The Multiversity

L’observation de la chambre ne prit pas de temps. Il y avait le minimum et voilà tout. De toute manière, les yeux de Lissandre s’étaient posé sur l’essentiel dès que la porte avait été ouverte : le grand lit.

« J’aime bien les grands lits. C’est confortable et on peut faire plein de chose dedans. »

Après avoir donné un sourire malicieux, Lissandre se dirigea vers le grand lit et se laissa choir dedans. Elle s’attendait à pire niveau confort. Donc c’était une bonne surprise.

Lissandre s’allongea dans le grand lit. Elle prenait possession de son territoire. Puis elle se mit à agiter les bras et les jambes comme quand on est dans la neige pour dessiner un ange.

Puis elle se tourna pour poser son flanc contre le lit. Sa tête était maintenue dans sa main. Elle regarda alors Akisane pour lui dire :

« Tu comptes me rejoindre bientôt ? »

Elle aurait pu s’arrêter là mais, avec un sourire malicieux, elle ajouta :

« Tu vas jouer la timide ? »

Akisane regarda alors Lissandre qui n’avait pas trainé pour s’approprié le lit. Elle était déjà étendue dessus jouant presque comme une enfant, bien que ce qu’elle avait en tête était certainement bien plus adulte. Akisane ne savait toujours pas trop pourquoi elle avait si facilement accepté de la suivre. Lissandre lui demanda alors de la rejoindre et si elle comptait joué les timides.

-Sa vous plairez ?

D’un pas félin, elle s’avança à son tour ver le lit qui était le centre de la pièce et viens alors s’assoir sur le bord de ce dernier. Elle ne savait pas trop comment elle avait envie de faire ça, ses gouts et son manque de souvenir faisait qu’elle ne savait même pas pour elle-même.  Dans sa tête son idée était plus de se laisser faire, de se laisser porter par Lissandre et voir par la suite. La néko avait plusieurs fois ut la preuve que même sans savoir, comme porté par une mémoire corporelle elle arrivait à faire pas mal de chose d’instinct. Si son invitation ne l’avait pas rebuté et même attiré, c’est peut-être qu’elle aimait ce genre de chose.

-Je vous laisse guidé comme vous voulez, je vous suivrais. Je ne sais pas si c’est de la timidité, mais je ne sais pas du genre à commencer les choses.

C’est surtout qu’elle n’avait aucune idée de comment Lissandre aimait la chose et c’était surement le cas dans l’autre sens. Mais elle était persuadée que Lissandre de son côté saurais plus dans ses idées.

Son air timide. Sa démarche féline. Son hybridation avec un chat. Tout fait craquer Lissandre !

« Tu sais quoi ? Joue la timide. Ça fait partie de ton charme ! »

Lissandre se releva pour s’asseoir en tailleur sur le lit. Elle se rapprocha pour se trouver juste derrière le dos d’Akisana. Ses mains glissèrent alors dans son dos. Est-ce qu’elle devait la déshabiller ? Jouer avec les vêtements entre sa main et son sein ? Il y avait tellement de possibilités. Et le charme naturel d’Akisane perturbait les pensées de Lissandre.

« J’ai une idée. Tu voudrais te déshabiller sexy pour moi ? »

Oui. Ça paraissait être une bonne idée. Elle découvrirait alors lentement le corps qui la faisait rêver. Ce serait elle qui contrôlerait le rythme. Et elle devrait attendre qu’elle ait finie pour jouer la suite.

« Je resterais aussi sage que possible sur le lit jusqu’à ce que tu sois complètement nue et m’ait rejoint dans le lit. »

Et ensuite ? Ensuite, elle aviserait. Car peut-être Akisane ferait preuve d’initiative et la surprendrait !

Assise sur le lit, Akisane sentie Lissandre remué pour venir se placer dans son dos. Elle sentait les mouvements à travers le matelas et la chaleur de sa présence plus proche. Mais surtout elle ressentait son attirance envers elle. Comme si cette dernière était aussi lisible qu’un panneau, alors qu’elle n’était même pas dans son champ de vision. Lissandre lui demanda alors de se déshabillé devant elle, surement qu’elle était attiré de la voir nue et aussi curieuse de voir un peu plus de son corps félin.

-Si vous voulez, ça ne me dérange pas.

Akisane se leva donc de nouveau debout lui tournant le dos. Elle débuta par défaire son imposant pendentif qui la gênerais surement pour la suite. Elle ignorait si ce dernier avait une signification ou de la valeur, mais il lui plaisait bien en tout cas. Il faut déposer délicatement sur la table base, puis retira ses chaussures avant qu’Akisane se replace de dos à Lissandre. Cette fois ses doigts défaire les parties qui retenais sa robe en place et en quelque petit mouvement laissa alors tomber la robe à ses pieds. La néko dévoilant alors une queue de chat au-dessus de ses fesses, au pelage identique à sa chevelure. Lissandre pouvais alors admirer son corps plus attentivement, la voir déjà en sous-vêtements blanc avec des bas assortis, le tout à la fois élégant et simple, mais quand même un minimum travailler. Si elle regardait de plus près sa peau blanche, ne laissait paraitre aucune imperfection, pas de grain de beauté, pas cicatrice et semblait même la douceur d’un nouveau née. Elle se pencha alors pour faire glisser son premier bas le longs de sa jambe, elle faisait ça de façon naturel, mais c’était quand même agréable à voir, elle passant ensuite au second, ne restant plus qu’au sous-vêtements.

Akisane se retourna alors vers Lissandre, lui faisant maintenant face et s’approche d’elle montant alors à quatre patte devant elle.

-Voulez-vous, vous occupé du reste ?

Cette façon de parler si détaché. Comme si elle n’avait aucun sentiment. Ça fonctionnait très bien avec son attitude et avec Lissandre. Cette dernière avait de plus en plus envie de se lover contre cette chatte. Elle voulait jouer avec elle !

*Tiens, c’est quoi ce pendentif ? Un joli grigri ou un objet magique ? Bof, ce n’est pas important tout de suite maintenant. *

Ça avait été plus fort qu’elle. Ses yeux avaient suivi les mouvements de sa queue de chatte. Même sa tête avait commencé à osciller suivant les allers-retours de ce membre de la même couleur que les yeux d’Akisane. Il avait fallu qu’elle pose la question et qu’elle se rapproche à quatre pattes pour que Lissandre reprenne ses esprits.

« Que tu es belle, Akisane ! »

*Ta peau est magnifique. J’en serai presque jalouse ! *

Toujours assise en tailleurs sur le lit, les mains de Lissandre glissèrent sur les côtés du visage d’Akisane. Doucement, elle exerça une pression pour que sa partenaire du soir s’approche d’elle. De ses lèvres. Pour profiter d’un baiser.

« Ce n’est surement pas bien ce que je vais dire, mais je rêverais de t’offrir un collier à entourer autour de ton joli cou. Hi hi ! »

Après lui avoir délivré un sourire chaleureux, Lissandre chercha de nouveau les lèvres d’Akisane pour lui ravir un nouveau baiser. Ses mains glissèrent alors de ses joues à ses épaules. De ses épaules le long de son dos. Pour finalement trouver l’attache de son soutien-gorge. D’un mouvement agile, elle défit le système, laissant la poitrine de la chatte libérée !

« On a toute la nuit. Nous ne sommes pas pressées. Alors j’aimerai bien avoir un câlin. Un simple câlin, s’il te plaît. »

Sentir le poids d’Akisane sur elle. Ressentir sa poitrine écrasée contre sa petite à elle. Pouvoir caresser son dos et profiter de la douceur de sa peau. Pouvoir glisser ses mains et venir jouer avec sa queue. Ce n’était pas grand-chose comme geste, mais les petites attentions étaient autant une drogue qu’une autre. Lissandre n’avait pas la tête remplie d’une partie de baise intense hardcore. Lissandre restait avant tout une fille qui n’avait pas beaucoup d’amies à qui se confier et vers qui se réfugier.

Lissandre trouvait ce moment agréable. Allongée dans un lit. Une belle femme avec une opulente poitrine lui faisant un câlin. Il était certain que si un de ses hommes arrivait maintenant, les grossièretés et les sexes seraient de sortis. Mais l’esprit de Lissandre étaient à mille lieux de ça.

« Tu me fais vraiment penser à un chat de mon monde. Dans ton comportement. Dans ta douceur. Je ne dis pas pour te faire du mal ou autre. C’est juste que j’ai l’habitude de dire ce que je pense à voix haute. »

Ses mains glissèrent dans le dos d’Akisane. Sa peau était si douce. Et ses pensées partirent dans un nouveau rêve, encore. Elle s’imagina dans une grande chambre. Un grand lit avec des draps conçus par les meilleures mains du meilleur artisan. A travers les colonades, elle voyait un paysage exotique sous forme de désert fleurie. Et dans cette chambre où elle était une sorte de cheffe, une sorte d’harem de femmes-chats.

*Reprends-toi, Lissandre ! Akisane est là. Elle est bien réelle, elle. Et elle attend tes demandes. Elle ne semble pas avoir beaucoup d’initiatives. *

Les mains reprirent leur aventure. Elles butèrent sur cette queue en bas du dos. Elle était bien réelle. Très douce également. Lissandre la caressa d’une main tandis que la deuxième caressait la culotte qui restait. Au second aller-retour, la main se glissa entre la peau et le tissu. Alors ses idées furent beaucoup moins innocentes.

« Embrasse-moi, Akisane. »

Puis, à peine le baiser consommé, dans un sursaut d’énergie, Lissandre inversa les positions. C’était désormais Akisane qui était allongée sur le dos. Lissandre couvrit le ventre de sa partenaire de bisou. Ses mains attrapèrent des deux côtés sa culotte et la firent descendre le long de ses jambes.

« Je vais m’occuper de toi, jolie Akisane. »

Sitôt la culotte passée les chevilles et plus, Lissandre remonta. Elle déposa des bisous dans le creux des jambes. Se rapprochant de plus en plus de l’intimité d’Akisane. Lissandre releva la tête et donna un sourire malicieux.

« A moins que tu n’en aies pas envie ? A moins que je ne te plaise pas ? »

Sa langue glissa lentement. Juste au-dessus de son bouton de plaisir pour remonter juste au-dessous de son nombril.

Akisane c’était allonger sur Lissandre presque nue blottie contre elle, alors que cette dernière la comparait à un chat.  Elle s’en excusait même, alors qu’en réalité c’était pas si éloigné que ça. Après tout une néko était en partie féline. En tout pour Akisane ce n’était pas insultant, mais peut être que d’autre néko y voyait un coté rabaissant.

-Ce n’es rien. Si je suis un chat, vous êtes un singe malicieux.

Ce qui pouvait aussi être mignon, mais là aussi ça pouvait être mal pris peut être ? En tout cas ce n’était pas le but d’Akisane en tout cas. En tout cas pour le moment c’était plus de douce caresse qu’elle recevait de Lissandre, elle c’était attendu de perdre plus rapidement ce qui lui restait de vêtement. Recevoir ses caresses étaient cependant bien agréable, cette main qui passait sur sa queue, celle qui se glissait finalement dans la culotte qu’elle portait encore, passant alors sur ses fesses. L’humaine l’invita alors à l’embrassé, ce que la néko fit sans hésitation, ni même de signe de timidité, mais elle n’en profita pas longtemps. Lissandre en profita pour la faire basculé sur le côté et passa à son tour au-dessus d’elle. C’était à son tour d’être sur le dos et chevauché par une femme. Elle senti la bouche de l’humaine embrassé plusieurs fois ventre, puis ses mains se saisir de sa culotte pour venir finalement la retirer. Akisane commençait à sentir une certaine chaleur naitre en elle, c’était pour le moment très agréable. Lissandre s’amusa alors à la provoqué, a cherché à lui faire dire les choses, oui un singe malicieux.

-Si j’en es envie, mon corps le réclame, vous réclame…

La sentir si proche de son intimité…étrangement elle en avait envie, très envie, il y avait de l’excitation bien sûr, mais elle ne l’expliquait pas, mais ressentait comme un besoin, comme si c’était ce qu’elle devait faire, comme si c’était son objectif. Es que c’était lié à ses souvenir absent ? Es que le sexe était important pour elle ? Es que le sexe pourrait l’aidé à retrouver la mémoire ? Se que était sûr c’était que son corps lui était plus que près à recevoir tout ça.

*Un singe malicieux ? *

Lissandre avait failli rire sans contrôle. Mais la situation nouvelle d’être avec une neko au lit avait été plus puissant. Quel plaisir que de caresser cette vraie queue de chatte ! Et celle de retourner la neko pour obtenir une sensation de puissance. Oui, il n’y avait pas de quoi rire pour le moment.

Arrêtée dans ses gestes. Les mots si francs. L’envie déclarée de faire du sexe. Lissandre ne s’attendait pas à ça. Elle voyait toujours Akisane comme une fille timide avec un corps splendide. Elle n’avait pas imaginé qu’il pouvait y avoir une nymphomane derrière toute cette mignonnerie.

*Peut-être que je n’ai pas pu le prévoir parce qu’elle semble aussi surprise que moi ? Il ne manquerait plus que je sois dans le cas classique d’un film où le personnage est amnésique : ah ah ! *

« Quand tu me vouvoies, ça me donne des frissons. »

Ça renforçait son idée qu’Akisane était sa petite chatte à elle. Ça instaurait un fantasme de possession qui l’excitait. D’ailleurs, elle ne pouvait plus jouer et attendre. La langue de Lissandre glissa sur le sexe fermé d’Akisane. Sa langue remonta plusieurs fois pour humidifier son clitoris. Puis, elle chercha à pénétrer sa langue. Elle voulait voir sa délicieuse chair rosée à l’intérieur.

« Je te fais du bien, petite chatte ? »

Akisane regardait Lissandre sentant le désire monté en elle, oui maintenant elle en était convaincue, elle voulait passer le cap avec elle. Sentir son corps et qu’elle sent le sien. En tout cas cette réponse semblait surprendre l’humaine, bien qu’elle en semblait quand même ravie. Après lui avoir retiré sa culotte, finalement Lissandre viens passer sa langue sur son intimité, la faisant alors rougir un peu. La sensation qu’elle ressentie était des plus agréable, aimait ça c’était évident. Et elle n’hésita pas à le dire quand elle lui demanda.

-Miaou…oui c’est agréable.

Sans même s’en rendre compte, elle vient doucement refermé ses jambes dans une petite étreinte, pour l’invité à poursuivre. Elle s’en surprit elle-même, mais si ça dérangeait Lissandre, elle n’y mettait pas de force et pouvait s’en dégager facilement. Mais elle ne sentait pas que l’envie de ressentir davantage de plaisir, elle voulait aussi en donner...mais après, pour le moment elle se laissait faire, elle laissait diriger l’humaine qui semblait en plus apprécié ça. Après tout plus tôt elle avait même parler de lui passer un collier. Alors autant lui laisser se plaisir pour l’instant, ça ne lui contait pas beaucoup et elle ne semblait pas dangereuse.

Savourant les coups de langue de Lissandre, elle lâchait des petits miaulements de plaisir, alors que son corps montrait tous les signes de l’excitation.

-Miaou, vous aimez ça aussi ? Je vous plait ?

La neko révélait un autre visage suite à l’excitation qui conquérait son corps. Elle gardait sa belle peau et ses courbes sensuelles : et elle y gagnait en assurance. Sa timidité relationnelle s’envolait, laissant place à la réalisation de ses désirs. Preuve en était de ses jambes qui se refermait sur Lissandre et son travail de langue. Cette prison de chairs fit courir un frisson de plaisir dans le corps de l’humaine. Savoir que la neko s’affranchissait rendait la situation encore plus sexy.

« J’adore quand tu ronronnes. Ça me provoque des frissons, tu imagines même pas. Ça me donne encore plus envie de toi. De te donner du plaisir. Tu me plais et je veux t’entendre ronronner plus fort ! »

La langue de Lissandre quitta l’intimité de la neko. Elle remonta sur son ventre. S’attarda autour de chacun des deux tétons. Puis sa langue glissa sur les lèvres. S’y immisça à l’intérieur pour y avoir un baiser.

Durant ce baiser, sa main droite caressa le ventre de la neko. Elle glissa entre ses cuisses. Se contentant d’effleurer. Puis, alors que Lissandre donnait plus d’intensité à son baiser, elle rentra un doigt à l’intérieur. Doucement, elle la pénétra de sa main droite. Si elle mouillait, si elle ronronnait : si Lissandre attestait du plaisir de la neko, elle rentrerait un second doigt et irait plus énergiquement.

« Ronronne pour moi, petite chatte. » murmura-t-elle.

Les ronronnements continuaient. Ils se multipliaient même ! Lissandre adorait ça. Il y avait juste une chose qui avait tendance à briser la magie du moment.

« C’est dommage que ton visage reste si peu expressif. »

Un grand sourire étira les traits de l’humaine. Elle était femme à relever les challenges ! Et cette neko lui donnait envie de se dépasser. Ses doigts augmentèrent d’ailleurs d’intensité dans leurs mouvements de va et vient à l’intérieur de l’intimité de la neko.

« Je t’ai déjà fait ronronner. Je suis sûre que je peux te faire crier de plaisir, petite chatte ! »

Ses deux doigts pénétraient la chatte de la petite chatte. A cela, Lissandre appuya son pouce sur son bouton d’amour. De petits mouvements circulaires pour la stimuler à cet endroit en plus d’à l’intérieur de son intimité. Double plaisir pour deux fois plus de ronronnements ?

Sa langue retourna sur les tétons de la belle. Ils étaient bien plus durs et dressaient fièrement leur plaisir assumé. Lissandre devait y goûter. Elle voulait sentir ces petits bosses roses contre sa langue humide. Elle voulait sentir la neko frissonner et gémir sous ses traitements.

« Si tu es plus sensible à des endroits qu’à d’autre, dis-le-moi. Pareil, si tu as envie que je réalise un de tes fantasmes, qu’il soit petit ou grand : dis-le-moi ! Je me ferai un plaisir de te faire plaisir ! »

Akisane ne pouvais voir son propre visage, mais même là elle semblait ne pas transmettre d’émotion avec ce dernier, alors que le reste de son corps lui était bien parlant sur son plaisir. Il ignorait pourquoi elle était ainsi, peut être un traumatisme ? Après tout elle avait perdu la mémoire, ça pourrais être lié à la même cause. Enfin tout ça n’était que supposition et de toute façon elle n’avait pas là, la tête à réfléchir à ça. Le plaisir parcourait son corps, ses jambes encerclant le corps de l’humaine pour la maintenant contre elle et l’incité à continuer. Ce que cette dernière semblait déterminé à faire. Elle parlait même de la faire crier de plaisir. Akisane sentait ses doigts remués en elle et surtout Lissandre semblait savoir comment si prendre pour arriver à son objectif. La langue de l’humaine revenant à l’assaut de ses seins don les tétons pointait sous l’excitation de tout ce qu’elle faisait.

Alors qu’elle sentait le plaisir monté en elle, Akisane rouvrit les yeux au demande de Lissandre. Des points plus sensible que d’autre ? Elle n’en voyait pas spécialement plus que la normal, mais la question qui la perturba le plus était la seconde. Ses fantasmes ? Elle en avait aucune idée, l’idée d’avoir du sexe l’avait vite excité et attiré, c’était certain c’était pourquoi elle avait si facilement accepté de monté avec Lissandre dans cette chambre. Mais plus en détail…qu’es qu’elle avait vraiment envie ? Rien de plus qu’avoir une relation sexuelle lui venait à l’esprit, pas d’envie précise. Es que là encore c’était dû à sa perte de mémoire ? Ou peut-être à de l’inexpérience ?

-Hum, je n’ai pas de fantasme qui me viens en tête,… mais je me ferrais un plaisir de participer au vôtre.

Un réponse d’un calme surprenant, qui était à peine perturbé par le plaisir qui déformait ça voix.

-Je suis prête…hum à les découvrir et à les assouvir pour vous.

L’idée de lui faire se plaisir, l’idée d’être l’instrument de ses fantasmes, voilà qui l’excitait encore plus. Es que c’était son propre fantasme ? Réalisé celui des autres ?

« Pas de fantasmes ? Moh… c’est dommage, ça. »

La bouille de Lissandre était triste.

« Dans ce cas, on va faire en sorte de beaucoup jouer ensemble ! Je suis sûr qu’ils vont finir par arriver dans ta tête. Tu verras ! »

Des idées se bousculaient dans la tête. Elle avait cette même joie sur son visage que les enfants le soir de Noël. Et pendant qu’elle réfléchissait, elle déposait de petits baisers un peu partout. Sur le bout des lèvres d’Akisane. Dans son cou. Sur son omoplate. Sur la peau de son sein. Sur la pointe de son téton.

« J’ai bien une idée mais je ne te connais pas assez pour savoir si on peut le faire ou non. »

Le visage de Lissandre était remonté pour regarder Akisane dans les yeux. Dans les yeux de l’humaine, il y avait de petites étoiles d’envie qui brillaient. Sa main droite glissait sur le flanc de la neko. Juste du bout des doigts. Une mignonne caresse.

« J’aimerai beaucoup te voir comme une chatte. Que tu marches à quatre pattes. Ce qui serait excitant, c’est que ce soit en public ! Mais je m’emballe, pardon. Je ne te connais pas. Mais… je me dis peut-être dans le couloir ? Tu voudrais bien faire ça pour moi, petite chatte ? »

Lissandre semblait déçut de sa réponse, Akisane n’avait pas trouvé de fantasme particulier qui lui venais en tête. Ce qu’elles faisaient déjà ensemble lui convenais, mais si l’humaine avait d’autre idée, d’autre envie, elle était prête à la suivre. Qui sais ça pouvait peut-être éveiller des trucs en elle. Cette idée sembla faire vite changer d’humeur Lissandre qui semblait déjà réfléchir à quoi accomplir avec elle. Pendant que l’humaine était dans sa réflexion, cette dernière en couvrait de baiser, comme pour garder quand même en excitation pour la suite, avant de finalement avoir une idée, bien qu’hésitante.

-Je vous écoute ?

Akisane se demandait bien ce qui pouvais la faire hésiter, mais c’est vrais qu’elles ne se connaissaient pas, certain fantasme pouvais surement être gênant à avouer et surement pire à demander. Finalement Lissandre la regarda dans les yeux et lui avoua son envie. La voir comme une chatte, la faire marcher à quatre patte en public. C’était surement excitant, mais dangereux, une néko était facilement lié à l’esclavage et montré un tel image risquait de la mettre en danger.

-Je…d’accord, mais plus loin que le couloir, c’est risqué pour moi ce genre de chose vous savez ?

La vison érotique de la chose ne lui échappait pas, c’était même pour ça qu’Akisane acceptait, mais il lui fallait resté prudente sur les conséquences à la vue de tout le monde. Il y avait les risques que ça finissent plus loin qu’un simple jeu sexuel pour elle. Il ne lui restait plus qu’a lui faire confiance pour qu’elle reste raisonnable et la suivent que dans le couloir et espérait qu’il n’y est pas trop de monde, voir personne pour les voir.

Un grand sourire illumina le visage de Lissandre.

« Génial, petite chatte ! Je suis contente que tu veuilles bien essayer. Tu vas voir, ce sera une bonne expérience. J’en suis sure ! »

Après avoir tapé plusieurs fois dans ses mains de joie, elle bondit hors du lit et se retrouva très (trop ?) rapidement près de la porte. Sa main était déjà sur la poignée de la porte et elle n’attendait qu’un signe d’Akisane pour passer à l’action.

Et, inévitablement, elles sortirent toutes les deux. Lissandre debout et fière accompagnée d’Akisane nue et à quatre pattes comme l’animal terrestre. En soit, il n’y avait rien de sexuel dans cette péripétie. C’était un jeu de rôle. Certes, étrange. Plutôt un défi entre deux femmes qui avaient commencé à avoir du sexe ensemble.

« Petite chatte, je te le promets une nouvelle fois. On ne prendra pas beaucoup de risques. On n’ira pas très loin dans ce couloir. Je veux que ce soit une bonne expérience pour toi. Je ne veux pas que tu aies peur ou quoi que ce soit d’autre comme mauvaise sensation, d’accord ? Tu me fais confiance, petite chatte ? »

Forcément, il fallait qu’une porte s’ouvre. Les deux femmes se retrouvèrent face à un petit garçon qui gigotait sur place. Une main sur son entrejambe. Il n’arrêtait pas de dire pour lui-même « Pipi, pipi. Pipi. J’ai trop envie de faire pipi. »

Il y eut un moment de silence. Un moment où Lissandre réalisa que ce qu’elle venait de dire était désormais un mensonge. Car il y avait maintenant une prise de risque pour Akisane. Quant au petit garçon, il était désormais partagé entre son envie de faire pipi et sa curiosité à comprendre pourquoi il y avait une femme habillée bizarrement de quelque chose moulant et rose flashy accompagnant une femme nue et à quatre pattes.

L’envie de Lissandre était un peu particulière et surtout risqué pour elle. Sortir nue à quatre patte à ses côtés. Il n’était pas malvenue de pensé que des esclaves hybride ou non, vivait ça vraiment et non pas comme un jeu.

Pour autant Akisane décida d’accepté pour lui faire plaisir et quand elle vit la réaction de l’humaine, elle ne put que sourire à voir à quel point ça lui faisait plaisir. Après une forte démonstration de joie qui rappellerait une petite fille, enfin si son idée n’était pas si érotique, Lissandre attendait déjà à la porte de la chambre. La néko se leva donc du lit, toujours nue, puis se mit donc à quatre patte et se mit à marcher ainsi pour la rejoindre. Sa démarche n’était pas vraiment rapide, n’étant pas habitué à ça, pour autant avec sa queue dressée fièrement et ses oreilles de chat, elle avait vraiment l’allure d’une chate.

Lissandre ouvrit la porte et l’invita à la passé à ses côtés, se trouvant donc à quatre patte et nue dans le couloir de l’auberge. L’humaine lui fit alors un discourt pour la rassuré et lui dire qu’elle ne craindrais rien, mais à peine ses mots fini qu’une porte s’ouvrit face à elles. Un petit garçon sorti d’une autre chambre du couloir, il semblait pressé d’aller au toilette, mais se trouvant face à cet étrange duo, il s’arrêta étonner. Forcément face à une néko nue et à quatre patte, puis une humaine dans une tenue clairement pas de cette région, il était un peu perdu. Akisane se releva alors cachant de ses mains et de ses bras, ses partie intime, avant de sourire au garçon.

-Les toilettes c’est par là.

D’un signe de tête, elle lui montra la direction, puis se tourna vers Lissandre. Avant d’ajouté.

-Je ne l’ai pas trouvé, on devrais rentré j’ai froid…

Elle avait improvisé ça, alors que le garçon ne posa plus de question se souvenant de son envie pressante, il se mit à courir vers les toilettes. Quand il disparut dans à l’angle du couloir, elle reprit.

-Désoler il n’avait pas besoin de voir ça…Tu veux reprendre ? Ou c’est mieux de rentré ?

Même si elle avait réagie comme ça, elle ne voulait pas non plus gâché le plaisir de Lissandre, mais il fallait aussi resté prudente, elle lui laissa donc le choix, restant quand même à se couvrir et un peu cacher derrière l’humaine.

L’adrénaline était montée en flèche à l’apparition du petit garçon. Lissandre voyait déjà les prémices du scandale. Devoir débourser une richesse au propriétaire de l’établissement et devoir repartir rapidement alors qu’elle avait trouvé un lit confortable et une sorte de doudou vivant.

Mais Akisane l’avait surprise. Elle s’était relevée, avait tenté de se couvrir et inventer une excuse. L’enfant étant jeune, la vue d’une femme nue ne lui avait pas fait tourner la tête. L’envie était urgente, il avait filé rapidement pour aller se soulager. Au final, la péripétie était sans conséquence.

« Je pense qu’on devrait continuer de le chercher… »

Lissandre prit un air sérieux. Le doigt sur ses lèvres, elle avait pris une expression de quelqu’un qui cherche intensément. Sur le sol, sur les murs et même au plafond. Elle faisait semblant de chercher par rapport à l’excuse qu’elle avait sortie tout à l’heure à l’enfant.

Juste pour faire durer la situation un petit peu plus longtemps. Pour embarrasser Akisane et voir de magnifiques expressions sur son visage.

« Je suis désolé. J’avais envie de jouer encore un petit peu avec toi. Je t’avais promis qu’il n’y aurait pas de risques en sortant et on s’est fait surprendre trop rapidement. Rentrons dans la chambre, c’est mieux pour toi. »

Lissandre commença le mouvement et ouvrit la porte.

« Que tu rentres sur deux pattes ou sur quatre pattes, c’est ton choix, ma petite chatte. Mais une fois à l’intérieur, j’aimerai beaucoup savoir ce que tu as ressenti. Le fait d’être nu dehors. Le fait de marcher à quatre pattes. Le fait de te glisser dans le rôle d’une soumise. Je veux tout entendre parce que je ne suis pas dans ta tête. Selon ta réponse, ou selon tes nouvelles envies, je réfléchirais à la suite. D’accord ? »

Finalement libérée du garçon, Lissandre commença par l’embrasser, avant de lui dire de plutôt rentré après cette expérience. Elle lui laissa le choix de rentré debout ou de nouveau à quatre patte. Akisane avait remarqué comment ça lui faisait plaisir de l’avoir vue comme ça, alors pour le coup, elle se remit à quatre patte pour marcher et rentré de nouveau dans la chambre. Lissandre avait un sourire qui faisait plaisir à voir, alors Akisane n’était pas déranger de faire ça pour la faire sourire, bien qu’il y avait surement plus. La néko marcha donc ainsi jusqu’au lit, où elle monta dessus pour s’assoir normalement et finalement répondre au interrogation de l’humaine. Elle ne savait pas trop quoi répondre, mais tenta quand même au mieux.

-Hum difficile à expliquer…j’ai ut un peu peur au début en tant qu’hybride. Mais finalement ça ne m’a pas dérangé. Etre à quatre pattes et nue n’était pas déplaisant, surtout quand je voyais que ça vous faisait tant plaisir. Alors être soumise ne m’a pas déranger non plus, même si tout ça à était finalement bien court pour vraiment jugé.

Si finalement elle lui proposait de continué ou même d’approfondir, elle n’était pas contre. Mais peut être en prenant quand même moins de risque. L’idée d’être soumise comme elle en parlait ne la perturbait pas. Es que c’était un signe qu’elle était une esclave avant de perdre la mémoire ?