The Multiversity

Miyuki se laissait prendre avec amour par Megumi, elle adorait la sentir en elle et c'est peut-être rien, mais comme elles faisaient ça dans son lit – et pas celui de Megumi, un bureau ou autres – cela avait une toute autre saveur. Bien plus de signe que tout cela promettait d'être excellent entre elles. Elle se faisait prendre le cul, elle couinait doucement de plaisir pour ne pas trop crier. Son cul rebondissait sous les coups de reins de sa belle patronne qui savait mélangée amour et autorité avec elle, elle était toujours en extase quand il s'agissait de se faire baiser par elle. La sentir la besogner ainsi, soumise à elle, c'était ça qu'elle adorait, sentir ses mains la caresser en douceur, c'était tellement plaisant aussi. Gémissements, petits gémissements, petites insultes, le temps qu'elles prennent leurs pieds, elles passaient par bien des stades ensemble. Megumi sentait son cul se remplir de la semence bien chaude et délicieuse de sa partenaire, arrosant ses draps par la même occasion avant de se faire retourner afin que cette fois, elle cherche à lui remplir sa chambre à bébés.

« Haaaaaan ! Haaaaaan ouiiiii Miyukiiiii... Oh, oui... Regarde-moiiiii quand tu me baise~ »

Miyuki se caressait la poitrine qui remuait déjà pas mal sous les coups de reins de Megumi, partageant un autre lien par le regard qui les unissaient. Elle était amoureuse d'elle, sans aucun doute. Elle lui avait ouvert les yeux à ce sujet, elle qui pensait jamais partager ce genre de chose avec une autre femme, elle s'était bien trompée. Maintenant, elle ne voulait pas la quitter, espérant que ses trois filles l'accepteront dans la famille, que tout soit régler avant que son ventre ne se voit et que là, elle devrait annoncer la bonne nouvelle. Pour le moment, si le bébé était aussi gros qu'un petit-pois, dans quelques semaines ou mois, ça risquait de se voir. Par trois fois, ça lui était arrivée, elle était habituée maintenant même si sa dernière était une petite femme. Même si ce moment était à elles, elle avait une certaine impatience à partager, au moins une nuit, son lit avec ses trois filles chéries et celle qu'elle allait considérer comme sa femme. Formez une grande famille moderne et unie, elles pourraient devenir une sorte d'exemple pour les temps qui changent au Japon comme ailleurs. Tous ses hommes et ses femmes qui se mettent ensemble, étant pourtant du même sexe. Miyuki n'a jamais été contre ça, se disant même que si une de ses filles lui avouerait ça, elle n'aurait rien contre, du moment qu'elle était heureuse.

« Haaaaaaa.... Remplis-moi.... avec tout ton amouuuuuuuuur ! »

Jambes relevées, elle savourait chaque coup de reins, poussant un petit cri de plaisir chaque fois que la chair claquait ensemble. Si heureuse, tellement heureuse !

Megumi la prenait avec force, sa queue lourde et forte s’enfonçant puissamment en elle. Elle entendait Miyuki gémir, se tortillant sur le lit, la verge puissante de Megumi en elle. C’était son amante, mais Miyuki serait désormais bien plus que ça. Toute sa famille appartenait désormais à Megumi ! Tandis qu’elle la baisait, son esprit se mit à vagabonder, imaginant d’autres femmes à sa place, les propres filles de Miyuki-chan ! Megumi se pinça les lèvres, grognant encore, sa queue douloureuse s’enfonçant fortement en elle.

« Hmmm… !! D-Dieu, ce que t’es étroite, haaaa… !! »

Elle gémit encore. La puissante Futanari allait devenir « l’homme » de maison, la cheffe ! Miyuki serait son amante obéissante, et, bientôt, elles dormiraient toutes ensemble !

« Toi et tes filles, hnnn… Je vous baiserai t-toutes… Haaaa… Toutes dans ce lit, hmmm… !! »

C’était son fantasme, sa vision… Et quelle vision ! Que ne donnerait-on pas pour la voir s’accomplir ! Megumi grogna encore, et laissa les jambes de Miyuki s’enrouler autour de ses hanches. Elle commençait à suer, transpirant avec abondance, haletant et soupirant fort, pour le plus grand plaisir de son amante. Grognant encore, se pinçant les lèvres, Megumi griffait les hanches de Miyuki-chan, remuant encore plus lourdement en elle, sentant le corps de Miyuki filer d’avant en arrière, glissant sur le lit, ses cheveux s’envolant tout autour d’elle.

Elle se pencha ensuite vers elle, finissant par la prendre en missionnaire. Son puissant corps heurta le sien, et elle glissa sa main contre ses cheveux, agrippant l’arrière de son crâne, son autre main venant s’appuyer sur son épaule. Ainsi positionnée, Megumi soupira encore, proche de Miyuki, et l’embrassa. Sa main se décala ensuite de son épaule pour caresser son ventre, et, dans un dernier soupir, Megumi se relâcha, songeant brièvement à leur enfant… À la petite belle-sœur des filles de Miyuki !

« Haaaann… »

Megumi y songea avec force, jouissant joyeusement en elle, crachant d’épais filaments de foutre dans son con. Elle se mit à jouir avec force, avec passion, couinant en fermant les yeux, laissant le plaisir l’envahir, le désir submerger… Et le foutre se répandre dans le corps de son amante !

« MI-MIYUKI-CHAAAN !! »

Il n'y avait que du plaisir et de l'amour dans cette chambre, deux choses simples qui ont pourtant si longtemps manqué. Peut-être pas toujours, car le couple qu'elle avait formé avec le père de ses enfants n'avait rien d'un mariage par intérêt, mais, le travail, le fait que Miyuki tombait si facilement enceinte – presque aussitôt qu'elle venait d'accoucher – ça avait sûrement refroidi son mari. Au Japon, le préservatif était loin d'être interdit, mais sans prendre les capotes pour une hérésie ou les MST pour une invention du gouvernement, les Japonais avaient tendance à se dire négligemment « ça n'arrive qu'aux autres » donc forcément, coucher sans capotes... Elle avait eu trois beaux-enfants. Non pas que dans leur vie, ils n'aient eu que trois rapports, mais force est de constater que leur couple n'avait pas tenue, essentiellement pour les enfants, pour paraître souder, normal... Mais désormais avec Megumi, c'était le bonheur, l'épanouissement sexuel. Oh, la belle femme membrée n'avait pas échappé au corps fabuleux de cette Milf. Elle n'était pas tombé enceinte d'elle si rapidement, cela était même encore un secret, mais que Megumi ignorait qu'elle pouvait féconder ou que le taux soit si bas, ça prouvait combien Miyuki était une femme spéciale ! Avec vingt ans de moins et le bon partenaire à ses côtés – plutôt ''la bonne'' ici – Megumi et Miyuki auraient déjà eu une dizaine d'enfants, au moins !

« Haaaaaan, Megumi ! »

Elle se faisait prendre avec amour et envie, sentant son corps se faire balader dans tous les sens, sentant l'amour et le désir de cette femme la pénétrer, sa queue s'enfonçant toujours plus loin et plus fort en elle. Elle ne voulait pas crier, ne pas révéler ce qui se passait ici, même si ses filles étaient assez grandes pour se douter de ce qui se passait là-dedans, plus elle y allait et plus c'était compliqué, alors que c'était son idée de ne pas le crier haut et fort. Remuer, elle voyait tout de même sa cheffe la baiser, elle aimait se faire prendre par elle, de toute façon, jamais ô grand jamais, elle ne voulait la dominer, elle voulait que ce soit toujours Megumi qui la prenne, ce serait presque contre-nature que l'ordre des choses s'inverse. Megumi partageait la vision de Miyuki concernant ses filles, elle voulait que toutes soient rassemblées autour de leur nouvelle maman, une famille heureuse et incestueuse. Bien entendu, Miyuki ne forcera pas ses filles, si elles n'en ont pas envie de coucher d'abord avec Megumi, car les femmes ne les intéressaient pas ou autres, elle ne les forcera pas, il ne s'agissait pas de les violer quand même, mais tant que la réponse n'était pas un non très clair, Megumi avait carte blanche pour partager de son amour avec ses filles et pourquoi pas, comme elle le désirait, venir dormir toutes ensemble dans le grand lit ? Elles ne feront pas qu'y dormir cela dit...

« Haaaaaan, ouiiiiii ! Toutes enseeeeeeemble ! »

Megumi y allait de plus en plus, alors que ses jambes s'enroulaient elles aussi de plus en plus fort autour d'elle et quand vint ce grand moment, elle ne put retenir le cri de plaisir qui s'échappait de sa gorge en compagnie de celui de sa patronne.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!! »

Le corps cambré en arrière, elle sentait le foutre lui remplir l'utérus, même si ce dernier abritait déjà un petit être qui commençait à peine à grandir, ça faisait toujours autant de bien de se sentir rempli. Ce secret sera dévoilé quand elle aura conquis ses trois filles, que toute la famille soit au complet, heureuse. Elle avait bien senti pendant son assaut, les caresses sur son ventre, mais il était trop tôt pour vendre la mèche. Le corps en sueur de sa patronne était lourdement écrasé contre elle, Miyuki respirait fortement, sans chercher à repousser son amante. Elle était si bien contre elle après tout.

« Mmmmmh, Megumi.... Je t'avais dit de ne pas crier... »

Elle était aussi coupable, mais elle n'avait qu'à pas lui faire aussi bien l'amour aussi ! Cela avait été dit un peu avec humour même si Megumi serait capable de se sentir honteuse si demain, une de ses filles viendrait souligner ce qu'elle avait entendu. Même si son intimité était bien remplis, cela ne voulait pas dire qu'elle était rassasiée pour la soirée...

Megumi et Miyuki s’unirent à nouveau. La patronne était quand même assez excitée, heureuse de pouvoir enfin coucher avec son employée et petite-amie dans sa chambre intime, chez elle ! Miyuki avait définitivement franchi le pas, et elles formaient désormais un pur couple. Le Japon restait malheureusement encore un pays très conservateur, où le mariage homosexuel n’était pas admis. Cela faisait du Japon le dernier pays du G7 n’ayant pas autorisé le mariage homosexuel, mais Megumi conservait bon espoir que cela vienne. La population n’y était plus hostile, et elle disait souvent à Miyuki qu’elles seraient le premier couple homosexuel à se marier sur le sol japonais ! D’ici là, cela n’empêcherait pas Megumi d’enfanter Miyuki. Mais, pour l’heure, les deux femmes venaient de jouir.

Unies ensemble, la verge de Megumi plantée dans le con de Miyuki, la puissante hermaphrodite venait de relancer plusieurs couches de sperme. Miyuki était une femme très fertile, ce qui n’était pas le cas de Megumi. À dire vrai, elle avait toujours pensé être inféconde, mais, avec Mioyuki, qui sait ? Megumi avait retrouvé l’espoir de la rendre enceinte après avoir procédé à une analyse de son sperme, qui lui avait révélé qu’elle pouvait enfanter. L’idée d’avoir un enfant était désormais très forte pour Megumi. Cette femme si sûre d’elle, qui avait tout réussi, cette dominatrice assumée, se reprenait à avoir son rêve inaccessible depuis qu’elle était hermaphrodite : avoir une progéniture. Un rêve qu’elle pouvait désormais accomplir avec Miyuki…

…Qui lui fit observer qu’elles ne devaient pas crier. Megumi croisa son regard, légèrement surprise, et posa un doigt sur les lèvres de Miyuki.

« Ai-je rêvé, ou ai-je entendu ma petite Miyuki-chan me faire des reproches ? Ce n’est pas parce que nous sommes dans ton lit que tu peux parler ainsi à ta Maîtresse, ma petite Miyuki… »

Surtout que, dans l’absolu, c’était plutôt elle qui avait hurlé fort ! Elle voyait les délicieuses joues rouges de Miyuki, et sentait surtout en elle un désir latent. Miyuki avait été formée à bonne école par Megumi, qui la baisait tous les jours au bureau. Il n’y avait pas une seule pièce de l’entreprise dans laquelle elles n’avaient pas forniqué avec force. Megumi lui sourit donc, retrouvant avec plaisir son rôle naturel de Maîtresse. Elle frotta son nez contre celui de sa partenaire, jouant avec elle, et l’embrassa alors, plaquant sa bouche sur la sienne.

« Je crois qu’il va falloir que je te réapprenne la discipline, ma chère Miyuki-chan… »

Megumi remua un peu. Elle venait de sodomiser Miyuki, alors elle se demandait bien quoi faire davantage pour la punir… Chez elle, Megumi avait un donjon dans son appartement, une chambre de plaisir, mais elle ne savait pas si Miyuki disposait d’une telle pièce. L’un dans l’autre, cela ne l’empêcha pas d’orienter son sexe vers sa chatte, puis de la prendre doucement en missionnaire. Un frisson traversa le corps de Megumi à ce contact, et elle remua en elle.

« Petite traînée… Haaa… Tout ce que tu veux, c’est que je te baise encore et encore ! »

Chez elle, Megumi avait une chambre spéciale, un donjon. Quand elles se rendaient dans cette pièce, Miyuki savait que la nuit serait un mélange redoutable de sexe et de plaisir. Mais, ici, il n’y avait pas de chambre rouge, pas de donjon. Punir Miyuki allait donc nécessiter de l’improvisation. Avec sa verge bien dressée, Megumi se sentait toutefois inspirée. Elle regarda autour d’elle, et attrapa un oreiller, puis en retira la taie.

« Tu es vraiment une incroyable salope, Miyuki-chan… Mais comment puis-je punir la salope que tu es, alors que je n’ai pas mes outils avec moi, hum ? »

Pas de fouet à abattre, pas de liens, pas de chaînes, pas de plugs, Megumi tira sur la taie, formant une sorte de long nœud, et l’enroula autour du cou de Miyuki. Elle serra ensuite, venant étrangler la jeune femme, tout en retournant s’enfoncer dans son cul. Experte en la matière, Megumi agit donc. Elle avait déjà utilisé la strangulation sexuelle avec Miyuki. Il fallait doser le manque d’oxygène. L’idée était d’étouffer provisoirement sa partenaire pour la stimuler davantage lorsqu’elle relâchait la pression.

Mais il s’agissait avant tout de la punir, alors Megumi agissait avec force, faisant craquer le lit. Elle relâchait la pression de la taie, laissant Miyuki respirer à nouveau, et la fessa à nouveau, claquant son cul. Avec son autre main, elle attrapa les cheveux moites de Miyuki, et tira dessus, la redressant. Une nouvelle claque résonna sur son cul, et Megumi continuait à se laisser aller, grognant et soupirant, bandant ses muscles pour mieux pénétrer sa partenaire.

« Hurrmpff ! grogna-t-elle. Espèce de… Sale chienne, haaa ! De salope indisciplinée… ! »

Elle grogna encore, trop heureuse de la prendre, de la besogner à nouveau… Encore !

Miyuki était la chose de Megumi, il en a toujours été ainsi. De base, elles avaient d'abord une relation patronne et employée, laissant forcément Megumi au-dessus d'elle. Puis avec leur récent rapprochement, la supériorité avait un autre visage. Forcément, Miyuki fut intimidé à l'idée d'essayer le BDSM, mais quelque part, c'était ainsi au travail. Sans être une patronne tyrannique qui la rabaisse, Megumi demandait, Miyuki obéissait. La douleur s'était juste rajouter entre les deux. Il est vrai qu'au début de sa rupture, Megumi n'était en rien sadique, au contraire, elle n'était que douceur avec elle, mais ce fut pour mieux l'attirer entre ses pattes et de fil en aiguille, leur relation produisait un bruit de chair qui claque, de juron lancé sur Miyuki, d'une certaine dose d'humiliation et, peu importe ce qui se produisait, elle aimait ça. Étais-ce le manque d'amour de son mari qui lui faisait forcément aimer ce que Megumi lui imposait ? Était-ce simplement le véritable amour ? Ou même une petite ouverture vers des fantasmes si bien cachés et enterrer qu'elle n'aurait jamais imaginé aimer ? Peut-être même un peu de ses trois options. Ici, c'était une modeste maison, bien assez grande pour la petite famille, mais il n'y avait pas de pièce secrète pour un donjon ou autre, mais si l'avenir se dessine radieusement, elles devront déménager, tourner la page de ses anciens souvenirs, ne serait-ce pour que leur futur bébé secret puisse avoir sa propre chambre.

Miyuki couinait de plaisir sous les ordres de sa maîtresse qui lui prenait le cul en improvisant de quoi l'étrangler doucement, lui coupant ainsi la respiration. Il y avait toujours cette petite peur qu'elle aille trop loin dans ce genre de choses, même si elle lui faisait confiance, un accident est si vite arrivée. Mais Miyuki ressentait cette voie profonde de retrouver l'air remplir ses poumons ou en sortir, cela dépendait du moment. Ses doigts touchaient son collier de fortune qui lui coupait l'air, avant de le retrouver pour mieux gémir et couiner sous les assauts aussi amoureux qu'autoritaire de cette sublime femme qui lui faisait rattraper ses années à se sentir délaissée. Il y aura du travail pour rattraper un si vieux retard, mais Megumi ne semblait pas effrayer par ce défi ! Quand son collier se retira, elle fut tiré par les cheveux, ses mains ayant de mal à garder l'appuie sur le lit, mais la joie de sentir son cul se faire autant remplir et claquer allait au-dessus.

« Haaaaaaan ! Maîtresse !!!! Oh pardon Maîtreeeeeeeeeesse ! »

Avec l'âge, trois enfants et des années à se sentir délaissé, on pourrait croire que la nature n'aurait pas été tendre avec elle, mais même si elle n'avait pas la même silhouette fine que ses trois filles, elle avait un autre genre de charme plus mature, légèrement plus ronde. Son cul était sûrement la plus belle preuve que l'âge et la maturité savait se montrer généreux. Combien de fois sa patronne lui a t-elle pris le cul ? Sans avoir fait les comptes, elle était persuadé qu'elle avait plus jouis dans son cul qu'entre ses cuisses. Cela n'était pas grave, surtout qu'elle savait que la petite graine était déjà plantée donc, elle n'avait pas besoin de forcer Megumi à jouir entre ses cuisses. Son ancien mari lui reprochait d'être trop fertile, mais sur ça, il avait eu raison. Même si elle n'était pas rapidement tombé enceinte de sa patronne, ce fut quand même rapide, surtout si l'on sait combien il était plus difficile dans cette situation d'attendre un enfant. Mais le secret sera révélé une fois qu'elle aura réussi à convaincre ses trois filles qu'elle pouvait rester à la maison.

La belle maman plaçait doucement ses bras dans son dos, comme ligoter par un lien invisible, elle voulait que sa maîtresse la maîtrise et se défoule plus encore sur son cul, se sentir écrasée et maîtrisée jusqu'à en jouir par le cul !

Coucher avec Miyuki était toujours un exercice éprouvant, épuisant, mais terriblement excitant. Megumi avait toujours été très volage. Une dominatrice pur jus, qui avait du mal à s’attacher, qui virevoltait. Des esclaves, elle en avait eu, mais elle avait toujours fini par arrêter quand les relations devenaient trop toxiques. S’attacher était quelque chose de très compliqué pour Megumi, qui n’apparaissait peut-être pas aussi dominatrice et sûre d’elle qu’elle aimait l’afficher. Mais une Maîtresse ne devait jamais flancher devant sa soumise ! Toujours est-il que, avec Miyuki, Megumi avait franchi le pas. Pour ne pas s’attacher, elle n’avait jamais mélangé le travail et le plaisir, mais, face à Miyuki, elle avait doucement goûté au fruit défendu. Tout le reste n’avait ensuite plus été que débauches. Elle la prenait avant une réunion, Miyuki la suçait sous le bureau, Megumi la bourrait sur la photocopieuse, dans la machine à café, dans les toilettes… Pas une seule salle ne leur avait échappé ! Et Megumi comptait bien faire de même ici, dans cette maison.

Sa puissante verge pilonnait avec jubilation le cul généreusement offert de sa partenaire. Elle sentit Miyuki se tortiller sur place. Cette séance extrême n’était pas pour déplaire à la jeune femme. Maintenant, Megumi le savait, mais, initialement, elle avait pu parfois avoir des remords ou des doutes, craignant d’y aller plus loin avec cette « rookie ». L’expérience avait toutefois su démontrer que Miyuki était terriblement perverse, alors Megumi pouvait y aller sans problème. Elle la vit d’ailleurs joindre ses mains dans son dos, comme pour simuler un attachement, et Megumi sourit.

« Petite salope, tu espères que je te ligote, hein ? Hmmm… Mais je n’ai pas amené mes jouets, haaa… Je le ferai progressivement, et toi… Toi, grosse chienne, hmmm… Tu passeras la nuit attachée dans le lit, dans une combinaison de latex, deux godes dans le corps, à te tortiller sur place en couinant… Haaan, espèce de sale truie, hmm… ! »

Que d’amour et d’affection ! Megumi se laissait aller, faisant preuve, encore une fois, de son endurance surnaturelle en la matière. Elle continuait à remuer en elle, s’unissant à son corps parfait, continuant à la prendre, encore et encore ! Megumi finit néanmoins par ralentir le rythme après une grosse claque qui jeta Miyuki sur un oreiller, étouffant son cri contre ce dernier. D’une main, Megumi attrapa la taie de l’oreiller, et l’enroula autour des poignets de sa partenaire, s’en servant comme d’une corde improvisée, d’un lien pour l’immobiliser, et pouvoir mieux la violenter sexuellement !

Comment l'expliquer à quel point elle tenait à Megumi ? Car elle avait été là quand son couple battait de l'aile ? Car elle lui avait ouvert les yeux sur un autre monde ? Car elle comblait chacune de ses attentes là où avec son mari, elle vivait surtout d'abstinence ? Elle ne pourrait pas dire précisément la raison, mais elle l'aimait et elle en était heureuse. La preuve en est, elle allait passer la nuit à ses côtés, dans le lit conjugal. Mais le repos n'était pas encore prêt à arrivée pour le moment, car Miyuki était très gourmande. Elle avait tant d'années de plaisir à rattraper et Megumi lui offrait cela avec plaisir ! Sa particularité physique faisait qu'elle lui donnait ce que son mari n'avait su lui offrir ainsi que tout un panel de choix impossible quand elle était en couple avec un homme. Elle était deux en un. Elle couinait de plaisir à se faire prendre par sa belle patronne, plaçant ses poignets dans le bas du dos. Certes, elle n'avait pas ses jouets, ce qui était dommage, mais ça leur permettait de revenir à quelque chose de plus simple, plus intimiste et plus marquant pour cette première fois ici. Megumi pouvait juste lui tenir les bras pour la bloquer et en profiter, ce serait tout aussi plaisant.

Elle fantasmait à cette idée d'être immobilisée et couverte de latex avec de quoi la sustenter en elle. Cela l'empêcherait de câliner Megumi dans son sommeil pour un petit câlin surprise après un doux rêve ou un vilain cauchemar, mais pourquoi pas. De toute façon, elle avait toujours de très bonnes idées à proposer pour leurs propres plaisirs donc elle était prête à lui faire confiance sur ce sujet, qu'importe l'envie. Elle aimait la sentir plus forte et plus autoritaire, tombant sur le lit avec cette fessée qui allait marquer sa chair. Elle ne raffolait pas forcément de la douleur, mais concernant son cul, c'était une zone érogène alors forcément, si elle laisse la trace de sa main, elle en raffolait. Usant d'un petit système maison, elle usa d'une taie d'oreiller pour attacher ses poignets dans son dos, la laissant sous l'emprise de sa maîtresse. Elle pouvait mieux crier, le visage dans l'oreiller, mais elle préférait quand même voir son amante la regarder avec envie et domination.

« Haaaaannnn ouiiiiiii.... Défoncez-moi le cul, Maîtresse~ »

Ce n'était pas simple, mais elle tentait s'écarter les cuisses pour que Megumi circule mieux en elle, qu'elle puisse donner plus de force à ses mouvements et ainsi mieux la baiser ! Elle avait déjà hâte de subir sa prochaine envie ! Peu importe combien elle était secouée par elle, Miyuki adorait ça, mais elle savait que ce n'était qu'un fragment de tout ce qu'elle pouvait lui offrir. À première vue, leur relation était purement sexuelle, mais Miyuki voyait bien au-delà, ne serait-ce que par ce qui grandissait doucement en elle. Elle n'était pas que sa patronne, sa maîtresse, sa petite amie... Elle était aussi la mère de son futur bébé...

Quand Megumi avait vu Miyuki, elle avait vite su qu’elle devaitagir. Une aussi belle femme ne devait pas rester seule ! Cela serait un sacrilège, un blasphème par rapport à sa beauté. Si la nature avait rendu Miyuki belle et fertile, c’était pour qu’elle serve ! Megumi avait rapidement craqué sur elle, au point de franchir toutes les limites, jusqu’à devenir son amante, et avoir envie de vivre avec elle. La perversion de Megumi n’avait cessé de croître en compagnie de Miyuki, jusqu’à arriver à la situation actuelle, où les deux femmes se faisaient vigoureusement l’amour dans son lit. Est-ce que ses filles allaient les entendre ? Oh, cela ne dérangerait pas Megumi, bien au contraire ! Elle en salivait même d’envie ! Miyuki voulait que Megumi se charge de leur éducation sexuelle. Elle ne voulait pas que ses enfants adorés rencontrent les mêmes déboires qu’elle en s’offrant à des garçons idiots. Et ce choix d’éducation, Megumi le respectait tout à fait.

Elle vit Miyuki remettre ses mains dans son dos, pour les regrouper. Megumi soupira doucement, limitée dans ses déplacements par le fait qu’elle devait pilonner le cul de la jeune femme. Megumi soupirait longuement, et se pinça les lèvres en enfonçant sa trique jusqu’à la garde dans le cul serré de Miyuki.

« Je vais ramener… Mes affaires… Dès demain, haaa… J’ai hâte de te baiser dans chaque pièce de ta maison, ma salope… Ooohh… »

Sa main libre gifla encore le cul de la femme, et elle la déplaça ensuite. Curieuse, Megumi ouvrit le tiroir de la table de chevet, et sentit une paire de menottes à l’intérieur. Elle sourit doucement, constatant qu’il y avait là quelques objets attirants. Dire qu’il suffisait juste pour ses filles d’ouvrir ce tiroir… Mais sans doute n’avaient-elles jamais osé le faire ? Après tout, elles étaient polies et bien élevées ! Megumi attrapa les menottes. Elles étaient de couleur roses. Nul doute que la police ne devait jamais utiliser de telles menottes. Megumi, avec sa main libre, attacha une menotte autour d’un des poignets de Miyuki, puis attacha l’autre menotte sur son autre poignet. Bras liés dans son dos, Miyuki était désormais à sa merci !

Pour l’empêcher de tomber, Megumi la retenait par la laisse autour de son collier, et, quand elle tirait sur la bride, cela avait pour effet d’étrangler à moitié la jeune femme. Mais est-ce que cela dérangerait tant Miyuki ? Megumi grogna avec plaisir, soupirant longuement, et gifla encore le cul de sa partenaire. Elle la sentait mouiller sur sa queue, et sourit encore.

« A-Allez… Jouis, ma salope… Jouis, petite pute ! Rends ta Maîtresse heureuse, et… Hmmm… Jouis, sale chienne ! »

Miyuki était une belle femme qui ne demandait qu'à vivre heureuse dans sa vie. Maintenant que Megumi était entré dans sa vie, elle voulait vivre heureuse, ensemble. Elle portait déjà le fruit secret de leur amour en elle, elle le lui annoncerait une fois que ce sera sûr, une fois que ses filles auront elles aussi accepter sa patronne à leurs côtés. Elle fantasmait bien sûr sur l'idée que Megumi puisse croquer dans ses jeunes fruits si mûrs et juteux, mais, au moins qu'elles l'accepte dans la famille. Elle ne demandait pas à ce qu'elles lui offre autant d'amour qu'à elle dés le départ, mais que pour le bien de leur mère, elles acceptent Megumi dans leur maison. Quand tout cela sera fait, elle annoncera cette grande nouvelle à son amante. Elle n'a jamais vraiment parlé vouloir un enfant, pas de façon sérieuse, mais, une femme avec une trique pareille, elle avait dû étonner plus d'un homme donc, forcément, elle s'est plus centrée sur les femmes et avec l'âge, vouloir des enfants... Miyuki était sa solution.

« Haaaaaan ! Maîtesse !!! »

Elle avait si hâte, de se faire prendre sous la douche, dans la baignoire, pendant qu'elle préparait le repas, sur le canapé, même dans les toilettes, oui, elle partageait la vision de son amante, de baptisée sa maison avec son aura. Oui, elle avait hâte de souiller le lit de ses filles, mais pour ça, elle voulait le souiller avec elles. Un petit trio de plaisir, même si c'était Megumi qui allait en profiter d'abord, maman viendra s'en occuper après. Sa patronne était toujours dans son dos, lui prenant le cul avec amour, tout en assouvissant ses envies de domination. La belle sentait chaque coup de rein buter contre son cul, la chair remuant dessus alors qu'elle augmenta son plaisir, trouvant dans son tiroir certaines choses. Ce n'était pas anodin, elle savait qu'elle viendrait ce soir, elle avait donc mis ses cadeaux en « évidence ». Des cadeaux coquins que sa Megumi d'amour lui avait fait, mettant un accent sur le fait de devenir sa chose. Menotter, avec une laisse autour du cou, ce n'est pas l'idée d'être littéralement sa chienne qui l'excitait, plus l'idée de lui appartenir. Ses coups de reins devenaient plus fort encore alors qu'elle lui ordonnait de jouir. Avec ou sans ordre, elle en approchait et mordait un de ses oreillers avec force alors que le plaisir l'envahissait. Elle hurlait son plaisir dedans, étouffants autant que possible ses cris de plaisir.

« MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!! »

Son corps vibrait de plaisir, son cul tressautait sous l'effet de son intérieur qui se remplissait de foutre chaud et ce fut une fois bien calmer, que sa mâchoire se détendait, se tournant comme elle pouvait vers sa maîtresse, menotter et tenue en laisse.

« Oh, Maîtresse.... mmmmh, je vous aime tant. »

Difficile de bien parler librement dans cette position, mais elle était sincère. Elle était partagée entre l'idée de récupérer l'usage de ses mouvements pour venir s'enlacer à elle ou si elle voulait rester prisonnière de sa maîtresse, mais elle se retourna une fois qu'elle ne fut plus en elle, s'allongeant sur le dos, son corps lui était offert et surtout, elle en voulait encore. Le point fort de Miyuki fut qu'elle a longtemps été privée d'amour et de sexe alors maintenant, elle comptait bien se rattraper avec elle. Elle l'observant, allongée sur le dos, privée de mouvements, cela ne l'empêchait pas de se tortiller doucement de plaisir et de frustration, devenant une véritable ode à la tentation.

Megumi connaissait l’appétit sexuel disproportionné de Miyuki. Sa partenaire était une femme insatiable, exigeante, et Megumi aimait ça. Elle aimait lui faire l’amour, elle aimait la baiser, encore, encore et encore. Oh, des plans, Megumi en avait ! Elle en avait beaucoup, et elle comptait bien les mettre à application avec elle. Cette maison était un grand terrain de jeu, et l’appétit sexuel débonnaire de Miyuki répondait à la soif de sexe de Megumi. La patronne avait toujours été une amante très demanderesse, mais cet appétit s’était doucement assagi, tempéré, avant que Miyuki n’entre dans sa vie. Megumi ignorait encore comment elle avait fait, comment tout cela avait éclos, mais les choses étaient ainsi faites. Megumi se tortillait sur place, continuant à sodomiser sa chérie aux bras immobilisés, giflant ses fesses.

« Hnnnn… !! Hmmmm… !! »

Des soupirs profonds et langoureux s’échappaient des lèvres de la femme. Megumi avait un bon rythme, une endurance sexuelle qui ne faiblissait pas. Face à Miyuki, il le fallait ! Megumi finit par jouir, et gémit sur place. Elle ferma les yeux en s’abandonnant à ce plaisir, répandant sa semence dans son cul. Elle termina sa sodomie par une profonde vague de sperme. Sa queue tressauta sur place, et elle cracha sa semence, son délicieux et juteux sperme. Miyuki s’effondra ensuite sur le lit, et se retourna. Les bras toujours menottés dans son dos, ses yeux pétillaient de malice.

Megumi, en sueur, passa sa main dans ses cheveux, rabattant plusieurs mèches sauvages qui s’étaient éparpillées sur son front pour les mettre derrière.

« Quel appétit, ma puce… C’est l’idée de te baiser dans ton lit qui t’excite, hein ? Mais, tu sais, comme je compte dormir désormais chaque soir dans ce lit, je vais te baiser tous les soirs, tu sais… Tu es sûre de pouvoir tenir sur la longue ? Tu es vraiment une sacrée salope… »

Elle se pencha vers elle, et l’embrassa tendrement sur les lèvres, et orienta sa verge vers ses lèvres intimes.

« …Mais tu es ma salope ♥ ! »

Megumi se releva encore, après avoir détaché les menottes de Miyuki.

« Viens me sucer, ma chérie…  Tes mains t’aideront. Donne-moi encore envie de baiser la mère de famille responsable que tu es… »

Que ce soit dans sa nature ou qu'elle avait été frustrée par tout ce manque, Miyuki était une femme très, très gourmande ! Alors Megumi avait de quoi faire avec elle, il était même plutôt rare depuis leur première fois, qu'une fois se soit passée sans qu'elles ne couchent ensemble ? Il y avait bien les dimanches ou elle profitait de ses filles, loin de Megumi au début mais sa patronne l'obligeait à lui demander certaines photos alors elle s'isolait dans les toilettes pour lui fournir ce qu'elle demandait. Certaines poses, certains dessous, certains jouets, elle n'était pas près d'elle, mais Miyuki ne manquait pas de lui obéir. Même ici, dans son lit, elle était sa prisonnière pendant que sa patronne se faisait une joie de lui prendre le cul, sans le moindre ménagement, ce qui irradiait de plaisir le visage de Megumi. Elle mordait un de ses oreillers pour contenir ses cris de plaisir. Elle avait beau aimer voir sa Megumi douce et aimante avec elle, c'était dans ce genre de moment qu'elle raffolait de sa patronne, de sentir son autorité sur elle, forcée de lui obéir, elle était aux anges.

« Mmmmmmhhhhhh~ »

Elle prenait son pied, et ce, jusqu'à l'orgasme qui inondait son joli et rond fessier si maltraité par sa bien-aimée. Elle ne put contenir entièrement les cris de plaisir, même en mordant son oreiller. La belle s'écroulait sur le lit, avant d'être libérée et retournée par Megumi qui s'écrasait sur elle, l'embrassant plus tendrement, plus amoureuse que jamais.

« Oh oui, maîtresse... Je tiendrais bon, et je m'endormirais qu'une fois que je vous aurais épuisée. »

C'était dit avec amour et dévotion, aucune mauvaise pensée n'émanait de ses lèvres, ce n'était même pas un jeu de rôle, elle était et serait heureuse d'être purement et simplement sa salope, mais qu'elles le veuillent ou non, elles s'aimaient. Elle se redressa, Miyuki l'invitait à s'asseoir – ou non – près des oreillers si elle voulait être dans un coin plus confortable avant qu'elle ne se penche sur sa verge. Elle la reniflait, juste un peu, avant que ses lèvres ne viennent embrasser son gland, l'enfonçant doucement entre ses lèvres, sa queue se faisant avaler par sa bouche de salope, elle gémissait encore doucement. Une de ses mains l'agrippait à la base, la masturbant doucement pendant ce début de fellation, sa seconde se masturbait pendant l'acte. Souillant son propre lit, elle devait rester la salope de sa maîtresse après tout. Tenant ses lèvres sur son gland qu'elle aspirait, sa main s'agitait le long de sa verge, branlant autant que possible la belle femme qui devait partager sa vie désormais. Elle était impatiente de lui révéler le secret qu'elle gardait en elle, mais pas avant que ses filles ne l'ai accepter dans la famille. Le secret sera dévoilé, en famille, pas avant. Mais jusque-là, elle n'allait pas priver Magumi de tout faire pour la foutre enceinte... C'était un plaisir de subir ses tentatives.

Pendant l'acte, qu'elle décide de jouir dans sa bouche, sur son visage ou ses seins, elle sera tout autant heureuse, qu'importe le choix. Même de passer de la fellation à la cravate de notaire, même si ça, c'était son petit péché mignon au bureau, quand elles avaient le costume qui allait avec. Voulant la pousser la plus loin possible dans ses plaisirs, Miyuki venait avaler sa queue, fermant les yeux en salivant un peu plus, bavant sur elle comme sur Megumi, elle produisait des bruits bien obscènes et délicieux, idem quand elle se libéra de cette gorge profonde, sa queue inondée de salive, la reliait à sa bouche par divers liens de bave instable. Elle était si belle en salope... Elle lisait dans son regard... Et elle en était fière et heureuse !

Megumi était, comme à son habitude, très endurante, insatiable… Une femme qu’on n’épuisait pas facilement, qui aimait coucher avec Miyuki, et qui en redemandait toujours. Mais, au-delà de son endurance habituelle, ce soir, elle voulait aussi offrir une prestation inoubliable à sa partenaire. Megumi puisait donc dans ses réserves. Elle était en sueur, et profita donc de ce court moment de répit pour reprendre ses esprits. Cela passait avant tout par retrouver un rythme cardiaque stable, par une respiration moins lourde et moins saccadée. Elle se pinçait les lèvres, le corps en sueur, jambes écartées, en voyant Miyuki s’allonger entre ses jambes. Megumi était alors assise contre le rebord du lit, et tendit sa main, venant caresser le visage de son amante. Elle glissa ses doigts sur ses cheveux décoiffés, sentant tout le désir de Miyuki, toute sa soif, tandis qu’elle continuait à palper sa queue, la léchant avec appétit. La verge de Megumi avait perdu de sa superbe, mais, entre les mains chaudes et suaves de Miyuki, elle ne tarda pas à retrouver naturellement de sa dureté.

« Hmmm… C’est bien, ma chérie… Miyuki est une gentille épouse, sa Maîtresse… Sa Maîtresse est fière d’elle. »

Parfois, il fallait aussi savoir manier les mots doux. Megumi pouvait se montrer aussi cruelle qu’adorable. L’amour fonctionnait comme cela, ambivalent, mais plein et entier. Et de l’amour, Megumi en avait à revendre concernant Miyuki. Elle soupira donc doucement, sentant peu à peu son érection revenir. Hum ! Cela faisait du bien. Soulevant sa verge, Miyuki la fourra dans sa bouche, et continua à la pomper, remuant plus longuement, jusqu’à opter pour une petite gorge profonde. Megumi, elle, commençait à rougir, sentant le désir l’emporter encore. Et, chez elle, le désir sexuel avait tendance à la stimuler, à la rendre plus violente, plus passionnelle…

« Hm… Ma petite salope, tu as très envie que ta Maîtresse revienne te baiser, hein ?! »

Dans ce cas, Miyuki allait être servie ! Megumi se redressa alors, et releva Miyuki. Elles sortirent du lit, et Megumi, en se relevant, embrassa énergiquement Miyuki. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, et elle la plaqua contre la penderie de la chambre. Changement de rythme et de position, car, cette fois, Megumi comptait bien la baiser debout !

Miyuki était très soumise, du moins, à sa partenaire Megumi, dés leur premier soir, même si sa patronne avait été plus douce, elle avait mélangé autorité et douceur, elle avait naturellement accepté que cette dernière vienne la prendre, peu importe le trou visé. Miyuki avait pendant très longtemps eu aucun rapport sexuel alors c'est sûr, une femme, même avec un pénis, elle avait accepté avec joie et n'avait jamais regretter son choix. Prise sur son bureau, en salle de réunion ou plus discrètement sous son bureau, elle avait convaincu sa patronne que l'âge n'était en rien une façon de choisir sa partenaire. Elle était une mère, de trois grandes filles, mais sa passion la plaçait au-dessus des minettes de vingt ans qui ont la vie devant elles.

Alors entre ses cuisses, inutiles de préciser qu'elle a déjà maintes fois eu droit à cette situation. Elle la prenait en bouche, se délectant de son goût, de sa sensation, la sentir doucement redevenir dur, grâce à elle ! Quel plaisir ! Plus elle la sentait redevenir sérieuse, plus elle la savourait en l'enfonçant dans sa bouche. Megumi avait peut-être enchaîné les conquêtes d'un soir ou plus, mais Miyuki avait un sacré niveau, un sacré potentiel pour une femme délaissée par son mari, tout ça pour quoi ? Car elle tombait enceinte trop rapidement ? Comme quoi, si elles se seraient rencontré il y a bien longtemps, Megumi aurait peut-être une bien jolie petite famille déjà ! Mais peu importe, elle savait que tôt ou tard, ses filles l'appelleront sûrement maman elle aussi, ou au moins, elle sera respectée comme telle. Mais quand Megumi avait enfin retrouvé toute sa vigueur, elle voulait repasser aux choses sérieuses, se redressant avec elle pour une suite bien plaisante. Nouvelle preuve de sa force et de son autorité, elle fut plaquée contre sa penderie.

« Han ! Oui, maîtresse... Je vous veux... fortement ! »

L'image serait exagérée pour deux simples femmes, mais elle voudrait se retrouver encastrée dans le mur tant elle serait prise avec force par Megumi ! En attendant, elle se contenterait simplement d'une nouvelle preuve de son amour. À la fois délicieuse et brutale. Même debout, elle venait la prendre dans ses bras, l'embrassant avec amour en laissant le bas de son corps lui prouver que douceur et sauvagerie pouvaient se marier ensemble.

« Mmmmmmh ! Mmmmmmh oui ! Plus fort, maîtresse, haaaaan ! Encore... »

Miyuki était insatiable... elle avait tant d'années d'amour à rattraper après tout.

Coucher avec Megumi, c’était toujours quelque chose. On avait beau prétendre que les femmes étaient douces et sensibles, Megumi, elle, se montrait souvent passionnelle, et très brutale. Elle avait pourtant jadis ressemblé à Miyuki, mais, quand son hermaphrodisme s’était développé, et qu’elle avait assumé celle-ci, elle était devenue beaucoup plus vindicative. Enchaînant les conquêtes d’un soir, elle n’aurait jamais cru pouvoir ainsi s’attacher à une femme. Et pourtant, force était d’admettre qu’elle aimait sincèrement et profondément Miyuki. Sa jeune salariée était magnifique, et Megumi peinait encore à comprendre pourquoi ou comment son ancien mari avait pu l’abandonner. Une perle pareille, sérieusement ! Megumi pouvait toutefois le remercier, car, sans lui, elle n’aurait jamais pu être là, à besogner Miyuki contre la porte de sa penderie.

« Hann, foutue salope nymphomane… Perverse… »

Si Miyuki souhaitait aussi que Megumi couche avec ses filles, c’était pour ça. Elle était sûre que ses filles avaient dû hériter de sa vigueur sexuelle, de sa fertilité, et elle ne voulait pas qu’elles connaissent les mêmes désaveux qu’elle-même. Megumi était donc un choix sûr, le nouvel « homme » de la maison, une femme aimante et dominatrice qui ferait obéir ses filles ! Cela ne faisait pas l’ombre d’un doute pour Miyuki, et Megumi continuait à la prendre avec force, multipliant avec énergie les coups de reins. Sa verge s’enfonçait dans sa chatte avec force, remontant jusqu’à la garde. Elle grognait contre elle, faisant claquer la porte, et continua ses coups de reins, se reculant pour mieux la prendre. Megumi en profita pour embrasser énergiquement Miyuki, leurs corps en sueur transpirant l’un contre l’autre. Les peaux en devenaient plus glissantes, marqués par la sueur.

« Hmmm… »

Scène exquise, intense, où la langue de Megumi jouait avec appétit dans la bouche de Miyuki. Elle s’unifiait à elle, ne faisant plus qu’une avec son corps. Grognant et soupirant, elle continuait son office, imperturbable, la baisant sans ménagement. Les coups de reins s’accentuaient, et le cul de Miyuki tapait contre la porte. Megumi la décolla alors, et la déplaça contre le mur. Il y eut un autre coup sourd. La tapisserie tremblait, et le pied de Miyuki heurta la lampe de chevet, la faisant tomber sur le sol. À ce stade, cela n’avait plus aucune espèce d’importance, et les deux femmes continuaient à baiser avec amour, mais surtout avec une certaine forme de sauvagerie de plus en plus graduelle et de plus en plus impressionnante !

Miyuki ne pouvait espérer mieux. Après cette traversée du désert, que sa patronne puisse avoir jeté son dévolue sur elle et ainsi lui prouver son amour, elle n'en demandait pas plus ! Elle n'avait rien à regretter, elle ne l'a fréquenter qu'une fois le divorce entamer, ce n'est pas comme si elle avait été en tort. Quand bien même tout cela n'était que purement sexuel au début, force est de constater que désormais, Miyuki allait changer la vie de Megumi, ne serait-ce que par ce fruit qui poussait secrètement dans son ventre. Mais Megumi ne saura cela qu'une fois qu'elle aura aussi sous son aile ses trois filles. C'était une sorte d'épreuve, elle ne voulait pas imposer à ses filles, comme ça, la venue soudaine de Megumi sous ce toit, elle devait se faire accepter et après... Après, tout ira pour le mieux dans cette maison. Elle était prise passionnément, elle gémissait, ne répondant même plus, elle sourirait aux insultes de la belle jeune femme qui la remplissait. Elle adorait être traitée comme telle, même si elle aimait les moments plus doux, il faut bien avouer que ce genre de moment, ça se faisait sur la fin, pas tout de suite.

« Haaaaaaan ! Haaaaaaaaaaaaaan ! Ouiiii ! Encore ! »

Megumi la cognait partout, elle qui voulait ne pas faire de bruit pour le moment, se fichait bien à présent de ce détail, elle était sa chose et elle ne pouvait pas lui refuser. Elle risquait d'avoir des bleues dans le dos demain, mais ce n'était pas grave, ce n'était en rien de la maltraitance, juste de l'amour et de la passion. Ce ballet continua jusqu'à retourner sur le lit, presque jeter dessus, Miyuki n'allait pas laisser un travail non fini. Elle se mit sur le dos, passant ses bras sous ses cuisses pour les relever, lui présentant sa chatte humide et toute chaude, qui demandait une fois de plus à se faire remplir dignement !

« Maîtresse... Venez me remplir la chatte de nouveau ! »

Miyuki était belle, elle était une femme mûre et tentatrice, pourquoi résister alors qu'elle ne procurait que du bien ? Megumi ne pourra pas résister... même si elle veut la torturer en la faisant attendre un peu, la torture sera partagée car... Megumi ne saurait se retenir devant elle. Ses formes généreuses, sa peau huilée par l'effort, non, tout était en place pour qu'elle ne puisse lui résister et qu'elle tente, encore et encore, de l'enfanter ! Ou à défaut de viser le même trou, de jouir en elle. Ou sur elle. Faut bien varier les plaisirs. Mais tout ce remue-ménage, malgré l'heure qui avançait, attirait une curieuse. Derrière la porte, en silence, écoutait ce qui se passait dans la chambre de sa mère. D'abord intrigué et légèrement inquiété des récents bruits contre les murs ou d'objet qui tombait. Mais maintenant, elle entendait leurs échanges, des choses qu'elle était assez grande pour deviner le sens, des choses qui l'attirait même, mais... Elle n'allait pas les déranger, juste, les espionnez un petit peu.

Qui était derrière cette porte ? Certainement pas son aînée qui désapprouvait les derniers choix de sa mère, peut-être par sa petite dernière, elle était du genre à rester sagement dans sa chambre à dessiner ou écouter sa musique... Il ne restait qu'une possibilité, sa seconde fille, plus proche de sa mère que son aînée, plus gentille et plus enjouée. C'est simple, des trois, c'était celle qui était le plus d'accord de cette liaison entre sa mère et cette femme. Même si elle ignorait quel genre de choses avait prévu sa mère pour elles et Megumi, fallait bien dire ce qui est, en secret, elle avait trouvé Megumi plutôt sexy donc, l'imaginer dans l'effort... Pourquoi pas. Après, elle écoutai, elle ne regardait par le trou de la serrure.

Miyuki avait une endurance exceptionnelle. Cela surprenait beaucoup Megumi, qui n’aurait jamais cru tomber un jour sur une amante capable de lui tenir tête. Pourtant, Miyuki en était capable ! Insoupçonnable, cette jeune femme si pudique et si discrète se transformait en une véritable tigresse, une nymphomane hors compétition. Megumi la baisait dans tous les sens sans que cela ne stoppe Miyuki, qui en redemandait toujours autant ! Sa chambre ressemblait à un champ de bataille, et Megumi était pleinement lâchée. Plus elle faisait l’amour, et plus Megumi devenait perverse, violente, injurieuse. Miyuki n’était plus juste son amante, elle était aussi son esclave sexuelle, sa traînée… Megumi ignorait qu’elles étaient écoutées, mais, si elle l’avait su, cela ne l’aurait nullement dérangé, bien au contraire ! Après tout, elle n’avait pas envie de coucher qu’avec Miyuki… Miyuki, qui demanda à ce que Megumi vienne lui remplir la chatte.

« Petite traînée, depuis quand est-ce à toi de décider par où je te prends, hein ?! Tu es vraiment incorrigible ! »

Cependant, Megumi ne se voyait pas refuser quoi que ce soit à sa Miyuki… Elle était sa Maîtresse, certes, mais aussi et avant tout une femme aimante. Et, par amour, on pouvait faire bien des choses, y compris satisfaire sa future femme ! Megumi sourit donc, et embrassa Miyuki, l’incitant à se relever. Elles étaient debout près du lit, et Megumi empoigna ses cheveux et ses fesses, l’embrassant longuement. Un baiser appuyé et soutenu, empreint d’amour, qui amena ensuite Megumi à se déplacer, et à plaquer Miyuki contre la porte de la chambre. Elle sourit ensuite, et amena Miyuki à redresser ses jambes, les enroulant autour de sa taille… Et la pénétra ensuite.

« Hum, putain, ce que j’aime te baiser… »

Megumi frissonna doucement à ce contact supplémentaire.

« Tu aimes comment je te baise, hein ? Tu sais… Je compte aussi prendre toutes filles… Nous serons un jour toutes les cinq dans ce grand lit… Moi avec mes quatre amantes, à m’embrasser et à me sucer de partout pendant que je vous prendrais l’une après l’autre… Est-ce que cette vue t’excite, ma belle ? Est-ce qu’elle te stimule ? »

En tout cas, elle, ça la stimulait !

Miyuki continuait de prendre son pied comme jamais avec son amante. Une femme comme jamais elle n'aurait imaginer rencontrer. Qu'elle soit sensationnelle ou simplement dans une moyenne, elle ne pouvait pas juger, elle n'avait eu pour seuls partenaires, le père de ses enfants et cette femme. Un homme, une femme, la comparaison étaient difficiles même si cette puissante femme avait de quoi bander avec force ! Bien qu'elle pouvait juger ce détail, c'était quand même très différents, d'autant plus que sa dernière relation avec le père de ses enfants remonte à si loin... Mais une chose était sûre ! Megumi était bien au-dessus et elle n'imaginait pas que quelqu'un d'autre puisse la détronner. Elle était si parfaite dans ce rôle. Aimante, autoritaire, belle, douce, elle avait toutes les qualités, même ce qui pourrait passer pour un défaut pour certains, restait une qualité ici. Oui, elle était absolument parfaite. C'est pour cela qu'elle espérait que ses filles l'acceptent dans la famille et que tôt ou tard, elle partage son expérience avec ses filles, que toute la famille, soit heureuse autour de Megumi et du futur bébé qui unifiera leurs deux familles, en une seule. Elles étaient assez grandes pour connaître ce genre de chose et, quand bien même elles ne sont pas encore adultes, dans quelques années, elles pourront avoir leur indépendance, ou rester encore un peu avec elles, elle ne se voyait pas mettre ses enfants à la porte de toute façon.

« Haaaaaaaaaan~ Maîtresse ! »

Bien qu'une des filles espionnait ce qui se passait à travers la porte, elle savait rester discrète pour le moment, à moins de précisément faire attention à l'ombre passant sous la porte – difficilement visible, ce n'est pas comme si le couloir était allumé, ou bien la chambre – difficile de savoir qu'on les observait. La mère de famille prenait un plaisir immense avec elle, sentant son utérus remuer sous les coups de reins de cette femme, la semence déjà bien présente en elle ne ferait qu'augmenter encore. Même si elle osait quémander, elle recevait quand même, bien que Mgeumi y allait un peu plus fort, cela ne faisait que la faire couiner un peu plus forte encore ! Même face aux fantasmes qu'elles partageaient ensemble, Miyuki n'en était que plus heureuse, plissant les yeux, tirant sa langue en souriant. Elle était si belle, une chienne, une catin bien heureuse !

« Haaaaan ouiiiiiiii ! Tu nous baiseras, haaaan ! On sera... si contentes... Une famille... Heureuuuuuuse ! »

Une vision un peu différente des autres quand on parle de famille heureuse, mais elle était sûre qu'avec les bons arguments, ses filles seraient d'accord. Elle avait bien conscience du côté un peu « inceste » de la chose, mais elles étaient en âge pour avoir des rapports, ce n'est pas comme si elles étaient toutes petites, elle n'était pas folle non plus ! Elle avait juste une vision d'amour un peu plus spéciale. Mais si de ce côté, ça ne colle pas... elle ne va pas les forcer mais comme lorsqu'on est face à un nouveau plat, un nouvel aliment, il faut goûter, au moins une fois, pour savoir si l'on aime ou non. Après, libre à elles de se faire leur opinion, mais... elle était confiante, ça allait marcher. Il n'y avait qu'avec Asuka où elle avait un léger doute, pour l'approcher déjà, ce sera plus compliqué, la suite, ça dépendra. Nul doute que sa seconde fille, derrière la porte, était à présent au courant de ce plan mais elle n'agissait pas plus pour le moment, plus curieuse qu'autre chose. Des trois, c'était celle qui était de suite d'accord pour la venue de Megumi, soit pour sa mère, soit car elle était secrètement attirée par les femmes, ça, seule elle peut donner la réponse.

Ses bras comme ses jambes venaient se serrer autour d'elle, prise d'un orgasme foudroyant, elle se libéra, laissant une petite flaque exploser entre elles, que Megumi ai aussi atteint l'orgasme ou non, c'était déjà trop pour elle !

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA~ »

Elle se cramponnait à elle pour ne pas tomber, tremblante de désir, la sueur coulant le long de ses généreuses formes de milf, le souffle lourd... C'était pourtant loin de finir... sur ça, Megumi savait que chaque fois qu'elle commençait à coucher avec elle, elle entrait dans un champ de mines. Il était difficile d'en sortir et, bien que ce ne soit pas toujours le cas, elle devait la pousser à la fatigue pour enfin pouvoir se reposer, elle aussi. C'était une femme, très gourmande ! Reprenant son souffle, la pression autour de sa maîtresse était toujours ferme, mais moins forte. Dans un doux baiser pourtant plein de passion et d'amour, elle glissa une de ses mains dans ses cheveux. Sa voix sensuelle susurrait des choses à son oreille.

« Maîtresse, j'ai encore besoin de vous... en moi... toujours plus. »

Peu importe le trou ou la façon, elle voulait partager son plaisir avec elle. Ni plus, ni moins.

Megumi était en sueur. Elle fit jouir Miyuki contre la porte de la chambre, et la sentit peu à peu s’affaisser sur elle. Celle qu’elle ne pouvait considérer que comme étant sa femme se relâcha doucement contre elle, s’abandonnant avec passion, tandis que Megumi, bien incapable de retenir une telle vague, se mit à jouir abondamment en elle. Une épaisse semence fusa dans le ventre de sa partenaire, et elle s’abandonna longuement en elle, crachant avec appétit sa semence dans la cavité intime de sa partenaire. Elle se mit à jouir intensivement, relâchant peu à peu la pression. Megumi soupira alors, enlaçant le corps de Miyuki. Celle-ci reprit alors ses esprits, après de longues secondes à la câliner. Megumi maintenait son corps nu contre le sien, se décalant un peu de la porte, offrant ainsi à Maki la vue du dos de sa mère, en sueur, et la main de Megumi qui  glissa de son dos pour palper ses fesses, les pressant tendrement. Elle la maintint contre elle, et l’embrassa alors.

Miyuki n’en avait pas assez, et, tout en revenant à elle, demanda à se faire encore baiser. Megumi sourit et se rassit sur le lit, avant de sortir une cigarette, et fuma doucement. C’était une habitude qu’elle avait prise. Elle savait aussi que Miyuki n’aimait pas forcément trop ça, mais Megumi n’était pas non plus parfaite.

« Tu débordes d’énergie ce soir, ma chérie… Il est Minuit passé, tu sais. C’est la perspective de le faire enfin chez toi ? De savoir que tes filles sont à côté… »

Megumi sourit, et poursuivit sa cigarette en se relevant.

« Je vais me laver la bouche, je sais que tu n’aimes pas quand je t’embrasse… Alors, on va se faire un bain de bouche, surtout que… J’ai envie d’uriner. »

Dit comme ça, ce n’était pas totalement innocent. Megumi avait des goûts sexuels très extrêmes, allant jusqu’à l’urine. Elle ouvrit alors la porte, et l’ouvrit en grand… Sans se douter que, derrière, il y avait une petite curieuse. Megumi avait alors la tête tournée vers sa chérie, puis la retourna…

…Et croisa le regard de Maki.

« Oh… »

Surprise, elle cligna des yeux à plusieurs reprises. Les grands yeux de Maki s’écarquillèrent sous la stupeur, et, hébétée, elle ne savait visiblement plus quoi dire.

« Et bien… Nous avons une petite curieuse. »

Elle tira à nouveau sur sa cigarette, et tira une bouffée qui fit éternuer la petite Maki. Megumi contempla ses seins tendus, les rougeurs sur ses joues, et ce regard qui revenait vers sa verge.

« Tu veux entrer, Maki ? Ta maman m’a dit que tu commençais à te caresser intimement… Moi, je dois aller me rincer la bouche, tu peux en profiter pour discuter avec ta maman… »

Megumi lui sourit en lui caressant doucement la joue, puis la laissa en compagnie de sa mère, se rendant vers la salle de bains pour y jeter sa cigarette (dans la poubelle), et boire un coup… Pendant que Miyuki allait devoir voir ce que Maki voulait…