The Multiversity

La verge de Wismerhill était magnifique, impériale ! Mélinda grognait sur place, ses muscles se crispant et se décrispant en harmonie avec la douleur qu’elle ressentait du fait de cette sodomie lourde et puissante. Derrière elle, l’Empereur la besognait avec force, et elle le sentit gagner en excitation quand Priscilla le doigta. Mélinda nota cette information dans un coin de sa tête, constatant que l’Empereur aimait visiblement beaucoup les sodomies, et ce dans les deux sens… Puis elle grogna encore. Ses griffes se déployèrent sous l’effet de cette rude pénétration, griffant le lit, le déchirant avec appétit en frottant les couvertures. C’était tout simplement plus fort qu’elle ! Mélinda réagissait sous l’effet de cette excitation furieuse qui la traversait, et continuait à haleter, à gémir, à se tortiller sur place.

« Haaaa… Haaaaa… »

Prise avec force, elle le sentit jouer avec ses seins, tirant sur ses cheveux, la forçant à se redresser. Mélinda se releva, et posa sa main sur la nuque de l’Empereur, griffant sa peau. Elle l’entendit grogner, et il la caressa ensuite intimement, la sodomisant tout en fourrant ses doigts contre ses lèvres intimes. La vampire gémit encore, fermant et rouvrant les yeux en sentant l’épaisse queue de l’Empereur en elle. Ce membre épais la prenait avec force, et elle grogna encore,  sentant sa mouille ruisseler sur les doigts de l’Empereur.

« Hmmm… Em… Em-Empereur, haaaa… ! »

Elle sentait cette verge profondément nichée en eux. Wismerhill allait pouvoir constater que les vampires pouvaient aussi avoir chaud, car la peau habituellement fraîche de Mélinda avait pris de jolies couleurs. Excitée comme une puce, la vampire se pinçait les lèvres, sentant toute l’endurance de Wismerhill, toute l’ardeur de l’Empereur. Oh, il était fort ! Puissant, talentueux, il ne lui laissait aucun répit, la prenant avec force, avec passion. C’était brutal, violent, et Mélinda aimait ça. Le sexe était passion, et la passion était à la fois douce et violence, elle était un mélange des deux, une forte et exquise alchimie dans laquelle Mélinda se perdait avec joie.

L’explosion finale, magnifique apothéose où Mélinda sentit Wismerhill se relâcher en elle. Elle répandit également sa mouille sur ses doigts, ses cuisses, le lit, et, quand il se retira d’elle, déstabilisée, la jeune femme tomba sur le ventre, au milieu de la causeuse. Ses longs cheveux en pagaille, la respiration haletante, Mélinda resta ainsi, inerte, pendant plusieurs secondes. Elle se retourna ensuite, le cul délicieusement endolori, sans doute bien rouge, marqué par les mains de son amante. Se déplaçant doucement, Wismerhill s’était allongé au milieu de la causeuse, et des serviteurs arrivèrent ensuite, venant le nettoyer.

Reprenant ses esprits, Mélinda se rapprocha de lui, et se lova contre son corps, posant une main sur son torse, ses cuisses caressant sa jambe. Il annonça alors calmement qu’il souhaitait également coucher avec sa femme. Mélinda sourit alors, et l’embrassa sur la joue.

« Vanillia sera ravie de vous voir, Empereur… Selon les conditions qu’il vous plaira. »

Elle déplaça sa main pour caresser son ventre. Une servante nettoyait son sexe avec une serviette propre, et elle patienta quelques secondes, pour reprendre ensuite.

« Et… Peut-être pourrai-je vous présenter aussi ma fille… Je pense qu’elle vous plaira, Majesté. »

Mélinda se retourna ensuite en voyant un page approcher. C’était un beau blondinet aux yeux bleus, portant des gants blancs et une tenue de domestique. Il tenait un plateau en argent abritant une bouteille de champagne et deux verres à pied.

« Mon Empereur, peut-être souhaitez-vous un rafraîchissement avant de rejoindre votre chambre ? »

La vampire se pinça doucement les lèvres en le regardant, ses yeux commençant à pétiller de malice, puis se retourna vers Wismerhill.

« Je vois que vous savez bien vous entourer… Votre pauvre serviteur a l’air bien serré dans sa tenue, vous ne trouvez pas ? »

Les esclaves s'affairaient autour d'eux tandis que les maîtres se prélassaient l'un contre l'autre. Wismerhill avait recueilli Mélinda contre lui sans problème et apprécia le contact de la peau réchauffée et le rythme de sa respiration rapide. Les histoires racontaient, c'est vrai, beaucoup de choses fausses sur les vampires, pour la plupart des inventions perpétuées à travers les Âges à partir de légendes des temps jadis, un temps où vampires comme humains vivaient en petites communautés et où nul empire, nulle ligue ne régissait leurs relations par une loi indiscutable. On vivait dans des temps plus civilisés où même les succubes ne dévoraient plus totalement leurs amants à l'aune de l'orgasme, voire plus du tout. Le progrès en marche !
— Nous aurons l'occasion de tous nous rencontrer lors de votre cérémonie d'anoblissement, approuvait-il avec satisfaction.
Mais Mélinda avait déjà passé son attention sur autre chose. Wismerhill ne l'avait pas remarqué, occupé qu'il était à se prélasser en faisant signe à Priscilla de sortir de sa torpeur et de se nettoyer, mais quand la vampire finit par parler il n'eut guère de mal à comprendre l'objet de son intérêt. L'Empereur dévisagea le garçon un instant avant de désigner la table basse.
— Pose le plateau ici et verse.
Il le regarda faire en plissant les yeux. Il avait l'habitude d'un personnel plus âgé, question d'expérience, mais le petit semblait parfaitement à la hauteur.
— Quel âge as-tu ?
— 16 ans, Votre Majesté Impériale.
— Vraiment ?! Oui... Oui, il ne ment pas.
Le page n'affichait effectivement aucune trace de malveillance ou de crainte. Il était affairé et concentré sur son travail sans témoigner la moindre peur, affichant une totale acceptation face à sa situation. Etait-il sous l'effet d'une forme de conditionnement particulier ? Il restait pourtant, c'était certain, très inexpérimenté. Un jour, Hellaynnea lui avait appris à reconnaître les types vierges, et ce garçon l'était.
— Quel est ton nom ?
— Olivier, Votre Majesté Impériale.
— Olivier, tu as entendu Dame Mélinda. Elle te trouve trop serré et tu vas nous accompagner pour qu'elle trouve quoi faire de toi.
— A votre service, Votre Majesté Impériale.

Les nettoyeuses avaient mis les voiles et, affectant un clin d'œil à Mélinda, Wismerhill s'était levé en la tenant par la main et l'avait conduite, nue comme lui, vers sa chambre. Derrière eux, Olivier et Priscilla suivaient sans un mot, le page continuant de porter le plateau sans le moindre tremblement.
Ils arrivèrent dans la chambre aux murs de pierre noire parés d'arabesques d'or. Après les portes, des rideaux rouges à cordes dorées s'ouvraient sur une grande pièce chaleureuse aux couleurs de l'Empereur : rouge et or, on l'aura compris. De chaque côté trônaient des armoires énormes et des effets personnels de chacun des époux impériaux. Mis à part un coin lecture, plus dédié au repos qu'à lire, poufs, coussins et tapis paraient les lieux, et on pouvait parier que le moindre recoin de cette pièce avait vu son lot de fluides sexuels bien qu'aucune trace n'en subsiste. Au centre, un lit à baldaquin grandiose patientait, couvert de draps de soie rouge et de coussins, orné de rideaux lourds qui ne demandaient qu'à être rabattus pour plus d'intimité — bien que le couple impérial ne soit pas connu pour être pudique ou exclusif —. De nombreuses bougies offraient un bel éclairage et une chaleur bienvenue pour leurs corps dénudés.
Wismerhill alla s'asseoir sur un des fauteuils du coin lecture, invitant Mélinda à s'asseoir dans l'autre. Olivier proposa alors les coupes de champagne, et après s'être doté de la sienne et avoir fait poser le plateau sur la petite table, il fit courir son regard entre le garçon et la vampire, malicieux. Priscilla se faisait petite dans son coin.
— Déshabille-toi, Olivier, et laisse Dame Mélinda te voir.

Wismerhill invita Mélinda à le suivre, tout comme Olivier. Le jeune homme avait à peine seize ans, et semblait avoir été très bien formé. L’Empereur avait visiblement constaté que son esclave plaisait beaucoup à Mélinda, tandis qu’elle-même se demandait si ce n’était pas la première fois qu’il voyait Olivier. Wismerhill avait après tout beaucoup d’esclaves, qui étaient choisis par ses intendants, et, disait-on, par sa femme. Il n’avait pas le temps de tous les voir, et Olivier et Priscilla les suivirent. Priscilla était de toute évidence plus nerveuse qu’Olivier, même si Mélinda sentait le sang du jeune homme bouillonner… Et, tandis qu’ils marchèrent, elle s’amusa en usant de ses pouvoirs de magie rouge. Vanillia lui avait appris à les utiliser, et elle s’en servit pour accroître le flux sanguin d’Olivier, l’amenant à avoir une belle érection sous son pantalon. Il n’avait après tout qu’à regarder devant lui pour lécher sur le fessier de Mélinda.

L’Empereur avait des appartements s’étalant sur plusieurs étages, jusqu’à un grand jardin situé sur le toit, qui servait de nid pour les dragons impériaux. Le quatuor rejoignit donc une grande pièce rouge et dorée, avec de grandes bibliothèques. Mélinda reconnut également certaines des armures de l’Empereur, ainsi que les fourreaux destinés à plusieurs de ses lames. Il ne s’agissait pas des redoutables lames magiques de l’Empereur, mais d’équipements d’ornements. Des poufs et des fauteuils étaient installés ici et là, avec un grand lit à baldaquin au centre. Mélinda connaissait cette chambre.

*C’est ici que l’Impératrice conduit les concubines et concubins du couple…*

Mélinda sentait l’aura sexuelle des lieux. Elle s’était rapprochée du culte de Lust, et, si elle n’était pas membre du culte, Edessa et des prêtresses comme Lily Ramses l’avaient formé. Elle percevait donc l’aura sexuelle des lieux, et Wismerhill s’assit sur un fauteuil. Mélinda s’installa également, puis l’Empereur, toujours aussi nu, invita Olivier à se déshabuiller, puis laissa Mélinda s’amuser, visiblement curieux de voir comment celle-ci allait réagir.

Dame Mélinda sourit, et Olivier se déshabilla ensuite. Sa démarche devint un peu plus nerveuse quand ils ‘agit de son pantalon, et il hésita un peu, ce qui amena Mélinda à faire une précision :

« Déshabille-toi intégralement, Olivier. »

Il le fit donc. Sous ses vêtements, c’était un gringalet, maigre, un jeune éphèbe au torse glabre. Sa verge se dressait joyeusement, et il rougit légèrement tout en se mettant au garde-à-vous. Délaissant son fauteuil, Mélinda alla vers lui, et l’invita plutôt à s’asseoir à sa place. Confus, Olivier rougit, mais obéit. Mélinda s’agenouilla devant lui, et attrapa ses genoux, puis les écarta, libérant l’accès à son verge. Quand Olivier chercha à en dissimuler l’accès avec sa main, Mélinda attrapa son poignet, et l’écarta.

« Tût-tût… Tu es vierge, n’est-ce pas ?
-  Je… O-Oui, Madame… »

Mélinda renifla sa belle queue.

« L’Empereur me fait un immense cadeau, tu sais… Une verge encore innocente, qui n’a jamais senti des doigts sur sa chair, qui n’a jamais senti le moindre coup de langue… Dans quelle maison as-tu été formé, Olive ? Quel est ton parcours ? Comment un si beau jeune homme s’est retrouvé esclave ? »

Elle n’avait pas encore touché son sexe, le reniflant, et finit par le serrer entre ses mains. Olivier frémit encore, et lui répondit, crispant ses doigts sur les accoudoirs du fauteuil.

« Je… La… J’ai été vendu par mes parents pour payer des dettes… J’étais… Leur huitième enfant… Le… Le clan Narrho m’a formé. »

Les Narrho étaient des esclavagistes très réputés, formant des esclaves de haute qualité. Comme Mélinda, ils appliquaient des méthodes « douces », refusant la violence inutile. Olivier avait été formé pour être un parfait domestique, et les Narrho, bien que n’appliquant pas la torture, pouvaient néanmoins se montrer très autoritaires et stricts. Mais le résultat était là, et Olivier avait été bien formé. Être vendu par ses parents était un grand classique. C’était un moyen d’obtenir de l’argent, voire de payer des terres, des dettes… Cela pouvait sembler cruel, mais on épargnait au moins à un enfant de mourir de faim.

Mélinda huma encore la queue d’Olivier, et se retourna vers Wismerhill.

« Mon Empereur… Je pense que votre femme a commandé ce jeune homme pour en faire son familier… Je ne voudrais pas lui manquer de respect, alors, si vous souhaitez que j’arrête… »

Après tout, une virginité, une fois qu’on l’enlevait, elle ne revenait pas ! Et il suffisait de voir la lueur dans les yeux de Mélinda pour savoir que, si on ne la stoppait pas, Olivier allait vite devenir un jeune homme particulièrement comblé ! Elle ne voulait donc pas manquer de respect au couple impérial…

Bien installé, Wismerhill suivit le petit manège du regard, avec un léger sourire. Et, tandis que Mélinda jouait les maîtresses d'opérette, lui fit signe à Priscilla d'approcher, tendant sa coupe pour être servi en vin par la belle esclave. Frémissante, elle s'exécuta, lorgnant également sur la scène se prêtant à son regard. Les esclaves étaient tous formés au sexe, du moins en théorie. La virginité était un facteur-clé pour faire monter les prix de la chair fraiche. Aussi, Olivier comme Priscilla étaient pleinement conscients de leurs corps et de ses affaires, mais ils n'avaient ni l'un ni l'autre senti le frisson de l'extase ou même la main d'un étranger sur eux avant ce soir.
Mélinda était visiblement séduite par son odeur. Les vampires avaient un rapport très fort au sang et aux odeurs et Wismerhill ne doutait pas qu'elle soit en train de perdre pied. Evoquer Hellaynea et son droit de cuissage des esclaves n'était d'ailleurs absolument pas innocent. Mais elle ne devait pas s'en faire et, pour la rassurer, il attrapa Priscilla de sa main libre, la collant au fauteuil avant d'empoigner ses fesses à pleine main.
— Mon épouse n'est ni en manque d'opportunités, ricana-t-il. Et elle ne dépend pas de la virginité des sujets pour réussir une imprégnation. Pour être honnête, je n'ai jamais vraiment cerné l'ampleur de son pouvoir.
Il avait conscience du fait qu'aux yeux du Cercle de la Luxure infernal, les succubes terraniennes passaient pour du menu fretin, et peut-être étaient-elles moins puissantes, en effet, que les matriarches infernales, mais il avait aussi bien conscience du fait qu'il ne fallait pas les sous-estimer. Après tout, lui-même avait failli périr des mains de son épouse il y a quelques décennies. Il n'était alors pas aussi doué qu'aujourd'hui à l'épée, il est vrai, mais l'écart était-elle aussi important avec ce qu'il avait pu voir de ses yeux ?
— Mais si vous craignez vraiment de commettre un impair, je vous propose de rompre l'hymen de la jolie Priscilla pendant que ce garçon découvre les joies de la bagatelle.

Ne pas commettre d’impair… Hey, elle était quand même en présence de l’Empereur de Mijak ! Mélinda ne voulait effectivement pas commettre une erreur. Or, la vampire avait toujours eu un point d’honneur à dépuceler elle-même ses esclaves. Elle ignorait si le couple impérial fonctionnait de cette façon aussi, de sorte que sa question était pleinement légitime. Mais Wismerhill sembla plutôt s’en amuser, et lui indiqua que sa femme n’avait visiblement cure de cela, pouvant avoir bien d’autres vierges à sa disposition. Mélinda hocha donc la tête. Elle était toujours agenouillée devant Olivier, tenant son sexe dans sa main, la tête tournée vers l’Empereur, qui indiqua qu’il prendrait la virginité de Priscilla de son côté. Mélinda acquiesça alors.

« Si j’ai votre parole, Mon Empereur, cela me suffit… Et puis, je ne voudrais pas faire attendre ce beau jeune homme. Il bande fort, cela doit être très douloureux, n’est-ce pas, Olivier ? »

Le jeune homme rougissait furieusement. Il ne s’était jamais retrouvé nu, ni dans une telle situation, et avait été formé à bonne école, pour être un page irréprochable. Il connaissait le protocole par cœur, et n’aurait jamais pu croire pouvoir se retrouver si rapidement nu.

« Je… je suis là pour vous servir, Ma-Madame… » réussit-il à articuler.

Mélinda pencha la tête sur le côté. Agenouillée sur le sol, avec sa longue coupe de cheveux descendant jusqu’à ses fesses, elle était une redoutable poupée, femme vénéneuse et extrêmement sensuelle.  Elle se pinça donc les lèvres, et souffla sur la queue d’Olivier. C’était une belle verge, avec une fine couche de poils pubiens commençant à perler autour de ses testicules. Sa bouche se déplaça, et elle lécha d’ailleurs ses bourses, faisant encore soupirer Olivier.

À vrai dire, la vampire ignorait si Wismerhill comptait lui offrir la virginité de Priscilla ou la garder pour lui-même. Le choix lui appartenait, mais, en attendant, maintenant que Mélinda avait son nouveau jouet, elle s’en amusait. On pouvait deviner qu’elle prenait davantage plaisir à dominer des hommes que des femmes, sans doute parce qu’elle trouvait ça plus excitante. Le jeune Olivier s’en retrouvait tout nerveux, et soupira ensuite quand Mélinda lécha son sexe, et souffla dessus.

« Pose tes mains sur mes cheveux, Olive… »

Il obéit sagement, et crispa ses doigts quand la vampire commença à le pomper. Olivier ferma les yeux pendant quelques secondes, mais, quand il la sentit s’enfoncer, il baissa la tête. Il rougit et frissonna en voyant que la femme le regardait de ses étincelants yeux verts. La scène était très excitante, et elle se recula ensuite, ses lèvres s’arquant autour de son sexe en une figure assez grotesque, mais étrangement très excitante ! Le jeune homme ne tint d’ailleurs pas très longtemps, et, dans un soupir s’accompagnant d’un petit cri, il se mit à jouir.

Mélinda avala son sperme avec joie, et retira sa bouche, un sourire enjoué sur les lèvres, puis leva la tête… Et déglutit fort en avalant son sperme. Elle usa ensuite naturellement de sa magie, et Olivier sentit sa queue frémir encore, venant retrouver sa dureté, surprenant ce dernier, dont les joues devinrent encore plus cramoisies.

« Mon Empereur, j’ai une idée à vous proposer… »

Elle reporta son attention sur lui.

« Nous avons deux femmes pour deux hommes qui ont chacun une belle trique, je suis sûre que nous pouvons trouver des positions intéressantes… »

Mélinda laissa passer quelques secondes, puis enchaîna, lorsqu’elle sentit que Wismerhill la laissait développer son idée :

« Mets-toi à quatre pattes devant moi, Priscilla, on va s’embrasser pendant que ces messieurs vont nous sodomiser. »

Cette idée fit fortement rougir Priscilla, mais, à l’idée de sentir la verge de son Empereur dans ses petites fesses, Mélinda pouvait sentir son cœur battre furieusement la chamade…