The Multiversity

Le jeune homme était sous le choc. Cela, Alice pouvait le comprendre. Il couchait avec la Princesse… Même avec la Reine ! Même si la cérémonie de couronnement n’avait pas encore eu lieu, légalement, elle était la Reine. Assise à califourchon sur lui, Alice souriait doucement devant les compliments de Thael. Le beau dragonnier crispa ses mains sur ses fesses, et les malaxa tendrement. Alice se pinça les lèvres sous ce contact, et se tortilla lentement. Sa main se crispa sur la verge de Thael, qui lui rappela encore une fois qu’elle était la plus belle femme de Sylvandell. Le sourire d’Alice en réponse illumina son visage, et elle se pencha vers lui, ses seins venant s’appuyer sur son torse. Elle délaissa du coup la verge de Thael, et l’embrassa avec appétit. Elle posa sa main sur sa nuque, son autre main sur son épaule.

« Hmmm… »

Alice l’embrassa longuement, sa langue s’enfonçant avec tendresse et sensualité dans sa bouche. Elle se tortilla sur place, sentant les mains de Thael se crisper sur ses fesses. Ses doigts heurtaient aussi la ficelle dorée de son string en or. La Princesse fit donc durer le baiser, et, quand elle le rompit, un mince filet de salive relia leurs lèvres, filet qu’elle perfora d’un coup de langue. Un sourire ravi sur les lèvres, Alice croisa son regard, et posa un doigt sur les lèvres de Thael, pour l’y enfoncer, et sentir sa langue sur son doigt ganté.

« Tu sais parler aux femmes, mon beau Thael… Et tu embrasses vraiment bien. »

Elle se mordilla les lèvres en le regardant encore, sentant sa verge durcie frotter contre ses fesses.

« Je vais m’occuper de toi, mon chéri… »

C’est ce que Thael était ce soir : son chéri. Alice se pencha vers lui, et l’embrassa sur le torse. Elle lécha sa peau glabre, sa musculature qui apparaissait sur son beau torse. Alice aimait les torses glabres, et elle lécha donc ce joli ventre, descendant progressivement. Elle prenait tout son temps, continuant son office, jusqu’à se rapprocher de son sexe. Elle le caressa encore avec sa main, et glissa sa langue dessus. Elle le lécha, comme une belle glace, et déposa un baiser dessus, puis un autre.

« Appuie-toi sur tes avant-bras, Thael, je veux que tu regardes ta Princesse pendant qu’elle te suce… Je veux que tu jouisses en moi. »

Et, après avoir dit cela, Alice entrouvrit les lèvres, et avala ce membre, en relevant ses yeux pour croiser le regard de l’homme.

L’elfe savourais se moment, il ne pouvait rêver mieux comme cadeau pour son entré comme Dragonnier. Ce moment restera surement à jamais dans sa mémoire. Sentir Alice sur lui, sentir sa langue jouée avec la sienne, sentir ses fesses sous ses doigts, comment pensé à autre chose qu’à elle à ce moment-là ? Il frémi de plaisir quand la langue d’Alice glissa sur son torse et commença à le lécher avec délice. Les compliments semblaient lui plaire, mais surement pas autant que ce qu’elle lui faisait en ce moment et il le savait, ce n’était qu’un début. Il sentait en même temps le regard de Mumirva sur eux, qui les observé avec curiosité pour le moment, sans intervenir.

Il du finalement relâcher les fesses de la princesse, alors qu’elle reculait petit à petit que ça langue descendait. Alors qu’elle approcha de son sexe, Alice continua de le guidé, lui demandant alors de prendre une position plus pratique pour l’observait, alors qu’elle lui annonça clairement ce qu’elle lui réservait. A peine qu’il avait pris appuis sur ses avant-bras, pour avoir une position plus relevé, qu’il vue la bouche de la princesse s’enfoncé autour de son sexe. Il poussa un gémissement de plaisir, alors qu’il sentait sa langue, ses lèvres, sa salive, le tout le longs de son sexe et le plaisir que ça lui procurait.

Thael, ne lâchait pas le regard d’Alice alors qu’elle le suçait avec gourmandise, c’était à la fois beau et terriblement excitant. Il ne savait pas si c’était par ce qu’elle était douée, ou si c’était par ce que c’était sa première fois, mais il senti rapidement le plaisir monté en lui.

-Hum je crois que je ne vais pas tenir longtemps entre de tel lèvres, Hum ça risque à déjà venir Princesse.

Comme elle souhait quand même recevoir en elle sa jouissance, il préférait quand même prévenir, même si c’était surement rapide.

Face à l’expertise buccale d’Alice, le brave dragonnier était désemparé. Il était prêt à affronter tous les ennemis de Sylvandell, que ce soit des hordes d’Orcs, de barbares, des dragons sauvages… Mais c’était finalement la langue et les lèvres d’une femme qui l’amèneraient à s’avouer vaincu. Alice avait léché son torse avec un appétit sincère, confirmant son amour des torses glabres, mais elle ciblait spécifiquement une autre partie du corps. Ayant bien descendu, elle s’attaqua à sa hampe, son vit tendu et assoiffé. Un joli membre turgescent qu’elle fourra dans sa bouche. Alice referma ses lèvres dessus, et commença à le pomper avec appétit. Yeux clos, elle soupirait doucement, sa bouche glissant d’avant en arrière. Elle ne prenait au début que l’extrémité de son membre, mais, petit à petit, elle s’y attaquait avec passion, l’englobant totalement entre ses lèvres.

« Hmmm… »

Thael soupirait doucement, et indiqua qu’il était prêt à jouir. La bouche pleine, Alice ne pouvait pas répondre, mais elle déplaça ses mains. L’une d’elle se glissa sur les testicules de Thael, les caressant chaudement, et son autre main remonta sur sa peau, la caressant, et la griffant même légèrement. Elle voulait lui faire comprendre qu’il pouvait jouir en elle. Elle s’attendait à ce qu’il ne tienne pas longtemps. Le beau Thael était encore assez inexpérimenté, et bien trop excité pour se retenir. Mais cela ne posait aucun problème à Alice, bien au contraire ! Elle allait le faire jouir, et cet orgasme ne serait que le premier d’une longue et délicieuse nuit.

Elle suçait donc avec appétit son membre, creusant ses joues, aspirant l’air, sentant sa verge enfler et durcir dans sa bouche. Elle continuait à l’enfoncer en elle, jusqu’à se trouver à la garde. Elle serrait sa langue sur ce sexe, glissant chaudement dessus. Sa salive le recouvrait. Thael se tortillait sur place, et elle sentait, à la manière dont ses muscles se contractaient, ou dont son corps remuait, qu’il approchait du point de rupture. Elle n’eut plus qu’à insister encore, et elle l’entendit soupirer. Un râle de plaisir qui s’échappa de ses lèvres, son corps qui se serra, tous ses muscles qui se crispèrent…

« Hmmm !! »

Alice était aux premières loges pour recueillir son jus, et, une fois qu’il aurait joui en elle, elle proposerait naturellement à Mumirva de partager avec elle ce nectar intime…

Thaël sentait le plaisir monté rapidement en lui, c’était incroyable d’avoir son premier rapport sexuel avec quelqu’un d’autre, avec la Princesse de son royaume. Princesse qui rapidement allait devenir la Reine du pays et donc la plus haute autorité pour lui. Ses lèvres glissaient sur son sexe, prenant se dernier de plus en plus dans sa bouche, alors qu’il gémissait de plaisir. A ce moment-là, il avait du mal à savoir ce que pensait vraiment Mumirva, lui et la dragonne formais en temps normal des esprits proches de jumeaux, tout le temps l’un connecté à l’autre, mais là la connexion était moins intime. Ce qui pouvait se comprendre, après tout chacun avait ses moments où ils avait besoin de leur intimité propre.

Il senti les doigts d’Alice venir parcourir ses testicules alors qu’il était sur le point de jouir, il ne fallut pas beaucoup plus que ça arrive finalement, sentant son sperme sortir dans la bouche de la Princesse. Il se laissait retombé sur en arrière sur le lit, c’était sa première jouissance de la soirée et qu’elle était mémorable, mais il se doutait bien que ça n’allait pas se contenter de ça.

Mumirva qui c’était contenté d’observé jusque-là portait toujours son regard sur les deux être face à elle. Elle cherchait à comprendre l’intérêt de tout ça, pour elle le sexe était avant tout un acte de reproduction, pas un acte de plaisir. Mais elle était curieuse, elle était lié à un elfe et était sous la forme d’un corps humanoïde, peut-être qu’elle pourrais testé ça et découvrir et comprendre un peu plus l’intérêt du sexe pour le plaisir.

-Pourquoi faire ça avec la bouche ? Ce n’es pas vraiment efficace, tu en est consciente princesse ?

Alice venait de le faire jouir, et elle sentit avec délectation le corps de Thael se relâcher en elle. Néanmoins, elle nota le regard circonspect de Mumirva, et se résigna donc à garder pour elle l ;e liquide poisseux qui remuait dans sa bouche. Jadis, le sperme avait un goût insupportable, mais, depuis qu’elle avait réveillé son potentiel, qu’elle avait appris qu’elle était la fille de la Déesse Lust, Alice raisonnait différemment, et les choses qu’elle ressentait n’étaient plus les mêmes. Elle sourit donc quand Mumirva l’interrogea, et gloussa même.

« Pourtant, il me semble que ma technique a été efficace, notre beau Thael vient de jouir… »

Ce n’était évidemment pas ce à quoi Mumirva faisait référence. Alice se redressa, et rejoignit le lit. Elle s’assit à califourchon sur le corps de Thael, et posa ses deux mains sur son torse. Elle le caressa lentement, glissant ses doigts sur sa peau. Sous forme humaine, les dragons étaient capables de ressentir le sexe, mais, un peu comme les Anges, tant qu’ils n’y avaient pas goûté, ils ne pouvaient pas apprécier pleinement cela. Alice se mordilla les lèvres, puis se pencha vers Thael, et alla l’embrasser tendrement sur les lèvres. Sa bouche se plaqua à la sienne, leurs lèvres se pressèrent entre elles.

Elle l’embrassa encore, jusqu’à ce que leurs salives mutuelles effacent le goût de sperme, puis elle se releva ensuite. Un sourire sur les lèvres, elle regarda Mumirva.

« Tu crois que le sexe n’est qu’un moyen de tomber enceinte, Mumirva ? »

Une question tout à fait rhétorique, bien sûr, car elle connaissait parfaitement la réponse. Elle remuait légèrement son bassin, d’avant en arrière.

« Je pense qu’on devrait voir si tu peux ressentir ça… Le sexe… Il déclencher chez les personnes qui l’éprouvent une sensation unique en son genre. On appelle ça le désir, quand tout ton corps frissonne, que ton esprit est embrumé, et que tu ressens un plaisir inouï. Approche, je vais te montrer… »

La belle Princesse posa sa main sur la joue de Mumirva, et elle alla l’embrasser pendant quelques secondes.

« Qu’est-ce que tu en penses ? Est-ce que c’était agréable ? »

Thael se détendit savourant ce moment, regardant la princesse qui semblait s’amusé de la réaction de Mumirva. C’est vrai que pour elle, c’était un point de vue tout à fait différent. Alors qu’Alice parlait à sa dragonne, il la vit s’installer sur lui, invitant Mumirva à approcher. Alice se pencha sur lui, l’embrassa, il senti son propre sperme dans sa bouche. Ce n’était pas vraiment dérangeant pour lui, il était à la fois intéressé par les femmes, comme par les hommes, alors ça ne le repoussait pas vraiment.

Mumirva, par curiosité face à l’enthousiasme de l’humaine, s’avança alors vers cette dernière. Alors qu’Alice s’amusait à lui poser des questions sans attendre de réponse, elle l’attira à elle et viens l’embrassé. La Dragonne se laissa faire, découvrant pour la première fois cet acte qui ne se pratique pas chez son espèce.

-C’est particulier, étrange. Agréable, je ne sais pas trop.

C’était clairement pas quelque chose de naturel pour elle. Et pour le moment un simple baiser n’avait pas vraiment d’effet excitant ou même autre chose.

-Mais voyons si toi la reine des humains d’ici tu vas arriver à me faire comprendre ce concept inconnue à mon espèce.

Restant assise contre Thael, sentant le renflement de sa verge contre son bassin, la jeune Reine embrassa donc Mumirva en se tournant vers elle. Elle sentit la dragonne lui répondre. Si le contact ne la rebuta pas, Alice la sentait hésiter. Elle était en plein doute, essayant de comprendre ce qu’il y avait de si fascinant là-dedans. Il allait être assez difficile de l’expliquer rationnellement. Par définition, le désir sexuel s’opposait à toute forme de rationalité, c’était quelque chose d’instinctif, de profond, de primitif. Mais, quand Mumirva lui indiqua que c’était quelque chose d’inconnu à son espèce, Alice sourit en lui caressant la joue. Son pouce glissa contre les lèvres de Mumirva.

« Je ne serai pas aussi catégorique à ta place, tu sais… Les histoires de dragons qui prennent formez humaine pour coucher avec des humains et parfois les enfanter, cela existe. C’est même grâce à ça que le Thu’um s’est répandu. »

Le Thu’um, la magie des dragons… Seuls quelques rares humains, les Dovahkiin, étaient capables d’utiliser cette magie spéciale, et ils descendaient des dragons. Alice savait donc de quoi elle parlait. Elle reporta son attention sur Thael, posant ses deux mains sur ses épaules, et retourna l’embrasser. Elle se pressa contre lui, et le coucha sur le lit. Elle s’allongea ensuite contre son flanc, libérant l’accès à sa verge, et le masturba lentement. Elle l’entendit soupirer, elle croisa son regard, souriant lentement en sentant sa verge durcir entre ses doigts. Elle embrassa encore Thael, puis se déplaça encore un peu, frottant ses seins contre le torse du jeune et beau dragonnier.

« Allez, Mumirva, allonge-toi à côté de moi, et caresse aussi le sexe de Thael… Je veux que tu le regardes, et que tu me dises si tu l’as déjà vu comme ça… Aussi heureux, et aussi nerveux… »

Alice allait prendre son temps, mais elle était convaincue que, à la fin de cette séance, elle atteindrait la totalité de ses objectifs : satisfaire Thael, mais aussi Mumirva. Comme ça, il n’y aurait pas de jaloux !

Thael s’amusait de la situation, curieux de voir comment Alice allait s’y prendre avec sa dragonne, mais surtout comment cette dernière allait se laisser convaincre au non. Ainsi L’elfe se laissa guidé et allonger alors que les deux femmes se trouvaient maintenant à ses coté. Alice le masturbait doucement, ce qu’il ne pouvait pas nier comme étant agréable. Mumirva se contentais de regardé, que ce soit Alice ou Thael, puis curieuse de comprendre, elle s’installa comme indiqué par Alice et viens ajouté sa mains à la sienne.

-Hum…si j’avais imaginé une tel situation un jour…

Mumirva se laissa guidé par le geste de l’humaine, c’était un touché qu’elle n’avait pas l’habitude et bien sur elle ne voulait pas lui faire mal non plus. Elle n’était pas ignorante de l’acte de reproduction, mais ce qu’elle tentait de découvrir ici était différent et se consacrait plus au plaisir qu’a la fécondation. En tout cas son dragonnier semblait apprécié ce qu’elles lui faisaient. Elle ne disait rien, mais Alice pouvait voir qu’elle était attentive et se laisser guidé pour le moment.

Alice s’amusait beaucoup de ce moment. Certes, elle voulait honorer et féliciter Thael pour son titre, mais elle n’avait pas aussi oublié Mumirva. Dragons et humains pouvaient se reproduire, et les enfants de ces unions étaient souvent de puissants enfants, pouvant devenir des Dovahkiin, maîtrisant instantanément le Thu’um. Est-ce que cela se produirait entre eux ? Alice n’en savait rien. Thael avait toujours considéré Mumirva comme sa meilleure amie, sa dragonne, et n’avait sans doute jamais eu de telles pensées à son sujet. Il en allait visiblement de même pour Mumirva, alors Alice se devait de voir si le désir pouvait naître en eux. Elle s’amusait, elle expérimentait, et elle sentait en tout cas Thael réagir positivement. Il poussait de profonds soupirs, tandis que sa peau pâle rougissait, et, surtout, que sa verge durcissait. Alice sourit en sentant la main de Mumirva caresser la sienne, puis se poser également sur le sexe de l’homme. La Reine regarda brièvement Thael, comme pour s’assurer qu’il allait être sage… Et elle put constater qu’il le sera. L’homme soupirait profondément, doucement excité par ce qu’il subissait.

Elle sourit devant sa réflexion.

« Imaginer quoi ? Toi et moi en train de faire l’amour, Thael ? Ou toi et Mumirva… Ou nous trois ? »

Alice se pencha alors vers lui, et l’embrassa avec passion sur les lèvres. La délicieuse Reine savait y faire, et elle sentit le corps de Thael se détendre longuement sous ce baiser. Il ne pouvait rien faire pour la repousser, car qui aurait voulu repousser un tel plaisir ? Il se laissait bercer par cette vague, il y succombait avec joie, pour le plus grand plaisir de la pernicieuse souveraine. Elle rompit le contact, puis regarda Mumirva.

« À toi, ma belle. Embrasse-le là… fit-elle en désignant ses lèvres. Puis tu l’embrasseras là… » poursuivit-elle en baissant sa tête vers son sexe.

Elle rajouta ensuite :

« Et décris-moi ce que ça te fait, si ça te perturbe, si tu ressens de la chaleur et des frissons dans le ventre ou dans le corps… Je veux tout savoir, c’est un ordre ! »