The Multiversity

Sa gamelle finie, Limma regarda sa Maitresse qui semblait satisfaite de la situation. Melinda se leva et la souleva par dessous les aisselles sans difficulté. Sa prouvait que la vampire était une femme forte, mais faut aussi dire que Limma ne pesait pas bien lourd. L’esclave se retrouva alors sur les genoux de sa Maitresse, invité à manger à table. Ainsi assied il lui fut offert beaucoup plus de nourriture, Limma en était heureuse et ne se fit pas prié pour se mettre à manger. La nourriture était bonne, bien présenté et sa maitresse si proche qui la caressait en même temps… elle était comme sur un petit nuage.

Alors qu’elle avait déjà mangé une grosse quantité de nourriture, que son corps avait absorbé et que la magie avait convertie, on pouvait déjà observer que son corps c’était renforcé. Elle avait moins la peau sur les os, malgré qu’elle restait encore affreusement maigre. Melinda put peut être même sentir une différence de poids, quand elle la retourna sur ses genoux pour lui demander si elle vouait encore manger ou visité sa chambre.

-Je veux bien un désert Maitresse, avec ça j’aurais enfin suffisamment de force pour pouvoir être normal. Et après je serais toute a vous pour vous serve comme vous le voudrez.

Limma entendait par là, de pouvoir vivre normalement, avoir la force de bouger normalement, de pouvoir faire des efforts sans s’écroulé. Toute cette nourriture ingurgité, avait ut pour effet, de corriger toute ses année de malnutrition, de maltraitance et de blessure que son corps avait cumulé. Encore deux trois repas comme celui-là et elle aurait tout d’une humaine à une constitution normal et en bonne santé. La magie de la démone était vraiment impressionnante

Depuis sa transformation pour reprendre sa forme esclave, l’œil flottant la suivait restant proche de son épaule ou parfois tournant autour de sa tête. IL observait tout ce qui se passait sans intervenir sur rien. Alors que Limma mangeait, il fit même sursauter une fille de la salle qui le regarda comme s’il était une monstruosité, ce qui était un peu le cas après tout. Pour autant l’œil se contentait de flotté dans le vide et d’observé tout et n’importe quoi. Puis subitement, quand Limma avait déjà avalé plus qu’un humain normal pouvait manger surtout avec un corps aussi faible, il laissa sortir à voix haute une pensé de Xia.

-C’est ça mange, mange et reprend des forces.

La voix était sortie de nulle part, résonnant dans la pièce comme si elles étaient dans une église. C’était une pensé aléatoire, que l’œil avait décidé de faire entendre à tout le monde. Il créa une surprise général, seule Limma ne fut pas surprise, car cette pensé lui était adressé dans sa tête. Elle n’était pas consciente que tout le monde l’avait entendu. L’œil continua son observation comme si rien n’était. Il n’était pas Xia, il n’était pas l’une des personnalité intermédiaire, il n’était pas la déesse elle-même, non il était l’œil un simple spectateur. Un œil qui surveillait cette enfant de la folie pour Mania, même si pour autant il ne lui obéissait pas. Non l’œil était un être à part, sans maitre, qui faisait se que bon lui semblait. Mais l’œil n’était qu’une sorte d’embraillions de la folie, il n’avait pratiquement pas de personnalité ni de volonté. Il se nourrissait de tout ce qu’il voyait pour se forgé, et là ce qu’il voyait c’était deux femme en train de se faire l’amour.

Voir un œil flotter dans le vide surprit plusieurs des esclaves de Mélinda... Tout comme la vampire elle-même. Outre la beauté esthétique discutable de l’appareil, la vampire le trouvait... Inquiétant. Avec quelle sombre force sa belle Limma avait-elle bien pu pactiser ? La vampire avait cru comprendre qu’elle avait été voir la Déesse Mania, Déesse de la Folie. Un titre bien mérité, car cet œil, indéniablement, devait être une sorte d’élément divin envoyé par Mania... Ou quelque chose comme ça. La vampire devrait peut-être faire appel à un prêtre, ou à un mage, afin de s’occuper de ce truc... Elle y songeait silencieusement, tout en caressant les hanches de Limma. Sa faim se faisait ressentir dans son sang. Une personne affamée, ou anorexique, avait un sang de faible qualité, car, quand une personne mangeait, son sang se chargeait de protéines et d’autres ingrédients résultant de la nutrition. Il fallait que Limma mange, et Mélinda comptait lui offrir des repas consistants. Son voyage vers Mania n’avait visiblement pas été très nourrissant. Or, Mélinda tenait à ce que ses esclaves mangent bien, car elle savait que c’était l’un des meilleurs moyens d’obtenir leur soumission. Une personne ne se rebellait vraiment que quand ses conditions physiques d’existence s’atténuaient, et Mélinda veillait donc à ce que son harem soit un endroit extrêmement luxueux, de manière à rassurer ses esclaves, et à éviter un comportement qui serait regrettable pour tout le monde.

Limma mangeait donc avec appétit, en sentant l’esclave reprendre des formes. Elle avala tout rapidement, puis Mélinda l’encourageait à utiliser une serviette, ou alors nettoyait elle-même ses lèvres avec les beaux tissus brodés du harem. Elle la traitait presque comme une petite fille, lui caressant les cheveux, sans aucune intention sexuelle cachée. C’était juste... Affectueux. Plus généralement, c’était la preuve du grand désir qu’avait Mélinda de porter la vie, et d’avoir son propre enfant. Faute d’avoir un enfant qui pousserait dans son ventre, son instinct maternel s’était reporté sur ses esclaves. Mélinda aimait davantage à se voir comme une protectrice que comme une Maîtresse cruelle et autoritaire qui les empêcherait de s’épanouir. Elle agissait comme une matrone, comme une grande mère de famille, soucieuse de protéger ses ouailles.

La femme venait d’accepter un dessert, et, alors que Mélinda allait le faire, une voix résonna soudain émanant de l’œil.

« Hîîîî !! »

Surprise par cette voix, une servante lâcha son plat, et une assiette se brisa sur le sol, explosant violemment. La femme rougit jusqu’à la pointe de ses oreilles.

« Pa... Pardon, Maî... Maîtresse ! »

La vampire se contenta d’hausser les épaules, puis regarda Limma lentement. Cette dernière n’avait visiblement rien remarqué, car elle semblait aussi surprise que les autres en voyant que l’une des servantes avait fait tomber de la vaisselle. Quelques secondes s’écoulèrent, avant que Mélinda ne se mette à parler :

« Apportez le gâteau au chocolat... »

D’autres servantes arrivèrent, et déposèrent devant Limma une assiette avec un gâteau, et de la crème anglaise, toute chaude. Mélinda, elle, s’interrogeait sur cet œil. Cette voix... C’était clairement celle de Xia. Pourquoi l’avait-elle entendu ? Est-ce que les trois personnalités de Limma étaient aussi bien séparées que cela ? Tout en se posant cette question, elle caressait les cheveux de Limma, enfonçant ses doigts dans sa longue chevelure argentée, puis elle se pencha à nouveau vers elle, et murmura dans le creux de son oreille :

« Mange, Limma, reprends toutes tes forces... Car je compte bien profiter de ton corps après... »

Elle l’embrassa doucement sur la joue, l’esprit toujours rempli de questions.

Limma qui mangeait eut un moment de sursaut, une servante venait de faire tomber une assiette. Le bruit avait surpris tout le monde. Mais Limma trouva que la réaction de tout le monde semblait disproportionné, au aurait dit qu’un monstre était apparu, ce n’était qu’une assiette cassé. Elle se désintéressa rapidement de cette événement et repris à manger. Sentir les mains de sa Maitresse l’apaisait. Un gâteau lui fut apporta, elle s’attaqua à ce dernier avec le même appétit qu’elle avait ut au début du repas. Comme si tout ça n’avait en fait pas étanché le moins du monde sa faim. Pour autant, sa lui avait fait un grand bien de manger tout ça.

Mélinda lui glissa à l’oreille de doux mot, elle lui demandait de bien manger pour pourvoir ensuite profité de son corps. Cette nouvelle la fit sourire, heureuse de pouvoir s’offrir à sa Maitresse. Cette femme qui l’attirais tant, cette femme qui l’avait fait changer d’avis sur sa route à suivre. Limma se pressa donc à finir de manger pour au plus vite se montré utile au près d’elle.

L’œil de son côté c’était placé non loin des deux femmes occupé à se faire plaisir. Il observait tout sous tous les angles, il examinait les deux femmes, leurs acte et ce qu’il leurs procurait. Puis quand l’une finit par jouir, il changea immédiatement d’intérêt volant vers un cadre décoratif de la pièce et le regarda de la même façon. Il jonglait de centre d’intérêt à un autre sans logique particulière. Il s’intéressait des fois à des objets, puis des personnes, des fois à rien, il regardait plus ou moins longtemps. C’était impossible de savoir ce qu’il voulait. Ce n’était qu’un œil, sans paupière impossible d’y lire une émotion.

Limma fini enfin son repas. Elle avait encore faim, elle se sentait prête encore à manger. Mais maintenant elle pouvait tenir normalement pendant plusieurs heures sans problème. Elle tourna la tête avec un visage plein d’innocence et de reconnaissance qu’elle afficha un grand sourire à sa Maitresse.

-Merci Maitresse. Je suis prête à vous servir maintenant !

La présence de l’œil ne semblait pas surprendre Limma, et Mélinda était sûre que cette grosse sphère était liée à cette dernière. Elle observa un peu cet objet, puis reporta ensuite son attention sur Limma, en se disant qu’il s’agissait peut-être d’une sorte de surveillance divine. Le ventre de Limma était en train de se remplir, et elle ne risquait nullement l’intoxication alimentaire, mangeant très rapidement, engloutissant tout comme une ogresse. Mélinda caressait délicatement son estomac et ses hanches, la sentant se tortiller sur ses cuisses. Elle mangeait, encore et encore, avalant tout le gâteau au chocolat, et se retourna ensuite vers sa Maîtresse. Elle avait retrouvé des forces, et Mélinda lui sourit, puis attrapa une serviette, et essuya ses lèvres. Elle déposa ensuite un baiser sur ses lèvres, en esquissant un léger sourire.

« Alors… Il est temps de passer aux choses sérieuses. »

Dans un angle, Tallulah continuait à prendre la belle Jane, formant un agréable arrière-fond. On pouvait entendre Jane couiner et hurler, son orgasme pointant le bout de son nez. Tallulah, elle, continuait à la prendre, enfonçant sa verge dans son corps, remuant d’avant en arrière, faisant rebondir d’avant en arrière le corps de la belle chanteuse. Mélinda reportait son attention sur Limma, et lui caressa délicatement les joues, avant de l’embrasser sur les lèvres, très tendrement, avec une douceur infinie.

Mélinda lui sourit donc, continuant à tenir la femme contre elle, caressant son dos et ses longs cheveux blancs.

« Hum… Alors, alors, qu’allons-nous bien pouvoir faire, ma belle petite Limma ? »

Il s’agissait bien entendu d’une question rhétorique, et Mélinda laissa planer quelques secondes de silence. Sa main se déplaça pour caresser la joue de la femme, son pouce venant se frotter sur les lèvres de Limma, s’enfonçant parfois un peu dans sa bouche. La vampire allait prendre des risques, et elle attendit donc, ses mots suspendus sur ses lèvres, avant de parler :

« Est-ce que… Est-ce que tu te sens prête à voir mon sexe masculin, Limma ? »

Limma se trouvait toujours sur les genoux de sa Maitresse. Le repas qu’elle venait de terminer lui avait fait un bien fou. La magie de la démon c’était servie de cette ressource pour commencer les faiblesses de son corps. Il faut dire que ses ancien maitres l’avait laissé dans un piteux état avant de la transformé. Instaler ainsi sur les genoux de sa nouvelle Maitresse c’était si différent. La vampire se servait bien sûr d’elle, mais elle prenait aussi soin d’elle. Si c’était elle qui l’aurais obtenue la première Limma serrais un personne bien différente aujourd’hui.

Mélinda lui nettoya la bouche à l’aide d’une serviette et le fit une bise affectueuse. Sa avec ses ancien maitres sa aurais plus fini par une facial, avant de lui donner un coup de pied pour la renvoyer dans sa cage… Maintenant que c’était fini, la Maitresse allait comme promis lui faire l’amour, cette dernier demanda se qu’elles allaient faire. Limma ne lui répondit pas, comprennent qu’elle cherchait surtout de qu’elle façon elles allaient le faire. Avec ce corps humain, sans capteur, sans ordinateur dans sa tête, sans queue démoniaque au-dessus des fesses, ce que ça allait donner. Après tout son vrais corps n’avait pas servie depuis si longtemps et encore plus longtemps avec une femme.

Finalement, arriva la question qui fit frissonner l’esclave. Le sexe masculin de la Maitresse. Suite à sa transformation en esclave parfaite, sans émotions, destiné à la fois au sexe et au combat, Limma avait était ensuite utilisé comme respectable pour recevoir une démone surpuissante. Tout cet enchainement avait créé en elle pas mal de traumatisme, le plus important était la peur et la haine du sexe masculin. Mais actuellement elle n’était plus cette Limma traumatisé, cette Limma était la forme instable qu’elle pouvait encore prendre, mais pas l’esclave elle-même. Limma ignorait elle-même qu’elle serrait sa réaction. Toute les horreurs qui lui avait été fait pas les hommes par le passé, pouvait tout aussi bien lui faire ressentir la même chose.

-Je…Je ne sais pas Maitresse…Juste le voir alors….pour commencer. Je ne sais pas comment je vais réagi.

Sa plus grande peur était de faire comme l’instable et attaqué la chose en la voyant, Limma n’était qu’une humaine, sa forcé était même faible pour une humaine. Mélinda pouvait la maitrisé d’une seule main, mais c’était le principe d’en arriver là qui lui faisait peur.

Mélinda savait très bien qu’elle prenait des risques. Limma avait toujours eu une peur panique du sexe masculin, comme le résultat des traumatismes qu’elle avait subi avant que Mélinda ne la récupère. Limma était alors une jeune esclave un peu désespérée, massacrant les gens qu’elle rencontrait grâce à sa forme démoniaque, qu’elle ne maîtrisait pas. Certes, ce n’était pas Mélinda qui avait clarifié l’esprit schizophrène de Limma, mais, pour autant, elle aimait se dire qu’elle avait, au moins, partiellement réussi à contrôler cette femme, à l’apaiser, et à l’éduquer. Après tout, c’était bien vers elle que Limma était revenue, après avoir réussi à retrouver un semblant de vie normale, alors qu’elle aurait pu tout à fait disparaître. Terra était vaste, et Mélinda n’était pas convaincue d’avoir réussi à la retrouver si Limma n’était pas revenue d’elle-même, afin de se soumettre à cette dernière. Maintenant, Limma était donc là, après avoir pris un bon plat, et Mélinda, en prenant des risques, lui avait proposé de vérifier si elle avait vraiment changé, en évoquant l’Interdit Suprême.

La petite esclave hésita un peu, perturbée qu’elle était entre sa volonté sincère de satisfaire sa Maîtresse, et ses peurs profondes. Finalement, elle finit par lui répondre, en disant qu’elle était prête à essayer... Ou, plutôt, de le « voir ». C’était un début, le début de quelque chose, peut-être, ou le début de rien du tout... Mais Mélinda aurait été folle de ne pas le tenter. Avec un sourire sur les lèvres, elle embrassa généreusement Limma sur le front, puis la souleva un peu.

« Très bien... Ne t’en fais pas, il ne te mordra pas... »

Les esclaves aux environs regardaient nerveusement cette scène. Elles savaient quelle était la peur de Limma, et ce qui se passait quand sa peur prenait le pas : Xia en profitait pour se réveiller, et pour faire parler ses chaînes. Mélinda avait su éviter tout incident, en utilisant des prisonniers ashnardiens pour soulager les frustrations et la rage de Xia, mais elle n’avait ici aucun autre parachute que sa propre volonté. Elle prenait donc un risque, ce qui, chez elle, était en réalité assez habituel. Se redressant donc, la vampire se déplaça un peu, puis invita Limma à rester assise, tandis qu’elle-même se mit au milieu de la pièce. Là, lentement, elle défit sa robe, et finit ainsi rapidement toute nue, sa culotte venant suivre.

Maintenant nue, et guère gênée de l’être, Mélinda regarda à nouveau Limma, un sourire sur le coin des lèvres. Son corps nu était toujours aussi magnifique, éternellement figé dans une beauté magnifique. Oui, Mélinda n’avait aucune honte à admettre sa propre beauté. Elle regarda Limma en souriant, puis ferma ses beaux yeux verts, se concentra... Et ses lèvres intimes s’écartelèrent pendant quelques secondes, avant qu’une verge ne se mette à pousser. Mélinda aurait pu être un peu honteuse à la montrer, car, faute d’une excitation sexuelle suffisante, elle penchait vers le bas. Néanmoins, elle était ainsi petite, et donc guère effrayante.

« Observe-là, Limma... Observe-là, et vois qu’une queue n’a, en soi, rien d’effrayant. »

La main de Mélinda vint se saisir de sa verge, relevant son sexe, et le relâcha. Elle voulait que Limma constate une chose simple :

« Cet organe est sous le contrôle de ta Maîtresse, Limma, il n’est qu’une partie de mon corps... »

Elle relâcha son sexe, et s’humecta les lèvres, en espérant que Limma n’ait pas trop peur... Même si, concrètement, elle ne voyait pas de quoi on pouvait être effrayée en voyant ce chibre flasque. Mélinda avait l’habitude de le sortir quand elle mouillait, ce qui faisait qu’il arrivait toujours avec le mât dressé.

« Est-ce que tu veux le toucher... Ou voir quelqu’un d’autre le toucher ? »

Sage et patiente, Mélinda lui laissait le temps de comprendre ce qu’elle voulait faire.

Limma était là immobile regardant sa Maitresse qui prenait place. Elle n’était pas la seule à l’observé, la plus part des filles ici présente l’observait avec attention comme si c’était une chance à ne pas loupé. L’œil aussi, il était revenu flotté au-dessus de l’épaule de Limma et était fixé sur la vampire. Limma avait un peu peur, autant de la chose qu’elle allait voir que de ça réaction face à elle. Heureusement sa transformation était plus longue qu’avant, ainsi en cas de problème, Mélinda devrais avoir le temps d’agir.

La maitresse commença à se dévêtir entièrement, Limma la dévorait du regard, la regardant avec une admiration digne d’une déesse. Il n’était pas difficile en voyant l’esclave de voir à quel point elle aimait sa maitresse. Ce qui pouvait inquiéter certaine au vue de son passé instable. C’est alors que la chose commença à pousser. Son regard perdit tout de suite son admiration, son regard se perdit et devient vide. Au vue de se pénis même mou, des images de son passé lui reviens, toute les horreurs qu’elle avait subi. Elle supportait la vue d’un homme, mais la vue de son engin…Non elle ne sentait pas prête, pas encore. Xia n’ayant aucun contrôle actuellement sur son corps elle ne sentait aucune envie d’attaqué la chose, mais elle ressentait la même peur.

-Je…je…

Pour ne pas décevoir sa Maitresse elle tendit l’entement la main pour tenter de le touché, mais arrivé trop près elle retira subitement la main n’arrivant à le faire.

-Je suis désolé…

Des larmes commencèrent à couler sur ses joues. C’est alors que dans sa tête Xia lui parla.

« Petite idiote…tu prends trop de risque ainsi. Tu as de la chance, j’accepte de t’aider. Je sais comment t’aidé à lutter contre de phobie. » C’est alors qu’en simple pensée elle comprit l’idée de la démone et pensa même que sa pouvait marcher. Avec son bras elle essuya ses yeux. Elle se releva et regarda sa Maitresse, dans les yeux, se n’était pas pour la défier, loin d’elle cette idée, mais par ne pas apercevoir la chose.

-Xia à une idée, et je pense qu’elle peut marcher. Accepterez-vous d’utilisé votre chose sur moi, si je fusionnais avec Xia pour redevenir celle qui est parfaite ? Celle qui est venue vous revoir ?

Mélinda vit le regard de Limma changer progressivement. Il était au début émerveillé, plein d’admiration en voyant le spectacle du corps nu et magnifique de Mélinda. Un corps parfait et splendide, aux formes parfaites, qui rappelait à Limma tous les câlins qu’elle avait fait avec sa Maîtresse... Puis l’admiration passa à l’horreur absolue quand Mélinda fit pousser sa verge. Elle était pourtant toute petite, mais ce fut suffisant pour que Lima panique totalement. Son sang confirmait ce regard évolutif, un sang qui remuait dans tous les sens, témoignant de toute la nervosité que la femme ressentait en ce moment. Elle observa ce phallus, approcha ses petits doigts tremblotants... Puis se recroquevilla, les larmes aux yeux, en admettant son impuissance, d’une voix faible, cassée, brisée. Mélinda s’humecta les lèvres, et se pencha vers elle, pour lui dire que ce n’était rien, qu’elle n’avait pas à s’en vouloir... Mais Limma redressa alors la tête, et proposa autre chose.

Xia venait de parler à Limma, et Limma suggéra que les deux êtres fusionnent, afin d’utiliser ce sexe sur l’autre femme, la première version de Limma que Mélinda avait aperçue. Cette dernière réfléchit un peu, en se tapotant les lèvres, puis ses mains vinrent caresser les joues de Limma, et elle lui sourit, avant de l’embrasser sur le front.

« Oui, Limma... Si cela peut t’aider à pleinement m’accepter comme ta Maîtresse, et à avoir suffisamment confiance en moi pour oublier tes traumatismes... Je l’accepte volontiers. »

Le comportement de Limma restait encore un peu compliqué pour Mélinda. Dans quelle mesure les trois personnalités de Limma étaient liées ? Est-ce que, quand l’une des trois s’affirmait, les deux autres dormaient ? Mais y avait-il trois personnalités, ou simplement deux qui pouvaient fusionner en une seule ? Diable, que tout cela était compliqué ! La métempsycose était un art magique profond et complexe, concernant le déplacement de l’âme, et, plus généralement, tout ce qui traitait de l’âme. Limma avait utilisé l’aide d’une Déesse pour fractionner son esprit, ou, plutôt, pour rationaliser un esprit déjà fractionné. La Déesse de la Folie avait entériné sa schizophrénie, en amenant les deux personnalités de Limma, la soumise et la dominante, à devoir vivre ensemble. Mélinda n’était pas une psychologue, mais elle savait que, en matière de schizophrénie, il y avait toujours une personnalité dominante, cruelle, qui était généralement à l’image des parents de la personne, et qui, peu à peu, prenait le contrôle... Mais Limma était différente, au moins dans l’origine de ses symptômes, ce qui expliquait sans doute pourquoi Limma avait réussi à pouvoir structurer ça. Ce n’était pas un esprit unique fragmenté par la folie, mais bien deux esprits différents qui se battaient dans le même corps.

Mélinda s’écarta donc un peu, et fit signe à Limma.

« Vas-y, Limma... Et, quoi qu’il arrive, n’oublie jamais que tu peux faire confiance à ta Maîtresse... »

S’il y avait bien une chose dont Limma devait se rappeler, ce serait bien de ça.

Limma fut profondément soulagé que sa Maitresse accepte sa demande. Après tout la version parfaite avait aussi accepté de se soumettre à la vampire. Seule la démone ne l’était pas.

-Merci Maitresse, j’espère que sa vas marcher.

Limma se tourna vers l’œil qui lui la regarda aussi. Ce dernier était indispensable à la transformation et normalement, il devait rentrer lui-même à la place de l’un de ses yeux pour la transformé, mais il ne semblait pas motivé à le faire. Limma tenta de l’attrapé mais ce dernier bougea pour l’évité. Elle tenta une nouvelle fois, mais encore il évita se mettant à lui tourné autour comme une grosse mouche. Finalement après s’être débattue de façon ridicule pour l’attrapé, Limma se retrouva enfin avec l’œil entre les doigts. L’esclave le regarda avec une certaine peur et finalement d’un coup pour expédia sa au plus vite et s’enfonça violemment cette œil à la place d’un des sien faisant coulé du sang sur sa joue. L’œil se retourna alors pour rependre une sens normal et un symbole magique identique à celui qu’elle portait sur ses yeux se dessina et une sombre lumière maléfique commença à la transformé. La lumière dissipée, la transformation était fini. On pouvait voir ses cheveux bien plus courts, ses yeux étaient Veron, l’un noire et l’autre rouge, seule le noir était marqué. Sa tenue véritable aillions déchiré était devenue un body noir accompagné de botte collant à la peau. Les fameuse chaine d’on la version instable possédait et ne séparait jamais n’était plus visible. Mélinda pouvait voir à la place que sa peau était devenue noir était froide comme du métal, comme si ça peau était justement devenue du métal au niveau des mains et cheville. Si qui était vraiment le cas.

-Me revoici Maitresse…J’ai pensé à quelque chose. J’ai compris que toute ses transformation son bien compliqué pour vous. Sa serrais plus simple si j’avais mon propre nom, quand pensez-vous ?

Elle pencha sa tête sur le côté en pleine réflexion, comme si tout se qui c’était passé avant ne la concernait pas vraiment.

-Oh je sais, appelez-moi Ximma, c’est bien Ximma non ? Limma, Xia Ximma, c’est facile à retenir comme ça.

Elle se releva et s’étira regardants autour d’elle et ensuite Mélinda. Le souvenir de se qu’elle devait faire lui reviens.

-Ah oui c’est vrais, je suis là pour que vous utilisiez votre chose sur moi. Hum guidez moi, dites-moi ce que je dois faire Maitresse.

Déjà un bon point Ximma n’était pas écœuré face au sexe masculin qu’elle voyait face à elle, en fait elle ne dégageait même aucune émotion. Pour elle c’était un peu une découverte et de se point de vue, elle n’avait pas peur de touché la chose ou de l’imaginé rentré en elle.

Mélinda vit Limma se battre avec l’espèce de curieux œil qui avait gravité dans la pièce. Elle tentait de l’attraper, comme un pompon à la foire, en remuant des bras, mais ce mystérieux œil se dérobait à elle... Jusqu’à ce qu’elle finisse par l’empoigner, comme une sorte de gros coussin. Mélinda grimaça ensuite en la voyant s’enfoncer ce truc dans l’un de ses yeux, ce qui eut pour effet de la transformer... Puis la première Limma apparut sous ses yeux. Mélinda fronça les sourcils, légèrement éblouie, avant de la voir, dans sa tenue noire, avec des chaînes noirâtres et métalliques s’échappant de son corps, rappelant celles de l’autre Limma. Muette de stupeur, car n’étant, après tout, pas encore habituée à des changements aussi rapides, elle ne dit rien pendant quelques secondes, laissant le temps à l’autre Limma de choisir un nom qui permettrait instantanément de la différencier de Limma l’esclave : Ximma, une contraction entre Limma et Xia. Mélinda hocha la tête devant ce surnom, restant les jambes écartées, avec sa misérable queue qui pendouillait.

Le regard de Ximma se porta ensuite vers cette « chose » qu’elle avait mentionné, et vers ce qui allait ensuite arriver. Mélinda, elle, la regardait silencieusement, troublée. Est-ce que Ximma avait envie de lui faire l’amour ? Ou est-ce qu’elle était forcée par la crainte que cette verge suscitait auprès de Limma ? Voilà toute la question que la vampire se posait en ce moment, car elle ne voulait pas violer Ximma. Mélinda s’avança donc, levant haut les mains, toujours nue.

« Hum... Déjà... Va pour Ximma, ma belle. Ensuite... »

Mélinda s’avança vers elle, et posa ses mains contre ses hanches, blottissant son corps contre le sien. C’était toujours le calme plat au niveau de la ceinture, et ce n’était pas étonnant. Pour que ce truc-là se dresse, il fallait quand même le forcer un peu, et, pour les esclaves entourant ce couple, c’était presque une première. Quand Mélinda sortait son chibre, il était toujours dressé, car elle le faisait toujours dans un état d’excitation sexuelle prononcé. Ici, elle l’avait sorti au calme, et c’était donc une queue crevée qui pendouillait mollement vers le bas.

Ses mains s’appuyaient sur les hanches de la femme, et elle l’embrassa tendrement, pressant son corps, juste pour sentir qu’il n’y ait aucun mouvement de rejet de la part de Ximma. Fort heureusement, Mélinda ne ressentit rien de ce genre, et pressa son corps contre le sien, ses mains se crispant un peu contre son corps. Elle prolongea encore le baiser pendant quelques secondes, puis le rompit ensuite, son corps restant proche du sien.

« Tu as de belles lèvres, Ximma. Mais, avant que nous allions plus loin, je dois m’assurer d’une chose... »

Elle s’écarta un peu d’elle, et se tapota les lèvres, bras croisés, toujours nue, et sans aucune gêne visible.

« Est-ce que tu veux me faire l’amour ? »

Ximma pouvait répondre comme elle voulait, avec les mots... Ou avec les actes.

Ximma resta debout face à la vampire à qui elle appartenais. Cette dernière c’était approché la touchant confirmant que le nom qu’elle c’était choisie lui convenais. Ximma, un nom mélangeant les noms des deux être qui la composait, ça n’avait pas était dur à trouver et ça lui convenait bien. Maintenant elle se retrouvait à devoir se faire baisé par sa maitresse, pour aider l’esclave à mieux supporté le sexe masculin. Bien sur la peur et le traumatisme que ressentait cette dernière l’affectait aussi, mais pour elle c’était moins fort. Sa correspondait plus à la peur que pouvait avoir une vierge face à sa première fois. Ce qui dans un sens c’était le cas, après tout elle était née il n’y a que quelque jour et dans cette apparence, elle n’avait pas ut le moindre rapport sexuel, c’était curieux car elle savait déjà qu’elle aimait ça. Finalement Mélinda lui demanda si elle voulait lui faire l’amour.

- Quel curieuse question. Je suis un peu là pour ça. Je vous appartiens, si vous avez envie de moi alors allez s’y. Oh mais peut être avez-vous besoin de redressé la barre ?

C’était un peu crieur de l’entendre faire de l’humour alors qu’elle ne dégageait aucune émotion. Elle descendit sa main pour attraper le sexe mou de la vampire entre ses doigts. Plongeant dans les souvenir de l’esclave, elle commença à masturbé lentement se sexe. Les souvenir de violence lié à se sexe dans les souvenir de l’esclave l’effraya un peu même si elle ne laissa rien paraitre.

-Si vous le voulez bien. Ce corps n’as jamais était utilisé, alors pour mon bien et surtout celui de l’esclave si vous pouvez y aller en douceur…Oh et n’hésitez pas à me dire se que vous voulez. Je n’ai pas l’habitude de traité ce genre de chose.

Malgré ses paroles, son visage restait le même gardant un calme apparent. Sentant le sexe commencé à réagir, elle accéléra un peu les mouvements, pour mieux le stimulé. Tant qu’elle ne disait rien, elle continué, par contre, elle préféré ne pas regarder la chose. Étrangement sa vue semblait la dérangé plus que prévue, mais tant qu’elle ne le voyait pas ça allait. C’était curieux.

Il y avait tellement de choses bizarres avec Limma que Mélinda avait encore du mal à tout comprendre. Trois âmes dans un seul corps, trois personnes, toutes les trois très différentes, allant d’un extrême à l’autre : de Limma, la soumise, à Xia, la démone cruelle et sanguinaire. Entre les deux, Ximma... Mélinda était assez curieuse de voir à quoi la synthèse de deux personnalités aussi opposées pouvait ressembler, tant les hypothèses étaient nombreuses. Ximma se tenait donc face à elle, belle et élégante, nerveuse, mais pas de la même nervosité dont était façonnée Limma. Sa peur, oui, tenait à la découverte de l’inconnu, et c’était une peur compréhensible, normale, et que Mélinda connaissait. Ximma n’était pas la première vierge qu’elle voyait, mais, pour le coup, c’était bien la première fois qu’elle présentait son sexe alors qu’il était aussi flasque qu’une bouteille d’eau percée. Elle baissa les yeux quand Ximma en parla, et haussa les épaules. Elle aurait pu le rétracter, mais, en fait, avant même qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, Ximma se rapprocha, et empoigna son sexe, faisant gémir Mélinda, qui se pinça les lèvres.

« Haaa... »

Immédiatement, il y eut comme une réaction le long de ce membre, une sorte de tension qui se mit à croître. Mélinda soupira en sentant ce sexe durcir légèrement, se redressant un peu. Ximma était proche d’elle, et elle posa ses mains sur ses hanches, puis lui sourit, quand cette dernière lui demanda d’y aller doucement. Elle se pencha vers elle, au moins soulagée et rassurée de voir que Ximam pouvait palper ce sexe sans paniquer comme Limma le faisait. Néanmoins, Mélinda remarqua que Ximma ne semblait pas tentée par ce qu’elle voyait. La vampire sourit, et alla l’embrasser sur les lèvres, brièvement, comme pour consentir à ce qu’elle venait de dire.

« Je suis toujours douce... Mais, crois-moi, c’est toi qui voudras que j’accélère le rythme... »

Elle attendit quelques secondes, puis remonta sa main, la posant sur la nuque de Ximma, puis en profita pour l’embrasser. Ses lèvres se pressèrent contre les siennes, dans un tendre échange, et elle le prolongea pendant quelques secondes, son corps venant se serrer contre le sien. Ximma, de fait, était aussi belle que Limma ou Xia, et c’était un vrai régal de l’embrasser, et encore plus de savoir qu’elle allait la dépuceler. Le bout de son sexe vint à caresser son ventre, et la vampire, sans s’interrompre, poursuivit son étreinte, mordillant la lèvre inférieure de la femme, la tirant en arrière, l’avalant entre ses dents, avant de fourrer sa langue dans la sienne. Mélinda jouait avec elle, la titillait, l’excitait lentement, échauffant son désir, afin de lui donner envie de lui faire l’amour, qu’elle n’ait pas l’impression de faire ça uniquement parce qu’elle était forcée de le faire, pour rassurer Limma. La belle vampire tenait tout de même à ce que le plaisir soit réciproque.

Les deux femmes s’embrassèrent donc pendant un certain temps, le baiser devenant de plus en plus langoureux. Les langues se mélangeaient, roulaient ensemble, et Mélinda finit par rompre le baiser, en souriant.

« Allons-y en douceur, donc... J’aime la manière dont tu caresses mon sexe avec tes doigts. »

Elle laissa planer quelques secondes, ses yeux verts pétillant de malice, et enchaîna :

« Que dirais-tu de le caresser avec ta bouche, maintenant ? »

On approchait de l’instant de vérité, ce moment où le public retenait son souffle, en sachant que les prochains instants allaient être décisifs. Mélinda avait proposé à Ximma de le prendre en bouche, s’aventurant peut-êtreun peu trop. De fait, Ximma avait déjà fait de grands progrès en touchant ce sexe et en le masturbant. Maintenant, la vampire se risquait à quelque chose de plus intense. Elle prenait des risques, oui... Mais c’était ainsi qu’elle avait toujours fonctionné, et elle ne comptait pas s’arrêter maintenant. Se pinçant les lèvres, elle pouvait sentir le cœur de Ximma, qui battait à toute allure dans sa poitrine... Mais battait-il sous l’effet de l’excitation qu’elle ressentait... Ou de sa peur ? Difficile à dire... La vampire pouvait juste sentir de fortes palpitations sanguines, mais nullement en discerner les origines.

Elle se mordilla donc les lèvres, et sentit un immense soulagement la traverser quand Ximma se mit à genoux devant elle, et entreprit donc de la sucer. Elle approcha sa belle bouche de son sexe. Serrant les poings, Mélinda se détendit... Et soupira en entendant les bruits de succion, et en sentant la petite bouche de la femme filer le long de son sexe. La boule nerveuse qui raisonnait dans son ventre se dilua rapidement, et elle sentit tous ses muscles se relâcher, la vampire soupirant profondément de plaisir.

« Haaaa... »

Oh, si c’était bon ! Être là, debout, à se faire sucer... Ça, ça valait tout l’or du monde ! Mélinda était bien loin de se douter que Ximma était en train d’affronter les souvenirs de Limma, mais, pour autant, la vampire se doutait bien que, pour Ximma, ce devait être une épreuve déroutante... D’un autre côté, Mélinda était incapable de pouvoir se dire à quoi devait ressembler la psyché de cette femme, avec ces deux morceaux d’âmes qui coïncidaient en un même esprit. Sa main finit par se déplacer, et caressa les cheveux de Ximma, glissant sur son crâne.

« Ohhhh... Oui, Ximma, hummm... C’est bien, ma chérie, c’est très bien... »

Difficile de prétendre le contraire ! Le sexe de Mélinda était en train de se durcir, surtout au contact de la langue de la femme. Mais, bien décidée à remplir son rôle de Maîtresse jusqu’au bout, la vampire s’empressa de lui prodiguer quelques secondes :

« Là... Pose tes mains sur mes fesses, prends appui sur mon corps... Pense à bien respirer par le nez, ma.... Hummm... Ma chérie. Laisse-toi aller, tout simplement... Laisse-toi aller. »

Oui, c’était aussi simple que ça. Se laisser aller... Suivre la vague, et agir. Ximma s’en sortait bien.

Et c’était franchement bandant.

À genoux devant sa Maîtresse, Ximma était clairement en train de lui faire plaisir. Debout au milieu de la salle, jambes écartées, Mélinda soupirait, ses longs cheveux tombant à gauche et à droite de sa tête, cachant partiellement, par le biais de quelques sauvages mèches de cheveux, ses seins ronds et tendus. Ses tétons pointaient en avant, et, avec ses jambes écartées, Mélinda continuait à sentir la bouche de Ximma glisser le long de sa hampe de chair, filant d’avant en arrière. Ah, que c’était agréable ! La vampire adorait tout simplement ça, ce moment, cette douceur exquise qui se diffusait dans son corps... Ses doigts venaient se crisper sur ses cheveux, et on pouvait l’entendre gémir, excitant les femmes autour d’elles. Certaines commençaient déjà à se caresser, que ce soit en se palpant le sein, ou tout simplement en se masturbant, tandis que d’autres commençaient déjà à s’embrasser tendrement et goulûment. Une douce et chaude ambiance que Mélinda appréciait, et ce tout autant que de sentir en elle la bouche de Ximma remuer. Progressivement, l’esclave s’enfonçait, avalant de plus en plus ce sexe.

Mélinda continuait à se faire plaisir, ne ressentant absolument aucune gêne à l’idée de coucher en plein milieu de son public. Le sexe public ne l’avait, de fait, jamais dérangé, et c’était une chose qu’on pouvait observer en ce moment. Ses mains se crispaient sur la chevelure de la femme, et elle sentit ensuite les mains de Ximma venir se déposer sur ses fesses, les pressant et les malaxant.

« Haaaa... »

La vampire soupirait de plaisir, et sentit ses ongles pousser un peu. Sans faire mal à Ximma, ils caressèrent mieux ses mèches de cheveux. Une fellation tout en s’attaquant à ses fesses... Que demander de mieux ? Sa belle esclave était de retour, et avait enfin trouvé une solution pour satisfaire toutes les parties de sa Maîtresse... Ah, de merveilleuses choses allaient mal se dérouler entre elles ! Mélinda s’en faisait le serment, tout en continuant à légèrement se balancer, d’avant en arrière, accompagnant ainsi délicatement les mouvements buccaux de la femme. Yeux parfois clos, la vampire soupirait, le plaisir continuant à affluer dans tout son corps, comme des vagues qui accroissaient progressivement dans son corps.

Mélinda continuait donc à soupirer, jusqu’à sentir la main de Ximma se transformer... Elle entendit alors de petits soupirs, des cris de surprise, puis sentit alors quelque chose de froid heurter sa croupe.

« Haaa... ! »

Surpris, Mélinda crispa davantage encore ses mains sur les cheveux de Ximma, puis sentit quelque chose de froid et de tendre rentrer en elle. Le soupir de Mélinda s’étira un peu. Un gros phallus était en train de rentrer en elle, et elle soupira longuement, des gouttes de sueur glissant le long de ses joues, son propre membre venant durcir encore un peu à ce contact très inattendu... Mais non désagréable.

« Hnnn... »

Les dents serrés, Mélinda sentit le plaisir croître, tout comme sa chaleur interne... Et elle remua encore plus rapidement son bassin, donnant ainsi une impulsion de plus en plus forte.

Visiblement, Ximma était revenue la voir avec quelques tours supplémentaires en poche...

Ximma continuai sa fellation, l'appréciant bien plus qu'elle ne l'aurait imaginé. Même les manières devenues un peu plus brusque de sa maitresse suite à son excitation, ne la dérangeait pas. Se servant de sa langue pour analyser le membre de Mélinda, dans un mouvement d'abord de surprise généra elle avait transformé la lame de son épée en un gode réplique parfaite de ce sexe. Dans sans dos sans que cette dernière le voit, elle lui enfonça dans son cul. D'après les souvenirs de l'esclave c'était l'un des plaisirs préféré de la vampire. Le membre de métal bien caler entre les fesses, il ne restait plus qu'à le bouger, si sa position et les mouvements de Mélinda empêchait de bouger sa main et son poignet correctement pour faire les mouvements de vas et viens, il y avait une autre solution. Il lui suffisait d'absorber en partie l'objet dans son poignet et de le refaire sortir en boucle, créant ainsi un parfait mouvement de pénétration.

Voyant que cette initiative ne déplaisait pas à sa Maitresse, elle poursuivie ainsi la pénétration en lui offrant la fellation. Ce qui se passait autour ne l'affectait pas, ou plutôt elle n'y faisait pas attention, comme quand elle avait sorti sa lame dans le dos de sa maitresse. Ainsi elle poursuivie jusqu'à recevoir la jouissance de Mélinda en pleine bouche. Une sensation vraiment étrange. Il ne faut pas oublier que c'était la première fois pour elle. Elle retira sa bouche et réabsorba entièrement la réplique du sexe de Mélinda.

-Ce n'était pas si désagréable.

En se retirant, elle ut de nouveau la vue du sexe devant elle ce qui l'écœura aussitôt, c'était vraiment la vue de se sexe qui l'écœurait. Bien étrange comme situation. Le teste était en partie réussi. Maintenant il restait un dernier teste à faire pour voir. Elle se releva et posa ses fesses sur la table où elle venait de manger. Avec l'une de ses mains elle écarta la tissu de son body noir laissant apparaitre son sexe.

-Maitresse, j'aimerai tester plus loin.

Une sodomie accompagnée d’une fellation... Un mélange ravissant, bien loin de déplaire à Mélinda, dont le membre continuait à être englouti par l’agréable bouche de Ximma. Pour une première fois, cette dernière s’en sortait avec les honneurs. De plus, elle avait été jusqu’à pousser le vide en manipulant une sorte de queue caudale argentée. La douleur éclatait ainsi dans tout le corps de la vampire, une douleur jouissive, une douleur qui était à la base d’une vague incroyable et magnifique de plaisir, un plaisir qu’elle exprimait par des soupirs forts et multiples, crispant ses mains sur les cheveux de la femme, de sa partenaire. Ah, que c’était bon ! Une fellation, un plaisir simple, magnifique... Elle sentait cette belle bouche gober son sexe, remuant dessus, d’avant en arrière, rapprochant doucement, mais sûrement, Mélinda de la jouissance.

« Haaa... »

Dans de longs soupirs, la vampire finit par se lâcher, en sentant le plaisir exploser. Elle se déversa dans la bouche de Ximma, lui offrant son foutre, puis, ensuite, après cette généreuse explosion, son esclave se retira, lui rendant ses fesses, faisant tituber pendant quelques secondes Mélinda. Son corps était parcouru de plaques rouges qui trahissaient tout son plaisir, toute son envie, et tout l’effort physique que cette fellation accompagnée d’une sodomie avait été.

Ximma se redressa donc, et, après un bref regard assez courroucé vers le phallus de Mélinda, elle planta à nouveau son regard dans les yeux de sa Maîtresse, et lui avoua que ça n’avait pas été si désagréable, faisant sourire la vampire.

« Évidemment... »

Tout ça était très positif, et prometteur d’un futur doucereux et pervers comme il le fallait. En souriant, Mélinda vit Ximma se rapprocher de la table, avant de relever son body noir, laissant ainsi transparaître son sexe. Mélinda sourit donc, puis se rapprocha, et sa main vint s’appuyer sur la nuque de Ximma.

« Oh, ma petite... Quelle énergie ! Les câlins de ta Maîtresse t’ont manqué, à ce que je vois. »

Mélinda se rapprocha donc, le sexe raide, tendu, et vint le glisser dans la fente de la jeune femme, en poussant un long soupir de plaisir, la pénétrant en la laissant toute vêtue, venant descendre et déplacer ses mains pour soulever le corps de Ximma, et ainsi faciliter l’accès à son intimité, et à leurs ébats sexuels.

Une danse simple et magnifique.

Ximma tenait son vêtement décalé et attendait la réaction de sa maitresse. Elle sentait encore le gout de sa semence en bouche et maintenant elle réclamait la même chose dans son sexe. En même temps, Ximma ressentait une certaine peur, même si à travers les souvenirs elle savait ce qu'était le plaisir du sexe, c'était quand même la première fois qu'elle allait y goûté elle-même. L'esclave en avait pas mal abusé et en avait autant souffert qu'elle en avait profité, la démone ne s'y était jamais intéressé jusqu'à peu, mais elle qu'es qu'elle allait en ressentir?

Melinda S'approcha sans la moindre hésitation et lui rentra directement son sexe dans le sien. Il y eut une faible résistance, puis une douleur brève. Son corps était encore vierge, un léger filet de sang noir le prouva. Malgré ça elle resta silencieuse et ne poussa aucun cri de douleur, après tout c'était vite passé. La vampire la souleva alors leur corps s'emboitant le plus naturellement du monde, leur deux sexes formant l'union de leur deux corps. Pour une vampire comme sa maitresse, la portée ainsi n'était pas difficile surtout que Ximma était légère. Ce qui était ironique quand on savait la quantité de métaux que son corps avait absorbé. Ximma se tenait à elle en passant ses bras autour de son cou. Elle sentait bien le sexe de Melinda enfoncer profondément en elle, une sensation étrange, mais pas désagréable, qui étrangement lui plaisait même plutôt pas mal. Et pourtant ce n'était qu'un début, elle savait de souvenir que le sexe avait encore tant d'autre facette.

-C'est bon Maitresse, je suis prête.

Ainsi, elle se laissa porter par les mouvements de Melinda, sentait le frottement de son sexe en elle, lui procurant un plaisir nouveau et des plus agréables. Si le sexe était aussi bon, servir sexuellement sa Maitresse allait être un véritable plaisir. Mais si le sexe était si agréable, comment ce même plaisir avait pu tant faire souffrir Limma ? Tout ça était compliqué et là elle n'était pas vraiment en état de réfléchir.

Inutile de dire que Mélinda avait eu un fort sentiment d’appréhension en s’approchant. Elle se souvenait de la forte répulsion que Limma avait ressenti face à l’idée de faire l’amour avec un phallus... Sa peur du sexe masculin était un profond traumatisme, contre lequel Mélinda n’avait jamais rien pu faire, à son grand désespoir. En s’approchant de Limma avec sa queue tendue, ou, plutôt, de Ximma, elle avait donc peur d’avoir un rejet, même après la fellation. Fort heureusement, tout se déroula comme dans un rêve, et, quand le membre de Mélinda alla s’enfoncer dans son corps, elle ne sentit aucune résistance mentale... Physiquement, en revanche, son adrénaline s’accrut quand elle sentit clairement le sang virginal de Ximma glisser le long de son sexe.

« Haaa... »

Ensuite... Ensuite, ce fut une pénétration classique. Mélinda était debout, mains posées sur les hanches de Ximma, les déplaçant rapidement pour les crisper sur ses fesses, et, Ximma, elle, s’enroulait autour du corps de sa Maîtresse. Et, ensemble, elles faisaient joyeusement l’amour, la queue de la vampire continuait à remuer en elle, de plus en plus vite. Leurs corps se pressaient l’un contre l’autre, et Mélinda embrassa tendrement Ximma, venant la plaquer contre le mur, remontant l’une de ses mains pour saisir ses cheveux.

*Oui, oui, c’est parfait, parfait...*

Ximma s’avérait être une très bonne amante, douce et agréable, et Mélinda se déplaça, sa bouche s’écartant des lèvres de la femme pour embrasser son cou, tandis qu’elle continuait à prendre cette petite vierge. Ximma était décidemment une femme bien mystérieuse, trois âmes en un seul esprit, mais, en ce moment, la pénétrer était particulièrement délicieux.

« Laisse-toi porter, ma chérie... Hum... Coucher avec toi est... Très agréable, haaa... »

Très agréable, en effet, et Mélinda continuait à remuer en elle, de plus en plus vite. Le dos de Ximma tapait contre le mur, et la vampire la prenait ainsi. Elle avait beau coucher depuis des éons, et avoir défloré un grand nombre de femmes (et d’hommes), coucher s’avérait être toujours aussi excitant pour elle, comme une sorte de drogue dont elle ne pouvait pas se passer. Elle continuait donc à la prendre, en attendant le moment où Ximma achèverait d’enterrer son traumatisme... En lui concédant un bel orgasme.