Re: Une maid, sa Maîtresse, un Oni et le Cirque [avec Hosoo Ienaga]
Posté : 23 nov. 2025 09:44
Les réflexes d’Hosoo étaient exceptionnels. Ils avaient pris de vitesse ceux de Mélissandre. Et voilà que leur fuite avait gagné en vitesse au détriment de l’intégrité de leur corps…
Réagissant à l’instinct maternel de Lissandre, Mélissandre avait enlacé de bras tentaculaires rose flashy le corps peu vêtue d’Hosoo. La manœuvre avait permis de limiter la casse. Pour autant, l’élève ninja n’éviterait pas l’éclosion de fleurs d’ecchymoses sur son corps. Encore que, pour les découvrir dans un miroir, il fallait survivre à la fin de cette nuit…
« Hosoo ! Je suis vraiment désolé ! Je ne voulais pas que tout ça arrive. Excuse-moi. »
Lissandre avait beau être charismatique, elle en restait une femme normale. Ce n’était pas une guerrière. Elle n’avait pas été rompu à des entraînements militaires ou surnaturels. Alors, même si elle était protégée d’une combinaison symbiotique et avait déjà découvert quelques autres mondes : sa fragilité humaine implosa. Après avoir tourné la tête et vérifier que le Cirque ne dévalait pas les marches, son corps céda et elle se mit à pleurer.
« Excuse-moi. Je dois faire peine à voir. C’est plus fort que moi. Je… »
Affalée par terre, les jambes repliées sur le côté, Lissandre tentait de reprendre le contrôle sur son corps tremblant. Elle réalisa toute l’ampleur de leur épreuve à venir. « A cause » de Mélissandre qui avait gonflé pour revenir vers son origine monstrueuse, elle n’avait plus son manteau. Elle s’exhibait donc en tenue moulante de latex rose. Quant à Hosoo, ce n’était guère mieux avec sa lingerie seule abimée par le combat.
« ll faut que je me reprenne. Il faut qu’on y aille. Je vais appel-… »
Non, elle n’avait plus de téléphone. Mais il fallait qu’elle se relève. Alors elle puisa dans la force de Mélissandre qui usa de son corps malléable pour donner l’ordre à ses muscles de se tendre et de remettre Maman Lissandre debout. Par contre, la main qui récupéra celle d’Hosoo était bien issue de la seule volonté de Lissandre.
« ll faut qu’on y aille. Je suis désolé. Je ne voulais pas t’exposer comme ça aux autres. Mais il va falloir qu’on y aille. Des gens nous verront. Il va falloir qu’on se cache. Qu’on trouve des vêtements. Que je contacte ma femme. Ou quelqu’un d’autre. Je ne sais pas. Je suis désolé. Tellement désolé. Je ne voulais pas. Mais il faut qu’on y aille. Avant que le Cirque agisse. Excuse-moi pour tout, Hosoo. »
Ne pouvant retenir sa faiblesse, elle conclut donc son mélange de motivation, de plan, d’excuses et de sanglots par un reniflement sonore. Ce n’était pas « esthétique », c’était un réflexe parfaitement naturel.
Réagissant à l’instinct maternel de Lissandre, Mélissandre avait enlacé de bras tentaculaires rose flashy le corps peu vêtue d’Hosoo. La manœuvre avait permis de limiter la casse. Pour autant, l’élève ninja n’éviterait pas l’éclosion de fleurs d’ecchymoses sur son corps. Encore que, pour les découvrir dans un miroir, il fallait survivre à la fin de cette nuit…
« Hosoo ! Je suis vraiment désolé ! Je ne voulais pas que tout ça arrive. Excuse-moi. »
Lissandre avait beau être charismatique, elle en restait une femme normale. Ce n’était pas une guerrière. Elle n’avait pas été rompu à des entraînements militaires ou surnaturels. Alors, même si elle était protégée d’une combinaison symbiotique et avait déjà découvert quelques autres mondes : sa fragilité humaine implosa. Après avoir tourné la tête et vérifier que le Cirque ne dévalait pas les marches, son corps céda et elle se mit à pleurer.
« Excuse-moi. Je dois faire peine à voir. C’est plus fort que moi. Je… »
Affalée par terre, les jambes repliées sur le côté, Lissandre tentait de reprendre le contrôle sur son corps tremblant. Elle réalisa toute l’ampleur de leur épreuve à venir. « A cause » de Mélissandre qui avait gonflé pour revenir vers son origine monstrueuse, elle n’avait plus son manteau. Elle s’exhibait donc en tenue moulante de latex rose. Quant à Hosoo, ce n’était guère mieux avec sa lingerie seule abimée par le combat.
« ll faut que je me reprenne. Il faut qu’on y aille. Je vais appel-… »
Non, elle n’avait plus de téléphone. Mais il fallait qu’elle se relève. Alors elle puisa dans la force de Mélissandre qui usa de son corps malléable pour donner l’ordre à ses muscles de se tendre et de remettre Maman Lissandre debout. Par contre, la main qui récupéra celle d’Hosoo était bien issue de la seule volonté de Lissandre.
« ll faut qu’on y aille. Je suis désolé. Je ne voulais pas t’exposer comme ça aux autres. Mais il va falloir qu’on y aille. Des gens nous verront. Il va falloir qu’on se cache. Qu’on trouve des vêtements. Que je contacte ma femme. Ou quelqu’un d’autre. Je ne sais pas. Je suis désolé. Tellement désolé. Je ne voulais pas. Mais il faut qu’on y aille. Avant que le Cirque agisse. Excuse-moi pour tout, Hosoo. »
Ne pouvant retenir sa faiblesse, elle conclut donc son mélange de motivation, de plan, d’excuses et de sanglots par un reniflement sonore. Ce n’était pas « esthétique », c’était un réflexe parfaitement naturel.


