Re: Une dette de vie [Theorem]
Posté : 19 août 2024 01:29
C’était une réponse qui avait l’air honnête. La Princesse se surprit à rougir légèrement en voyant les regards lubriques des gardes. Les servantes se mirent à pouffer entre elles, et l’une se pencha dans le creux de l’oreille d’Alice, chuchotant quelques mots. Les yeux d’Alice s’écarquillèrent légèrement, et elle tourna la tête vers elle, portant un doigt sur ses lèvres. La servante se contenta de lui faire un clin d’œil, et Alice sembla réfléchir.
*Pourquoi pas, après tout…*
Elle regarda les gardes. Ces derniers ne semblaient avoir qu’une envie : sortir pour se soulager. Loãra ne l’avait pas trompé… Ils n’oseraient jamais faire quoi que ce soit sans autorisation de la Princesse. Les gardes du Château étaient après tout disciplinés, même si, en l’espèce, ils avaient des regards assez lubriques. Alice sortit un bandeau noir assez épais.
« Très bien, mon petit chien… Nous allons jouer…
- Vous voulez que je lui mette autour des yeux, Princesse ?
- Je t’en prie, Suzanne. Ça m’évitera d’avoir à le faire. »
Avec un sourire, Suzanne marcha. Elle glissa le bandeau autour des yeux de Theorem, serrant fort, mettant un nœud assez solide. Elle avait eu comme père un marin. Suzanne, comme bien des servantes, était une esclave que l’armée avait récupéré lors de campagnes, et elle avait eu la chance de servir au Château. Elle avait été capturée quand elle avait seize ans, et elle n’avait du son transfert ici qu’au fait qu’elle n’était pas vierge, ayant été refilée à Tywill, qui avait décidé de la refourguer à l’entretien de sa fille.
« Comme ta langue est ta meilleure arme, mon petit chien, tu vas l’utiliser pour lécher les intimités des premières femmes que tu croiseras en marchant à quatre pattes… A travers leur vêtement, bien sûr. Tu devras alors déterminer si c’est celle de ta Maîtresse ou pas. Si tu te trompes… Si tu te trompes, tu seras puni en circonstance. »
C’était Loãra qui lui avait « soufflé » ce jeu. Les femmes se mirent alors à se déplacer, afin que Theorem ne puisse pas suivre Alice en se fiant au bruit. Plusieurs servantes étaient en train d’embrasser et de cajoler avec tendresse les gardes. Ils étaient en effet la « punition » de Theorem, si ce dernier échouait dans sa mission.
*Pourquoi pas, après tout…*
Elle regarda les gardes. Ces derniers ne semblaient avoir qu’une envie : sortir pour se soulager. Loãra ne l’avait pas trompé… Ils n’oseraient jamais faire quoi que ce soit sans autorisation de la Princesse. Les gardes du Château étaient après tout disciplinés, même si, en l’espèce, ils avaient des regards assez lubriques. Alice sortit un bandeau noir assez épais.
« Très bien, mon petit chien… Nous allons jouer…
- Vous voulez que je lui mette autour des yeux, Princesse ?
- Je t’en prie, Suzanne. Ça m’évitera d’avoir à le faire. »
Avec un sourire, Suzanne marcha. Elle glissa le bandeau autour des yeux de Theorem, serrant fort, mettant un nœud assez solide. Elle avait eu comme père un marin. Suzanne, comme bien des servantes, était une esclave que l’armée avait récupéré lors de campagnes, et elle avait eu la chance de servir au Château. Elle avait été capturée quand elle avait seize ans, et elle n’avait du son transfert ici qu’au fait qu’elle n’était pas vierge, ayant été refilée à Tywill, qui avait décidé de la refourguer à l’entretien de sa fille.
« Comme ta langue est ta meilleure arme, mon petit chien, tu vas l’utiliser pour lécher les intimités des premières femmes que tu croiseras en marchant à quatre pattes… A travers leur vêtement, bien sûr. Tu devras alors déterminer si c’est celle de ta Maîtresse ou pas. Si tu te trompes… Si tu te trompes, tu seras puni en circonstance. »
C’était Loãra qui lui avait « soufflé » ce jeu. Les femmes se mirent alors à se déplacer, afin que Theorem ne puisse pas suivre Alice en se fiant au bruit. Plusieurs servantes étaient en train d’embrasser et de cajoler avec tendresse les gardes. Ils étaient en effet la « punition » de Theorem, si ce dernier échouait dans sa mission.