la raison pour laquelle la Papuanne avait proposé à ce géant vert un compromis qu’elle jugeait acceptable pour eux deux. Garen sembla réfléchir un peu, ne s’attendant visiblement pas à ce que Fairouz ait des conditions. La Papuanne savait que les Orcs étaient très arriérés, et très machistes. Il fallait les museler. Elle parlait en connaissance de cause, Papua avait des esclaves orcs comme amants, ils venaient parfois dans le harem. Ils étaient endurants, puissants, mais aussi peu intelligents, réagissant de manière intuitive, et parfois préhistorique. C’était aussi cela qui rendait ce Ghurren si fascinant… Un Orc capable de se contrôler, de réfléchir. Fairouz estimait qu’il devait s’agir d’un hybride, un croisement entre plusieurs groupes génétiques, ce qui expliquerait son endurance d’Orc et sa redoutable intelligence.

Quoi qu’il en soit, Garen rejoignit sa yourte. Fairouz put voir des regards d’autres Orcs. Fairouz resta silencieuse, jusqu’à rentrer dans la yourte. Elle était petite, avec des peaux de bêtes installées ici et là sur des meubles. Elle vit ensuite sa verge en érection, déformant son pagne.

« J’imagine que je vais devoir hurler de manière assez convaincante pour que tes amis là-dehors comprennent que tu es un vrai Orc, hein ? »

Plutôt observatrice, Fairouz ne se laissait pas faire Courtisane et membre d’un harem, certes, mais un harem royal. Alors, avec elle, il fallait s’attendre à tout. Sa main caressa le torse musclé de Garen, et glissa contre son pagne. Elle glissa ses doigts dessous, et se mordilla les lèvres en sentant l’épaisse verge qui s’y trouvait. Elle commença à le masturber, relevant sa verge, et sentit Garen soupirer.

« Sache que je ne suis pas un lot de tombola, Garen. Des Orcs, j’en ai déjà baisés au harem royal, alors, si tu veux faire forte impression, tu vas devoir me baiser fort ! » s’exclama-t-elle avec fierté.

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Entre Fiona et Ghurren, les choses avaient tendance à plutôt bien évoluer. Fiona ne s’était effectivement pas attendue à cela. Elle ne pensait pas que ces négociations prendraient une telle tournure. Tout se déroulait beaucoup mieux que tout ce qu’elle avait pu craindre ! Aucun problème, même, et elle se surprenait même à trouver la compagnie de Ghurren très agréable. Elle savait pourtant de quoi les Orcs libres étaient capables, la sauvagerie dont ils pouvaient faire preuve, mais elle ne ressentait rien de tout cela chez Ghurren. Elle se sentait bien avec lui, en sécurité… Et désireuse. Ce dernier point était le plus marquant. Elle frémit en le voyant récupérer une lotion, un lubrifiant qui allait faciliter la pénétration. Elle se surprit à sentir son cœur battre la chamade. Fiona n’avait ressenti à présent cela qu’en compagnie de sa mère. Il y avait aussi Ebenezer, bien sûr, mais leur relation s’étiolait avec le temps. Ce qu’elle sentait face à Ghurren était très différent, même si elle ne saurait pas expliquer en quoi. En tout cas, une chose était sûre : son désir actuel de se faire sodomiser par lui était sincère, et ne traduisait aucune arrière-pensée politique. Elle ne voulait pas lui faire l’amour pour faciliter les négociations. Elle voulait qu’il la prenne, car elle en avait envie, tout simplement.

Ghurren se rapprocha donc d’elle, et elle frémit en voyant sa queue verte jaillir, dressée.

« Oh, Ghurren, ne sois pas si cruel, ne me fais pas attendre, les vampires n’ont rien contre la brutalité… Bien au contraire. »

Les vampires avaient un rapport à la douleur très différent des humains. La douleur ne les rebutait pas autant. Mélinda lui avait expliqué que cela venait du fait que la transformation en vampire était un processus si douloureux que la crainte de mourir stimulait par la suite le corps du vampire. Fiona gémit donc de plaisir quand elle sentit Ghurren se mettre dans son dos, se presser à elle… Elle bascula sur la table, et planta ses griffes dans le bois quand il enfonça sa verge dans son fondement.

« Haaaaa… Hnnnn… !! »

Un gémissement serré s’échappa de ses lèvres au contact de cette solide trique. La queue de Ghurren était solide, épaisse…

… Soit tout ce qu’on pouvait attendre d’un Orc !

Qui sème le vent récolte la tempête… Cet adage, Fairouz allait pouvoir l’expérimenter ! Elle avait provoqué Garen, jouant avec lui, réclamant qu’il la traite bien avant de finalement demander dans sa hutte à se faire baiser dans les règles de l’arc. Garen allait sans doute avoir besoin d’un manuel par la suite pour comprendre comment une femme fonctionnait, car Fairouz, après lui avoir rappelé qu’elle n’était pas une vulgaire prostituée de bas étage, demandait justement à être traitée en tant que telle ! Mais, après tout, le beau sexe était amateur de contradictions, a fortiori les Papuannes. À Papua, les femmes avaient un pouvoir très fort, ce qui se caractérisait notamment par leurs habitudes vestimentaires très légères et sensuelles.

Garen agit donc rapidement, et opta donc d’emblée pour une position forte, à savoir un solide full nelson.

« Oh, tu veux me faire craquer dès le début, haaaa… »

C’est ce que Fairouz soupira quand elle sentit les bras de Garen filer sous ses cuisses, et la relever en l’air. Il serra ses mains derrière sa nuque, puis sa solide verge s’enfonça dans la foulée en elle. Il se glissa dans son cul, et Fairouz poussa un couinement silencieux, bavant sur place.

« Haaaa… Haaaa bordel, mon salaud, hmmm… Haaann putain, ce que c’est bon… De se faire baiser par des Orcs comme toi, hmmm… »

Avec Fairouz, Garen allait vite constater qu’il avait droit à une partenaire très exigeante, et qui, de toute évidence, aimait le sexe hardcore !

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Même au sein de la civilisation la plus évoluée, il restait une constante de base, une règle universelle : le sexe. C’était une approche reptilienne, préhistorique, la preuve que, aussi évolué qu’il soit, un être humain conservait en lui sa part reptilienne, animalière, primitive… Pour le mal comme pour le mieux. Car cette part sauvage, c’était ce qui vous rendait dangereux, mais aussi vivant, émotif, sensible. Et, depuis qu’elle était vampire, Fiona avait réalisé que cette dualité était particulièrement forte chez les vampires. Mélinda l’incarnait à la perfection, et Fiona ne s’en sortait pas mal non plus… Ce que Ghurren avait constaté hier, et encore aujourd’hui. Il la sodomisait brutalement, sans merci, et Fiona adorait ça. Elle gémissait joyeusement, soupirant, évitant de trop crier. Les yourtes des Orcs n’étaient pas aussi insonorisées que les luxueuses chambres du harem Warren.

« Ooooh, bo… Bordel, tu as une de ces queues, hmmmm… !! »

Si cela l’avait déjà surprise cette nuit, la vague revenait encore. Derrière elle, Ghurren donnait de solides coups de reins, la besognant avec force. Le corps de Fiona remuait d’avant en arrière, et elle avait déployé ses griffes sous l’effet de l’excitation, frottant la table avec. Fiona gémissait de plaisir, se doutant bien que les proches Orcs devaient l’entendre… Ce qui contribuait d’ailleurs à l’exciter davantage !

Bien sûr, Fairouz prenait des risques… Mais que serait la vie sans prise de risques, après tout ? Elle avait nargué Garen, et, quand on semait le vent, on récoltait la tempête… Soit, en l’occurrence, une féroce tempête de foutre ! Garen y allait franco, donnant de solides coups de reins, maintenant sa position. Fairouz savait que Ghurren était un Orc différent des autres, un peu trop intelligent pour son propre bien. Il inquiétait en effet les autorités impériales, et, quand on était un Orc, ce n’était jamais bon signe. Toutefois, les signes d’hospitalité que les Orcs de Ghurren avaient montré ici faisaient que les négociations allaient bon train. Tous les clans d’Orcs ne partageaient pas la vision de Ghurren, et Ghurren était même plutôt minoritaire. Il y avait donc encore du chemin à faire, et on pouvait compter sur le sexe pour rapprocher les gens ! En tout cas, pour Fairouz et Guren, c’était désormais acté ! Guren la bourrait sans ménagement, arrachant à la jeune femme de longs soupirs de plaisir.

« Han, han, bo… Bordel, haaaa… Ga-Garen, haaaa… !! »

La narguant, Garen lui signala qu’elle encaissait plutôt bien pour une humaine, et si elle voulait plus dur encore. Fairouz grogna lentement. Prise en full nelson, elle essayait de s’imaginer une prise plus intense que celle-ci… Et se décida à laisser Garen la surprendre.

« Mo-Montre-moi de quoi tu es capable, haaa… C’est… C’est plutôt classique pour le moment, hmmm… D-Digne d’un humain ! »

Elle le provoquait, bien sûr. Il suffisait de sentir combien sa chatte s’humidifiait pour comprendre qu’elle prenait son pied… Mais, qu’on soit Orc ou humain, la fierté masculine était toujours un excellent levier à agiter pour que les hommes se surpassent.

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Épuiser sexuellement Fiona allait indubitablement demander un certain effort. Ghurren avait déjà pu le réaliser. Si Fiona était fertile tout en étant vampire, c’était parce que Mélinda l’avait transformé, et que le sang vampirique de Mélinda avait subi une mutation unique en son genre. À Lusst’ghaa, la vampire avait réalisé un rituel dangereux et intense avec la Déesse Aphrodite, destiné à mélanger son sang au sien. Une infusion divine émanant de la Déesse de la fécondité avait permis de rendre le sang de Mélinda fécond, ce qui était une première dans toute l’histoire de la race vampirique. Les personnes que Mélinda transmuait ensuite héritaient de ce don. Seuls les Sangs-Purs pouvaient avoir des enfants, et les vampires nés vampires étaient extrêmement rares. Mélinda était donc devenue une Sang-Pure, ce qui était jusqu’à présent impossible… Il fallait bien un miracle divin pour réussir l’impossible. Cependant, du fait de ce sang divin, les vampires de Mélinda héritaient aussi de la soif de sexe redoutable de la Déesse, ce qui impliquait Fiona. Si elle avait la personnalité froide et posée de sa mère biologique, elle avait aussi hérité du côté sulfureux et pervers de sa mère vampirique. Cette dichotomie se retrouvait dans la manière dont Fiona pouvait passer instantanément du calme stoïque à l’excitation lubrique et débridée.

Dans son dos, Ghurren se lâchait donc, et la plaqua contre un paravent, maltraitant son cul. Les griffes de Fiona lacérèrent le paravent, et elle grogna. À ce stade, mieux valait la mettre contre une surface dure, car ses griffes risquaient de lacérer tout tissu !

« Oh, bordel, ouii, Ghu-Ghurren, haaaa… !! »

Elle fut projetée contre la table, qu’elle raya à nouveau, et se retourna alors. Une mèche de cheveux rebelles lui barrait le visage, et elle poussa du pied Ghurren, le couchant au sol. Il renversa dans la foulée un tabouret, et s’étala sur une peau de bête. Fiona lui sauta dessus, et le griffa légèrement. Fort heureusement, la peau des Orcs était connue pour leur résistance, et elle s’empala ensuite sur lui, soupirant longuement.

« Putain, oui, ta queue est géniale !! »

Ses canines pointaient sous l’excitation. Fiona avait été récemment transmuée, il était donc compréhensible qu’elle ait encore du mal à se contrôler… Mais ce n’était sûrement pas Ghurren qui irait s’en plaindre !

Ce qui ne devait qu’être initialement une simple partie de sexe rapide, un quickie, dégénéra finalement en une baise endiablée. Les instincts vampiriques de Fiona se couplaient à son désir sexuel. Débridée, elle devenait beaucoup plus prédatrice, et sensuelle. Comme sa mère, Fiona était connue pour conserver son calme, sa placidité, une certaine forme de froideur. Mais, sous un certain dosage, ce calme olympien s’effritait, la digue se fissurait, et libérait un torrent sans fin de passion. On pouvait dire que c’était son côté « Warren » qui s’imposait sur son côté « Cryptinna ». Ou peut-être que c’était juste Fiona qui se cherchait des justifications et des excuses. Elle n’aurait su dire en quoi, mais Ghurren la stimulait, et parvenait à réveiller en elle une dimension reptilienne de sa psyché. Elle supposait que cela devait venir de l’endurance sexuelle de l’Orc. Ce n’était pas pour rien si les Orcs étaient un objet de fantasme à Mijak, ils étaient puissants, bien membrés, et suffisamment sauvages pour besogner sans ménagement leurs amantes. C’était en tout cas pleinement ce que Fiona subissait de la part de Ghurren !

« Haaaa… Hmmmmmmm… !! »

Le simple fait de parler devenait à ce stade compliqué. Fiona se retrouva étalée sur le sol, et Ghurren se dressa au-dessus d’elle, enfonçant sa verge dans son cul. Ses coups de reins déformaient l’estomac de Fiona, faisant gonfler son ventre à chaque coup de reins, comme si sa queue torpillait ses entrailles, les soulevant avant de les ramener. La belle Fiona, désormais nue, étalée sur sa propre robe, en était toute électrique. Elle griffa la peau de bête au sol, et, quand elle se cramponna à Ghurren, elle le griffa aussi, faisant couler une ligne de sang sur son torse. Fiona siffla en sentant l’attrait du sang. Une soif qui, couplée à cette énergie sexuelle intense, ne pouvait que la mettre en extase.

« Hrrrmpfff… Pu-Putain !! »

Ghurren finit enfin par jouir en elle. La chair claquait alors contre la chair, et les testicules de l’Orc claquaient contre la peau de Fiona, tandis que sa queue continuait à la dilater. Fiona se sentit partir, et le sentit jouir. Il la remplit avec force, enfonçant sa verge jusqu’à la garde dans son cul, et la tapissa de foutre. Pendant cet orgasme, Fiona se crispa contre lui, se cramponna à son dos. Ses griffes s’étaient rétractées, et elle soupira contre lui, corps contre corps, sa sueur se mélangeant à la sienne. Petit à petit, le rythme ralentit, et les cris laissèrent place à des soupirs, et à des gémissements. En sueur, les cheveux défaits, une mèche rebelle lui barrant le visage, Fiona n’était clairement pas présentable ! Elle sourit doucement, et gloussa même, puis embrassa Ghurren sur les lèvres.

Restant proche de lui, elle lécha ensuite son épaule, et nettoya le sang qui s’y trouvait.

« Tu m’as déchiré, tu sais… Dire que les autres pensent que tu es un Orc raisonnable… Mais tu m’as fait l’amour comme une bête enragée… »

Vu son sourire, Fiona ne semblait pas lui en vouloir beaucoup. À dire vrai, la situation l’amusait beaucoup.

« Il va falloir que je me nettoie un peu… Le temps que les négociations reprennent… Et que j’enfile une autre robe. »

Fiona avait toutefois goûté au sang de l’Orc. Elle était pour l’heure rassasiée, mais, en son for intérieur, elle le sentait… D’ici quelques heures, elle allait vouloir planter ses crocs dans son cou !

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Quand on sème le vent, il faut s’attendre à récolter une tempête… Et, en l’occurrence, une tempête de foutre ! Fairouz l’avait bien cherché, mais elle avait aussi senti qu’il était nécessaire de pousser Garen dans ses ultimes retranchements. Et, somme toute, son amant s’en sortait très bien. Pour Fairouz, ce n’était qu’une passe, mais quelle passe ! Garen l’enfilait avec force, la maltraitant sexuellement. Il avait opté pour un rude full nelson, qu’il compléta en s’agenouillant. Il se redressa ensuite, entraînant la jeune femme en l’air. Elle aurait pu glisser hors de sa queue, mais il la maintenait, l’empêchant de partir. Fairouz avait en effet beaucoup sué, ce qui rendait son corps beaucoup plus glissant. Elle haletait, gémissait, et soupirait furieusement, tout en continuant à se faire prendre avec force.

« Haaaaa… Haaaaaa… »

Dieu, que c’était intense ! Fairouz se sentait déchirée de l’intérieur, et continuait à gémir, crachant sa salive sur place, n’attendant plus que la saillie finale de Garen, dont elle sentait l’orgasme proche… Ou peut-être était-ce parce qu’elle était en train d’orgasmer ?