The Multiversity

Pamela sourit doucement. L’idée du mariage était très sérieuse chez Harley, qui appréhendait cela avec impatience. Ivy la voyait rarement aussi concentrée et calme que quand il s’agissait d’organiser cela. Ce serait bien sûr un mariage fictif, qui ne serait pas reconnu légalement, car le Japon n’autorisait pas encore le mariage homosexuel. Mais Ivy comptait bien les marier à une autre autorité. Elle avait parlé à Harley des divinités existant sur Terra, et, si tout cela ne passionnait pas guère Harley, c’était bien devant les Dieux que Pamela comptait se marier. Sur Terra, elle avait rencontré Weldenela, et elle savait que celle-ci était la fille d’une puissante Déesse vivant là-bas, Lust. Un mariage religieux serait au moins aussi important qu’un mariage civil, et célébrerait à jamais leur vie ensemble. La prochaine étape serait que le ventre d’Harley accueille leur bébé, ce sur quoi Ivy travaillait d’arrache-pied.

Mais, pour l’heure, il y avait d’autres priorités, et d’autres problèmes. Harley semblait s’être plutôt bien remise, ce qu’on pouvait attribuer, non seulement à son comportement, mais aussi aux sérums que Poison Ivy instillait régulièrement en elle. Elle sourit donc devant la jeune femme, et l’embrassa encore chaudement sur les lèvres.

« C’est ce qu’on fait depuis Gotham, non ? »

Black Widow restait silencieuse, bras croisés, et, quand Pamela se retourna, l’espionne se racla doucement la gorge.

« Nous partirons d’ici quelques jours, le temps que Madame Quinzel se rétablisse, et que les accréditations soient prêtes. Et vous assisterez tout de même à quelques briefings.
-  Génial… »

Mais compréhensible. Le Kholat Syakhl était un endroit assez sauvage, difficile d’accès. Pamela et Harley devaient aussi se former aux rudiments des missions d’infiltration, car l’équipe serait sur le territoire russe, sans soutien. Black Widow serait donc leur chef de mission.
Plusieurs jours plus tard
Ivdel, oblast de Sverdlovsk, Russie

Les phares du 4x4éclairèrent ce qui semblait faire office de place centrale. Des séries de bâtiments jaunâtres se dressaient dans cette ville perdue, avec des toits rougeâtres évoquant le passé soviétique de cette petite ville. Natalia avait tenu le volant depuis l’aéroport Koltsovo, à proximité de la capitale de Sverdlovsk, Iekaterinbourg. C’était un sacré voyage, de plus de 500 kilomètres à travers des petites routes de montagnes escarpées. Les trois femmes avaient rejoint l’aéroport sans trop de problème, avant de rouler, dissimulant leurs tenues de combat dans une valise. Officiellement, elles étaient des touristes occidentales faisant un trekking en Russie, et voulant visiter le col Dyatlov. Ironiquement, l’incident du col Dyatlov était devenue une attraction touristique locale, avec des guides touristiques organisant le voyage depuis Ivdel, là où le péril des randonneurs avait vraiment commencé.

Depuis Ivdel, il fallait rejoindre un petit village reculé, Vijaï. Les guides touristiques conduisaient les touristes à dos de véhicules tout-terrains, et, depuis Vijaï, on pouvait, soit y aller à pied l’été, soit à l’aide de motoneiges l’hiver. Le col Dyatlov restait après tout une véritable épreuve d’alpinisme. Sous-estimer la dangerosité de la montagne n’était pas à craindre, et, de fait, le trio rejoignait la montagne en période hivernale, là où il y avait moins de touristes.

La nuit commençant à tomber, Natalia avait décrété qu’elles feraient une pause à Ivdel. De plus, il commençait à faire nuit, et Natalia espérait bien que la tempête passerait vite.

« S’aventurer dans le col avec ce temps est dangereux, et suicidaire. Quoi qu’il en soit, je propose une chambre individuelle pour moi et une chambre double pour vous, non ?
-  Oh, je gage que, si nous prenons une chambre pour trois, Harley me tuera… »

Il fallait bien détendre un peu l’atmosphère en jouant avec la jalousie d’Harley, car, en se rapprochant de ce col, Ivy commençait à ressentir un mauvais pressentiment…

En soit elle se fichait que l'état ne reconnaissait pas leur mariage, ou même qu'elles doivent se marier devant les dieux. Pour Harley, cela était surtout symbolique et ce qui comptait, c'était une chouette réception, un beau mariage, de belles robes, danser avec sa femme, bref, tous les côtés positifs du mariage. Donc si Pamela voulait se marier sur Terra, en l'honneur de dame nature ou autres, elle pouvait cet effort, du moment qu'Harley garde sa robe blanche, elle acceptait le deal. La tension redescendait, maintenant qu'Harley avait pu se reposer en partie seule et avec Pamela, elle avait dû assister aux briefings tant bien que mal, la concentration à maintenir n'était pas son point fort. Après, ils n'y mettaient pas du leur. Pas d'explosion, pas d'animaux parlant ou normaux, pas même de groupe de super en face à affronter, c'était aussi chiant que les discours des nouveaux directeurs d'Arkham promenant à chaque fois une sécurité plus renforcé, des méthodes plus douces pour de meilleurs résultat mais en tout temps, Arkham était toujours le même gruyère.

Mais après avoir autant voyager, un voyage pénible pour Harley qui devait se contenter de voyager en se tenant à carreau, ce n'était pas tellement sa façon de faire, enfin, une bonne distance en tout cas, elles n'étaient pas encore arrivée à destination mais vue que la nuit tombait, il fallait plutôt songer à aller se reposer dans la ville la plus proche en chemin, c'est à dire Vijaï. Et évidemment, une chambre pour l'espionne et une pour elles. Non mais, il ne faut pas se mélanger.

« Ouais, n'essaie pas de me voler ma fiancée, la Fenêtre Noire ! »

Oui, Harley savait bien que c'était la Veuve Noire, Black Widow, et non Black Window, mais on ne retira pas à Harley sa faculté à trouver des jeux de mots, aussi nulles soient-ils. Un jour, peut-être, elle ne verra plus l’espionne comme un danger, mais pour le moment, elle était dangereuse. Pamela aimait les belles femmes et bien que cela était rien d'une étude officielle, qui se ressemble, s'assemble ! Si elle pouvait séparer les deux rouquines pour ne pas qu'elles se rapprochent trop près pour jouer les aimants, ça lui irait parfaitement. Elle se faisait des films, mais bon, elle était amoureuse après tout. Car pour contrer cet argument, les opposés s'attirent. Pam et sa lucidité, son esprit scientifique et posé et Harley qui voulait bondir partout et tout casser en rigolant, ce n'était pas très identique.

Vu la nature du pays, Harley se tenait à carreau une fois entré dans ce qui allait servir de chambre, elle ne collait pas Pamela comme une amoureuse, juste comme une simple partenaire de voyage. Elle laissait l'espionne régler ça en russe et ce n'était qu'une fois les porte de la chambre passé qu'elle allait pouvoir se lâcher un peu. 

« Pffffffou, enfin libre ! Je pensais pas que ça serait si barbant de se tenir tranquille ! Je me comprends mieux maintenant. »

Sitôt la porte fermée qu'elle ôtait son bonnet, son manteau, ses gants, bref, de quoi se sentir de suite un peu plus légère ici, elle pouvait respirer !!! Elle tombait sur le lit, bras et jambe écartée en soupirant de plaisir. Elle allait bien dormir ce soir, même si elle ne savait pas avance que sa soirée n'allait pas se contenter de juste dormir, mais bon, il faudrait se montrer discret ici, elle ne pouvait pas hurler comme bon lui semble. Mais il ne fallait pas oublier leur promesse, au moins une fois par jour.

« Vivement qu'on en termine, c'est vraiment pas cool ici. Je peux même pas faire de bonhomme de neige ! »

Elle pouvait, mais elles n'étaient pas là pour ça et puis bon, la connaissant, l'espionne irait râler qu'elles perdaient du temps. 

« Et je parie qu'elle sera pas d'accord non plus qu'on prenne un tank sur le chemin ? Personne ne remarquera ça ! Je suis sûre qu'ils ont plus de tanks que d'habitant dans ce pays, se balader en tank, on aura l'air de se fondre dans la masse ! »

Moui, juste une excuse pour avoir un gros joujou sur lequel, on appui sur un bouton et ça fait boum. Après, le coup des stéréotype, ça restait Harley, ce n'était pas dit méchamment, juste son esprit et sa folie qui dansait main dans la main.

« T'es pas d'accord, Pamy-cherie ? Se balader, assise sur un tank, ce serait pas trop romantique ? »

Chacun sa définition du mot romantique après tout...

C’était une chambre assez ancestrale, semblant sortie d’un autre temps. Ivy regarda par la fenêtre. La nuit commençait à tomber, et le spectacle d’Ivdel était des plus lugubres. C’était une ville typique des clichés occidentaux sur les villes communistes. Peu de lumière, peu de boutiques, des murs bruts, nus. En face de l’hôtel, il y avait la seule boutique du coin, avec quelques néons qui clignotaient faiblement. Un vent spectral s’abattait sur la ville, et Pamela rebondit sur le lit, s’étirant joyeusement. Elle avait retiré son lourd manteau et son bonnet, et se présentait avec un corset moulant rouge et noir et un pantalon en cuir. Pamela sourit doucement en l’entendant.

« Tu sais, je ne crois pas qu’un tank soit très bien adapté pour se rendre dans ce col montagneux… Et, si je t’ai interdit de venir avec un lance-roquettes, ce n’est pas pour que tu viennes avec un tank, ma chérie. »

Pamela contempla son téléphone cellulaire, cherchant à savoir si elle devait appeler Chloé ou non. Mais, comme il y avait un décalage horaire de six heures en avance sur l’heure de Moscou, la jeune femme devait être couchée à ce moment. Pamela reposa donc le téléphone, et se déshabilla à son tour. Si elle s’habillait lourdement, Ivy n’avait pas mis sa bio-suit, et, sous celle-ci, elle portait une tenue végétale sensuelle et exquise, composée d’un corset végétal et de collants verdâtres. Des gants végétaux dissimulaient également ses doigts, remontant jusqu’à ses avant-bras, et elle se tourna vers Harley, faisant claquer ses talons, puis s’assit sur le lit.

Sa main caressa le visage d’Harley, et elle se lova ensuite contre elle, déposant un tendre baiser sur ses lèvres, frottant son corps contre le sien.

« Tu sais, je ne comprends pas trop ta position vis-à-vis de notre super-espionne… Enfin, cette crise de jalousie est touchante, mais, que ce soit avec Chloé, Félicia, ou Aoki, tu ne dis rien. Et, même quand tu m’as présenté White Rabbit, je ne t’en ai pas voulu une seule seconde, au contraire… »

Pamela l’embrassa à nouveau, s’étalant de plus en plus sur elle. Même s’il y avait du chauffage, l’installation était assez ancienne, et peinait à se mettre en marche. Dans sa petite tenue, Pamela ressentait donc le froid, et se pressait ainsi contre le corps d’Harley, tout chaud vu les vêtements lourds qu’elle portait par-dessus. Elle l’embrassa une nouvelle fois, plus longuement, l’empêchant ainsi de répondre par le biais de ce long et sensuel baiser.

« Mais, sincèrement, tu crois vraiment une seule seconde que je t’abandonnerai, ma chérie ? Je t’aime, Harley, je t’aime suffisamment pour me marier avec toi, et pour reprendre mes recherches afin que tu portes notre enfant… »

Et, tout en disant cela, sa main caressa le bas-ventre d’Harley, ses doigts glissant le long de son nombril. Elle titilla doucement sa belle peau, venant s’y réchauffer.

« Et puis, tu n’aimerais pas qu’on la prenne en sandwich, hum ? Avec un petit collier autour du cou à te lécher les pieds ? » gloussa alors Ivy.

Oui, Pamela aimait bien provoquer sa petite boule de nerfs…

Un peu de repos n'était pas de trop après un si long voyage qu'elles venaient d'avoir donc peu importe que le mot trois-étoiles ici se trouve dans le ciel ou qu'elles fassent un bon dans les années quatre-vingts pour ce qui était du confort, quand on est fatigué, on se contente de peu parfois. Le lit était suffisamment confortable pour bien y dormir puis avec sa Pamela à ses côtés, Harley ne pouvait que bien y dormir. Quoi qu'il en soit, Pamela n'était toujours pas d'accord pour le fait d'avoir un tank en se baladant dans le coin. Certes, pour les montagnes, ce ne serait pas super top, mais en y ajoutant des grosses roues comme sur des hummers, non, ça n'était pas possible non plus à tous les coups. 

« Mais j'suis sûr qu'on se serait vachement bien amusé moi. »

Hélas, même pour ses beaux yeux, Pamela n'irait pas sortir un tank de son sac à dos, ni même lui permettre d'en voler un, elles devaient rester discrète après tout. Mais en d'autres circonstances, peut-être. Pamela ne se privait pas de se coller à elle, sa belle peau se frottant doucement contre la sienne, du moins là où elle était découverte, son feuillage était toujours aussi vert malgré le froid dans le coin. Sa belle plante restait aussi belle qu'au premier jour. Cela dit, Pam revint sur Black Widow et d'Harley qui lui feulait dessus dés qu'elle s’approchait un peu trop d'elles. Gonflant ses joues comme un hamster, elle faisait du boudin. Il est vrai qu'en temps normal, elle se fiche de qui se rapproche de Pamela, mais elle avait une certaine aversion pour l'espionne. Pamela avait beau essayé de la rassurer, ça ne prenait pas avec elle cette fois.

Elle évoquait le fait qu'elle n'avait rien à craindre d'elle, même qu'elle venait supposer qu'elle pourrait faire un bon chien-chien. Toujours boudeuse – un peu moins c'est vrai – Harley n'était pas insensible aux charmes de sa belle Pamela, répondant évidemment à ses doux baisers.

« Mais je sais pas... Y a un truc chez elle, qui me fait peur... Elle te ressemble un peu alors... alors j'ai un peu peur qu'elle ne cherche à te séduire ou pire, que toi tu succombes à ses charmes. Et ne crois pas que je t'ai vue, je t'ai déjà vue reluquer son cul ou ses nichons ! »

Harley était un peu jalouse même si là encore, elle s'en fichait quand Pamela en faisait de même avec leurs autres amies, alors pourquoi elle n'aimait pas la rouquine russe à ce point.

« En plus, je lui ai toujours pas pardonné, à elle et à son copain à tête de fouine. »

Oui, elle parlait bien de Coulson. Il avait beau être apparemment sympa, elle ne l'aimait pas non plus.

« Ils ont osé venir nous déranger au petit matin comme ça ! Puis elle s'est invitée sans qu'on ne l'y autorise ! Elle ne manque vraiment pas de toupet, je te dis ! S'ils avaient vraiment besoin de toi, ils auraient dû t'implorer moi je dis ! On vient de geler ici pour eux, ils pourraient faire mieux quand même. »

C'est tout ? Elle en voulait à l'espionne, car elle s'était incrustée en plus de venir les déranger au petit matin ? Oui, Harley pouvait avoir la rancune tenace pour des broutilles. Cela lui était déjà arrivé d'en faire de même avec Bernie en voulant prouver qu'elle pouvait ne pas lui parler plus longtemps que lui, mais elle perdait toujours. Même en allant au-delà que Bernie était un castor empaillé. Oubliant sa tête de boudeuse, Harley venait adopter son petit visage de chaton abandonné dans un carton sous un temps pluvieux en observant sa belle rouquine.

« Je t'aime tant Pamy-chérie mais j'ai peur qu'elle cherche à nous séparer... Ta bien vu son nom de code ? Black Widow ?! Ça veut dire ce que ça veut dire. »

Qu'elle cherchera tôt ou tard à avoir Pamela ou Harley comme femme puis de la tuer ? Ce serait un peu gros mais on parle d'Harley après tout...

Harley était toujours un art, une énigme qu’il fallait comprendre à chaque fois. Son « petit clown », comme Pamela l’appelait, l’avait toujours intrigué. Avec le recul, Ivy admettait désormais qu’elle était tombée la première amoureuse de la jeune femme, suffisamment amoureuse d’elle pour la poursuivre dans l’asile d’Arkham et pour tenter de la libérer des griffes du Joker. Et, à l’époque, Harley n’hésitait pas à la manipuler, à se moquer d’elle, à jouer avec cet amour pour arriver à ses fins… Car Ivy était une femme puissante, redoutable, et ses toxines étaient tout autant redoutables. Sans elle, sans ses recherches, Joker n’aurait sans doute jamais pu développer ses fameuses toxines de rire. Mais, au-delà de ça, Harley était aussi réellement une femme fragile, une femme qui avait envie de vivre une vie heureuse, et qui était la victime d’un psychopathe ingérable et indiscernable. Alors, leur relation avait toujours été compliquée… Et là, sur ce lit, Ivy réalisa que leur relation avait désormais atteint un point évident, celui où elles pouvaient librement s’affirmer leur amour mutuel.

*Du moins, tant que le Prince du Crime ne revient pas…*

Dans l’absolu, si c’était à quelqu’un de se plaindre, c’était plutôt à Ivy, qui se pinça doucement les lèvres devant les réponses d’Harley. De ce qu’elle comprit, Harley avait peur qu’Ivy ne la quitte pour cette super-espionne, et lui en voulait aussi de les avoir dérangés au petit matin, alors qu’elles étaient toutes les deux en train de rêvasser amoureusement dans le lit.

« Harley, allons… Notre couple fonctionne ainsi, ma belle. Je ne souhaite pas te restreindre, et je ne veux pas être restreinte non plus. Est-ce que je dois me séparer de Chloé ? Est-ce que tu dois te séparer de White Rabbit ? L’important, ma chérie, c’est que nous restons franches l’une envers l’autre. »

Elle déposa un nouveau baiser sur ses lèvres.

« Évidemment que je la reluque, tu as vu comment elle est belle ? Mais qu’est-ce qui fait croire que je cesse de te reluquer, toi ? Tu crois vraiment que, si je couche avec elle, je serai de vouloir de toi ? Harley, ma puce, je t’aime… Il m’a fallu des années pour me l’avouer, pour me dire que je pouvais être capable d’aimer une autre personne. Il n’y a qu’avec toi que je réalise des expériences pour que mon sperme infécond soit fécond avec toi. Nous sommes toutes les deux liées, ma chérie… Que ce soit par la génétique ou par nos sentiments, je ne peux pas vivre sans toi. Même si je devais faire une orgie avec Black Widow, c’est toujours vers toi que je reviendrai, car tu es ma femme. »

Certes, elles n’étaient pas encore mariées, mais c’était quelque chose que Pamela envisageait très sérieusement, comme l’hypothèse de lui mettre un bébé dans le ventre. Elles ne se marieraient pas devant les autorités japonaises, mais Ivy connaissait des divinités sur Terra, notamment par l’intermédiaire de Weldenela, une puissante Alraune. Elle avait appris que celle-ci était la fille d’une Déesse, ce qui rendait de fait possible un mariage devant les Dieux. Ivy organisait donc tout cela, et déposa un nouveau baiser sur la bouche d’Harley.

Ce nouveau baiser fut un peu plus long que les précédents, et Ivy le prolongea même en glissant sa langue entre ses lèvres, frottant sensuellement son corps contre le sien.

« Jamais je ne cesserai de t’aimer, Harley… Alors, si je couche avec Black Widow, tu n’as pas à t’en faire. C’est notre seule règle dans notre couple… Tu peux coucher avec tous mes partenaires, et moi réciproquement. Et puis, avoir un contact au sein du SHIELD, ce n’est pas non plus une mauvaise chose. »

Restait à savoir si cette femme pouvait être sensible à ses phéromones… Là-dessus, Ivy n’avait aucune réponse à fournir.

« Et, quant à la dernière fois… Ma foi, là-dessus, je peux te comprendre, nous avons été odieusement interrompues… Alors, ce soir, tu vas avoir droit à une double dose d’amour de ma part pour rattraper cela ! »

Et elle frotta malicieusement son nez contre le sien…

La raison pouvait avoir l'air idiote aux premiers abords, mais elle était vraie. Harley avait un peu peur que cette espionne ne lui vole pas sa Pamela chérie. De deux, elle avait toujours une dent contre elle et son patron, acolyte ou amant, bref, elle et Coulson pour être débarqué comme ça pour demander l'aide de sa chérie sans penser que les gens étaient occupée au petit matin ! Et même troisième raison, elle s'était invitée en secret ! Pas même elle n'était passer par la porte comme tout le monde ! Qui sait ce qu'elle a pu récolter ou espionner sans qu'elles ne sachent quoi que ce soit. Elle avait peut-être peur pour rien, mais elle avait peur. Elle n'était pas une femme insensible aux gaz de l’épouvantail et risquer de voir sa Pamela l'abandonnée... ça la détruirait. Elle était sûre d'avoir tiré un gros trait sur le Joker, jamais il ne reviendra dans sa vie et s'il le faut, elle ferait ce que Batman n'a jamais oser faire. Lui ôter la vie.

Mais ne parlons pas de lui. La jardinière tentait de la rassurer disant qu'il n'était pas impossible que Black Widow partage tôt ou tard son lit, mais toujours sa Harley sera dans son cœur. C'était une bonne chose. Répondant toujours présente à ses baisers, elle l'embrassait avec passion, surtout qu'elle aura sa double dose d'amour, ce qui la faisait déjà glousser de plaisir. 

« Mmh, toute façon, j'ai une arme secrète si elle cherche à me voler ma Pamy-chérie... Je lui volerais une de ses tenus supers moulante, et je deviendrais la Black and Red Widow ! Tu crois que je serais sexy dans une de ses combinaisons super serrer ? »

Le rouge et le noir a toujours été une bonne couleur pour le cuir et le latex alors comme c'est les couleurs qui va le mieux à Harley, c'était peut-être un signe ? Quand bien même cette idée pourrait voir le jour, ce ne serait pas demain la veille. Puis de quelle façon elle irait le colorer ? Comme un arlequin, évidemment, mais pouvait-elle y ajouter une variante, hm ? Bonne question qu'elle se posera plus tard, pour le moment, ce n'était que les lèvres de sa chérie qui l'attirait follement ! 

« Mais comme je savais que ce soir, j'aurais droit à notre petit essaie quotidien, j'ai mis de quoi te réchauffer ! » 

Dit-elle en chantonnant, agitant son bassin. Pamela ne voyait pas à travers les vêtements, surtout que là, elle portait de quoi avoir chaud vu la froideur du pays. Mais elle n'allait pas trop faire patienter sa rouquine adorée et allait lui vendre la mèche.

« J'ai mis cette petite culotte que tu adores tant. Tu sais, la rouge qui te rend toute chose ! »

Harley avait bien des armes dans son tiroir à chaussettes, et juste au-dessus, elle avait de jolies culottes et strings pour que sa chère Pamela succombe ses charmes et vienne jouer avec elle quand elle s'ennuyant alors que Pamela avait enfilé sa blouse pour jouer les scientifiques. Comme toujours, elle avait surtout du rouge et du noir, mais aussi d'autres couleurs pour varier les plaisirs. Toujours collée à sa belle jardinière, elle gardait son grand sourire en frottant son nez contre le sien.

« La seule chose que je me demande... plutôt les choses, c'est, petit un, combien de temps je vais la garder ? Petit deux, comment tu vas tenter de me la retirer, hum ? »

Harley se servait de sa souplesse pour venir enrouler ses jambes autour des hanches de sa partenaire pendant le baiser qui ne manquait pas de mordant, avant d'allumer la mèche.

« Viens me baiser... Maman Harley attend sa petite graine ! »

Parler de bébé était une chose qui excitait autant Harley que Poison Ivy, alors là, elle jetait elle-même l'huile sur le feu. Et dieu que c'était amusant !!!

Son petit clown était incorrigible. Mais Pamela n’aurait jamais cru qu’elle puisse se montrer si… Jalouse. Car, même si elle enrobait ça, la base de son hostilité à l’encontre de Natalia ressemblait bien à une forme de jalousie. Ivy en était assez surprise, car Harley n’avait pas manifesté une telle hostilité franche lorsqu’elles s’étaient toutes les deux rapprochées de Catwoman à l’époque de Gotham City. Le contexte était aussi différent, mais, même plus récemment, Chloé n’avait nullement surpris ou énervé Harley, qui avait au contraire apprécié de lui faire l’humour, et d’avoir une élégante esclave à domicile.

« Oh, ma belle Harley… Parce que j’aurais besoin d’une quelconque excuse pour te voir dans une combinaison moulante noire et rouge ? Maintenant que tu l’as proposé, c’est trop tard… »

Ivy avait mis des mois, si ce n’est des années, avant d’admettre qu’elle aimait Harley… Ou avant de le réaliser. Le premier véritable choc avait été à l’époque des Sirènes, quand elles avaient formé, avec Catwoman, un redoutable trio. Harley avait fini par les trahir pour rejoindre Le Joker dans sa prison, et Poison Ivy était partie à sa poursuite, afin de la tirer des griffes du psychopathe. Et, alors qu’elle pensait avoir réussi cela, Harley l’avait trahi, l’avait assommé, et était partie avec Le Joker. Cette trahison, à la réflexion, avait sans doute été l’une des raisons ayant conduit Poison Ivy à fuir Gotham City, et à se ressourcer ici. Mais, maintenant, elle avait pardonné à Harley, et elle frémit quand celle-ci enveloppa ses jambes autour de son bassin.

Pamela soupira longuement, et glissa ses mains dans celles d’Harley, l’embrassant longuement. Elle sentit les dents d’Harley mordiller sa lèvre inférieure quand ses jambes se serrèrent, tirant dessus. Une pointe de douleur émergea dans le corps de Pamela, qui frémit doucement sur place. Elle se redressa, soulevant ainsi légèrement son bassin, puis l’abaissa sur celui de sa partenaire, tapant sa peau contre la sienne.

« Petite rebelle… Je me demande si tu ne m’as pas fait cette crise uniquement pour que je te punisse… Ce serait bien ton genre, ça, ma petite Harley… »

Pamela rapprocha sa main du visage d’Harley, et écarta doucement ses cheveux, ses doigts glissant sur son visage. Sa main gantée titilla ensuite ses lèvres, et, comme Ivy aimait le faire, elle enfonça un doigt dans la bouche de sa chérie, l’incitant ainsi à serrer ses lèvres dessus, et à sucer tendrement ce doigt. Ivy frissonna en sentant la langue d’Harley, puis ses dents, son regard mielleux et concupiscent venant croiser le sien. Une vision enchanteresse, divinement excitante, qui la fit doucement sourire. Pamela se mordilla les lèvres, et remua encore sur place.

Pour l’heure, elle n’avait pas encore déployé sa verge, semblant décidée à prendre son temps avec elle. Et, tandis qu’elle suçait son doigt d’une main, l’autre main de Pamela se déplaça, et pinça l’un des seins d’Harley, jouant avec.

« Ma petite rebelle… Tu veux déjà que je te retire ta culotte, en plus… Mais moi, je vais prendre tout mon temps avec toi… »

Des tentacules végétaux, fins et élégants, poussaient de sa tenue, et filèrent sur le corps d’Harley. Ils glissèrent sous son corset, et caressèrent sa peau, descendant doucement vers son bassin. Il y en avait deux, des tentacules joueurs, qui filèrent sous le pantalon d’Harley. Chacun s’enroula autour des lanières de la culotte d’Harley, et tirèrent brusquement dessus, mais sans déchirer la culotte, faisant ressortir les ficelles, gênant un peu Harley.

Mais le ton était donné… Ivy allait tranquillement s’amuser avec Harley ce soir, mais il suffisait de voir le regard de l’Empoisonneuse pour comprendre que le programme de celle-ci impliquait bel et bien de la baiser furieusement.

C'était plutôt rare, mais oui, ça arrivait à Harley d'être jalouse, donc cette Natacha, eh bien elle ne l'aimait pas beaucoup. Toujours cette petite voix qui lui dit qu'elle était dangereuse pour leur couple, et même le fait qu'elle s'était introduite chez elles et qu'elle avait dû récolter bien des informations dans leur dos. Qui sait combien de fois cela s'était produit après tout ? Laissons-là de côté pour le moment, elle souhaitais se concentrer entièrement sur sa Pamy-chérie, sa belle plante qui la faisait toujours autant fantasmer. Et elle le lui rendait bien, allongée sur le lit, la belle rouquine commençait à prendre les devants en l'embrassant doucement, gardant ses mains dans les siennes pendant qu'elle commençait à mimer l'acte de pénétration avec elle, se demandant même si sa petite jalousie n'était pas faite pour atteindre ce résultat ? Pas vraiment... Mais pourquoi pas après tout ?

« Oh ? Tu me prend pour ce genre de fille, ma Pamy-chérie ? Je suis pas comme ça... »

Pourtant, son sourire laissait penser que ça pourrait bien être vraiment le cas. Pamela la connaissait bien après tout, peut-être un peu trop ? Bon, sauf que là, sa jalousie n'avait rien à voir bien qu'elle n'était pas contre un peu d'attention de sa chère et tendre Pamela. Harley venait lécher et sucer ce doigt qu'elle lui tendait, faisant sûrement naître chez Pamela bien des idées, bien des envies. Déjà, elle passait à l'attaque, venant s'en prendre à sa poitrine en venant la torturer doucement, avec quelques mots si on ne comptait pas ses petites lianes venaient tirer sur sa culotte.

« Bouh, et après, c'est moi qu'on dit que je suis vilaine. »

Elle gonfla ses joues, sachant bien que ça n'allait pas durer longtemps cette histoire mais c'était aussi à elle, à Harley de tout faire en sorte que Pamela ne vienne pas trop tarder dans le fait de la titiller à cet endroit, surtout qu'elles n'avaient pas encore eut leur essaie de la journée, avec ce grand voyage, pas trop le temps de le faire n'importe quand. L'arlequin remuait faiblement, comme pour mimer une quelconque évasion, mais cela ne se passera pas ainsi, bloquer sous les lèvres de sa belle plante qui partageait sa langue avec elle, un long baiser lent, mais passionné. Cela dit, aussi frêle était Harley, elle restait assez forte, non pas qu'elle pouvait gagner un bras de fer face à Batman, mais à manipuler son gros maillet, entre autres, ça musclait. Alors les mains de Pamela dans les siennes ce n'était pas ça qui allait la retenir. Usant de sa force, elle renversa la situation, littéralement en plaquant sa petite rose sur le lit en lui souriant. Il lui serait aisé avec ses plantes d'inverser à nouveau la situation, mais question force pure, Harley avait l'avantage sur ce terrain-là. 

« Tu permets ? Je dois me mettre à l'aise. »

Elle relâchait Pamela, le temps de retirer son corset, venant dévoilé au moins une partie de son corps avant que ses mains ne retrouvent les siennes en lui offrant un grand sourire de victoire. La situation pouvait vite changer, mais en cet instant, c'était elle la dominante ! Peut-être pas pour longtemps. 

« Huhum, alors ma petite rose ? On veut pas faire plaisir à sa Harley chérie ? Je pourrais bouder, tu sais ? Ou bien ce pourrait être moi qui m'amuse avec toi ? »

Une idée qui pourrait plaire à Pamela, comme lui faire revoir qui commandait le plus souvent entre elles, tout dépendait généralement de sa rouquine qui décidait qui allait faire quoi. Pamela va reprendre la situation en main ou bien c'était à l'arlequin de décider de la suite ?

L’historique des relations entre les deux femmes était vraiment particulier. Initialement, Harley avait été le Docteur Quinzel, et Poison Ivy l’une de ses patientes. La première fois qu’elles s’étaient vues, Poison Ivy se désintéressait totalement d’elle. Harleen, elle, avait œuvré pour qu’Ivy change de cellule, et en ait une avec vue sur le dehors. Ses tentatives de lui apporter une plante avaient toutes été refusées, et il avait fallu attendre que Wayne Enterprises développe une cellule spéciale pour qu’Ivy puisse avoir des plantes. Les deux femmes s’étaient toutefois progressivement rapprochées, ainsi pour que le Docteur Quinzel apprenne qu’Ivy n’avait pas eu une enfance facile, et en voulait particulièrement au Docteur Woodrue, son ancien professeur, qui avait fait d’elle Poison Ivy.

Puis, Harleen Quinzel était devenue Harley Quinn, et c’était finalement son ancienne patiente qui était devenue la femme qui avait peu à peu entrepris de diriger Harley, de l’arracher des griffes du Joker, tout en réalisant progressivement être amoureuse d’elle. Elle, la placide et froide Poison Ivy, qui se réfugiait derrière ses plantes et sa puissance verte, avec cette petite folle incontrôlable et ingérable… En se libérant des griffes du Joker, Harley était devenue un véritable électron libre, et le fait qu’elle traverse un océan pour aller de Gotham City à Yoake afin de la retrouver avait achevé de convaincre Poison Ivy qu’elle ne pouvait pas juste ignorer son petit clown.

Et les voilà donc toutes les deux ensembles, couchées dans ce même lit. Elles faisaient systématiquement l’amour tous les jours, juste entre elles ou avec d’autres personnes. Yoake avait pour ainsi révélé les deux femmes. Loin de l’ambiance noirâtre et polluée de Gotham, au cœur du Japon, Poison Ivy avait enfin pu se ressourcer. Généralement, elle partait plutôt au cœur de la forêt amazonienne, mais elle avait fini par opter pour un compromis raisonnable, de nature à satisfaire sa nature hybride. Et Yoake, avec ses portails vers Terra, était une opportunité particulièrement profitable pour elle.

« Hmmm… »

Comme toujours, elle appréciait les lèvres divinement sucrées de sa chérie, qui deviendrait bientôt sa femme, et qui porterait peut-être leur enfant. Elle l’embrassait encore, savourant sa position, quand Harley la retourna brusquement. Elle se redressa ensuite, et défit son corset, tout en chevauchant Poison Ivy. Celle-ci sourit alors, tandis qu’Harley envisageait les hypothèses possibles pour la suite.

« Oh, du chantage, hein ? »

Ses mains caressèrent les hanches d’Harley, et Ivy réfléchit pendant quelques secondes. Autour d’elles, des tentacules remuaient déjà, et l’un d’eux alla caresser le dos d’Harley, glissant sensuellement dessus.

« Mais j’ai toujours aimé te voir prendre des initiatives, ma chérie… Après tout, de nous deux, c’est toujours toi qui amènes le fun, non ? »

L’invitation était claire, mais Ivy poursuivit, en clarifiant les choses :

« Sois à la hauteur, Maîtresse Harley, mais sache que, tôt ou tard cette nuit, tu auras droit à mes tentacules, ton corps et tes fluides manquent à mes belles plantes… »

Ivy portait la culotte dans le couple, c'était plus sûr en même temps tant, Harley était incontrôlable, passant du coq à l'âne sans raison, sur un simple coup de tête. Et il en était donc de même avec leurs ébats amoureux surtout qu'en plus, c'était elle qui devait avoir le ventre arrondi avec une belle surprise dedans donc c'était à Ivy d'assurer. Mais bon, Harley docile comme une poupée, c'est possible, en effet mais elle n'était pas du genre à être ainsi toujours, il fallait bien qu'elle libère ce trop-plein d'énergie de temps à autre. En renversant la situation, parfois, elle y arrivait... puis parfois Ivy ne faisait que serrer ses tentacules pour lui apprendre un peu plus l'autorité qu'elle avait sur elle.

Mais cette fois, elle semblait d'accord pour lui laisser un peu de laisse. Elle allait en profiter, oh oui ! À un détail près cependant, pas de maîtresse, non. Elle n'avait rien contre ça, mais pas ce soir. Si elle voulait la voir dominante, c'est pas un souci pour elle, mais pas de maîtresse et esclave.

« Tut tut tut... Je veux pas de ce titre. Appelle-moi Harley chérie, mon amour, ma beauté ou ce que tu veux, mais pas de maîtresse par-ci, ma déesse par-là et tout ça. Je suis ta future femme... la future mère de notre bébé... garde tes envies de maîtresse quand tu t'occupes de ta petite Chloé, moi, je suis bien plus que ça. »

Cela dit, si ça se trouve, demain soir ou même plus tard dans la soirée, elle voudrait entendre ce titre titiller ses tympans, mais pas pour le moment. Elle se coucha sur le corps de sa belle rouquine, partageant un nouveau baiser avec elle, laissant sa langue jouer avec la sienne, ses mains passant dans ses doux cheveux flamboyant. Même le froid de la Russie ne retirait en rien de sa beauté, de sa douceur, de sa chaleur. Il fallait au moins ça pour tenir à tout cela. Pas besoin de vodka, Pamela était ce qui la maintenait au chaud, de quoi se réchauffer toute la nuit pour que demain se passe bien.

« Hmmm, ma petite rose d'amour... C'est dommage quand même qu'on soit si occupé avec cette stupide mission... faire ça dans la neige, ça aurait été une première pour nous. »

Moui, faire ça dans la neige, il faut quand même un sacré courage. Sur le sable chaud, c'est facile, mais là, c'est une autre paire de moufle. Quand bien même elles pouvaient être excitée, si l'occasion se présent, ce n'est pas garantie qu'Harley soit vraiment pour une telle chose. Mais ne sait-on jamais, on parle d'Harley après tout. Restant contre elle, Harley glissait doucement plus bas, venant s'occuper de sa délicate poitrine, toujours aussi douce, délicieuse, savoureuse. Sous ses lèvres, elle sentait les pulsations de son petit cœur, sa Pamela d'amour avait des émotions pour elle, elle les ressentait, littéralement. Sa bouche s'occupait de sa poitrine, une de ses mains s'occupait du second mamelon, le titillant doucement, tirant et pinçant doucement cette petite chose fragile.

« Hahaha... je viens d'imaginer une chose, Pamy-chérie... quand je donnerais le sein à notre bébé d'amour... tu pourras me donner ton sein pour patienter ? Moi aussi, je devrais prendre des forces pour m'occuper de toi et de bébé. »

Harley prévoyait déjà tant de choses alors que la graine n'était pas encore plantée. Au moins c'est la preuve que ce projet lui tenait déjà à cœur.

Pas de Maîtresse, donc ? Ivy sourit doucement devant la réaction d’Harley, qui refusait qu’elle lui donne ce genre de titre. L’Empoisonneuse haussa les épaules, tout en se redressant un peu.

« À tes ordres… Harley-Maîtresse-chérie ! »

Elle sourit joyeusement, agissant presque comme le ferait Harley à sa place ! Qu’on lui dise, qu’on lui ordonne de ne pas dire « Chat », et elle s’empresserait de faire des miaulements ! Harley était comme ça, elle aimait s’opposer à tout le monde pour le simple plaisir de rappeler aux autres qu’elle existait, qu’elle n’était pas qu’un simple faire-valoir aux ordres du Joker. Elle se pencha ensuite vers Ivy, reprenant le contrôle des choses, et massa ses épaules, la clouant de nouveau sur le lit. Les mains d’Ivy se déplacèrent pour malaxer le cul d’Harley pendant quelques secondes, avant que celle-ci ne la cloue sur le lit, et ne l’embrasse à nouveau.

Ivy soupira doucement contre elle, et la tête d’Harley redescendit à hauteur de seins. Joueuse et entreprenante, Harley s’attaquait avec ses lèvres à l’un des seins de Poison Iyv, l’autre titillant son sein, tout en suggérant de faire l’amour dans la neige.

« Hmmm… Tu n’es vraiment pas raisonnable, ma Harley-chou… Dans la neige… Nous ferons fondre la banquise sous… Sous la passion de notre amour ! »

Oui, leur amour ! Car comment définir autrement leur relation que par ce phénomène amoureux palpable entre elles ? Poison Ivy aimait profondément sa Harley, et elle était désormais prête à se marier avec elle. D’ailleurs, elle était en train de réunir tous les préparatifs nécessaires à cela. Harley se lovait encore contre elle, l’excitant doucement, enflammant doucement ses sens, tout en proposant que, par la suite, elle prenne aussi le sein tout en donnant le sien à leur enfant.

Leur enfant… L’idée enthousiasma Ivy. Elle avait toujours eu envie d’être enceinte, mais sa nature la rendait inféconde. Inversement, Harley était très féconde. Elle ne faisait pas l’amour que pour le plaisir de coucher ensemble, mais aussi pour que le sperme d’Ivy soit de plus en plus compatible avec la cyprine d’Harley. Et cela nécessitait beaucoup de pratique et d’expériences ! Elles pouvaient passer des heures à coucher ensemble, car Ivy absorbait régulièrement la mouille d’Harley, afin de se livrer ensuite à des expériences de compatibilité avec son sperme. Et, si elle n’avait pas encore réussi à obtenir ce qu’elle voulait, Ivy savait qu’elle se rapprochait de plus en plus !

« Ooohh… Si tu y tiens, ma belle… Hmmm… Tu sais comme j’adore que tu prennes des forces, haaaa… Vas-y, continue à me faire plaisir, haaaann… »

Tandis qu’elle soupirait, son corps et les plantes environnantes émettaient des spores aphrodisiaques. Si un steward entrait dans la chambre, il aurait une formidable érection, et tomberait à genoux devant Ivy. Si Harley était immunisée à cela, ce n’était pas le cas des autres.

« Hmmm… Encore, encore… Pendant que tu me fais plaisir, que mes seins se durcissent sous tes lèvres… Notre plaisir se répand dans tout l’hôtel. Tous les clients vont forniquer. Les enfants seront pris d’une irrépressible envie de dormir, mais les adultes… Ils vont passer une sacrée nuit, tu peux me croire ! »

Sa main se crispa encore contre les cheveux de la belle Harley, les caressant doucement, tandis que ses tétons durcissaient, et commençaient à sécréter du lait, du bon lait qui titilla les lèvres de la jeune femme.

« Je me demande… Hmmm… Ce qui va germer dans l’esprit de notre belle Natalia, haaaa… Peut-être qu’elle va t’imaginer en train de te fouetter, hum ? »

Oui, quand elle était de bonne humeur, Ivy aimait bien provoquer sa belle Harley !

Il faut croire que l'arlequin avait une certaine influence sur les autres. Bon, Pamela était aussi joueuse parfois, il ne faut pas la voir uniquement en une femme en blouse avec des lunettes, le nez dans ses expériences, elle savait aussi relâcher la pression de temps à autres. Elle avait beau chercher la petite bête, elle était déjà sur elle la petite bête et elle comptait bien dévorer Pamela comme il se doit. Tant d'idées passaient par l'esprit tordu d'Harley, batifoler dans la neige, se donner le sein à la chaîne. Elle et leur bébé, elle qui tète aussi Pamela, voilà une idée aussi excitante que toute mignonne ! Sous l'effet de toute cette débauche, Pamela venait à offrir volontairement ou non, un petit cadeau aux gens dans l'hôtel puisque ses spores venaient à se répandre. Les petits feront un gros dodo et les adultes bien des choses ! Une seconde... Et les adolescents dans tout ça alors ? Il feront des rêves coquins ? Bof, elle s'en fiche, elle n'en était pas une. Cependant, Pamela venait supposer que l'espionne à côté pourraient rêver de bien des choses comme du fait qu'elle pourrait dominer Harley ?

Pamela avait beau commencer à sécréter du lait, l'arlequin relevait de suite la tête en l'observant. Cette petite remarque ne lui plaisait guère, comme toujours, quand il s'agissait de la rouquine espionne. Elle avait beau être sexy, Harley avait encore un peu de mal à ne pas la voir comme une menace pour elles...

« Ha ça non ! Même dans ses rêves, c'est moi qui viendrais lui frapper son petit cul ! »

Elle n'en avait pas le pouvoir, mais elle espérait en tous cas que si jamais la rouquine russe rêvait de ce genre de chose, c'était Harley qui avait le beau rôle. Pas de souci pour se faire dominer par sa belle jardinière, pas question que la fenêtre noire la domine par contre. L'idée ne lui déplairait pas, mais Harley devait avant toute chose penser à Pamela. C'était sa fiancée et quelle fiancée elle ferait si elle passait au second plan ? Retournant s'attaquer à sa poitrine, elle tentait tant bien que mal de regarder sa Pamela et son joli minois qui se tordait de plaisir. Une chose simple, mais efficace.

« Tu es une vilaine petite rose, ce soir... Je devrais peut-être te punir ? Hmm, comme t'attacher.... pendant que je me fais plaisir à côté de toi... sans que tu ne puisses me goûter, me caresser ou te caresser... »

Pas sûr que ce soit Pamela qui craque la première, surtout qu'elle avait toujours le moyen de se libérer assez facilement avec l'aide de ses plantes, contrairement à Harley qui ne devait compter que sur sa force et deux ou trois petites astuces pioches ici et là. Elle retourna l'embrasser quelque peu avant de reprendre.

« Peut-être que je devrais te jouir sur le visage ? Hm ? Ça fait combien de temps que je ne t'ai pas arrosée, ma petite rose ? »

Le plus souvent, c'était sa belle tige qui avait droit de récolter sa cyprine, mais il est vrai que cela faisait aussi un petit moment qu'elles n'ont pas fait l'amour simplement comme deux femmes ? Était-ce le programme pour ce soir ? Peut-être bien que oui, ou alors non ? Harley avait tant d'envie que c'était dur de jongler avec autant de balles. Retournant sur ses seins, d'où perlait de fines gouttes de lait sur son mamelon, elle se régalait en passant déjà à autre chose. C'est Harley après tout.

« Mmmmmh... à quoi tu penses en me voyant boire ton lait-lait ? Haha... tu me prend déjà pour notre futur bébé ? Ou juste à moi, une gentille petite Harley qui boit le lait de maman Pam ? »

Ou qui sait, autre chose. Elle n'est pas dans sa tête après tout.

Faire l’amour comme deux femmes normales supposerait déjà qu’Ivy et Harley étaient des femmes normales… Ce qui n’était clairement pas le cas. La première était une mutante chlorophylle, et la seconde était une criminelle endurcie qui avait vu ses réflexes être augmentés sensiblement par les mutagènes d’Ivy. Dans une certaine mesure, aucune des deux n’était plus vraiment une humaine, et, pour autant qu’Ivy s’en rappelle, elle n’avait jamais fait l’amour « ordinairement » à Harley,. Elle pouvait certes se servir uniquement de ses doigts ou de sa langue, mais ses tentacules, d’une manière ou d’une autre, finissaient toujours par intervenir. Et ce n’était clairement pas ce soir, alors qu’elles avaient dû faire de l’abstinence sexuelle, qu’elles allaient se priver.

Devant elle, Harley jouait avec ses seins, envisageant différentes hypothèses, comme la frustration sexuelle, ce qui amusa doucement Ivy.

« Oh, si tu veux, Harley, mais ne propose pas des défis pour lesquels tu sais pertinemment que tu vas perdre avant moi… »

Ce n’était un secret pour personne. Harley était une jeune femme excentrique, toujours dans l’excès, dans l’exagération. Elle parlait fort, elle s’imposait, comme si elle était perpétuellement en quête d’émancipation et de reconnaissance depuis ses problèmes sentimentaux avec Le Joker. Ivy laissa donc Harley parler, tout en envisageant le bébé, et en retournant titiller son sein.

« N’oublie pas notre objectif, ma Harley… Je dois te pénétrer, encore et encore. Je dois jouir en toi, jusqu’à ce que ton corps finisse par s’adapter à mon sperme, et que tes petits ovules acceptent mes petits spermatozoïdes… »

Obtenir un bébé entre deux femmes relevait d’un sacré exploit. Un exploit rendu possible grâce à l’hermaphrodisme, qu’il soit magique ou technologique. Mais, même malgré cela, il était difficile pour une femme hermaphrodite d’en engrosser une autre. Le sperme était souvent incompatible, et nécessitait beaucoup de pratiques pour pouvoir féconder une partenaire, même en pleine période d’ovulation. Ivy caressa encore le visage d’Harley, et la déplaça sous elle, inversant les rôles. Harley put alors sentir la verge d’Ivy, qui se mit à pulser entre ses cuisses.

« Tant que mon spermatozoïde ne se sera pas niché dans l’une de tes ovules, Harley, tous les soirs, tu auras droit au même traitement… Bien sûr, cela n’exclue pas que nous nous amusions autrement, mais il faut au moins que je jouisse une fois… »

Tandis qu’elle parlait, sa main se posa sur sa queue, et elle l’enfonça entre les lèvres intimes d’Harley, la pénétrant brusquement. Un frisson traversa les deux femmes, et Ivy sentit avec plaisir les mains d’Harley jouer sur son corps, pressant sa chair.

« …En toi ! » poursuivit Ivy.

Un soupir la traversa quand son membre s’enfonça en elle. Ivy se pinça les lèvres, et continua à remuer amoureusement, se soulevant et s’abaissant, gémissant en la pénétrant. Ses mains se serrèrent ensuite sur les siennes, et, pendant plusieurs minutes, elle se contenta juste de la pénétrer, avant de se pencher vers elle, et de l’embrasser.

« Hmmm… Et… Haaaannn… Si nous allions pénétrer cette charmante Natalia ensemble après, hmm ? Que tu aies enfin l’occasion de crever l’abcès avec elle, hmmm… ? »

L’idée allait sûrement irriter Harley, mais c’était sûrement le meilleur moyen de mettre fin à la rivalité entre les deux femmes. Et Ivy n’était jamais contre une partie de sexe à plusieurs…

L'amour liait les deux femmes autant que pouvait le faire l'amitié. Après tout, au premier regard, ce n'avait pas été le coup de foudre pour elles, il y a eu d'abord l'amitié. Mais maintenant, laquelle des deux options étaient la plus haute ? C'est une bonne question. Harley continuait de jouer avec elle, se pressant contre son corps en le pressant, en venant jouer avec ses seins en se demandant bien à quoi elle pensait en la regardant faire ? Et qui sait, faire changer un peu de jeu à Pamela, mais ça n'avait pas eu cet effet même si pour le coup, effectivement, le jeu avait un peu changer. Car oui, Harley provoquait, mais côté défi, elle n'était pas la plus douée pour résister donc ce n'était pas forcément une bonne idée que de lancer ça en sachant qu'il y a neuf chances sur dix pour la voir perdre. Parlant donc de bébé, cela titillait la jolie plante qui venait à reprendre son rôle en main en inversant les rôles et entamant un petit mot pour lui dire rappeler que pour que leur projet de famille voit le jour, il fallait beaucoup pratiquer. Au moins une fois par jour, c'était le minimum syndical.

« Haaaaan ! Ma jolie fiancée. »

Si le mariage était prévu sans réelle date fixe pour le moment, le fait qu'elles soient fiancée, c'était vrai ça. Après leurs petites vacances à Novac, le duo s'était très rapproché à la façon des films de comédie romantiques avec les sorties au restaurant, les balades nocturnes, tout ça, tout ça. Donc, forcément, c'était officiel entre elles et tout allait bien se passer, c'est sûr. Ça devait en être ainsi. Si quelqu'un viendrait foutre sa merde à leur mariage ou le jour de leur mariage qui serait propice, pourquoi pas, à voir Darksied venir sur Terre ou Terra pour comme par hasard en faire un autre Apokolips ? Voir Zod débarquer avec une armée sortie de nul part de Kryptonien partageant ses idées ? Ou quoi encore ? Un Darksied bis, mais en violet qui aime claquer des doigts pour faire un joli cinquante/cinquante ? Il y avait tant de possibilités pour leur pourrir un si beau jour. Y a intérêt à ce que la Justice League soit très attentive à bien protéger le coin sinon, Harley allait piquer une crise comme jamais ils n'en auraient connue.

« Hmmmmm, continue, ma Pamy-chérie... Haaaan, mon amour. »

Ses mains se serraient aux siennes et prolongeaient ce long baiser qui ne faisait que se couper pour se reformer pendant qu'entre ses jambes, elle sentait sa virilité vivre en elle, avec ce mouvement si doux de va et viens en elle. Ce doux moment se prolongeait avec joie pour Harley qui était sur un petit nuage en étant si bien avec sa jolie plante. Il y avait tant de possibilités pour leur pourrir un si beau jour.

« Hmmm, arrête de parler d'elle... On ira la baiser après... pour le moment, tu t'occupes que de moi... encore... et encore... de moi... »

Elle dégageait ses mains pour attraper son visage et partager avec elle un long et passionner baiser qui durait le temps qu'il durait. En se fichant du temps, de la situation, c'était un moment rien que pour elle. Et quand ce baiser pris fin, Harley mis sa condition en avant.

« On quittera notre chambre, han... que quand tu m'auras entièrement... hum... remplis... Pas avant. »

Quand elle disait ça, elle parlait de son utérus, elle voulait que les prochains orgasmes de Pamela ne servent à rien si ce n'est la faire déborder de sa semence. Quand ce sera fait, elle pourra faire d'elle son égal pour aller lui régler son compte à la rouquine russe, pas avant. Harley reprenait le baiser, profitant de ses bras pour l'enlacer, sans vouloir la lâcher de sitôt.

Quand Pamela Isley était devenue la puissante Poison Ivy, elle avait embrassé sa nouvelle existence, celle d’une femme vénéneuse et sensuelle. Sa transformation avait aussi réveillé sa libido, et, bien qu’elle soit une tueuse, elle aimait faire l’amour avec ses proies, séduire les hommes, obtenir leur fortune, puis les tuer ensuite. Elle obtenait ainsi des testaments qu’elle faisait avaliser auprès d’un avocat de Gotham, puis provoquait ensuite le décès de son partenaire avec ses toxines. Une combine très efficace, car, à l’époque, personne n’avait pu remonter jusqu’à elle. L’inspecteur Harvey Bullock bandait devant elle, et les avocats qu’elle allait voir rêvaient de l’embrasser. Ses toxines étaient redoutables, et mêmes les femmes y étaient sensibles. Initialement, elle ne visait que les mauvaises personnes, les hommes d’affaires faisant partie de firmes peu respectueuses de l’environnement, des banquiers, des traders… Elle leur offrait la plus belle mort dont on puisse rêver, entre ses cuisses chaudes. Il avait fallu toute la sagacité d’un Batman pour faire le lien entre ces morts accidentelles, et pour l’arrêter.

Maintenant, Ivy était beaucoup moins cruelle, dans le sens où, si elle continuait à séduire des hommes, elle ne les tuait pas. Elle en faisait ses esclaves, et séduisait aussi leurs femmes, évitant ainsi toute complication. Eux étaient rêvés de financer ses recherches, l’entretien de son manoir, ou juste de la servir. Avec le temps, avec la découverte de Terra, Ivy avait sensiblement affiné ses techniques, perfectionné ses phéromones. Lui résister devenait très difficile, sauf quand on s’appelait Batman. Elle était ainsi devenue potentiellement très riche, mais, peu importe les gens qu’elle séduisait, mais Harley restait le phare de sa vie, son horizon, son fruit magique.

Elle l’embrassa donc à nouveau, longuement, Harley ne voulant plus qu’elle parle de Black Widow, mais qu’elle s’occupe uniquement d’elle, qu’elle la remplisse à ras bord. C’était amplement suffisant pour Pamela, qui soupira doucement, sa bouche se collant longuement et sensuellement contre la sienne.

« Hmmm… !! »

Harley avait raison, bien sûr, et, quand Ivy rompit le baiser, elle lui sourit doucement, et déposa un baiser sur son front.

« Ouii, hmmm… Tu… Tu as raison, Ha-Harley, hmmm… Oh, tu es si belle, ma chérie… »

Oui, Ivy avait bien changé. Cela, elle le devait à l’atmosphère plus apaisée de Yoake, mais aussi à Harley, tout simplement… Et, dans une certaine mesure, à tous les élèves qu’elle côtoyait au lycée. Il était finalement bien plus productif pour Ivy d’opter pour l’éducation plutôt que pour le terrorisme. Remuant dans le corps de son beau clown, elle l’embrassa sur les lèvres, encore, puis mordilla son cou. Le corps d’Harley se frottait contre le sien, et Pamela gémit à nouveau.

« Hmmm… »

Pas de Widow, donc, seulement une femme qui prenait Harley en position du missionnaire.

« Quand on aura joui, hmmm… Je te prendrais à quatre pattes, ma belle… Tu vas avoir droit… Haaaa… À tes fe-Fessées… !! »

À moins qu’Harley ne veuille se rebeller après leur premier orgasme pour s’empaler sur elle ? Depuis leur séjour au Paradisio Hotel, les deux femmes s’étaient rapprochées, mais Harley avait aussi gagné en autonomie, et en perversion. C’était quelque chose d’assez surprenant pour Ivy… Mais qui n’était nullement déplaisant, bien au contraire !

Black Widow n'était pas la priorité d'Harley, ça, non. Sa Pamela était tout en haut du podium, très très haut même. Depuis leur petit voyage à Novac, elles s'étaient fiancée et prévoyait de fonder une famille donc il fallait au moins mettre les bouchées doubles pour y arriver. Elle ne savait pas à quel point cela pourrait être long de réussir à la mettre enceinte mais il fallait essayer pour y arriver après tout. L'arlequin était très partante pour qu'elles essaient encore et encore. Donc oui, si elles sont restées sages toute la journée, là, il fallait en profiter ! Et du coup, si elles devaient s'amuser avec l'autre rouquine, ce ne sera qu'une fois son vagin bien remplit. Après tout, inutile de le remplir même quand ça déborde. On ne continue pas de remplir sa voiture quand ça déborde, c'est que ça coûte chez l'essence. Bah là, pareil. Non pas que Pamela lui versait de l'essence, mais vous avez saisi l'image.

« T'arrêtes pas, chérie... Ta Harley est pas encore, hum... loin d'être fatiguée. »

Cela continuait pendant que Pamela la prenait avec amour, sa queue toujours en elle, avec cette noble mission de la mettre enceinte. C'était une chose qu'Harley voulait, mais il faut être sincère un instant, qu'elle redoutait aussi. Bien sûr, avoir des enfants avec Pamela, elle le voulait. Mais enceinte, ça voulait dire rester sage neuf mois minimum... Harley. Sage. Pendant neuf mois ? Oui, là, l'image à du mal à se fabriquer toute seule dans la tête. Déjà que rester, une semaine, tranquille sans donner une petite correction ou deux à des sales types dans le coin, c'était dur alors neuf mois, ça risque d'être une sacrée épreuve ! Pamela risque fort de l'attacher au lit façon exorciste au début, car Harley pouvait être sage, mais elle n'était pas du genre à rester à la maison à tricoter, elle veut de l'action! Beaucoup ! Pour Harley, faut que ce soit l'équivalent de trois Micheal Bay ! Ça explose de partout !!! Là, c'est une bonne sortie. Après tout, supporter une femme enceinte n'est pas facile parfois pour le conjoint, les sauts d'humeurs, les hormones, Pamela va avoir droit à un petit supplément avec Harley.

Ses jambes étaient dignes d'Harley, tantôt tendu bien droit tant, le plaisir était si bon, tantôt bien fermé autour de sa taille pour ne lui laisser aucune chance de filer. Ça variait, beaucoup. Mais pour le moment, elle serrait, elle ne comptait pas laisser Pamela s'enfuir voir l'autre rouquine. Pamela était à elle. Et en tant que fiancée et future mère de son bébé, elle avait le devoir de la remplir.

« Allez, mon amour... Baise-moi comme il faut... hmmmm... Plante ta petite graine en moi... après... tu pourras m'arroser tous les jours. »

Libre à elle de penser de quelle façon, elle allait l'arroser, c'était elle qui savait comment bien arroser une plante et de quelle façon. Pamela était toujours aussi belle et ravie de prendre soin d'Harley, même si après cela, elle avait quelques envies de fesser son joli cul, Harley pouvait la laisser faire. À une condition !

« Mmmmh, fesse-moi après si tu veux... Tant que tu me remplis la chatte, han, je veux bien être une vilaine fille ! »

Son corps continuait de remuer sous le sien, sa belle jardinière ne manquait pas de bien s'occuper de son corps parfait, et ce, jusqu'à l'orgasme où ses jambes refusaient de se dessouder. Elle ne quittera pas son antre jusqu'à ce que la dernière goutte soit en elle. L'occasion aussi d'un peu plus de douceur. Tendant ses bras vers elle pour l'embrasser tendrement en gloussant avec elle. Son corps chaud contre le sien, ses lèvres contre les siennes, sa langue dansant avec la sienne.

« Hahaha.... Je suis sûr qu'elle nous a entendue... Et qu'elle meuuuuurrt d'envie de jeter un œil dans notre chambre... Mais elle nous a empêcher de nous réveiller tranquillement alors elle va attendre... Tu t'occupes de ta Harley d'amour, après, on va la punir. On va lui montrer, ce que c'est que deux Gothamienne pure souche. »

Se lovant contre elle, caressant ses joues, ses cheveux, Harley se montrant sous les traits d'un gentil chaton, bien qu'avec elle, ça pouvait vite basculer dans le sens inverse.

« N'oublie pas notre petit rituel... il faut le bisou magique pour que Bébé puisse s'installer et se mettre à pousser. »

Un petit rituel qui était juste là pour la forme, comme le bisou du soir à un enfant avant de dormir. Il ne va pas en mourir s'il en est privée mais c'est toujours agréable pour les parents comme pour l'enfant. Maintenant, Harley attendait son petit bisou sur son petit ventre.

Harley et Ivy menaient une vie intime très fusionnelle et très intense. Depuis leur séjour au Paradisio Hotel de Novac, les deux avaient décidé d’assumer pleinement leur romance, de procéder à un mariage, et de fonder une famille. Elles mettaient désormais tout en œuvre, et il ne se passait pas une journée sans qu’Ivy ne vienne baiser sa fiancée. Harley se sentait pleinement revivre, pouvant enfin accomplir son plus grand rêve, celui de porter un bébé. Ivy était sûre que c’était imminent. Tous les tests qu’elle faisait montraient que ses spermatozoïdes tendaient à s’adapter de plus en plus. Elle avait déjà fécondé plusieurs ovules d’Harley, mais les ovules ne tenaient jamais, repoussant le spermatozoïde… Mais, plus le temps passait, et plus l’ovule s’adaptait. Chaque tentative ne faisait que renforcer la détermination d’Ivy, qui prenait sa femme (car elle la considérait déjà ainsi) en missionnaire.

Celle-ci se collait à elle, tandis que des tentacules s’enroulaient ici et là autour du corps et des membres d’Harley. Ils venaient presque naturellement, comme une sorte de pack inclus avec le corps de Poison Ivy. Bien sûr, les deux femmes comptaient s’occuper ensuite de Black Widow. Dans leur couple très intense, il y avait toujours une place pour d’autres personnes. Avant de partir pour ce long voyage, elles avaient toutes les deux très longuement et très intensivement baisé Chloé. La pauvre en avait fini presque comateuse, mais c’était aussi une bonne manière de lui dire momentanément au revoir.

« Hmmm… »

Harley retourna embrasser Ivy, apposant sensuellement et longuement ses lèvres contre les siennes. Un baiser plein d’affection tandis qu’elle releva ses jambes, et les croisa dans le dos de sa partenaire, l’immobilisant ainsi contre elle. De cette manière, il était impossible pour Ivy de se retirer du corps d’Harley sans jouir en elle. Elle continuait donc à la pénétrer, plus fortement, soupirant contre elle, gémissant fortement. Les deux femmes se frottaient l’une à l’autre, et la queue d’Ivy gonflait dans la chatte d’Harley, celle-ci continuant à la prendre.

Le lit grinçait doucement, et elle se délectait des soupirs d’Harley. Ivy rompit le baiser pour frotter son nez contre sa joue.

« Oh, Harley… Mon beau petit clown… »

Et Ivy se mit à jouir, après cette brève déclaration. Son corps se crispa, et, dans un soupir, tous ses muscles se détendirent. Poison Ivy s’abandonna ensuite, se mettant à jouir généreusement, par à-coups successifs. Elle sentait son corps se vider progressivement, tandis que sa queue tressautait sur place. Un orgasme magnifique, où elle se relâcha copieusement, pendant de nombreuses secondes. Tout son corps se relâcha ensuite, et elle s’affala contre Harley, après ce long orgasme, cette jouissance délicieuse.

« Hmmm… Haaaann, Harley… »

Ivy reprit doucement son souffle, et tout en se lovant contre Harley, celle-ci décroisa progressivement les jambes, et réclama alors son petit rituel. Pamela sourit alors, et se redressa lentement.

« Oui… Bien sûr, mon amour. »

Pamela l’embrassa brièvement sur la bouche, puis descendit vers son ventre. Les tentacules s’enroulaient toujours autour des membres d’Harley, mais sans chercher à l’immobiliser. Pamela déposa alors une série de baisers sur son ventre, autour de son nombril, et lécha finalement ce dernier. Elle apposa ensuite sa tête sur son ventre, soupirant lentement.

« Bientôt, Harley… Bientôt, je sentirai la vie battre là… »

Une délicieuse perspective, non ? Elle se releva ensuite. Au passage, elle avait récupéré un peu des fluides sexuels s’échappant de la chatte d’Harley, et, tout en se relevant, elle fourra, l’un après l’autre, ses doigts dans la bouche d’Harley

« Alors, Chef, quelle est la suite du programme ? Je t’avoue que, après l’abstinence que nous avons vécues ensemble, je n’ai aucune envie de dormir… Est-ce que je continue à te baiser ? Ou est-ce que tu préfères qu’on aille montrer à ta copine la grande force de notre amour, hm ? »

Dans tous les cas, le repos n’était pas à l’ordre du jour !

Sacrée soirée ! Harley avait dû se retenir et se tenir à carreau depuis ce matin, leur mission spéciale en Russie, ce n'était pas de la tarte ! L'arlequin voulait bien accepter certaines missions, mais parfois, se tenir un peu trop sagement, ça lui bouffait le cerveau ! Heureusement, Ivy savait comment la soulager sans forcément aller piquer un tank dans le coin et commencer à détruire tout ce qui ressemble à une cible de près comme de loin. Et dans cette chambre, autant dire que ça sentait bon la luxure. Le sexe à l'état sauvage saupoudré quand même d'une pointe de romantisme. Dorénavant, évoquez leur futur statut de femme mariée, de bébé, ça servait à leur mettre des étoiles dans les yeux et se sentir soudainement toute choses et avec une grosse envie de câlin. Harley comme Pamela savait utiliser de cela, en abusant sans honte mais après tout, c'était toujours un petit plus que d'entendre ce genre de choses. À chaque fois Harley se demandait si le bébé sera plus comme elle ou comme Pamela ? Une rouquine un peu fofolle ? Une petite blonde studieuse ? Des jumelles ? Ou même un petit gars, ça n'empêchait pas le fait qu'Harley se demanderais s'il serait plus comme elle ou comme Pam.

« Mmmmhh, ouh, Paaaaam... »

Maintenant son petit ventre remplit de sa semence bien chaude et qui sait, féconde – c'est peut-être une question de température la chose qui manquait aux expériences de Pamela ? – Harley réclamait ce qui était désormais leur petite tradition après un coït de ce genre. Que sa jolie rouquine vienne parler à son – futur – bébé afin que ses ovules se mettent au travail avec la semence de Poison Ivy afin d'avoir une bonne nouvelle à annoncer.

« Bientôt, oui... Nous aurons notre bébé... Mais avant ça, tu devras me supporter, moi et mes envies loufoques ! »

Les fameuses envies de femmes enceintes. Quoique pour elle, Pamela était déjà bien préparer, elle n'avait pas besoin de se sentir enceinte pour qu'Harley ai envie de commander une pizza à trois heures du matin ou des fraises couvertes de chantilly. Venant sucer les doigts de sa jolie femme – elle aussi se voyait déjà avec la bague au doigt – elle gloussait en se demandant que choisir ? Continuer leur petit jeu ou taquiner l'autre rouquine qui se prenait un peu trop pour la chef ?

« Mmmh et pourquoi pas mélanger les deux ? Tu la retiens prisonnière pendant que tu me prends littéralement sur elle ? »

Après tout, ça lui apprendra un peu le respect, dont celui de se glisser chez les gens tout comme celui de les déranger si tôt le matin. De plus, avec les spores de Pamela, elle devait être toute chose et il sera plus simple de la maîtriser. Reste à savoir comment ça va vraiment se passer ? Se redressant, Harley quitta la chambre sans se vêtir, après tout, cet hôtel était sûrement devenue un vrai baisodrome donc bon... Elle forçait la porte de la rouquine russe avec un large sourire. En d'autres circonstances, elle aurait pu avoir son maillet géant sur l'épaule pour l'impressionner mais là, à part sa nudité, elle n'avait rien pour l'impressionné mais ça n'empêchait pas Harley de poser, les poings posé sur les hanches en observant l'espionne.

« Désolé de déranger... Qu'est-ce que je raconte, pas désolé ! On est là pour te montrer comment on est bien éduqué à Gotham. Pam, utilise l'attaque étreinte de liane ! »

Était-ce sa femme ou bien un pokemon ? Vous avez deux heures. En tout cas, oui, il était temps que cette dernière ait une bonne leçon et apprenne qu'il ne faut pas déranger les gens tôt le matin, et encore moins fouiller dans leur affaire. Le doigt brandis vers la cible, elle attendait de voir comment elle allait réagir face à cela, tiens ?

Pamela et Harley venaient de faire l’amour, Ivy avait joui en elle, un délicieux orgasme. Est-ce que cela serait suffisant pour enfin féconder Harley ? Pamela le saurait d’ici quelques jours, probablement à la fin de leur aventure au col Dyatlov. Pour l’heure, d’autres pensées traversaient leurs esprits. Comme souvent, Harley laissait s’exprimer ses idées avec Pamela, et celles-ci concernaient leur guide. Black Widow. Une rouquine redoutable. Une super-espionne qui aurait pu les neutraliser toutes les deux. Pamela était curieuse de voir comment celle-ci réagirait à l’émission de ses spores. Une vigueur sexuelle sans pareille devait en ce moment traverser tout le personnel de l’hôtel. Pamela proposa donc d’alterner entre les deux, et suivant une idée fixe, sortit de la chambre… Les fesses à l’air.

« Harley ! »

Surprise, Pamela soupira doucement, restant couchée sur le lit… Puis se releva à son tour. Cependant, un peu plus pudique que sa chérie, elle s’habilla rapidement, recouvrant son corps d’un corset végétal et enfila une paire de longues bottes végétales. Ainsi prête, Poison Ivy fila dans le couloir, et rejoignit Harley, qui venait d’ouvrir la porte.

De l’autre côté, Black Widow était réveillée. Elle travaillait sur sa mission, et avait une carte sur le bureau, ainsi que des documents de mission… Mais, quand Harley entra, ce fut pour constater que Widow, aussi calme et maîtresse d’elle-même soit-elle, était… En manque. Un manque sexuel qui fit doucement sourire Harley.

« Que… Qu’est-ce que vous faites là ? » demanda Widow.

Pour seule réponse, Harley brandit le doigt vers Ivy, ordonnant à ivy d’attaquer. Celle-ci fronça les sourcils, puis sourit brièvement. La chambre comprenait plusieurs plantes vertes faisant office de décoration. Des tentacules en jaillirent alors, et Widow poussa un bref hurlement de surprise, avant que les tentacules ne l’attrapent. En quelques minutes, elle se retrouva avec les mains liées dans son dos, les tentacules la soulevant par la taille et par les jambes. Ses jambes étaient légèrement relevées, mais pliées au niveau des genoux, tandis qu’elle ne touchait même plus le sol, maintenue par des tentacules venant depuis le plafond.

Délicatement, Ivy referma la porte, et ses talons claquèrent sur le sol, tandis qu’elle posa sa main sur la hanche d’Harley, près de ses fesses, la maintenant lovée contre elle.

« Mais à quoi vous jouez ?!
-  Voyez-vous, Widow, Harley et moi sommes fiancées. Même si notre mariage ne sera pas reconnu au Japon, nous préparons notre mariage. Quand vous êtes venue avec vos amis du SHIELD chez nous, vous nous avez perturbé en plein préparatifs. Ce n’est pas très correct, et cela a fortement déplu à ma chérie. »

Ivy soupira encore, et se rapprocha encore de Widow. L’agente était très endurante, et un tentacule s’enroula autour de sa bouche, la réduisant au silence.

« Mais moi, je me dis qu’une espionne aussi belle que vous doit avoir des fantasmes cachés… Je vois que vous résistez plutôt bien à mes spores, mais je sens le désir croître en vous. Nous allons donc continuer notre nuit ‘amour ici, sous vos yeux.
-  Hmmm ! » rouspéta Widow.

Pamela gloussa doucement, et embrassa alors Pamela. Elle se pressa contre elle, l’enlaçant tendrement, et prolongea ensuite le baiser, fourrant sa langue dans sa bouche.

« Alors, ma chère Harley, comment veux-tu que je prenne ? » demanda Ivy sensuellement.

SI Harley devait aller taquiner une autre rouquine, soit. Mais elle comptait bien lui montrer que ce n'est pas parce qu'elle est Russe, qu'elles devaient la craindre. Débarquant donc dans sa chambre sans demander la moindre autorisation, Harley envoyait Pamela entortiller Balck Widow, et une fois cette dernière prisonnière, la fête pourra commencer. Après tout, Poison Ivy venait plus clairement donner la raison de leur venue ici, d'elle et ses petits camarades qui osent venir les déranger de bon matin. S'ils sont si bons espions, ils auraient sûr qu'à cette heure là, elles étaient encore au lit ! Réveillée, certes, mais au lit ! Elle avait beau résister pour le moment, ce n'était que temporaire face à sa belle plante. Elle la connaissait bien assez pour savoir ça. Acceptant avec plaisir son baiser, elle l'enlaçait en se blettissant contre son corps. Harley était déjà nu, pourquoi elle irait enfiler quelque chose pour changer de chambre ? Surtout qu'elle était juste à côté quoi.

« Eh bien ma chère femme, si je ne dis pas de bêtise, il me reste encore de la place pour contenir ton nectar alors... Faisons l'amour sur ce nouveau matelas venu de Russie. Il crisse un peu, mais il m'a l'air confortable. »

Dit-elle en tapotant le corps de Balck Widow avec sa main. Elle l'avait dit, elle voulait lui faire l'amour, littéralement sur elle. Les lianes de Pamela venaient la poser sur le lit, la gardant prisonnière en position étoile de mer. Une fois, leur lit prêt, Harley se positionna sur elle, sa tête se posant sur sa poitrine alors qu'elle tendait les bras vers la vraie rouquine qui faisait battre son cœur.

« Viens, chérie, on voir si notre nouveau matelas aide à mettre la machine en marche. »

Si c'est le cas, elles vont finir cette mission avec un enlèvement afin que leur nouveau matelas, plutôt confortable, il faut bien l'avouer, aide à ce qu'Harley puisse porter la vie en elle. Harley entourait Ivy de ses bras pour commencer simplement avec un câlin et un baiser. Pourquoi changer une équipe qui gagne ? C'était toujours agréable de sentir sa future femme l'embrasser avec ses lèvres, son corps se pressant contre le sien. Oui, c'était tellement bon et agréable.

« Ma chérie, montre donc à notre matelas ce qu'on était en train de faire pendant qu'elle nous a dérangé la dernière fois. »

Avant de la relâcher, elle retourna lui faire un baiser un peu plus fort.

« Fait le avec toute ta passion ! Que je laisse ma trace dans notre nouveau lit. »

Que Black Widow sache ce que donnait une Poison Ivy dominante et excitée. Cela donnait toujours un résultat des plus intéressant. Qui sait, Harley pourrait lui daigner lui faire plaisir si elle s'excuse vraiment... mais il était trop tôt pour dire pardon. Elle devait se faire prendre, avec passion ou avec violence, ça ne changeait pas grand-chose, par Pamela, sur le corps de leur collègue. On verra bien si elle viendra à nouveau les déranger de si bon matin après la petite punition préparé pour elle...