Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]
Posté : 17 août 2024 01:46
« Alice...j'ai envie que tu me prennes dans ta bouche. J'ai envie de ressentir tout ce dont une belle femme comme toi est capable. »
Oui, c’était un beau morceau, et la demande de Melendil fit sourire Alice. Il était très poli... C’était presque dommage, en un sens. Le voir devenir un peu vulgaire, ça l’aurait excité, mais il était un genre de prince charmant. On ne pouvait pas trop lui en demander. La Princesse lui sourit donc, observant sa grosse verge tendue. Une belle veine pulsait le long de cette dernière, et elle avait très envie de la sentir en elle. Rien qu’à cette idée, elle sentait un vide abyssal s’emparer d’elle. Elle voulait se faire remplir, pénétrer sauvagement, elle voulait sentir ce beau membre la défoncer, l’homme s’écraser sur elle, la faire hurler de douleur... Rien qu’à cette idée, la Princesse tremblait. Alice masturbait son sexe lentement, sentant cette queue chaude entre ses doigts, impatiente, ayant très envie de s’enfoncer quelque part.
Une main la tira de sa réflexion. Elle releva la tête, revenant à la réalité, en sentant la main du semi-elfe caresser sa joue et ses cheveux. Elle cligna lentement des yeux, alors que Melendil commençait à comprendre à quel point Alice était tout, sauf une petite femme chaste et innocente. Elle n’en avait que l’apparence. Alice le regarda, et sentit alors les doigts de l’elfe caresser ses lèvres. Sa langue vint brièvement les caresser, et elle entrouvrit les lèvres, espérant qu’il enfoncerait ses doigts en elle. Elle lui était volontiers soumise, et, si elle s’était amusée à l’exciter, c’était uniquement pour le rendre encore plus masculin, plus dominateur. Oh, comme ça l’excitait, un homme viril ! Un homme fort, beau, et romantique, qui la prendrait violemment !
« Mais peut-être que tu pourrais te positionner autrement ? proposa-t-il rapidement, suscitant la curiosité de la Princesse. Afin que nous en profitions tous les deux » rajouta-t-il, comme s’il avait peur de ne pas se faire comprendre.
Alice se mit à légèrement sourire.
« Oh, je vois... Hum... C’est une idée, oui. »
La Princesse libéra le sexe de l’homme, sa belle queue tendue, et se releva, avant de se mettre au-dessus de Melendil, se retournant lentement, se débrouillant pour placer ses cuisses au-dessus de sa tête. C’était une position qu’elle aimait bien faire avec sa femme. Et, de plus, Alice adorait les fellations. Généralement, elle aimait être assise sur le sol, entre les jambes d’un homme, afin de lui sucer longuement sa grosse queue, en entendant ce dernier gémir, et la gifler. Oh, rien que cette pensée la fit mouiller. Elle remuait ses cuisses de droite à gauche, les frottant l’une contre l’autre. Elle retourna au monde présent, et tendit sa main, la passant de l’autre côté de la verge, faisant remonter ses doigts, sentant cette queue dure se dresser.
« Mon pauvre petit elfe, tu as l’air d’être en manque... Je suis vraiment vilaine, de te faire souffrir ainsi... »
Alice pencha alors sa tête, et se décida à le satisfaire. Elle écarta ses lèvres, et enfonça ce sexe dans sa bouche, commençant par le gland, écartant bien ses lèvres, avant de les rabattre, sentant cette peau tendre et moelleuse contre ses lèvres. Sa queue était chaude et tendre, avec cette texture si particulière, propre au sexe masculin. Comment dire ? C’était à la fois, très dur, mais aussi mou. Elle se mit à enfoncer cette queue en elle, tout en abaissant ses cuisses, ses seins s’enfonçant contre le bas du ventre de l’homme. Le sexe continuait à s’enfoncer en elle, et elle s’arrêtait de temps en temps, ramenant sa tête en arrière, puis continuait à le sucer. Sa bouche remuait dessus, de haut en bas, alors qu’elle se mettait à gémir, yeux fermés. Sa main qui avait tenu sa verge vint titiller ses testicules, un doigt sur chacune d’entre elle, les soulevant. Sa bouche continuait à s’enfoncer, et elle se mit peu à peu à faire une fellation digne de ce nom, gémissant de bonheur en sentant Melendil jouer avec son intimité, remuant son bassin de haut en bas, pour mieux l’exciter.
Dans sa tête, elle imaginait cette grosse verge qui emplissait sa bouche la défoncer, la faisant mouiller. A chaque fois que le plaisir montait trop, elle mordillait un peu son sexe, et aspirait l’air entre ses lèvres, creusant ainsi ses joues, tout en remuant sa bouche, jusqu’à sentir son sexe taper dans sa gorge. Elle grogna, et ramena ensuite sa tête en arrière, puis à nouveau en avant, faisant baigner la queue du semi-elfe dans sa salive, sa langue la léchant longuement.
« Hummmmmm... »
Oui, c’était un beau morceau, et la demande de Melendil fit sourire Alice. Il était très poli... C’était presque dommage, en un sens. Le voir devenir un peu vulgaire, ça l’aurait excité, mais il était un genre de prince charmant. On ne pouvait pas trop lui en demander. La Princesse lui sourit donc, observant sa grosse verge tendue. Une belle veine pulsait le long de cette dernière, et elle avait très envie de la sentir en elle. Rien qu’à cette idée, elle sentait un vide abyssal s’emparer d’elle. Elle voulait se faire remplir, pénétrer sauvagement, elle voulait sentir ce beau membre la défoncer, l’homme s’écraser sur elle, la faire hurler de douleur... Rien qu’à cette idée, la Princesse tremblait. Alice masturbait son sexe lentement, sentant cette queue chaude entre ses doigts, impatiente, ayant très envie de s’enfoncer quelque part.
Une main la tira de sa réflexion. Elle releva la tête, revenant à la réalité, en sentant la main du semi-elfe caresser sa joue et ses cheveux. Elle cligna lentement des yeux, alors que Melendil commençait à comprendre à quel point Alice était tout, sauf une petite femme chaste et innocente. Elle n’en avait que l’apparence. Alice le regarda, et sentit alors les doigts de l’elfe caresser ses lèvres. Sa langue vint brièvement les caresser, et elle entrouvrit les lèvres, espérant qu’il enfoncerait ses doigts en elle. Elle lui était volontiers soumise, et, si elle s’était amusée à l’exciter, c’était uniquement pour le rendre encore plus masculin, plus dominateur. Oh, comme ça l’excitait, un homme viril ! Un homme fort, beau, et romantique, qui la prendrait violemment !
« Mais peut-être que tu pourrais te positionner autrement ? proposa-t-il rapidement, suscitant la curiosité de la Princesse. Afin que nous en profitions tous les deux » rajouta-t-il, comme s’il avait peur de ne pas se faire comprendre.
Alice se mit à légèrement sourire.
« Oh, je vois... Hum... C’est une idée, oui. »
La Princesse libéra le sexe de l’homme, sa belle queue tendue, et se releva, avant de se mettre au-dessus de Melendil, se retournant lentement, se débrouillant pour placer ses cuisses au-dessus de sa tête. C’était une position qu’elle aimait bien faire avec sa femme. Et, de plus, Alice adorait les fellations. Généralement, elle aimait être assise sur le sol, entre les jambes d’un homme, afin de lui sucer longuement sa grosse queue, en entendant ce dernier gémir, et la gifler. Oh, rien que cette pensée la fit mouiller. Elle remuait ses cuisses de droite à gauche, les frottant l’une contre l’autre. Elle retourna au monde présent, et tendit sa main, la passant de l’autre côté de la verge, faisant remonter ses doigts, sentant cette queue dure se dresser.
« Mon pauvre petit elfe, tu as l’air d’être en manque... Je suis vraiment vilaine, de te faire souffrir ainsi... »
Alice pencha alors sa tête, et se décida à le satisfaire. Elle écarta ses lèvres, et enfonça ce sexe dans sa bouche, commençant par le gland, écartant bien ses lèvres, avant de les rabattre, sentant cette peau tendre et moelleuse contre ses lèvres. Sa queue était chaude et tendre, avec cette texture si particulière, propre au sexe masculin. Comment dire ? C’était à la fois, très dur, mais aussi mou. Elle se mit à enfoncer cette queue en elle, tout en abaissant ses cuisses, ses seins s’enfonçant contre le bas du ventre de l’homme. Le sexe continuait à s’enfoncer en elle, et elle s’arrêtait de temps en temps, ramenant sa tête en arrière, puis continuait à le sucer. Sa bouche remuait dessus, de haut en bas, alors qu’elle se mettait à gémir, yeux fermés. Sa main qui avait tenu sa verge vint titiller ses testicules, un doigt sur chacune d’entre elle, les soulevant. Sa bouche continuait à s’enfoncer, et elle se mit peu à peu à faire une fellation digne de ce nom, gémissant de bonheur en sentant Melendil jouer avec son intimité, remuant son bassin de haut en bas, pour mieux l’exciter.
Dans sa tête, elle imaginait cette grosse verge qui emplissait sa bouche la défoncer, la faisant mouiller. A chaque fois que le plaisir montait trop, elle mordillait un peu son sexe, et aspirait l’air entre ses lèvres, creusant ainsi ses joues, tout en remuant sa bouche, jusqu’à sentir son sexe taper dans sa gorge. Elle grogna, et ramena ensuite sa tête en arrière, puis à nouveau en avant, faisant baigner la queue du semi-elfe dans sa salive, sa langue la léchant longuement.
« Hummmmmm... »