Re: Diplomatie draconique [Shykarka]
Posté : 18 août 2024 15:39
Alice se pinça doucement les lèvres en voyant l’armure chitineuse de Shykarka disparaître à hauteur de ses seins, tandis que la femme draconique leur expliquait que, globalement, elle pouvait modifier son corps, ainsi que les perceptions sensorielles. Du moins, c’est comme cela qu’Alice, qui n’était pas une experte dans le domaine magique, interpréta ses explications. Alors que les deux femmes avaient commencé à prendre d’assaut son corps, Shykarka usa de sa force redoutable pour les renverser, et elles s’étalèrent toutes les deux sur le lit, sous le corps de la puissante femme, qui avança alors ses grosses mains pour peloter leurs seins. Pour cela, Shykarka dut faire sauter avec sa griffe le haut de la tenue d’Ayano, dévoilant sa belle poitrine, quoique moins grosse qu’Alice... Mais Ayano était après tout un peu plus jeune qu’Alice.
Ensuite, Alice frémit, et se pinça les lèvres en sentant lamain griffue d’Alice et chitineuse s’écraser sur son sein. Elle soupira doucement sur place, mais constata vite que les mains de Shykarka n’étaient pas adaptés à leurs seins. Elles étaient... Trop grosses, trop chitineuses, trop imprécises. Elle écrabouillait leurs seins au lieu de vraiment pouvoir pincer les tétons, ce qui rendait, dans ces circonstances, difficile de ressentir quoi que ce soit. Prenant rapidement acte de cette situation, Alice, dont le désir ne faisait que croître, y vit là l’occasion de réaliser l’un de ses fantasmes :
« Hmmm... Vos grosses griffes et votre carapace chitineuse ne sont pas adaptées pour des poitrines, Dame Shykarka. Je... Pourquoi ne pas recouvrir vos mains de latex, et... Et diminuer la taille de vos griffes ? Vous pourriez mieux saisir nos tétons et nous pincer plus efficacement comme ça... »
La passion d’Alice pour le fétichisme était un héritage qu’elle devait à sa grande amie Mélinda Warren, qui lui avait enseigné et inculqué le plaisir de ce genre de choses. Et elle perçut très rapidement, la différence quand les mains de Shykarka s’adaptèrent, lui arrachant plusieurs soupirs, et même quelques cris de plaisir lorsque les griffes pincèrent sa chair. Alice se dandinait doucement, remuant sur place, gémissant encore, et se pinça tendrement les lèvres.
Shykarka s’amusa ainsi à masser et à pincer leurs seins, Ayano se tortillant également. Même si elle était une magicienne, elle peinait encore à se contenir face au désir sexuel, et avait tendance à perdre le contrôle au bout d’un moment. Shykarka s’amusait donc à les malaxer, faisant durcir leurs seins, puis s’arrêta finalement, et les invita à lui rendre la pareille.
« Haaaa...
- C’est vrai que vos seins ont l’air appétissants, Dame Shykarka... »
Ce fut au tour de Shykarka de se coucher, et Alice et Ayano se dressèrent au-dessus d’elle. Elles n’attendirent pas longtemps avant de se ruer sur ses seins, venant les palper avec leurs lèvres, les léchant et s’attaquant rapidement à ses tétons. Alice serra le téton entre ses dents, avant de le lécher, et appuya sur son sein, sentant rapidement le téton libérer un liquide chaud et tendre dans sa bouche.
« Hmmm... » en gémit-elle.
C’était inattendu... Mais non moins agréable ! Ayano se tortilla également doucement sur place, les deux femmes étant lovées sur Shykarka, allongées côte à côte, et continuèrent à pomper avec envie ses délicieux seins, les léchant sans s’arrêter, mordillant et pompant. Les deux femmes la tétaient avec plaisir, continuant ainsi à succomber au vice, ne demandant qu’à plonger davantage dans les multiples délices que Shykarka était en train de leur offrir.
Ensuite, Alice frémit, et se pinça les lèvres en sentant lamain griffue d’Alice et chitineuse s’écraser sur son sein. Elle soupira doucement sur place, mais constata vite que les mains de Shykarka n’étaient pas adaptés à leurs seins. Elles étaient... Trop grosses, trop chitineuses, trop imprécises. Elle écrabouillait leurs seins au lieu de vraiment pouvoir pincer les tétons, ce qui rendait, dans ces circonstances, difficile de ressentir quoi que ce soit. Prenant rapidement acte de cette situation, Alice, dont le désir ne faisait que croître, y vit là l’occasion de réaliser l’un de ses fantasmes :
« Hmmm... Vos grosses griffes et votre carapace chitineuse ne sont pas adaptées pour des poitrines, Dame Shykarka. Je... Pourquoi ne pas recouvrir vos mains de latex, et... Et diminuer la taille de vos griffes ? Vous pourriez mieux saisir nos tétons et nous pincer plus efficacement comme ça... »
La passion d’Alice pour le fétichisme était un héritage qu’elle devait à sa grande amie Mélinda Warren, qui lui avait enseigné et inculqué le plaisir de ce genre de choses. Et elle perçut très rapidement, la différence quand les mains de Shykarka s’adaptèrent, lui arrachant plusieurs soupirs, et même quelques cris de plaisir lorsque les griffes pincèrent sa chair. Alice se dandinait doucement, remuant sur place, gémissant encore, et se pinça tendrement les lèvres.
Shykarka s’amusa ainsi à masser et à pincer leurs seins, Ayano se tortillant également. Même si elle était une magicienne, elle peinait encore à se contenir face au désir sexuel, et avait tendance à perdre le contrôle au bout d’un moment. Shykarka s’amusait donc à les malaxer, faisant durcir leurs seins, puis s’arrêta finalement, et les invita à lui rendre la pareille.
« Haaaa...
- C’est vrai que vos seins ont l’air appétissants, Dame Shykarka... »
Ce fut au tour de Shykarka de se coucher, et Alice et Ayano se dressèrent au-dessus d’elle. Elles n’attendirent pas longtemps avant de se ruer sur ses seins, venant les palper avec leurs lèvres, les léchant et s’attaquant rapidement à ses tétons. Alice serra le téton entre ses dents, avant de le lécher, et appuya sur son sein, sentant rapidement le téton libérer un liquide chaud et tendre dans sa bouche.
« Hmmm... » en gémit-elle.
C’était inattendu... Mais non moins agréable ! Ayano se tortilla également doucement sur place, les deux femmes étant lovées sur Shykarka, allongées côte à côte, et continuèrent à pomper avec envie ses délicieux seins, les léchant sans s’arrêter, mordillant et pompant. Les deux femmes la tétaient avec plaisir, continuant ainsi à succomber au vice, ne demandant qu’à plonger davantage dans les multiples délices que Shykarka était en train de leur offrir.