Re: Retour à Nachtheim [Ishtar Naviento]
Posté : 20 août 2024 01:20
Mélinda pencha la tête sur le côté en voyant Ishtar repousser les avances de l’homme quand il la gifla.
*Pas si prostituée que ça... Mais je mentirai en prétendant être surprise.*
Comprendre pourquoi Ishtar avait voulu faire ce petit jeu était un exercice intellectuel auquel Mélinda se prêtait volontiers. Sa version des choses était qu’Ishtar voulait en finir avec son passé, ou, plutôt, se prouver pour de bon qu’elle n’avait pas le profil d’une soumise. Et la manière qu’elle avait de remettre à sa place son « client » l’illustrait. Ce n’était pas lui qui menait la danse, même si elle en avait l’impression, mais bien elle. Dans une relation sexuelle, il y avait toujours un rapport de force, qu’il soit marqué ou non. Il y avait toujours quelqu’un qui prenait l’initiative sur l’autre, qui dirigeait les choses, qui s’imposait, une figure « masculine », même si elle pouvait échoir à la femme. Et c’était bien le cas ici. Ou, comme on le disait autrement, chassez le naturel, et il revenait au galop.
La seconde conclusion à en tirer, c’était que Mélinda ne voyait pas Ishtar se cantonner dans ce rôle de soumise qu’elle voulait jouer avec elle. Avec Ishtar, la vampire progressait vraiment à tâtons, car elle doutait que les sentiments qu’Ishtar ressentent ne s’étalent sur la durée, en grande partie parce que Mélinda était mariée, mais aussi parce qu’elle savait que la dragonne aimait Theorem. Un amour vicieux et pervers, mais qui avait quand même conduit la Dragonne à acheter à prix d’or (et même au-delà de ça) la propriété de Theorem.
*’Pas évident, de se plonger dans la mentalité d’une dragonne comme Ishtar...*
Elle vit le client jouir en elle, avant de se retirer précipitamment. Mélinda choisit de ne pas venir la voir, continuant à la surveiller de loin, et sentit quelque chose vibrer le long de ses fesses. Elle attrapa le téléphone portable tekhan qu’elle s’était achetée, et qu’elle utilisait quand elle était sur Terra. Ses yeux se froncèrent devant l’appareil, Mélinda étant, comme toujours, assez réfractaire à la technologie. De plus, le réseau était très mauvais, car la couverture satellite s’étendait surtout à Tekhos. Fort heureusement, dans une ville comme Lumen, il existait quelques antennes et relais pirates permettant de redistribuer le signal, mais dans une puissance très faible. Elle sourit néanmoins en voyant Ishtar lui dire qu’elle avait eu son premier client.
Mélinda aurait pu lui répondre, mais elle avait du mal avec les téléphones, et choisit donc de le ranger, surtout que quelqu’un d’autre approchait. Un homme en débardeur, portant un tatouage sur le biceps, et qui avait de solides bras musclés. Lui n’était pas marin, mais docker, habitué, chaque journée, à soulever quantité de lourdes caisses pour les charger sur des navires. Il fumait une cigarette à l’entrée de la ruelle, et sourit devant la femme, la détaillant des pieds à la tête, une érection déformant son pantalon.
« Mazette, comment tu as fait pour te perdre dans les bas-fonds, toi ? »
Il commençait à retirer sa ceinture en s’approchant.
« Commence par me sucer, salope, t’inquiètes pas pour le prix, mais je vais enculer ton gros cul de pute en ayant ma queue bien dure. »
Son pantalon glissa le long de ses jambes poilues, révélant un boxer déformé par une grosse verge.
*Pas si prostituée que ça... Mais je mentirai en prétendant être surprise.*
Comprendre pourquoi Ishtar avait voulu faire ce petit jeu était un exercice intellectuel auquel Mélinda se prêtait volontiers. Sa version des choses était qu’Ishtar voulait en finir avec son passé, ou, plutôt, se prouver pour de bon qu’elle n’avait pas le profil d’une soumise. Et la manière qu’elle avait de remettre à sa place son « client » l’illustrait. Ce n’était pas lui qui menait la danse, même si elle en avait l’impression, mais bien elle. Dans une relation sexuelle, il y avait toujours un rapport de force, qu’il soit marqué ou non. Il y avait toujours quelqu’un qui prenait l’initiative sur l’autre, qui dirigeait les choses, qui s’imposait, une figure « masculine », même si elle pouvait échoir à la femme. Et c’était bien le cas ici. Ou, comme on le disait autrement, chassez le naturel, et il revenait au galop.
La seconde conclusion à en tirer, c’était que Mélinda ne voyait pas Ishtar se cantonner dans ce rôle de soumise qu’elle voulait jouer avec elle. Avec Ishtar, la vampire progressait vraiment à tâtons, car elle doutait que les sentiments qu’Ishtar ressentent ne s’étalent sur la durée, en grande partie parce que Mélinda était mariée, mais aussi parce qu’elle savait que la dragonne aimait Theorem. Un amour vicieux et pervers, mais qui avait quand même conduit la Dragonne à acheter à prix d’or (et même au-delà de ça) la propriété de Theorem.
*’Pas évident, de se plonger dans la mentalité d’une dragonne comme Ishtar...*
Elle vit le client jouir en elle, avant de se retirer précipitamment. Mélinda choisit de ne pas venir la voir, continuant à la surveiller de loin, et sentit quelque chose vibrer le long de ses fesses. Elle attrapa le téléphone portable tekhan qu’elle s’était achetée, et qu’elle utilisait quand elle était sur Terra. Ses yeux se froncèrent devant l’appareil, Mélinda étant, comme toujours, assez réfractaire à la technologie. De plus, le réseau était très mauvais, car la couverture satellite s’étendait surtout à Tekhos. Fort heureusement, dans une ville comme Lumen, il existait quelques antennes et relais pirates permettant de redistribuer le signal, mais dans une puissance très faible. Elle sourit néanmoins en voyant Ishtar lui dire qu’elle avait eu son premier client.
Mélinda aurait pu lui répondre, mais elle avait du mal avec les téléphones, et choisit donc de le ranger, surtout que quelqu’un d’autre approchait. Un homme en débardeur, portant un tatouage sur le biceps, et qui avait de solides bras musclés. Lui n’était pas marin, mais docker, habitué, chaque journée, à soulever quantité de lourdes caisses pour les charger sur des navires. Il fumait une cigarette à l’entrée de la ruelle, et sourit devant la femme, la détaillant des pieds à la tête, une érection déformant son pantalon.
« Mazette, comment tu as fait pour te perdre dans les bas-fonds, toi ? »
Il commençait à retirer sa ceinture en s’approchant.
« Commence par me sucer, salope, t’inquiètes pas pour le prix, mais je vais enculer ton gros cul de pute en ayant ma queue bien dure. »
Son pantalon glissa le long de ses jambes poilues, révélant un boxer déformé par une grosse verge.