The Multiversity

Mine de rien, les résultats scolaires d’Aoki ne mentaient pas. Sa femme avait toujours été une pointure, une femme très douée qui aurait pu rejoindre de prestigieuses entreprises, mais qui avait choisi de devenir une manager pour idols. Félicia s’était toujours demandée ce que les parents d’Aoki en avaient pensé, mais c’était une chose dont elles ne parlaient pas ensemble. Au lieu de ça, les deux femmes continuaient à s’amuser ensemble, à multiplier leurs aventures et leurs expériences, comme en ce moment avec Aiko. La jeune brunette était d’ailleurs confuse, gémissant longuement, tandis que, inlassablement, la langue d’Aoki continuait à glisser sur sa chatte. À choisir entre ses fesses ou sa chatte, elle avait choisi de rester sur la zone humide, qu’elle léchait longuement, avec un appétit grandissant, ce qui amenait Aiko à gémir encore, soupirant en se tortillant nerveusement sur place.

Félicia semait les germes du doute dans la tête de la jeune femme, elle faisait hésiter Aiko sur ses propres pulsions, sur ses désirs profonds. La jeune femme mordait dans son gag-ball, et Aoki répondit alors à Félicia, qui sourit doucement par-dessus l’épaule d’Aiko.

« Tu parles à moi, ou à Aiko-chan ? Car je ne pense pas que tu aies déjà fait subir quelque chose comme ça à Aiko-chan… »

N’oubliant pas leur invitée, Félicia l’embrassa sur la joue, et attrapa ensuite les cheveux d’Aoki, plaquant ainsi sa tête contre l’intimité d’Aiko, qui couina encore, fermant les yeux en rougissant sous l’effet de ce plaisir honteux et impensable.

« Tu as pissé dans la bouche d’Aoki, et tu mouilles toujours… Tu es vraiment une grosse perverse, Aiko-chan !
-  Mmmm… »

La Chatte Noire continuait son office, et retourna palper les seins d’Aiko. La jeune avocate était confuse, cherchant visiblement à lutter contre ses pulsions profondes.

« Hmmm… Tu es délicieuse, Aiko-chan… Nous allons beaucoup jouer avec toi, ma chérie… »

Félicia laissa Aoki la pousser jusqu’à l’orgasme. Face à sa belle blonde, il était impossible de lutter, et, après plusieurs minutes, Aiko contracta un nouvel orgasme. Tout son corps sembla se tendre avant que le plaisir suprême ne vienne l’envahir, déferlant avec force et passion dans son corps. Elle se mit à jouir compulsivement, se relâchant avec appétit contre les lèvres d’Aoki. La Chatte Noire l’embrassa alors dans le creux du cou.

« Allez, Aoki… Il faut battre le fer tant qu’il est chaud. Baise-là ! »

Aiko couina encore, mais quand Aoki se releva, elle put voir que celle-ci portait un strap-on noir avec deux gros vibromasseurs qui remuaient et vibraient déjà dans sa chatte et dans son fondement. Félicia décida enfin de poser ses mains sur la sangle du gag ball, et, quand Aoki se rapprocha de son ancienne partenaire de fac, elle ôta finalement l’objet, rendant à Aiko sa liberté de parole, curieuse de voir comment les deux femmes allaient se rapprocher, alors qu’Aoki était sur le point de la pénétrer vigoureusement…

L'ambiance se réchauffait de plus en plus, Felicia savourait cette petite victoire même si le couple espérait que le plan fonctionnerait surtout. C'est sûr qu'elles étaient là surtout pour éviter qu'Aiko ne brise le bonheur qui naissait entre elles à cause de cette stupide histoire. Aoki était toujours aussi déchaînée et prête à tout pour plaire à Felicia, mais aussi rentrer dans le jeu d'Aiko, si elle pouvait la convaincre de renoncer en jouant avec elle, alors autant saisir cette chance. Face à une Felicia toujours plus intéressée par ce qu'elle voyait et touchait, l'avocate commençait à se sentir si désirable, mais Aoki lui prouvera bien que c'était le cas. Presque blottie contre elle, la jeune femme était une véritable nymphomane, car si c'est ce que Felicia voulait alors elle le sera.

« Oh oui, j'aime qu'on me pisse dessus et qu'on me jouisse sur le visage... hum, ou contre ma petite chatte. »

Aoki était vraiment déchaînée quand Felicia prenait son rôle de maîtresse au sérieux, mais cette dernière profitait un peu de son nouveau jouet. Elle se préparait de son côté, car elle le savait, elle n'allait pas tarder à lui donner son feu vert pour la suite. Aoki se retourna quand sa maîtresse annonçait que ce fut son tourn sa fausse queue vibrait déjà de plaisir en elle, bientôt chez son amie aussi alors qu'elle se rapprochait d'elle, dont la bouche était libérée. Elle lui fit face, mettant deux doigts dans sa bouche, l'empêchant de la fermer.

« N'avale pas ta salive... je la veux. »

Avant même de la pénétrer, elle collait son corps contre le sien, ses mains caressaient son visage alors qu'elle l'embrassait goulûment, venant lécher et aspirer ce trop-plein de salive en bouche. Avec la gag-ball, elle s'échappait un peu, mais elle pouvait couler librement maintenant. Aimant toujours pousser le vice plus loin, Aoki se régalait à récolter sa salive, lécher sa langue, la sucer et l’aspirer comme si c'était là son pénis. Elle gémissait de plaisir alors qu'au final, ça ne faisait que commencer. Nul doute que leur maîtresse devait apprécier le spectacle !

« Haaaaaaaa ! C'est si bon, Aiko-chan ! »

Mais après cette mise en bouche, il fallait passer aux choses sérieuses. Aoki venait l'allonger, lui écartant ses cuisses déjà bien humides alors que sa fausse queue était fièrement dressé, prête à remplir son rôle. Sans un doute, elle s'enfonça en elle doucement, presque sans le moindre mal. Les vibrations étaient partagées entre elles sauf qu'Aoki avait une double dose. Ce léger bruit mécanique, mêlé à leurs gémissements, rendait la chose encore plus agréable à voir et à entendre.

« Huuuuuum haaaaaaaaan ouiiiiiii ! Regarder-moi maîtreeeeeeesse ! Comme je suis beeeeeeeelle. »

Aoki la baisait avec joie, passion et envie, n'oubliant pas de plaire avant tout à sa douce Felicia. Elle n'oublierait pas son amie, mais en bonne chienne qu'elle était, elle attendait un mot doux de sa part avant tout. C'est tout ce qui compte pour une esclave, un mot doux de sa maîtresse. Promis, après ça, elle baisera Aiko comme jamais on ne l'a baisé avant ça !

Aiko avait franchi le point de non-retour... Et elles aussi. C'était le coup le plus risqué de Félicia depuis qu'elle avait rejoint le Japon, quelque chose qui pouvait lui valoir de très gros ennuis. Elle risquait de perdre son visa, de retourner aux États-Unis, de finir en prison... Mais les deux femmes avaient dû agir face aux interrogations et aux manœuvres d'Aiko. La jeune avocate très rigide avait tout fait pour les amener à agir, et, finalement, Félicia et Aoki avaient opté pour ce plan. Aiko tournait autour des élèves de Doutzen, et risquait elle-même de se mettre fortement en danger. Car, parmi les élèves d'Aoki, il y avait Doutzen, proche des Petrovski... Et, si Aiko se mettait à fouiner autour de ce clan, elle risquait d'avoir de gros ennuis. Finalement, Félicia et Aoki avaient opté pour la moins pire des solutions, m:ême si cela impliquait aussi de forcer un peu la belle Aiko.

Équipée de son strap-onavec deux godes intégrés en elle qui vibraient chaudement, Aoki se mit en position. Elle la pénétra alors, et Aiko se mit à hurler, se serrant sur les liens qui la retenaient.

« A-Aooookiii !! »

Un délicieux hurlement s'échappa de ses lèvres, et Aoki s'enfonça en elle, commençant à remuer, et croisa son regard. Aiko était confuse, et tremblait nerveusement. La femme l'embrassa ensuite, et Aiko gémit, essayant peut-être de se libérer, ou de lutter contre les chaudes pulsions qu'elle ressentait. Se déplaçant lentement, Félicia caressa les cheveux d'Aoki, qui demanda alors à celle-ci son approbation. Félicia sourit lentement, et embrassa Aoki, sous le nez d'Aiko, tandis que la verge artificielle d'Aoki s'était joyeusement nichée en elle, remuant doucement et puissamment dans son con.

« Hmmm... Oui, Aoki-chan, tu es magnifique. Maintenant, arrête de faire ton intéressante, et montre à Aiko-chan combien tu es douée !
-  A-Aoki, arrête ça... » gémit Aiko.

Un réflexe de survie bien naturel, mais Aoki poursuivit son office, remuant encore en elle. Félicia n'avait pas dit son dernier mot, et se déplaça à son tour. Aiko était attachée dans la chambre, et elle laissa Aoki agir encore, jusqu'à ce qu'Aiko contracte un premier orgasme.

« Allongez-vous sur le lit, mes chéries, que j'en profite moi aussi ! »

Félicia se positionna sur le lit, et Aoki guida rapidement une Aiko encore sonnée, La jeune avocate se coucha sur Félicia, qui immobilisa ses poignets avec ses mains, et laissa Aoki la pénétrer à nouveau. Aiko se mit à hurler encore, sentant Aoki la bourrer de plus en plus énergiquement. Le spectacle de la verge artificielle d'Aoki besognant la chatte d'Aiko-chan était magnifique, et Aiko continua à basculer, tandis que le rythme d'Aoki se mettait à s'accroître, gonflant à chaque seconde, au fur et à mesure qu'elle bourrait sa partenaire avec appétit.

« Laisse-toi emporter, Aiko-chan... Ce plaisir vibrant que tu ressens en toi... Laisse-le t'envahir, ne fais plus qu'un avec lui, et ne pense plus à rien d'autre... »

Aiko pouvait se plaindre, Aoki n'écoutait que sa maîtresse et ce qui se passait là, était loin de lui déplaire. Équipée de sa fausse verge, elle besognait son amie comme cette dernière en avait sûrement rêvé, ses plaintes ne signifiaient rien pour elle. Aoki était littéralement une chienne, une chienne qui n'écoute que sa maîtresse. À croire que les séances avec Rex lui avaient appris à rester docile et faire tout ce que Felicia demandait. C'était un comble, une chienne qui écoutait une chatte noire ! Enfin, la jeune femme l'embrassait avec appétit tout en continuant de la bourrer, des coups de reins sans aucune retenue, des coups de langue très savoureux, venant récolter sa salive si précieuse directement à la source, oui, Aoki se faisait plaisir pour le bien de sa maîtresse. Son corps se pressait sur le sien, sentant bien à travers son refus, son envie. Elle a connu des filles comme ça, souvent elles croyaient être hétéro, du tout attiré par le même sexe et au final, elles en redemandaient !

« Haaaaaaan ! Haaaaaaaan, ouaiiiiiiis ! »

Aoki était peut-être en train de réclamer l'attention de sa maîtresse, mais Felicia avait changé sa vie après tout donc, il était normal qu'elle y soit si attachée et puis, elle n'allait pas s'en plaindre, avoir tous les soirs Aoki dans son lit était un plaisir dont elle aurait du mal à s'en passer maintenant. Même sans avoir la bague au doigt, la Japonaise était déjà une vraie petite femme pour elle, venant lui faire la cuisine, parfois nue sous un tablier, venant lui préparer un bain avec elle dedans, venant la réchauffer la nuit, bref, la moindre activité du quotidien avait des allures de films porno et c'était pas plus mal. Même sans un décor à l'eau de rose, elles s'aimaient passionnément. La belle esclave continuait de la prendre, et ce, jusqu'à sentir son orgasme, c'était à ce moment-là qu'elle fit une pause pour mieux la sentir jouir contre son corps. Sentir chaque vibration, chaque muscle contracter, elle en raffolait, lire la jouissance sur son visage, c'était magique ! Pour la suite, Felicia voulait que ça change un peu et Aoki aida donc Aiko à se bouger un peu, allongée sur leur maîtresse qui venait lui tenir les mains quand même.

Aoki reprenait donc là où elle s'était arrêter, s'enfonçant à nouveau dans sa petite chatte sauf que cette fois, elle pouvais voir Felicia derrière Aiko, tentant de lui faire entendre raison. C'était aussi son devoir à elle que de tenter de lui faire entendre raison.

« Huuuum ouiiiiii... laisse-toi alleeeeeer ! Profite de maîtresse... de moi... Ici, on peut, haaaaa, baiser ensemble... comme dans tes fantasmes... »

Elle ignorait quel genre de fantasme elle pouvait avoir, mais vu tout ce qu'Aoki subit, elle était loin d'être choquée pour si peu. Urine, BDSM, zoophilie, elle vivait sa sexualité à fond, pour le plus grand bonheur de sa chérie.

Maintenant que leur couple évoluait, il semblait naturel que les deux femmes commencent à avoir des esclaves. Doutzen était un bon début, mais Félicia se voyait bien avoir aussi cette avocate... Cette avocate brillante, talentueuse, qui avait refusé un poste prestigieux à Tokyo pour rejoindre, comme par hasard, Aoki à Yoake ! Cette avocate qui avait immédiatement accepté des dossiers l'amenant à se rapprocher d'Aoki, cette avocate qui avait refusé toutes les avances possibles, et qui continuait à avoir dans ses affaires personnelles les photographies qu'elle avait prise avec Aoki. Elles avaient grandi ensemble, mais sans jamais devenir véritablement de grandes amies, des connaissances de travail. Un destin surprenant qu'Aiko avait souhaité poursuivre ensuite. Félicia était donc sûr de son coup en agissant ainsi. Il y avait tout simplement trop de frustration chez Aiko, trop de choses non dites, trop de fantasmes inavoués... Félicia et Aoki se devaient donc de la forcer, pour leur salut à tous !

Allongée sous Aiko, Félicia sentait les coups de reins d'Aoki s'accentuer. Celle qu'elle considérait déjà comme sa femme besognait avec énergie Aiko, qui couinait sur place.

« Tu as toujours eu envie d'Aoki, ma belle... Je le sais, car j'ai été comme toi... »

Comme elle, elle avait empilé les informations sur Spider-Man. Comme elle, elle avait réuni toutes les pistes possibles, et était même devenue son adversaire pour attirer son attention. C'était une réaction normale, psychologiquement compréhensible.

« Mais Aoki est mienne, maintenant... Alors, tu devras être nôtre, ma belle...
-  Hmmm... !! »

Aiko avait de plus en plus de mal à parler, et Félicia continuait à tenir ses bras, sentant toutefois la résistance de la jeune femme baisser, au fur et à mesure qu'Aoki la prenait, et l'embrassait. Si Aiko avait pu chercher à la repousser auparavant, le désir commençait à parler en elle. La Chatte Noire pouvait se targuer de l'avoir bien cerné. Aiko se débattait de moins en moins, ce qui amena Félicia par relâcher ses bras. Aiko posa alors ses mains sur les épaules d'Aoki, et l'observa silencieusement.

« Tu... Tu te trompes, Aoki... A-Arrête ça ! »

Félicia s'écarta doucement, voulant laisser Aoki prendre sa liberté, et s'agenouilla à côté des deux femmes. Elle caressa les cheveux d'Aoki.

« Embrasse-là, Aoki, embrasse-là tout en la baisant... »

La Chatte Noire savait que briser la résistance d'Aiko, ce mur de glace qu'elle avait conçu autour de son cœur, cela ne prendrait pas quelques secondes. Mais Félicia avait été fidèle à sa réputation. Elle avait été jusqu'à voler les dossiers scolaires d'Aiko, elle avait lu tout ce qu'elle pouvait pour voir qu'Aiko s'était toujours débrouillée pour se rapprocher d'Aoki, y compris à la faculté, où elle avait fait des demandes de changement de groupe de TD pour rejoindre celui d'Aoki. Proche, mais sans jamais l'être trop...

Aoki continua donc son offensive, et Félicia s'amusa à caresser les belles fesses d'Aoki, pressant son délicieux cul, consciente que le dressage d'Aiko ne faisait que commencer...

Quand elle accompagnait sa maîtresse, Aoki n'avait pas besoin de réfléchir, elle faisait juste ce que Felicia voulait et tout allait bien dans le meilleur des mondes. Elle ne se posait pas de question de moral ou autre, elle obéissait. Après tout, Aiko n'était qu'une connaissance pour Aoki, elles ont étudié ensemble, étant même presque des rivale, faisant toutes les deux partie de ce fameux trio de Todaï, chaque fois ça se jouait entre elles et un certain Hirotaka Nifuji, la bataille du podium était toujours entre ses trois-là. Aoki n'était pas alarmiste, un/e rival/e, ça entretenait les batailles. Aoki, à cette époque, avait eu un léger coup de mou, où elle était plus souvent troisième quand elle avait commencé à éprouver des sentiments envers une de ses senpaïs, avant qu'elles ne se perdent de vue, mais pour le coup, l'amour l'avait rendue faible et elle avait attendue la fin de ses études pour y penser, bien que ce fut avec un garçon cette fois. Cette histoire avec cette jolie rousse, c'était un amour de jeunesse, elle la fantasmait et il ne s'était jamais rien passé entre elles. Mais Aoki avait déjà des sentiments envers les femmes à cette époque.

Alors si cette fois, deux membres du trio était réunie pour s'affronter, ce n'était en rien pour avoir une bonne note, ni même qu'il n'y avait pas besoin de passer de test. Aoki profitait joyeusement d'elle puisque Felicia le voulait, elle ne cherchait pas d'autres explications bien qu'elle savait que tout cela avait pour but de la sauver d'un mauvais pas, à cause d'une plainte porté sur elle, donc malgré les apparences, elles tentaient de sauver Aoki mine de rien. Donc oui, bien qu'elle prenait Aiko avec plaisir avec sa verge artificielle, le plaisir lui était bien là ! Même Felicia leur laissait un peu d'espace pour mieux profiter du spectacle, de sa petite chatte qui la baisait avec plaisir, couinant de plaisir. Là où Aiko suppliait pour que ça prenne fin, Aoki faisait tout pour faire durer, mais pas trop... Felicia aimait regarder, mais elle préférait surtout participer. Les ordres d'Aiko lui rebondissaient dessus, ceux de Felicia était capitale. Sans attendre une seconde de plus, elle l'embrassa fougueusement en la serrant contre elle, accellerant le rythme.

« Mmmmmhhhh ! Mmmmmmmmhhh ! »

Elle avait chaud, elle la serrait pourtant contre elle, leurs seins se pressant mutuellement, leur langue s'agitant ensemble en leur plaisir communiant à l'unisson. Qu'elle le dise ou qu'elle le nie, Aiko aimait ce qui se passait, même Aoki le ressentait. Certes, entre elles, ce ne sera pas l'histoire d'amour fantasmé par l'avocate, mais ça pouvait toujours y ressembler si elle acceptait de servir sa nouvelle maîtresse, la Black Cat ! Même quand elle cessa de l'embrasser, elle restait si près d'elle, leur front se frôlait, leur regard se touchait.

« Haaaaaa ! Accepte-le... Aiko.... Accepte huuum... d'être à Maîtresse et nous jouerons... longtemps ensemble ! »

Elles étaient encore jeunes, ça promettait sûrement des décennies à s'amuser toutes ensemble. Quand elle aura enfin accepté cela, ça ira mieux, elle pourra avancer, mais pour cela, elle doit accepter son sort.

Aiko se faisait joyeusement prendre par Aoki. C'était sa plus vieille amie, et, même si Aiko se refusait à l'admettre, Félicia avait vu juste. Aiko avait toujours été... Intriguée par Aoki, voire fascinée par elle. C'était assez inexplicable, et, si elle ignorait comment Aoki avait pu tourner ainsi, tandis qu'elle la besognait, Aiko se mettait à délirer, flottant dans une sorte d'état semi-comateux, entre le rêve et la réalité.  Ses fantasmes revenaient à elle, lorsqu'elle s'imaginait faire l'amour avec Aoki. Aiko avait déjà essayé de coucher avec des garçons, mais cela ne l'avait jamais vraiment stimulé. Mais là... Là, c'était indescriptible ! Elle faisait tout pour le masquer, mais, plus les minutes passaient, et plus le désir se lisait sur son visage. Une passion dévorante s'exprimait sur sa figure, et, quand Aoki jouit en elle, Aiko contracta un nouvel orgasme. Elle sentait Félicia dans son dos, et Aoki retourna encore à la charge, tout en l'encourageant à écouter sa Maîtresse.

« Haaa... N-Non... A-Aoki-chaaaan, ce... Haaaa... »

Elle avait du mal à parler, et Félicia mordilla le creux de son cou, avant de palper ses seins. Elle les pressa amoureusement, et Aiko se tortilla sur place, peinant à reprendre ses esprits, ou à conserver son calme. Aoki continuait à la prendre avec force, faisant éprouver à Aiko un plaisir indescriptible, qui allait bien au-delà de ce qu'elle pouvait anticiper. Ces vagues successives venaient la remplir d'allégresse, d'épuisement, d'un mélange infini de sensations violentes et passionnantes. La bave s'écoulait même de ses lèvres, tant Aiko était incapable de résister face à tout ça...

L'orgasme l'acheva, et elle se mit à nager dans le flou.

Félicia la détacha alors, et Aiko fut emmenée dans une chambre. Il fallait après tout savoir doser les choses, et elle fut tout simplement attachée à un fauteuil. Quand Aiko émergea clairement, ses mains étaient liées dans son dos, et elle portait toujours son corset noir en cuir avec sa culotte, ainsi que des collants et de gants opéras noirs en latex. Félicia était assise sur le rebord du lit, face à elle, et Aoki était également là.

« Tu commences à émerger, Aiko-chan ? »

Aiko cligna encore des yeux. Elle était en sueur, confuse, violée, mais avec de curieux sentiments dans le corps. Pouvait-il vraiment s'agir d'un viol, alors qu'elle avait adoré ça ? En ce moment, tout ce à quoi elle espérait, c'était de reprendre, mais elle se refusait à l'admettre, chassant de telles pensées impures.

« Quoi que vous vouliez faire, ça ne marchera pas... »

Félicia portait sa tenue de Chatte Noire, et sourit malicieusement, tandis qu'Aoki malaxa les épaules d'Aiko.

« Tout ce que je veux, c'est t'ouvrir les yeux, Aiko... Tu aurais pu tout avoir dans ta vie, tu sais... La vie d'une parfaite Japonaise, avec un mari, des enfants. Au lieu de ça, tu as renoncé à tout, y compris ta carrière professionnelle, pour suivre Aoki ! »

Comme un numéro bien récité, Aoki se rapprocha alors de Félicia. La Chatte Noire s'était relevée, et caressa le dos d'Aoki, pinçant ses fesses. Elle portait sa ravissante tenue érotique, et Félicia joua avec son postérieur, puis l'embrassa sur les lèvres. Aiko tremblait nerveusement sur place.

« C'est ridicule ! contesta-t-elle. À quoi vous jouez ?
-  Nous allons faire l'amour, Aiko-chan... Je vais coucher avec Aoki sous ton nez pendant une bonne heure, et nous verrons bien si, d'ici là, tu continues encore à nier l'évidence, et ton attirance pour mon esclave... »

Aoki était toujours si obéissante, pour plaire à Felicia, elle n'hésitait pas à enfreindre la loi, même si pour le coup, c'était pour se tirer d'un mauvais pas qu'elles faisaient cela ensemble donc, c'était différent. Aoki couchait sans mal avec son ancienne rivale, son ancienne amie quelque part, cela ne lui déplaisait pas, même si c'était un ordre de la Black Cat, cela restait une mission des plus agréable, à besogner la jeune femme encore et encore pour atteindre ensemble l'orgasme. Aoki était très appliquée dans sa tâche en tout cas et mena comme elle lui avait demander, Aiko jusqu'à l'orgasme. Cela eut pour effet d'assommer la jeune femme qui devait sûrement réaliser un de ses fantasmes par la même occasion. Mais profitant de son repos, le couple amenait leur invitée dans leur chambre où elle fut attachée à un fauteuil, se doutant déjà de ce qui allait se passer ensuite et autant dire qu'Aoki était très excitée !

« Je suis si impatiente de te faire l'amour, sous ses yeux. »

Vicieuse, elle l'était. L'idée d'être observée pendant leur petit jeu ne faisait qu'exciter la jeune femme ! Même si c'étaient des amies de Felicia, combien de fois ont-elles été invitée ou reçu Harley Quinn et Poison Ivy quand que leur petite rencontre ne se termine en Felicia qui profitait de sa fiancée sous les yeux des Gothamienne ? Felicia lui avait fait voir pour son plus grand bonheur. De montrer comment Rex aime jouer avec Aoki devant elles, ce qui avait amené Harley à essayer aussi de son côté, elle qui adorait les animaux. Comme quoi, Harley et Aoki s'entendaient plutôt bien sur pleins de choses, même si la Japonaise n'était pas aussi libérée sur le fait d'agir librement et risquer de déboîter la mâchoire du premier venue qui irait l'importuner. Aiko reprenant doucement conscience, elle allait dans son dos pour la masser doucement afin qu'elle reprenne un peu ses esprits tandis que sa voleuse cherchait à lui faire cracher la vérité, ce serait le premier pas pour obtenir ce qu'elles recherchaient tant après tout ! Aoki retourna auprès de sa fiancée qui profita librement de son corps alors qu'Aoki se blottissait à elle, envoûtée par son charme, elle était parfaite dans ce rôle.

« Han, oui, je suis votre esclave dévouée, Maîtresse... »

Amoureuse de cette femme, elle pouvait lui faire dire et faire ce qu'elle voulait, sans le moindre souci ! Aoki ne tenait plus en place, venant même lui voler un baiser en restant collée à elle, elle était si heureuse de ce qui se passait, l'idée même qu'une nouvelle personne l'observe pendant qu'elle se déchaînait au lit avec Felicia la faisait beaucoup mouiller ! Accrochée à elle, sa langue pendait hors de sa bouche, son visage se blottissait dans son cou, respirant fortement.

« Haaaa, maîtresse... Je ne tiens plus, baisez-moi, s'il vous plaît... »

Amoureuse et en transe, elle était une poupée entre les doigts de Felicia. Une belle poupée docile qu'elle manipulait sans mal et par plaisir. Aiko risquait d'en avoir plein la vue !

Solidement attachée au fauteuil, Aiko-chan n’avait conservé que ses yeux. Félicia prit son temps de l’attacher bien fermement, serrant son corps contre les cordes, mais sans lui mettre de gode dans la chatte. Elle préférait jouer pour l’heure sur sa frustration, et lui laissa également le gag-ball… Pour l’heure. Aiko-chan allait vite comprendre que sa tentative de sauver Aoki était bien tardive. Ce fond de perversité, Aoki l’avait en elle quand Félicia l’avait rencontré, et elles avaient mutuellement découvert qu’elles n’avaient aucune véritable limite en la matière. Félicia soupçonnait que c’était lié à l’environnement très spécifique de Yoake, à cette atmosphère de luxure qui vous imprégnait tous. Aiko-chan se tortillait nerveusement sur place, tandis qu’Aoki se lova contre sa Maîtresse, réclamant de se faire baiser.

La Chatte Noire avait déployé sa belle verge, et posa sa main sur le cul d’Aoki, qu’elle pressa avec appétit. Elle sourit malicieusement, et l’embrassa à nouveau sur les lèvres.

« Hmmm-hmmm… ! »

Le vibromasseur était si proche de ses lèvres intimes, et ronronnait sur place. Il était activé, mais pas en elle, stimulant ainsi ses lèvres intimes. De cette manière, les deux femmes veillaient à exciter continuellement leur proie. Aoki en avait la langue qui pendait, une lueur complètement folle dans les yeux, ce qui amena donc Félicia à l’embrasser.

« Tu as les ovaires en feu, toi… Ce fauteuil te rappelle des souvenirs, hein ? »

Elle y avait déjà été, attachée comme ça, regardant Félicia coucher avec Harley ou Ivy, jusqu’à les supplier de la prendre. De cette manière, Félicia avait accru davantage sa perversité. Il n’y avait rien de pire que la frustration, et Aiko allait vite le réaliser. Elle allait bientôt les supplier de la besogner ! Félicia devait bien admettre qu’elle avait hâte à ce moment. Sa verge se durcissait joyeusement sur place, enflant, s’épaississant. Elle déplaça Aoki, et la coucha en levrette sur le lit, se postant dans son dos. Elle posa ses mains sur ses fesses, et se pinça joyeusement les lèvres.

Relevant la tête, Félicia posa ses mains sur les fesses moulées de latex d’Aoki, et se permit même de la gifler là. Une belle claque qui résonna sur cette insolente croupe, puis sa verge vint caresser son fondement.

« Regarde bien Aiko-chan, Aoki, je veux qu’elle lise le bonheur dans ton regard, et à quel point tu as envie de te faire baiser comme une chienne. Je pense d’ailleurs que tu pourrais lui montrer à quel point tu es une chienne bien éduquée… En aboyant bien fort, par exemple ♥ ! »

Et Félicia ponctua ça par une ultime gifle, avant de se préparer à la sodomiser, attendant pour ça un bien bel aboiement…

Aoki attendait depuis bien trop longtemps pour être calme, sans même prévoir à l'avance des choses, il était coutume que la nuit leur appartienne, de courtes nuit pour une ode à la luxure, toujours plus vulgaire, plus trash et plus hard ! Bien entendu, il leur arrivait que ce soit au contraire très doux et mignon, mais il faut bien avouer que c'était plus souvent digne d'un film porno très hard qu'un film érotique très soft. Quoi qu'il en soit, le plaisir était toujours au rendez-vous en tout cas. Et avoir une invitée ne dérangeait pas la jeune femme plus que ça, Doutzen y était passer entre elles, Ivy et/ou Harley aussi, même parfois des élèves de Felicia, bref, leur couple était très ouvert. Alors excitée Aiko, ce serait une partie de plaisir pour elles. Elle pouvait résister, elle finira par leur manger dans la main, oublier cette affaire aussi, car ce n'était pas pour réaliser un des fantasmes de la jeune femme qu'elle était attachée ici après tout, mais pour sauver les fesses de la fiancée de Felicia. Collée à sa voleuse, elle était déjà très chaude en se laissant caresser et peloter par celle qu'elle aimait, il faut bien avouer que faire ça sous les yeux d'une ancienne amie l'aguichait un peu plus encore !

« Mmmmmmmh, Feliciaaaaaaa~ »

Langue pendante, regard envoûté, elle était sous son charme mais cela ne datait pas de ce soir, cela faisait bien longtemps que la belle Américaine n'avait qu'à claquer des doigts pour qu'elle lui obéisse. La voleuse passait à l'action, voulant que sa partenaire observe bien son amie pendant qu'elle se ferait prendre par elle, c'était l'évidence même ! En position, elle remuait doucement son beau cul que la Black Car aimait tant fesser, voulant faire d'elle sa chienne. Si simple.

« Mmmmmhhhh haaaaaaaaaaf ! »

Dit-elle d'abord soufflant juste en tirant sa langue, elle avait besoin de plus qu'elle aboie comme la chienne qu'elle devait être. Felicia y arrivera facilement, cela dit. Mais comme elle attendait justement qu'elle aboie pour commencer, elle couina d'abord, tournant son visage vers sa maîtresse, gémissant avant d'aboyer pour enfin recevoir sa récompense.

« Ahuuuuuuuu... Waf ! »

Les fesses qui remuaient face à sa queue tendue, c'est simple, c'était l'une des deux qui allait craquer en première et comme Aoki avait en plus le cul bien moulé dans sa culotte en latex, avec un peu d'effort, Felicia l'aurait prise même sans aboyer. Mais que voulez-vous, pire qu'une chienne ! Quand elle sentie enfin sa verge en elle, elle loucha un peu, la langue bien pendue, observant Aiko par la même occasion. Si elle ne pouvait lire le bonheur sur son visage, elle ne pourrait pas faire mieux, hélas ! S'en suivie une longue séance où elle alterna entre les couinements, les gémissements et surtout les aboiements, jamais sans prononcer des choses qu'une chienne ne pourrait sortir de sa gueule. Son cul rebondissait contre Felicia, le plaisir grimpait en flèche pour elles. Et pour Aiko ? Elle tenait le coup ? Elle en pouvait déjà plus ? Elle en voulait, au contraire, encore plus ?

Félicia n’aurait jamais pris une telle initiative avec Aiko si elle n’était pas sûre de son coup. Tous les éléments qu’elle avait glanés tendaient à la même conclusion : le désir furieux d’Aiko de se faire besogner par Aoki, de former un couple avec elle… Un désir interdit, mais suffisamment fort et puissant chez elle pour l’amener à réorienter toute sa carrière, à renoncer à devenir une brillante avocate de Tokyo et à venir prendre le risque de s’installer à Yoake comme jeune avocate. Elle s’était tapée les commissions d’office, tout ce que les avocats détestaient, dans le seul but de suivre son cœur, et pouvoir approcher Aoki. Somme toute, Aiko était une grande romantique, une femme qui noyait sa passion sous ce masque de professionnalisme. Briser ce masque n’allait pas être simple, car elle avait dû intérioriser et cacher ses sentiments pendant de nombreuses années, y compris à ses propres parents. Félicia se devait donc de passer rapidement aux choses sérieuses. L’heure était donc venue de frustrer Aiko !

Pour ça, Félicia se mit à prendre sa partenaire avec appétit. Elle s’enfonça énergiquement en elle, et grogna doucement, sentant sa queue se loger en elle, s’enfonçant dans son fondement. Aoki joua le jeu à la perfection. De fait, elle n’avait guère à simuler le plaisir qu’elle ressentait, car celui-ci était sincère. Aoki adorait coucher avec sa Maîtresse, elle adorait se faire baiser par elle avec force, et cela durait longtemps !

« Oh, Aoki-chan… Hmmm… Ma belle chienne ! »

Imperturbable, Félicia continuait à la prendre avec force, faisant durer cette sodomie. Devant elles, Aiko soupirait faiblement, commençant à avoir chaud et à mouiller. Elle avait beau détourner le regard ou fermer les yeux, elle entendait les couinements d’Aoki, ses soupirs, et frissonnait quand la main de Félicia résonnait dans l’air lorsqu’elle claquait les fesses d’Aoki. Oh, comme elles étaient incroyables, toutes les deux ! Mais Aiko ne se voyait pas céder devant toute cette décadence, toute cette luxure ! Dans son esprit, Aoki n’était que la pauvre victime de cette femme étrangère, cette femme qui avait dû la pervertir avec ses pensées occidentales perverses et décadentes ! Elle se devait de la sauver ! Mais, pour l’heure, assister silencieusement à ce spectacle restait quand même difficile.

Aoki aboyait avec plaisir, elle se laissait pleinement aller tandis que les coups de reins de Félicia se poursuivaient avec force, avec passion et acharnement. Grognant encore, la Chatte Noire crispa ses mains sur le fondement de sa partenaire, pinçant ses fesses, et continua ses coups de reins. Les minutes défilaient, avec son endurance sexuelle accrue. Elle soupirait longuement, ronronnant aussi, faisant vibrer sa combinaison. Le latex en crissait doucement, et c’était un véritable régal, une fête auditive !

« Re-Regarde bien Aiko-chan, petite chienne, pendant que je te défonce… Montre-lui combien tu es heureuse de sentir ta Maîtresse te prendre ainsi, ma petite salope ! »

Une chose était sûre, Aiko allait en prendre plein les mirettes !

Aiko n'allait peut-être pas craquer facilement face aux deux femmes, mais Aoki avait pleinement confiance en Felicia, et puis si son plan consistait à la baiser sous ses yeux, elle ne pouvait pas nier aimer ce plan. Elle se faisait joyeusement prendre le cul par sa partenaire, tirant la langue et jouant parfaitement son rôle de chienne, on pouvait dire qu'elle était douée pour ça ! Et encore, il n'y avait pas Rex pour prouver qu'elle était une vraie chienne en chaleur qui adorait se faire enculer par leur chien sous les yeux de Felicia qui aimait la voir à quatre pattes, docile face à leur berger allemand qui aimait enfoncer sa verge en elle. Aoki avait des goûts spéciaux, mais par chance, ce genre de chose plaisait à Felicia, ce n'est pas pour rien que les deux femmes étaient plutôt proches après tout. Mais il n'y avait pas de place pour Rex ici, pas aujourd'hui, pour le moment, le couple suffira amplement à faire craquer Aiko, car en plus, elles ne faisaient pas cela pour le simple plaisir de la faire venir vers elles, c'était pour sauver Aoki. C'était donc une mission avant d'être un jeu. La langue bien pendue, elle bavait beaucoup en observant Aiko qui tentait malgré tout de dévier son regard, mais impossible de lui échapper, elle savait comment lui faire regarder cette magnifique scène.

« Mmmmmmhhhh haaaaaaaaaaaaan ! »

Elle remuait aux rythmes des coups de reins de sa chérie qui ne se privait pas prendre Aoki sous les yeux de son amie. Là était le but, qu'Aiko avoue vraiment ce qu'elle ressentait, mais surtout, qu'elle abandonne le dossier et tout le reste pour sauver la mise d'Aoki. Pour sûr, qu'un tel dénouement lui apportera bien du plaisir en compagnie de la femme qu'elle aimait. Elle ne pouvait pas réaliser ses souhaits, car la Japonaise était amoureuse de sa belle Américaine, mais il y avait toujours un moyen de s'amuser. Après tout, Félicia aimait bien prêter ses « jouets ». Prise dans son élan et pour réussir sa mission, Aoki se redressa pour mieux s'allonger en partie sur son amie de fac, soupirant et couinant contre elle, ses formes s'écrasait sur elle, le latex crissait tandis qu'elle lui léchait le cou en gémissant tout près de son oreille. Aoki était une belle chienne en chaleur et elle adorait quand on était plusieurs à s'occuper d'elle et pour ça, Aiko avait si peu à faire pour rentrer dans la danse. Avec un peu de difficulté, elle arriva à lui faire face, venant lui lécher les lèvres, le regard brouiller de désir et de plaisir, elle ne se laissait pas faire pour le moment, mais toute barrière pouvait tomber si on s'y prenait bien.

« Haaaaaaaaa, Aiiiiiiiiikooooooo-chaaaaaaan... Baise-moi, toi aussi~ »

Elle ne pouvait que ressentir le corps de son amie s'écraser sur elle, Felicia n'allait pas devenir plus douce comme ça, d'un coup de baguette magique. Ce genre de comportement, ce n'était pas pour ce genre d'occasion. Mais ça existait.

Aiko était doucement en train de sombrer, même si elle se refusait à l’admettre. Plus elle s’emmurait, et plus Félicia savait que les deux femmes auront gain de cause. La Chatte Noire se trompait rarement sur ce genre de diagnostic, et toute cette séance ferait ensuite du bien à Aiko. Elle allait pouvoir enfin s’avouer la réalité de ses sentiments à l’encontre d’Aoki, qu’elle voyait se faire baiser devant elle. Félicia n’y allait pas de main morte, donnant de solides coups de reins, ce qui semblait émoustiller particulièrement Aiko. Elle avait entendu parler de certains rumeurs concernant cette ville, d’une sorte de drogue spéciale, qu’on ne trouvait nulle part ailleurs, qui rendait provisoirement les femmes hermaphrodites. Aiko avait toujours cru à une légende urbaine, mais, finalement, cette rumeur s’était concrétisée juste sous son nez, devant ses yeux !

« Hmmm… Oh, Aoki, tu es tellement… En chaleur, ma chienne ! »

Elle gifla encore son cul, tandis qu’Aoki s’était déplacée, s’avançant vers Aiko, et se lova contre elle. Leurs seins se caressèrent ensemble, et elle lécha les lèvres d’Aiko, gémissant tout contre elle. Le latex crissa contre le latex, formant un délicieux concert, un magnifique couinement. Souriant malicieusement, Félicia continua à la prendre, mais ralentit tout de même le rythme, afin que les deux femmes se fassent face.

« Libère-là un peu, Aoki… Défais ses liens à hauteur de ses poignets, et rends-lui l’usage de la parole… Je veux que tu embrasses cette salope ! »

L’autoritaire Félicia savait y faire, et Aoki obtempéra donc. Aiko ne pouvait toujours pas se libérer, mais, quand ses mains furent libérées, elle les remua. Aoki l’embrassa ensuite, et Aiko posa ses mains sur ses épaules, crispant ses doigts dessus.

« Hmmm… !! »

Impossible de savoir comment Aiko allait réagir à long terme, mais Félicia espérait que la frustration finesse par la faire craquer ! Elle espérait aussi que la proposition d’Aoki de la baiser suffirait à stimuler Aiko. La jeune avocate répondait à son baiser, et, quand Aoki fit mine de retirer, les mains d’Aiko se crispèrent sur ses épaules, une autre se posant sur sa nuque, et elle l’embrassa avec appétit, maintenant le baiser en gémissant fortement.

Quel beau spectacle !

Difficile de croire qu'elles agissaient pour leur bien et pourtant, quelque part, elles voulaient jouer avec les sentiments d'Aiko pour obtenir gain de cause. Mais ce n'était pas tout. Elles voulaient prouver que certaines personnes voulaient avoir ce genre de rapport, avoir une maîtresse et être heureuse. Certes, Aoki avait fait cela avec une fille qui n'était légalement pas encore une adulte, mais c'était son choix, c'est juste que les parents ont trouvé certaines pistes. Ce n'est pas comme si la fille était vraiment petite, c'était une demoiselle qui arrivait dans le monde des adultes et Aoki, malgré son titre de maîtresse, lui ouvrait la porte doucement, en douceur. De toute façon, elle ne force pas, si c'est vraiment non, d'accord. Si il y a une hésitation, elle essaie et, si ça plaît, tant mieux, si c'est non, elles en resteront là. Et là, Aoki devait sauver sa peau en envoûtant Aiko. Elle pressait son corps contre le sien, faisant crisser tout cela, lui léchant le visage et cette petite boule pleine de salive dans sa bouche. Aoki était très... très chienne quand elle était excitée et Felicia l'avait mise dans un de ses états ! Difficile de la voir à cet instant et se dire qu'elle jouait plus ou moins sa vie et sa carrière sur ça.

« Mmmmmmhh aaaaaaaah ! »

Elle remuait toujours, agiter par les coups de reins de sa fiancée qui y allait plus doucement pour mieux savourer ce qu'elle avait sous les yeux, voir Aoki qui retirait doucement ses liens comme elle lui avait ordonner. À peine, elle avait libéré sa bouche qu'elle partait la lui lécher, attendant vraiment ouvre ses lèvres. Elle était littéralement une chienne en chaleur, elle ne cherchait pas à l'embrasser, juste lui lécher les lèvres, chercher sa langue et jouer avec elle. Aiko la tenait aux épaules, un peu pour garder ses distances, car bon, sans Felicia, elle serait déjà en train de se frotter contre elle. Aoki se retirait un peu, pour mieux profiter des coups de reins de sa fiancée, mais Aiko ne la voulait pas si loin de ça finalement. Le baiser était langoureux et délicieux, Aoki gémissait contre elle, combler des deux côtés et même quand son amie décida de respirer un peu mieux, Aoki laissait parler toute sa perversité.

« Haaaaaaan, Aiko-chan... Sort ta langue, léchons nous~ »

Telle deux chiennes, elles ne s'embrassaient pas, elles se léchaient la langue en laissant mieux sortir leur plaisir, couinant ensemble même si évidemment, c'était Aoki qui couinait le plus. Elles se collaient, couinaient et gémissaient ensemble, la mèche était enfin allumée chez elle.

« Haaaan ouiiiii... Tu es si belle comme ça, Aiko-chaaaaaaan ! »

Oui, bientôt, Félicia allait devoir prévoir une deuxième laisse pour promener ses deux chiennes ensemble. Aoki se pressait contre elle, posant sa tête sur son épaule en léchant son cou, peau comme latex, le temps pour que sa maîtresse y aille à fond et se lâche en elle. Sa belle petite chienne méritait sa récompense après tout.

Aiko était en train de sentir une vague l’envahir ! Elle perdait son contrôle sur elle-même, et lécha Aoki en retour. Elle sentait la glace se rompre, se briser, au fur et à mesure que les deux femmes la frustraient. Félicia sut qu’elle avait vu juste ! Aiko aimait Aoki ! Elle était amoureuse d’elle, un amour qu’elle se refusait à admettre, et ce sans doute depuis longtemps. Elle avait le comportement typique d’une tsundere, feignant l’indifférence pour mieux masquer ce qu’elle ressentait pour cette belle blonde bien roulée. Aiko n’avait sans aucun doute jamais dû s’expliquer cela, et Félicia pouvait sans peine imaginer ses séances infructueuses avec les garçons, le manque de plaisir… Elle le lisait dans les yeux d’Aiko, cette frustration, ce barrage qui ne demandait qu’à se rompre pour laisser son plaisir s’exprimer. C’était justement là où la Chatte Noire comptait agir ! Elle n’était pas qu’une super-voleuse, elle était aussi dotée de capacités analytiques très poussées, qui lui servaient généralement pour ses larcins. Et elle savait donc qu’Aiko aimait Aoki.

« Hmm, vous êtes si belles, mes chiennes !
-  Je… Haaaa… Je ne serai jamais ta chienne !
-  Oh, bien sûr, bien sûr ! » ironisa Félicia.

Elle n’y croyait pas une seule seconde ! Aiko ne savait pas mentir, et elle n’allait pas la lui faire ! Félicia bourra encore le cul d’Aoki, qui était complètement transportée. La perversité de son amante était tout simplement incroyable, et elle ne cessait de la surprendre ! Félicia la prenait donc avec appétit, remuant dans son fondement, ce délicieux cul qu’elle adorait tant. Elle le malaxait avec appétit, pinçant ses fesses, faisant crisser le latex.

Aiko continuait à soupirer, sentant Aoki contre son cou. Félicia se relâcha à ce moment, et Aiko se pinça les lèvres, entendant le gémissement d’Aoki contre son oreille, qui jouissait. Aoki avait un orgasme sur elle, inondant ses cuisses.

« Haaaa… Aoki-chan… »

Aiko se pinça alors les lèvres, sentant Aoki s’abandonner tout contre elle. Un magnifique orgasme, tout comme Félicia, qui inonda le cul de la jeune femme. Elle se retira ensuite, avec un sourire sur les lèvres, et remit le plug anal, veillant ainsi à ce que le sperme reste bien au chaud dans le fondement d’Aoki.

« Ma belle Aoki, je crois que notre invitée a très envie que tu la baises… »

Il allait toutefois falloir la mettre en position.

« Aide-moi à la coucher sur le lit… Baise-là en missionnaire, je veux qu’Aiko-chan vive le plus beau coup de sa vie…
-  Je… Aoki, non, ne fais pas ça !! Pitié, non !! »

Disait-elle ça parce que cette situation l’horrifiait… Ou parce qu’elle avait peur de succomber définitivement au plaisir que les femmes lui infligeaient ?

Aoki était toujours aux anges de sentir sa Felicia la baiser avec amour. Certes, ce coup-ci, c'était sérieux, elles devaient sauver Aoki de ce mauvais tour, mais elle avait confiance en sa voleuse et savait que, quoi qu'il arrive, elle pouvait lui faire confiance. Elle se faisait ramoner le cul pendant qu'elle léchait et embrassait Aiko, léchant son cou, ses lèvres, avec plaisir en sentant tout ce plaisir en elle. Tenter de faire basculer cette amie de leur côté, nul doute que leur soirée ne sera que mieux encore. Aoki aura une copine chienne pour jouer avec, lécher les pieds de Felicia ou sa tenue, Dieu sait qu'elle aimait sentir bien des formes de caresses sur son corps couvert de latex. Aoki jouait souvent avec Harley quand elle venait avec Pamela et, même si Harley était la soumise du couple, il n'était pas rare qu'au cours de la soirée, ce soit les supers femmes qui baisait Aoki. Elles étaient trois, elle avait trois trous, c'était parfait pour ça, non ? Bon, parfois, elles tentaient à deux dans un même trou, c'est dire combien Aoki était habituée, mais là, une copine chienne... Ce serait tellement bien !

Elle laissait son corps remuer contre Aiko, s'écrasant dessus parfois sous tout l'amour dont faisait preuve sa maîtresse en l'écrasant contre elle. Mais Aoki était toujours en train de gémir de plaisir, partageant ce plaisir avec Aiko qui succomberait bien tôt ou tard. Et quand la voleuse venait justement jouir, Aoki hurla de plaisir, sa salive coulant sur la peau de son amie, tout comme sa mouille. Son corps vibrait de plaisir en sentant la semence bien chaude remplir son petit cul.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaan~ »

Même en se retirant, elle lui remit son plug, qui s'enfonçait presque sans mal, avant que la Black Cat ne décide qu'il était temps qu'Aoki baise son amie à son tour. Elle était obéissante donc elle le ferait si c'est que sa maîtresse voulait lui faire subir. Elle quitta les cuisses confortables de son amie pour l'aider à déplacer cette dernière, ignorant simplement son refus pour la placer sur le lit avec l'aide de Felicia, vers qui elle allait se blottir, aussi amoureuse que soumise à cette dernière, sa tête se posait sur son épaule, les yeux lever vers elle.

« Maîtresse, comment je dois la baiser ? Avec un jouet ou avec... »

Elle ne terminait pas, demandant donc simplement si elle allait devoir prendre le gode ceinture ou ce genre de petite pilule si en vogue. Oh, elle préférait de loin subir l'épaisse et délicieuse verge de sa voleuse, mais parfois, elle devait bien assumer ce rôle, ne serait-ce que pour combler les envies de sa chatte d'amour. Elle avait beau aimer remplir Aoki, elle aussi aimait sentir sa chatte bien remplit de l'amour liquide que pouvait avoir Aoki pour elle. Toute lover contre elle, son corps crissait contre le sien, comme une brave chienne, elle attendait une réponse, une caresse, de quoi comprendre qu'elle était une bonne chienne bien obéissante. Elles avaient beau s'aimer, Aoki était clairement soumise et elle aimait ça. Cela ne l'empêchait pas parfois d'être simplement une femme aimante, mais quand le sexe parle... elle se soumettait, le plus souvent. Elle aimait être la chose de sa voleuse.

Aiko était médusée ! Sa réaction première était d’être horrifiée par ce qu’elle voyait, par ce qu’elle subissait, par la manière dont Aoki avait changé… Mais avait-elle vraiment changé ? À l’époque du lycée, puis de la fac’, Aoki avait toujours été très disciplinée, elle avait concouru et bataillé avec Aiko pour être la première élève du lycée ! Elles avaient étudié ensemble à la Todai, et Aoki aurait pu devenir, comme elle, une brillante avocate. Aiko, à l’époque, s’était même envisagée à plusieurs reprises de lui proposer d’ouvrir un cabinet ensemble. Proches sans être intimes, elles étaient juste des connaissances, travaillant ensemble, révisant mutuellement à l’occasion d’examens ou de concours. Et, contre toute attente, alors que toutes les portes lui étaient ouvertes, Aoki avait rejoint Aoi Kitsune, une agence d’idols ! Cela avait été un choc pour Aiko, qui avait rejoint un prestigieux cabinet d’avocats, avant de partir. Elle avait payé en secret un détective privé pour enquêter sur Aoki, et avait découvert que, si celle-ci était célibataire, elle faisait l’objet de rapports troublants, et d’une relation intime avec une professeur du lycée Jinmu, un lycée sulfureux à la réputation très atypique.

Mais, derrière l’élève sage, Aoki n’avait-elle pas toujours été perverse ? Quand Aiko avait découvert les vidéos du détective privé, les films pornographiques privés, les factures d’Aoki et les clubs fétichistes dans lesquels elle se rendait, elle avait décidé d’agir. Elle voulait la protéger, la sauver de cette corruption ! Mais était-ce vraiment ce qu’elle voulait ? Au fond, ne souhaitait-elle pas y goûter aussi ?

*Non, cela me fait horreur !*

Mais comment nier cette vague qu’elle ressentait en voyant Aoki-chan se frotter contre cette femme ? Comment nier la confusion qu’elle ressentait ? Est-ce qu’elles l’avaient drogué ? C’était la seule hypothèse envisageable qui soit crédible ! Cette pécheresse de cambrioleuse l’avait neutralisé dans son cabinet, qui sait ce qu’on avait pu lui injecter ? Elle vit la main de Félicia palper les fesses d’Aoki, qui soupira en se blottissant davantage contre sa Maîtresse. Il était tout aussi vrai qu’Aiko n’avait pas de mari, et que cela était très spécial à son âge. Elle avait aussi quitté son ancien cabinet pour ça, car son supérieur lui avait fait comprendre qu’elle devait se marier. Pour l’honorabilité et la réputation du cabinet, une avocate ne pouvait pas ne pas être mariée, car les clients jasaient entre eux. Aiko n’avait toutefois jamais eu envie de se marier, elle n’était jamais tombée amoureuse… Sauf peut-être d’Aoki ?

Elle observa donc celle-ci, tandis que Félicia récupéra le strap-on avec deux vibromasseurs internes.

« On va y aller par étapes, ma chérie… Pour l’heure, tu vas utiliser ça, et, ensuite… Tu la rempliras de ta crème ! »

Félicia embrassa sa femme avec amour, pressant ses lèvres contre les siennes, puis lui mit le strap-on, enfonçant soigneusement chacun des vibromasseurs dans sa chatte et dans son cul, terminant cela par un petit baiser à chaque fois. La Chatte Noire récupéra ensuite la télécommande permettant de faire fonctionner l’appareil, et déclencha la fonction vibrante des godes, qui se mirent à vibrer dans le corps d’Aoki.

Aiko cligna encore des yeux. Elle aurait pu se défendre, et vit Aoki se rapprocher, dodelinant et soupirant un peu.

« Tu… N’aggrave pas ton cas, Aoki !
-  Je crois au contraire que le moment est parfaitement venu de l’aggraver ! Baise-là fort, Aoki, Aiko-chan n’attend que ça ! Je me demande de qui elle rêve la nuit… »

Aiko lui jeta un regard noir.

« De personne ! Vous êtes complètement folles, toutes les deux !
-  Peut-être… Mais tu l’es toi aussi, à ce compte, et sans doute même plus que nous, puisque tu es la seule qui te mens à toi-même… Lâche prise, Aiko-chan, et tu verras comme il est bon d’obéir à une Maîtresse. N’est-ce pas, Aoki ? »

Pour Aiko, il ne semblait décidément n’y avoir aucune autre alternative !

Pour Aoki, il n'y avait pas trente-six solutions, elle aimait Felicia, sincèrement, alors si la Black Cat lui demandait de jouer les allumeuses habillées en latex, elle n'hésitait pas et le faisait. Bien entendu, elle avait ses limites, elle n'irait pas jouer les putains au milieu de la foule, mais en dehors de ça, si Felicia l'invitait à jouer les chiennes dans une de leurs soirées spéciales, elle se fera une joie de se laisser monter dessus par Rex ou d'autres chiens et personnes, si sa bien-aimée n'attendait que ça. Et ici, non seulement elle tentait de sauver sa peau, mais en plus, elle couchait avec Aiko, c'était bien évidemment qu'elle lui obéissait. Aoki a toujours été sérieuse à la fac, et même ailleurs, elle a eu ses premiers amours là-bas, oui. D'abord un garçon qui a fini par l'abandonné, la plongeant dans quelque temps sombre où seules les études avaient leurs importances, puis elle avait eu une histoire bien plus tard avec une autre fille, une histoire qu'elle croyait dans le lendemain, mais qui là aussi, avait fini par lui briser le cœur une fois fini... Après ça, il y a eu la remise des diplômes, le monde du travail, ect et là, elle s'était de plus en plus débridé, laissant l'amour de côté pour le sexe pur et simple. Ce n'était pas si bien que ça, car c'était aussi une période de sa vie où l'alcool l'aidait à affronter son quotidien banal et épuisant...

Puis, Felicia. Simple femme sur son chemin, un rendez-vous, un défi, la graine de l'amour planté, mais elle refusait de l'admettre et pourtant, elle ne couchait plus avec ses élèves, ni même avec son amie qui gérait les cours de théâtre pour ses élèves. De fil en aiguille, elle avait fini par s'avouer à Felicia, s'aimant mutuellement, mais pour le moment, ça lui suffisait. Oui, Aoki rêvait mariage et enfants, le second choix semblait compliqué, étant deux femmes, et le premier n'était pas impossible, mais déjà, pour ça, elle devrait avouer sa liaison avec Felicia à ses parents, vieux jeu. Amour entre femmes ? Ils allaient sûrement désapprouver, surtout que Felicia était une Américaine, sans être raciste, elle avait assez grandis avec eux pour savoir que, sans lui forcer la main, ils voulaient qu'elle trouve une personne avec de bons revenues, qui serait en quelque sorte l'élite de sa famille. On en était bien loin aujourd'hui... Mais, n'ayant pas de mariage en vue ou autre, pour le moment, c'était de sauver sa peau qui comptait. Actuellement en train de se frotter à Felicia, elle cherchait ce qu'elle voudrait pour faire elle, mais la Black Cat jugeait que commencer simplement avec les jouets devrait suffire. Soit, elle la laissait lui installer ça, ne se privant pas de gémir, surtout quand elle le mit en route. Elle se cramponnait à Felicia, même si l'idée de lui faire l'amour à elle était bien plus tentante, elle devait penser à sauver ses fesses.

« Oh oui, tellement mieux~ Tu verras, Aiko-chan, obéir à Maîtresse et tu en seras que plus heureuse. »

Dandinant ses petites fesses, elle se rapprochait, sa fausse queue vibrait de plaisir, mais ce fut progressivement que son amie pouvait sentir toute la chaleur qui émanait d'elle. Elle venait d'abord l'embrasser, de force, mais langoureusement et peu à peu, son corps venait se presser contre le sien. Sa poitrine, son ventre et enfin, sa queue. Elle vibrait entre elles, mais Aoki mis sa main dessus pour la diriger vers sa fente intime. Doucement, elle la pénétrait, Aoki était de plus en plus excitée, sa fausse verge vibrant en elle, tout comme les siennes vibrait dans son corps.

« Haaaaaan ! Nous vibrons ensemble ! Haaaaan, de plaisir ! »

Felicia devait se régaler, mais ce ne sera pas pour tout de suite qu'elle viendra butiner ce délicieux petit cul bien moulé. Son anus était déjà occupé, rien ne l'empêcherait de le lui retirer, mais ça allait gâcher l'effet de surprise. Puis, elle devait bien faire son travail alors qu'elle embrassait son amie avec passion. Même le baiser rompu, elle restait près d'elle, leurs lèvres se frôlant, les yeux envoûtés dans les siens.

« Laisse-toi allez, Aiko-chan... Laisse-moi te faire l'amour, haaaan ! Après... je te remplirais de ma crème~ Ce sera si booooon... »

Voir Aoki si heureuse et libérer, sans la moindre drogue, c'est ça qui pourrait bien faire la différence entre elles. Aiko devait oublier ses théories du complot, Aoki était libérée, elle était heureuse et Felicia lui apportait ce bonheur, que ce soit dans leur lit ou bien dans leurs envies folles et peu commune, elles se complétaient ensemble, c'était ça aussi l'amour.

« Je te guiderais... dans ce vaste monde... Tu trouveras ton bonheur à nos côtés... »

Elle ne la forçait pas à devenir l'esclave de Felicia, mais elle devait les suivre si elle n'était pas heureuse actuellement, elle trouvera son bonheur avec elles, et si ce n'est pas elle, Harley et Pamela auront sûrement une voie ou deux à lui conseiller. Ne sentait-elle pas cette vibration en elle ? Outre celle du jouet, c'était sa corde sensible qui lui suppliait de saisir cette chance et d'avoir cette nouvelle route en ligne de mire !

Il n’y avait plus de retour en arrière possible pour Aiko, et ce depuis longtemps. Félicia s’était renseignée sur elle, suffisamment pour savoir qu’elle ne se trompait pas dans ses hypothèses. Elle était bien placée pour le savoir, car Félicia avait longtemps cru, elle aussi, à un amour impossible… Celui avec Peter Parker, qui aimait Mary Jane. Elle savait donc les illusions et les choix illogiques qu’on pouvait faire, tout comme Aiko… Pour attirer l’attention de Peter, Félicia faisait des vols en espérant qu’il la traque. Aiko, elle, attaquait avec ses moyens, le droit. Mais, derrière les actes, la motivation restait la même.

En voyant Aoki se rapprocher, Aiko écarquilla les yeux. Elle ne pouvait plus se libérer, et Aoki s’allongea contre elle, son gode venant caresser les cuisses de la femme, remontant vers son sexe. Aoki sentait les deux vibromasseurs remuer en elle, et le gode externe vibra également, se rapprochant des lèvres intimes d’Aiko.

« A-Aoki-chan, ne… Ne fais pas ça… ! »

Félicia estimait que cette demande manquait quand même de conviction. Aoki la pénétra donc, et Aiko gémit fortement. Ses mains se posèrent sur les épaules d’Aoki, comme pour tenter de la repousser, puis la belle Japonaise blonde l’embrassa. Les mains d’Aiko se crispèrent sur ses épaules, et la femme gémit longuement. Aiko répondit à ce baiser, et remua ses jambes, les frottant contre celles d’Aoki, tandis que celle-ci rompit le baiser, et l’invita à se laisser aller. Qu’elle arrête de résister, et qu’elle laisse Aoki la guider dans cette nouvelle vie qui s’offrait à elle ! Félicia, de son côté, prenait sur elle pour ne pas intervenir, consciente que c’était là le moment d’Aoki. Leur couple était très particulier, mais les deux femmes s’aimaient mutuellement. La Chatte Noire ne ferait donc rien qui soit susceptible de nuire aux intérêts d’Aoki.

Aoki continuait à la prendre, et Aiko couina encore, restant silencieuse. Toutefois, quand la tête d’Aoki s’éloigna un peu trop, Aiko posa sa main sur ses cheveux, et l’embrassa.

« Hmmm… ! »

Elle basculait doucement, et déplaça son autre main pour palper les fesses d’Aoki.

« Tu… Haaaa… Tu n’es qu’une salope, Aoki-chan ! Une salope !! »

Aiko n’arrivait plus à réfléchir intelligemment. Elle n’avait jamais été dans une telle situation, totalement écartelée entre des pensées très contradictoires. Mais, pour l’heure, tout ce qui la dominait, c’était cette soif qu’elle ressentait, cette chaleur qui croissait furieusement en elle et qui menaçait d’exploser à tout moment. Le désir l’envahissait, et elle se laissait porter, sans trop pouvoir comprendre ce qui lui arrivait.

Elle était sur le point de bascule, sur le point d’admettre la réalité de ses sentiments pour Aoki, des sentiments qu’elle avait refoulés pendant des années, et qui étaient en train d’éclore, au fur et à mesure que leur séance se poursuivait…

Aoki devait sauver sa peau et pour cela, elle devait coucher avec Aiko, une de ses anciennes camarades, sous les yeux de Felicia. Cela ne pouvait pas mieux l'exciter ! Certes, elle était heureuse de coucher juste avec la Black Cat et ainsi profiter de tout son amour, mais sentir son regard posé sur elle, la jugeant. Que ce soit quand elle était entre les mains d'Harley ou de Poison Ivy, ou même à quatre pattes pendant que Rex lui grimpait dessus en faisant d'elle sa chienne, elle était ravie de voir ce regard, ce petit sourire. Elle était son jouet et elle en était fière ! Mais pour en revenir à son amie, elle commençait à la baiser en la pénétrant doucement, sa fausse verge venant vibrer entre ses cuisses, la pénétrant en la tenant par la main dans ce monde merveilleux de la luxure et du plaisir. Ensemble, le plaisir était partagé sans aucun tabou, Aoki faisait ça pour sauver sa peau, mais aussi par plaisir, surtout si sa maîtresse regardait. Cependant, quand son baiser prit fin et qu'elle reculait un peu trop, Aiko était contre ! Enfin, elle se laissait aller !!!

Elle profitait mieux de son corps, de ses formes et Aoki ne pouvait qu'en subir les conséquences avec plaisir ! Elle aimait son corps, ce qu'elle lui faisait subir ! Comment être contre ?

« Haaaan, ouiiiii ! Maîtresse aime que je sois une salope ! »

Elle parlait évidemment de sa vraie Maîtresse qui était sûrement ravie de voir ses plans avancée alors que sa belle Aoki continuait de la baiser avec toujours plus de plaisir et pour la féliciter, Aoki la baisait avec plus de passions ! Des coups de reins plus fort ! De savoureux baisers avec un peu de mordant, elle allait la faire jouir comme jamais auparavant dans sa vie ! Ses retrouvailles avec Aoki allaient marquer un sacré tournant dans sa vie. Maintenant qu'elle s'était ouverte, elle n'avait qu'un but, l’amener à jouir pour qu'elle puisse s'accepter comme telle. Ensuite, elles pourront passer à la suite et, cela voulait sûrement dire, être au service de leur maîtresse... Aiko allait comprendre pourquoi Aoki aimait sa maîtresse et sa vie allait devenir soudainement meilleure.

« Mmmmhh, Aiko-chan~ Jouis... Jouis avec moi.... Montre à Maîtresse que tu adore ça ! »

La belle Aoki ne lésinait pas sur les moyens, la pénétrant avec force, passion et amour pour que sa maîtresse soit si fière d'elles ! Mine de rien, ce qui se passait, c'était un plan parfaitement travaillé de Felicia pour qu'Aoki soit éloigner de tout soupçon dans cette affaire où sa carrière et sa vie était en jeu.