The Multiversity

Ethan, le jeune page qui venait de les servir, repartit donc. Ici, les serviteurs étaient souvent exploités sexuellement par leurs propriétaires, et, si ce n’était pas sa Maîtresse, quelqu’un d’autre trouverait quoi faire avec le jeune homme ! Juliette, elle, n’avait en tout cas d’yeux que pour sa Maîtresse. Désormais nue, elle avait fermé la porte, et enfila le collier autour de son cou, avec la laisse. Ses tétons durcis témoignaient du plaisir qu’elle ressentait, d’un désir fort. Ce soir, allait-elle perdre sa virginité ? Ce choix n’appartenait qu’à sa Maîtresse, bien sûr, mais être avec elle excitait toujours Juliette ! La jeune femme resta donc face à elle, jusqu’à ce que Décatis lui ordonne d’enfiler l’une de ses culottes préférées.

« Je… À vos ordres, Maî-Maîtresse… »

Juliette récupéra donc l’un de ses sous-vêtements préférés : une fine culotte noire avec, à l’arrière, une dentelle fine et une large ouverture sur ses fesses. Juliette le tendit donc à sa Maîtresse, qui l’infusa avec la magie. Juliette soupira en récupérant la culotte, se demandant naturellement dans sa tête ce que sa Maîtresse lui avait réservé. Elle frémit lentement, se pinçant les lèvres, puis enfila le sous-vêtement. Quand elle l’enfila, elle ne sentit rien de particulier. Le sourire de sa Maîtresse était néanmoins trop mutin et trop joueur pour être totalement innocent. Elle lui réservait quelque chose !

La jeune femme vit alors deux doigts de Décatis qu’elle plongea dans un Portail… Et sursauta quand elle sentit les doigts de sa Maîtresse dans sa chatte ! Elle écarquilla les yeux en soupirant, naturellement surprise. Sa culotte remua, comme si les doigts étaient à l’intérieur, et Juliette, en écartant les jambes, perdit son équilibre. Elle finit à genoux, soupirant et rougissant encore.

« Oh, Maîtresse… Vous ne cesserez jamais de me surprendre… »

De la mouille s’échappait de ses lèvres intimes. Cette situation ne pouvait que l’exciter, l’idée de sentir les doigts, la langue, ou autre chose, de sa Maîtresse, en elle, comme ça, sans prévenir… Elle couina encore quand les doigts remuèrent davantage, et Juliette rougit encore, en se pinçant les lèvres.

« Haaa… Maî-Maîtresse… ! »

Décatis se régalait de la situation, avoir ainsi ses doigts dans le sexe de sa soumise, sans à avoir à bouger de sa place. Bien sur, elle pouvait en faire bien plus, et elle comptait bien le faire, mais pas pour le moment. Elle observait Juliette tombé à genoux en résulta de se qu'elle lui faisait, la doigtant doucement en dégustant son thé.

-A partir de maintenant, chaque fois que tu la portera tu devra me le signaler. Histoire que je profite un peu de cet avantage. Je te le ferrais sur d'autre aussi, mais uniquement sur tes dessous préféré, c'est comprit?

En disant ça, elle viens lui pincé doucement son clitoris avec le sourire.

-Oh et bien sur je compte sur toi pour les portés régulièrement. Maintenant que tu es reconnue comme ma soumise, il est temps d'en profité d'avantage.

Tout en discutant, elle repris ses mouvements en elle, c'était plutôt doux, sans aller trop vite, mais Décatis savais utilisé ses doigts pour donné du plaisir.

-Maintenant ma belle Juliette, je veux que tu me parle un peu plus de toi et de tes envies. Plus besoin de se cacher, alors je veux que me dise tes fantasmes, que se soit avec moi ou non. Que soit réaliste ou non, je veux tout savoir, ensuite, moi ta Maitresse, je verrais se que j'en ferrais.

Elle était curieuse de savoir si elle allait se livré à elle ou non, entièrement ou pas. En tout cas tout en l'écoutant, ses doigts continuait ses aller retour dans son intimité comme si rien n'était.

-Hum ce thé est délicieux.

Juliette soupirait doucement en finissant à genoux, sentant les doigts de sa Maîtresse dans sa culotte, faisant remuer la culotte de l’intérieur. Elle se mordilla les lèvres en la sentant pincer son clitoris, soupirant doucement, tout en commençant à humidifier sa culotte. Sa Maîtresse jouait avec elle, et lui indiqua qu’elle risquait de réitérer l’expérience avec les meilleurs sous-vêtements de Juliette. La jeune femme rougit doucement, en se demandant précisément ce que sa Maîtresse avait en tête. Elle était à quatre pattes sur le sol. Devant elle, sa Maîtresse avait croisé les jambes, et buvait doucement son thé, tout en demandant à Juliette de lui avouer ses fantasmes. Celle-ci ferma brièvement les yeux en rougissant, voyant défiler dans sa tête un monceau d’images, toutes aussi osées les unes que les autres, des images assurément perverses, une série de fantasmes, un kaléidoscope de perversion. Elle rouvrit ensuite les yeux, reprenant ses esprits. Juliette se rapprocha à quatre pattes de sa Maîtresse, et donna un baiser sur sa botte, avant de lécher celle-ci.

« Oh, Maîtresse… Être votre chienne, c’est… Tout ce que je souhaite. Que vous me teniez par la laisse, que vous me forciez à marcher à quatre pattes en aboyant avec un vibromasseur équipé d’une fausse queue dans mes fesses… Hmmm… Que vous me frustriez… Ma virginité vous appartient, et rien ne me ferait plus plaisir que de vous l’offrir… Mais j’aime tellement quand vous me punissez et quand vous me frustrez, Maîtresse, quand vous ‘humiliez, moi, une Beaumont… J’aime sentir vos mains me fesser, j’aime quand vous m’attachez, quand vous m’étranglez, je vous vois me sodomiser, enfoncer votre verge dans ma bouche en me faisant boire votre urine… Je vous vois m’attacher la nuit, dormir sur moi en me masturbant, utiliser des culottes avec des vibromasseurs pour me faire jouir comme une petite catin… »

Elle frémit encore, se laissant peu à peu aller, mouillant de plus en plus en visualisant en vrac ce qu’elle disait.

« Là, tandis que je vous lèche, je fantasme à l’idée que vous fouettiez mes insolentes petites fesses. J’ai aussi rêvé d’être au harem Warren avec vous, de vous voir coucher avec cette Mélinda Warren, de vous deux en train de m’humilier, de me mordre et de me battre… Han, Maîtresse, parler de tout ça… C’est… C’est gênant ! »

D’autant plus gênant qu’elle se frottait les cuisses l’une à l’autre, et continuait à lécher sa botte, remontant lentement vers sa cuisse…

Décatis dégustait tranquillement se thé qu’il fallait reconnaitre de qualité, alors de son autre main, elle continuait à jouer de ses doigts dans l’intimité de Juliette. Elle la regarda s’approché à quatre patte un peu fébrile alors qu’elle sentait les mouvements en elle et venir alors lui lécher sa botte tendu avant de finalement lui répondre.

Juliette lui livra ses fantasmes, il y en avait quelques ’un, pas mal de chose intéressante, il fallait bien l’avoué. Décatis en pris note, pour les intégré dans leur future vie, leur future jeu.

-Te faire humilier et battre ? Ce n’est pas trop ma spécialité. Mais si tu veux tester, je vais voir avec Mélinda pour organisé ça. Une journée au harem où tu ne seras plus une Beaumont, mais qu’une vulgaire esclave. Enfin tu t’en sens prête.

C’était quand même quelque chose de dure à vivre, mais si elle en avait envie, elle pouvait faire cette effort sous la forme d’une séance.

-Je te laisserais quand même une porte de sortie, mais tant que tu l’utilisera pas, il faudra assumé ton choix et prendre ton rôle. Mais si tu y tien, alors on ferra ça dans la semaine pour fêter l’officialisation de notre relation.

Pour ce qui est du reste, elle s’en inspira pour d’autre fois où même au quotidien. L’idée d’une journée de Juliette en chienne pour toute la journée lui plaisait bien par exemple. En tout cas avec tout ça, elle n’allait pas manqué d’idée de sitôt.

-Bien je suis contente que tu te sois livré à moi. Pour te récompensé je vais te laisser jouir.

Puis elle afficha un grand sourire, retirant ses doigts de son intimité, puis prépara une autre tasse de thé. Une fois cette dernière servie, elle lui tends.

-Tu vas te masturbé pour moi au-dessus n’hésite pas à mouiller dedans et tu viendras la dégusté ensuite quand tu auras jouie, sur mes genoux.

Juliette était une jeune femme assez timide. Cela, Décatis le savait, mais sa Maîtresse savait aussi qu’elle était plus perverse que ce qu’on pouvait penser. Si Juliette était toujours vierge, le fait est que sa Maîtresse stimulait son imaginaire sexuel, au point que, avec la frustration aidant, elle pouvait se laisser aller. Son sexe chauffant et mouillant sous les doigts de sa Maîtresse, Juliette avait donc avoué plusieurs fantasmes très osés. Elle rougit quand Décatis lui expliqua qu’elle pouvait tout à fait utiliser le manoir de Mélinda Warren pour qu’elle y soit traitée comme une esclave, rabaissée et humiliée. Juliette se mordilla les lèvres en sentant son souffle s’alourdir. Elle n’aurait su dire précisément en quoi, mais cette idée, l’idée d’être ainsi humiliée et rabaissée, l’excitait fortement. Cela n’était pas normal, pas logique… Mais un fantasme, après tout, ça s’expliquait rarement, ça se vivait pleinement ! Les fantasmes de Juliette tournaient autour de la frustration, de l’humiliation. Elle nota néanmoins que, à l’exception du fantasme impliquant de se faire battre, sa Maîtresse n’avait rejeté aucun des autres fantasmes de Juliette ! Cela l’avait même suffisamment excité pour qu’elle se décide à la faire jouir, en agrémentant cela d’un petit jeu.

Un léger sourire sur les lèvres, Juliette s’agenouilla au-dessus de la tasse, et s’efforça de se positionner au mieux, de rapprocher son sexe de la tasse, et elle se masturba avec deux doigts, les enfonçant avec appétit dans sa chatte. Cela la fit frémir, elle se mordilla les lèvres, et gémit de plus bel, continuant son office.

« Oh, Maîtresse, j’espère que cette vue… Vous plaît, hmmm… Haaaa… J’aime me caresser sous vos yeux, hmmm… »

La tasse se remplissait petit à petit. Juliette soupira encore, et continua son office, sentant la vague remonter. Elle gémit donc, et continua à se masturber, inondant la tasse.

« Haaaa… »

Juliette soupira longuement,  puis attrapa la tasse. Sa mouille s’était mélangée à son contenu. Un thé très particulier, donc.

« Pour vous, Maîtresse… »

Et elle avala le contenu, avant de se préparer à rejoindre les genoux de sa Maîtresse, tout en se demandant ce que ce thé allait lui faire…

Décatis souriait buvant tranquillement son thé en regardant Juliette se masturbé accroupi au-dessus de sa propre tasse. C’était très excitant, faire ça dans sa chambre avait quelque chose de particulier. C’était vraiment le début de leur relation bien plus libre qu’elle ne l’était jusqu’e là. C’était surtout pour Juliette que ça allait être libération, de savoir que sa famille ou au moins sa mère avait accepté leur relation.  Elle allait être moins stressé à l’idée des réactions de sa famille maintenant.

-Tu es magnifique comme ça. Tu es très excitante, une jeune fille perverse et soumise, tout ce que j’aime.

Elle sourit en finissant sa tasse  et regardant alors Juliette finir et se relever  en venant boire son propre thé aromatisé au plaisir. Un gout certainement particulier et pervers. Une fois qu’elle avait fini, Juliette viens s’assoir sur ses genoux comme demandé. Décatis aurais préféré qu’elle déguste son thé ainsi, mais tempi. La vampire pris alors les seins nue de la jeune fille en mains et commença à les malaxé avec un mélange de fermeté et de douceur.

-Bien, après toute ses émotions on ferrais bien d’aller dormir. Mais avant ça tu vas faire un dernier choix. Mais sache que tu auras ce que tu choisiras, mais que tu renonceras à l’autre pour un très long moment. Alors réfléchie bien.

Décatis, viens lui pincé ses deux tétons tirant un peu dessus avant de les relâcher et d’enfin annoncé à Juliette se fameux choix qu’elle allait devoir faire et à quoi elle allait renoncé.

-Tu vas dormir avec moi entièrement ligoté et demain au réveille ou du moins au miens si tu n’arrives pas à dormir à force de fantasmé, tu auras droit à…Soit à perdre ta virginité avec un membre magique que je m’équiperai pour toi…Soit à toi le droit de me toucher et m’offrir un orgasme.

Juliette n’avait encore jamais ut droit à jouir directement par sa maitresse et encore moins ut l’occasion de la toucher ou gouté son corps. Il lui fallait donc en choisir un maintenant et repoussé l’autre à longtemps.

-Donne-moi ta réponse et ensuite je vais t’attacher pour aller au lit.

Finalement, le thé n’avait rien de particulier, et était juste… Du thé, saupoudré de sa cyprine. Elle s’assit sur les genoux de sa Maîtresse, et soupira quand les mains de celle-ci vinrent se glisser sur ses seins, les malaxant et les tripotant.

« Haaa… »

Elle les caressait, les remuait, puis les pinçait, tirant sur les tétons pour écarter chaque sein, arrachant chez Juliette de délicieux soupirs. Son corps lui appartenait, et Décatis s’efforçait de le lui rappeler, pour peu qu’elle puisse avoir des doutes à ce sujet. Se pinçant les lèvres, Juliette la laissait donc naturellement faire, ses tétons durcissant au fur et à mesure que sa Maîtresse les stimulait.

Maîtresse Décatis la malaxa ainsi pendant quelques instants, puis lui annonça qu’elles allaient dormir ensemble. Une nouvelle réjouissante, que sa Maîtresse accompagna en lui expliquant que Juliette dormirait ligotée. Au matin, Juliette aurait le choix entre, soit perdre sa virginité, soit offrir à sa Maîtresse un orgasme. Les yeux de Juliette s’écarquillèrent à cette idée, et elle se mit à rougir, tandis que sa Maîtresse lui annonçait qu’elle devrait lui donner sa réponse maintenant.

« Oooh, Maîtresse… »

Qu’était-elle supposée répondre ? Juliette se mordilla les lèvres, excitée par toutes ces possibilités. Le choix était toutefois cornélien. Soit vivre dans la frustration sexuelle, soit pouvoir normaliser leur relation. Juliette devait de plus choisir vite, pour ne pas faire attendre sa Maîtresse… Ce qui rendait la chose encore plus complexe !

Elle regarda ses yeux. Il n’y avait pas de piège. Juliette n’avait cependant jamais vraiment eu l’occasion de toucher le corps de sa Maîtresse directement. Elle léchait ses vêtements, ses bottes, ses collants, et parfois ses sous-vêtements quand sa Maîtresse souhaitait la récompenser. Devait-elle faire primer son propre plaisir au détriment de celui de sa Maîtresse ? Finalement, le choix s’imposait de lui-même. Juliette se mordilla les lèvres, en sentant sa chatte trembler sous l’effet de l’excitation, et elle releva la tête vers sa Maîtresse, puis lui répondit :

« Seule ma Maîtresse décidera du jour où elle prendra ma virginité… Mon rôle est de vous faire plaisir, Maîtresse… »

Juliette avait déjà eu l’occasion de choisir un amant, Valentin, et Valentin l’avait trahi. Cela lui avait servi de leçon. Elle reprit ensuite :

« J’accepte de pouvoir vous lécher et vous faire jouir, Maîtresse, si vous m’en faites cet honneur… »