Re: Vampiric Love [PV]
Posté : 17 août 2024 01:11
Mélinda commençait à réaliser ce qui serait après pour elle une évidence : elles étaient comme deux partitions dansant sur le même rythme. Intuitivement, elle arrivait à lire en Vanillia. À ce jour, Alice Korvander avait été la seule personne avec qui Mélinda arrivait aussi facilement à déchiffrer les pensées, mais, chez Vanillia, c’était encore plus inné, encore plus instinctif. Quelque chose de fort les unissait, les réunissait, et les deux femmes commençaient à peine à le découvrir. Elle réalisa rapidement que la belle Vanillia était aussi inexpérimentée que gourmande, et qu’elle avait en elle un appétit sexuel tout simplement immense. Elle masturbait donc sa queue avec ses seins, faisant preuve de toute sa dextérité, de tout son talent. Elle était l’invitée, elle n’avait aucun pouvoir magique, mais, en ce moment, c’était bien elle, cette petite vampire arrogante, qui menait la danse. Face à elle, Vanillia hoquetait, se dissimulant encore vaguement derrière son statut de noble femme. L’idée d’une roturière soumettant ainsi une puissante vampire n’était pas, au passage, sans exciter profondément la vampire, qui aimait ce genre de paradoxes. Elle, à qui on lui avait tout privé, elle menait Vanillia par le bout de la queue.
En souriant, Mélinda ne s’attendait pas vraiment à autre chose que tirer un bon coup. Pour elle, c’était la seule raison pour laquelle Vanillia l’avait invité, afin de s’envoyer en l’air avec elle. Elle ne s’attendait pas vraiment à rien d’autre, mais elle aimait faire comme si. De fait, les grands clans vampiriques étaient encore plus aristocratiques que les familles humaines. Vanillia, de son côté, changea sa queue de forme. Son sang s’affolait totalement.
*Elle doit être habituée à dissimuler ses pensées, à tempérer ses émotions, à les contrôler… Et moi, je suis la petite tempête qui vient semer le bazar là-dedans…*
Mélinda vit donc la queue caudale changer à l’extrémité, les écailles s’aplanissant pour prendre une forme plus humaine, de la peau douce et chaude. Elle vit la verge se former, et la main de Vanillia ne tarda pas à se poser sur ses cheveux, la faisant frémir. Mélinda soufflait lourdement, expirant furieusement, et pencha sa tête, suçant encore la pointe de cette grosse queue. La verge s’enfonçait dans sa bouche, et Mélinda remuait d’avant en arrière. Des frottements et des claquements spongieux se faisaient longuement entendre, tandis que la vampire gémissait doucement :
« Hmmm… »
Oh, comme Mélinda aimait ça ! Mélinda fermait les yeux, ou les relevait. Quand sa tête se reculait trop fortement, elle sentait la main de Vanillia appuyer instinctivement, et la vampire en joue, la forçant ainsi à serrer sur ses cheveux. Le sang magnifique, noble, de Vanillia s’agitait dans ses veines, se concentrant contre ses lèvres. Sa queue caudale devenait bien plus sensible, et les soupirs et gémissements de sa partenaire la régalaient. Elle accélérait donc, serrant ses seins, les frottant chaudement, moelleusement… Ce qui finit par amener Vanillia au plaisir suprême.
Mélinda entendit Vanillia gémir une ultime fois, et partit ensuite. Sa queue tressauta, et Mélinda sentit le sperme exploser sur son visage. Un délicieux jet crémeux vint illuminer son visage, et Vanillia se mit à jouir puissamment. Une magnifique décharge de foutre éclaboussa son visage. Papillonnant des yeux, Mélinda releva la tête, un sourire sur les lèvres. Vnaillia venait de jouir, et reprenait doucement ses esprits, comme si Mélinda l’avait poussé jusqu’au bout… Ce qui, en soi, n’était pas faux. Le visage blanc, Mélinda se redressa doucement, et vit alors Vanillia finir à genoux devant elle.
« Vanillia… Tu as bien joui, ma chérie… »
Mais elle n’en avait pas encore fin avec elle. Vanillia voulait encore jouer avec son corps, et se rapprocha encore. Elle se lova contre elle, et lécha sa joue. Un frisson traversa le corps de Mélinda, qui posa ses mains sur les hanches de Vanillia, puis laissa la femme l’embrasser. Elle répondit volontiers à ce baiser, pressant chaudement son corps contre le sien, lovant sa peau nue contre la sienne. Avoir du sperme sur la figure ne dérangeait nullement Mélinda, qui joua doucement avec la bouche de sa partenaire.
Fermant les yeux, elle gémissait doucement, prenant tout son temps, sa langue allant jouer avec la sienne. Oh, comme c’était agréable ! Cette langue chaude et suave remuait avec la sienne, et Mélinda se pressa encore, avant de sentir une main sur son ventre. Vanillia l’avait posé dès le début, et la descendit lentement. Ses griffes caressèrent sa peau, lui arrachant un soupir… Et, de fait, quand Vanillia enfonça deux doigts dans son intimité, une crispation traversa le corps de Mélinda, qui mordilla la lèvre inférieure de Vanillia, rouvrant ensuite les yeux.
« Hnnn… »
Vanillia put sentir la mouille de Mélinda, et lécha encore son visage, avant de retourner l’embrasser. Elle pressait fortement sa langue pour recueillir un joli dépôt de sperme. De fait, Mélinda avait eu spontanément envie de l’embrasser à cette idée, et le fait que Vanillia le fasse d’elle-même… C’était clairement comme s’il y avait eu une transmission de pensées entre elles ! Mélinda soupirait encore, sentant Vanillia reprendre du poil de la bête. La femme alla jusqu’à enrouler sa queue caudale autour de son corps, et elle sentit ses doigts jouer en elle, lui arrachant encore un soupir, surtout quand les doigts de Vanillia titillaient son point de plaisir. De fait, quand elle atteignit le clitoris, et le pressa, Mélinda, non seulement la mordilla encore, mais pressa aussi une main sur le cul de Vanillia.
Elle se pressa encore contre elle, frottant sensuellement son corps contre le sien.
« Tu es… Hmmm, Vanillia, haaaa… Quelle poigne, ma chérie… Chercherais-tu à me faire jouir comme ça ? »
Mélinda sourit doucement. Elle la laissait faire, bien sûr, et, quand Vanillia lécha de nouveau sa peau, se rapprochant de son cou, Mélinda enchaîna alors :
« Mords-moi, ma chérie… Je ne t’offre pas que mon sanctuaire, je t’offre aussi mon sang, Vanillia… »
C’était une proposition qu’elle faisait très rarement. Offrir aussi spontanément son sang à sa partenaire. En fait, et à bien y réfléchir, c’était peut-être même la première fois qu’elle le faisait ! Comme si, intuitivement, instinctivement, Mélinda avait compris que Vanillia était destinée à être, à ses yeux, une femme très spéciale…
En souriant, Mélinda ne s’attendait pas vraiment à autre chose que tirer un bon coup. Pour elle, c’était la seule raison pour laquelle Vanillia l’avait invité, afin de s’envoyer en l’air avec elle. Elle ne s’attendait pas vraiment à rien d’autre, mais elle aimait faire comme si. De fait, les grands clans vampiriques étaient encore plus aristocratiques que les familles humaines. Vanillia, de son côté, changea sa queue de forme. Son sang s’affolait totalement.
*Elle doit être habituée à dissimuler ses pensées, à tempérer ses émotions, à les contrôler… Et moi, je suis la petite tempête qui vient semer le bazar là-dedans…*
Mélinda vit donc la queue caudale changer à l’extrémité, les écailles s’aplanissant pour prendre une forme plus humaine, de la peau douce et chaude. Elle vit la verge se former, et la main de Vanillia ne tarda pas à se poser sur ses cheveux, la faisant frémir. Mélinda soufflait lourdement, expirant furieusement, et pencha sa tête, suçant encore la pointe de cette grosse queue. La verge s’enfonçait dans sa bouche, et Mélinda remuait d’avant en arrière. Des frottements et des claquements spongieux se faisaient longuement entendre, tandis que la vampire gémissait doucement :
« Hmmm… »
Oh, comme Mélinda aimait ça ! Mélinda fermait les yeux, ou les relevait. Quand sa tête se reculait trop fortement, elle sentait la main de Vanillia appuyer instinctivement, et la vampire en joue, la forçant ainsi à serrer sur ses cheveux. Le sang magnifique, noble, de Vanillia s’agitait dans ses veines, se concentrant contre ses lèvres. Sa queue caudale devenait bien plus sensible, et les soupirs et gémissements de sa partenaire la régalaient. Elle accélérait donc, serrant ses seins, les frottant chaudement, moelleusement… Ce qui finit par amener Vanillia au plaisir suprême.
Mélinda entendit Vanillia gémir une ultime fois, et partit ensuite. Sa queue tressauta, et Mélinda sentit le sperme exploser sur son visage. Un délicieux jet crémeux vint illuminer son visage, et Vanillia se mit à jouir puissamment. Une magnifique décharge de foutre éclaboussa son visage. Papillonnant des yeux, Mélinda releva la tête, un sourire sur les lèvres. Vnaillia venait de jouir, et reprenait doucement ses esprits, comme si Mélinda l’avait poussé jusqu’au bout… Ce qui, en soi, n’était pas faux. Le visage blanc, Mélinda se redressa doucement, et vit alors Vanillia finir à genoux devant elle.
« Vanillia… Tu as bien joui, ma chérie… »
Mais elle n’en avait pas encore fin avec elle. Vanillia voulait encore jouer avec son corps, et se rapprocha encore. Elle se lova contre elle, et lécha sa joue. Un frisson traversa le corps de Mélinda, qui posa ses mains sur les hanches de Vanillia, puis laissa la femme l’embrasser. Elle répondit volontiers à ce baiser, pressant chaudement son corps contre le sien, lovant sa peau nue contre la sienne. Avoir du sperme sur la figure ne dérangeait nullement Mélinda, qui joua doucement avec la bouche de sa partenaire.
Fermant les yeux, elle gémissait doucement, prenant tout son temps, sa langue allant jouer avec la sienne. Oh, comme c’était agréable ! Cette langue chaude et suave remuait avec la sienne, et Mélinda se pressa encore, avant de sentir une main sur son ventre. Vanillia l’avait posé dès le début, et la descendit lentement. Ses griffes caressèrent sa peau, lui arrachant un soupir… Et, de fait, quand Vanillia enfonça deux doigts dans son intimité, une crispation traversa le corps de Mélinda, qui mordilla la lèvre inférieure de Vanillia, rouvrant ensuite les yeux.
« Hnnn… »
Vanillia put sentir la mouille de Mélinda, et lécha encore son visage, avant de retourner l’embrasser. Elle pressait fortement sa langue pour recueillir un joli dépôt de sperme. De fait, Mélinda avait eu spontanément envie de l’embrasser à cette idée, et le fait que Vanillia le fasse d’elle-même… C’était clairement comme s’il y avait eu une transmission de pensées entre elles ! Mélinda soupirait encore, sentant Vanillia reprendre du poil de la bête. La femme alla jusqu’à enrouler sa queue caudale autour de son corps, et elle sentit ses doigts jouer en elle, lui arrachant encore un soupir, surtout quand les doigts de Vanillia titillaient son point de plaisir. De fait, quand elle atteignit le clitoris, et le pressa, Mélinda, non seulement la mordilla encore, mais pressa aussi une main sur le cul de Vanillia.
Elle se pressa encore contre elle, frottant sensuellement son corps contre le sien.
« Tu es… Hmmm, Vanillia, haaaa… Quelle poigne, ma chérie… Chercherais-tu à me faire jouir comme ça ? »
Mélinda sourit doucement. Elle la laissait faire, bien sûr, et, quand Vanillia lécha de nouveau sa peau, se rapprochant de son cou, Mélinda enchaîna alors :
« Mords-moi, ma chérie… Je ne t’offre pas que mon sanctuaire, je t’offre aussi mon sang, Vanillia… »
C’était une proposition qu’elle faisait très rarement. Offrir aussi spontanément son sang à sa partenaire. En fait, et à bien y réfléchir, c’était peut-être même la première fois qu’elle le faisait ! Comme si, intuitivement, instinctivement, Mélinda avait compris que Vanillia était destinée à être, à ses yeux, une femme très spéciale…