Des possibilités infinies s’offraient désormais à elles-mêmes. Comme Monsieur Jourdain découvrant qu’il faisait de la prose, Ai réalisait qu’elle faisait de la magie rose depuis longtemps. Ce don avait toujours été en elle, et s’était manifesté à travers cette belle verge tendue et explosive qu’elle portait en temps ordinaire. Edessa lui avait permis de mieux maîtriser ce sortilège d’hermaphrodisme en pouvant le rétracter, et ainsi prendre une forme purement féminine. Le résultat final était une pure réussite, qui ne pouvait que combler Mélinda. Elle se lovait donc tendrement contre sa partenaire, et, quand Ai demanda à ce qu’elle la caresse, la vampire sourit.
« Oh, mais c’est prévu, ma belle, je veux profiter du corps de ma poupée adorée… »
Souriant doucement, elle l’embrassa dans le creux du cou, et, dos à elle, elle promena sa main entre ses cuisses. Mélinda se montra alors un peu plus entreprenante, et commença à la masturber plus vigoureusement. Ses doigts s’enfoncèrent dans sa chatte, et son autre main s’appuya sur le cou de Ai.
La vampire enfonça deux doigts en elle, et continua à remuer, titillant sa chatte trempée. Elle était curieuse de voir jusqu’à quel point Ai allait se retenir, si son clitoris allait se déformer ou non.
Tout en la caressant, Mélinda vint lécher l’oreille de Ai-chan, qui put alors sentir pousser contre ses fesses la verge tendue de sa Maîtresse. L’excitation de Mélinda était palpable, suintante, évidente. Oh, comme elle aimait ça ! Frissonnant sur place, Mélinda remuait son bassin d’avant en arrière, frottant sa queue sur la guêpière rose de sa partenaire, l’enfonçant sur ses délicieuses fesses. Un message limpide sur ce qui allait suivre, même si Mélinda comptait prendre tout son temps. Rien ne pressait, et elle avait très envie de parcourir le corps entièrement féminin de Ai-chan ! Souriant doucement, elle lécha son lobe de l’oreille, avant de le mordiller tendrement.
« Ta chatte est toute humide… Maintenant que tu peux faire ça, Ai-chan, tu te rapproches du jour où ta Maîtresse plantera sa graine en toi… »
Maintenant que Ai pouvait mettre ses partenaires enceinte, elle ne se privait pas de le faire ! Après tout, elle attendait cela depuis des siècles !
« Tu aimes sentir mes doigts en toi, hein ? Ma chère Ai-chan… Tu porteras toutes les tenues que tu veux, je veux que tu sois belle tous les jours… Comme si tu étais ma mascotte. »
Mélinda sourit encore, et fit tourner la tête de Ai, pour partager avec elle un baiser sensuel et énergique, où elle enfonça sa langue dans la bouche de sa belle partenaire…
« Oh, mais c’est prévu, ma belle, je veux profiter du corps de ma poupée adorée… »
Souriant doucement, elle l’embrassa dans le creux du cou, et, dos à elle, elle promena sa main entre ses cuisses. Mélinda se montra alors un peu plus entreprenante, et commença à la masturber plus vigoureusement. Ses doigts s’enfoncèrent dans sa chatte, et son autre main s’appuya sur le cou de Ai.
La vampire enfonça deux doigts en elle, et continua à remuer, titillant sa chatte trempée. Elle était curieuse de voir jusqu’à quel point Ai allait se retenir, si son clitoris allait se déformer ou non.
Tout en la caressant, Mélinda vint lécher l’oreille de Ai-chan, qui put alors sentir pousser contre ses fesses la verge tendue de sa Maîtresse. L’excitation de Mélinda était palpable, suintante, évidente. Oh, comme elle aimait ça ! Frissonnant sur place, Mélinda remuait son bassin d’avant en arrière, frottant sa queue sur la guêpière rose de sa partenaire, l’enfonçant sur ses délicieuses fesses. Un message limpide sur ce qui allait suivre, même si Mélinda comptait prendre tout son temps. Rien ne pressait, et elle avait très envie de parcourir le corps entièrement féminin de Ai-chan ! Souriant doucement, elle lécha son lobe de l’oreille, avant de le mordiller tendrement.
« Ta chatte est toute humide… Maintenant que tu peux faire ça, Ai-chan, tu te rapproches du jour où ta Maîtresse plantera sa graine en toi… »
Maintenant que Ai pouvait mettre ses partenaires enceinte, elle ne se privait pas de le faire ! Après tout, elle attendait cela depuis des siècles !
« Tu aimes sentir mes doigts en toi, hein ? Ma chère Ai-chan… Tu porteras toutes les tenues que tu veux, je veux que tu sois belle tous les jours… Comme si tu étais ma mascotte. »
Mélinda sourit encore, et fit tourner la tête de Ai, pour partager avec elle un baiser sensuel et énergique, où elle enfonça sa langue dans la bouche de sa belle partenaire…