The Multiversity

Reika eut finalement assez peu d’informations sur les passe-temps de Balthazar, qui lui expliqua sommairement qu’il cherchait l’âme sœur. Des propos concis et assez flous. Reika fronça les sourcils en entendant du bruit, mais ne vit aucune créature. La ville était en plein chaos, mais il y avait bien moins de victimes que ce que Reika aurait pu craindre. Oh, comme elle n’aimait pas ça ! Elle ignorait encore dans quelle situation elle se trouvait, mais les ennemis que Gantz les faisait affronter ne cessaient de se multiplier, leurs incursions devenant de plus en plus violentes. Cela coïncidait un peu avec ce qui s’était passé récemment à Atarashï Yoake, quand les Dieux olympiens avaient attaqué cette ville. La nouvelle avait fait le tour du monde, déchaînant les passions hystériques.

« Et tu as du mal à trouver ? Je croyais que les beaux mecs… »

La jeune femme ne put achever ce qu’elle avait à dire, car un hélicoptère supplémentaire les survola alors. Un hélicoptère militaire qui volait à voix basse, se rapprochant du pont. Une nouvelle explosion illumina d’ailleurs le pont, et l’onde de choc se fit ressentir jusqu’à eux. Reika crispa sa main. Elle n’aimait pas ça, et elle commença à se hâter. Tandis qu’ils se rapprochaient, des voitures supplémentaires brûlaient, des alarmes résonnaient dans le vide. Une route était percée à un moment, avec un épais cratère. Une explosion qui avait percé des canalisations, faisant s’égoutter l’eau dans la rue. Un spectacle navrant, qui illustrait la violence des affrontements qui se déroulaient en ce moment dans la ville.

Des explosions supplémentaires résonnèrent, et Reika se dépêcha de courir, rejoignant le pont autoroutier. Ils remontaient le chemin, et une énorme explosion résonna alors, soufflant de multiples vitres alentour.

« Bordel ! »

Reika se rapprocha encore, et vit une Jeep militaire s’envoler dans les airs, en feu. Elle atterrit à côté du duo, s’explosant violemment sur le sol. Les hélicoptères de combat mitraillaient un monstre qui avait soufflé le pont autoroutier. En s’approchant, Reika écarquilla les yeux devant la créature qui avait émergé dans la rivière…

Une hydre monstrueuse s’était installée. Ses gueules massives et sanguinolentes crachaient des rayons de plasma ou d’acide, faisaient fondre les malheureux qui se tenaient sur le chemin, ou faisaient exploser les voitures. Un char d’assaut tira sur le monstre. L’obus frappa violemment l’une de ses têtes, et des tentacules émergèrent du corps du monstre, s’abattant avec fureur sur le char. Pour ne rien arranger, le monstre libérait une flopée d’hommes-calmars, qui s’attaquaient aux soldats. Reika dégaina son wakizashi, et se jeta dans la bataille…

Beaux mecs? Elle le considérait comme un beau mec? Ah! En voici un compliment qui fit drôlement plaisir au géant. Derrière son masque de guerrière, Reika avait bon goût. Mais elle n'eut pas le temps d'approfondir le sujet qu'elle fut interrompue par un hélicoptère de l'armée les survolant et s'engageant dans la même direction qu'eux. Droit devant, des combats faisaient rage et les militaires luttaient contre des ennemis terribles. Leur courage était à souligner car beaucoup périrent en accomplissant leur devoir. Ce spectacle fit frémir balthazar de colère et grinça des dents.

"Ce putain de Vecna, on va lui faire la peau."

L'homme emboita le pas à l'idole quand l'impossible se produisit. Le monstre qui émergea devant eux ne devrait pas exister, même dans l'imaginaire farfelu d'un quelconque écrivain de fantasy. Enorme, cette bestiole était énorme, et même si Reika commandait un porte avion au Père Noël, ils n'étaient pas sûrs de leur victoire. L'hydre pulvérisa le pont qu'ils devaient emprunter et poussa un hurlement qui s'entendit des lieux à la ronde.

Les militaires battirent en retraite, entrainant avec eux les civils qu'ils pouvaient encore sauver. L'action héroïque d'un groupe de commandos permit d'évacuer la place alors qu'ils abattaient en grand nombre des petits monstres rejetés par l'hydre. Bientôt, il ne resta plus que Reika et Balthazar. Ils n'avaient pas vraiment d'autre alternative que de combattre et trouver un moyen de franchir le fleuve mais avant cela ...

... les hordes d'humanoïdes dégueulasses se jetèrent sur eux. Une vague puante de ces bestioles les submergea et la première d'entre eux déversa ses entrailles sur les chaussures de Balthazar après que Reika l'eut éventrée. L'idole tranchait tout ce qui passait à sa portée et le colosse se servait de ses poings comme d'un marteau de Thor. Ses coups broyaient des corps et balançaient les machins à des mètres de là. La combinaison avait encore du potentiel et ils se frayèrent un passage en creusant mortellement dans les rangs ennemis. Mais le troupeau gluant devint trop dense et très vite, ils furent submergés. Balthazar vit Reika disparaitre sous une masse de ces bestioles et lui même faillit étouffer sous le nombre. Il cogna dur en hurlant, et se rapprocha de l'amas ensevelissant Reika. Il réussit à lui saisir une main et la tira à lui. Elle se débattait comme une folle et les membres coupés pleuvaient autour d'elle.

Les hommes-calmars étaient comme rendus fous par sa présence. Ils se jetaient sur elle, leurs yeux noirs brillant d'envie. Leurs tentacules se lovaient contre son corps, palpaient ses seins à travers sa combinaison, s'enroulaient haut autour de ses cuisses fuselées

"Saloperies de bestioles!!"

Il écrasa son gros poing dans un bulbe qui explosa sous l'impact, les couvrant d'humeurs gluantes.

"COMMANDE MOI UN TRUC UTILE!!!!!" hurla t'il à la jolie brune.

Encore quelques instants et ils ne pourraient même plus bouger.

Le wakizashi de Reika se planta dans le corps d’un des hommes-calmars. Elle le souleva ainsi, et électrifia son épée, ce qui électrifia également l’homme-calmar, qu’elle projeta ensuite sur d’autres monstres, le faisant exploser. Son épée était redoutable, et Reika comprit vite qu’elle allait devoir passer aux choses sérieuses. Des hommes-calmars jaillissaient abondamment de l’hydre, étirant leurs tentacules, ou crachant des jets d’encres depuis des ventouses qui se formaient. Reika constata avec soulagement que les militaires se repliaient. Ils tiraient sur les monstres à distance, et, si leurs balles étaient efficaces, elles étaient moins dévastatrices que l’épée de Reika. La femme dansait sur place, évitant les attaques. Un tentacule s’enroula soudain autour de sa cheville alors qu’elle évitait un autre homme-calmar en tournoyant dans les airs. Le coup surprise la jeta au sol, et elle grogna sur place. Le tentacule se rétracta alors, mais Reika pi vota sur place, et trancha le tentacule avec son épée. Du sang verdâtre s’effaça du tentacule tranché, et elle roula sur le sol, frappant l’homme-calmar d’un coup vertical du haut vers le bas. D’autres monstres se rapprochaient encore, et l’une des hydres cracha alors un puissant rayon énergétique. Un halo blanc qui défonça le bitume. L’hydre fit flamber plusieurs de ses propres monstres au passage, le tir remontant vers Reika.

*Merde !*

Reika réussit à esquiver l’attaque, mais sentit soudain un homme-calmar la griffer dans le dos. Reika hurla en sentant sa combinaison souffrir. Des lambeaux de la combinaison tombèrent au sol, ainsi que son propre sang. Reika retomba au sol, et l’homme-calmar qui l’avait griffé se rua dans son dos, enroulant ses tentacules autour de son cou, s’affalant sur elle.

« ARGH ! »

La guerrière se débattit sur place. Balthazar lui hurla de faire un vœu. Des tentacules supplémentaires retenaient ses bras, et elle lança la première chose qui lui venait à l’esprit :

« JE VEUX UN… »

Malheureusement, le vœu de Reika se termina quand un tentacule serra sa gorge, comprimant ses cordes vocales. Elle grogna en rougissant, continuant à se débattre, tandis que la gueule de l’hydre s’ouvrait ,lentement. Des points blanchâtres se formaient à l’intérieur. Elle concentrait son énergie, et sa gorge se mit également à rougeoyer. Reika trembla nerveusement en s’attendant à l’impact…

…Quand la tête de l’hydre explosa brusquement.

La violente explosion surprit les hommes-calmars, et Reika put récupérer son épée, et tournoya sur place, tranchant les proches monstres. Des détonations résonnèrent autour d’elle, et elle aperçut, en l’air, ders drones noirâtres, qui mitraillaient les hommes-calmars, crachant des tirs explosifs qui les pulvérisaient sur place. Reika repéra alors, sur un toit, un autre Gantzer. Armé d’un H-Gun, l’intéressé avait ciblé la tête de l’hydre. Elle déglutit ensuite en le reconnaissant… C’était Nishi. Le Gantzer, qui avait bien plus d’expérience qu’elle, avait pu débloquer tout un attirail d’armes, y compris la possibilité de générer des drones de combat. Nishi sauta en contrebas, et, quand il se réceptionna sur le sol, sa combinaison déclencha une violente onde de choc environnante, fauchant les monstres, et renversant Reika.

Le temps pour elle de réaliser ce qui se passait, et Nishi se tenait face à elle, posant son pied sur sa poitrine.

« Tu n’es pas encore morte ? Où sont passés tes copains incapables ? la railla-t-il. Je te l’ai déjà dit, Reika-chan, tu n’es bonne qu’à me sucer. Si tu veux que je te protège, offre-moi ton cul. Sinon, dégage de mes pattes ! »

La tête détruite de l’hydre commençait déjà à repousser, et les deux autres têtes se déployèrent vers les duellistes. Reika se releva en se massant la gorge, et se retourna vers Balthazar. Nishi, de son côté, chargea encore son H-Gun, et tira tandis que les têtes de l’hydre faisaient également feu !

Plus rien ne pouvait les sauver. Submergés par la horde poisseuse déversée par l'hydre, Reika et Balthazar allaient connaitre la fin tragique des perdants. L'idole n'avait pas eu le temps de faire un souhait et avait perdu son épée tandis que le colosse croulait sous le nombre des assaillants.

"REIKAAAAAA!"

C'était peut être la dernière fois qu'il prononçait son nom. Au loin, le monstre s'apprêtait à leur donner le coup de grâce quand une violente explosion désintégra la tête gorgée d'énergie de la créature. Une onde brutale balaya les hommes-calmars et Balthazar se redressa. Le nouveau venu ne lui inspirait pas confiance. Un minot avec une sale gueule et une arrogance crasse qui suintait de tout son être. Un merdeux oui, mais un merdeux puissant et son arsenal était impressionnant. Il s'adressa à Reika comme à une pute et Balthazar se hérissa. Il serra son gros poing et s'approcha. Ce parasite méritait une bonne correction à grands renforts de tatanes. Les deux mâles se dévisagèrent et le petit con cracha aux pieds de Balthazar. Ca allait chier ...

L'hydre n'avait pas dit son dernier mot et se régénérait déjà. Enervée par le revers subit, elle se prépara à une nouvelle attaque. Ses gueules effroyables s'ouvrirent en grand et balayèrent la zone d'un large rayon d'énergie au même moment où le gamin tirait. Dans un ultime effort, Balthazar bondit aux pieds de Reika, la prit dans ses bras, et se propulsa dans les airs, au plus loin du ruban de mort. La combinaison rendit ses dernières capacités et ils s'écrasèrent deux cents mètres plus loin, dans le salon d'une maison, après en avoir pulvérisé le toit et les murs. Derrière eux, une bande calcinée aussi large qu'un terrain de football traversait la ville à perte de vue. L'attaque de l'hydre avait été terrifiante. Les pertes humaines ...

Sonné, Balthazar essaya de s'extirper des décombres d'un canapé. Reika était sous lui et il avait sa jolie tête coincée entre ses grosses cuisses. Dans d'autres circonstances, il aurait apprécié mais là, il grimaça en se relevant. Sa combinaison était cuite et celle de Reika avait très sévèrement morflé.

"Tu es blessée? Désolé, je suis un peu lourd."

Autour d'eux, rien ne bougeait, la maison était déserte. Ils avaient un peu de répit le temps de réfléchir. Il se rappela des mots du gamin.

"L'autre connard, il t'a ..... Non, excuse moi, c'est pas le moment. Mas si il t'a touché, je le détruirais plus tard."

Ils étaient en piteux état.

"Une idée? Tu peux me commander un truc utile mais pour faire quoi? On cherche un autre chemin pour aller buter le boss et on concentre nos ressources pour ça, et on laisse la grosse bestiole derrière avec le merdeux ... si il a survécu?"

Balthazar arracha les lambeaux du haut de sa combi. Torse nu, il avait toute sa liberté de mouvements.

"Je ne peux pas produire de cadeaux trop souvent, maximum une fois par heure, alors choisi bien."

Le nouveau tir de Nishi frappa violemment la tête de l’hydre, déviant son tir qui frappa sur le sol à côté, formant une crevasse profonde. Reika, sonnée, vit Balthazar qui se rapprochait. Son regard croisa celui de Nishi, et il sourit doucement.

« C’est qui, celui-là ? Je ne l’ai pas vu au briefing… Tu te réunis ton armée de fans, Reika-chan ? »

Nishi était un lycéen insupportable. Reika ne l’appréciait guère. Très personnel, il n’hésitait pas à sacrifier les autres. Elle aurait même dit qu’il était un sociopathe, se moquant fort peu de la vie humaine. Nishi ne faisait preuve d’aucune forme d’empathie, ne s’intéressant qu’à ces séances. Il affrontait ces monstres pour le plaisir de les défier, et clairement pas pour protéger des vies humaines.

« Toi ! Emmène Reika-chan ailleurs, je ne voudrais pas qu’un aussi joli minois se fasse vaporiser par erreur. Je m’occupe de ce monstre. »

Nishi déploya encore son H-Gun, et se mit à courir rapidement. Reika se releva, et Balthazar l’attrapa, tandis que les trois hydres se mirent à tirer. Leur ultime attaque fut particulièrement violente, et Balthazar se catapulta fort heureusement dans les airs. Les hydres rugirent, et les rayons défoncèrent le bitume, formant trois colonnes de feu qui les soufflèrent également. Elle entendit le rire de Nishi au milieu de l’explosion, et elle et Balthazar s’envolèrent ensuite. Ils passèrent à travers le toit d’une maison, et s’affalèrent dans un salon recouvert de tatamis. Couchée sur le ventre, Reika éternua douloureusement avant de reprendre ses esprits. Sa combinaison l’avait fort heureusement protégé, et elle fonctionnait encore. Elle se releva, et vit une télévision qui tournait encore. Les habitants avaient dû sortir précipitamment vers des zones sécurisées. La télévision diffusait un message d’urgence ordonnant aux citoyens de se rendre à des points de sécurité, tandis qu’un message qui défilait annonçait que la région était désormais sous la loi martiale.

« Balthazar… Vous allez bien ? »

Il n’avait rien, mais dut retirer le haut de la combinaison, devenue totalement inutile, exhibant ses muscles saillants.

« Vous saignez… Il doit y avoir une salle de bains, venez… »

Balthazar lui expliqua que son pouvoir avait des limites, mais Reika n’avait pour l’heure aucun souhait à formuler.

« Nishi est dangereux… Mais c’est l’un des Gantzers les plus puissants. Cette hydre est morte. Pour l’heure, on va rester là un peu. »

Ils rejoignirent la salle de bains, et elle invita Balthazar à l’attendre dans le salon. Il s’assit sur le canapé, et elle revint avec une boîte métallique abritant des produits médicamenteux. Balthazar lui présenta son dos, et elle appliqua des soins rapides. Il n’avait que des égratignures, mais elle posa néanmoins quelques bandages avec du mercurochrome, puis il se retourna ensuite. Elle lui faisait face, et rougit en posant ses deux mains sur son torse.

« Je… »

Reika croisa son regard, sentit ses joues s’enflammer… Et elle alla brusquement l’embrasser. Ils venaient de frôler la mort, alors elle n’était pas forcément pressée de repartir !

Se reposer un peu était une bonne idée. La journée avait été rude et violente. Il ne s'attendait pas à ce qui s'était produit en se levant le matin même. Une grande ville humaine envahie par des monstres combattus par des super soldats morts, c'était épique! Bien qu'il n'en ressente pas le besoin, Reika décida de s'occuper des quelques blessures superficielles qu'il s'était faites. Il s'assit au salon, sur le canapé de la pièce, et aussitôt, la lassitude l'envahit. Il n'était pas dans le caractère naturel de Balthazar de se battre et d'apprécier ça, bien au contraire. Il aimait les choses simples des plaisirs de la vie depuis qu'il avait commencer son exploration des mondes: baiser, manger, baiser encore.

Il bailla alors que Reika revenait avec une boite de premiers soins. Il se laissa faire et frissonna quand les doigts de l'idole parcoururent sa peau. Reika fut rapide et il allait la remercier quand elle prit les devants. face à lui, elle posa ses mains sur son torse et il s'attendait à une recommandation de prudence quand tout s'emballa. Leurs regards se croisèrent et ne se lâchèrent plus. Ce qui transita entre eux était lourd d'un désir lié à e qu'ils venaient de vivre.

C'est elle qui se jeta sur lui et leurs lèvres se soudèrent sur un baiser enflammer. bien qu'il soit lubrique et toujours prêt à se donner pour une belle, Balthazar fut surpris de cet engouement soudain. A aucun moment, Reika n'avait fait preuve d'attirance envers lui et la situation ne s'y prêtait d'ailleurs pas.

Le colosse suivit le mouvement et posa ses grosses mains sur les hanches de la star. a combinaison était d'une telle finesse qu'il aurait pu la croire nue. Leur proximité dégageait une chaleur décuplée par la furie des combats et l'adrénaline générée. Il la serra conte lui et profita de la souplesse de son corps et de la folie de ses courbes. les mains de balthazar remontèrent et ses pouces vinrent se caler sous les seins de Reika. Sans être énormes, ils avaient néanmoins l'avantage d'un certain volume mais il n'alla pas plus loin que ce premier geste. Elle méritait un respect tout particulier et il n'allait surement pas la traiter comme certaines femmes qi ne s'étaient données à lui que pour la taille de ses biceps. Non, Reika était une perle, une pierre précieuse qu'il fallait honorer.

Sans effort, il la souleva pour qu'elle puisse cercler ses jambes autour de son bassin. Bien sûr, il restait lui-même et sa queue se rappela à lui de la plus rigide des façons. Le gros membre s'érigea et Reika ne pouvait pas manquer de s'en apercevoir. Pour Balthazar aussi, la combinaison était fine ... Ils s'embrassaient toujours passionnément et les succions emplirent la pièce de leurs sonorités passionnées.

Il se retourna pour plaquer l'idole contre un mur du salon, la tenant toujours fermement. Inconsciemment, son bassin se projetait en avant comme pour lui indiquer qu'il avait une folle envie d'elle. Reika était belle, courageuse et talentueuse, elle l'emballait et il voulait explorer son corps tout entier.

L’adrénaline l’enflammait, tout simplement ! Ce baiser lui avait échappé, et elle rougit, autant de gêne que de plaisir. Elle s’attendait à ce que Balthazar la repousse, mais, quand il l’embrassa, Reika sentit toutes ses résistances fondre. Tous ses doutes s’envolèrent, s’étiolant au goût des lèvres de l’homme, de ses grosses mains musclées qui palpèrent les jolis et gourmands seins de Reika. Elle crispa ses doigts gantés sur son torse velu, sentant ses muscles, ses poils, ce musc et ce parfum de virilité en lui… Hum, quelle tentation ! Il répondit donc à son baiser, frémissant sur place. Aucun des deux n’avait besoin de parler, leurs corps s’exprimaient à leur place. Reika pouvait sentir la verge de Balthazar déformer sa combinaison, et il la déplaça. Elle heurta le mur, et releva ses jambes, frémissant quand il posa ses mains en appui sur ses fesses. Reika les enroula autour de sa taille, posant une main sur sa nuque.

« Hmmm… »

Savourant les lèvres de son partenaire, Reika lui répondait avec passion, et alla jusqu’à glisser sa langue dans sa bouche. Sa main se crispa sur ses longs cheveux, et tout le corps de Reika frémit, la combinaison amplifiant les sensations de plaisir. Faire l’amour avec cette tenue, une combinaison qui amplifiait les sensations, c’était souvent du bonheur à l’état brut ! Et cela, Reika commençait à le sentir. La combinaison de Balthazar frémissait doucement, tandis que sa verge continuait à s’élancer. Heurtant le mur, Reika croisa le regard de Balthazar, avant qu’il ne l’embrasse encore, écrasant avec force son corps musclé contre le sien.

« Ba-Balthazar… » gémit-elle avant.

De longs baisers intenses, humides, tandis que le bassin de Balthazar filait d’avant en arrière. La chatte de Reika commença à s’humidifier, et sa combinaison s’ouvrit alors. Une légère fente se forma, comme si la combinaison réagissait à ce que sa porteuse ressentait. Après un nouveau baiser, elle pouvait sentir la combinaison de Balthazar s’ouvrir également, et elle soupira ensuite. Un ordre simple fusa, clair et précis :

« Baise-moi. »

Son épaisse verge n’avait plus qu’à s’enfoncer en elle…

Il n’y avait pas vraiment à se demander pourquoi Reika était l’idole de tant de personnes. Son public devait être essentiellement masculin, ce qui traduisait la perfection de sa plastique. Souple, agile, tonique, elle était comme une ventouse collée à Balthazar, répondant à ses avances explicites de la même façon que lui. Son langage corporel parlait pour elle et l’homme fut tout de suite dans tous ses états. Balthazar aimait les femmes, passionnément, et celle-ci était une aubaine qu’il n’allait pas laisser s’échapper. Les deux équipiers de circonstance s’embrassaient follement, partageant succions et fluides. Reika s’emballait comme si elle venait de se libérer de chaines la contraignant à l’abstinence. Ses élans rencontraient ceux de Balthazar et incitaient à encore plus de ferveur.

Impossible de rester de marbre ou correct dans ces conditions ! Elle énonça l’évidence. Ça oui, il allait la baiser. L’idole allait se faire secouer comme jamais. Si ses habitudes étaient faites de douceur et de doux préliminaires, elle allait découvrir qu’avec le colosse, il n’en était rien. L’ardeur du couple effaçait les horreurs qu’ils venaient de vivre et à présent, seule la frénésie d’une envie de s’accoupler subsistait. Malheur à celui qui viendrait les perturber !

Balthazar sentit sa combinaison réagir et s’ouvrir pour offrir à son énorme queue tendue l’espace dont elle avait besoin pour s’ériger complètement. Le membre massif remonta le long du ventre de Reika et le gland vint se loger à la base des seins de la star, preuve de l’énormité de l’engin. Pour le supporter, il allait falloir que Reika serre les dents à moins qu’elle ne démontre des qualités d’endurance et de tolérance exceptionnelles. Balthazar la désirait ardemment. D’un geste bref, il retroussa la combinaison de Reika sur ses épaules et tira vers le bas, exposant ainsi la magnifique poitrine, presque trop grosse pour la finesse de cette fille. Mais ce n’était pas pour déplaire aux hommes avides et fans de gros seins, caste à laquelle appartenait Balthazar. Il sourit, émerveillé par ce tableau trop beau pour être vrai. Cette poitrine, il la baiserait aussi.

Mais tout d’abord, il y avait double urgence. Il souleva Reika comme une plume et vint la reposer sur son gland gonflé et gorgé de sang. La jeune femme était trempée et son poids fit le reste. Sa vulve s’ouvrit pour le laisser passer et de la même manière qu’elle l’avait embrassée, sa chatte l’avala comme une sangsue incontrôlable en quête de vitalité. L’énorme sexe de l’homme écarta les chairs sensibles de la star et il ne força aucunement, la laissant s’adapter à sa taille. Si elle le demanderait, il la défoncerait où que ce soit : contre ce mur, au sol, sur le canapé, et dans toutes les positions. Qu’elle veuille s’essayer à l’anal ou encore à l’oral après et il n’hésiterait pas une seconde à répondre à ses attentes. Balthazar avait la faculté de pouvoir baiser longtemps et d’avoir des réserves de foutre insoupçonnées. A lui tout seul, il pouvait rendre un final aussi gluant qu’un bukkake organisé avec une dizaine d’hommes bien fournis.

Si Reika aimait le sperme, elle allait être servie à outrance, et si elle était féconde, le risque de tomber enceinte plus tard n’était pas à négliger.

"AAAAHHH !!!"

Balthazar subissait lui aussi une violente pulsion. Sa queue s’enfonçait loin dans le ventre de celle qui méritait bien plus que de l’affection. Ce n’était pas facile et il dû s’y reprendre à plusieurs fois en ajustant l’angle pour qu’elle le prenne totalement. Il était tellement gros qu’il déformait le ventre de Reika comme un gros serpent s’y faufilant. Maintenant, c’était à elle de voir ce qu’elle voulait avec cet énorme chibre en elle. Allait-elle lui demander d’y aller gentiment ou au contraire de la pilonner sans pitié ?

Reika savait ce qui allait se passer, elle le savait, et, même, elle le souhaitait. Se faire prendre par cet homme, voilà qui ne pouvait que la motiver ! Il était musclé, fort, et elle sentait l’épaisseur de sa verge… Ses mains tirèrent sur la combinaison de Reika, cherchant à la lui enlever, mais c’était aussi cette combinaison qui renforçait ses performances, et qui lui permettrait justement de supporter le membre de Balthazar en elle ! Reika se débattit donc, sentant néanmoins la copmbinaison être retirée à hauteur de ses seins. Elle frémit doucement, sa magnifique poitrine se dressant devant son amant. Balthazar les observa avec appétit, et Reika rougit doucement, excitée. Elle savait qu’elle avait une magnifique poitrine, et cette poitrine était en partie la raison de son succès. Elle était une idol girl très populaire grâce à ça, et soupirait doucement.

« Ba-Balthazar… » gémit Reika.

Il la redressa un peu, et s’efforça de la pénétrer. Sa verge s’enfonça en elle, et Reika écarquilla les yeux, son cri mourant dans sa gorge. Dieu, que sa verge était grosse ! Était-elle amplifiée par la combinaison, elle aussi ? Reika savait que cette combinaison était très efficace ! Elle frémit sur place, claquant des dents, sa main se crispant sur la nuque de Balthazar. Son autre main s’appuya sur son épaule, et elle se mit à gémir encore, sentant la verge de Balthazar coulisser en arrière, puis s’enfoncer encore, gagnant à chaque passage quelques centimètres, déformant les parois intimes de Reika, qui put alors hurler.

« Haaaa… Pu… PUTAIN, HAAAAAANNN… !! »

Reika gémit encore, sentant ce membre la déformer. Elle couina à nouveau, clignant des yeux en regardant Balthazar. Il fronçait les sourcils, bandant les muscles, bien décidé à la prendre avec force. Elle glissait contre le mur, d’avant en arrière, sa peau nue se collant un peu trop. Reika récupéra sa combinaison, et la remit sur ses épaules, laissant toutefois celle-ci suffisamment ouverte pour accéder à ses seins. Mais, quand la combinaison se remit, les jointures bleues qu’on apercevait dessus s’illuminèrent, vibrant chaudement en elle. Elle soupira encore, crachant sa salive avant de serrer les dents.

Cette verge monstrueuse la pilonnait avec force, mais c’était ce qu’elle voulait !

« V-Vas-y… Prends-moi, allez… Baise-moi comme si j’étais la dernière des salopes, allez ! »

"Comme la dernière des salopes hein? C'est ce que tu veux ..."

Autant Balthazar admirait Reika pour la combattante courageuse qu'elle était, autant si elle demandait à se faire trousser, il n'allait pas mettre de côté sa nature et la préserver. Au dernier mot qu'elle prononça, il assena un tel coup de reins que le mur derrière elle se fendit d'une fissure. Ce n'était que le début et si elle voulait du contact, il allait lui en donner. L'homme la prit par les cuisses pour la soutenir et s'adonna ensuite à une longue séance de pilonnage. Il suait à grosses gouttes, concentré sur l'énorme effort qu'il fournissait pour la baiser ... comme la dernière des salopes.

"RHHHAA HHHAAA HAAAAAA!!"

Ses grognements emplissaient la pièce et la jolie brune faisait les frais de son endurance. La grosse queue bourrinait dans le ventre Reika et sa chatte était totalement distendue, ravagée et couverte d'un fluide blanc et collant. Le clapotis gluant qu'on entendait était le résultat d'une pénétration forcée et quasiment surnaturelle. Balthazar déboitait Reika contre le mur et quand il jouit, il lui remplit le ventre en tremblant. La taille de l'homme cachait celle beaucoup plus petite de l'idole et ils glissèrent au sol.

Le colosse cala Reika sur le dos et continua son martèlement en lui levant les jambes. La grosse poitrine tressautait dans tous les sens et Balthazar pompait dans son propre foutre! Maintenant que la star était imbibée de semence, y glisser était tout simple. Bien lustrée, la vulve ouverte n'avait aucune difficulté à prendre l'énorme membre jusqu'au fond. Là encore, Reika se fit sauter comme une chienne et Balthazar gicla encore loin en elle. Les combinaisons amplifiaient les ressentis et même si celle de l'homme était fortement dégradée, il se sentait presque surhumain. En vérité, le coït était très violent et sans les combis, les deux amants auraient souffert physiquement de cette sauvagerie.

La giclée suivante surprit même Balthazar. Massive et grasse, elle termina de remplir l'utérus de Reika et le trop plein déborda de sa chatte pour couler le long de ses cuisses moulées de latex. L'homme semblait ne plus pouvoir s'arrêter.

"T'as vraiment un corps de bonnasse! Une vraie perle à baiser!"

Il se retira d'elle, la souleva et la posa sur le canapé où il vint s'agenouiller au dessus d'elle. Depuis qu'il avait vu cette poitrine, il ne pensait qu'à une chose.

"Serre tes gros seins autour de ma queue!"

Il s'y glissa et ramona dans ce fourreau tendre et soyeux en exhalant un long soupir de satisfaction. Les seins de Reika n'étaient pas gros, ils étaient TRES gros! Il s'y branla salement et son chibre massif venait frapper le visage de l'idole à chaque remontée. Il pesa plus sur elle, se frottant contre la peau parfaite de la chanteuse. La pression de sa poitrine était difficilement supportable et il ne tint pas plus de quelques minutes où des splac-splac visqueux résonnèrent en rythme.

Là encore, il déchargea abondamment et couvrit les seins de Reika de sperme épais qui s'infiltra dans tous les creux et sillons disponibles. Balthazar referma aussitôt la fermeture de la combinaison de la fille pour qu'elle garde sur elle la semence odorante. Une vraie salope, c'est ce qu'elle voulait.

La combinaison amplifiait les capacités physiques, mais aussi mentales. Cela marchait aussi pour le sexe. Reika l’avait déjà vu. Un intello’ qui s’était une fois retrouvé là avait supposé que la combinaison disposait de nanomachines qui diffusaient dans le corps des substances jouant sur certains neurotransmetteurs, comme l’adrénaline, l’endorphine, la dopamine… Cela augmentait certaines émotions chez les gens, y compris sexuelles. Il avait expliqué que cela permettait de rendre les Gantzers plus forts, de les rendre plus efficaces. C’était une technique vieille comme le monde. Pour rendre les soldats plus hargneux, on jouait sur la frustration, afin qu’il trouve dans la bataille une sorte de plaisir frénétique et violent comparable à celui qu’on éprouvait en faisant l’amour. C’était un homme très intelligent, qui s’était malheureusement fait décapiter au bout d’une deuxième session. Reika savait que cette combinaison était dangereuse, et il arrivait parfois que certains Gantzers négligent totalement la mission, et profitent de la combinaison pour aller dans un soapland, et pour s’enfiler tout le personnel à bord.

Reika gémissait fortement, et se mit même à hurler. Balthazar était fort, puissant, et il donnait de tels coups que le mur se fissura derrière eux. Ils étaient toujours dans la salle de bains, et la main gantée de Reika frappa violemment le miroir au-dessus du lavabo, le brisant. Son autre main s’agrippait à la nuque de Balthazar, et l’homme continuait à la prendre. Un sauvage barbu et hirsute dont le corps ruisselait de sueur, faisant craquer et grincer la combinaison, au point que celle-ci risquait de se déchirer à chaque coup de reins.

« Haaaa… !! Haaaannn… !! »

Les cheveux virevoltant dans tous les sens, Reika eut un orgasme en le sentant jouir. Balthazar se mit à jouir puissamment, tapissant sa chatte de son sperme poisseux et nourri. Des jets intenses, et Reika déglutit. Elle constata que plusieurs carreaux de la faïence murale avaient sauté, et il se déplaça, l’emmenant dans le salon. Ils poussèrent une porte, et Reika se retrouva sur le canapé, laissant entre ses cuisses une traînée de liquide blanchâtre.

« Diable, quelle énergie, Ba… Balthazar… »

Elle écarta les jambes en se masturbant d’une main, son autre main malaxant l’un de ses gros seins.

« J’en veux encore plus… Que tu me ravages… »

Et il était prêt à le faire ! Balthazar se rapprocha d’elle, et fourra sa queue entre ses seins. Reika attrapa ses seins, et remua dessus. Sa combinaison était encore partiellement là, et la queue de Balthazar coulissa dessus, avant de rejoindre sa peau, chaude, douce, et en sueur. Reika soupira, ses seins étant parfaitement adaptés à une cravate de notaire, ce qu’elle entreprit donc de faire avec passion et amour…

Bon sang mais quelle beauté ! Sous lui, Reika était superbe, les cheveux en bataille et le visage marqué par leurs ébats. Ils s’étaient donnés violemment l’un à l’autre et avaient contribuer à bien abimer l’appartement qui les abritait. Les combinaisons étaient des amplificateurs de plaisir et Balthazar en était encore tout émoustillé. La sienne avait subi de gros dégâts mais il semblait que pour ce genre d’activité, elle soit toujours opérationnelle. Il venait de jouir comme un gros porc entre les seins de l’idole et avait refermé en partie la fermeture éclair de la combinaison par-dessus mais il en voulait plus encore. Il arrangea Reika sur le canapé de manière à ce qu’il puisse venir se mettre à l’envers au-dessus de son visage et lui présenter ses grosses couilles. Sa queue était raide comme un manche et il la glissa dans le creux du corsage disponible. Il s’y enfonça d’un coup sec, reprenant sa cravate de notaire dans l’autre sens. Les énormes seins de Reika, comprimés dans le latex l’emprisonnaient comme s’il avait la queue dans un étau.

A ce stade, plus rien n’était propre et il niqua sa star comme elle le voulait. SA salope, sa petite chienne, sa pute … elle l’avait demandé et il lui rendait bien. Ses bourses se frottaient au visage de sa belle alors qu’il pinait la poitrine accueillante et gluante. Son propre sperme débordait et il plongeait dedans, libérant des « spouirtch » graisseux.

"Bordel ! Bouffe-moi les baloches ! Bouffe-moi le cul Reika !"

Il accéléra le rythme, s’écrasant contre les seins malaxés.

"ARGGGHHHHH !!!!!"

Et il gicla encore dans la combinaison, se répandant partout et massivement. Il se retira, reculant légèrement et prit Reika par la nuque pour lui tirer la tête en arrière.

"Ouvre la bouche !"

Oh qu’il avait envie de la traiter comme une salope maintenant qu’elle s’y était engagée. Comme il l’aurait fait avec une sale catin des rues, il frotta son gland rougi contre les jolies lèvres pulpeuses avant de lui prendre la bouche.

"Tire la langue salope ! Avale-moi ! Fais-moi voir comment sucent les filles au Japon Reika !"

Il se pencha sur elle et profita de cette position pour s’enfoncer dans sa gorge. La queue était tellement énorme que le cou de Reika s’orna d’une protubérance conséquente. Il se retira pour qu’elle puisse se reprendre et une fois qu’elle eut respiré, il y revint et la baisa comme il avait pris sa chatte. Les bruits de gorge et autres déglutitions emplirent la pièce et se régala de cette opportunité. S’il s’écoutait, il lui pisserait dessus pour compléter ce tableau déjà bien sale. Une salope … Reika la salope ! Il pourrait passer sa vie en elle, à ramoner ses orifices et la guider vers une perversité sans nom.

Et enfin, il jouit, se crispant, délivrant de longues giclées directement dans le ventre de la fille alors qu’elle avait les lèvres verrouillées autour de la base de sa queue. Il gueula, ne pouvant plus se contenir, tapissant la gorge de la fille d’un épais jus blanchâtre.

"Bordel que t’es bonne !"

Il la libéra, elle bavait gras. Un faux mouvement le fit tomber du canapé et il resta couché au sol en riant la queue toujours raide.

"Wow !! Qui aurait cru ça ? Quelle journée ! Une bataille sanglante et un magnifique cadeau de la plus belle des stars !!"

Il pointa son sexe toujours tendu.

"T’en veux encore ?"

Elle lui avait dit qu’elle voulait se faire « ravager ». On ne pouvait faire plus clair, car c’était précisément ce que Balthazar se mit à faire. Il avait déjà attaqué avec force la chatte de Reika, il s’en était pris à ses seins, et le refit encore, ciblant la partie haute du corps de Reika. Il s’attaqua de nouveau à ses seins, à cette grosse et généreuse poitrine. Les instincts de Reika étaient amplifiés par la combinaison, y compris son désir. Tout ça n’était somme toute qu’une histoire de neurotransmetteurs et d’hormones, et la combinaison jouait avec ça. Reika soupira en sentant Balthazar venir littéralement l’écraser avec ses grosses bourses. Ses couilles se posèrent sur son visage, une odeur rance venant emplir les narines de Reika. Il se frotta à ses seins, déjà poisseux, déjà recouverts de sperme, provoquant une série de bruits spongieux. Les mains de Reika tenaient à nouveau ses seins, les remuant avec appétit, les frottant sur l’épaisse verge de Balthazar. Elle jouait avec, jusqu’à le sentir jouir encore. Il avait une endurance à toute épreuve ! Elle ne le voyait pas, mais elle l’entendait grogner, respirer lourdement, comme un buffle en pleine course, qui déploierait tous ses efforts. Il jouit donc une deuxième fois sur ses seins, et retira sa verge. Son vit turgescent s’enfonça ensuite dans la bouche de Reika, qui ouvrit la bouche sur la demande de Balthazar. Les testicules partirent, et elle gémit en sentant ce gros membre poisseux s’enfoncer en elle.

« HMMMM… !! »

Balthazar continuait à la prendre avec force, défonçant méthodiquement sa bouche. Il finit par jouir à nouveau copieusement en elle, tandis qu’elle se masturbait sur le canapé. Sa main gantée glissait contre sa chatte, et elle enfonçait ses doigts en elle, pinçant son clitoris. Elle appuyait dessus avec plaisir, se masturbant vigoureusement, encore et encore. La vague l’envahissait, et, quand Balthazar jouit encore en elle, Reika eut elle-même un orgasme. Son corps se crispa nerveusement, et, dans un grand soupir, la bouche pleine de foutre, elle jouit, sa mouille fusant sur le canapé. Quand il s’écarta d’elle, Reika, sonnée, tomba sur le sol, s’affalant sur le ventre.

La respiration lourde, elle releva la tête au bout de quelques instants. Balthazar était toujours en forme, la sueur perlant sur son corps. Reika connaissait ça, elle savait l’endurance extraordinaire que la combinaison pouvait procurer. Elle se releva lentement, sans répondre au début, puis alla se rapprocher de la table à manger, et s’y appuya, lui présentant ses fesses. Une fermeture à l’arrière permettait d’accéder à ses fesses.

« Tu as oublié de me prendre par là, Balthazar… »

Sa voix était chevrotante, légèrement cassée suite à ce qu’elle avait reçu.

« Défonce-moi le cul… Avec ta verge, ou avec ta main, comme tu veux… Mais défonce-moi, je veux me sentir vivante ! »

Un propos curieux, qui ne pouvait s’expliquer que par le fait qu’elle était déjà morte, qu’elle avait connu ce sentiment horrible de perdre tout ce qu’elle était, toute notion, toute sensation. Le sexe, c’était l’expression pure de la vie. Cette douleur, cette jouissance, elle adorait ça… Alors, encore, elle en voulait encore !

Ah ! C’était très sale ce que demandait Reika ! Portée par l’euphorie, elle en demandait plus comme si cette rencontre avec Balthazar déverrouillait chez elle des sentiments trop longtemps retenus. Son histoire devait être tragique même si elle ne s’était pas appesantie dessus. Elle avait déclaré être morte et il n’y avait aucune raison pour qu’il ne la croie pas. Quoi qu’il se soit passé, l’idole devait souffrir d’un certain isolement si son destin ne se réduisait qu’à accomplir des missions pour cette boule, Gantz. Et puis il y avait ce Nishi qui avait tout du connard fini qui ne devait pas lui faciliter l’existence.

Balthazar fut heureux qu’elle se libère de son carcan d’émotions pour révéler la femme qui était en elle, celle qui n’était pas la combattante, celle qui souriait, celle qui voulait vivre … S’il fallait qu’il fasse tout ce qu’elle demandait pour qu’elle atteigne ce sentiment de liberté, alors il le ferait, d’autant plus que cela entrait parfaitement dans ses cordes. Le sexe comme catalyseur d’émotion ! C’était génial non ?

Reika sentait le sperme. Elle en avait plein le menton et son cou brillait encore du dernier lustrage. Balthazar avait refermé la fermeture éclair de la combinaison de la jeune femme sur sa poitrine, également couverte de semence qui devait couler sur son ventre. Ses longs cheveux noirs aussi étaient amalgamés par endroit, collés par d’épaisses trainées blanchâtres. Balthazar n’avait pas contenu son plaisir et comme toujours, il avait joui en abondance.

Appuyée sur la table de la salle à manger, Reika proposait une nouvelle approche. Cet accès-là était le péché mignon de Balthazar. Il adorait sodomiser les femmes ! La sensation d’un anus serré s’ouvrant sur sa queue était un kif monumental. Alors si en plus sa partenaire était une véritable bombe atomique … Il se releva pour se positionner derrière elle et défit la combinaison avant d’en écarter les pans. Il découvrait le petit cul de l’idole qui était aussi joli que tout le reste. C’était prometteur et bien qu’il vienne de se vider, sa queue retrouva immédiatement toute sa vigueur. Il avait carte blanche pour la satisfaire et il n’allait pas se gêner. Il la caressa, ses grosses mains couvrant ces jolies fesses. Et très vite, il inséra dans la chatte débordante de sperme son index et son majeur tandis que du pouce, il massait la rosace fermée, qui ne le resterait pas longtemps. Il passa son bras libre devant Reika pour le refermer sur ses épaules et la tenir fermement, et quand ce fut fait, il enfonça son pouce dans son cul, tout entier. L’orifice réagit naturellement, essayant de s’opposer à cette intrusion mais l’homme fut le plus fort. Il agita son doigt, imprima de petits mouvements de rotation pour l’élargir, qu’il s’habitue à sa présence. Et puis il la doigta avant d’abandonner sa chatte pour, de ses doigts imprégnés de fluides, venir se crocheter dans son cul. Là encore, il pompa, écartant les doigts de plus en plus pour s’offrir une première vue sur le rectum à vif de Reika. A son index et à son majeur, il parvint à associer son annulaire. Généreusement bâti, Balthazar avait des membres solides et à ce stade, c’est comme si l’idole se faisait déjà enculer par un homme de dimensions très correctes. Le colosse la maintenait tandis qu’il l’ouvrait pour toujours plus. Quatre doigts ! La limite ? Non, il voulait plus et elle aussi.

Quand il réussit à loger ses cinq doigts, réunis en pointe, dans le fondement élargi, il sut que ce serait possible. Un fluide mousseux imprégnait sa main, peut-être la cyprine de la star, lubrifiant la rondelle ridiculement écartelée. Et puis, le cul de Reika se contracta et il sembla produire une aspiration qui avala la main de Balthazar. L’anneau de chair se referma sur son poignet et l’homme sentit la jeune femme se cambrer brutalement. Il la tint fermement, exerçant même une contrainte involontaire sur son cou avec son avant-bras. Reika, la superstar, l’idole de tant de personne, la maitresse de la scène, se faisait fister le cul comme une grosse salope. La partie la plus dure étant passée, il restait celle de l’acceptation. Reika avait dit avec ta main ou ta queue, cela allait être avec les deux. Balthazar referma son poing et commença un long va et vient, puissant, incisif et ravageur. Le rectum de Reika était trop petit pour lui et il l’élargissait en profondeur, poussant dans des masses chaudes et remplissant totalement la fille. Il la prépara quelques minutes avant d’y aller plus fort. Il martelait rudement à présent, l’empêchant de se débattre, a guidant vers l’état de salope ultime. Elle l’atteindrait sans aucun doute car elle en avait les capacités. Et en plus, elle mouillait comme une folle !

Quand on revenait à la vie, littéralement à la vie, cela changeait le regard qu’on pouvait porter sur les choses. Reika avait connu la mort, la mort dans tout ce qu’elle avait d’horrible. Mourir, ce n’était pas se tordre de douleur, c’était, au contraire, ne rien sentir, plus rien, comme si un voile froid vous emmenait, et éteignait tout ce qu’il y avait en vous. Cette sensation horrible, Reika ne voulait plus jamais la revivre. La vie, c’était ressentir. La douleur, c’était une jouissance de tous les instants, la preuve que vous étiez encore en vie. Alors, Reika convoitait effectivement cette sensation, ces moments précieux. Et, avec Balthazar, Reika savait qu’elle aurait droit à un spectacle rare, d’une intensité phénoménale. Il ne tarda pas à choisir, entre sa verge et sa main… Et opta pour la main. Postée à quatre pattes, Reika s’offrait à lui, et elle frémit en le sentant écarter sa combinaison.

Elle refusa néanmoins qu’on la lui retire, car c’était aussi cette combinaison qui allait lui permettre d’endurer ce qui allait suivre. Balthazar libéra l’accès à ses fesses, et commença par titiller à nouveau son bourgeon intime, avant de se focaliser sur sa porte arrière, un délicat trou rose, une petite fente refermée. Son amant s’y immisça, d’abord en glissant un doigt, puis un deuxième, et un troisième. Reika soupira, sentant peu à peu ses parois anales se dilater, se refermant sur les doigts de l’homme, avant de progressivement s’écarter. Ses mains gantées se crispèrent sur la table, et elle écarta encore les jambes, se laissant basculer. Reika allait sûrement finir à quatre pattes, afin de s’offrir plus librement à son amant endiablé et fougueux.

« Hmmm… Ba-Balthazar… »

Reika gémit lentement, se courbant encore, jusqu’à s’étaler sur la table. Elle sentit les doigts de l’homme s’enfoncer, dilatant encore sa paroi. Il grognait lentement derrière elle, et s’appuyait avec son autre main sur le dos de Reika, empoignant ses longs cheveux, relevant sa tête. Elle déglutit à nouveau, sentant la main s’enfoncer en elle, et sentit des larmes couler sur ses yeux. La douleur était intense, terrible, lui coupant le souffle, mais elle adorait ça.

« Haaa… Haaaaa… »

Elle était dans un tel état qu’elle n’arrivait même plus à parler ! La main de Balthazar commença à remuer en elle. Maintenant qu’il avait commencé, il allait être plus simple pour lui de s’y enfoncer, et elle, elle prenait effectivement son pied, approchant d’un orgasme, son corps frottant contre la table, remuant sous la main de Balthazar…

Il régnait dans ce salon qui n’était pas le leur une tension extraordinaire. La torture que subissait Reika était parfaitement répréhensible mais c’était elle qui l’avait imposée. Elle trouvait dans la douleur le réconfort de la vie et son adorable visage se reflétant dans un miroir face à eux exprimait un intense bonheur. Balthazar n’était pas en reste et respirait la même joie. Lui qui était un véritable aventurier du sexe découvrait avec l’idole ce que c’était que de ne pas avoir de limites. Il s’en était approché une fois avec Bubble, une combattante d’Uatis, mais ce n’était pas allé aussi loin que maintenant. Son gros biceps s’était couvert de veines alors qu’il déchainait son énergie à fister le cul de Reika. Son poing n’épargnait aucunement la chanteuse et tapait loin au fond de son corps, attendrissant les organes crispés et ravageant cette cavité malmenée. Le poignet du colosse, encerclé par le sphincter pulvérisé de la fille, laissait filtrer un liquide sale qui imprégnait l’avant-bras de Balthazar. Rien à foutre ! Ce n’était pas une raison pour cesser et d’ailleurs, l’homme ouvrit sa main pour fourrager de ses gros doigts au plus profond du rectum de Reika. Une autre femme serait morte mais l’idole était spéciale. Le colosse lui cisailla le cou, alors coincé dans le creux de son coude, coupant l’arrivée d’oxygène et limitant sa capacité à penser. Il continua ainsi jusqu’à ce que Reika atteigne son orgasme qui faillit le renverser tant il fut puissant.

Mais l’homme tint bon et ne cessa de la fister que quand elle ne bougea plus, épuisée et heureuse. Il retira alors sa main des fesses détruites et alla à la cuisine pour se laver les paluches, ce qui était plus que nécessaire.

Quand il revint au salon, elle n’avait pas bougé et gisait, haletante et délicieusement attirante, l’anus béant, ridiculement ouvert et offrant une vue imprenable sur ses parois anales.

"Comment te sens tu maintenant ?"

Balthazar la saisit par les cheveux et tira sa tête au bord de la table, sur le côté. Il n’eut aucune difficulté pour enfoncer sa queue dans sa bouche et il lui baisa la gueule comme un forcené "HAN ! HAN ! HAN !", ahanant comme une bête et la tenant fermement pour lui ravager la gorge. Ses grosses couilles s’écrasaient contre les joues ou le menton de Reika en fonction de l’angle de pénétration. Il y allait dur et utilisait cette bouche à bite comme un jouet à purger et bien évidemment il lui gicla très vite à la gueule, lui délivrant une faciale d’anthologie.

Il n’en avait pas fini. Les derniers capteurs valides de sa combinaison faisaient encore leur office et il se sentait débordant d’une énergie surhumaine. Sans cet habit de latex, il n’aurait pas été capable de continuer mais là, il dégageait une vigueur monstrueuse. Il prit ensuite Reika dans ses bras et l’emmena dans une chambre où il la jeta sur un lit. L’instant suivant, il était sur elle et lui écartelait les jambes pour la sodomiser comme un fou. Ce fut brutal, très violent et un pied du lit céda, les faisant rouler. Balthazar se rétablit, toujours sur Reika dont le corps subissait un traitement inhumain. L’homme l’enculait, la tenant par les hanches. Il plongeait dans un anus brûlant et détruit dont le sphincter peinait à se reformer, constamment brutalisé. Balthazar hurlait à présent, déchainé et incontrôlable. La femme qu’il baisait compilait toutes ses envies, ses fantasmes et ses désirs interdits. Avec elle, il ne voulait pas se restreindre ni se limiter à des choses correctes. Il voulait briser les barrières de l’humanité et passer le territoire de la luxure. Reika était parfaite, une rencontre miraculeuse et il s’acharnait tant qu’il le pouvait car que lui réserverait demain ?

Il jouit en elle, encore et encore, beaucoup, puissamment, sa queue vissée au plus profond du cul de Reika. Et puis il s’effondra, l’embrassa goulument en écartant les mèches épaisses de sa chevelure noire. Il était épuisé et sa combinaison venait de définitivement rendre l’âme.

Aimait-elle le sexe autant avant sa mort ? Reika n’en était pas sûre, elle se souvenait alors d’elle comme une fille normale, une idol girl qui ne se posait pas beaucoup de questions. Elle n’était pas spécialement arrogante ni orgueilleuse, elle se contentait de vivre sa vie, tout simplement, sans rien demander aux autres. Mourir avait le don de vous changer. Elle aurait pu se réfugier dans la drogue ou dans l’alcool, elle avait choisi une autre forme d’addiction pour lui rappeler qu’elle était encore vivante. Elle percevait les sensations, elle sentait son corps être poussé dans ses derniers retranchements, tandis que Balthazar se déchaînait sur elle. Quel amant ! Après lui avoir déboîté le fondement avec sa main, il prit Reika dans ses bras, et l’emmena dans la chambre. Tout juste prit-il le temps de jouir dans sa bouche avant de l’emporter. Reika était en sueur, le corps en feu, et elle savait que, sans sa combinaison, elle aurait sans doute été partante pour tomber dans le coma. Balthazar l’avait baisé avec une telle force, après tout…

« Haaa… »

Soupirant et gémissant faiblement, Reika se retrouva dans la chambre à coucher, où Balthazar la jeta sur le lit. Au contact du lit, Reika cligna des yeux, et le vit se dresser face à elle, avant de lui écarter les jambes, et de les pousser en arrière. Il releva ainsi le bassin de Reika, et s’enfonça dans son cul écartelé, remplaçant sa main par sa verge, cette puissante verge qui se mit à la pistonner. Il s’y enfonça sans difficulté, tant il avait préalablement dilaté les parois de Reika.

« Hnnnn… !! Ba-Balthazar… !! »

Impuissante, vendue à cet homme impatient, Reika sentit à nouveau le désir éclater en elle, la vague qui l’emportait. Elle le sentait la prendre avec force, grognant et haletant, écumant sa frustration et son désir d’homme préhistorique en elle. Une sorte de mâle-Alpha pure souche qui ne se refusait rien, qui la traitait comme la femelle qu’elle était, grognant comme une bête. Un mâle en rut qui la baisait avec force, encore et encore, faisant grincer le lit, crisser leurs combinaisons. La chair claquait contre la chair dans des mouvements puissants et profonds, dans une pose reptilienne qui les réduisait à l’état d’atomes de désir se faisant besogner avec passion.

Le dernier orgasme de Balthazar sonna comme un poing final, et son amant s’affaissa sur elle, faisant grincer le lit. Reika gémit en sentant ses jambes retomber mollement sur le lit, et l’enlaça d’une main, son autre main s’appuyant sur le lit. Elle gémissait encore, la respiration lourde, inondant le lit de sa mouille.

« Dieu… Tu aurais pu me tuer une seconde fois… » laissa-t-elle alors s’échapper.

Une phrase sans doute bien mystérieuse, mais que Balthazar attribuerait peut-être simplement et uniquement à la manière phénoménale dont il l’avait baisé.

L'homme était lové contre la belle idole. Le corps de Reika était une source de réconfort permanente. Balthazar tira son égérie contre lui et ils restèrent l'un dans l'autre, en position fœtale un long moment. L'anus de Reika libérait un sperme épais qui coulait le long de ses fesses et Balthazar avait son sexe enchâssé entre les cuisses chaudes de la fille. Il avait passé un bras au dessus d'elle et lui avait pris un sein dans la paume de sa main. Reika luisait de sperme. Sa peau en était recouverte et une forte odeur de luxure emplissait la pièce. Balthazar rabattit un drap sur eux, il avait besoin de récupérer maintenant que sa combinaison ne lui procurait plus l'énergie nécessaire pour tenir. Il s'endormit en pensant à elle et sans avoir prit le temps de comprendre ce qu'elle lui avait dit.

Il était bien. Dans ces curieuses circonstances, il pensait avoir trouvé celle qu'il cherchait depuis longtemps, l'absolue perfection. Reika était forte ET fragile, un être à chérir et protéger tant elle apportait du bon au monde. Son contact contre lui offrait à Balthazar une sérénité qui lui permit de récupérer. Quand il rouvrit les yeux, il était reposé et bien évidemment, bandait comme un taureau. A son âge, le contraire aurait été honteux. Il embrassa la nuque de Reika.

"Tu as dormi?"

Il se redressa sur un coude, la regardant dans sa combinaison.

Sa combinaison ...

"Reika, je veux te voir ..."

Il fit glisser le latex sur les belles épaules de la jeune femme et le fit rouler jusqu'à l'en défaire. Elle était nue devant lui, pure, vierge de toutes les atrocités qu'ils avaient vécu, magnifique comme une étoile brillant dans le firmament. Il n'avait d'yeux que pour elle. Pourquoi la vie avait-elle été si cruelle en amputant la chanteuse du droit d'être heureuse?

"Je veux te faire l'amour."

Il se coucha sure elle, l'embrassant comme seul un homme véritablement amoureux pouvait le faire. Il s'unit à elle, enlaçant sa langue de la sienne, soudant leurs lèvres. Son sexe chercha et trouva l'entrée de son intimité qu'il prit le temps de lubrifier tant il libérait de liquide séminal. Ils ne portaient plus de combinaisons, nus come des nouveaux nés. Il la pénétra tendrement, avec passion, chercha leur plaisir à tous les deux et ne fit aucun geste brusque. Leurs doigts s'emmêlaient aussi passionnément que leur étreinte. Balthazar la Bête et Reika la Chienne n'étaient plus. L'homme dépensa des trésors de douceur pour combler son égérie et il rechercha autant son orgasme que le sien. Les minutes passèrent, longues et délicates, seulement perturbées par des gémissements de bonheur. Le corps sculptural de Reika était un hymne à l'amour et Balthazar en étudia tous les couplets.

Il jouit en elle, encore une fois abondamment, restant dans son vagin, poussant loin et ouvrant le col de l'utérus de son gland pour que le sperme y abonde.

Il lui embrassa la joue et murmura à son oreille:

"Je veux rester avec toi ... pour toujours ..."

Puis il descendit déposer un baiser sur le ventre qu'il venait de remplir.

"Je veux vous protéger, toi et ..."

Etait-ce possible? Pouvait-il tirer Reika de ce cycle infernal et lui offrir ce qu'on lui avait retiré? Fonder une famille? Il ne savait même pas ce qu'elle en pensait mais elle était sensible et comprendrait ce qu'il disait. Est-ce qu'un miracle pouvait leur être accordé?

Dormir ? Pris dans leur frénésie sexuelle, Balthazar semblait avoir oublié qu’elle était en mission ici, et que la mission n’était toujours pas terminée. Mais, avant de passer à la suite, Balthazar la déshabilla. Reika soupira, frissonnant en sentant sa combinaison partir. Elle en était aussi inquiète, car, sans sa combinaison, ses performances sexuelles étaient bien moindres. C’était la combinaison qui lui permettait de supporter ce haut niveau de perversité, de sexe jouissif et déluré. Fort heureusement, Balthazar en avait conscience, puisque, s’il lui fit à nouveau l’amour, ce fut de manière beaucoup moins sauvage. Il la prit sur le lit, et elle soupira, le laissant faire. Une position du missionnaire classique, mais toujours aussi efficace.

« Ba-Balthazar… »

Reika se mit à gémir, à soupirer. L’homme continuait à la prendre avec force, encore et encore. Les minutes défilaient, cadencées et animées par les grincements du lit, le bruit des claquements de la chair, la peau qui frottait à la peau, devenant plus élastique, plus collante, plus adhésive. C’était très différent de quand Reika portait la combinaison. Mieux ? Peut-être… Elle n’aurait su dire. L’un dans l’autre, elle prenait son pied, et c’était sans doute la seule chose qui importait vraiment. Ils jouirent ensemble, et Reika se retrouva à nouveau étalée sur le lit. Balthazar devenait plus doux, délirant presque. Il voulait rester avec elle pour toujours, et la protéger.

Elle sourit doucement, et se redressa alors.

« Pour toujours, cela risque de faire court… Nous risquons sûrement de mourir cette nuit. »

Reika s’extirpa alors du lit. Si elle n’avait pas saisi les allusions de Balthazar, elle ne faisait en tout cas rien pour rebondir dessus. La jeune femme se déplaça, et se rapprocha d’une fenêtre. Comme pour confirmer ses dires, des hélicoptères militaires continuaient à survoler la zone. Reika n’oubliait pas où ils étaient, ni ce qu’ils avaient à faire. Et le fait que les autres Gantzer n’aient pas encore pu mettre fin à cette épreuve témoignait sans aucun doute de la difficulté de l’épreuve. Reika n’avait nullement besoin qu’on la protège, elle n’était pas une faible femme !

« Je ne compte pas dormir, Balthazar, ni passer la nuit dans tes bras, aussi accueillants soient-ils. J’aimerai le faire, mais ce ne serait pas raisonnable, ni conforme à mes obligations. »

Que Reika le veille ou non, sa place n’était pas dans un lit, mais dehors, à affronter ces saloperies, et à protéger les siens !

La réalité était cruelle. Non pas envers Balthazar mais bien envers Reika. Ses obligations disait-elle ? Elle ne les avait pas choisies mais on les lui avait plutôt imposées. Elle n’avait surement pas prévu de mourir aussi jeune et de se battre ensuite contre des hordes de monstres venues d’on ne sait où. D’ailleurs que se passerait-il si elle décidait de refuser cette contrainte qu’elle avait le mérite de prendre à cœur ? On la … ferait disparaitre tout simplement comme on se débarrasse d’un jouet inutile ?

Cela renforça le sentiment de Balthazar de tout faire pour aider Reika et si possible alléger son fardeau. S’ils survivaient à cette nuit en effet, il faudrait qu’ils prennent le temps de parler qu’il puisse comprendre tous les rouages de Gantz. Comment « vivait » Reika lorsqu’elle retirait sa combinaison et déposait ses armes ? Elle s’était relevée et observait le lointain par la fenêtre. Les hélicoptères de l’armée ne cessaient pas leur ronde, déversant leur cargaison mortelle sur des objectifs plus loin dans la ville. Les éclats des explosions illuminaient les façades des tours vitrées du quartier des affaires. C’est là-bas qu’ils devaient se rendre pour trouver et détruire leur ultime ennemi. C’était un lointain espoir au vue de la difficulté qu’ils avaient eu jusqu’à présent à se défaire de ses sbires.

Reika était belle, nue, sa longue chevelure de jais soulevée par la brise nocturne. Le colosse la rejoignit et posa sa grosse main sur son épaule.

"Alors, n’attendons pas et allons-y. Tu as raison, les gens ont besoin de nous."

Il avait dit de nous et pas de toi, marquant définitivement son passage dans l’équipe des combattants en noir. Mais si Reika passa à nouveau sa combinaison, alors Balthazar dut fouiller dans les affaires des propriétaires de l’appartement pour dénicher de quoi se mettre, sa propre tenue étant détruite, les œillets ayant libéré un fluide visqueux, preuve de son inutilité. Il trouva par chance des vêtements dans lesquels il n’était pas trop ridicule même si ses gros muscles bandaient le tissu.

Ils quittèrent le lieu qui les avaient vu s’accoupler sauvagement et se retrouvèrent dans la rue. Ils revinrent sur leurs pas et passèrent devant l’immonde tas putride qui restait de l’hydre que Nishi avait pulvérisée. Ils se hâtèrent plus encore quand les hélicoptères de l’armée se déchainèrent, intensifiant leurs feux sur un objectif bien précis. Et c’est là qu’ils le virent, ce corps gisant au milieu de la route. L’identité de la personne était inconnue à Balthazar mais Reika devait le connaitre. C’était un gantzer et il n’avait pas eu de chance. Si le corps était intact, la partie supérieure du crâne avait été proprement découpée et le cerveau avait sauté à un mètre de sa cavité, bien propre et entier. Les yeux morts (encore une fois) de l’homme qui devait être jeune fixaient le ciel nocturne. Il n’avait pas dû voir la mort venir.

"Tu le connais ?"

Balthazar s’accroupit à côté de lui.

"Sa combinaison a l’air intacte, je vais la récupérer. J’aurais alors peut être une chance de t’accompagner jusqu’au bout."

Il entreprit de déshabiller le mort qui parut très maigre et horriblement crispé. La combinaison s’adapta à la morphologie de Balthazar comme la précédente et il en referma le zip sur son cou.

"On peut y aller…"

The Multiversity

Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]

Re: Gantz-V [Balthazar Noël]