Re: Le réconfort après l'effort [Balthazar Noël]
Posté : 05 avr. 2025 11:27
La seule manière logique de le dire était que Bubble se faisait ramoner avec force dans tous les sens. Même Poison ne l’avait jamais baisé avec une telle force, une telle sauvagerie ! Tout d’un coup, elle pouvait comprendre pourquoi certains affirmaient qu’on pouvait mourir lors d’un rapport sexuel violent. Bubble était pourtant une femme endurante, forte et résistante. Elle pouvait tenir, mais elle se devait bien d’admettre que ce diable d’amant l’avait amené dans ses ultimes retranchements. Elle haletait et soupirait lourdement, prise dans un full nelson des plus épais.
« Haaa… Hmmm… »
Haletant lourdement, Bubble n’arrivait même plus à retenir sa salive. Elle soupirait longuement, déglutissant, réduite à l’état d’objet se faisant prendre avec force et passion. Sans rien négliger, il la détruisait méthodiquement en la prenant avec cette force stupéfiante. Le sexe était comme une bulle qui écrasait son esprit, qui noyait tout ce qu’elle était. Elle en perdait son latin, sa langue, tout ce qu’elle était et tout ce qu’elle aspirait à être…
Bubble sentit soudain Balthazar remuer encore. Il la lâcha, et les jambes de Bubble, flageolantes, retombèrent au sol. Balthazar la renversa alors, l’écrasant sur le sol.
« Urgh… »
Ainsi couchée, en sueur, elle sentit Balthazar la prendre, se finissant sur elle. Quel colosse ! Quel monstre ! Ce qu’il faisait subir à Bubble était assez indescriptible, c’était l’expression d’une passion sauvage, totalement débridée. Il la prenait avec une puissance incroyable, et finit par jouir en elle. Un puissant orgasme la transpersa, et elle s’effondra sur le sol, couchée sur le ventre, inerte, silencieuse, la respiration lourde et pesante, incapable de parler…
« Haaa… Hmmm… »
Haletant lourdement, Bubble n’arrivait même plus à retenir sa salive. Elle soupirait longuement, déglutissant, réduite à l’état d’objet se faisant prendre avec force et passion. Sans rien négliger, il la détruisait méthodiquement en la prenant avec cette force stupéfiante. Le sexe était comme une bulle qui écrasait son esprit, qui noyait tout ce qu’elle était. Elle en perdait son latin, sa langue, tout ce qu’elle était et tout ce qu’elle aspirait à être…
Bubble sentit soudain Balthazar remuer encore. Il la lâcha, et les jambes de Bubble, flageolantes, retombèrent au sol. Balthazar la renversa alors, l’écrasant sur le sol.
« Urgh… »
Ainsi couchée, en sueur, elle sentit Balthazar la prendre, se finissant sur elle. Quel colosse ! Quel monstre ! Ce qu’il faisait subir à Bubble était assez indescriptible, c’était l’expression d’une passion sauvage, totalement débridée. Il la prenait avec une puissance incroyable, et finit par jouir en elle. Un puissant orgasme la transpersa, et elle s’effondra sur le sol, couchée sur le ventre, inerte, silencieuse, la respiration lourde et pesante, incapable de parler…