The Multiversity

Après avoir partagé le sperme d’Ishtar avec Theorem, Helena attendait de voir quelle autre idée coquine allait traverser l’esprit de sa maîtresse. Cette dernière ria de bon cœur avant de lui mettre un vibro dans la chatte, plaçant la télécommande dans son bas en latex, avec les vibrations au minimum. Les deux femmes quittèrent ensuite la pièce, laissant au rouquin le soin de tout nettoyer.

« Mmmhhh... »

La jeune femme avançait à travers les couloirs du navire, avec l’amirale qui la gardait collée contre son corps, frémissant en sentant sa main contre son fessier et sa queue de dragonne contre ses hanches. Elles montèrent jusqu’au bastingage extérieur et se mirent à observer la beauté de l’océan alors que la nuit était déjà tombée. L’humaine, qui regardait tranquillement l’horizon, sursauta quand sa maîtresse lui mit tout à coup deux doigts dans l’anus. Et comme d’habitude, elle ne se gênait pas pour y aller bien fort.

« Aaahhh... gggnnn... »

Helena était bien sûr heureuse de se prendre des doigts dans le cul, mais le meilleur restait à venir. Ishtar lui proposa de la prostituer sur le navire le temps de la traversée, et lui demanda quels tarifs elle voudrait proposer, ainsi que le genre de clientèle qui l’intéresserait.

« Hhhmmm... moi... prostituée... sur ce navire ? »

Chaque soir un amant différent, homme ou femme, membré ou non, qui disposerait de son corps contre de l’argent. Ce genre de pratique allait totalement à l’encontre de son combat pour les droits des femmes... et pourtant, elle mouillait abondamment rien qu’à s’imaginer qu’elle pourrait devenir une pute pour les marins et les officiers du navire. Entre les minotaures géants qui pouvaient la broyer de par leur incroyable carrure et les officiers futa qui prendraient plaisir à la dominer, à l’attacher et à l’humilier, elle aurait de quoi jouir pendant des nuits entières.

« Ooohhh... maîtresse... je serais ravie... de me prostituer... pour vos marins. »

En revanche, restait la question de ses tarifs. Elle n’était pas une experte quant à la valeur d’une prestation sexuelle, et la monnaie n’avait sûrement pas le même cours à Infernis que sur Terre. Du coup, elle se rappela de ce que lui avait dit Théo sur ses tarifs au Lupanoir et s’en inspira.

« Pour commencer... mmmhhh... on pourrait proposer... 40 la fellation... 50 la cravate de notaire... aaahhh... 60 la baise vaginale... 70 la sodomie... gggnnn... 30 la masturbation... 100 pour me baiser en public et... 150 pour la soirée.
Pour la clientèle... hhhmmm... je suis preneuse... pour les hommes... ou les femmes. Je suis prête à faire... la dominante... ou la soumise mais... ooohhh... ceux qui m’engagent... pour être leur maîtresse... devront payer plus cher. »

Elle avait pris les tarifs de Théo et les avait un peu diminués. Après tout, elle n’était pas une pute expérimentée. Mais est-ce qu’elle ne se vendait pas un peu au rabais ? Seule Ishtar pouvait vraiment la renseigner sur le sujet. Quant à sa clientèle, elle ne voyait pas de raison de se limiter. Qu’elle couche avec un homme ou une femme, elle savait qu’elle prendrait son pied, comme elle l’a toujours fait à Infernis. Et si elle pouvait se faire un peu plus d’argent en exploitant l’envie de certaines personnes de se faire dresser par Huntress, quel mal y avait-il à cela ?

A force de sentir le vibro dans sa chatte et les doigts de la dragonne dans son cul, Helena finit par jouir. Sa mouille gicla de sa chatte et coula le long de ses cuisses avant de se répandre par terre. Et encore une fois, cet orgasme attisa son désir ainsi que son imagination.

« Maîtresse... si vous êtes d’accord... aaahhh.. avec ces tarifs... je pourrais peut-être... commencer ce soir ? Je suis sûre que vos officiers... ooohhh... ont besoin de se détendre. Et quoi de mieux... qu’une nouvelle prostituée... pour ça ? »

Bien sûr, c’était à sa maîtresse de choisir à qui elle allait vendre son cul, mais la simple idée de servir de sextoy à ces belles femmes membrées en latex moulant la faisait saliver.

Ishtar avait approuvé les tarifs de prostitution d’Helena. Elle lui expliqua qu’elle était maintenant sa pute, et qu’elle devait au minimum servir trois clients et lui ramener 500Ke à chaque soirée de travail.

« 500Ke ? Vous êtes sûre maîtresse ? »

Vu les tarifs qu’elle avait proposé, la jeune femme avait l’impression que 500Ke représentait une sacrée somme. C’était l’équivalent de 13 fellations, ou 10 cravates de notaire, ou se faire baiser 5 fois en public. Mais elle n’allait pas discuter les ordres. Elle n’aurait qu’à s’arranger pour maximiser la rentabilité sur chaque client.

Avant de la lâcher, la dragonne lui plaça un brassard autour du bras et monta les vibrations du gode encore logé dans sa chatte.

« Aaahhh ! »

Après un salut militaire en règle, une petite bise sur la joue et une claque sur le cul, l’amirale envoya sa pouliche au travail pour qu’elle lui ramène de l’argent.

« A... aaahhh... à vos ordres... maîtresse. »

Helena parcourut le navire pendant quelques minutes avant de trouver un couloir où plusieurs femmes dominantes ainsi que des marins soumis attendaient, s’exposant clairement dans le but de vendre leurs corps. La jeune femme alla s’installer avec eux et les observa. Elle n’avait aucune expérience dans la pratique de la prostitution, alors elle regardait comment les autres s’y prenaient pour attirer les clients. Les femmes faisaient claquer leurs cravaches dans leurs mains pour montrer qu’elles étaient des dominatrices, d’autres prenaient des poses sexy pour se mettre en valeur. Puisqu’elle n’avait pas de cravache, la jeune femme commença à prendre des poses langoureuses, mettant en valeur les plus beaux atouts de son anatomie.

A mesure que la nuit avançait, les clients se faisaient de plus en plus nombreux. Helena avait vu partir plusieurs des autres marins se prostituant avec des clients, mais elle, elle n’avait encore trouvé personne. Elle commençait à avoir peur de finir sa première soirée de pute sans un seul client, et de devoir aller affronter la colère d’Ishtar au matin. Heureusement, un marin un peu jeune, à la peau bleutée et avec des cornes sur le sommet du crâne, approcha en annonçant à la jeune femme qu’il avait reçu sa paye et qu’il cherchait quelqu’un pour s’amuser.

Enfin.

L’héroïne lui fit son plus joli sourire.

« Mais bien sûr mon mignon. Je serais ravie de prendre un peu de bon temps avec toi.
Mais avant qu’on aille chez toi... tu ne veux pas un petit aperçu ? »

Sa main alla se poser sur son entrejambe, et elle sentit les contours de son service trois-pièces, qu’elle caressa tout en lui murmurant à l’oreille.

« Si tu veux, je peux m’occuper de ta bite tout de suite, histoire de te montrer ce que je vaux.
Pour 30Ke, je te branle. Pour 40, je te suce. Et pour 50, je masse ta jolie queue avec mes seins. »

Elle lui mordilla son oreille pointue.

« Normalement, je fais payer plus cher quand je baise en public. Mais pour la première fois... je te le fais sans supplément. Ça te tente ?
Ou sinon... on file tout de suite chez toi... et je m’occupe de toi. »

Helena appliquait ici une stratégie commerciale simple mais convaincante : laisser le client avoir un avant-goût du produit pour le convaincre d’acheter. Puisqu’elle n’avait pas encore d’expérience ni de réputation en tant que prostituée, elle devait se montrer imaginative. Elle s’éloigna ensuite, décollant sa main du paquet du jeune marin, qu’elle avait senti gonfler entre ses doigts.

« Moi c’est Helena. Comment tu t’appelles mon chou ? »

Le client d’Helena semblait un peu timide, il préférait attendre d’être chez lui avant de faire quoi que ce soit. En revanche, la jeune femme eut le plaisir de se faire glisser un billet de 50Ke dans le décolleté, ce qui lui indiquait clairement ce que voulait le matelot, un certain Yokva.

« Ça marche Yokva. Allons chez toi. »

Helena marcha avec son client main dans la main, comme un couple se promenant à travers les coursives du navire, jusqu’à ce qu’ils arrivent dans sa cabine. Là, le marin se jeta à son cou et l’embrassa. La jeune femme, surprise mais pas dépassée, lui offrit un baiser délicieux. Elle remarqua que le jeune homme avait hésité pendant un moment avant de mettre sa langue dans sa bouche. Même quand il posa une main sur sa poitrine, elle le sentait nerveux et hésitant. Néanmoins, ça restait agréable.

« Hhhmmm... »

Après l’avoir embrassé, Yokva se détacha de son corps et retira sa veste en cuir et son pantalon. Helena eut le plaisir de voir que, pour un homme, il avait un corps assez fin et gracile, sans pilosité apparente. Il portait un haut en résille, des bas résilles, et surtout, une petite culotte en dentelle qui ne parvenait pas à cacher sa verge tendue. A présent, il attendait que la prostituée lui donne ce pour quoi il avait payé.

« Oui mon beau... je vais m’occuper de ta queue. »

Helena écarta les bonnets de sa tenue pour libérer ses seins, et les massa un peu pour laisser à son client le temps de bien apprécier la vue. Puis elle entoura sa trique avec ses deux obus et les serra bien autour avant de commencer à l’astiquer.

« Alors mon beau... tu la veux comment ta cravate ? Lente ? Rapide ? En douceur ? Energique ? Dis-moi ce que tu aimes... et je te le donnerai. »

Helena suivit les indications de son client, s’adaptant selon ses envies pour lui offrir toujours plus de plaisir. Le marin semblait apprécier, il couinait et tremblait sur place pendant que la jeune femme faisait son travail. De temps en temps, elle s’amusait un peu à le faire sursauter en lui léchant le gland, et ça n’avait pas l’air de lui déplaire.

Finalement, en quelques minutes, Helena parvint à faire jouir Yokva, et elle se reçut tout son foutre sur le visage et la poitrine. Pour un mâle aussi fin et gracile, il jouissait beaucoup. Une fois l’éjaculation finie, la jeune femme libéra son sexe de ses nichons.

« Alors mon mignon... j’en fais quoi de ce foutre chaud ? Je l’avale ? Je te le rends ? Dis-moi. »

Une fois nettoyée selon les envies du marin, la jeune femme se rhabilla. Après tout, elle n’allait pas se laisser mater alors que laisser ses seins à l’air ne lui rapportait rien.

« Dis moi Yokva... je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer que, pour un mâle, tu es plutôt... efféminé. Je veux dire... ton corps est si fin, sans muscle ou pilosité apparente... et tu portes des vêtements en résille... ainsi qu’une petite culotte. D’ailleurs, permets-moi de te dire qu’elle te va très bien, elle met parfaitement ta virilité en valeur.
Mais cette allure efféminée... tu l’as voulue, ou quelqu’un te l’a imposée ? »

Helena n’était pas vraiment au courant de la vision bien différente de la masculinité en vigueur à Infernis et à Nachteim. Elle savait qu’il y avait beaucoup plus de traps ici que sur Terre, et que c’était bien mieux accepté, mais elle ignorait jusqu’à quel point le phénomène était répandu. Après, le marin n’était pas obligé de lui répondre, elle lui demandait ça uniquement parce qu’elle éprouvait une profonde attraction pour les hommes efféminés comme lui.

« Bon... tu veux quoi maintenant ? Une bonne pipe ? Ou tu veux venir me fourrer ? Que ce soit la chatte ou le cul... je suis toute à toi. »

Yokva demanda à Helena qu’elle récupère tout le sperme qu’il avait juté dans sa bouche et qu’elle vienne ensuite l’embrasser. Il ajouta même un billet de 20Ke. La jeune femme se fit un plaisir d’obéir, léchant sensuellement les alentours de sa bouche pour ramasser un maximum de foutre, puis passant ses doigts sur le reste de son visage et sur sa poitrine pour récupérer le reste. Une fois qu’elle eut la bouche bien remplie, elle roula une pelle à son client pour qu’il savoure le goût de sa propre semence mélangé à celui de leurs salives dans un baiser torride. Elle le sentit même bander tandis qu’il avalait son foutre.

Une petite tapette qui aime le foutre... je suis tombé sur un bon client.

Et pour son plus grand bonheur, il n’allait sûrement pas être le dernier. Yokva lui expliqua que la culture de la masculinité avait changé depuis l’arrivée au pouvoir de la Tsarine Tiamat, la mère d’Ishtar. Se rapprocher le plus possible de la féminité était une façon de lui rendre grâce.

« Alors... le standard de beauté pour les hommes d’Infernis, c’est... de ressembler à des femmes ? »

Helena manqua de jouir en s’imaginant qu’il y avait là, dehors, des tas d’hommes aussi efféminés que son client avec qui elle pourrait coucher. Après, peut-être qu’ils n’étaient pas tous des soumis, mais ça ne l’étonnerait pas.

Yokva demanda à pouvoir enculer Helena, mais avec plusieurs demandes particulières. Déjà, elle devrait garder sa tenue au maximum pour qu’il profite de la vue de ses belles formes moulées dans le latex. Ensuite, une fois que son préservatif serait rempli, elle devrait vider son contenu dans sa bouche et l’embrasser. Enfin, il voulait la revoir demain.

Helena se mit à réfléchir. Elle n’avait pas de problème avec le fait de garder sa tenue, et elle venait juste de découvrir qu’elle devait garder les capotes comme preuve à chaque fois qu’elle couchait avec un client. Elle pensait qu’Ishtar allait juste la croire sur parole. Enfin, elle se dit que c’était plutôt un bon plan de prendre rendez-vous avec le matelot pour demain, ça lui assurait au moins un client, et un généreux qui plus est. Il avait quand même aligné 200Ke d’un coup.

« Hhhmmm... d’accord. J’accepte tes requêtes, mais à deux conditions.
Premièrement, prévois bien ton argent. Même si j’aime coucher avec toi, je reste une pute, et mon mac attend que je lui ramène 500Ke chaque soir, alors je dois optimiser mon temps.
Deuxièmement... »

Elle posa sa main sur son entrejambe et caressa le sous-vêtement qui cachait ses bourses du bout de l’index.

« ... je veux ta culotte. »

Yokva la regarda un peu surpris.

« Oui, je veux ta petite culotte. Ce sera le symbole qui scellera notre accord. Tu me la donnes ce soir, et moi je te la rends demain quand je te reverrai.
Réfléchis-y pendant que tu te fais plaisir. »

Helena regarda le marin enfiler son préservatif, se mettre une bonne dose de lubrifiant sur le sexe, et elle écarta le bas de sa tenue pour libérer le passage vers sa rondelle. Elle vint ensuite s’asseoir sur son sexe tendu, qui coulissa peu à peu jusqu’à être au fond de son anus.

« Aaahhh... et ne t’en fais pas... pour la capote. Je laisserai un peu de sperme dedans... pour qu’elle soit quand même une preuve. Et au pire... ooohhh... si mon mac te fait venir... je suis sûre que tu seras ravi de lui dire... que tu m’as bien baisée... pas vrai ? »

De là où il était, Yokva avait un très beau point de vue sur les seins de la jeune femme, qui se mit à danser sur son mandrin. La capote bien lubrifiée le faisait glisser facilement dans son conduit qui, grâce au nombre conséquent de sodomies qu’elle s’était prise de la part d’Ishtar, était quand même bien élargi.

« Gggnnn... surtout n’hésite pas... si tu veux me peloter... les seins ou le cul. »

Pour 200Ke, elle n’allait pas lui dire de se retenir.

Helena dansait allègrement, empalée sur le sexe de Yokva qui s’agitait dans son cul, pendant que le matelot s’amusait à lui malaxer la poitrine et à tirer sur ses tétons.

« Aaahhh... toi aussi t’es beau... mon mignon. Aaaggghhh... et t’as une de ces triques... oouuaahh ! »

Quand Ishtar lui avait proposé d’être prostituée, la jeune femme ne pensait pas qu’elle ferait une si belle rencontre dès sa première soirée. Elle s’attendait à devoir se faire connaître en couchant avec des amants dont personne d’autre ne voudrait, mais ce marin était une belle trouvaille. En plus, elle savait déjà qu’elle le reverrait demain, et vu qu’il avait l’air d’être assez généreux, elle pourrait facilement faire son quota.

Après quelques minutes de plaisir intense, Helena sentit le sexe de Yokva tressauter dans son fondement, et le matelot jouit en poussant un gémissement presque féminin, le visage étiré par une délicieuse expression de plaisir. Sa capote se remplit rapidement, puis la prostituée se releva et le regarda enlever le préservatif de son sexe. Et elle eut un grand sourire quand il lui tendit sa petite culotte.

« Merci mon beau. Cette culotte scelle notre accord. Je te reverrai demain soir, et je te la rendrai. Par contre... »

Elle porta le sous-vêtement à son visage et le renifla.

« ... ne t’étonne pas... si je te la rends... un peu humide. »

Yokva rougissait en regardant la jeune femme qui tenait sa culotte. Helena prit la capote, la porta à sa bouche et en versa le contenu sur sa langue, laissant juste quelques gouttes au fond. Le matelot avait bien joui, il y avait assez de foutre pour lui remplir la bouche. Elle se mit ensuite sur les genoux de son client et l’embrassa, répandant sa semence gluante dans sa bouche, tandis que ses doigts pinçaient ses petits tétons comme il le lui avait demandé. Le baiser fut agréable, les langues des amants dansaient ensemble pendant que leurs mains jouaient sur les tétons de chacun. Quand le baiser se rompit, un mince filet de bave et de foutre reliait encore leurs bouches, mais il se rompit vite.

« Aaahhh... merci mon mignon. J’ai passé un super moment. J’espère que tu en as eu pour ton argent. »

Réflexion purement rhétorique, la jeune femme voyait bien que le matelot était satisfait.

« Je vais devoir y aller. Mais avant que je parte... laisse-moi t’offrir un dernier cadeau. »

Elle posa ses mains sur sa tête et la cala dans sa poitrine. Elle le laissa agiter son visage dans la vallée de ses seins, profiter du moelleux et de la chaleur de ces deux belles collines, mais elle le repoussa après une dizaine de secondes. C’était un cadeau gratuit, elle ne pouvait pas le faire durer trop longtemps non plus.

« A demain mon mignon. »

Helena quitta la cabine de Yokva en s’assurant que le matelot puisse bien la voir rouler du cul, et elle se remit à arpenter les coursives du navire. Elle en était à un client satisfait et 250 Ke, avec une capote quasi-vide et une petite culotte accrochée à la ceinture. Il lui manquait encore 2 clients et 250 Ke pour faire son quota de la soirée. Elle se demandait déjà à quoi ressemblerait son prochain client.

Helena retourna se chercher un client dans la coursive centrale. Plusieurs travelos étaient au travail pour attirer les gens qui passaient par ici, et elle avait beau faire de son mieux pour se rendre attirante, les dominantes préféraient passer du temps avec l’un de ces mâles efféminés. Heureusement, après un bon quart d’heure à attendre, elle finit par attirer l’attention d’un client. C’était un hybride dragon mâle, très petit, fin et féminin, comme le serait une fille plate, et il portait  une robe courte en résille cachant à peine un bikini doré en latex.

« Salut mon beau. Tu veux passer un peu de bon temps ? »

Mais ce dernier se contenta d’inspecter le corps de la prostituée avant de lui donner une avance de 50Ke. Il lui promit qu’il allait revenir après son prochain client, mais elle devrait être sale et puante si elle voulait avoir le reste de l’argent.

« Comme tu voudras. A tout à l’heure alors. »

Ce dragon avait un air hautain, et il ne semblait pas manquer d’argent, Helena avait donc intérêt à réussir à le prendre comme client. Mais d’abord, elle devait se trouver un client avec lequel elle pourrait transpirer et se couvrir de fluides. Et justement, peu de temps après le dragon, un autre client approcha. Encore un garçon travesti, mais celui-ci n’avait pas l’allure des autres occupants de ce navire. Helena comprit vite que c’était un immigrant venu de la Terre, comme elle, mais il semblait avoir réussi à s’intégrer. Elle le regarda s’approcher d’elle avec un regard plein de perversion et lui montrer une liasse de billets en lui demandant si elle était partante pour lui défoncer la rondelle dans les toilettes publiques.

« Toujours partante pour défoncer un beau petit cul mon mignon. Mais j’espère que tu arriveras à suivre. »

Le jeune homme semblait déterminé, et il avait pas mal de liquide sur lui, alors la jeune femme le suivit jusqu’aux toilettes du navire. Hommes et femmes partageaient le même espace pour se soulager, il y avait des urinoirs et des toilettes fermées, et les cabines étaient aménagées pour des sessions de gloryhole. En entrant, Helena vit que plusieurs couples étaient déjà en train de se faire plaisir, et elle suivit son client jusqu’à une cabine encore libre. Le jeune homme lui donna un gode-ceinture spécial d’Infernis, du même modèle que celui qu’elle avait utilisé pour baiser Theorem un peu plus tôt, capable de lui transmettre les sensations comme si elle avait un vrai sexe masculin entre les jambes et de simuler l’éjaculation. Après avoir enfilé l’engin, elle regarda son client ôter sa culotte et dévoiler son bel anus, prêt à se faire baiser.

« Ooohhh... c’est que t’en as une jolie rondelle. Je vais me faire un plaisir... de te la défoncer. Ça te coûtera 80Ke... pour chaque capote remplie. »

70Ke pour la sodomie, et 10 de plus parce qu’il voulait le faire dans un lieu public. La prostituée astiqua un peu son membre pour être bien érigée, puis elle enfila un préservatif et enfonça sa trique dans le cul du jeune homme d’une seule traite, jusqu’à ce que son bassin vienne taper contre le sien.

« Aaahhh... couine pour moi... petite salope. »

Helena avait bien compris que son client voulait du sexe dur, intense, sans ménagement. Et cela tombait bien, puisqu’elle avait besoin d’être puante et transpirante pour son prochain client. Elle allait lui faire crier son plaisir, encore et encore, et lui prendre autant d’argent que possible tout en prenant son pied.

Après Yokva, Helena avait à présent un profil de client totalement différent. Ce jeune homme était un dépravé de première, qui était tout excité à l’idée de se faire violemment baiser l’anus dans les toilettes publiques, là où n’importe qui pouvait le voir et l’entendre. Après avoir aidé la prostituée à enfiler son sextoy de 20 cm de long, il plaça une GoPro pour enregistrer la scène en vue plongeante et lui demanda de le bâillonner avec son plug anal avant de le sodomiser avec force.

« Oh... tu aimes quand c’est crade hein ? D’accord, le client est roi. Ouvre la bouche, salope. »

Une fois le plug bien logé entre ses mâchoires, Helena commença à enculer son client. Et pas de doute, il aimait ça. Même bâillonné, il couinait comme une demoiselle en chaleur, et sa queue bandait durement. La jeune femme commença alors à l’insulter.

« Tu n’es qu’une sale dépravée... dégoûtante et puante. Aaahhh... il faut vraiment être la dernière des nympho... pour vouloir le faire dans des toilettes... ooohhh... là où tant d’autres personnes sont venues... pour faire des cochonneries. »

En plus de leur rôle de base, ces toilettes avaient sûrement vu passer tout un tas de couples venus s’envoyer en l’air. Leurs fluides étaient sûrement répandus partout sur les parois. Peu de gens auraient accepté de faire l’amour dans un endroit aussi sale, mais elle en avait trouvé un.

La température montait très vite dans la cabine, les deux amants se retrouvèrent rapidement en sueur, dégoulinants et suintants. Helena n’était pas mécontente, son prochain client voulait qu’elle soit ainsi. En plus, leur session de sexe bruyant avait commencé à attirer des curieux. Une personne regarda par-dessus la cloison pour se branler en les matant, puis une futa glissa sa verge dans l’un des gloryholes de la cabine. Le soumis se dépêcha de la prendre en main pour la branler et la secoua jusqu’à ce que le sperme lui gicle au visage. Après ça, la futa se retira et dit à la prostituée que son client adorait se faire mettre la tête dans les toilettes. Elle avait également appelé deux autres futas pour venir en profiter.

« Aaahhh... compris... merci. »

Helena continua ensuite à jouer avec son client.

« Tu entends ma salope ? Aaahhh... je suis peut-être une pute... mais c’est toi... hhnngg... qui attire le plus de bites. »

Puisque son client aimait tant être traité durement, elle allait le satisfaire. Elle changea de position pour mettre son client à genoux devant la cuvette et lui mit la tête dedans tout en continuant à le sodomiser. Peu de temps après, deux futas vinrent glisser leurs verges dans les onaholes de part et d’autre de la cabine. Mais cette fois, c’était à la prostituée de s’en occuper.

« Ooohhh... regarde... le beau cadeau... qu’on vient m’offrir. »

Helena lâcha le cul du jeune garçon pour poser ses mains sur les sexes tendus qui lui étaient offerts. Elle les prit fermement en main et se mit à les astiquer vigoureusement. Entre ça et son faux sexe plus vrai que nature qui remplissait le cul de son client, elle avait tout pour se faire plaisir et pour finir toute poisseuse et collante.

« Eh les filles... vous aimez ça ? Ne vous privez pas... aaahhh... de le dire surtout. »

La jeune femme était excitée comme une puce. Elle fit jouir son client à de multiples reprises, rien que le fait de le noyer à moitié et de l’insulter semblait suffire à l’exciter follement. Quant aux futas installées dans les onaholes, elles ne se privèrent pas de couiner et de balancer des obscénités au couple qui baisait dans les toilettes avant que leurs lances de chair ne viennent cracher leur semence gluante. La prostituée se retrouva maculée de sperme du visage jusqu’à la poitrine, et se sentir aussi dégoûtante fut le petit coup de pouce qui lui manquait pour atteindre l’orgasme.

« Aaahhh... OOOUUUIII ! »

Grâce à son sextoy hyper réaliste, Helena put éjaculer dans le cul de son client en couinant de plaisir. Une fois l’orgasme passé, elle se retira de son fondement et lui sortit la tête des toilettes.

« Et voilà mon grand. Si tu en veux plus, il va falloir payer. »

Helena se tenait déjà prêt pour le deuxième round, mais son client semblait avoir eu son compte. Elle pouvait entendre son souffle épuisé depuis la cuvette, c’était à peine s’il bougeait encore.

Il insiste pour avoir du sexe violent alors qu’il n’est clairement pas taillé pour ? Drôle de personnage.

En tout cas, la jeune femme n’allait pas se plaindre vu la générosité du garçon. Dès qu’elle lui parla de paiement, il sortit une liasse de 300Ke de sa poche et la tendit à la pute.

« Tout ça ? Tu es sûr ? »

Une seule sodomie ne valait pas tant, mais il semblait insister pour qu’elle prenne l’argent. Elle prit donc la liasse et la rangea avant de sortir une capote dans laquelle elle ramassa un peu du faux sperme gluant qui coulait de l’anus dilaté du travelo. Dans l’excitation, elle avait complètement oublié d’en mettre une, et ces capotes étaient les preuves de ses exploits. Elle la remplit donc en partie et la noua à sa ceinture. Elle vérifia que son client était encore conscient et en état de se déplacer, puis elle lui donna un baiser.

« C’était sympa. A la prochaine petite salope. »

Mais à peine Helena fut-elle sortie qu’un autre homme, plus viril cette fois, prit sa place et alla s’occuper du petit travelo. Pendant un instant, elle se demanda si elle ne devait pas aider ce pauvre garçon qui semblait déjà au-delà de ses limites... puis elle y renonça.

Si je m’en mêle, je pourrais attirer des ennuis à ma maîtresse.

La jeune femme retourna là où elle avait trouvé ses deux précédents clients, et elle recroisa le travelo salamandre qui l’avait réservée pour plus tard. Il était encore en train de récolter la recette de ses employés, et quand il la vit, il lui fit signe de la suivre. La prostituée le suivit donc jusqu’à une maison close à l’intérieur du bateau, où tous les employés le saluèrent avec respect.

C’est sans doute le patron, ou au moins quelqu’un d’important.

Helena termina son trajet avec lui dans une chambre des plus luxueuses, avec un lit immense aux draps de latex doré et à la décoration noble. On aurait dit une imitation bon marché de la chambre d’Ishtar.

Le travelo salamandre se présenta sous le nom de Surin, tenancier de cette maison close, le Plaisir Coupable. L’endroit était normalement réservé aux hommes, mais Surin aimait aussi les femmes. Il lui proposa même de se rattacher à son établissement un de ces jours.

« Merci, mais je n’obéis qu’à l’amirale. C’est pour elle que je fais la pute sur ce navire, et c’est pour elle que je protège Infernis. »

Helena se coucha sur le lit et regarda Surin lui monter dessus pour venir l’embrasser, roulant sa langue avec la sienne. Il avait beau être un peu pédant, il était aussi charmant, et rien qu’à son contact, la jeune femme put sentir qu’il avait une certaine force, ainsi qu’une douce odeur sucrée de cannelle. C’était très agréable.

« Alors Surin, qu’est-ce que tu veux ? Tu ne m’as pas faite venir ici juste pour discuter. Je suis sale et transpirante comme tu le voulais, alors dis-moi ce que tu veux faire. Il est clair que l’argent n’est pas un problème pour toi, alors n’hésite pas à te lâcher. »

Qu’il veuille être le dominant ou le dominé, qu’il veuille utiliser son corps ou bien la regarder s’occuper du sien, Helena était prête. Il allait être son troisième client de la soirée, et peu importe combien elle le payait, elle avait déjà ses 500Ke. Donc elle pouvait se faire plaisir.

Helena s’allongea sur le dos et regarda Surin lui monter dessus, posant ses mains sur ses jolis orbes couverts de latex pour les masser et pincer ses tétons.

« Aaahhh… »

La jeune femme se mit à se tortiller sous les assauts habiles et répétés de son client, qui semblait savoir exactement où caresser sa poitrine pour lui donner beaucoup de plaisir. Ces caresses étaient presque diaboliques tant elles étaient bonnes. Mais ça ne lui suffisait pas encore. La prostituée passa ses mains derrière sa tête et se mit à lécher ses aisselles suintantes.

« Haha… attention… je suis chatouilleuse… par ici. »

Pour autant, se faire lécher les dessous de bras par Surin lui était très agréable. Helena frissonnait et gigotait sur place tandis que son amant s’occupait d’elle, jusqu’à ce qu’il passe à l’étape supérieure. Et il était très motivé, venant jusqu’à comparer Helena à une drogue sexuelle.

« Oh vraiment ? Eh bien… ooohhh… j’espère que cette addiction se ressentira… dans mon paiement. »

La jeune femme regarda son client retirer son bas de bikini, et quand elle le retrouva juste sous son nez, elle se mit à frémir. Cette culotte avait une odeur puissante, un doux parfum sucré et acide accompagné d’une fragrance puissante qui lui faisait mouiller la chatte.

Ouah… c’est quoi cette odeur ? C’est incroyable…

Et ce n’était que le début. Helena se retrouva avec le bas de bikini de Surin sur le visage. Elle pouvait l’observer via les trous des jambes et elle avait le nez et la bouche juste là où la culotte avait touché son intimité, elle pouvait donc profiter à fond de ce parfum incroyable. Son client lui montra son pénis, une belle saucisse circoncise de 20 cm, et il lui annonça qu’il allait lui baiser les seins tout en précisant qu’elle risquait de jouir à cause de son odeur intime.

Il a raison. Cette odeur… aaahhh… elle me fait tourner la tête.

La prostituée regarda son client serrer ses nichons l’un contre l’autre avant de loger son sexe dans l’espace entre les deux. Le latex infernois qui couvrait son corps couplé à sa transpiration permettait à la salamadre de faire des vas et viens entre ses seins.

« Hhhmmm… ooohhh… »

Au début il était plutôt tranquille. Mais à mesure que le temps passait, sa baise était de plus en plus énergique. Helena pouvait sentir ses mains serrer ses obus de chair et sa trique coulisser entre eux. Mais surtout, elle sentait cette odeur puissante sur la culotte contre son visage, une odeur qui lui donnait l’impression de se faire caresser allègrement la chatte alors que personne ne la touchait. Plus elle regardait ce gros mandrin s’agiter entre ses melons, plus elle avait envie de le prendre et de le branler vigoureusement à deux mains, ou bien de l’avaler entièrement ou de se le faire mettre dans l’un de ses orifices. Son appétit sexuel ne cessait de monter.

Quand Surin finit par jouir, Helena n’avait pas encore eu cette chance. Elle couina de plaisir en voyant le foutre jaillir de son sexe, maculant sa tenue et son visage. Tout de suite après, le travelo vint la doigter sans prévenir, lui demandant si elle avait pu jouir.

« Aaahhh... non... pas encore mais... aaahhh... bientôt... »

Elle ne tint pas une minute avant que sa mouille ne gicle abondamment de son entrejambe, éclaboussant la main de son amant et une bonne partie des draps. Quoi de plus normal pour une fontaine comme Helena. La jeune femme se retrouva ensuite avec un préservatif emballé entre les mains. Son travail était de le sortir et de le mettre autour du sexe de son client en utilisant uniquement sa bouche.

« Aaahhh... OK. »

Helena savait très bien que l’exercice allait lui demander une sacrée habileté, mais elle n’allait pas discuter les demandes de Surin. Elle commença par sortir la capote de son emballage et la coinça entre ses dents. Elle était opaque et dorée, parfait pour une salamandre aussi raffinée. Elle s’approcha de la verge de son client, qui avait retrouvé son énergie et était à nouveau bien dure, et elle passa le bout du préservatif sur son gland à nu. Après ça, elle se mit à remonter peu à peu, tirant aussi fort que possible avec sa bouche pour que le latex de la capote ne se colle pas trop à sa trique avant qu’elle soit au bout. Mais là, une autre difficulté se présenta à elle.

Avec le visage aussi proche de la verge de Surin, Helena ne put échapper à son envoutant parfum. Et là, ça n’avait rien à voir avec l’odeur de surface sur son bikini. L’odeur était forte, concentrée, et la jeune femme avait la tête qui tournait en la sentant. La mouille dégoulinait de sa chatte, elle respirait lourdement, tout son corps avait chaud... c’était comme résister à l’envie de se toucher quand on avait un sextoy logé dans le vagin.

« Hhhmmm... »

Mais elle tint bon. Faisant appel à toute son adresse et sa concentration de super-héroïne, elle parvint à enfiler la capote sur le sexe de son client, mais elle s’éloigna de lui aussitôt.

« Gggaaahhh... comment... c’est possible ? Ton odeur... ooohhh... elle me rend dingue. Regarde-moi... je suis complètement trempée. »

Elle s’allongea sur le lit, écarta les cuisses en grand et se toucha la vulve.

« Allez viens... défonce moi la chatte. »

Elle était prête à tout pour profiter un peu plus de ce parfum enivrant. Mais quel pouvait bien être le secret de cette salamandre pour dégager une aussi bonne odeur ?

Helena venait encore de trouver autre chose pour la rendre accro à Infernis : Surin, le mâle salamandre avec son odeur envoûtante. Après lui avoir enfilé une capote sur le sexe avec sa bouche, elle eut le plaisir de le sentir pénétrer sa chatte d’un coup sec, complimentant sa belle cavité de salope bien musclée. Mais il lui expliqua aussi que la sueur sur son chibre allait imprégner son intérieur allait imprégner son intérieur, ce qui risquait de la rendre encore plus folle de lui.

« Quoi ? Mais comment… Aaahhh ! »

Le mâle commença son va-et-vient en position de missionnaire, malaxant ses seins avec envie, tirant sur ses tétons et glissant ses doigts dans sa bouche.

« Aaahhh… ooouuuiii… encooorrre ! »

Helena était en train de décoller. Surin lui expliqua que sa sueur avait d’étranges propriétés, elle pénétrait l’esprit de ses amants, comme le ferait un surin dans la chair. Certains des prostitués qui travaillaient pour lui le faisaient juste pour le plaisir de l’embrasser ou de sucer sa queue. Il prenait plaisir à transformer les garçons hétéros en petites pédales avaleuses de bites grâce à son odeur enivrante.

« Hhhmmm… »

Plus ils faisaient l’amour, plus la jeune femme pouvait sentir que l’odeur de son amant la pénétrait intérieurement. Cette odeur délicieuse et sucrée qui attisait son désir et rendait sa pénétration bien meilleure. Cette sueur lui retournait le cerveau, et plus elle inhalait son odeur, plus elle en avait envie.

Perdue dans une transe sexuelle induite par son plaisir olfactif et vaginal, Helena perdit la notion du temps, et pendant plus d’une heure, elle jouit entre les mains de Surin, enchaînant les orgasmes et se vidant peu à peu la tête. Le plus incroyable était que ce dernier n’avait pas joui une seule fois malgré l’intensité de sa pénétration. Quand il finit par atteindre l’orgasme, il éjacula sa semence dans sa capote puis se délogea aussitôt. Il retira son préservatif et vida son contenu dans la bouche de l’humaine, qui ne réagit même pas et avala tout docilement.

« Aaahhh… »

Et alors qu’elle semblait déjà dans un état second, Helena partit dans un trip dû aux hormones contenues dans la semence de la salamandre. Ce dernier la mit ensuite sur le ventre, enfila une autre capote et la prit en levrette en claquant son cul rebondi.

« Gggaaahhh… oouuaaiiss… »

Si elle avait eu les idées claires, Helena aurait réalisé qu’au final, Surin était un mac qui tenait ses putes en les rendant accro à une substance qui, bien qu’elle ne soit pas une drogue, agissait comme telle. Ce genre d’individu la répugnait, et en tant qu’Huntress, elle en avait envoyé beaucoup en prison. Mais là, Huntress n’était plus qu’une droguée en train de planer, accro à la sueur de ce mâle qui la besognait, et qui enchaînait les orgasmes en se faisant prendre tandis que la salamandre filmait la scène. Et elle aimait tellement ça qu’elle aurait fait n’importe quoi pour en avoir plus. Du coup, quand son amant lui demanda si elle voulait avoir la prochaine giclée directement dans sa chatte, elle ne réfléchit même pas.

« Oui. Oui. »

Helena avait beau comprendre que Surin était en train de l’enchaîner à lui grâce à son sperme et à sa sueur, elle ne pouvait pas refuser d’en avoir plus. Son corps lui hurlait de se gaver des fluides de la salamandre pour aller toujours plus loin dans l’extase, peu importe ce qu’il faudrait faire pour. Peu importe que ce soit humiliant, dégradant, ou même dangereux… elle voulait sa dose.

Pendant l’heure qui suivit, Helena fut le jouet de Surin. Ce dernier s’amusa à attiser son désir en lui faisant massivement renifler sa sueur et la besogna de façon à la faire jouir encore et encore, tandis que lui gardait sa semence. Il en profita aussi pour lui glisser à l’oreille plusieurs paroles l’incitant à la soumission, et ces paroles se gravaient dans sa tête, comme quand Ishtar l’avait hypnotisée. Et quand finalement la salamandre jouit en elle, la jeune femme se sentit décoller.

« Aahh… GGGAAAHHH !!! »

Jusqu’à présent, elle n’avait goûté aux hormones de son amant que par l’odorat ou par la bouche. Mais là, elle recevait la semence directement dans sa chatte, la zone la plus érogène de son corps. Cela eut pour conséquence de lui donner un orgasme explosif, qui fit vibrer tout son corps avec une incroyable intensité et fit gicler sa mouille tel un geyser, inondant les draps du lit et le bassin de son amant. Après ça, elle s’écroula sur le lit.

« Aaahhh… ggghhh… »

Droguée et totalement larguée, Helena était dans un état second, entre rêve et réalité. Elle pouvait encore bouger et parler, mais elle n’avait plus de volonté. Elle aurait obéi à n’importe quoi.