The Multiversity

Voilà un duo comme les Karistal les aimaient! Évidemment, pas question de leur vendre ses deux bijoux et c'est bien dommage car les jumelles pourraient jouer avec elles des heures entières! L'une si soumise, l'autre si dominante. Deux points opposés, juste à regarder, elles pourraient faire ça durant des heures entières! Yuko la caressa doucement, passant sa main sur son petit cul endolori, c'est dingue comme la douleur rendait son cul si doux, même à travers sa tenue. Et son si mignon petit visage torturé par la douleur, elle était bien plus belle quand elle souffrait celle-là. Et la voir se frotter contre elle, comme ça. La pauvre était en manque.

« Tu auras tout ça ma petite Miki mais d'abord on doit te punir car tu aimes ça, hein? »

Elle caressa sa joue avant d'attendre elle-même les prochains coups pour se rendre compte à quel point Miki était belle quand elle avait mal. Tandis que Katarina s'en donnait à cœur joie, Yuko adorait la voir souffrir, plus elle souffrait, plus elle souriait en venant la taquiner, frottant sa langue sur ses lèvres avant de se retirer. L'embrasser ou ne pas l'embrasser? Dure question! Même Yuka n'osait pas déranger Katarina, elle s'en donnait à cœur joie et elle était si douée. Elle s'imaginait un instant à la place de Miki et c'était assez pour la faire mouiller. Yuka se dandinait doucement, se laissant bercer par les coups de fouet et les cris, ça donnait envie de se faire battre mais c'était aussi très beau à voir.

« Tu es si belle quand tu t'amuses à la fouetter... est-ce que je peux... faire ça? »

Sa main se rapprochait de la sienne pour interrompre un peu les coups. Yuka se rapprocha de Katarina en passant ses mains sur son visage, allant même se coller contre elle avant de l'embrasser une première fois doucement. Ses mains se joignaient dans son dos alors qu'elle venait lui lécher le cou délicatement.

« Je veux tout sentir de toi quand tu la bats. De ton rythme cardiaque aux mouvements de tes muscles... »

Une demande un peu étrange mais ça lui permettrait de mieux visualiser et sentir la force des coups. Elle pourrait simplement lui demander à rejoindre Miki ou la remplacer mais pas tout de suite. Pas tout de suite... Yuko avait profité de cette petite pause pour embrasser Miki, plaquant ses mains sur ses joues, un baiser de force mais elle se laissera faire bien gentiment cette petite neko. Elle décolla ses lèvres, heureuse avant de caresser ses fesses, n'hésitant pas une seule seconde à empoigner ses petites fesses, les presser comme des oranges en léchant les lèvres de Miki.

« Toi tu es trop chou quand tu as mal! Allez, souffre pour moi, fait moi plaisir ma petite pute et je te ferais encore plus mal après? Je t'humilierais aussi. Je t'insulterais de tous les noms... je t'adore déjà ma petite super-neko-pute! »

Elle donna une dernière claque sur sa fesse avant de coller ses lèvres contre les siennes pour l'embrasser et mieux ressentir sa douleur et ses cris. Cela va être magnifique, elle le sait déjà! Les deux Karistal tenaient à leur neko, l'une contre Katarina, fantasmant sur chacun de ses coups, l'autre ne l'agrippait pas sinon elle risque de recevoir un coup mais elle l'embrassait quand même, adorant la voir souffrir... La douleur lui va si bien.

Curieuses, ces clientes... Mais, dans le harem de Mélinda, il fallait s’habituer aux demandes atypiques. Katarina avait eu de tout : des mères assez âgées demandant à ce qu’elle fouette le cul de leurs filles avant qu’elles ne se fassent l’amour, des couples voulant se faire joyeusement battre. Ses instincts démoniaques faisaient de Katarina un bourreau redoutable, le fouet n’étant qu’un des nombreux instruments dont elle disposait. Katarina n’avait concrètement aucune réelle limite, et, visiblement, ces deux jumelles adoraient le sadomasochiste. Katarina ne pouvait que les aimer, mais, en tant que démone, elle avait du mal à admettre son infériorité sur elles. Elle se soumettait à Mélinda parce qu’elle était une vampire, mais il était pour elle inconcevable qu’un humain la domine. Elle voyait les deux jumelles comme de simples partenaires de jeu... Et des partenaires très motivantes ! Qu’on ne lui fasse pas dire qu’elle ne les trouvait pas séduisantes, ces deux petites blondes. L’une se blottissait contre elle, et l’autre s’amusait avec sa proie, Miki, l’embrassant et la fessant, se frottant contre elle.

Miki était sa victime préférée. La battre était tellement excitant, et elle adorait tellement ça... Cette tenue de super-héroïne lui allait comme un gant, et beaucoup de clients aimaient la prendre ainsi, sans même la déshabiller, en utilisant quelques discrètes ouvertures sur la combinaison, permettant d’accéder à ses parties intimes. Elle était solidement attachée, mais ces deux jumelles semblaient tellement gourmandes que Katarina était en train de se demander si elle n’allait pas leur montrer sa chambre intime... Elle en sentait une dans son dos, et le corps de Katarina la trahissait, ses gènes nekos agissant. Elle se mettait à ronronner en sentant cette jumelle se presser dans son dos, murmurant dans l’une de ses oreilles des paroles très encourageantes.

« Si tu le souhaites, humaine... », rétorqua-t-elle, plus excitée qu’elle n’aurait voulu l’admettre.

Vu les manières de ces jumelles, Katarina sentait bien qu’elles n’étaient pas des novices en la matière, et qu’elles devaient adorer se fouetter entre elles. Celle qui s’occupait de Miki se tortillait lentement, et le fouet s’abattit encore sur elle, inlassablement, avec ce choc sonore si délicieux aux oreilles, qui sonnait tellement bien... Hum, comment ne pas frémir en l’entendant ? Comment ne pas ressentir ce frisson qui remontait le long de votre échine, et qui était comme un appel des plus irrésistibles à la luxure et à la débauche ?

« Hum... Aaaaahhh... Miki... Miki se sent sale... Elle... Huuuuummmm !! Elle aime tant qu’on la batte ainsi, qu’on la fouette ! »

Le fouet continuait à claquer douloureusement sur elle, jusqu’à ce que Katarina, excitée par le plaisir, en train de mouiller, ne s’arrête. Miki venait d’avoir un orgasme, le dernier coup de fouet ayant heurté sa croupe, sous les hurlements et les miaulements de la neko, qui se tortillait sur ses liens. Tout son corps venait de se tendre, et sa mouille avait jailli, salissant sa combinaison, une petite tâche ne tardant pas à apparaître à l’emplacement de son bassin. Rouge, elle baissait la tête, son corps remuant d’avant en arrière.

« Tu as joui bien vite, petite pute... Est-ce le fait d’avoir deux autres femmes qui t’excitent à ce point ?
- Miki aime... Attirer l’attention... » répondit faiblement cette dernière.

Katarina esquissa un sourire vorace. Elle ne pouvait évidemment pas le dire ouvertement, mais la présence des Karistal l’excitait grandement. Elle se retourna vers Yuka, et l’embrassa joyeusement, fourrant sa langue dans sa bouche, en se pressant contre elle.

« Hum... Vous êtes des femmes de qualité, belles humaines... C’est... C’est très intéressant... »

Katarina le pensait sincèrement, et était chaudement excitée par ça. Elle ferma brièvement les yeux, un léger sourire venant éclairer ses lèvres.

« Vous me plaisez tellement que je pense que je vais vous montrer... Un endroit qui devrait vous plaire. »

Miki frémit à cette idée, sachant où elles allaient aller. Katarina l’empêcha toutefois de parler, en mettant autour de ses lèvres un gag-ball, ainsi qu’un bandeau noir sur ses yeux, puis la détacha. Miki tomba lourdement sur le sol, et un collier se retrouva autour de son cou.

« Que l’une d’entre vous au moins la fouette, je vais me charger de la faire avancer. Allez, salope, suis-moi, tu vas recevoir ta correction ! »

Katarina sortit, continuant à tenir la laisse, et avança le long des couloirs.

Elle se rendait vers une partie spéciale du harem : le souterrain, où il y avait une salle de torture.

Si ces Karistal en voulaient pour leurs yeux, elles allaient être servies !

Ses deux-là étaient invendables et c'est bien dommage, elles valaient tout l'or du monde aux yeux des Karistal. Elles pensent généralement ça devant chaque neko qui a toujours un petit plus mais c'était autant plus vrai pour elles! Yuka se blottissait contre la belle neko démoniaque, adorant se sentir près d'elle, ce petit sentiment de danger à trop titiller une démone et ce petit aspect soumis qu'ont le plus souvent les nekos. Elle adorait Katarina et attendait que la suite défile pour lui demander de subir autant que Miki, elle pourra se donner à coeur joie d'abimer ses fesses. La neko démoniaque avait l'air si professionnelle que Yuka pourrait bien jouir rapidement pour elle. Quant à Yuko, on ne peut pas dire que ça lui déplaise de se frotter à une sale petite neko perverse qui adore se sentir battu et sale. Oh oui, Yuko pourrait la punir chaque jour, elle adorait passer du temps à satisfaire la belle Miki. La voir couiner était si beau, l'entendre était si bon et la lécher pendant ce temps-là était presque aussi bon que si elle donnait elle-même les coups. On ne peut pas dire que ce soit simple de frapper avec un fouet et embrasser en même temps la même personne. C'est plutôt pas simple. Mais là, Yuko savourait sa petite neko docile. Elle pourrait la croquer tellement elle était excitante! Si elle aurait été hermaphrodite, elle aurait surement voulu se la faire maintenant pendant qu'elle se faisait fouetter?

Et son orgasme n'arrangeait rien du côté des Karistal. Yuka fantasmait sur la poigne de fer de Katarina et elle se laissait faire face à son baiser. Dieu que s'était bon! Elle savourait, voulant se frotter contre elle et la voir la dominer doucement mais surement.

« Merci... Katarina... tu es aussi magnifique avec ton fouet et... ce ton, je t'adore, tout simplement. »

Et la rareté! Une neko démoniaque qui ne se laissait pas faire, elle pourrait en faire rapidement sa favorite! Du côté de Yuko aussi mais elle avait elle aussi beaucoup de soumise comme Miki mais ça ne l'empêchera pas de l'aimer. Pour le moment, elle avait laissé une dernière caresse à Miki avant de se mettre à genoux, devant cette tache rouge entre ses jambes qu'elle touchait du bout du doigt, très doucement.

« Hum... c'est qu'on est toute mouiller? Et ça fait quoi si je lèche un peu? »

Yuko n'hésitait pas à faire glisser sa langue dessus. Elle n'aurait pas vraiment le goût mais ce n'est pas très grave, ça la faisait mouiller, autant Miki et un peu Yuko. Chacune y trouve son compte! Mais en y reniflant de plus près, elle sentait une petite odeur d'urine? Elle n'avait pas vraiment uriné maintenait mais elle avait dû le faire tôt ou tard? À moins d'être très excitante, elle aurait puni une esclave normale mais pas elle, pas une neko. Elle se redressa plus souriante que jamais en lui léchant le menton.

« Tu es vraiment sale ma petite Miki, ça mériterait que je te punisse, tu sais? »

Comment ne pas la tenter avec ce genre de phrase? Surtout que Katarina semblait partante pour leur montrer un coin vraiment privé, leur chambre! Elle prépara Miki et Yuka la lâchait pendant ce temps avant que Yuko ne se jette sur le fouet face à la proposition de la méchante neko. Yuka restait près d'elle, la collant même un peu en voulant en savoir plus sur cette pièce sans pour autant le dire. Elle avait simplement de grands yeux remplis d'envie pour elle. Yuko restait tout derrière faisant claquer son fouet à des intervalles plus ou moins réguliers sur le petit cul de Miki et il n'était pas étonnant d'entendre Yuko gémir à la place de la neko. Elle adorait jouer les dominantes. En arrivant dans la salle, ça ressemblait un peu a chez elles, dans la salle de dressage/torture. Les chaines aux murs, les écarteurs, tous ses outils, tellement excitant! Le genre de chose qui devait plaire à Miki comme à Yuka.

« J'aime cette décoration! Il me tarde de te voir à l'œuvre Katarina... et de te voir et t'entendre souffrir ma belle petite Miki~ »

Yuko caressa le menton de la petite neko soumise, préférant laisser la neko démoniaque savoir si oui ou non elle devait lui retirer son gag-ball et son bandeau. Yuko et Yuka admiraient chaque outil, chaque accessoire, s'amusant à faire tintiller quelques clochettes servait pour les pinces ou les faux percing. Cela permis surtout à Yuko de se rapprocher un peu de sa soeur. Restant dans son dos pour lui caresser le ventre, glissant une main entre ses jambes pour mieux lui lécher le cou. Elle savait comment marchait sa sœur après tout ce temps.

« Hum vilaine Yuka, tu t'imagines sous les coups de Katarina hein? Rassures-toi, je vais te laisser jouer avec elle mais je pense que toi et Miki seront nos petites choses~ Kuhu! Je vais adorer t'entendre couiner avec une neko aussi perverse que toi huuuum... ça me donne envie de te foutre à poil devant Katarina pour qu'elle s'occupe de toi! »
« Nan Yuko on doit... y aller doucement... »

Elle n'avait pas tort, elles devaient savourer. Elle relâcha sa jumelle avant de retourner avec elle près des deux nekos.

« Dis-moi ma belle, quel est le programme donc? »

Oh oui, un programme fort alléchant vu tout ce qui se trouvait autour d'elles!

La petite antre de Katarina était un endroit privilégié. Elle n’y conduisait que ses clientes particulièrement soumises, et jamais un membre de sexe masculin. Elle n’aimait pas trop les hommes. Soit ils étaient soumis au point de s’écraser comme des larves, soit ils essayaient constamment de se rebeller, en faisant preuve de cette arrogance et de ce dédain machiste qui l’irritait au plus haut point. Inversement, les jeunes soumises étaient bien plus intéressantes, car elles savaient vous faire ressentir tous les plaisirs que la domination impliquait, leur résistance s’inscrivant, non pas dans un effort de bravade masculine, mais dans un jeu sexuel. Bien sûr, en pensant cela, Katarina était loin d’être objective, mais un avis, après tout, était toujours teinté de subjectivité. Quoiqu’il en soit, son instinct, sur lequel elle se reposait continuellement, lui avait soufflé d’inviter ces femmes dans son antre secrète.

C’était sa chambre personnelle, comprenant des sangles, des chaînes, et même une sorte de fauteuil de torture sophistiquée. Ses techniques étaient relativement traditionnelles : elle n’utilisait pas l’électricité, et tous ces gadgets technologiques tekhans. Plus c’était classique, et plus c’était mieux. Les bandages, les fouets, le sang, la sueur... Voilà ce que Katarina voulait ! Le reste, c’était ridicule. La belle neko démoniaque attacha à nouveau Miki, qui avait un gag ball et un bandeau. Elle gémissait en se tortillant, et Katarina lécha son costume, près de son cou, en pinçant ses fesses, l’entendant gémir et soupirer.

« Je n’en ai pas fini avec toi, rassure-toi, petite salope... » lui souffla-t-elle dans l’oreille.

Elle gloussa à moitié, entendant Miki gémir, probablement d’impatience, tandis que les deux Karistal s’amusaient entre elles. Indéniablement, leur présence la stimulait, l’excitait. Katarina se sentait fébrile, pleine d’excitation, avec la formidable envie de les impressionner. Elle connaissait la réputation des Karistal, et savait qu’elles étaient les filles de cet esclavagiste. Il n’avait pas de bureau dans la capitale, mais Katarina se devait de connaître les principaux esclavagistes ashnardiens. De plus, elle avait déjà vu les Karistal à Ashnard, faisant leurs courses pour acheter des nekos, ou même de simples peluches représentant des chats. On disait qu’elles adoraient les chats, ce qui semblait se justifier, vu leur présence ici. Une neko dominatrice... Elles avaient vraiment de la chance, c’était un spectacle plutôt rare, les nekos étant plutôt d’un naturel soumis. Si Katarina n’avait pas des gènes démoniaques dans le sens, elle aurait probablement fonctionné également sur ce principe.

« Dis-moi ma belle, quel est le programme donc ? » demanda alors l’une des Karistal.

Un sourire éclaircit les lèvres de Katarina, un sourire sardonique et légèrement cruel. Elle ne répondit rien sur le coup, et se rendit vers un rangement, sortant un mystérieux objet. C’était une culotte rose en latex, que Katarina étira, un sourire ravi sur les lèvres. C’était une culotte spéciale, très spéciale. En la regardant d’un peu plus près, on pouvait qu’il y avait deux godes inversés, qui s’enfonçaient dans le corps, à l’emplacement du vagin et de l’anus. Une culotte sexuelle de torture ! Il n’y avait que chez Mélinda qu’on pouvait trouver ça !

« Il y a une télécommande qui permet d’activer les fonctions vibrantes des godes... Je vous laisse décider qui l’enfile, mes belles blondes... Soit la super-salope dans mon dos qui se trémousse en attendant que je la batte, soit celle d’entre vous qui aime se faire battre... »

Comme elle le leur avait annoncé, Katarina comptait bel et bien s’acquitter de ses devoirs d’hôte envers ses invitées. Ces deux femmes lui plaisaient.

Ces deux-là étaient des nekos parfaites, idéal, elles avaient toujours rêvé d'un couple neko qui leur ressemblait et bien, c'est chose fait grâce à Miki et Katarina! Dans la chambre de la démoniaque neko, c'était un petit coin de paradis qui avait un petit air de maison. La salle de torture qui fait aussi office de salle de dressage ressemblait à ça dans leur manoir. Oh bien sur, ce n'était pas une chambre propre aux jumelles, elle était utilisée par ces dernières mais elle était aussi par les dresseurs, leur père, c'était une salle comme une autre chez elles après tout. Partant de là, elles se sentaient comme chez elles! Yuko en profita pour aguicher sa jumelle et la tenter un peu, sachant très bien que cette dernière voudrait être à la place de Miki ou avec elle au moins. Mais pour le moment, il y avait un programme fort intéressant! La petite chatte démoniaque avait rattaché sa chose et ça promettait déjà. En proposant une drôle de culotte en plus, Yuko était aux anges! Yuka aussi d'ailleurs mais pas pour les mêmes raisons. Yuko la prenait en la jetant vers sa sœur, gloussant en sachant ce qui allait se produire.

« Elle sera pour Yuka alors. Tu l'enfiles et tu nous regarderas nous occuper de notre petite Miki. Si tu es sage... on pourrait songer à s'occuper de toi mais pour le moment, tu devras résister, Kuhu! »

Voilà qui était sadique. La soumise Yuka ne pouvait profiter aux réjouissances, elle ne pouvait pas savourer ça avec Miki, elle ne pouvait même pas fouetter, ça va être dur pour elle. Tirant sur les ficelles qu'étaient faites sa culotte, elle la laissa tomber comme un mouchoir en tissu par terre avant d'installer doucement son nouveau sous-vêtement, gémissant doucement en sentant cette double pénétration. Heureusement que Miki l'avait excité depuis le début, ça aidait bien! Yuko se rapprocha de Katarina, aucune gêne à se frotter un peu contre elle en laissant une de ses mains caresser ses jolies petites fesses. Nue, dans du cuir, elle devait être excitante celle-là! Mais pour le moment, elle était aussi très bien comme elle était.

« Ma jolie neko, tu aurais un second fouet pour que je t'aide à corriger notre vilaine petite Miki? Je suis impatiente de pouvoir la faire jouir sous les coups de fouet~ ♥ »

Elle ne tentait pas de l'embrasser, elle conservait son sourire en coin, son air si gentil alors que c'était tout le contraire, pelotant les formes sous sa main. C'était si bon, la suite risquait d'être bien mieux et ça qui était excitant. Même si Yuka devait juste regarder, elle profita de cet instant pour se placer dans le dos de Katarina, posant ses mains sur ses épaules pour lui parler à voix basses dans ses petites oreilles si mignonnes.

« Katarina, occupes-toi de moi après s'il te plaît... je veux sentir... tes coups me rendre heureuse... Haaa! »

Yuko venait juste d'abandonner les jolies fesses de la neko démoniaque pour passer sa main sous la robe blanche de sa sœur qui venait d'installer sa nouvelle culotte pour lui pincer la fesse gauche.

« Triche pas petite coquine. Chaque chose en son temps, d'abord Miki et après, ça sera peut-être toutes les deux en même temps? Tout dépendra de toi ma mignonne... »

Elle déposa un baiser sur la joue de la neko sadique en lui souriant. Il fallait s'occuper de la super neko d'abord pour faire envie à Yuka et ensuite... c'est à voir mais Katarina était bien entourée pour le moment.

Pour de simples humaines, ces deux femmes étaient très réussies. Leur perversion était un spectacle constant, un régal pour Katarina. Elles avaient des têtes d’anges, de belles petites têtes innocentes qui vous faisaient penser qu’elles étaient aussi dangereuses que des brebis, mais cette apparence dissimulait un esprit retors et pervers. La culotte spéciale de Katarina, une véritable torture, autant qu’un plaisir constant, sembla les intéresser, mais Yuko ne voulait pas la mettre sur Miki, mais sur le corps de sa sœur. À cette idée, un frisson félin parcourut le corps de la neko. Sa queue se mit à remuer, se tendant légèrement. Il ne fallait pas oublier que voir deux jumelles se faire l’amour était un spectacle toujours très excitant. Elle ne s’était pas trompée en supposant que l’une des deux jumelles avait l’ascendant psychologique sur l’autre. Yuka enfila donc la culotte, et Yuko retourna vers Katarina.

Quand la neko démoniaque sentit la main de Yuko se balader sur ses fesses, les pressant, un nouveau frisson s’échappa de son corps, de nouvelles et délicieuses vibrations. C’était trop excitant, tout simplement ! Katarina se mit à gémir faiblement, tout en rendant la pareille à Yuko. Ses mains caressèrent ses hanches, et sa queue remua, pour se frotter contre ses fesses, formant une petite pointe qui heurtait ces dernières. Katarina ne songeait même pas à l’embrasser, simplement à la peloter.

« Ma jolie neko, tu aurais un second fouet pour que je t'aide à corriger notre vilaine petite Miki? Je suis impatiente de pouvoir la faire jouir sous les coups de fouet. »

Katarina ronronna encore à cette idée, et se mordilla les lèvres. Oh oui, elle avait un second fouet ! Elle avait toute une gamme de fouets ici ! C’était bien pour ça qu’elle avait décidé d’y conduire les deux jumelles, afin de pouvoir laisser libre court à leurs imaginations, sans être restreintes par des contraintes matérielles. Sur ce point, servir Mélinda Warren était très prolifique. Cette dernière dirigeait donc un harem, et une bonne partie de son budget se consacrait donc à l’achat de matériel, d’équipements sexuels. Katarina se faisait donc plaisir. Miki se tortillait dans ses chaînes. Elle avait entendu qu’on parle d’elle. Après tout, les nekos avec une ouïe surdéveloppée par rapport aux autres espèces, et la perspective de se faire doublement fouetter, comme tout à l’heure, mais en plus sauvage, l’excitait beaucoup.

Les deux femmes continuaient à se peloter. Légèrement plus petite que Yuko, Katarina approcha ses lèvres pour sucer son sein à travers ses vêtements, sentant son téton. Elle se blottissait contre elle, ses propres seins venant à se tendre sous son uniforme. Yuka se rapprocha alors, d’une démarche gauche, handicapée par la culotte spéciale, qui lui déchirait le corps, demandant à ce qu’on s’occupe d’elle après en avoir fini avec Miki.

« Oui... Cette pute de Miki en premier...Toi, ma salope, je te torturerai bien comme il faut, tu regretteras de m’appeler... »

Elle se défit alors de l’étreinte de Yuko, et alla lui montrer la gamme de fouets.

« Ceci étant dit, tu devrais peut-être enfiler une tenue de dominatrice plus indiquée..., nota-t-elle. Viens... »

Elle lui fit signe de la suivre, et ouvrit un autre placard, plus grand, comprenant une série de tenues en cuir particulièrement explicites.

« Je te laisse choisir... En attendant, je vais préparer ta sœur... »

Autant la mettre en position. Katarina entreprit tout simplement de l’attacher à des sangles, exactement comme Miki, mais en arrachant ses vêtements, révélant ses seins. Pour qu’elle ne s’ennuie pas, elle mit sur ses seins une pince à seins, et lui sourit malicieusement.

« Couine, ma petite pute... »

Qu'il était bon de jouer avec les nekos! Et sentir cette frigide petite neko démoniaque doucement gémir ou ronronner était une douce mélodie aux oreilles de Yuko. Quelle chance elle avait tout de même! Elle se fit plaisir sous les mains de Katarina et sa petite langue qui passait sous sa robe. Oh bien sur pour l'occasion, elles n'avaient pas de soutien-gorge. Pourquoi? Car elles savaient qu'en cas de bonnes négociations, avec ou sans Mélinda Warren, elles allaient fêter ça avec des nekos! Même en cas de mauvaises négociations d'ailleurs, il aurait bien fallu se calmer. Mais pour le moment, Yuko se sentait de plus en plus à l'aise avec sa Katarina et Yuka tentait subtilement de s'incruster mais la jolie méchante neko ne l'entendait pas de cette oreille. Elle ignorait – ou non – mais lui parler comme ça, c'était exciter la petite chose qu'elle était, la petite esclave que Yuka adorait être pour sa sœur jumelle. Yuko s'attardait devant les différentes tenues de cuir. C'était d'autant plus amusant que se dire que cette belle neko avait si souvent mouiller et joui dedans? La coquine va! Elle va adorer jouir par-dessus une de ses combinaisons! Yuko avait un faible pour le rouge déjà alors elle écartait les tenues noires pour enfin trouver la tenue qu'elle allait porter.

Elle retira ses vêtements, retirant un à un les éléments de sa robe noire, elle se retrouva toute nue avant de prendre la tenue en latex rouge, enfilant les collants suivis de ce qui couvrait le corps avant de bien sangler le tout au cou avant de finir avec les gants. Elle prit une cravache ainsi qu'un fouet assorti. Heureusement que Katarina avait à peu près les mêmes proportions qu'elle! Elle devait à peine avoir un peu plus de poitrines qu'elle. Pendant qu'elle se changeait, Yuka aussi se changeait de force devant la neko diabolique qui lui avait arraché le haut de sa robe en lui installant juste après les pinces tétons pour la faire couiner, chose qu'elle fit très bien!

« HAAAAaaaaa Ka... KatarinaaaAAAAA... J'ad-ore! »

Ses petites lèvres remuaient, sa petite langue sortait en quête d'un baiser, un coup de langue, elle voulait elle aussi profiter de la belle neko à sa façon. Il en allait autant pour Miki mais pour le moment, les deux jumelles avaient le regard braqué sur Katarina, son tour viendra bien vite à elle aussi. Yuko se rapprocha dans son dos en se collant à Katarina, une main se glissant entre ses jambes, la seconde remontant vers un de ces seins qu'elle caressant en lui soufflant dans le cou.

« Mais y a pas que Yuka qui est vilaine à ce que je vois. Ma petite Katarina est une vilaine neko aussi~? Oh si, elle coute très cher cette robe, tu sais? Il va falloir que je demande dédommagement à ta patronne hum... je devrais peut-être t'emmener avec nous en partant d'ici, au moins nous servir jusqu'à ce que tu ait remboursé ça? »

Il y avait du vrai dedans, Katarina se plairait surement à mettre de l'ordre et de la discipline dans leur cabane, toutes les dominantes avaient tendance à s'adoucir avec le temps. Elle irait dresser tout cela à coup de cravache! Yuko lui lécha le coup avant de se reculer et la libérer en souriant. Cette discussion sera pour plus tard, elle se dandina un peu sous le regard de la diabolique neko en rigolant doucement. Se rapprochant de nouveau vers elle pour lui faire face cette fois, elle s'agrippa à son cou comme une aguicheuse en venant l'embrasser doucement, une cravache et un fouet dans les mains. Un court baiser mais déjà bien délicieux vu la situation.

« Que faisons-nous? On en fait baver une en s'occupant que d'une seule de ses deux petites putains ou bien on est trop gentilles pour elles et on s'occupe chacune d'elles? Je suis impatiente de les entendre couiner toutes les deux. »

Vu la façon de frotter ses cuisses l'une contre l'autre, ça lui faisait vraiment de l'effet! Mais même en adoptant la première solution, elles peuvent toutes les deux couiner de douleur même si une souffrira physiquement et l'autre de jalousie.

« Et si... on les fait d'abord un peu languir toutes les deux? Tu en penses quoi ma petite Katarina d'amour? »

Oui... elles peuvent bien s'amuser entre elles sans s'occuper de ses petites trainées après tout.

Une partie à quatre, même pour Katarina, c’était beaucoup. Dans une situation de domination, il fallait rarement dépasser le chiffre trois. Une personne soumise et une personne dominante formait un duo parfait. Dès qu’on atteignait le trio, il y avait toujours un risque que ça aille mal, mais, quand on allait à quatre... Cependant, Katarina n’était pas seule face à trois soumises, il y avait plutôt deux dominantes face à deux soumises. C’était une situation qu’elle n’avait pas encore vraiment eu l’occasion de voir, puisque les clients venant requérir ses services voulaient tous se faire soumettre. Yuko se déshabilla totalement, et opta pour une tenue rouge en latex. Un uniforme très réussi, que Katarina appréciait, même si elle n’avait pas assez de seins volumineux pour le mettre. Néanmoins, il allait plutôt bien à Yuko... Et le latex... C’était la texture lambda dans n’importe quel jeu de domination et de soumission. Katarina se surprit à ronronner, alors que Yuko se rapprochait, et lui reprochait d’avoir déchiré la robe de Yuka. Elle fronça les sourcils, se retenant de répliquer que, d’un point de vue légal, si Yuko portait plainte, l’établissement déclinerait toute responsabilité. Il fallait mieux lire les conditions générales d’utilisation : une clause prévoyait que tous les dommages corporels ou matériels éventuels étaient à la charge du client. Il aurait été trop facile, autrement, de demander une séance de bondage extrême, de finir blessé, et d’obtenir ensuite des dommages-intérêts. Néanmoins, Katarina se prêta au jeu, comprenant que Yuko voulait juste avoir la main.

Yuka et Miki étaient toutes les deux attachées, en hauteur, suspendues par les bras et les jambes. Mine de rien, c’était une position assez lourde, très épuisante. Les spécialistes du bondage savaient que, dans ce genre de positions, il ne fallait pas essayer de lutter, mais se laisser aller, comme si on tentait de se coucher. Le poids était alors supporté par les cordes, mais, même sur le long terme, c’était une position difficile. Elle pouvait entraîner des courbatures, ou faire mal, si on serrait trop fort. Katarina n’avait pas serré de manière excessive, afin de ne pas risquer d’entailler la peau... Mais il resterait évidemment des marques, comme quand on serrait sa montre trop fort, et qu’on voyait ensuite les traces résiduelles sur la peau. Miki était endurante. Il fallait espérer que Yuka le soit aussi.

Yuko interrogeait désormais Katarina, afin d’en savoir plus sur le programme. Pour le coup, la neko devait réfléchir. Elle ne l’avait jamais fait ainsi. Parfois, elle avait été avec une autre maîtresse, comme cette fois où elle avait fait de l’escort chez un couple de riches marchands ashnardiens. Le mari était un humain, la femme une démone, et il s’était soumis aux deux femmes. Un très bon souvenir : la femme le sodomisait avec un gode pendant que Katarina le faisait couiner avec un fouet. Mais là ? Hum... Il lui fallait réfléchir... Ce qui était d’autant plus que cette tenue en latex réveillait ses pulsions de neko.

« Et si... on les fait d'abord un peu languir toutes les deux? Tu en penses quoi ma petite Katarina d'amour ? »

Katarina fronça les sourcils.

« Je ne suis pas ta ‘‘petite’’ Katarina ! » rectifia-t-elle immédiatement, avant de réfléchir à sa proposition.

La frustration... Ça marchait plutôt bien. Elle tapota un doigt avec ses lèvres. Miki et Yuka avaient été placées à proximité, face à un confortable lit, et l’idée lui plaisait.

« Mais ton idée me plaît... De plus... »

Katarina se rapprocha de Yuko, adoptant une sorte de démarche féline, et posa ses pattes avant sur ses épaules, s’en servant pour se soulever un peu, sa queue venant s’approcher pour s’enrouler autour du bassin de la femme. Elle l’embrassa sur les lèvres, se serrant contre elle, leurs poitrines se pressant, tandis que l’une de ses mains décala, glissant de l’épaule de la femme pour filer sous sa tenue, appuyant sur son téton :

« J’adore cette tenue que tu portes... »

Comme c'est intéressant! Vu le caractère de la neko diabolique, elle était sûre qu'elle n'allait pas rester de marbre devant un tel petit surnom mais elle ne s'attendait pas à la voir répliquer juste sur le mot « petite »? C'était juste ça qui la dérangeait? Ce qui voulait dire qu'elle n'avait rien contre être la Katarina d'amour de Yuko? Ou alors la ravissante neko dominatrice de Yuko? Ou encore la toute mignonne neko d'amour de Yuko? Bref, elle se fichait d'être à Yuko à l'entendre mais elle n'était pas « petite ». Soit. Yuko évitera le mot petit à l'avenir pour la désigner mais elle restera au moins sa neko alors le temps de s'amuser ensemble avant de revoir Mélinda. L'idée de les faire baver étant accepter, elle se laissait caresser par Katarina qui passait sa main sous sa tenue, caressant son sein ou plutôt, appuyant sur le petit téton de l'humaine qui gémissait doucement. Elle aimait bien faire souffrir les autres mais Yuko n'avait rien contre un peu de douleur elle aussi? C'était très bon après tout. Certes, c'était bien mieux de produire la douleur que la ressentir mais parfois, changer était si bon. D'ordinaire, c'est elle qui caressait les nekos et non ces derniers qui la caressaient... mais ce n'est pas grave, elle faisait beaucoup d'exception pour ses boules de poils d'amour, surtout quand elle leur plaît!

« Oooh, tu es une gentille méchante neko Katarina~ ça me donne envie de te câliner, tout le temps, partout partout~ »

Elle approcha ses lèvres, les pressant sur les siennes pour l'embrasser doucement mais rapidement, l'envie et l'excitation lui monta au cerveau et le doux baiser de Yuko devenait un baiser plus sauvage, plus animal! Yuko ne se sentait plus, sa langue devenait incontrôlable, embrassant fougueusement la neko démone en se pressant un peu plus contre elle. Elle espérait que sa sœur et Miki étaient en train de mouiller comme des fontaines, voulant être à leur place et punis aussi. Elles ne méritaient que ça ces deux-là! Et en changeant totalement de chose, elle laissait ses mains caresser ses petites fesses, ne passant pas sous la robe en léchant son cou, l'embrassant presque amoureusement. Une neko diabolique et dominatrice, forcément, ça fait rêver Yuko. En redressant sa tête en frottant son nez sur celui de Katarina, elle avait envie d'une chose bien précise.

« Retire moi cette robe et fait moi mouiller en te montrant dans une tenue plus dominante! Je vais aguicher un peu les deux salopes pendant ce temps ma beauté neko. »

Elle se défait doucement de Katarina, se rapprochant des deux autres soumises, d'abord sa soeur, caressant doucement sa peau sous ses gants de latex, sans lui faire le moindre mal en caressant avec insistance sa culotte double gode en elle.

« Tu aimerais être avec nous hein? Tu aimerais qu'on te fasse mal hein? Pas tout de suite, je veux te voir et t'entendre nous supplier au point que tu mouilleras toute seule avec ta culotte! Tu vas jouir toute seule mais t'en voudras encore plus! »

Poussant quelques petits rires sadiques sous les gémissements de sa jumelle, elle se rapprochera de Miki, lui caressant la joue en l'observant dans les yeux. Elle était si mignonne cette petite super-salope.

« Oh ma petite Miki, bientôt je te ferais descendre et je t'en foutrais plein le cul, promis! Je t'enfoncerais tout ce que tu voudras et je te fouetterais avec amour et avec dégout ma petite pute. Ouh~ tu es si mignonne... Regarde-toi, tu baves ma pauvre... »

Évidemment, avec une Gageball bloquée dans la bouche, le peu qui arrivait à se faufiler, c'était de la bave que Yuko léchait avec une telle lenteur et une telle douceur que ça en était aussi agréable pour l'une que pour l'autre, surtout que ses mains avaient tendance à se perdre sur son corps en attendant que Katarina ai finit de se changer.

On ne pouvait jamais vraiment comprendre le sadomasochisme tant qu’on ne comprenait pas la double nature du plaisir. La plupart des êtres vivants limitaient le plaisir à la simple notion de joie, un sentiment envahissant qui leur apportait une certaine satisfaction morale, une sérénité spirituelle, un sentiment diffus et positif qu’on appelait le plaisir. Tous craignaient naturellement et logiquement la douleur, car elle engendrait la souffrance, elle faisait mal. La souffrance était désagréable, une démangeaison qui faisait pleurer, un alerte de la vie, un signal pour dire à l’utilisateur que l’action qu’il faisait n’était pas sans conséquence. La douleur était une alerte à éviter, et, partant de là, les êtres vivants la fuyaient. Seulement, la douleur n’était pas simplement qu’une alarme, elle n’était pas qu’une sonnerie se déclenchant quand l’incendie couvait, elle était aussi un indicateur de la vie. Souffrir, c’était vivre. Ce n’était qu’aux portes de la mort que la douleur disparaissait, et c’était bien pour ça que les quelques individus atteints d’une insensibilité congénitale à la douleur étaient de pauvres hères à plaindre. Paradoxalement, c’était en naissant qu’on connaissait le paroxysme naturel de la souffrance. On naissait dans la douleur et dans la souffrance, et c’est dans cette douleur qu’on trouvait une certaine plénitude, un plaisir bien plus intense et plus profond que tout ce qu’on ne pourrait jamais ressentir. Le sexe était le seul moyen d’atteindre cet état contemplatif, cet état où douleur et plaisir ne se contentaient pas de disparaître, mais de fusionner, pour devenir unique et intense.

Katarina aimait le sadomasochisme parce qu’elle aimait l’idée de souffrir, parce que la douleur l’excitait, que ce soit pour la recevoir, mais surtout pour l’infliger. Fondamentalement, le sadomasochisme consistait à gravir la montagne du plaisir intense par l’autre versant, celui de la douleur. Ici, ce n’était pas le plaisir de la relation charnelle qui conduisait à la douleur, mais l’inverse : le plaisir était atteint par la douleur, une douleur qui ne vous anesthésiait pas, mais aiguisait tous vos sens, vous amenant à ressentir les moindres mouvements du vent. Sous l’effet de la douleur, le corps se réveillait, s’endurcissait, et devenait bien plus réceptif à son environnement. C’était une sensation merveilleuse, que Katarina faisait ressentir à chaque fois à ses proches, à ses proies. Mais elle se devait bien d’admettre que le plaisir simplement charnel n’était pas négligeable ici. Partant de ce point de vue, son long baiser avec Yuko fut particulièrement délicieux.

Il se prolongea sous les lèvres de la belle blonde, une poupée dans une tenue en latex sexy, qui lui pelotait les fesses. Katarina gémissait et soupirait, et le lui rendait, non pas en tripotant le postérieur de Yuko, mais en glissant ses mains sous les lanières de sa courte tenue, afin de presser ses tétons. Les seins de Yuko durcissaient, et Katarina savait qu’elle était aussi excitée qu’elle. Maîtresse Warren était alors bien loin, mais Katarina la remerciait pour ce cadeau qu’elle lui avait offert. Elle joua donc avec la langue de Yuko, jusqu’à ce que cette dernière lui demande de mettre une tenue un peu plus approprié, tandis qu’elle allait jouer avec leurs deux observatrices. Katarina sourit, tout en se maudissant de ne pas être une vampire. En effet, les vampires avaient cette capacité naturelle d’être extrêmement sensibles au sang, et de pouvoir percevoir les battements sanguins des individus proches d’eux. Avec le temps, on pouvait sensiblement affiner cette capacité. Ainsi, Katarina aurait pu savoir à quel point les deux petites putes attachées étaient excitées.

Katarina sentait sa queue se redresser dans son dos, tendue, sous l’effet du plaisir vif qu’elle ressentait, et du désir qui naissait en elle, gonflant ses muscles, dynamitant son sang. Elle rejoignit sa garde-robe, et trouva rapidement une tenue appropriée : un ensemble noir en latex et en cuir. Elle l’enfila assez lentement, jetant des petits coups d’œil. Bien qu’elle ne soit pas une vampire, Miki était sa proie privilégiée, celle avec laquelle Katarina développait des jeux longs et pervers. Combien de fois avait-elle ainsi attaché Miki au plafond, faisant longuement l’amour sous les yeux ? Miki adorait ça, et Katarina la connaissait donc suffisamment bien pour savoir qu’elle était follement excitée. Yuko se blottissait contre elle, léchant sa peau, avec une maîtrise de la situation qui confirmait sa grande expérience de la chose. Dans ce domaine, il n’y avait que la pratique qui vous comptait. Le sexe, au sens général, était tellement intime, tellement intense, qu’on ne pouvait le dominer que par la pratique.

Katarina s’habilla donc, enfila de longues bottes, les attachant tranquillement, puis se rapprocha. Elle arriva dans le dos de Miki, et posa ses deux mains sur les fesses de cette dernière, les pressant. Miki émettait des couinements étouffés, de petits miaulements plaintifs. Elle devait vraiment être en manque, la pauvre... Ce qui rendait les choses encore plus excitantes. Miki enfonça ses griffes, pétrissant les fesses, se débrouillant pour, sans arracher le latex, enfoncer suffisamment les pointes pour que Miki souffre. Cette dernière accrut ses gémissements, des petits couinements ressemblant à de merveilleux miaulements. La pauvre écarquilla les yeux en gémissant, se sentant probablement très à l’étroit dans sa combinaison.

« Quelle pute... Plus je te suis, Miki, et plus j’ai l’intime conviction que tu es la reine des salopes... Ça t’a fait mouiller, de nous voir nous embrasser ? Comme ça t’excite follement, d’être dans du latex ? Tu veux que je te dise ? On dit que les nekos sont des créatures adorables et attendrissantes, mais toi, plus je te vois, et plus j’ai l’intime conviction que tu n’es qu’une grosse pute... Tu es née pour ça, Miki, être une salope, la reine de toutes les traînées. Si Maîtresse Warren n’avait pas décidé de te prendre, tu traînerais dans l’un des bordels les plus miteux d’Ashnard, où des soldats de seconde zone ivres et rabougris te laboureraient le cul sans relâche. Petite pute ! »

Durant ce monologue, murmuré dans l’oreille de Miki, avec une voix qui ondulait parfois, la neko prisonnière continuait à gémir silencieusement, à remuer faiblement, les sangles soutenant à la perfection son poids. Katarina s’écarta un peu de Yuko, pour revenir près de Yuko, et lui fit un sourire, dans sa nouvelle tenue.

« Tu me préfères comme ça, ma chérie ? »

Yuko était impatiente de commencer mais elle était venue voir un peu les deux petites soumises, comment se sentaient les deux petites putes? D'un côté sa sœur avait terriblement envie de commencer et de se soulager, de l'autre, Miki n'était qu'une petite pute Neko qui voulait elle aussi terriblement se faire fouetter le cul et surement bien plus dans sa combinaison. Pas de panique, Yuko prendra un malin plaisir à se charger d'elles mais avant, il était temps de les faire baver un peu. Katarina faisait saliver sa Neko, Yuko léchait le ventre de Yuka en observant la scène, ce n'était que des messes basses mais vu le caractère des deux nekos, ça devait être très excitant! La belle neko démoniaque revint vers elle, demandant son avis sur sa nouvelle tenue? Elle était très sexy, très belle, sa petite Katarina était aussi aguichante que dominante!

« Indubitablement! Tu es si bonne ma pe... ma belle Katarina. C'est simple, je me laisserais presque me faire fesser par toi dans cette tenue mais... même si ça pourrait faire craquer nos deux petites putes, je ne suis pas d'humeur à me soumettre. Pas même pour tes beaux yeux rouges ma ravissante neko diabolique. »

Elle se pencha sur elle en passant une main sur sa hanche, la seconde sur son épaule. Elle déposa quelques baisers sur sa peau, sur sa poitrine, là où le cuir ou le latex laissait sa peau pâle à l'air. De petits baisers tendres et doux, passant presque sa langue sur sa peau de lait. C'est incroyable comme sa peau était douce comme de la soie? Elle avait presque envie de retirer ses gants pour la caresser avec ses mains. Yuko cessa ses petits baisers pour se redresser en passant sa main de son épaule à ses cheveux, lui parlant en étant si proche de son visage, de ses mignonnes petites lèvres.

« J'aime le goût de ta peau ma Katarina... Elle est si douce au toucher, je pourrais te caresser des heures entières... »

Et c'était sincère, pas de simples flatteries! Combien de nekos chez elles passent leur temps à se faire caresser par leurs maîtresses quand elles ne travaillent pas ou bien qu'elles sont pas nues à subir leurs fantasmes? Mais il y avait bien plus important pour le moment, une chose qu'elles devaient faire pour mieux punir leur petites choses.

« On commence par quoi ma belle? On ne fait que s'embrasser et se caresser ou j'ai le droit de torturer un peu tes délicieuses petites fesses? »

Sa main dans le dos glissa plus bas sur sa fesse tendre et moelleuse. Oui, elle était déçue d'avoir opté pour des gants, elle ne pouvait pas ressentir cette fesse sous sa main alors qu'elle se collait à sa jolie neko. Yuko était moins couverte que Katarina pour le coup mais ce n'était pas gênant. Mais peau contre peau, ça aurait pu être plus doux entre elles? Elle savoura sa peau bien assez vite de toute façon, chaque chose en son temps, elle devait d'abord faire ronronner sa petite Katarina et Yuko approcha donc ses lèvres pour un baiser délicieux et doux, pas sur que ses mains soient aussi douces sur ses adorables petites fesses!

Le moins qu’on puisse dire, c’est que les deux femmes étaient plutôt bien habillées, et avaient bon goût. Katarina s’était habillée comme il le fallait, et Yuko avait bien raison d’avoir insisté sur ce point. Une Maîtresse se devait en effet d’être bien habillée, et c’était d’autant plus vrai que, avec Mélinda, Katarina avait accès à une formidable garde-robe. La vampire était en lien avec une importante maison de tisserands de la ville, qui satisfaisaient à toutes ses excentricités, et elle avait une fortune suffisante pour n’importe quelle envie. Katarina n’avait pas accès à la gestion des comptes et des finances du harem, mais elle savait qu’il y avait une petite part consacrée aux vêtements, que ce soit pour des occasions comme celles-ci, ou pour les grandes soirées costumées. L’esclavage permettait de faire vivre toute une industrie. Katarina et Yuko s’embrassaient et se pelotaient, et c’était surtout Yuko qui, pendant un temps, agissait, frottant et embrassant la belle peau douce de la démoniaque neko. Sa peau était aussi douce que celle des nekos, ce qui continuait à la rapprocher de ses gènes terranides. Elle était vraiment une créature exceptionnelle, et elle en avait pleinement conscience. Yuko se blottissait contre elle, continuant à l’embrasser, jusqu’à aventurer ses mains près de ses fesses, faisant crisser le cuir et couiner le latex. Katarina gémissait et soupirait, ronronnant de plaisir. Elle était plus petite que Yuko, et se serrait contre elle, tandis que Miki poussait de petits couinements en gémissant.

Yuko proposa de se faire l’amour devant ces deux belles salopes, et la perspective de les frustrer, en réalité, excitait énormément Katarina, tout comme les mains gantées de Yuko, qui glissaient le long de son corps pour presser ses fesses. L’un des traits communs entre Mélinda et Katarina était le fétichisme assez important que les deux femmes avaient. Mélinda, come Katarina, aimaient bien les longs gants soyeux, les vêtements sexy et moulants, qui formaient comme une sorte de valeur ajoutée, amplifiant la beauté, améliorant les courbes naturelles et langoureuses de belles femmes comme elles. Yuko était parfaite dans cette tenue rouge, qui lui allait comme un gant. Katarina se frottait tendrement contre elle, s’étant hissée sur les épaules de la belle blonde, dans la mesure où elle était plus petite qu’elle.

« On commence par quoi ma belle? On ne fait que s'embrasser et se caresser ou j'ai le droit de torturer un peu tes délicieuses petites fesses ?
- Hum..., gémit-elle en réponse. N’oublie pas que je ne suis pas qu’une belle neko, j’ai aussi des gènes de démone dans le corps... »

Elle avait bien compris que les Karistal adoraient les nekos, et que c’était avant tout cette partie de sa nature qui plaisait à Yuko, mais Katarina était aussi une démone, cruelle et sanguinaire, qui aimait la violence et la perversion. Tandis que son corps ronronnait, sa queue remuait en l’air, et vint fouetter le dos de Yuko. Oh, elle ne lui faisait certainement pas mal, car sa queue n’était qu’un ensemble de poils. C’était plutôt le geste qui importait.

« Maltraite-moi le cul, je veux que Miki voit tes doigts me tripoter les fesses, je veux l’entendre gémir et couiner en se tortillant... »

Katarina, elle, léchait le cou de Yuko en remontant vers son oreille, posant ensuite ses mains sur ses seins, les pressant à nouveau, éprouvant leur fermeté, tandis que sa queue entreprit désormais de s’enrouler autour de la taille de Yuko. Elle pinçait les tétons à travers les bandes de latex, tirant les seins à droite et à gauche, essayant de ne pas les déloger des deux bandes rouges.

« Mraaaaawww... » miaula-t-elle dans son oreille.

Quelque chose lui disait que cette femme devait adorer les miaulements.

Comme ça allait être amusant! Yuko sentait cette odeur d'amusement dans l'air! La jolie Miki et Yuka étaient attachée, obligée de regarder la scène ou se regarder sans pouvoir agir alors que Yuko et Katarina pourraient s'amuser comme des folles sous leurs yeux, les torturant sans même lever le petit doigt sur elles. Ce serait con de pas pouvoir se toucher devant un tel spectacle. Remarque, Yuka avait sa culotte double gode qui continuait de la faire gémir et mouiller devant le petit spectacle mais pas la pauvre Miki. Elle était obligée d'y assister en suppliant, pleurant, de vouloir venir s'occuper de son ravissant petit cul. Mais pas tout de suite. Yuko avait une jolie neko à s'occuper. Une neko qui avait quand même une pointe d'autorité. On reconnaissait bien là son petit côté démone, mais on ne lui en veux pas pour cela, ça ne peut la rendre que plus adorable encore. Elle le lui faisait remarquer mais Yuko en souriait que d'avantage.

« Mais je ne l'oublie pas ma jolie petite chatte des enfers. »

Est-ce qu'elle était déjà chaude comme l'enfer à s'imaginer faire des folies sous les yeux de sa chose, réclamant qu'on s'occupe d'elle? Elles venaient à peine de commencer mais Yuko rêvait de glisser un doigt entre les jambes de Miki pour voir à quel point elle pouvait mouiller comme la petite salope qu'elle était? Sa demande en tout cas n'était pas de refus mais se proposer comme ça, de lui maltraiter le cul... Katarina aurait-elle un petit faible pour la domination malgré tout? Face à une autre dominante ou à une cliente qui lui plaisait, ses gênes nekos se soumettaient forcément à elle? Ce serait intéressant à voir mais Yuko ne poserait pas cette question, elle s'en sentirait surement vexé qu'elle puisse penser ça... ou qu'elle ait toucher dans le mille. Gémissant de bonheur sous les coups de langue de sa petite Katarina, elle ouvrit la bouche pour gémir un peu plus fort sous ses doigts experts qui lui faisaient mal aux tétons. Yuko n'avait pas honte d'avouer aimer ça mais qu'avec des dominantes, jamais une soumise ne viendrait lui faire ce genre de chose sans manger dix fois pire. Ses mains restaient immobiles pour le moment sur sa jolie paire de fesses mais il était temps de maltraité ses deux petites choses aussi simplement que par la voix.

« Hyaaan pas mes... tétons! Ils sont si fragiles et... haaaAAAAANNN Katarina c'est... han si bon! Continue à… à les maltraiter! »

Sa petite langue sortait sous ses doux miaulements alors que ceux de Miki et Yuka ne faisaient que rendre ce tableau encore plus magnifique. Torturée par une neko dominante, si elle n'en avait pas de la chance, elle se demandait ce que c'était! Ses mains s'activaient enfin, caressant cette douce peau qu'elle ne pouvait sentir sous ses gants mais très vite, elle abattait sa main sur sa fesse gauche, un coup sec, qui résonna dans la pièce. Sa main attrapait sa chair tendre pour la presser entre ses mains, comme une patte bien ferme, pinçant quelques fois ses fesses, se faisant parfois douce, Katarina ne pouvait prédire sa prochaine action. Même si Yuko continuait de gémir, elle gardait un œil sur les deux petites choses accrochées, sa langue les aguichait dans de petites invitations lentes qu'elle leur proposait en torturant les jolies fesses de la neko. Miki comme Yuka devenait folle sous ce spectacle. Elle se demandait quand même laquelle des deux va craquer en premier? Et ce qu'elles feraient? Elles se soulageraient elles-même ou bien elles viendraient se frotter à elles pour êtres punis? Bonne question.

« Continue... Continue de miauler ma jolie Katarina... tu es... haaaannn... Si mignonne quand tu me miaules dessus! Allez... maltraite-moi aussi un peu. Mais avant... »

Elle recula sa tête pour venir l'embrasser fougueusement, elle était si belle, comment résister à une attendrissante neko comme elle? Katarina méritait bien quelques sacrifices. Yuko en profita pour glisser sa main gantée sous la culotte en latex de la jolie neko avant de faire doucement glissant son doigt crissant dans son petit trou, s'enfonçant doucement mais surement. La bouche de Yuko se rapprocha de ses mignonnes petites oreilles pour lui murmurer quelques mots.

« Miaule~... gémit~... cris~... ça va les rendre folles! »

L’une des théories de Mélinda Warren était de considérer qu’il était impossible d’être réellement une bonne dominatrice si on ne se mettait pas dans la peau d’une soumise, si on n’acceptait d’admettre que toute dominatrice pouvait fatalement être une soumise. Pour Mélinda, il fallait se mettre dans la peau d’une soumise pour savoir comment cette dernière réagirait, et pouvoir, en conséquence, adapter son traitement. C’est ce qui expliquait pourquoi Mélinda, souvent, se faisait fouetter le cul et enchaînée par quelques esclaves spécialement triés sur le volet. Katarina devait également se soumettre à cet exercice, et elle avait été ainsi plusieurs fois giflée sur les fesses par Mélinda. Elle était alors autant irritée qu’excitée, ses gènes de neko faisant en réalité d’elle une excellente soumise... Ce que ses gènes démoniaques niaient, en faisant une dominatrice redoutable, qui utilisait sa perversion pour faire souffrir ses esclaves, afin que personne ne puisse savoir que, secrètement, elle adorait se faire fouetter par de belles femmes. Elle avait clairement le sentiment que les Karistal fonctionnaient sur la même façon, et Katarina s’amusait donc à pincer ses seins, à hauteur des tétons, un sourire ravi sur les lèvres, sans tenir compte des soupirs de Yuko, lui demandant d’arrêter ça... Elle connaissait suffisamment ces sensations pour savoir que cette demande était en réalité une invitation à poursuivre.

Katarina connaissait suffisamment Miki pour savoir que la brave super-neko était en train de souffrir. Katarina avait connu ça : la frustration. C’était une forme de torture terrible. Elle se rappelait se tortiller dans tous les sens, ses miaulements étouffés par le gag ball serré sur ses lèvres. La neko sentit alors les mains de Yuko lui maltraiter les fesses, et elle poussa un petit couinement, ses grandes oreilles entendant le bruit délicieux du frottement de la combinaison en latex, à hauteur des jambes de Miki. La pauvre essayait de se masturber, et, contrairement à Yuka, elle n’avait pas deux godes en elle pour lui permettre de jouir. Avec un sourire carnassier, et des ronronnements délicieux, elle pinça encore les tétons de la femme, tirant ses seins, suivant les bandelettes rouges en latex, sa queue enroulée autour de la taille de la femme.

« Continue... Continue de miauler ma jolie Katarina... tu es... haaaannn... Si mignonne quand tu me miaules dessus! Allez... maltraite-moi aussi un peu. Mais avant... »

Katarina frissonnait. Oh, elle adorait cette femme ! Elle allait sûrement devoir remercier Mélinda pour lui avoir amené de telles clientes ! Elle tombait généralement, soit sur des individus extrêmement soumis, soit sur des gens qui la provoquaient, leurs sourires goguenards l’irritant plus qu’autre chose. Ces deux femmes étaient différentes. Il se dégageait d’elles une certaine sincérité, une forme d’honnêteté du travail bien fait, des fesses qu’on pénètre, des fouets qui claquent sur le dos, du port du latex... Elle jouait avec des confrères, et sentit l’une des mains de Yuko filer sous ses vêtements, avant de la doigter.

« Nyuuuu... »

Il y avait quelque chose de particulièrement délicieux dans ce que cette femme faisait. Un doigt en latex s’enfonçait en elle, et sentir le latex sur ses fesses l’excitait joyeusement, délicieusement. Yuko lui demanda de miauler, de gémir, et Katarina, en pinçant les tétons, le fit donc.

« Myyyyaaaawwww... Haaaaaaaaaaaaaaa, meeeeeeeeeeooouuuuuwww... »

Elle miaulait dans les oreilles de Yuko, et lécha son cou, avant d’avancer ses dents, et de la mordiller légèrement, reniflant son odeur, tandis que le bout de sa queue s’avançait lentement, filant sous la culotte rouge, pour s’enfoncer adroitement dans le sexe de la femme, rentrant dans son intimité. Ses belles fesses ressortaient de la ficelle ridicule qui partait derrière elle. Elle portait un délicieux petit string, et Katarina se déplaça à nouveau, avançant une main pour gifler et griffer son cul, tandis que sa bouche vint attraper l’un des seins de Yuko, le suçant à hauteur du téton, sa langue glissant sur ce petit bout de chair. Elle la gifla à nouveau, frappant fort. Sa queue remuait dans l’intimité de la femme.

« Je vais te... Mraaaawww... Te faire jouir, ma petite salope... Sous les yeux de ta sœur, hihi... Mmmmhmmmmm... »

Quelle délicieuse neko, quelles délicieuses nekos devrait-elle dire, un tel couple ne pouvait que retenir leurs attentions. Si belles, si dominante pour l'une, si soumise pour l'autre, Yuko ne pouvait espérer mieux et elles étaient si belles, si bonnes qu'elle serait prête à payer cette séance tellement Katarina était une neko des plus formidables. Yuko se fichait bien de souffrir un peu si ça pouvait permettre à ses deux-là qui sont accrochés de souffrir et désirer être désiré et maltraité par deux maîtresses comme ça. C'était si bon de se sentir désiré en ayant un peu mal. Quitte à faire souffrir un peu sa poitrine, ce n'était qu'un maigre sacrifice face à leurs couinements à ses deux-là. Sa main continua de se faufiler sous sa culotte, faisant pénétrer son doigt entre les petites fesses de la neko démoniaque, un accès difficile mais si chaud et si tendre. Elle aurait même envie de devenir futa pour prendre son petit cul, ça doit être divin de se faire un petit cul pareil! Ses petits miaulements étaient si adorables, Yuko savourait ça, autant que cette queue coquine qui venait se faufiler entre ses jambes. C'était bête mais elle adorait une queue de neko la pénétrer. Surement à cause se la sensation des poils sur son corps? Peut-être bien. Mais la démoniaque neko commençait à vouloir prendre les ficelles pour la maitriser mais attention, ce n'est pas parce qu'elle était heureuse et souriante que Yuko était soumise... ce serait même le contraire pour elle.

« Mais attention ma vilaine Katarina... ça serait dommage de trop abimer mon joli petit derrière, tu penses pas? »

Mais pour une telle neko, elle peut bien lui donner un ou deux petits caprices de réalisable. Se rapprochant à nouveau contre elle pour la coller, elle vint l'embrasser fougueusement en passant ses mains dans ses cheveux avant de se reculer un peu, se décollant de son corps en tenant quand même la queue de la belle neko pour ne pas lui faire mal en la retirant doucement. Non pas qu'elle voulait pas aller aussi loin mais au contraire, elle voulait pousser le vice plus loin, la torture plus loin néanmoins. Elle recula vers Katarina en frottant son derrière sur le bassin de la jolie démoniaque neko, se dandinant comme une vulgaire catin.

« Fait moi plaisir devant elles. Je veux le voir souffrir quand tes mains me caresseront ou me ferront du mal. »

Sa tête doucement tournée en arrière pour observer Katarina, elle attrapait doucement une de ses mains pour la porter devant elle, suçant son index pour aguicher un peu en roulant doucement du bassin contre elle.

« Tu as mon autorisation de me soumettre un peu ma belle mais à une seule condition... je veux que ça en fasse pleurer Miki. Je suis sûr qu'elle est trop mignonne quand elle pleure et que ses larmes sont délicieuses. »

Sa peau était chaude et délicieuse, elle pourrait la lécher ou même se frotter dessus comme une neko à longueur de temps comme ça. Yuko leva les bras en bombant le torse, ses mains venant caresser la tête de sa partenaire, caressant doucement ses petites oreilles.

« Et si tu arrives aussi à en faire pleurer Yuka de frustration, je te bouffe ton petit minou de suite et à pleine dent! »

En l'observant, sa langue passait doucement sur ses lèvres, elle aguichait ouvertement les deux camps, la dominante et les soumises mais maintenant, place au show.

« Faites moi plaisir mes mignonnes~♥ »

Deux soumises, deux Maîtresses. Un rapport de force équitable, en théorie. En pratique, le fait d’avoir immobilisé ces soumises, de les avoir cantonnées à un rôle d’observatrice, avait pour effet pervers que les deux dominatrices étaient naturellement en train de « jouer » ensemble, de se titiller. C’était une sorte de déformation professionnelle, dans le fond. Tout simplement.

Yuko finit par repousser Katarina, avant de se pavaner au milieu de la pièce. Désirable dans sa tenue rouge en latex, la belle Yuko savait qu’elle avait trois paires de yeux rivés sur son corps, à détailler le moindre de ses formes, la plus petite parcelle de son corps, et il semblait naturel qu’elle en profite, qu’elle utilise cette situation pour s’afficher. Mettant en avant ses formes, la Karistal semblait réfléchir. Katarina savait que, en définitive, malgré les apparences, le client avait toujours le dernier mot. Quand il demandait grâce, il fallait arrêter. Poursuivre impliquait le risque d’avoir des problèmes judiciaires par la suite, et c’était parfois assez difficile pour Katarina, qui avait tendance à se laisser emporter quand elle corrigeait le cul de petits humains. D’un autre côté, les Karistal n’étaient pas des clientes, plutôt des invitées. Il y avait une nuance subtile à apporter, qui impliquait peut-être, pour Katarina, une plus grande liberté. C’était comme de coucher avec une amie, en somme.

Lentement, la Karistal lui parla, se mettant à lui exposer les nouvelles règles du jeu. La soumettre (ce qui provoqua subitement quelques ronrons supplémentaires dans le corps de la neko démoniaque), avec cette condition de faire pleurer de frustration, au moins Miki, et, dans l’idéal, les deux. Katarina les regarda brièvement. Joues rouges, traits tirés, membres se contorsionnant lentement. Elle connaissait suffisamment Miki pour savoir que cette dernière était déjà frustrée, très frustrée. Une belle tâche s’était formée entre ses cuisses, et, si elle voyait Katarina fouetter le cul de Yuko, il était plus que certain qu’elle plairait. La faire pleurer était une gageure. Yuka, en revanche... Et bien, Katarina ne la connaissait pas, et ses réactions étaient donc imprévisibles. Néanmoins, le challenge était intéressant, et, de toute manière, la simple perspective de violenter un peu cette femme dans sa tenue de latex suffisait à lui faire plaisir.

Comme toutes les filles de prostituées, Katarina n’était pas vraiment désirée, et elle l’était encore moins en sachant que son père était un démon. Elle ignorait l’identité réelle de son père, ne connaissant que celle de sa mère, et cette dernière avait perpétuellement grandi avec la peur qu’un jour, des Impériaux ne viennent la tuer, elle et son enfant, au cas où il s’avérerait que Katarina était la fille d’un influent démon ashnardien. Katarina avait toujours grandi en ayant une certaine dose de colère et de frustration, en voyant qu’elle était mise au rebut, honnie par les nekos, moquée et méprisée par les démons. Elle avait pris plaisir à battre les nekos, celles et ceux qui la dédaignaient, voyant en elle un monstre, une aberration... Et c’était ainsi qu’elle avait fini par devenir une dominatrice de harem, à fouetter le cul de ceux qui, en société, la méprisaient et lui marchaient dessus. Ici, elle pouvait librement se laisser aller.

Elle se remit sur pied, marchant alors à quatre pattes, et se rapprocha lentement de Yuko, d’une démarche féline. Elle se glissa dans le dos de cette dernière, et frotta ses fesses avec son nez, glissant sur sa chair nue, la léchant, ronronnant légèrement, sa queue redressée en hauteur. Elle bondit alors en hauteur, un léger bond, et se lova contre le dos de Yuko, enroulant ses jambes autour de sa taille, et plantant ses mains sur ses épaules. Elle lui lécha alors une oreille, glissant sur ses longues mèches de cheveux, tandis que sa longue queue poilue de neko se déplaçait pour frotter l’estomac de la jeune femme, se glissant ensuite sous son string pour la pénétrer.

« Méfie-toi que ce ne soit pas que je fasse chialer, ma petite pute... » la nargua-t-elle.

Elle retira alors sa queue, et se servit des épaules de Yuko comme d’un ressort, pour bondir en hauteur. Elle passa ainsi par-dessus la femme, fit un léger salto, et atterrit sur ses pattes, se remettant ainsi debout, sa queue fouettant l’air derrière elle. Comme toutes les nekos, Katarina était agile et acrobate.

« Je vais donc m’occuper de toi, petite catin. »

Elle s’avança un peu, et alla saisir un fouet noirâtre, puis le fit claquer dans le vide. Le fouet était l’un de ses rares instruments qui pouvait émettre son claquement en ne rencontrant rien. Le fouet claquait dès qu’il pénétrait dans l’air, et ce son était, tout simplement, exquis. Katarina fit à nouveau claquer le fouet, près du corps de Yuko.

« Et bien ?! Tu attends quoi pour te mettre à quatre pattes ? Une invitation ?! Allez, obéis, sale pute ! »

Et, comme pour la motiver davantage, Katarina abattit le fouet sur son sein droit. Puisque l’objectif était de faire pleurer Miki, autant employer le fouet, sa « super-neko » était incapable d’y résister.

C'était si amusant ce jeu. Faire en sorte de faire pleurer de frustration Miki et Yuka semblaient être un jeu parfait. Elle ne savait pas si sa jumelle allait se mettre à pleurer pour si peu? Se dandiner, supplier, jouir mais pleurer? Elle se posait elle-même une colle. Mais bon, pour voir le ravissant visage de la super-petite neko pleurer, ça devait valoir le coup. Attention quand même, comme toute fan de neko, Yuko n'aimait pas voir une neko pleurer. Mais si c'était de frustration et que la rendre heureuse serait de la détacher pour littéralement lui bouffer la chatte ou vouloir se faire frapper le cul alors c'était différent. Yuko était prête à se soumettre un peu à cette ravissante et démoniaque neko, cette dernière ne tarda pas à passer son petit nez sur ses fesses, quelle petite coquine! Elle vint même s'accrocher à elle en jouant avec sa queue qui semblait aussi perverse que la neko! Se faire pénétrer par une queue de neko, c'était quand même une chose qu'elles adoraient toutes les deux. Ce côté poilu et doux, surtout ce côté neko, elles en étaient folles! Elles n'avaient jamais essayé mais elles seraient sûrement prêtes à aller faire de la zoophilie tant que c'était des chats ou des félins. Mais bon, neko ou furry neko, c'était tout aussi bon comme ça.

Bien qu'avec de simples paroles, la belle Katarina l'aguichait un peu, elle prit son rôle très au sérieux avec son fouet qu'elle fit claquer tout près d'elle. Diable, quelle neko excitante! Et même ce petit coup de fouet sur son sein était à double tranchant... Qu'elle la soumette était un souhait qu'elle lui laissait mais attention à ne pas aller trop loin car la roue tourne et Yuko pourrait bien se venger par la suite. Yuka adorait la torture mentale, elle, c'était la torture physique.

« Oui ma Maîtresse qui me fait mouiller comme une petite neko en chaleur~ »

Dans leur position, les deux soumises pouvaient parfaitement voir ce qui se passait entre les deux dominantes mais Yuko ne comptait pas être une docile femme sortie du moule. Elle comptait tout faire pour exciter autant Yuka que Miki que Katarina. Elle n'avait pas dit son dernier mot, oh que non. À quatre pattes, la Karistal dominante reniflait l'entrejambe de sa Katarina avec un petit sourire en coin.

« Hum la mouille de ma Maîtresse sent si bon... je pense que je lui lécherais volontier son adorable minou si elle me le disait... »

Elle leva les yeux vers elle, un mot, un geste et elle obéit bien docilement. Mais pour le moment, elle n'avait pas fini de jouer et elle comptait bien savourer ce dessert une autre fois. Elle jeta un regard sur les deux soumises, Miki semblait avoir de plus en plus de mal à tenir. Brave petite. Et Yuka avait déjà sa culotte de trempé, les gouttes tombaient de plus en plus par terre. Combien de fois cette petite salope a-t-elle put jouir? Pour la forcer à user de ce fouet qui était aussi excitant qu'une carotte sur un bonhomme de neige en plein hiver face à une nymphomane végétarienne pour Miki, Yuko poussait le vice plus loin en se redressant sur ses genoux, frottant sa joue sur le ventre de Katarina en passant ses mains sur ses délicieuses petites fesses. En voilà deux qu'elle a envie de corriger aussi, avec un fouet ou à pleine dent.

« Hyaaaan ma Maîtresse à un petit cul tout doux et moelleux, je la voudrais pour oreiller cette nuit tellement elle m'excite!!!! Prenez-moi ma petite Maîtresse!!! »

Oui, ma Petite Mâitresse... Elle se fichait que Yuko lui parle comme si elle lui appartenait mais elle n'était pas Petite... Alors la Karistal usait ce point pour la forcer à user de son fouet avec modération quand même pour faire pleurer Miki. Elle était si excitante cette super neko, elle allait adorer la corriger et lui lécher son minou à celle-là. Vivement que la petite fête débute à plusieurs. C'était simple de savoir que Yuko en faisait trop, il suffisait de la voir constamment observer les deux soumises, elle n'attendait que leur larme... Son orgasme sera accompagné de leurs larmes ou au moins de celles de Miki.

Le claquement d’un fouet... Oh, si c’était jouissif ! Immobilisée, suspendue en l’air, Miki soupirait silencieusement. On pouvait entendre les délicates vibrations de son corps à travers la combinaison en latex qui recouvrait sa peau. La pauvre petite neko remuait un peu, lentement, mouillant de plus en plus, alors que Yuko, à quatre pattes, venant frotter sa tête contre le bassin de la neko démoniaque, continuant volontairement à la narguer, pelotant ses belles petites fesses. Elle la provoquait, tout simplement. Miki comprenait ce jeu, car elle-même, quand elle en avait l’occasion, se livrait à ce genre d’exercices. Provoquer sa Maîtresse était le meilleur moyen de se faire battre, et toute bonne esclave savait tout le profond plaisir qu’il y avait à en tirer, surtout avec Katarina, qui ne se gênait pas pour fouetter et battre les esclaves se révoltant contre son autorité... Exactement comme Yuko était en train de le faire. Tout ceci, évidemment, rendait la position de Miki encore plus insoutenable. Se tortillant entre ses sangles et sa combinaison, elle clignait des yeux. Elle était de plus en plus frustrée, et poussa de petits couinements.

Reprendre Katarina sur sa taille était généralement le meilleur moyen de l’énerver, de la provoquer. La petite taille de Katarina ne la rendait pas très effrayante, et était un résultat des gènes de neko dans son sang. En somme, c’était un moyen de la rabaisser en lui rappelant cette partie de son héritage qui lui avait toujours valu d’être rabaissée. Le fouet claqua donc sèchement sur le bas du dos de Yuko. Katarina savait que cette dernière la provoquait, elle le savait même très bien, car c’était une chose que ses victimes, par un curieux besoin masochiste, adoraient faire. En effet, il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre que les gènes terranides de Katarina devaient être, pour une démone, un poids assez lourd à porter.

« PETITE ?! s’étrangla l’intéressée. Comment OSES-TU ? Insolente ! Espèce de… !! »

Relevant son poignet, Katarina la fouetta sur le bas de son dos, le bout du fouet claquant sur le sommet de son cul. Sa queue se débattit, repoussant les mains gantées de Yuko. La sentir lui palper les fesses était assez agréable, mais Katarina ne l’entendait pas ainsi. Katarina savait qu’il y avait là-dedans une part de cinéma, mais la colère dont elle fit preuve en fouettant Yuko, elle, était loin d’être simulée. S’écartant, Katarina abattit à nouveau son fouet, sur les hanches et les côtes de la belle petite blonde.

« PERSONNE ne me dit que je suis petite ! PERSONNE !!! »

Et le fouet, encore, se mit à claquer. Pendant plusieurs minutes, on n’entendit plus aucun autre son dans la pièce que les halètements des femmes, et les claquements sonores du fouet s’abattant sur le dos et sur les fesses de Yuko. Katarina le maniait avec dextérité, l’abattant rapidement. Elle le relevait et l’abattait, encore et encore, faisant rougir le corps de Yuko, le fouet glissant souvent sur les fesses de Yuko, ceinturant son magnifique cul. Katarina aimait ça : fouetter le corps de belles femmes en latex. Il lui arrivait aussi de fouetter les hommes, mais elle adorait clairement plus battre les femmes.

Miki, quant à elle, avait les yeux embués, et commençait à pleurer en se tortillant dans sa combinaison. Des larmes de frustration, tant son intimité lui faisait mal, tant elle avait l’impression que cette dernière était en train de pleurer. La pauvre n’en pouvait plus, et avait tout simplement une envie phénoménale de se faire tringler.

Voilà ce qui s'appelait jouer avec le feu. Mais Yuko savait qu'elle risquait gros, que sa colère pouvait plus qu'un rôle pour faire pleurer Miki, si elle touchait la corde sensible. Katarina l'avait repris une fois sur sa taille, se fichant que Yuko la traite comme sa neko mais pas sa Petite neko. C'était donc sur ce point que Yuko misait en espérant faire pleurer les deux soumises. Avec Katarina, Miki allait surement pleurer mais Yuko savait que ce ne serait pas le cas de sa sœur. Elle n'était pas assez en manque pour cela. Au mieux, elle l'aura encore plus obéissante et soumise que d'habitude, c'est tout mais c'est déjà pas mal. Abordant donc le sujet de la taille, la neko s'énerva en un instant, repoussant la Karistal avec les mains comme avec son fouet et le premier coup faisait toujours plus mal, c'est bien connu. Celui juste avant n'était pas un coup mais une mise en garde, là, le spectacle peut commencer! Bien vite, le fouet s'abattait à nouveau sur elle, tantôt les hanches ou son ventre, plus souvent le bas de son dos et surtout ses fesses. Elle avait beau porter une belle petite combinaison en latex rouge, ça ne changera pas les marques qui sont bien marqué sur son corps. Yuko poussa des cris mêlés entre le plaisir et la douleur. Elle avait beau avoir endossé ce rôle quelques fois par plaisir, elle avait une limite moins grande à supporter la douleur que sa sœur soumise. Si bien qu'à un moment, elle se leva en plaçant sa main entre elles, venant attraper la main de Katarina, ce simple geste était muet mais vu son regard et les marques sur son corps, ça veut dire « Stop ».

Sa main serrait la sienne qui tenait le fouet, elle se rapprocha d'elle, une lueur de colère dans son regard et un sourire des plus charmants, comme sa voix. Elle se rapprocha d'elle, la collant, on pourrait croire qu'un baiser allait mettre un terme à ce rôle de soumise et dominée mais elle approcha sa bouche de son oreille féline en passant la main dans ses cheveux.

« Tu me lécheras chaque blessure avec ta délicieuse langue, Katarina d'amour. »

Yuko parla à voix basse dans sa petite oreille avant de continuer à la caresser. Les flammes dans ses yeux étaient plus doux, devenant le contraire de son expression avant de lui parler. Un regard rempli d'amour envers cette neko et un sourire tout droit sortie des enfers. Elle relâcha sa main, posant sa main sur sa hanche, continuant d'être si proche de cette ravissante créature démoniaque alors que sa seconde main faisait enrouler un de ces doigts dans une de ses mèches de cheveux.

« Allons voir le résultat d'abord. J'entends une délicieuse voix qui a plus à m'offrir, je le sens... »

Elle tourna le dos à la neko, gardant un œil sur elle. Son corps était rouge à de nombreux endroits, le sang perlait sur sa peau à certain endroit, notamment en bas de son dos, près de son fessier. Là où la petite neko s'était fait plaisir à la maltraiter. Elle souffrait mais n'en montrait pas la moindre trace, l'habitude de la ressentir et de la procurer surtout. Elle marcha lentement vers les deux poupées accrochées au mur en déhanchant son bassin. Qu'elles admirent la vue si elles veulent, elle leur fait ce cadeau. Elle vint d'abord voir Miki, la pauvre petite super-salope qui se dandinait entre ses chaines comme une petite chatte que l'on s'apprête à laver dans un lavabo. Yuka leva sa main, caressa sa joue brulante, la bave coulait par-dessus son gag-ball, elle était ravissante mais elle pouvait l'être plus.

« Ma pauvre petite chatte, tu as l'air de souffrir avec toutes ses vilaines chaînes? Je suis sûr que tu m'as envié de me voir me faire battre par Katarina, de voir mon corps marqué, tu n'avais qu'une seule envie, brisée ses chaînes et me sauver, comme une super-héroïne, hein? Tu dois être si gentille ma toute mignonne Miki. »

Yuko retira sa main en se penchant sur son entrejambe, pas question de la toucher à cet endroit, elle approcha sa bouche mais avec le simple but de la renifler très fort, voulant bien faire comprendre que son odeur intime l'excitait! Elle sentait bon la cyprine, elle devait être bien mouillé? Yuko était sûre d'entendre un petit « spouic » si elle enfonçait son doigt à cet endroit mais, pas maintenant. Elle la laissa avec un petit signe de la main en contrôlant sa sœur. Elle ne se privait pas de caresser sa culotte qui continuait de vibrer en admirant la petite flaque sous elle, qui coula depuis son entrejambe vers le sol.

« Quelle petite salope tu fait. Ta vraiment pris ton pied à nous observer hein ma petite putain? J'aurais dû te la retirer avant de commencer, t'aurais surement été au moins aussi frustré que Miki. »
« Yukoooo~ »

Sa main s'abattait sur sa joue et avec le latex, le bruit de la claque se fit entendre dans la pièce, agaçant surement un peu plus Miki de ne pas être à sa place.

« Sale putain! Tu m'appelles Maîtresse Yuko ici, compris!!! Une seule erreur et même Miki te plaindra! »

Elle comptait laisser sa sœur entre les mains de Katarina pour qu'elles s'amusent mais pour le moment, elle délaissa leurs deux choses. Les fruits ne sont pas assez mures pour elle. Elle se rapprocha de Katarina avec ce même déhanché avant de passer sa main droite sur sa joue gauche, gardant son regard dans les siens.

« Je veux que tu viennes lécher chaque endroit où ta langue m'a fait mal. Ensuite, on voit si on peut soulager ses deux petites catins. Pour l'heure, ton premier coup de fouet avait été ici, non? »

Yuko se caressa le sein, le téton plus précisément en ayant son regard lubrique. Que Katarina se serve de sa petite langue pour lécher chaque endroit où ce magnifique fouet à abimer son corps. Cela devrait achever Miki déjà...

Le fouet de Katarina claquait sans arrêt, maltraitant le corps de Yuko, formant une délicieuse litanie, un environnement jouissif de coups de fouet. Entendre les couinements de Yuko, cette belle poupée en latex, ainsi que le claquement sonore du fouet, voilà qui avait largement de quoi exciter n’importe qui. Katarina soupirait joyeusement, sentant ses seins se tendre, son intimité se mouiller, au fur et à mesure qu’elle la battait, qu’elle rougissait le corps de cette femme. Katarina ne comptait nullement s’arrêter, et était prise dans son élan, fouettant, fouettant encore, sans relâche... Jusqu’à ce que l’une des mains de Yuko ne l’attrapa au poignet. Katarina cligna alors des yeux, et réalisa qu’elle avait eu un orgasme, simplement en fouettant cette femme. Elle se mordilla les lèvres. Le regard de Yuko était ferme, voulant mettre fin aux coups de fouet. Katarina lui sourit, révélant ses belles dents de neko, et sa queue caudale se déplaça lentement, venant caresser le ventre de Yuko, à hauteur de son nombril. Elle remua lentement sur son corps, insistant dessus, comme pour lui montrer qu’elle allait s’arrêter là.

Yuko approcha ensuite ses lèvres de l’oreille Katarina, qui sentit un ronronnement la traverser quand la jeune femme lui expliqua qu’elle allait ensuite la lécher. D’une démarche sensuelle, terriblement provocante, en roulant des fesses, la Karistal s’avança vers Miki, et continua à la torturer, à sa manière. Miki ronronnait furieusement dans sa tenue en latex. Le gag ball était rempli de salive, cette dernière dégoulinant sur sa nuque, filant vers ses seins. Elle gémit lourdement quand Yuko se caressa, et hocha vigoureusement la tête, lorsque cette dernière lui affirma qu’elle n’avait qu’une seule envie : se faire fouetter. Oh oui, ça, c’était vrai ! Se faire fouetter, oh, la petite Miki n’attendait que ça ! La brave neko gémissait faiblement, se tortillant dans le système complexe de chaînes et de cordes qui la retenaient. Elle avait l’impression d’être prisonnière dans une espèce de toile d’araignée, se tortillant de gauche à droite. Elle mouillait abondamment, et, quand Yuko se rapprocha de son intimité, mais omit de la lécher, Miki soupira encore, sa langue heurtant son gag ball, ses dents le mordillant. C’était une boule solide, faite pour résister à Miki. Fermant les yeux, elle gémit plus intensivement quand Yuko s’écarta d’elle, allant vers sa sœur, puis porta un regard implorant vers Katarina. La pauvre petite faisait pitié à voir, ainsi. Elle soupirait longuement, se tortillant, mais Katarina ne se rapprocha pas.

Au lieu de ça, elle observait le corps de Yuko, rougi. Elle avait des plaies dans le dos, là où le fouet, à force de taper, avait ensanglanté sa peau. Le fouet n’était pas effilé. Si Yuko avait été battue avec un vrai fouet, un fouet tranchant, comme celui que les bourreaux ashnardiens auraient, elle aurait baigné avec son propre sang, son dos complètement massacré... Ça n’aurait plus rien eu de sexuel, et elle en serait probablement morte. La jumelle alla ensuite voir sa sœur, et lui défit le gag ball, avant de la battre.

*J’admire sa ténacité...*

Cette claque, délicieuse, fit gémir à nouveau Miki. La pauvre se demandait si elle avait été autant frustrée... Ce qui avait, jadis, été le cas. Il y a plusieurs mois, Miki avait passé cinq heures en étant accrochée à un lustre, assistant à une orgie, la tête penchée vers le bas, sa mouille descendant le long de son corps, formant comme une sorte de fontaine, qui éclairait le dos des clients. Elle avait été accrochée au plafond par un système de treuil, avec d’autres nekos, afin de satisfaire le fantasme sexuel très particulier d’un comte ashnardien. Elle avait ensuite eu une longue récompense en étant méchamment prise par le comte et sa femme. Elle s’en souvenait encore. Les deux amants étaient allongés sur le lit, et utilisaient des jouets et des appareils magiques pour exciter les nekos, faisant tomber sur eux la mouille. Depuis qu’elle était toute petite, Miki avait toujours été une soumise, et il était donc normal qu’elle continue à agir ainsi.

Yuka récupéra son gag ball sur les lèvres, puis Yuko retourna voir Katarina, pour qu’elles continuent à s’amuser ensemble. Cette femme était vraiment gourmande, et, tout en observant sa démarche sensuelle, outrageante, elle observa le corps de la jeune femme. Il était parfait, et elle adorait la manière dont le latex moulait son corps. L’une de ses mains caressa la joue grise de Katarina, qui planta son regard dans le sien, avant d’entendre sa réponse :

« Je veux que tu viennes lécher chaque endroit où ta langue m'a fait mal. Ensuite, on voit si on peut soulager ses deux petites catins. Pour l'heure, ton premier coup de fouet avait été ici, non ? »

Elle désigna son sein, et Katarina sourit, révélant toutes ses dents.

« En effet... Et je vais m’appliquer à le faire... J’aime sentir ces deux salopes gémir en nous regardant, et en piaffant d’impatience. »

L’intimité de Miki devait être toute dilatée, maintenant. Les deux femmes se placèrent de façon à ce que les deux soumises n’en loupèrent aucune miette. Katarina approcha ses lèvres, et écarta le sein de la lanière en latex de Yuko, venant ensuite le sucer, tendrement, sensuellement, le léchant avec amour, emprisonnant ce monceau de chair entre ses lèvres. Elle le suça joyeusement, tandis que sa queue retournait frotter le dos de la femme, filant le long de son string, claquant délicatement ses fesses. En mode koala, crispée contre elle, Katarina suça longuement son sein, ressemblant presque à une espèce de bébé qui, en gémissant, viendrait téter le lait maternel. Elle s’attaqua ensuite à l’autre sein, titillant le téton avec sa langue, aspirant le sein dans sa bouche, s’en délectant tendrement.

« À ton dos, maintenant... Tu devrais te mettre à quatre pattes, pour que je m’applique... »

Elle aida Yuko à se mettre en position, et lui lécha alors les fesses et le bas de son dos, déposant de tendres baisers, léchant, encore et encore, ses seins glissant sur ses fesses. Miki avait une belle vue sur le cul de Yuko, et, pendant une dizaine de minutes, Katarina s’appliqua exclusivement à le lécher, glissant sur ses jambes, tandis que sa queue caudale, continuant à jouer, avait glissé le long du torse de Yuko, mimant une cravate de notaire en frottant l’espace entre les seins de la femme. Tandis qu’elle continuait à s’appliquer, elle finit par glousser, faisant remonter le bout de sa queue pour que Yuko puisse le sucer.

« Miki est en train de bouillonner comme une chaudière... Cette salope adorerait te lécher le cul, hihi... Et je la comprends, ton corps est magnifique. Que ce soit pour le battre ou pour le lécher, j’en mouille à chaque fois comme la reine des putes... Miaaaww... » miaula-t-elle ensuite, sensuellement.