The Multiversity

Mélinda avait des tas d'esclaves sous ses ordres, rien que dans cette ville et les Uzaki, ce n'étaient pas forcément ses favoris, car c'était injuste d'en mettre certains plus haut que d'autre, mais si elle devait au moins juger par leur poitrine... oh oui, elles étaient sur le haut du panier ! Mère et filles étaient très bien loties de ce côté, même si ça pouvait paraître un peu étrange vu leur petite taille – même pour des Japonaises – mais c'est ainsi, les filles Uzaki sont plutôt petites dans la famille. Mais ce n'était en rien un souci pour Mélinda qui profitait simplement de ses esclaves et chacune était ravie de servir cette femme. Personne n'avait honte, certes, ce n'est pas le genre de chose que l'on précise lorsqu'on rencontre un inconnu, mais, ayant de nombreuses connaissances dans la même situation, c'était plus simple a vivre. Comme toujours, Hana et Yanagi profitaient du lait de leur mère, elles avaient beau savoir que ce n'était pas le genre de chose que des filles de leur âge faisaient encore, c'était une tradition qui semblait portée ses fruits. Téter sa mère, ça laisse la poitrine de maman encore bien ferme et les filles ont des seins plus gros que la moyenne. Si leur taille est plus petite que la moyenne Japonaise, leur tour de poitrine explose la moyenne Japonaise !

Yanagi avait hâte de découvrir le sexe avec sa maîtresse, elle n'était pas si inculte, avec sa mère et sa sœur, elles a eut de nombreux orgasmes même si il n'y a eu aucune pénétration, elles se contentaient de plaisir saphique, mais c'était tout aussi bien comme ça. La vampire préparait le terrain, donnait un collier, laisse et cloche à ses petites vaches avant de prendre Hana sous son aile. La jolie vampire voulait sa savoir plus après avoir joué avec ses seins. Sa queue tendue, elle allait lui faire l'amour, voulant savoir une de ses dernières aventures du lycée. Oh oui, elle n'était pas bien grande, mais elle était prête à défendre autrui. Elle ne manquait pas d'amis, que ce soit du cercle de Mélinda ou au pire, il y a toujours de beaux garçons – ou des filles parfois – pour l'aider et Hana savait les remercier à sa façon.

« Mmmmh, c'est rien, Maîtresse... J'ai juste aidé pour pas que ça continue... Tu sais, ha, j'ai pas peur des gens et au pire... Je manque pas d'amis pour me défendre. »

Chez Mélinda, on s'entraidait. Itsuki qui était au BDE n'aurait pas tardé à l'aider si elle aurait eu vent de cela, où Yotsuba, la sportive du groupe n'aurait pas eut peur de montrer sa force de combat pour aider Hana. Bref, quand on était dans le clan de Mélinda, on ne craignait pas grand-monde au lycée, même si la vampire n'avait pas tout le monde dans sa poche comme les Morimoto ont aussi une belle part d'élèves dans leur poche mais qu'Hana aurait été en danger, ça aurait été surprenant. Se laissant doucement baiser, Yanagi approchait de sa maîtresse, se penchant vers elle pour venir lui lécher l'anus. Sa petite langue glissa dans son fondement pendant que la vampire embrassait sa grande sœur. Hana se laissait faire, sous les yeux de sa mère qui se touchait sous cette scène pleine d'amour. Le baiser terminé pour le moment, Hana tremblait doucement d'excitation.

« Mmmh haaaan, Maîtresse~ Mmmmh, vous voulez finir en moi... ou bien je devrais vous branler avec mes seins ? »

La cravate de notaire, inutile de dire que chez les Uzaki – hormis Yanagi pour le moment – c'était un plaisir des plus délicieux. Une queue dans une telle poitrine, elle se noyait de bonheur. Elle avait conscience que ce n'était qu'un petit encas avant leur véritable soirée, plus tard, mais autant en profiter un maximum, non ?

Mélinda allait se faire plaisir, c’était sûr. Elle avait l’occasion de jouer avec les trois Uzaki, et c’était quelque chose qu’elle comptait faire en prenant tout son temps. Couchée sur Hana-chan, Mélinda se mit à la pénétrer doucement, avec cette passion et cet engouement dont elle savait faire preuve. Dans son dos, Yanagi-chan se mit en position, et posa ses petites mains sur les fesses de sa Maîtresse. Mélinda soupira doucement à ce contact, rappelant à chacune combien leur Maîtresse aimait les contacts anaux. Si Mélinda adorait s’attaquer à des culs, elle aimait aussi beaucoup l’inverse, à savoir qu’on s’occupe du sien. Yanagi-chan malaxa ses délicieuses fesses, et, de son côté, Hana-chan, entre deux soupirs, lui expliqua qu’elle n’avait pas fait grand-chose.

« Hmmm… Quelle humilité, ma Hana-chan… »

Mélinda l’embrassa sur les lèvres, et commença à remuer, amplifiant le rythme. Elle frémit lorsqu’elle sentit la langue de Yanagi-chan se faufiler dans son fondement, titillant sa porte arrière, remuant longuement. Concentrée, Yanagi-chan vouilait faire de son mieux, et c’était quelque chose d’admirable, que Mélinda ne pouvait qu’approuver. La vampire sentit sa verge se durcir, tandis que, entre deux soupirs, Hana-chan lui demanda si elle souhaitait jouir en elle, ou contre ses seins. La vampire sourit doucement devant cette proposition audacieuse, tendancieuse, qui ne faisait que confirmer la perversité de sa partenaire. Mélinda les avait bien éduqués ! Le mérite en revenait aussi et surtout à leur mère, mais, sans Mélinda,  Tsuki-chan n’aurait jamais eu ses enfants. Mélinda hocha la tête, et recula, avant de s’enfoncer encore, adaptant petit à petit son rythme, qui devait perturber Yanagi-chan… Mais la priorité restait après tout de satisfaire sa partenaire de devant !

La vampire soupira doucement, continuant à prendre Hana-chan.

« Je vais… Jouir en toi, hmmm… Te remplir, puis… Tu me nettoieras avec tes seins… Tes jolis seins de salope, haaaa… »

Chez Mélinda, le langage fleuri était souvent de rigueur. Elle pouvait se montrer plus douce selon ses partenaires, mais, avec les Uzaki, Mélinda avait de la marge ! Sa verge s’enfonçait dans la chatte trempée de la jeune femme, et elle continuait à la prendre, remuant plus énergiquement, grognant et gémissant, tout en l’embrassant.

« Relève-toi, Yanagi-chan ! Regarde ta sœur pendant qu’elle jouit… Embrasse-là, je veux que tu vois le plaisir irradier sur son visage ! »

L’objectif de cette soirée était de dépuceler Yanagi-chan, et, même si Mélinda se doutait que Yanagi-chan avait déjà vu ce genre de choses, il était toujours bon de la plonger dans le moment, de lui montrer ce qu’elle allait subir… Car Mélinda remuait encore, sentant que Hana-chan approchait de l’orgasme. Yanagi-chan s’allongea à côté de Mélinda, et la vampire déplaça l’une de ses mains, qu’elle utilisa pour caresser le dos de sa partenaire, jusqu’à empoigner l’une de ses fesses.

« Embrasse-là… Embrasse ta sœur… Montrez-moi votre affection mutuelle, mes chéries ! »

Avec Mélinda, le sexe battait toujours son plein, Tsuki a toujours connu ça et si pendant un temps, ses enfants étaient un bouclier pour ne pas pervertir leur regard, il suffisait de les confier quelque temps à l'une des nounous de la maison pour partager cela avec elle. Même Yanagi, bien qu'elle soit toujours vierge, elle a connue plus d'une fois l'orgasme entre les mains de sa sœur et de sa mère, prenant goût aux plaisirs saphiques, elle n'était pas si prude que ça ! En même temps, les Uzaki n'avaient pas à en rougir, elles faisaient tout pour plaire à leur maîtresse, si Tsuki a été éduquée comme ça à leur âge environ, elles, elles ont grandi comme ça, même si au début, c'était plus Tata Mélinda que Maîtresse, les noms changent, mais c'est tout. La vampire se faisait plaisir en utilisant le corps d'Hana, elle tenait de sa mère à son âge, moins prude qu'elle, sa belle poitrine rebondissait sous les assauts de sa maîtresse, elle était promise à un bel avenir vu comment elle savait user de son corps. Yanagi avait un rôle plus passif en venant lécher la rondelle de sa maîtresse, cela ne lui déplaisait pas, elle aimait bien. Puis Maman observait tout cela, sa maîtresse qui jouait avec ses filles, c'était mignon. Elle mouillait en silence en observant tout cela, se caressant gentiment devant ce tableau.

Suite à la demande Mélinda, la cadette rejoignait sa grande sœur, elles étaient presque jumelles. Cela se voyait peu, mais elle avait une poitrine un poil moins gros que sa sœur, là où son cul était un poil meilleur. Il fallait vraiment être tatillon pour repérer cela et juger. Un corps un peu plus mince, étant un peu plus jeune, et bien sûr, une coupe différente. Toutes les deux seront de redoutable armes pour Mélinda, si jamais elle aurait besoin de leurs charmes. Petites en tailles – même pour une Japonaise – mais une poitrine à faire rougir celles qui dépensent des milliers de Yens pour avoir quelque chose qui n'est pas aussi beau et surtout naturel. Près de sa sœur, elle se lovait en venant l'embrasser, sans timidité ou autre. Cela était aussi naturel pour elles que de se tenir la main. Sous le regard de la vampire, les deux sœurs se livraient à un acte incestueux mais aussi beau que magnifique. Hana remuait sous l'assaut de sa maîtresse, sa petite sœur caressait l'un de ses seins, tout comme sa maîtresse pressait l'une de ses fesses.

« Mmmmh han~Maîtresse... J'ai hâte que vous me baisiez ! »

Elle avait assisté au dépucelage d'Hana, elle avait vu de nombreuses fois, sa mère ou sa sœur se faire baiser par elle en rentrant à la maison ou en venant ici, c'était bientôt son tour à présent !

Les Uzaki savaient combien leur Maîtresse aimait l’inceste. C’était son petit péché mignon, et elle aimait l’idée d’une union sexuelle et sanguine… Comme une déformation de sa nature vampirique. Pour elle, vampire, rien n’était plus important que le lien du sang. Alors, il était normal qu’elle cultive ce lien, et qu’elle encourage les liens familiaux. Quand elle asservissait une esclave, elle se demandait toujours si elle ne pouvait pas étendre son influence aux autres membres de la famille. Les Uzaki étaient différentes, car Tsuki-chan était déjà son esclave quand elle avait donné naissance à Hana-chan et à Yanagi-chan. Elles avaient été élevées dans cette perspective, et Mélinda avait toujours pris soin d’elles. Elle les regarda donc s’embrasser, puis sourit ensuite quand Yanagi-chan se montra vulgaire. Elle se pencha vers elle, et la coucha sur le dos, puis s’allongea contre elle.

« Et bien, ma petite Yanagi-chan, tu es bien vulgaire… Je n’ose imaginer que tu aies pu apprendre de si vilains mots auprès de ma Tsuki-chan… »

Mélinda lui sourit, et l’embrassa tendrement.

« Mais je crois effectivement que tu as assez attendu, Yanagi-chan… »

Tout en disant cela, Mélinda venait de se concentrer, et sa verge se déploya, caressant le corps de Yanagi-chan. Elle remuait sur elle, d’avant en arrière, se frottant à son corps, s’y masturbant avec envie.

« Tu es prête, ma chérie ? »

Le ton avait changé. Cette fois, les choses sérieuses allaient commencer. Mélinda laissa Hana-chan et Tsuki-chan se positionner, afin d’encourager Yanagi-chan, de lui montrer qu’elles étaient là pour l’accompagner… Et pour donner son feu vert à la première fois de Yanagi-chan !

Les Uzaki n'étaient pas comme toutes les familles, en dehors de leur tour de poitrine très en avance, l'inceste n'a jamais été un tabou. Tsuki leur a appris tôt à ne pas en parler en dehors de la maison ou de chez Mélinda, mais sinon, c'est fou comme l'inceste ouvrait de bonnes relations. Comme toutes les familles et enfants, les sœurs se sont chamailler mais en grandissant, cela arrivait de moins en moins, même si elle trouvait souvent l'une de ses filles dans le lit de sa sœur ou le siens, ça arrivait qu'elle laisse sa fille utiliser le vibro sur elle ou alors, qu'elle y aille avec sa langue, entre ses cuisses ou sur sa poitrine. Depuis le premier jour de leur vie, Hana et Yanagi ont bu son lait, sans honte, sans crainte, c'était comme une habitude à présent. Mais aujourd'hui, son petit bébé allait passer au stade au-dessus, ce qui voulait dire aussi qu'à la maison, elles pourront toutes les deux jouer ensemble à ça, ou avec leur maman. Gentille comme tout, elle laissera ses deux grandes filles la prendre pour se détendre un peu, ça lui fera bien plaisir de recevoir tout leur amour.

Face aux mots de Yanagi, Mélinda s'en amusait, consciente que Tsuki ne lui avait pas appris ça. Mais c'était de son âge, elle a dû voir certaines choses sur Internet, ou des amies ici lui en ont parlé. Peut-être que Mélinda aimait ça en réalité et que Yanagi a voulu savoir comment lui faire plaisir ? Tsuki n'était en rien coupable, certes, mais était-ce vraiment important ? S'allongeant sur le ventre, elle sentait l'épaisse verge de Mélinda frotter contre ses fesses, si elle voulait se masturber ainsi, elle était d'accord, mais la vampire voudrait bien plus que cela, c'était une évidence.

« Oh, Tata Mélinda va me donner mon cadeau ? »

Tout naturellement, Tsuki et Hana venaient s'allonger à côté de Yanagi, retirant ce qui était nécessaire pour dévoiler leurs jolies fesses, comme ça, sans privée Yanagi de son cadeau, si Maîtresse voulait user de ses doigts entre leur cuisses ou de leurs fesses, c'était tout à faire possible.

« Mon bébé va devenir une grande fille. Comme pour nous, Maîtresse va être ta première fois. »
« Maintenant, tu pourras jouer avec nous à la maison si t'en as envie. »

Entre elles ou quand leur père revenait à la maison aussi, Yanagi ne sera plus cantonné aux plaisirs saphiques ou aux choses plutôt soft, elle pourra tout faire ! Même si elle devrait s'habituer à certaines choses aussi. Mélinda avait une très belle vue devant elle, trois belles vachettes, devant comme derrière, elles étaient bien fourni – même si évidemment, c'était leur belle poitrine qui était le plus visible – et à présent, la vampire devait remplir son devoir de Maîtresse.

« Tata, fais de moi une de tes amantes~ »

Comme c'était le cas de toutes ses esclaves ici, peu importe qu'on soit proche ou nouvelle venue, tout le monde était une amante de Mélinda au final.

Pour Yanagi-chan, l’heure était venue ! Mélinda sourit doucement en se pinçant les lèvres, Tsuki-chan et Hana-chan s’allongeant à droite et à gauche de Yanagi-chan. C’était quelque chose d’intime, et elles voulaient être là pour y assister, pour graver ce moment dans leur mémoire. Mélinda les observa encore, sa verge durcie caressant les cuisses de Yanagi-chan. Comme Tsuki-chan, elles l’appelaient « Tata ». Mélinda aurait pu s’en formaliser, mais elle savait que ce n’était qu’une tournure de phrase. Après tout, elle avait été là depuis leur plus tendre enfance, alors elle acceptait ce rôle de « tata ». Et puis, elle trouvait ça assez mignon. Les mains de Tsuki-chan et Hana-chan caressaient les cuisses de Yanagi-chan, écartant également ses jambes. Mélinda se rapprocha d’elle, et se pencha en avant. Elle s’allongea ainsi sur le corps de la belle Yanagi-chan, et l’embrassa à nouveau, tandis que son membre durci caressait son bassin, frottant contre ses lèvres intimes, qui commençaient déjà à s’humidifier.

« Regarde bien ta Tata pendant qu’elle va te… Comment tu disais déjà, mon cœur ? Ah, oui… Pendant qu’elle va te baiser ! »

Mélinda sourit en insistant sur ce dernier mot, et embrassa à nouveau Yanagi-chan, puis posa sa main sur sa verge, et la guida. Elle l’abaissa, et l’enfonça dans la chatte de Yanagi-chan. Les muscles de la jeune femme se crispèrent naturellement, et Mélinda soupira.

« Ta chatte est... Hmmm… Si serrée, haaa… »

La vampire se pinça les lèvres en soupirant. Oui, elle était bien vierge !

« Re-Regarde-moi pendant que je te fais l’amour, Yanagi-chan… ! »

La première barrière n’allait pas tarder à se faire sentir. Mélinda sentit les mains de Hana-chan et de Tsuki-chan s’appuyer sur ses fesses, et frissonna doucement. Tout le monde savait combien leur Maîtresse aimait les rapports anaux, et il était évident que, ce soir, Yanagi-chan allait aussi se faire prendre par là. Pour l’heure, Mélinda remuait encore, donnant plusieurs coups de reins… Et frémit quand elle sentit le contact du sang virginal de Yanagi-chan sur sa verge. Ce contact la fit frissonner. Elle se retourna vers Tsuki-chan.

« Ça y est… Tu es une femme, maintenant, Yanagi-chan… Je sens ton innocence qui coule le long de ma queue… »

Mélinda adorait ce genre de moments, elle voulait en graver chaque seconde dans sa mémoire !

C'était la tradition dans la famille, Mélinda devait prendre la virginité des Uzaki, elle l'avait fait avec Tsuki quand elle portait encore son nom de jeune fille, c'était le cas de Hana quand elle fut en âge et maintenant, la petite dernière. La vampire a joué un rôle dans cette famille, elle et son mari étaient tout deux des esclaves et ils s'aimaient autant qu'ils aimaient leur maîtresse et maintenant leurs deux filles devenues des jeunes femmes, leurs prochaines soirées risquaient d'être bien plus amusante ! Son mari était rarement à la maison, mais les trois femmes savaient comment s'amuser en son absence et Mélinda le prouvait bien. La demoiselle était allongée, prête à devenir une nouvelle épouse – en quelque sorte – pour Mélinda. Elles n'auraient pas le vrai titre d'épouse qui était pour Vanillia, mais au moins, elles étaient leurs amantes. La vampire s'allongeait sur elle, digne fille de sa mère, Yanagi faisait des jalouses vu la taille généreuse de sa poitrine – moins que sa grande sœur – vu son âge, et sa taille la rendant un peu plus petite que la moyenne japonaise. Une bien belle petite demoiselle ! Les filles de la famille n'étaient pas très grandes, ce qui était le contraire du père de famille, grand et musclé ! Peut-être que si elle aurait eu un fils, il aurait pris de son père ? En tout cas, pour le moment, Mélinda se concentrait sur le cadeau à offrir et doucement, elle s'enfonçait en elle, perçant doucement ses barrières, Yanagi se cramponnait à sa maîtresse sans lui faire mal, couinant légèrement sous l'effort.

« Haaaa-aaaaaaaan... »

Et bientôt, poussant une dernière fois, Mélinda fit d'elle une femme. Son intimité déchirée, elle était désormais comme les autres esclaves ici, une femme dévouée à sa maîtresse. Et cela ne faisait que commencer. Sa mère et sa sœur l'observaient, en ayant toujours une main de libre pour caresser le corps, mais surtout les fesses de la vampire. Maintenant, elle avait encore certaines choses à découvrir pour rattraper sa grande sœur, mais elle était comme elles, plus besoin de la privée de certaines choses, elle jouait dans la cours des grands !

« Haaaaa, oui.... Maî... Maîtresse... Vo-vous pouvez... me baiser, maintenant... »

Elle avait hâte, elle aimait être cette petite poupée que sa tata/maîtresse aimaient cajoler, comme certaines autres femmes au manoir, mais elle voulait aussi être traitée en adulte, au moins un peu, pour voir comment ce serait exactement ? Face à sa mère et sa sœur qui prenaient soin d'elle, les deux restaient gentiment en retrait, certes, près d'elle, mais sans les déranger pour que Yanagi en profite au maximum comme cette première fois semblait aller.

« Maîtresse, le cadeau ne sera fini que lorsque vous aurez joui en elle. »
« Ouais, je suis sûr que sa petite chatte va déborder. »

Même si Hana avait des airs de chipie, elle ne l'était pas vraiment avec sa famille, mais cela n'était pas dit méchamment, il fallait bien l'habituer, car sans y avoir droit tous les jours – c'est que Mélinda en avait des esclaves à honoré chaque jour – quand elle va se pencher sur elle, ce ne sera que rarement pour une seule fois.

Le plus difficile, quand on était Mélinda, c’était de contenter tout le monde ! Son agenda comprenait la majeure partie du temps des rendez-vous sexuels, à la durée plus ou moins variable. Nymphomane, il ne se passait pas une journée sans qu’elle ne fasse longuement l’amour. Elle avait tellement d’amour à donner ! Et, outre els esclaves qui vivaient avec elle, il y avait aussi celles qui, comme les Uzaki, vivaient à part, mais faisaient toujours partie de sa grande famille. Elles aussi, Mélinda devait s’en occuper ! Elles aussi, elles avaient besoin d’amour ! Et, de l’amour, Mélinda en avait fort heureusement à revendre ! Elle s’était donc allongée sur Yanagi-chan, et venait de la pénétrer. C’est avec plaisir qu’elle sentit l’hymen de sa chérie se percer, qu’elle sentit son sang virginal s’enrouler autour de sa verge. Elle fit rapidement signe à Tsuki-chan, et celle-ci se rapprocha donc. Mélinda aimait beaucoup le sang lié à l’hymen, ce sang virginal intime, sucré, et ô combien exquis. Un sang aussi rare que précieux.

« Viens récupérer le sang de ta fille… »

À l’aide d’une pipette, il était possible de prélever facilement ce sang. Mélinda s’écarta un peu en ralentissant le rythme de sa pénétration, sa verge se relevant un peu pour libérer le sang intime de Yanagi-chan, un sang accompagné de sa mouille. Tsuki-chan put alors glisser la pipette, et absorba le sang, mélangé à la mouille, tandis que Hana-chan tenait un verre propre. Le sang fut déposé dedans, puis Tsuki-chan referma le verre. Mélinda, qui s’était écartée, se recoucha sur Yanagi-chan, puis l’embrassa ensuite, et commença alors à remuer plus fort.

« Haann… Ma chérie, tu… Tu es si étroite… »

Mélinda continuait à la prendre avec passion, et lui sourit doucement.

« Ca-Caresse-moi, griffe mon dos… Et descends jusqu’à mes fesses, ma belle… Presse-les, malaxe-les… Ne retiens pas ton plaisir, je… Je veux t’entendre gémir et couiner… »

Quand on grandit avec Mélinda dans sa famille, on ne pouvait pas être ordinaire. Si en apparence les Uzaki étaient une famille banale – hors leur taille petite et leur poitrine bien dodue – elles ressemblaient à beaucoup d'esclaves de la vampire, mais elles ne faisaient pas partie du commun des mortels en comportement en société. Maintenant, que Yanagi était assez grande pour ça et qu'elle allait devenir une femme, la famille allait se livrer à bon nombre d'orgies en famille, avec ou sans Mélinda. Le père de famille étant souvent absent, à cause, de son travail, à son retour, il allait fêter ça dignement avec sa femme et ses filles, et peut-être leur maîtresse aussi. Mais pour le moment, c'était justement elle qui en profitait, la petite dernière se faisait déflorer par la vampire, cela étant un honneur pour beaucoup de monde ici ! Quand bien même une esclave vivait tôt une grande histoire d'amour, à moins d'être amoureuse depuis très longtemps, en général, c'était Mélinda qui s'occupait d'être la première. Mais cette dernière savait être bonne avec ses propriétés, elle n'allait pas aller contre l'amour, si tel était le désir du couple de d'abord voir ça entre elles/eux, alors soit, mais oui, étant une vampire, ce qui touche au sang, c'était son péché mignon. Tsuki allait récupérer le précieux nectar tandis que Yanagi contemplait sa maîtresse derrière sa frange, les yeux légèrement humides. Il faut dire qu'aussi douce soit-elle, une première fois laissait toujours un minimum de douleur.

« Haaaan... Maît-Maîtresse. »

Face à sa demande, la demoiselle opina du chef, laissant ses mains parcourir le corps qu'elle a déjà maintes fois caressé pour arriver ses fesses, les pressant, griffant légèrement, mais elle n'avait pas besoin d'aller si loin, elle était déjà ravie, mais c'était pour Mélinda qu'elle faisait cela. Son doux fessier était délicieusement malaxé pendant qu'elle se faisait prendre, sa mère et sa grande sœur observaient cela avec amour, Tsuki ayant vécu cela il y a bien longtemps, Hana beaucoup moins longtemps, mais aussi en présence de sa mère, et de son père en cette occasion. Les filles étaient habituées, elles n'en voulaient aucunement à leur père/mari, les rares fois où il était à la maison, ça n'en était que meilleur. Puis il n'était pas jaloux, ayant été éduqué comme tout le monde servant la vampire, il laissait sa famille s'amuser sans lui, la seule règle étant pour les deux sexes, que la famille reste la famille. Pas d'enfant illégitime. Ils n'auraient rien dit si c'était un bébé issu de leur maîtresse, mais jusqu'à peu, elle était stérile, empêchant cela, mais si demain, elle venait engrosser Tsuki ou une de ses filles, la famille serait heureuse de se rapprocher encore un peu plus de leur maîtresse. Mais cette dernière avait déjà bien assez à faire pour le moment avec sa petite Elizabeth. C'était une vampire, elle avait le temps de la voir grandir avant de songer à lui donner un petit frère ou une petite sœur.

« Hm, Maîtresse... C'est si boooon... Mais... je vais pas teniiiiir ! »

Elle n'avait pas encore joui, mais une pénétration vaginale, de sa maîtresse, c'était une première pour elle, ce plaisir était nouveau pour elle, elle ne pouvait imaginer cela si plaisant. On dit souvent que la première fois n'est jamais la meilleure, cela va de soit, la durée, la performance, rare sont les personnes qui excellent autant la première que la centième fois. Peut-être chez les dieux, mais Yanagi était une Uzaki, une humaine donc à part sa poitrine, elle ne pouvait pas oser être meilleure que la moyenne. Peu importe que cette première fois se termine vite, elles auraient à présent tout le temps devant elles pour s'investir avec Mélinda. Quand bien même son agenda était chargée, elle trouvait toujours un peu de temps pour toutes ses chéries. Ses mains commençaient à empoigner ses fesses, ses ongles se faisant de plus en plus sentir, l'orgasme était proche !

Mélinda allait faire bon usage du sang virginal de Yanagi-chan. Ce sang d’une qualité » rare constituait un excellent ingrédient alchimique, il n’était pas destiné à être gaspillé en étant bu, aussi bon soit-il ! Mélinda attendit donc que le prélèvement se fasse, puis, avec Yanagi-chan, les choses sérieuses purent commencer ! Unies l’une à l’autre, elles étaient désormais ensemble, rien qu’elles dans ce délicieux cocon. Mélinda la pénétrait, croisant le regard de Yanagi-chan, et frémit en sentant les deux mains de la jeune femme sur son dos, glissant sur ses hanches, avant de descendre, encore et encore. Elle empoigna finalement chacune de ses fesses, et ce contact fit frémir Mélinda. Elle se mordilla les lèvres, appréciant comme toujours chaque contact sur son délicat postérieur. Cela, naturellement, les Uzaki le savaient, et Yanagi-chan palpa donc ce postérieur, malaxant son cul, tandis que la verge de Mélinda, durcie, s’enfonça encore dans la chatte trempée de Yanagi-chan.

« Hmmm… »

La vampire gémit encore, et continua donc à la baiser, enfonçant son sexe aussi loin que possible en elle. Yanagi-chan se tortillait sur place, gémissant, offrant à sa mère et à sa grande-sœur un spectacle des plus agréables. La vampire poursuivait son office, et Yanagi-chan gémissait aussi. Les deux femmes s’embrassaient donc, leurs langues jouant ensemble. Mélinda baignait dans la délicate mouille de sa partenaire. La jeune Yanagi-chan ne parvenait pas à lutter, elle succombait, elle s’effondrait sur place, et avoua à Mélinda qu’elle allait avoir du mal à se retenir. Cela ne put que faire sourire Mélinda, qui frotta son nez contre le sien.

« Je… Je ne te demande pas de tenir, c’est mon rôle… De tenir… »

Bandant ses muscles, Mélinda remuait lentement, amplifiant ensuite le rythme, impatiente de sentir sa jeune amante succomber au premier orgasme. Elle invita de la main les autres Uzaki à se rapprocher, afin d’immortaliser ce moment unique : le premier orgasme de Yanagi-chan…

Chez les Uzaki, l'inceste n'était en rien tabou, père et mère étaient des esclaves de Mélinda, depuis bien longtemps, ils avaient adopté cette façon de vivre depuis la naissance de leur aînée, même avant ! Sans pour autant invitée Hana à leurs ébats, même à les observer, elle avait fréquenté les enfants du manoir, apprenant une vision innocente mais réelle de ce qui pourrait se passer plus tard. Les histoires d'amour ne se limitant pas au prince libérant la princesse, il y avait de tout en histoire d'amour, même celles de parents et d'enfant ou de frères/sœurs. Ce n'était qu'une fois leur floraison arrivée que les filles pouvaient faire leur premier pas dans cet univers. Si en soit, elles ont peut-être échangé un baiser ou deux avec d'autres personnes de leur âge, ça n'a jamais été plus loin puis chez Mélinda, c'était monnaie courante. Ce n'était qu'après que Mélinda et sa mère lui avait appris certaines choses plus adultes. D'abord avec leur maîtresse dans des plaisirs saphiques, ensuite avec leur mère, jamais plus loin, pour prendre leur innocence, il fallait attendre un jour spécial comme celui-là. Yanagi a longtemps joué avec sa mère et sa sœur, jamais sans aller plus loin que des coups de langue ou de minous qui se frottaient mutuellement, mais à présent, elle entrait dans un nouveau monde, plus adulte.

« Haaaaaa ! Maî-Maîtresse ! »

La pauvre demoiselle subissait cela, avec plaisir certes, mais c'était là toute une palette de nouvelle sensation qui s'offrait à elle. Depuis toute petite, elle voyait cette femme, sa tante Mélinda, jouant avec elle puis au cours de sa vie, l'embrassant, jouant avec son corps, avec douceur et une certaine pudeur, mais dorénavant, il n'y avait plus de barrière, elles étaient libres de s'adonner à bon nombre de plaisir. Les Uzaki, du côté de la mère en tout cas, ont toute le même point commun, des femmes pas très grande, même pour des Japonaises, mais une poitrine qui rend jalouse une bonne partie de la nation japonaise ! La fin de leur croissance ne finissait pas dans leur taille, mais dans leur bonnet. Mélinda avait un beau petit harem, rien qu'avec la mère et ses deux filles. Oh, certes, elle avait beaucoup plus, rien que dans son manoir,  ne serait-ce que la Main. Qui peux se vanter d'avoir des quintuplées comme amante ? Mais elles aussi savaient se rendre unique et indispensable. Tsuki et Hana approchaient, toutes les deux venant se coller à Yanagi, offrant à Mélinda une sublime vision de ses trois belles femmes rien que pour elle. Une petite Milf et deux belles et jeunes femmes. Autant Tsuki avait déjà un époux qui l'aimait, même si elle aimait aussi offrir son corps aux hommes et aux femmes – comme lui le ferait ailleurs et ici – autant les filles, celui ou celle qui partagera leur vie sera bénie par la chance ! Mais qu'importe qui deviendra la moitiés des filles Uzaki, Maîtresse Mélinda gardera la priorité, c'est ce qu'elles savent depuis toute petite ! Maîtresse, tante, amante, la vampire avait de nombreux titres la concernant ! Yanagi fut pressée d'amour, leur poitrines se compressaient, lorsque enfin, elle se relâchait, aspergeant la verge de leur maîtresse de sa cyprine ! Ce n'était pas la première fois que Mélinda voyait ça, mais sa verge, si.

Mélinda était sous le charme des Uzaki. Quelle magnifique famille ! Elle prenait désormais la virginité de la dernière de leurs filles, la délicieuse Yanagi-chan, qui était pour le coup bien entourée. Mélinda sur elle, elle avait sa mère et sa grande-sœur qui venaient se presser tendrement contre elle. Mélinda soupira devant toute cette vision. Elle ne savait plus où donner du regard, ne voyant que des formes alléchantes, des corps somptueux, des courbes gracieuses… Oh, comme tout était magnifique ! Ces soupirs, ces frottements, le claquement de la chair, la sueur roulant sur les généreux seins laiteux des Uzaki… Mélinda retourna embrasser Yanagi-chan, avant de laisser sa mère l’embrasser. Elle savait que Mélinda avait toujours aimé les relations incestueuses, cela faisait partie de ses perversions, de ses petits fantasmes. Avec elle, on apprenait vite à laisser parler les pulsions les plus osées et les plus intenses de nos fantasmes.

« Oh, mes belles… Profite, ma Yanagi-chan, tu vis… L’un des plus beaux jours de ta vie, haaaa… »

La vampire alla l’embrasser encore. Elle se pressa contre elle, et sentait alors les mains des Uzaki glisser sur son corps, filant sur son dos. Hana-chan et Tsuki-chan en profitaient volontiers, jusqu’à palper ses fesses. Mélinda soupira alors, et mordilla la lèvre inférieure de Yanagi-chan. Elle siffla, et ses canines jaillirent, tandis qu’elle se pressait contre Yanagi-chan, la pénétrant avec force. Son hymen venait de se percer, et le sang virginal de Yanagi-chan coulait. Pour Mélinda, ce fut le signe évident. Elle avait ygoûté au sang virginal de Yanagi-chan, mais l’appétit venait en manger, tout comme son instinct naturel de prédatrice. Mélinda lécha donc le creux du cou de Yanagi-chan, avant d’aller à jamais la marquer.

Dans un soupir, elle mordit, et sentit tout le corps de Yanagi-chan se crisper. Mélinda enfonça ses canines dans sa peau, jusqu’à titiller sa veine. Elle retira ensuite ses canines, et commença à aspirer le sang. Le corps de Mélinda se crispa, et elle soupira encore en sentant des mains perverses jouer avec ses fesses. Mélinda déplaça une main, et griffa un oreiller du lit, l’éventrant. La vampire absorba le sang de Yanagi-chan, et la sentit jouir sous elle, se collant à sa Maîtresse, l’enlaçant avec amour. Tsuki-chan était aux premières loges pour la voir jouir avec force.

« Hmmm… »

Mélinda libéra la gorge de Yanagi-chan, l’embrassa ensuite, et, en soupirant, se mit à jouir en elle.

Tout cet amour était normal ici, il n'y avait aucune jalousie ou autre, l'inceste était une chose que les filles savaient depuis toutes petites, bien sûr, sans frôler l'illégalité. Les bisous avec maman et papa, les câlins, y avait pas d'âge pour ça. Et en grandissant, en devenant des jeunes femmes, elles avaient appris à voir ça un peu plus loin, sans se brûler les doigts, car c'était Mélinda qui avait la priorité, mais combien de fois, Hana avait couché avec sa petite sœur une fois découverte aux plaisirs intimes ? Certes, en restant femme, mais quand même. Alors pour le coup, Mélinda lui offrait sa vraie première fois. Et la jeune demoiselle était des plus ravies de subir ça, en compagnie de sa sœur et de sa mère à ses côtés. Savoir que Maîtresse s'occupait que d'elle, c'était beau, c'était bon ! Ce ne sera pas que ça toute la soirée sûrement, mais déjà, en guise de premier cadeau, c'était top ! Après tout, la fête n'avait pas encore commencé. Entouré par Hana et Tsuki, Yanagi était embrassée et caressée par elles, sous le regard bienveillant de la vampire qui ne tardait pas à venir planter ses crocs en elle. Là aussi, elle serait forcément passée par là, mais qu'importe, elle le savait, elle était au courant.

Comme la première fois, cela faisait bien longtemps qu'elle savait que ça ferait un peu mal la première fois, et que ça allait saigner un peu, mais rien de bien méchant. Alors en sentant ses crocs s'enfoncer dans sa chair, elle se rappelait des paroles de sa mère et sa sœur à ce sujet. Il y avait forcément une pointe de peur, comme pour ce qui se passait entre ses cuisses, mais tout allait bien, elle se cramponnait à sa maîtresse, frappant involontairement son corps par la même occasion, mais rien de bien méchant. Mais tout cela amenait Yanagi à jouir pleinement avec Mélinda, d'abord en l'arrosant puis ensuite, en se faisant remplir. Ce fut presque un double orgasme pour Yanagi qui ne cessait de crier son plaisir sous les yeux de sa maîtresse, preuve que son rôle avait été remplis.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan~~~~ »

La famille était heureuse, pour Tsuki, elle voyait enfin sa fille rejoindre vraiment la grande famille, pour Hana, c'était le signe que leurs jeux allaient prendre plus d'ampleur à présent. Il y avait ce petit moment de flottement où Yanagi revenait sur terre, revoyant sa maîtresse comme, après une longue et courte absence à la fois.

« Maîtresse.... Vous... vous êtes en moi... »

Sa queue, bien évidemment, mais sa semence aussi, tout comme son sang à elle, coulait en Mélinda maintenant. Un échange équivalent en quelque sorte.

Mélinda s’enfonçait avec joie et appétit dans le corps de Yanagi-chan. La délicate Uzuki était la dernière de cette belle fratrie que Mélinda aimait beaucoup. Tsuki-chan lui avait offert la virginité de ses deux filles, ce qui était l’un des plus beaux cadeaux que l’on puisse faire à Mélinda. Aussi perverse soit-elle, Mélinda n’en était pas moins imprégnée d’une certaine forme de romantisme, qui s’exprimait souvent de façon inattendue, notamment dans ce genre de choses. La vampire s’unissait donc à Yanagi-chan, amplifiant progressivement le rythme. Cette petite chatte serrée… Han, c’était si bon ! Elle se pinçait les lèvres en soupirant, frémissant quand elle sentait la douleur de sa queue contrite dans ce délicat trou, dans cette fente qui s’ouvrait progressivement, se dilatant. C’était comme les pétales d’une fleur qui s’ouvraient pour révéler la beauté se trouvant au milieu. Sous elle, Yanagi-chan poussait de délicieux couinements, des gémissements profonds et aigus.

Elle avait bu son sang, elle avait bu en elle, et sa verge en avait durci, gonflant et s’étirant encore. Mélinda avait aussi amplifié le rythme, ce sang délicieux l’ayant galvanisé. Hana-chan avait sans aucun doute dû prévenir sa fille que cela arriverait. Mélinda avait après tout déjà goûté au sang du reste de la fratrie. Cette énergie supplémentaire offerte par le sang de Yanagi-chan déferlait en elle, dans ses veines, ce qui l’amenait à besogner son amante avec force.

« O-Oui, ma chérie, en toi, toute en toi, hmmm… Tu es si bonne, ma chérie, haaaa… »

Mélinda serra l’une de ses mains dans celle de Yanagi-chan, puis attrapa son autre main. Elle les plaqua sur le lit, au-dessus de la tête de Yanagi-chan, et, tout en s’enfonçant en elle jusqu’à la garde, elle embrassa sa belle avec passion. Elles étaient au beau milieu du lit, et Mélinda frissonnait, soupirant en sentant les mains de Hana-chan et de Tsuki-chan. Elles étaient là, à droite et à gauche du duo, formant une famille solide. Mélinda embrassa longuement Yanagi-chan, puis se redressa, et fit signe à Tsuki-chan d’aller embrasser sa fille. C'était un moment d’amour commun, il fallait que tout le monde participe, et que ce délicieux souvenir se grave dans les souvenirs de la belle Yanagi-chan…

Depuis toujours la famille Uzaki servait Mélinda. Bon, depuis que les parents étaient jeunes, étant tombés sous le charme de la vampire, mais pour les filles, elles connaissaient la vampire depuis leur plus jeune âge. Maîtresse, amie, tante, elle avait beaucoup de tire, et pour cette famille assez spéciale, Mélinda avait une place de cheffe. Certes, leur mère faisait la loi, leur père aussi, quand ce dernier était présent, mais présent ou non, Mélinda avait le dernier mot. Si dans la famille Uzaki, les hommes étaient plutôt grand, voir assez fort quand ils s'en donnaient la peine – selon le père de famille, décrivant les autres membres de sa famille – pour le gêne féminin, on est pas très grande, mais la croissance se fait surtout à la poitrine. Itsuki était une belle femme approchant de la quarantaine, avec une belle poitrine bien moelleuse et au lait bien goûtue – encore un atout chez les filles Uzaki, du lait à gogo – Hana avait la chance d'être jeune. Sa poitrine était un poil moins gros mais plus ferme et parfait ! Yanagi avait cet avantage d'être un peu plus jeune, elle n'était pas entièrement formée, même s'il risque d'y avoir peu de changement dans les prochaines années, elle pouvait toujours gagner une taille ou deux ?

Mélinda avait une sacrée chance d'avoir ce trio rien que pour elle, elles étaient humaines, mais elles pouvaient rendre jalouses quelques ushis. Même si elles n'ont jamais quitté la terre, elles en avaient parfois croisé au manoir. Certes, il n'y avait qu'Itsuki qui pouvait faire du lait, mais quand Hana aura son premier bébé, ou Yanagi, mais la logique voudrait que des deux, ce soit l’aînée qui tombe enceinte d'abord, elle aussi aura du lait à fournir, de première qualité ! Si la mère était toujours aussi belle et sa poitrine si ferme, pour elle, le secret était dans le fait que ses filles venaient toujours prendre son lait. Comme pour Hana, Yanagi avait droit à une superbe première fois, la vampire savait y faire depuis le temps, tout le monde tombait facilement sous son charme et son savoir-faire. Elle était conquise et se prélassait sous elle, tandis qu'entre deux baisers, elle invitait les autres membres de la famille à venir l'embrasser. Sa mère, tout en douceur, comme toutes les mamans, venait l'embrasser tendrement, en la faisant gémir longuement – grâce un peu a leur maîtresse aussi. Hana ne fut pas sauvage, mais la douceur était moins présente que chez leur mère. Elle avait hâte après tout, maintenant que Yanagi avait franchit cette étape, elles pourront s'amuser toutes les trois, rien qu'entre elles ou quand un/e invité/e sera à la maison.

« Haaaaaan ! Maî-Maîtreeeeeeesse ! Je, J'aime m-mon cadeaaaaaaaaaau !!!! »

Un cadeau merveilleux qui n'était peut-être que le cadeau rituel ? Si ça se trouve, Mélinda avait mieux à offrir ? Après tout, la fête n'avait même pas encore débuté, Mélinda avait juste demandé tour à tour que la famille la rejoigne, les autres invitées savaient ce qui se passait ici, probablement, mais elles attendaient sagement la maîtresse et les Uzaki. Bientôt, Yanagi aura pour la première fois, l'utérus remplis du foutre de leur maîtresse, cela faisait partie du cadeau aussi.

Mélinda approchait du point d’orgue, elle le sentait bien. Elle baisait sa Hana-chan depuis un certain temps, déjà, et l’heure était venue de lui offrir sa récompense… Ou son premier cadeau. Une première fois, c’était une chose importante, une étape importante dans la construction d’une personne. Hana-chan était maintenant une femme, pleine et entière... Et bien remplie, accessoirement. Connaissant Mélinda, il fallait donc s’attendre à ce que la soirée soit loin d’être terminée, et que l’ensemble des Uzuki soit par la suite mise à contribution. Mais Mélinda n’allait pas brûler les étapes ! Pour l’heure, sa priorité était d’offrir un bon orgasme à sa Hana-chan ! Elle l’embrassait donc régulièrement, tout en ondulant d’avant en arrière, sa verge épaisse s’enfonçant avidement en elle, la faisant gémir. Mélinda avalait chacun des soupirs, elle se flattait des couinements et des gémissements de Hana-chan.

« Là, ma chérie, oui… T-Toi et moi, nous ne faisons plus qu’une, haaaa… »

Elle l’embrassa ensuite dans le creux du cou, mordillant sa chair, tout en malmenant l’un de ses gros seins, pressant ses doigts dessus, jouant avec en le faisant tourner dans le creux de sa main. Elle le pressait, appuyait dessus, continuant à en profiter. Et, quand elle faisait ça, les Uzuki pouvaient venir embrasser Hana-chan, lui montrant qu’elles étaient là. Une famille soudée et unie, voilà qui était important ! Mélinda croisa ensuite le regard de Hana-chan, et soupira encore, soufflant contre ses lèvres, avant de sentir la vague venir. Ses muscles se crispèrent, et elle frémit sur place, avant de laisser la vague l’envahir. Tout son corps se relâcha brusquement, et elle sentit un immense sentiment de relâchement en jouissant en elle, comme si elle vidait son corps de tout ce trop-plein emmagasiné depuis plusieurs minutes. Son corps entier se relâcha.

Mélinda se mit donc à jouir dans le corps de Hana-chan, balançant d’épais chapelets de foutre en elle. Son orgasme fut finalement à la hauteur de ce qu’on pouvait imaginer de cette vampire : fort et puissant. Elle s’y abandonna pleinement, avec un sentiment de plaisir profond. Elle jouit donc, et observa Hana-chan pendant ce moment, voyant comment celle-ci se cambrait et réagissait, Mélinda ayant usé de ses pouvoirs vampiriques pour se relâcher en même temps qu’elle. Un orgasme simultané, c’était toujours plus beau à voir, après tout !

Depuis qu'elle était presque une jeune femme, Tsuki servait Mélinda, avec celui qui deviendra son mari, il était normal que ses filles suivent le pas. Depuis toute petite, Mélinda faisait partie de la famille et, bien que leurs yeux innocents aient été préservé de choses qui n'étaient pas de leur âge, doucement, elles ont grandi en sachant ce qu'était le sexe, ne voyant pas le mal et les choses qui pouvaient en découdre. Après tout, depuis toutes petites, les deux filles tétaient leur mère naturellement, même si elles ont vite appris que leurs ami/es ne faisaient plus cela depuis longtemps. Mais ce n'est pas grave, ce n'était pas une honte, juste une chose que l'on ne disait pas à l'école, chez Mélinda, ce n'était pas un souci. Yanagi profitait de son cadeau, sa maîtresse était sur elle, faisant d'elle une femme, auprès de sa sœur et sa mère, à ses côtés, veillant sur elle, caressant à peine son corps, il ne fallait pas les gêner non plus après tout.

« Haaaaaa ! Maî-Maîtreeeeeeesse ! »

Ce ne fut que lors du final, que Yanagi se tortilla un peu, sous l'effet du plaisir, sentant enfin sa Maîtresse jouir en elle. Pour la première fois, elle sentait ce que c'était que d'avoir l'utérus qui était envahi de foutre. Le long gémissement de plaisir qu'elle lâchait était adorable, Tsuki lui caressait la tête, veillant sur elle comme si elle avait de la fièvre, là où sa grande sœur l'observait juste en souriant. Ça y est, Yanagi était apte à participer aux jeux de familles, que ce soit entre elles, avec Mélinda ou au lycée, elle ne se limitera plus aux jeux lesbiens !

« Alors, Maîtresse ? Comment était la chatte de Yanagi ? »

Elle avait beau être une Uzaki et avoir une certaine expérience en la matière, c'était sa première fois. Sa lourde poitrine se soulevait rapidement tandis qu'elle reprenait son souffle, Hana observait Mélinda, son petit regard de fouine, on pourrait croire qu'elle était prête à envoyer une pique assassine, mais elle n'allait pas se moquer de sa sœur ou de sa maîtresse. Tsuki embrassait la frange de sa fille, observant sa fille avec amour.

« Je suis sûre que ma petite Yanagi-chan était parfaite. Ma fille me rendra fière, comme toi, Hana-chan. »

Ai se fera une joie d'user du corps de Yanagi pour jouer à la poupée et lui faire essayer tout un tas de belles choses, les quintuplées aussi trouveront comment Yanagi se rendra utile pour elles ou leur maîtresse si là était son envie. À moins que Tomoko ne s'en approche ? Non, Yanagi n'était pas assez timide pour que la demoiselle y voie une personne comme elle, avec qui, essayé de sympathiser. Yanagi reprit doucement ses esprits, sa main se levant vers une des joues de Mélinda, qu'elle caressa doucement.

« Maîtresse... Remplissez-moi le cul, maintenant... »

Cela était peut-être pour plus tard dans la soirée, après tout, qui sait ce qu'était cette petite soirée d'anniversaire pour Yanagi, là, elles venaient tout juste d'arrivée chez leur maîtresse, la fête n'avait même pas encore commencer vraiment.