The Multiversity

Theorem avait soupiré de longues minutes sous la délicieuse fellation d'Alice. Il n'avait jamais vraiment connu ça et seulement à de très très petites exceptions. La hyène était attachée solidement à table et devait servir de présentoir. Son corps ne lui appartenait plus, il était à Ishtar et à ses convives ce soir. Sous le regard de plusieurs personnes, il fallait bien qu'il subisse ces langues sexy qui passaient sur sa peau et qui ramassaient la chantilly présente sur son corps. Pour la peine, il fallait qu'il obéisse et bien qu'il ne pensait pas que la princesse allait le sucer jusqu'à son orgasme, elle le fit ! Oh ce n'était pas son 11cm qui allait l'étouffer, même en gorge profonde. Finalement il se relâcha de toute la tension accumulée dans sa bouche, libérant sa semence. Theorem était devenu un petit éjaculateur précoce depuis son passage devant Sya, et sa virginité était de mise désormais.

"Moi aussi ma chère Alice..."

De son côté, Ishtar sentit la main de l'humaine sur sa fesse et sa bouche contre son sein. Elle était un peu plus grande que Theorem, qui avait juste la taille pour s'enfoncer le visage dans son décolleté... Mais à la place, Ishtar voyait bien que la fête devenait sexuelle... L'orgie allait commencer. Les présentoirs à nourritures se faisaient détacher les uns après les autres et les organisateurs les alignèrent devant la foule qui pouvait choisir leur soumis ou partenaire de jeu. Les esclaves avaient tout bas et gants en latex, un collier autour du cou et une chaîne reliée à ce dernier. Les colliers n'avaient rien de normaux, il s'agissait de colliers métalliques avec une fermeture complexe. Ils possédaient tous d'une petite fiole de liquide visible, d'un violet dense et chatoyant. Les colliers avaient une petite télécommande associée et on pouvait décider d'injecter un peu de ce produit aphrodisiaque très puissant dans l'esclave, de lui donner une décharge électrique non mortelle, de faire se resserrer le collier (bien qu'un capteur calculait le poul et le souffle du soumis, se détendant au moment de l'asphyxie) et pour les plus dur à stimuler d'entre eux, une légende voulait qu'il existait une charge explosive dans le collier... Ce n'était qu'un stimulant psychologique, rien de plus, le voyant rouge et les bip de plus en plus rapprochés avaient un effet boeuf sur certains soumis qui eux ne savaient pas pour l'oublis de la bombe. Un puissant bruit sonore allait juste retentir au moment de la fin du compte à rebours. Le plus drôle c'est que l'ouverture ne se faisait qu'en appuyant sur ce bouton, provoquant la scène de l'explosion au point que les soumis vivaient cette mise du collier comme une condamnation à mort.

"Bien, la suite des festivités débutent. Mesdames et messieurs, choisissez votre soumis."

On ne se battit pas, il y en avait pour tout le monde. Les grands canapés autour de la salle furent sollicités et plusieurs matelas déposés là où les tables se trouvaient. C'était un lieu de débauche désormais et les soumis se faisaient sélectionnés. Ishtar était curieuse de savoir qui allait choisir Theo ou même le Prince Wy-gliff. A chaque fois qu'un soumis était choisit, on leur donnait la télécommande associée. Le pouvoir ultime de cette télécommande, donné comme preuve de plein pouvoir des clients, et regardés par les soumis avec terreur et excitation, allait certainement marqué les plus endurcis des soumis de cette salle et régaler les maîtres et maîtresses, eux parfaitement conscient qu'il n'y avait aucun danger.

"Samara, je suis bien curieuse de voir qui vous allez prendre... de même que vous, Melinda."

Les choses sérieuses allaient pouvoir commencer. Mélinda le sentait : le désir global était en train de croître, de monter. La seconde partie de la fête allait commencer, et Ishtar demande aux invités de prendre des soumis. Ils étaient tous alignés devant la foule, et certains choisissaient. Mélinda nota ainsi la présence des colliers. Elle connaissait ces colliers. Généralement, certains chasseurs d’esclaves les utilisaient. Ils fonctionnaient avec une sorte de dispositif électronique qui émettait des bips à chaque fois qu’il s’éloignait d’un appareil central. Quand le dispositif ne recevait plus le signal, le collier libérait des griffes acérées qui s’enfonçaient dans le cou de l’esclave, le tuant sur le coup. C’était une technique notamment prisée par les chasseurs d’esclaves près d'Uatis. Ishtar avait visiblement inventé une variante, et une belle ligne de soumis était en train de se mettre en place, tandis que, petit à petit, les rangs diminuaient, les convives les prenant, pour se rapprocher ensuite des confortables canapés et des matelas installés sur le sol.

« Samara, je suis bien curieuse de voir qui vous allez prendre... de même que vous, Melinda » glissa alors Ishtar.

Mélinda se mordilla les lèvres, comme si elle réfléchissait, puis esquissa un léger sourire. Le choix semblait assez évident. Samara, fidèle à elle-même, se tourna vers une femme, et lui roula une pelle, n’ayant nullement besoin de l’aphrodisiaque pour exciter sa partenaire. Mélinda, quant à elle, se tourna vers Alice. Les joues cramoisies, elle ne savait visiblement pas trop quoi faire, n’étant pas vraiment habituée aux soirées de ce genre. Mélinda s’avança alors vers elle, et caressa l’une de ses joues.

« J’ai déjà choisi... Toi, Alice.
-  H-Hein ? »

La belle Princesse n’eut pas l’occasion de dire autre chose, car Mélinda se mit à l’embrasser. Alice en rougit furieusement, se tortillant un peu sur place, et Mélinda avança l’une de ses mains, caressant ses fesses, en pressant une. La Princesse gémit, et le baiser vint ensuite se rompre.

« Ose dire que cela te déplairait, Princesse... »

Le souffle de la tête blonde était précipité, accéléré, mais elle ne nia pas. Elle ne pouvait pas le faire, Mélinda la connaissait trop bien. Elle lui ordonna de se mettre à genoux, et demanda à l’une des servantes d’Ishtar d’amener un collier, ainsi qu’une courte chaîne. Alice finit à genoux devant Mélinda, qui lui caressa les cheveux, puis elle se tourna vers Wy-gliff. Naturellement, elle avait noté l’attirance entre les deux. Un Prince et une Princesse... Il y avait de là quoi façonner des contes de fée. De la main, Mélinda fit signe à Wy-gliff de s’approcher, puis on mit un collier autour du cou d‘Alice. La Princesse avait les joues rouges, non seulement de honte, mais aussi de plaisir. Oui, Mélinda savait comment elle marchait, à force de l’avoir chez elle, et de lui faire l’amour. En son for intérieur, Alice restait une belle petite soumise, une femme qui aimait qu’on la dirige, qu’on lui donne des ordres, qu’elle se laisse faire. Le collier se referma, et elle lui ordonna de se relever.

Utilisant la chaîne, Mélinda utilisa les colliers de Wy-gliff et d’Alice pour en attacher chaque extrémité. La chaîne leur donnait du mou sur quelques centimètres, et elle était fixée à une sorte de boucle qui pouvait glisser le long du collier, leur permettant ainsi de se mettre chacun de face, ou de côté.

« Allez, allez, embrassez-vous, esclaves ! Faites plaisir à votre Maîtresse ! »

Alice rougit, et se blottit contre Wy-gliff, posant ses mains sur ses hanches, lui roulant une pelle. Elle commença par presser ses lèvres contre les siennes, se serrant contre lui, puis entrouvrit ses lèvres, envoyant sa langue dans sa bouche. Wy-gliff, de son côté, déplaça ses mains pour peloter les fesses de la Princesse, qui soupira de plaisir. La chaîne les reliait, et ils s’embrassèrent ensemble, collés l’un à l’autre, absolument magnifiques. Un sourire ravi sur les lèvres, Mélinda leur caressait le dos, puis les envoya se coucher sur un matelas, Alice sur le dessus. Mélinda se tourna alors vers Ishtar.

« J’ai vu que le fessier de la belle Alice vous tentait... Que diriez-vous d’aller le lécher de plus près, avant de le pénétrer ? Je puis vous assurer que la petite Princesse ne demande que ça... »

Mélinda la connaissait suffisamment pour le savoir.

Le spectacle d'Alice et de Wy-gliff se caressant et s'embrassant était effectivement bien érotique. Ishtar trouva un plaisir des plus égoïste à appuyer sur le bouton de la dose d'aphrodisiaque, rendant totalement fou son soumis Theorem. La première dose lui donna une érection soudaine et des bouffées de chaleurs. Je vous laisse imaginer les étapes que venaient de traverser Theorem alors qu'il était maintenant à genoux à tirer sur le collier, la langue sortie et les yeux révulsés. Son pénis était tellement dur que ça semblait douloureux et relâchait du préseprme en bonne quantité. Theorem était totalement en sueur, déconnecté de la réalité alors qu'Ishtar avait mit la main dans sa culotte à caresser son clitoris en appuyant une nouvelle fois sur le bouton, écoutant la longue plainte sexuelle de son soumis perdant totalement la tête. Le seuil dangereux avait été dépassé depuis longtemps et c'est par pur sadisme qu'elle continua son petit jeu, envoyant un soudain choc électrique à son soumis qui se raidissa immédiatement, serrant les dents et les yeux dans le vide alors qu'il retomba sur les fesses, ayant eut quelque chose d'aussi violent qu'un orgasme tant son corps s'était serré. Attirée par les dires de Melinda, Ishtar tourna sa tête dans leur direction.

"C'est exact, ma chère Melinda... J'ai même eut le loisir de goûter à son magnifique derrière. Et si pendant que je me faisait plaisir, vous repoussiez les limites physique de mon Theorem ? Ne lui explosez ps la tête tout de suite, huhu."

Elle donna la télécommande à Melinda alors qu'Ishtar se plaça derrière la jeune humaine pour écarter ses fesses délicieuses. Dévoilant son anus et son vagin dégoulinant de liquides sexuels, la dragonne commença à passer sa longue langue sur ces corps offert, masturbant Wy-gliff en même temps. Après un long et enivrant cunnilingus suivit d'un anulingus, Ishtar caressa entre ses cuisses de l'autre main. Une énergie ténébreuse vibra alors que la dragonne baissa sa culotte de latex, faisant sortir une puissante verge au gland orné d'un prince albert et de plusieurs piercings le long de la verge sur le dessous. Tout son sexe féminin avait disparu au profit d'un pénis puissant et de testicules. La dragonne guida le sexe du prince dans le vagin d'Alice avant de pousser sa propre verge dans le fondement de l'humaine, la faisant prendre en double. Ishtar se donna à coeur joie, enculant sa ménagement Alice et forçant un vas et vient puissant et stimulant. Ecrasant sa poitrine encore contenue dans son uniforme contre le dos d'Alice, elle empoigna ses gros seins par la même occasion, les serrant et les stimulant.

"Tu pourrais laisser Wy-gliff venir en toi ma belle... Je suis sûre que sa semence est compatible... Il te feras de beaux petits bébés vigoureux... Huhuhu !"

Cantonnée au rôle de simple spectatrice, Mélinda en profitait pour se rincer l’œil, un sourire sur le coin des lèvres. Alice n’était pas que son amie, ou une cliente occasionnelle, c’était aussi une amante, et, à bien des égards, Mélinda s’identifiait à elle. Alice avait grandi sans mère, comme Mélinda, et, sans pouvoir oser prétendre à ce rôle, Mélinda avait tout de même essayé d’éduquer Alice, de lui apprendre à comprendre un peu mieux son corps, et ce que ce dernier demandait. Par ailleurs, c’était aussi elle qui hébergeait Alice sur Terre, ou quand cette dernière devait se rendre à Mijak pour une quelconque audience avec le Conseil Impérial. La Princesse préférait le confort et la sécurité du harem de Mélinda aux coursives du palais, où elle avait tendance à se perdre, et où elle n’avait pas spécialement confiance envers tous les Mijakiens. La vampire y repensait, alors qu’Alice continuait à embrasser Wy-gliff, et qu’Ishtar enfonçait son chibre dans ses fesses. La Princesse se retrouva à quatre pattes, poussant des gémissements, avant que le sexe de Wy-gliff ne se perde également en elle. Deux solides membres s’enfoncèrent en elle, et la Princesse se mit à hurler, ses cris partiellement étouffés par les baisers de son amant masculin, se transformant alors en gémissements étouffés, en longs soupirs langoureux.

Mélinda, de son côté, observait lentement Theorem, qui se tortillait sur le sol, en attendant de jouir. Lui remettre n’était pas vraiment une très bonne idée. Mélinda l’avait vendu, et, en faisant ça, elle avait clairement indiqué se désintéresser définitivement de lui. Qu’il se fasse écartelé dans des arènes, décapité, ou desséché vivant dans le désert, son sort lui était indifférent. Elle jouait un peu avec les boutons de la télécommande, et, le voyant se tortiller, ses soupirs l’énervant, elle envoya son pied s’écraser sur la verge tendue de l’homme.

« Silence, sale chien ! La ferme ! »

Elle écrasa son sexe, remuant un peu son talon, tout en observant la scène sous ses yeux. Tringlée entre les dents, Alice peinait à se retenir. Elle était en sueur, et avait posé ses mains sur les épaules de Wy-gliff, gémissant dans le creux de son cou. Mélinda sentait son sang exploser dans ses veines. La brave jeune fille était sous le charme, son corps rythmé par les mouvements d’Ishtar. La dragonne s’écrasait contre le corps d’Alice, la plaquant contre Wy-gliff, et posa ses mains gantées sur ses seins, les pétrissant généreusement.

« Tu pourrais laisser Wy-gliff venir en toi ma belle... Je suis sûre que sa semence est compatible... Il te feras de beaux petits bébés vigoureux... Huhuhu ! »

Alice poussa un nouveau cri, et Wy-gliff l’embrassa à nouveau, un baiser tendre et humide, haletant. La Princesse était en sueur, mais elle adorait ça. Oh, bien évidemment, elle ne se plaignait pas, bien au contraire ! C’était un fantasme, pour elle, que de se faire prendre ainsi, mais elle ne répondait pas à Ishtar, car elle ne le pouvait pas. Son corps était solidement pris, violemment baisé, et elle se contentait de gémir et d’haleter.

« Ah ! Ouiiiiiii, ouuuuiiii !! Haaaaaaaaaann !! Baisez-moi, haaaaaaaaaaa !! »

La Princesse eut un bel orgasme, inondant la verge du beau Wy-gliff, l’embrassant à nouveau, s’écrasant contre son corps, ses fesses toujours sévèrement tringlées par Ishtar. C’était aussi intense que bon, et Alice se reposait contre la fourrure douce de son amant masculin.

Le comportement désintéressé de Mélinda envers Theorem constituait sans aucun doute une faute aux yeux d’Ishtar, mais cette dernière pouvait en dire tout autant. Comme elle le savait très bien, le « kidnapping » de Theorem n’était qu’une excuse. L’Inu avait été pleinement consentant, et n’avait été ramené au harem qu’en étant ramené par les soldats mijakiens. Espérait-elle vraiment que Mélinda oublierait aussi facilement un tel affront ? Le simple fait qu’elle ait vendu cet homme signifiait pourtant clairement qu’elle ne voulait plus le voir. Le lui remettre sous le nez, c’était presque une sorte de provocation. Mélinda se contenta de montrer les dents quand l’Inu s’écarta d’elle.

Alice, fort heureusement, n’était pas aussi possessive que Mélinda. Elle sortait d’une intense double pénétration, et avait mal aux fesses. L’excitation qui planait autour d’elle l’aidait cependant à supporter la douleur. Heureusement, elle ne lisait pas dans l’esprit de Wy-gliff, et ne pouvait donc pas mettre fin à ses doux rêves. Un enfant entre lui et elle était impossible. Alice avait décidé choisi qui lui donnerait un enfant, et ce serait sa femme. De plus, elle doutait que son père aurait accepté une descendance émanant de l’esclave d’une femme qui avait eu un passé assez houleux avec Sylvandell. Engrosser Alice, c’était surtout une manière de s’emparer de Sylvandell, et il était impensable que ce soit un esclave qui le fasse, quand bien même il avait des ascendances nobles. Ce serait un marché de dupes. La Princesse n’avait toutefois guère envie d’évoquer ce genre de considérations politiques, et se contenta donc de se rapprocher de Theorem, allongé près d’elle. Du sperme et de la mouille s’échappaient des cuisses de la Princesse, qui n’envisagea pas de se remettre debout. Elle constata vaguement que la chaîne qui la reliait à Wy-gliff lui avait été retirée.

« Vous êtes tellement mignons tous les deux... » avoua Ishtar.

Alice eut un frisson en sentant la main de la dragonne caresser ses cheveux, et posa l’une de ses mains sur les épaules de Theorem, sentant sa verge glisser contre son corset, se rapprochant de son intimité.

« Mon beau Theorem... »

La Princesse l’embrassa tendrement sur les lèvres, pressant sa bouche contre la sienne, tout en s’étalant contre lui. Oui, c’était son ancien esclave, un homme timide, qui avait fini en prison, un être chétif... Elle avait eu pitié de lui, et l’avait arraché à une vie de bagnard. Le monde était petit, car, de manière assez imprévue, et après un parcours assez atypique, ils se retrouvaient ensemble. La boucle était bouclée.

« Fais-moi l’amour, Theorem... Prends-moi, et baise-moi... »

La femme s’était allongée sur son corps, se frottant langoureusement contre lui, comme pour l’inciter à l’agir. Non, elle n’était pas énervée ou agacée de le revoir, simplement heureuse. Elle ne le reverrait sans doute pas avant longtemps. Inferis était éloignée de Sylvandell, et Alice avait aussi ses propres obligations. Elle voulait s’unir avec lui pour une dernière fois.

Alice ne pouvait pas savoir que la perspective de coucher avec Theorem rendrait Ishtar jalouse, et n’avait donc nullement confiance d’avoir pu froisser la susceptibilité de son hôte. Mélinda, de son côté, avait choisi de les laisser, retournant voir où en était son avocate, et ses esclaves. Elle finit par se retrouver entre les bras de Samara, et il y avait peu de chance qu’elle se plaigne de coucher avec cette femme, qui était une cliente assez récurrente de son harem, et aussi une puissante démone, qui avait su gravir les échelons de la société mijakienne, pour se placer un peu comme sa garante et protectrice, au même titre que Kaileesha. Mélinda n’avait aucune raison de s’intéresser à Alice à nouveau, dès lors que la queue caudale de Samara s’enroula autour de son bassin, et la pressa contre elle, au milieu d’autres femmes ravies de pouvoir coucher avec la superbe démone.

La Princesse de Sylvandell se retrouva ainsi avec le sexe d’Ishtar dans son con, la labourant, Theorme lui servant de confortable oreiller. Les mains de la Princesse agrippaient les épaules d’Ishtar, cette terrible dragonne noire, sur laquelle quantité de rumeurs sinistres avaient circulé. On disait qu’elle dévorait les amants de sexe masculin, qu’elle couchait avec des bébés... Le genre de rumeurs propagandistes qui sortaient pendant les guerres. Il fallait diaboliser l’adversaire afin de légitimer le combat, et de renforcer la hardiesse des soldats à se battre. Alice n’y avait jamais cru. La dragonne était bizarre, très perverse, mais ce n’était pas Alice qui pouvait lui jeter le blâme. Pour l’heure, elle se faisait encore pénétrer par cette dernière, et sentir cette verge noire en elle, remuer dans son corps, la pénétrer longuement, violemment, voilà, en réalité, qui était magnifique. La timide et douce princesse sylvandine, cette jeune femme qui avait tendance à s’effacer derrière ses livres, se libérait ici totalement, bercée par ce mélange de sexe, de cuir, et de latex. Elle sentait Ishtar tomber sur elle en labourant son corps, sentir le cuir de son torse heurter le sien, leurs vêtements se frottant et crissant entre eux. Ce crissement était délicieux, comme une rivière de perles entre elles. Dans son dos, Theorem s’appuyait sur ses seins, et elle sentit la queue caudale d’Ishtar glisser le long de ses jambes, filant vers Theorem. La verge de l’Inu heurtait son intimité, glissant parfois sur la verge d’Ishtar quand cette dernière filait en arrière pour revenir.

« Oh... Ohhh, ahhh !! »

Alice gémissait et haletait, fermant les yeux parfois, basculant sa tête vers l’arrière, ayant du mal à retenir sa salive sous l’effet du plaisir. Elle était prise au sein d’un couple, et elle trouvait ça délicieusement excitant. Loin de la dégoûter, cette sensation aiguisait sa perversion, faisant brûler le feu sauvage et rebelle du dragon qui bouillonnait en elle. Elle sentit alors les doigts d’Ishtar s’enfoncer dans ses fesses, et soupira, écarquillant brièvement les yeux, en se crispant contre le corps d’Ishtar. Les deux femmes étaient en sueur, et les cheveux d’Alice remuaient dans tous les sens, ses joues rougies par le plaisir et l’effort. Oh, c’était intense, vraiment ! Elle mouillait follement, et eut un orgasme avant qu’Ishtar ne finisse par jouir.

L’Infernoise prit clairement tout son temps, ne voulant pas brusquer les choses, et, quand elle jouit, Alice sentit le flux venir. Elle bascula sa tête en arrière, l’enfouissant dans le cou de Theorem. Les deux la berçaient : Theorem, par ses léchouilles et ses attouchements, Ishtar par cette pénétration brutale et cette vive domination qu’elle exerçait sur les deux. Elle la sentit jouir en elle, longuement, des filaments de sperme fondant dans son corps, faisant lentement grossir son estomac, dessinant une belle bosse. Quand Ishtar se retira, Alice soupira longuement, en sueur, éreintée... Mais comblée. La verge d’Ishtar se retira, couverte de sperme et de mouille, et Alice regarda le plafond, caressant son ventre arrondi. Elle venait bien de prendre un petit kilo dans le ventre.

« Pfiou... Ce fut très intense, commenta alors Ishtar. Maintenant ma belle Alice, et si tu nous nettoyais avec ta douce langue, comme le ferait Theorem ? »

Alice cligna lentement des yeux, et releva la tête, s’appuyant sur ses avant-bras. Ishtar était en sueur, mais Alice n’allait pas se refuser ça. Elle sourit lentement, et entreprit de se relever. Son cul était en feu, mais cette douleur, loin de la stopper, ne faisait que l’exciter davantage.

« Comme vous voulez... Maîtresse. »

Elle le dit sur un ton espiègle, et rejoignit la femme, embrassant sa tenue en cuir. Honnêtement, elle n’avait absolument aucune idée de ce qu’Ishtar voulait. Qu’elle la lèche comme une chienne ? Alice pouvait le faire, mais elle ne pensait pas qu’être recouverte de salive la nettoierait... Elle remarqua alors le sexe noir d’Ishtar, assez sale, et tout en léchant la tenue de cuir, l’embrassant et la mordillant, remontant lentement dessus, avança l’une de ses mains pour la masturber tendrement. Elle y allait lentement, avec douceur, à quatre pattes, et frottait surtout ses lèvres contre le cuir, satisfaisant ses penchants fétichistes.

« Hum-hum... »

Après quelques instants, elle finit par descendre jusqu’à la verge d’Ishtar, et entreprit de prendre son chibre en bouche, le léchant et le suçant, creusant ses joues en aspirant de l’oxygène, entreprenant ainsi de laver ce membre de ce qui s’était déposé dessus.