The Multiversity

Noxine venais de se dévêtir de son pull lui servant de robe, se retrouvant en porte-jarretelle et string, mais ne portant rien au haut. Ainsi ses formes dévoilé tout comme ça poitrine, elle c’était alors replacé sur délégué qui la dévorait du regard. Noxine l’invita alors à la touché, de venir découvrir son corps. Vue qu’elle était en partie là pour sa première fois entre fille, mais aussi pour se confirmé cette attirance, Noxine voulait étudier ses réactions. En prenant trop les devant, elle avait peur de la forcé. Bien que le fait qu’elle est décidé de payer une prostituée pour expérimenté ça, montrait quand même déjà une certaine assurance dans ses goûts.

Kaori commença à poser ses mains sur elle, venant même collé ses joues contre elle. Plus une sorte de câlin érotique qu’autre chose, mais ça ne la dérangeait pas du tout. Il devenait évident qu’elle la désirait, son attirance physique pour les femmes était démontrée et l’excitation commençait à monter chez la déléguée, qui n’hésitait même plus à la prononcé.

-C’est ça continue, caresse mon corps, sert toi de tes mains, de ta bouche ou même de ta langue si tu veux. N’ai pas honte de testé tout se que tu veux. Mon corps est tout à toi.

Elle lui sourit se flottant un peu contre elle, surtout avec sa poitrine qui était nue contre son visage, puis, elle vient alors se penché pour soufflé doucement sur l’oreille.

-Puis quand tu te sentira prête, je m’occuperais de toi et je te montrerais comment une fille donne du plaisir à une autre.

Elle avait dit ça en passant une main sur sa jambe, passant proche de son intimité sans pour autant y touché. Pour le moment Noxine attendait de voir ce qui l’intéressait entre prendre du plaisir avec une fille ou en touché une. Peut-être même qu’elle ne se sentirait pas prête se fois ci, peut-être qu’elle ne la toucherait pas. Mais Noxine, même si elle était payée pour, commençait à avoir aussi envie de cette fille encore en découverte de ses envies, il fait dire qu’elle était bien plus mignonne quand elle se montrait elle-même.

Kaori était en train d’admettre ses penchants homosexuels, son attirance pour les femmes. En voyant Noxine se déshabiller, en admirant ses formes, ce corps anguleux et sa belle poitrine qui pointait sous son pull trop large pour elle, Kaori sentit l’adrénaline battre en elle. Sa tempe adoptait un rythme diffus, sourd, et la jeune femme soupira encore en continuant à se caresser contre elle. Noxine l’encouragea en ce sens, et Kaori croisa son regard, venant alors l’embrasser. Elle posa sa bouche sur ses lèvres, et ferma les yeux, s’absorbant dans ce baiser, ses mains se posant sur les joues de Noxine. Ses doigts glissèrent sur son menton, ses ongles caressant cette peau fine et douce. Pas de poils qui venaient piquer, juste une belle peau de bébé.

« Hmmm… »

Elle poussa un peu, s’appuyant contre le corps de Noxine, et frémit en sentant les doigts de sa partenaire titiller sa fleur intime. Elle la poussa donc, et Noxine se retrouva couchée sur le lit. Rompant le baiser, Kaori l’observa encore, frissonnant sur place.

« Tu es magnifique… »

Kaori se pencha vers elle, et l’embrassa sur l’épaule, puis descendit. Comme Noxine l’avait invité à le faire, elle se mit à l’explorer, à détailler son corps avec ses lèvres, glissant dessus, embrassant sa peau, continuant à la découvrir, à la parcourir… Le désir croissait encore en elle, continuant à pulser dans son corps, son cœur remuant dans sa poitrine.

La jeune femme soupira doucement, continuant à descendre, jusqu’à atteindre le nombril de Noxine, qu’elle lécha avec appétit, soupirant sur place. Elle aimait l’embrasser, et on aurait presque pu y voir une sorte de dévote, mais elle découvrait surtout le plaisir féminin.

« Allez… Montre-moi… Montre-moi le plaisir féminin, Noxine ! »

Après avoir invité Kaori à découvrir son corps, elle laissa cette dernière la basculé pour inversé leur position. Noxine la laissa donc se placé sur elle et senti alors la langue de la déléguer, gouté sa peau, ses lèvres, passant sur son ventre.  Elle la laissa faire, c’était l’idée de lui laisser découvrir un autre corps féminin jusqu’à qu’elle se sente prête. Une chose était sûr Kaori appréciait son corps, elle le sentait dans ses gestes, son corps contre le siens était excité c’était évident.

-Hum en tout cas ça semble te plaire de me gouter ainsi. Tu es aussi gourmande d’habitude ?

C’était juste une petite taquinerie pour détendre l’atmosphère. En tout cas Noxine commençait à être excité par ce qu’elle lui faisait et sourit donc quand finalement, elle lui demanda enfin de lui montrer.

-Très bien, voyons si tu apprécies plus de te laisser aller à une femme qu’a un homme.

La gardant au-dessus d’elle, Noxine posa ses deux mains sur les fesses de sa cliente. Dans une mouvement doux semblable à une caresse, elle lui fit glissé sa culotte pour la laisser retombé le longs de ses jambes. Elle approcha l’une de ses mains venant tendrement caressé les lèvres intime pour juger de son état, puis vérifier la douceur de son sexe. Puis avec un sourire, elle l’attrapa par les fesses la tirant vers elle.

-Viens là que je te montre comment on sert de sa langue.

Elle l’aida à se placé au-dessus de de son visage, puis commença alors à lui lécher doucement le sexe, un début timide pour lui faire découvrir la sensation, mais elle ne traina pas dans la douceur bien longtemps. Elle vient lui faire un suçon sur son petit bouton, puis se lança alors dans un vrai cunnilingus. Noxine avait que des clientes et savais parfaitement comment et où utilisé sa langue pour satisfaire ses dernières. Il ne restait plus qu’a sondé avec sa langue les points les plus sensible de cette petite nouvelle.

Kaori soupira lentement. Noxine la titilla doucement sur le fait qu’elle était « gourmande », ce qui amena celle-ci à sourire légèrement. Elle n’était pas du genre à nier les évidences. La jeune femme n’avait pas froid aux yeux, et, quand elle avait abordé Noxine, ça avait été sans faux détours.

« J’ai dû l’être les premières fois… Mais j’avais toujours… Une espèce de blocage, l’impression de faire quelque chose qui n’était pas correct, sans pouvoir me l’expliquer. Là, avec toi, ça va… J’ai juste envie de me laisser aller, et de te baiser sans concession. »

C’était aussi simple que ça… Mais, à vrai dire, pour l’heure, elle voulait surtout laisser Noxine agir ! Ensuite, qui sait ? Elles avaient toute la nuit, et Kaori comptait bien prendre son temps avec elle ! Noxine déplaça ses mains, et tira sur la culotte de Kaori, la retirant. Kaori la laissa faire, puis Noxine alla ensuite se coucher sur le lit, invitant Kaori à la rejoindre. La déléguée se pinça les lèvres, chaudement excitée, et alla la rejoindre. Elle se plaça sur le lit, et se redressa un peu, venant à se positionner au-dessus de la tête de Noxine, puis écarta les jambes. Genoux enfoncés à droite et à gauche de sa tête, elle alla rapprocher son bassin, et frémit en sentant les mains de Noxine parcourir ses cuisses, glissant sur son bassin et sur ses fesses.

Un léger soupir la traversa, et ses joues s’empourprèrent délicatement. Voir le calme olympien de Kaori s’effacer était toujours un grand régal. Elle sentit la langue de Noxine s’enfoncer en elle, ce qui lui arracha un délicieux soupir. Crispant ses doigts, Kaori se mit à remuer de gauche à droite, d’avant en arrière, frottant ses lèvres intimes contre le nez et la bouche de sa partenaire.

« Oh… Oh ouais, hmm… Tu sais t’en server, haaaa… ! »

Assez rapidement, Noxine put sentir ses lèvres s’humidifier au contact des gouttelettes de plaisir de sa partenaire. Le plaisir commençait à ruisseler en elle. Elle mouillait, pour le dire simplement. Un plaisir sincère, authentique, qui ne demandait qu’à mûrir encore. Serrant et desserrant ses mains, elle remuait encore, essayant d’accompagner les mouvements buccaux de sa partenaire, ses coups de langue délicieux, incisifs…

« Hmmm… Haann… ! » gémit-elle, laissant le plaisir l’envahir.

Noxine ne fut pas surprise de constaté l’effet de ses coups de langue sur le sexe de la déléguer. Elle était même plutôt fière d’elle. Promenant ses mains sur ses fesses en même temps, en douce caresses, elle glissa sa langue en elle. Effectivement Noxine savais y faire, elle avait fait jouir plus d’une fois avec cette langue habille. Après avoir jaugé ses points les plus sensibles en fonction des réactions de Kaori, elle lui agrippa les fesses des deux mains, puis se concentra ses fameux points pour lui donner le maximum de plaisir. Le but étant de la faire jouir ou craqué une première fois, avant de voir si qui pourrais se passer par la suite. Bien que pour le moment c’était elle qui lui donné du plaisir, Kaori parlait de la baiser à plusieurs reprises et du coup elle était curieuse de voir ça. Elle ne relâcha ses agréable fesses qu’une fois qu’elle est reçut la bonne preuve de son plaisir ou une contestation de la cliente.

-Hum délicieux, j’espère autant pour toi ma cher.

Elle se lécha les lèvres, attendant de voir sa réaction pour ce premier acte.

Oh, que c’était bon ! Kaori était en train de succomber, de se laisser aller, face aux coups de langue appuyés de Noxine. Ah, c’est qu’elle savait y faire, la petite ! Le plaisir était au rendez-vous, montant progressivement. Noxine pouvait le sentir contre ses lèvres et contre sa langue, ce plaisir liquide qui suintait des parois intimes de la jeune femme. La déléguée de classe basculait, pouvant enfin sortir de son carcan, et exprimer ses vrais penchants. Ah, comme elle l’enviait, cette Noxine ! Si libre, si indépendante, elle pouvait assumer ses véritables penchants sexuels là où Kaori était encore enfermée dans cette image de jeune fille parfaite qu’on avait bâti pour elle. Et une jeune fille parfaite ne pouvait qu’être hétérosexuelle, naturellement ! Alors, elle se laissait faire, elle se laissait porter, jusqu’à ce que Noxine lui demande si elle appréciait tout ça. Le corps de Kaori parlait pour elle-même. Avait-elle joui ? Peut-être… Sûrement, même ! Elle se sentait toute engourdie, comme transie, habitée par cette vague de plaisir qui l’avait envahi fortement. Kaori était fébrile, et crispa ses doigts sur les fesses de Kaori pour retenir ses tremblements nerveux.

« Ouais… Putain, ouais, ce que tu es douée, ma belle… Il va falloir qu’on recouche ensemble ensuite, tu sais… »

C’était impératif ! Kaori devenait accroc. La langue de Noxine avait joué en elle, tapissant sa toile, s’installant sans aucune difficulté, s’imposant très naturellement. Kaori se déplaça ensuite, et se replaça face à Noxine, venant l’embrasser. Son visage habituellement si sérieux et sévère se fissurait pour la faire sourire. Elle était toute émoustillée, doucement et chaudement excitée. Un changement très impressionnant, mais qui n’était sûrement pas pour déplaire à Noxine !

« Tu as des jouets à disposition ? Je t’ai dit que je voulais te baiser, ma belle… Tu as un strap-on que je pourrais utiliser sur ton corps de rêve ? »

Elle l’embrassa à nouveau.

« Et… Dis-moi, est-ce que ça te gêne si, pendant nos ébats, je te considère… Comme… Comme ma petite-amie ? »

Fait encore plus troublant, Noxine pourrait voir que Kaori était en train de rougir !

Noxine continua à jouer de sa langue sur l’intimité de la déléguer pour finalement arrive à la faire à la faire jouir. Bonne nouvelle Kaori avait apprécier et pensait même déjà à recommencé.

-Si tu souhaites devenir une cliente régulière ça me vas. Tu as tout autant intérêt que moi à ce que ça reste secret, donc pourquoi pas.

Elle la relâchât la laissant bouger pour se placer comme elle le souhaitai, Kaori s’assied face à elle, alors que Noxine elle-même se mit assise. Kaori s’approcha alors pour l’embrassé, ce que Noxine laissa faire et partagea avec elle, un baiser doux. La déléguer se montrais de plus en plus sous sont vrais visage qui était à son gout bien plus sympa que l’image à l’école.

Kaori lui demanda alors si elle avait des jouets, depuis le début elle semblait avoir au moins une envie à mettre en place. Noxine lui sourit et lui montra alors le coffre au pied du lit.

-Regarde dans le coffre et prend ce que tu veux.

Mais avant de regardé, Kaori lui fit une autre demande, plus spécifique. Joué sa petite amie ? Pourquoi pas, pas mal de ses clientes la faisait joué un rôle de toute façon.

-Si tu veux, tu n’es pas la première à jouer des rôles pendant nos séance.

Elle lui sourit et la regarde approché du coffre. Le coffre était bien rangé, mais l’intérieur était bien remplie. Toute sorte de sexe toy, du gode classique au plus étrange, des œufs vibrant, il y avait même une partie clairement dédié au bdsm. Avec tout ça Noxine laissait voir les gouts de ses clientes. Il y avait de tout, et surtout de quoi trouvé son bonheur.

-Comme tu le vois je suis équipé pour satisfaire mes clientes.

Devenir une cliente régulière… À ce stade, cela semblait plutôt acté ! Kaori goûta donc aux lèvres de Noxine avec plaisir, puis Noxine récupéra un gros coffre, et le glissa à côté du lit, l’ouvrant. Kaori cligna des yeux en voyant que Noxine avait une sacrée collection ! Elle releva la tête vers Noxine, et lui sourit alors, tout en farfouillant dans la boîte.

« Mais ce n’est plus une cliente que tu dois satisfaire, ma chérie, c’est ta copine ! »

Et cela changeait quand même pas mal les choses. Kaori attrapa finalement ce qu’elle cherchait, et extirpa du coffre un élégant strap-on rose en latex, avec une belle verge sur le devant, mais aussi deux vibromasseurs internes, orientés pour rentrer dans sa chatte et dans son postérieur. Elle se pinça doucement les lèvres en observant cette pièce. Elle avait beau aimer les femmes, Kaori restait conçue comme n’importe qui. Elle aimait sentir un phallus en elle, elle aimait juste moins le fait qu’il soit porté par un homme. Elle croisa encore le regard de Noxine, qui put sentir sans difficulté dans les yeux de Kaori un désir sincère, l’envie palpable et sincère d’utiliser ce jouet. Il ne restait dès lors plus qu’une seule question à trancher… Qui allait l’enfiler ?

« Je… Je te laisse choisir… Si je le mets ou si tu le mets… »

Voir Kaori se montrer aussi fébrile était assurément un spectacle rare, quelque chose qui ne se voyait pas tous les jours !

Noxine resta assise sur le lit, laissant Kaori regardé dans le coffre. Ce dernier contenait toute sorte d’objet dédier au sexe et ses différentes pratiques. Certain elle les avait achetées, d’autre était des cadeaux de ses clientes pour s’en servir avec elle. Mais Noxine se doutais de ce qu’elle cherchait et ne fut donc pas surprise quand elle la vit alors sortir le fameux objet. Elle lui sourit la voyant encore un peu intimidé.

-Je te laisse le mettre, c’est ta première fois avec une fille non ? Tu dois avoir envie de faire ce que ça fait d’en pénétrer une. Surtout que c’est toi qui parlait de me prendre tout à l’heur non ?

Elle lui sourit la regardant l’enfiler, curieuse de voir si elle arriverais facilement à mettre les deux gode en elle. Puis pour jouer au rôle qu’elle lui avait demandé, elle ajouta avec un air malicieux.

-Puis tu as déjà pris ton pied, si je suis ta copine, il vas falloir me satisfaire à mon tour, tu ne penses pas ?

Noxine s’allongea alors sur le lit, qui avait largement la place pour Kaori aussi, puis attendit de voir comment elle comptait s’y prendre et par où.

-Aller ma belle, viens me faire l’amour comme tu en as toujours rêvé au point de prendre une prostituée pour réaliser ton fantasme.

Kaori était sous le charme de cette jeune femme. C’était une chose qu’elle ne pouvait nier, une attirance qu’elle ne pouvait contester. Frissonnant doucement, elle laissa Noxine agir, et celle-ci, non sans une pointe de malice, lui demanda de la pénétrer, d’enfiler ce strap-on, et de la prendre avec. La jeune bourgeoise en eut des frissons tout le long du corps, et fronça les sourcils en voyant Noxine se positionner, l’invitant à agir.

« Hmmm… Tu sais comment me parler, toi… »

La jeune femme s’en mordilla les lèvres, puis attrapa l’objet. Elle n’avait encore jamais fait ça. Utiliser un vibromasseur pour se masturber, oui, mais aller aussi loin, c’était… C’était inédit ! Elle frémit en remontant la culotte sur ses jambes, jusqu’à sentir les vibromasseurs contre ses cuisses. Kaori prit alors conscience qu’elle mouillait beaucoup, et releva encore le strap-on.

Un premier soupir s’échappa de ses lèvres quand elle enfonça le premier vibromasseur dans sa chatte. Kaori soupira doucement en se mordillant les lèvres, puis le second se glissa ensuite dans son fondement.

« Oh… ! »

Ainsi équipée, Kaori se retourna ensuite vers sa partenaire, serrant et décrispant ses poings. Le désir flamboyait dans ses yeux, et elle se rapprocha de la jeune femme.

« Hmm… Tu… Tu me mets dans un de ces états… Toi, une simple gourgandine… »

Les joues de Kaori avaient rougi, et elle caressait le gros gode de sa main libre, son autre main venant s’agripper à l’une des jambes de Kaori, la caressant doucement. Elle se déplaça encore, et bascula sur le lit. Elle se coucha contre sa partenaire, son souffle proche du sien, et soupira encore en sentant les godes s’enfoncer en elle, lui arrachant de nouveaux soupirs.

Sa bouche se plaqua à celle de Noxine, et elle l’embrassa énergiquement, voracement. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, et sa main se crispa sur ses cheveux. Elle frottait son corps dans la foulée contre Noxine, sentant sa peau, sa chaleur, sa douceur… Sa main se saisit à nouveau de son sexe artificiel, et elle l’orienta vers la chatte de Noxine, avant de retenir son souffle.

« Petite catin, tu vas couiner pour moi… ! » grogna-t-elle alors.

La fonction vibrante des vibromasseurs s’enclenche quand Kaori la pénétra, et sa vision se voilà provisoirement. Elle avait failli avoir un orgasme ! Reprenant ses esprits, Kaori commença à remuer, et donna de solides coups de reins, grognant et soupirant contre sa somptueuse partenaire…

Noxine s’amusa de voir qu’elle avait bien comprit son fonctionnement pour l’instant. Kaori était clairement porté par la découverte de sa première fois avec une fille. Si elle comptait revenir vers elle, elle se demande ce que ça donnera à ce moment-là. Elle se régala à observer la déléguée enfilé un à un les godes en elle, alors qu’elle finit par clipper la ceinture comme il faut. C’était délicieux à regarder et même à entendre avec ses petits gémissements. Noxine était bien excité par tout ça et fut ravie de la recevoir sur elle. S’embrassant l’une sur l’autre, Noxine la laissait faire suivant son envie, c’était important pour la découverte, ça ne sera peut-être pas le cas les prochaines fois.

Kaori ne l’avait pas pénétré tout de suite, commençant plutôt par s’allonger sur elle, caressant son corps, l’embrassant et jouant même avec ses cheveux. Puis finalement, elle la sentie glissé son jouet en elle. Gémissant doucement, elle la reçut et l’observant dans cette première pénétration d’une autre fille. Il n’y avait aucun doute à avoir, elle aimait ça, Kaori aimait le sexe avec d’autre fille et cette séance venait de la confirmé. Maintenant c’est à elle de géré cette attirance et voir ce qu’elle va en faire. En attendant, Kaori après un moment de flottement de quelque seconde, commença enfin à bouger en elle.

-Hum alors vas s’y, prend moi pour me faire couiné, fait moi gémir, fait jouir une autre fille et affirme sans retenue que tu aimes ça.

Pour Noxine c’était évident et surement pour Kaori, mais le dire et l’accepté à voix haute c’était autre chose. Mais le délégué ne semblait pas du genre à de défiler, bien sûr il n’était pas question de la dire à tout le monde, juste ici entre elle ou qui sait, peut-être qu’elle avait d’autre personne en tête ?
Commençant à gémir de plaisir, elle vient passé ses jambes autour d’elle, la maintenant en elle.

Kaori était heureuse, et elle avait de quoi l’être ! Ah, si seulement la société n’était pas aussi normée ! Il aurait été inconcevable qu’elle révèle à ses parents ses vrais penchants. Ses parents n’auraient pas compris, et Kaori aurait pu se retrouver en thérapie de conversion ! Elle avait vu des vidéos sur ce genre d’endroits, et cela avait l’air tout simplement effrayant ! Pour rien au monde, elle ne souhaitait se retrouver dans un endroit pareil, alors elle ne comptait pas crier sous tous les toits qu’elle aimait les femmes. Cela, ce serait son secret avec Noxine, et, au pire, si jamais Noxine devait l’ouvrir, personne ne croirait vraiment que l’une des filles les plus riches du lycée ait pu se taper une punkette. Son plan était donc parfait ! Tout ce qu’elle avait à faire, c’était prendre son pied, une chose que la jeune femme pouvait très bien faire ! Elle avait donc enfilé le strap-on, et sentit avec délice les deux godes vibrer et remuer chaudement en elle. Oh, que c’était bon ! S’allongeant contre Noxine, elle commença donc à la prendre, son corps s’unissant au sien.

« Haaaa… No-Noxine, hmmm… »

Noxine l’invita à la faire couiner, et Kaori lui sourit, retrouvant un peu de sa superbe. Elle serra sa main sur les cheveux de Noxine, s’y cramponnant, et alla l’embrasser avec force.

« Te faire couiner… Oh, ça, oui, tu vas couiner, ma belle ! »

Kaori sourit malicieusement, et l’embrassa à nouveau, fourrant sa langue dans sa bouche. Son corps se crispa contre celui de sa partenaire, et elle commença à remuer plus fortement, comme pour mieux sentir sa partenaire contre elle. Leurs deux corps se frottaient chaudement, et la chair commençait à claquer, au fur et à mesure que la machine se lançait, et que la sueur jaillissait. Noxine adorait ça, et un sourire de joie inondait ses lèvres. Dominer cette femme, cette magnifique punkette insoumise, c’était jouissif ! Elle soupira encore, et continua à la prendre, encore et encore.

« Tu… Tu aimes ça, hein ? Pe… Petite salope… ! »

Elle, en tout cas, elle aimait ça ! Elle adorait, même ! Kaori continuait à la prendre avec force, remuant encore et encore, s’unissant à sa beauté, la baisant avec passion !

Noxine la laissait l’embrassé, jouant même avec excitation avec leur langue. Il ne fallut pas longtemps à la délégué pour prendre de l’assurance et se lâché. Il était évident qu’elle aimait ça et avait surement attendu cette première fois depuis un moment. Le plaisir, l’excitation et la joie, tout ressortait avec tant d’évidence. Kaori aimais le sexe avec d’autre fille c’était évident. Après es qu’elle se contenterais de voir régulièrement une prostituée pour ça, c’était une autre histoire.

-Hum oui, j’adore ça ma belle.

Elle pouvait l’insulté de salope ça ne la dérangeait pas, d’autre de ses clientes n’hésitez pas à aller bien plus loin que ça. Noxine, gémissait de plaisir sans retenue, heureusement l’appartement isolait bien les bruits. Pour sa part, elle prenait tout autant son pied, bien que ça pouvait paraitre étrange, son excitation et son plaisir venait de la situation. Se faire payer pour le sexe, c’était son truc, se prostitué l’excitait au plus haut point, alors avoir réussi à avoir des clientes régulières était le pied. Si une nouvelle venais s’ajouté c’était encore mieux, car elle restait lesbienne et ne voulait pas d’homme dans ses clients. L’argents qu’elle en tirais, le coté secret à garder avec ses clientes, tout ça lui donnait une ambiance qui l’excitait grandement.

-Continue, fait jouir la pute que tu as engagé pour te satisfaire.

C’est alors qu’elle poussa un gémissement plus prononcé, sentant le plaisir monté en elle et finalement jouie à son tour.

Kaori pénétrait Noxine en missionnaire. Une posture classique, certes, mais diablement efficace ! Et, pour Kaori, elle n’était pas si classique, elle qui n’était pas habituée à coucher avec des femmes. Ceci étant dit, maintenant qu’elle y était, maintenant qu’elle la pénétrait, elle pouvait se laisser aller. Et que c’était bon ! Kaori aimait ça. Si elle avait encore des doutes sur son homosexualité, ceux-ci étaient levés ! Se voyait-elle ensuite coucher avec un homme ? Peut-être… S’il y avait une femme avec elle ! Kaori en était si heureuse qu’elle en perdait toute son agressivité, devenant beaucoup plus apaisée. Elle remuait en elle, sentant les deux vibromasseurs remuer chaudement en elle. Kaori soupira longuement, et revint à elle quand Noxine la provoqua. Elle soufflait sur ses lèvres, et ses yeux perdus dans le vague revinrent à elle.

« Hmmm… Tu… Tu me nargues, ma chérie… »

Kaori déplaça sa main, et empoigna les cheveux de Noxine. Elle serra ses doigts dessus, s’enfonçant jusqu’à la garde en elle en se repositionnant. Kaori gémit en sentant le cliquetis des vibromasseurs, et en les sentant surtout remuer profondément en elle. Elle l’embrassa alors, fortement, et mordilla la lèvre inférieure de Noxine, remuant sur elle, reprenant ses coups de reins.

« Oui… Une pute, une chienne… Tu es MA chienne ! Et tu es bonne, putain ! »

Bonne, si bonne… Oh, mais quel pied ! Kaori continuait à la prendre, s’enfonçant longuement en elle, énergiquement et passionnément. Elle la sentait mouiller, et elle déplaça son autre main, pinçant l’un des seins de Noxine, et pressa son téton, le coinçant entre deux doigts, et remua son sein, se délectant de la voir gémir et se tortiller sur place. Elle sourit alors, continuant à la prendre.

« Tu aimes ça, hein ? Je vais te prendre partout, ma chérie… Je vais faire de toi ma chienne ! Hmmm… !! »

Noxine prenait son pied et venait de jouir de la situation. Kaori prenait confiance en elle, n’hésitant pas à venir la tenir par les cheveux et à parler de façon plus cru. Bien qu’elle venait d’avoir un orgasme, ça ne semblait pas fini. Kaori semblait déterminé à continuer à jouer avec elle.

-Hum ça me fait plaisir de te voir comme ça, je me demande si les autres imagine leur déléguer comme ça.

Ça marchait aussi pour elle, la fille rebelle et geek qui était toujours isoler sur ses appareilles ou trainé dehors, qui l’imaginerais être une prostituée lesbiennes ? Surement pas grand monde, mais c’était aussi ça qui était excitant.

-Aussi perverse, avec un tel langage et à se payer une pute pour son plaisir, mais je te préfère comme ça, « délégué ».

Elle poussa un nouveau gémissement, se laissant aller au désir de sa cliente, elle semblait apprécier avoir le dessus pour le moment. Pour autant, ses petites provocations, semblait aussi l’excité, alors autant continué.

-Hum, si tu veux me prendre partout, montre moi, c’est par où la suite hum ?

Noxine ne manquait pas d’imagination à ce sujet bien sûr, mais restait à voir ce qu’elle allait vraiment faire, surtout qu’elle pouvait tout aussi bien profiter du coffre a « jouet » pour prendre d’autre accessoires pour aller plus loin.

En réalité, assez peu de gens devaient imaginer Kaori « comme ça ». Son homosexualité était quelque chose de bien caché, et ses parents pensaient toujours qu’elle se marierait avec un homme. Cette perspective faisait horreur à Kaori, qui ne supportait pas le contact masculin. Elle devait se retenir de vomir chaque fois que son petit-ami l’embrassait. Ils n’avaient encore rien fait d’autre ensemble parce que Kaori prétextait attendre le mariage pour ce genre de choses, espérant secrètement que cela découragerait tous ses amants. Elle pouvait volontiers se monter odieuse et infecte avec eux, ce qui était son moyen de défense pour les décourager. Devenir une vieille mégère ne motivait toutefois guère Kaori, et c’était pour éviter ça, pour éviter de devenir aussi desséchée et triste que sa mère, qu’elle avait décidé de se livrer à cette petite expérience avec Noxine… Une expérience au demeurant très concluante.

Kaori grogna quand Noxine l’appela « déléguée », et lui fit observer que les autres ne devaient sûrement pas s’attendre à ce que leur déléguée sache ce qu’elle faisait avec Noxine. Kaori fronça les sourcils, craignant pendant un temps que Noxine ne dise cela sérieusement.

« Hum… Ils diraient sans doute que je ne suis pas aussi coincée du cul qu’on le dit. Mais c’est de ta faute, tu n’as qu’à pas être aussi bonne ! »

Elle l’embrassa encore. Oh oui, elle adorait vraiment ça ! Très clairement, elle était faite pour les filles. Ce qu’elle ressentait ici n’avait rien à voir avec ces fois où son copain avaient voulu aller plus loin. Il n’y avait pas le même sentiment de blocage, de répulsion innée, mais au contraire une chaleur qui consumait son bas-ventre, et un désir palpable qui remontait dans la totalité de son corps, faisant vibrer chacune des parties de son corps. C’était une sensation exquise, jouissive, qui l’emportait avec joie. Elle mordilla les lèvres de Noxine dans ce nouveau baiser, continuant à remuer avec son strap-on en elle. C’était curieux, car, même si elle n’aimait pas les hommes, elle devait bien admettre qu’elle aimait l’idée de rapports phalliques.

*Dans un monde idéal, il faudrait des femmes avec des verges… Je suis sûre que ça doit bien exister quelque part !*

Kaori avait entendu de curieuses rumeurs là-dessus à Yoake, mais qu’elle n’avait encore jamais vraiment concrétisé. Pour l’heure, elle continuait à la prendre en missionnaire, mais les deux femmes venaient de jouir… Ou, du moins, Kaori venait de jouir. La Japonaise sourit quand Noxine lui demanda où elle comptait désormais la prendre, et Kaori se redressa.

« T’es une vraie chienne en rut, ma parole ! Et les chiennes, elles aiment s’en prendre plein le cul, alors… Retourne-toi, mets-toi à quatre pattes, et motive-moi à te prendre par là… Dis-moi combien tu aimes qu’on te défonce les fesses ! »

Noxine s’amusa de la réaction de Kaori, c’était pourtant elle qui venait de parler de la prendre de partout. Surement que l’excitation lui faisait un peu parler plus qu’elle s’en rendait compte. Se qui était compréhensible pour sa première fois, elle la trouvait même bien endurante.

-Hum si tu veux.

Suivant donc sa demande, Noxine se releva sur le lit et se mit alors à quatre patte dessus. Ses fesses vers le bord, ainsi Kaori pouvait confortablement la prendre de debout. Puis avec un sourire provocateur, elle regarda sa cliente.

-Tu te fait prendre le cul depuis tout à l’heure avec ta ceinture, si tu me montré si tu es capable de faire de même ?

Avec une de ses mains, Noxine viens prendre le jouet et la tire vers elle avec. Elle vient alors se retourner un peu et viens le sucer comme si elle lui faisait une fellation, la regardant dans les yeux. Puis quand elle fut satisfaite, elle reprit alors position.

-Aller viens donc me prendre par derrière ma belle, je sais que l’idée d’excite de me voir ainsi.

De nouveau à quatre patte, les fesses vers le bord du lit, elle la laissa rentré en elle avec son jouet, c’était un plus résistant que par devant, mais elle avait l’habitude aussi. Ainsi elle se laissant prendre avec plaisir, gémissant de plaisir. L’expérience avec cette nouvelle cliente était des plus intéressante. Suite à tout ça, il ne lui fallut pas longtemps pour jouir de nouveau et se laissa tombé sur le lit.

-Hum c’était bon, je pense qu’on peut en rester là pour une première Kaori non ?

Elle l’invita à se reposé sur le lit elle aussi, suite à ça. Puis reprit avec une de sérieux.

-Bien, tu peux m’ajouter et te vanté d’avoir ta prostituée privé. Tant que tu respectes ta partie de discrétion, je ferais de même. Tu peux faire appel à mes services quand tu veux et je t’enverrais mes disponibilités. Oh n’es pas peur d’expérimenté des choses avec moi j’ai l’habitude.

Madame Stanford était une professeure très perverse… Peut-être même trop perverse. Elle était un oiseau libre. Elle avait décidé de devenir professeur dans le seul but de coucher avec ses élèves, d’en faire des pervers invétérés, et son choix s’était porté sur Noxine. De son vrai Norine Mizuka, elle était la candidate idéale. Ashley avait découvert que Noxine finançait ses études et son studio avec un petit boulot d’informaticienne locale, et elle avait aussi découvert que Noxine était perverse, suffisamment perverse pour qu’Ashley trouve un moyen de se rapprocher d’elle. Sous le prétexte de réparer son ordinateur portable, Madame Stanford avait sympathisé avec elle. Elles avaient fait l’amour, et, suite à ça, Ashley était devenue la proxénète de Noxine, sa patronne. Chaque fois que Noxine avait un nouveau client, Ashley surveillait la chose grâce à des caméras cachées, non pas pour faire chanter lesdits clients, mais autant pour s’assurer que tout se passait bien pour sa petite protégée que par excitation personnelle.

Ashley avait de l’argent. Elle était la fille d’un diplomate, et elle percevait à ce titre une bonne rentrée d’argent, ce qui lui avait permis de mettre sur pied ce petit commerce. Noxine était autant son amante que son esclave, et Ashley se plaisait à lui faire faire plein d’activités sexuelles toutes plus osées les unes que les autres. Si la prostitution était la base, Ashley s’amusait aussi bien différemment avec elle. Elle essayait de savoir où était la limite de Noxine, mais celle-ci la surprenait continuellement en acceptant tout. Ashley gérait le planning de Noxine, et elle imposait parfois des « jours de soumission », une journée spéciale où elle devait faire tout ce que sa Maîtresse lui ordonnait. Et, après sa soirée avec Kaori, Noxine eut droit à une nouvelle « journée de soumission ».

Le lendemain, Noxine allait donc en cours. Ashley était naturellement sa professeure principale. Elle était une femme talentueuse, avec un QI très avancé, près de 150. Elle envoya un SMS à Noxine avant les cours, en début de matinée :

Très belle performance avec Kaori, tu étais magnifique, ma belle.

Viens me voir à mon bureau une demi-heure avant le début de tes cours, je t’ai préparé ton planning pour la journée.

Tu m’as fait mouiller, il va falloir assumer.

Personne ne se doutait du vice de Madame Stanford, car elle ne couchait qu’avec Noxine. Elle avait donné à celle-ci un double des clefs permettant d’utiliser les entrées de service du lycée, et ainsi pouvoir rejoindre son bureau, et se promener dans le lycée. Toutes les absences de Noxine étaient court-circuitées par Madame Stanford, qui évitait ainsi que ses parents ne soient au courant. Même si Noxine était en froid avec eux, Ashley parait à toute difficulté. Elle était donc dans son bureau. Les cours commençaient à 8h30, et il était 8h00. Ashley portait sa tenue de travail avec une chemise blanche et une longue jupe noire très moulante, avec des escarpins brillants.

*8h01…*

Sa montre était peut-être en avance, mais la Maîtresse n’avait jamais tort.

Et, aujourd’hui, la Maîtresse avait envie de beaucoup s’amuser avec Noxine !

Noxine se réveillât le lendemain sans trop de mal. Elle avait l’habitude de géré cette activité avec les cours. Avoir une nouvelle cliente lui faisait plaisir, surtout que ça c’était fait un peu par hasard, un peu comme toute les autres. Attrapant son portable en se levant, elle ne fut pas surprise de voir un sms de sa prof principale. Cette dernière était sa première cliente et était devenue sa proxénète. C’était elle qui géré son activé de prostituée, bien que ça pouvait être malsains qu’une prof prostitue une de ses élèves, l’une comme l’autre ne prenait pas mal de plaisir à cette étrange relation. 


En échange de son aide et sa protection en cas de besoin, Noxine devait de temps en temps, passé une journée à être son esclave. Justement, après avoir observé son travail avec la délégué, sa patronne, avait envie d’une tel journée. Noxine commença à se préparer comme d’habitude pour aller en cours, si ce n’est qu’elle arriva plus tôt que d’habitude. Profitant des clés que lui avait donné Ashley, sa patronne et maitresse du jour, elle traversa les couloirs et rejoint le bureau de prof principale.

-Bonjour Madame, comment allez-vous aujourd’hui ?

Noxine était curieuse de savoir ce qu’elle lui réservait pour cette journée de soumission, où elle devenait une esclave sexuelle au service de sa prof. Une journée qui s’annonçait intéressante.

Jamais personne n’aurait pu imaginer ce que Madame Stanford faisait en secret. Elle était une femme parfaitement insérée. Sa grande beauté se couplait à son intelligence accrue. Elle avait même un mari et deux enfants. Alors, qui aurait pu imaginer qu’elle fantasmait sur l’idée de prostituer l’une de ses élèves ? Elle avait choisi avec soin, elle savait qu’elle ne risquait rien. Le seul angle mort dans son dossier était justement qu’elle était bien trop brillante et intelligente pour être un simple professeur de lycée. Madame Stanford avait le profil pour enseigner à la Tōdai, la prestigieuse université de Tokyo, réputée être l’une des meilleures universités du monde. Elle avait pourtant décidé d’enseigner au lycée Jinmu. Ce matin, elle était dans son bureau, et observait ses différents jouets et autres éléments dans un coffre verrouillé. Noxine avait toute liberté d’agir, Madame Stanford gérait juste l’administratif. Noxine était trop jeune pour avoir un compte bancaire, ou pour souscrire un bail, il fallait bien une adulte pour gérer son activité. Ashley n’avait aucun droit de regard sur ses clients ou sur la fréquence, et elle ne prenait même pas la moindre commission, les fonds qu’elle prenant servant exclusivement à financer le matériel et la location de l’appartement.

Elle buvait un café en lisant des copies quand on toqua à la porte. Noxine entra. Elle n’avait pas encore enfilé son sailor fuku, et se présentait dans sa tenue de punk. Ashley sourit en reposant les copies qu’elle lisait, et se redressa lentement.

« Bonjour, Noxine. Non contente d’arriver en retard, tu oublies mon titre… Tu sais pourtant qui je suis aujourd’hui, n’est-ce pas ? Je suis ta Maîtresse, et tu as besoin, je crois, que je te rappelle ce titre. »

Ashley se chargerait de gérer l’absence de Noxine de ses cours pendant toute une journée. C’est ce qu’elle faisait à chaque fois, et avec un certain talent. Elle fit signe à Ashley de s’approcher. Devant son bureau, elle avait laissé sa grosse malle ouverte, montrant à l’intérieur de nombreux jouets divers.

« Je vais t’embrasser, viens sur mes genoux… Mais, avant ça, attrape l’une de mes cravaches, et retire ta culotte. »

Sa voix était douce, sensuelle, mais elle pouvait aussi se montrer ferme et autoritaire, comme en ce moment…