The Multiversity

Poison savourait chaque instant de cette petite séance de sexe, autant avoir les trois poupées autour d'elle – même si l'une était surtout derrière Miranda – était agréable mais banal, autant avoir Miranda Forge LA grande femme de Uatis entre ses jambes en train de lui pomper le dard, ça n'avait pas de prix. Elle la voyait jouer avec sa queue, la léchant, la savourant, l'aspirant, elle se retenait de lui enfoncer sa queue jusque dans la gorge ! Non pas qu'elle avait peur de possible représaille, elle ne semblait pas être le genre de nana à faire la tête mais plutôt à renvoyer la pareille ensuite mais elle en gardait sous le coude pour plus tard. Ha oui, elle a commencé à jouer avec elle, elle ira jusqu'au bout. Quand on commence un film, à moins que ce soit vraiment chiant, on le finit pour juger mais, qu'est-ce qui était mauvais chez Miranda ? Peut-être son appétit sexuel qui fait que Poison n'était pas prête d'en finir avec elle ? À voir.

Mais arriver à la fin et envoyer la purée dans sa bouche, ce fut un pur moment de plaisir ! Poison avait maintenu sa tête sans offrir de gorge profonde, juste être sûr que la belle blonde allait avaler sa foutre et non se faire arroser. Elle ne connaissait pas les goûts de la puissante femme mais si elle préférait être arrosée plutôt que d'avaler, elle verra ça plus tard, pour le moment, elle décidait. Miranda s'en relevait tout sourire, venant proposer un jeu qu'elle devrait adorer ? Elle était curieuse et la suivait volontiers, voyant que les filles suivaient aussi. Quel sera ce jeu ? Faire l'amour devant un ou plusieurs de ses films ? Elle l'avait déjà fait pour une fan. Miranda avait autre chose en tête et l'actrice avait vu que sa pièce était spéciale, le genre salle de sexe. Poison en avait aussi chez elle, elle y entreposait plusieurs costumes et objets ayant servi sur des films, comme des souvenirs.

Miranda voulait que Poison la fasse jouir en échange, elle révélera ses petits secrets sur sa vigueur sexuelle. Moui, pourquoi pas. Poison ne courait pas après ce genre de petit secret mais elle se demandait si ses méthodes étaient similaires aux sienne ou bien ce qu'elle pouvait cacher. Au pire, quand cela ne l'intéressera plus, elle posera la grande question qui était aussi la raison de sa venue ici. Qu'elle soit sa mère ou non, ça n'allait pas changer grand-chose dans ce petit jeu. Au pire, une petite pause pour mettre les choses à plat car l'actrice n'allait pas retomber en enfance et tenir la main de Miranda en voulant de gros câlins. Elle n'a jamais eu de mère alors que leur relation soit incestueuse ou non, elle s'en fiche comme de sa première branlette. Affichant un sourire digne de la confiance légendaire des Forge, elle bomba le torse en posant son regard un peu partout dans la pièce, sur les jouets, les instruments, les petites tenues.

« Hum c'est une proposition intéressante. Mais je ne cours pas après tes petits secrets. Un magicien ne révèle pas ses secrets après tout ? Alors certes, je suis un peu curieuse de savoir une ou deux petites choses à ce sujet pour comparer avec mon expérience mais tôt ou tard, je te demanderais surement autre chose. Plus personnelle, plus professionnelle, je n'en sais rien pour le moment mais tu es prévenue. Le deal tient toujours ? »

Autant voir si Miranda était prête à jouer cartes sur table ou bien si elle préférait se coucher pour cacher quelque chose. Évidemment, Poison était l'actrice porno la mieux payée de cette ville alors connaître le code de ses comptes en banque ou autre, ça la ferait autant chier qu'un film à l'eau de rose. Donc la patronne n'avait pas à s'en faire à ce sujet. Poison était animé par d'autre curiosité. Parcourant la pièce, elle trouva une cravache, simple instrument servant à fouetter des petits culs comme des poitrines ou autre partie du corps. Simple mais c'était son instrument fétiche. Elle était toujours avec elle d'ailleurs, à sa ceinture pendait sa cravache personnelle. C'était comme sa tenue, hors grand événement, elle avait toujours sa casquette sur la tête, ce tee-shirt plutôt court et son mini-short en jean qui cachait bien son jeu.

« Ce serait stupide de chercher de suite les manières les plus grandioses et les plus orginales pour te faire jouir, ce serait comme essayer un jeu vidéo en mode difficile, une fois habituée, le plus simple est ennuyant. Tu n'es pas d'accord. »

Poison n'était pas une gameuse mais elle avait déjà passé quelques heures sur des consoles entre deux tournages pour passer le temps. Elle avait même passé une soirée, manette à la main à jouer à un jeu de combat et selon qui gagnait, elle baisait son invitée à sa façon ou celle demandée par sa gagnante. Ha, les soirées fans... Elle se rapprocha d'elle, venant caresser sa joue avec sa cravache empruntée, passant de sa joue sur le long de son corps, ses côtes, ses hanches, ses cuisses, ses mollets.

« Ne cherchons pas à nous torturer les méninges, je vais simplement te prendre pour le moment. Mais je vais te faire jouir aussi, évidemment. »

Poison n'allait pas ternir sa réputation. Elle se collait contre elle venant l'embrasser à pleine bouche en pressant sa poitrine contre la sienne, la collant contre le cheval en bois. Sa queue était encore à demi-molle mais plus pour longtemps, ses mains caressaient son dos et sa cravache n'allait pas tarder à lui fouetter le sang pour la réveiller un peu. La pointe venait doucement gifler le bas de son dos, pas encore ses fesses, elle gardait la meilleure partie pour la fin.

« Question bête mais tes filles restes simples spectatrices ou elles peuvent m'aider ? »

Elle pensait bien sur que leur aide était accepté mais elles ne servirons pas pour le moment, qu'elles savoure cette relation mère-fille si belle et si excitante, leur aide viendra plus tard. Là, tout ne fait que commencer, Miranda était prise entre caresse et petits coups de cravache, entre doux baiser et baiser mordant. Poison était tant de choses à la fois après tout.

Envers sa fille, Miranda n’avait aucun secret à avoir. Shirley ne serait jamais sa fille légitime, son héritière, mais elle partageait son sang. À ce titre, Poison disposait d’un statut spécial. Miranda lui avait donc fait une proposition dont le seul but était de la stimuler, de la motiver à la prendre avec énergie. C’était surtout cela que Miranda voulait, au-delà de toute forme de révélation. Elle voulait que son amante, sa fille, soit particulièrement motivée pour la baiser fortement. Et, pour ça, elle avait proposé un défi, petit challenge, qui, en réalité, ne sembla guère stimuler Poison. Ainsi, quand elle lui demanda si leur « deal » était conclu, Miranda ne sut pas trop quoi répondre, car… Parlait-elle de la première suggestion de Miranda, ou d’autre chose ? Le doute était permis, dans la mesure où Shirley avait ajouté une récompense supplémentaire, la possibilité de demander « autre chose », et ce « tôt ou tard »… Autant dire que les imprécisions étaient de rigueur.

Néanmoins, Miranda haussa les épaules, et acquiesça.

« Comme tu veux, Poison… Sois juste à la hauteur de ta réputation, c’est tout ce que je te demande. »

Loin de la gêner, le fait de coucher avec sa fille, d’avoir une relation incestueuse, constituait une dose de plaisir supplémentaire. Furieusement excitée, elle se pinçait fortement les lèvres, le cœur remuant furieusement dans sa poitrine. Poison se déplaça, récupérant une cravache. Elle n’avait que l’embarras du choix, mais, pour commencer, avait visiblement une idée simple en tête… À savoir la baiser sèchement, et la faire jouir. Miranda sourit brièvement.

« C’est un excellent programme, Poison… Mon corps est tout à toi, ma chérie. »

Inutile de le répéter deux fois, l’actrice et star se rapprocha d’elle, et plaqua son corps contre le sien, l’embrassant goulûment. Miranda sentit son dos heurter le rebord du chevalet, et posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, répondant avec plaisir à son baiser, fourrant à son tour sa langue dans sa bouche, remuant avec celle de Shirley. Elles s’embrassèrent tendrement, avant que Miranda ne sente les mains de sa femme la faire frissonner en caressant son dos, pour finalement fouetter, avec le bout de sa cravache, le bas de son dos.

Miranda soupira, gémissant légèrement, et descendit, elle, ses mains. Plus aventureuse que Shirley, elle n’hésita pas, et posa chacune de ses mains sur les fesses de la femme, venant tendrement les malaxer. À l’image du reste de son corps, Poison avait un petit cul absolument merveilleux, et c’était un véritable régal que de le serrer ainsi, de le palper, et de le presser tendrement. Rompant leur baiser, sa fille lui demanda alors si elle pouvait utiliser les esclaves.

En réponse, la PDG lui sourit, et l’embrassa brièvement, avant de rétorquer.

« Je te l’ai dit… Tu peux utiliser tout ce que tu vois ici, Poison… Tout. »

Ce qui, très naturellement, incluait donc ses esclaves. Miranda soupira ensuite quand Poison vint lui mordiller le creux du cou.

« Hmmm… Oui, ma chérie… Encore… Je sens que tu vas très bien t’occuper de mon corps, toi, ma petite pute… »

À dire vrai, coucher avec une récompense ne la tentait pas... Coucher, c'était par plaisir, pas par appât du gain. Mais bon, à entrer dans son jeu, elle voulait faire profiter ses intérêts plutôt que savoir des choses peu utiles. Combien avait-elle de chance que Miranda soit sa mère ? Très peu, elle avait commencé ses recherches depuis un moment et même si sa liste diminuait, cela ne semblait pas augmenter les chances de découvrir qui était la seconde personne à lui avoir donné la vie ? Si son père/sa mère était sur sa liste, alors oui, ça augmentait ses chances petit à petit mais si c'est aucun de ses noms alors ça ne sert à rien. Mais qu'importe, elle ne comptait pas entrer dans ses recherches de suite, elle comptait juste profiter de l'offre qui lui était posée sous les yeux. Face à la belle blonde, elle comptait faire parler ses envies car elle savait que cela allait la faire jouir. Miranda avait la réputation d'être gourmande et donc d'avoir goûté à bien des délices mais Poison aussi, sa filmographie en était une preuve, la seconde preuve était aussi ce qui se passait hors caméra.

Du coup, elle avait le droit d'user des esclaves, c'était une bonne chose à savoir mais pas maintenant, Poison ne voulait pas les faire venir. C'était à Elle de faire jouir Miranda avant elles. Et puis elles avaient le droit de regarder ce petit film en live après tout. Contre elle, elle l'embrassait en laissant sa cravache parler, caressant son corps, elle aimait cette proximité, elle ne saurait dire pourquoi... Son parfum peut-être ? Le fait de baiser une des plus grandes femmes de Uatis sinon ? Poison ne saurait expliquer cette attirance mais cela n'allait pas l'empêcher de la prendre et de jouir en elle, ça, c'était l'évidence même ! Miranda ne se genait pas après tout pour caresser ses fesses, les pressant pendant que Poison savourait aussi de son côté, caresses comme petits coups de cravache. Ses fesses étaient encore intacte mais une chose à la fois...

« Chuuuut... ne dis pas de bêtise, ici, ce n'est pas moi la pute... C'est toi. »

Qui voulait se faire baiser bien comme il faut ? Poison venait l'embrasser, moins délicatement, plus sauvagement en venant mordiller sa lèvre en se faisant sentir toujours plus proche contre elle. Sa queue était dure et pressée entre leurs corps, c'était déjà un vrai délice. Mais aussi bon soit ce petit avant-gout, il fallait augmenter cela.

« Accroche-toi à moi ma salope... ça va déménager ! »

Poison se pencha pour prendre ses cuisses entre ses mains et la soulever, elle attendant que Miranda soit bien accrochée à son cou pour venir la plaquer contre le mur – pas sur que le cheval de bois survive à ses coups de reins. Même si la suite était facilement prédite, elle n'allait pas lui offrir ce plaisir maintenait. Place à un rythme qui allait grandir petit à petit.

« Je me doute bien qu'on t'a déjà prise contre un mur mais... Sache que tout ce que tu feras avec moi, ce sera spécial ! »

Ça le sera en effet mais Poison ignorait que ce qui serait spécial, serait une liaison incestueuse. Pour elle, le spécial était juste elle. Poison était spécial et sous bien des formes. Elle gesticula doucement avant d'avoir enfin accès à son intimité, sa queue étant prête à forcer le passage. Doucement, l'actrice venait s'enfoncer en elle, chose qui était délicieux mais la suite allait promettre. Elle va y mettre tout son cœur et toute sa force mais même en sachant la suite, ça ne sera que du plaisir.

« Huuuuuum ! Hum ça va être, délicieux.. Y a-t-il quelque chose, hum, qu'on ne t'a jamais fait ? »

Une pratique qu'elle n'osait pas avouer, une peur de faire telle chose de sexuelle ? Poison avait fait énormément de chose que lui renvoyer la question serait une colle ? Quand on joue de tout dans les films de cul, on finit par ne plus savoir ce qui a été jamais réalisé. Ses mains pressaient avec passion ce petit cul bien ferme sous ses mains, pendant que les coups de queue y étaient douces pour le moment mais doucement, le rythme et la puissance grandissait. Question, quand Miranda allait commencer à couiner ? Poison ne tardera pas à le savoir. Faut bien garder un peu de suspense.

Entre Miranda et sa fille, c’était déjà le coup de foudre. Rares, après tout, étaient les personnes qui finissaient par détester Miranda. Il y avait, pourtant, de quoi la trouver horripilante. Sa fortune affichée, sa richesse, son arrogance, cet orgueil démesuré qu’elle exposait sans la moindre vergogne... Pour autant, face à elle, on ne pouvait que l’aimer. Et Miranda sentait, chez Poison, cette attirance. Certes, Shirley lui exposa que c’était elle la pute, mais Miranda sentait l’affection, l’amour... Et ça, plus que tout le reste, l’excitait furieusement. Alors, bien sûr, Shirley n’était pas, et ne serait jamais, une Forge à proprement parler, mais, même malgré ça, Miranda ressentait quand même un indéfectible élan maternel envers elle, un élan qui allait lui faire follement apprécier ce moment avec la jeune femme.

Shirley alla la plaquer contre le mur, usant de ses muscles, et Miranda enroula ses jambes autour de la taille de la femme, soupirant en sentant ses seins s’enfoncer contre les siens, sa bouche se plaquant dans le creux de son cou. L’une des mains de Miranda s’appuya sur la nuque de Poison, s’enfonçant dans sa longue chevelure, et elle put ensuite sentir sa verge, qui caressait ses hanches, glissant contre son corps, membre impatient et assoiffé.

« Oh, Poi-Poison, haaa... »

Des soupirs de plaisir filaient des lèvres de la PDG, qui sentit ensuite sa fille s’enfoncer en elle, enfonçant sa verge dans son con. Une crispation de plaisir se répandit à travers tout le corps de la jeune femme. Le phallus de Poison fila en elle, et la femme commença à donner des coups de reins, y allant doucement au début. Néanmoins, Miranda ne se faisait aucun souci, car elle savait que la jeune femme allait rapidement durcir le rythme, l’amplifier, afin de pouvoir la prendre plus efficacement.

Tout en faisant ça, Poison s’enquit des goûts de la femme, demandant si elle avait envie de faire quelque chose qu’elle n’aurait encore jamais fait.

« Ne... Ne me dis pas que tu... Hmmm... Es à ce point naïve, si ? »

Comment pouvait-on imaginer que Miranda n’ait pas déjà une expérience sexuelle à faire pâlir d’envie toutes les actrices pornographiques de Uatis ? La femme ne doutait pas que sa fille ait eu, sexuellement parlant, l’occasion de réaliser un nombre élevé de choses, mais elle émettait, malgré tout, des doutes importants par rapport à sa propre expérience. Miranda était plus vieille qu’elle, après tout.

Mais, pour l’heure, Poison allait la bourrer, et, somme toute, Miranda n’en demandait pas plus pour le moment, sentant le plaisir croître en elle, explosant progressivement...

Cela changerait quelque chose de savoir que Poison baisait sa propre mère ? En réalité, peu de choses, surement une petite pause le temps de poser deux ou trois questions mais après, inceste, et alors ? Quand elle était au couvent, elle a bien fait l'amour avec ses « frères et soeurs » alors sa propre mère, elle s'en fiche. Si Poison recherchait sa propre mère, ce n'était pas pour pleurer à chaude larme entre ses bras en réclamant moult câlin et dire « maman » à tout bout de champ. Elle voulait des réponses concernant celle qui l'avait porté durant neuf mois, elle voulait des racines et une famille vers qui se tourner durant certains moments de sa vie. Après, riche ou pauvre, conne ou intelligente, elle se fichait du reste. Mais pour le moment, tout cela était loin. Elle faisait l'amour à cette pute de Miranda Forge, tellement perverse qu'elle lui aurait certainement fait concurrence si elle avait été une actrice porno mais elle n'était que directrice de cette boîte, alors Poison gardait son trône et se plaisait là-dessus.

« Hmmm, ma petite salope... »

Si elle commençait doucement, évidemment que son rythme allait de plus en plus vite, offrant plus de plaisir en augmentant la vitesse. L'actrice connaissait son boulot quand même et Miranda avait beau être plus âgée qu'elle, elle restât plus que bandante pour son âge, une chose que Uatis lui avait offert en préservant sa beauté, surement, mais pour Poison, refaite ou non, elle s'en fichait, tant que ça la faisait triquer ! Entre deux coups de reins, elle posa une question assez stupide quand on connaissait Miranda Forge et sa réputation mais, on ne sait jamais ? La belle blonde avait peut-être des choses qu'elle se refusait pour une raison X ou Y ? Et si cela existait vraiment, alors elle voudrait être celle qui aura brisé cette chose !Cela apportait un petit sourire sur les lèvres de Poison qui serrait un peu plus les fesses de Miranda.

« Ce qui veut dire, humm... que tu as déjà vécu... le plus crade... comme le plus hard ? Quelle délicieuse pute tu fais. »

Poison retourna la dévorer avec ses lèvres en accélérant le tempo de ses hanches, venant se cogner toujours plus fort, toujours plus profond, elle adorait sentir sa queue se cogner la tête tout au fond avant de recommencer, encore et encore ! Bien des baisers et des coups de langue ont été partager jusqu'au moment où enfin, Poison se vidait les bourses en elle. Un moment si délicieux où elle se sentait si légère ! Ha, que du bonheur ! Relâchant sa prise, elle se retira doucement d'elle, sa queue était trempée de sa cyprine comme de son foutre mais ce n'était pas un souci. D'un regard et d'un claquement de doigts vers les trois filles, elles les faisaientt venir à elle.

« Vous, venez nettoyer mes parties. Ça va m'aider pour savoir quoi t'infliger ensuite. »

Elle lui offrait un sourire qui, en d'autre circonstance n'aurait rien de rassurant ? Laissant les trois poupées se partageant son service trois pièces, elle allait aussi les faire jouer un peu avec leur patronne. Pauvres petites, elles devaient être en manque. Elle avait bien des idées mais une la tentait bien en particulier. Sa main se posa sur la tête d'une des trois poupées – elle ne regardait pas qui – et elle la caressait doucement en venant expliquer plus ou moins ce qui allait se passer.

« Ta petite bouche, c'est fait... Ta petite chatte, c'est fait aussi... Je me demande bien ou je vais loger ma bite maintenant ? »

En réalité, en orifice, il n'en restait qu'un, en partie de son corps, on pourrait y ajouter sa poitrine mais ce n'était pas une cravate de notaire qui allait faire jouir Miranda, sauf si elle est très sensible des sens peut-être ?

« Place-toi ou tu veux mais offre moi ton cul... Je vais te montrer ce que c'est qu'une sodomie. »

Miranda se plaçait où bon lui semble, pour Poison ça n'avait pas d'importance tant que son cul était libre et tant que les poupées pouvaient agir. Une fois prête, elle ne sauta pas sur l'occasion, elle claquait des doigts pour retirer les sangsues de ses parties intimes.

« Les filles, voici votre cadeau, je veux que deux s'occupent de ses seins, la troisième ira entre ses jambes mais attention, cette partie-là est dangereuse vu que je prévois pour votre maîtresse alors, désolé par avance les filles... »

Peu importe qui se plaisait où, l'actrice n'allait pas se position de suite, elle croisait les bras en regardant Miranda se faire dévorer, sa queue pointait vers sa cible mais pour le moment, elle contemplait juste le petit spectacle sous ses yeux. Les poupées avaient droit à leur récompense pour se libérer un peu de leurs envies et elle... elle créerait l'envie chez Miranda pour mieux la faire jouir. Caressant son cul, elle retira sa main.

« Très bien, il est temps de commencer. »

Dit-elle doucement avant d'abattre sa cravache sur son cul. Quoi ? Elle pensait à une sodomie, comme promis ? Oh noooon, pas maintenant. Elle comptait se faire ce cul quand il sera bien rouge et douloureux, pour rendre la sodomie encore plus intense ! Pour le moment, elle va juste résister à ses pulsions et martyriser ce petit cul pendant de longues minutes, laissant les poupées s'amuser un peu.

« Hahaha ! Poison puni Miranda Forge ! Avec un titre pareil, tu es sûr d'avoir un oscar lors des prochaines cérémonies du porno ma salope ! »

Dommage que ce n'était pas filmer car pour sûr, un titre pareil, Poison était sûr de devenir encore plus riche ! Mais ça ne l'intéressait pas puis quand bien même ce serait filmé, il faudrait la permission de Miranda car un porno avec des visages filouté... c'est pas terrible. La jeune femme continuait d'abattre son arme fétiche sur le cul de Miranda avec le plus grand des sourires !

Spectatrices silencieuses et impuissantes, Dorothée, Molly, et Candy, assistaient à ce spectacle magnifique. Elles savaient que Shirley était la fille de Miranda, mais ne comptaient bien évidemment pas le dire. Elles étaient donc particulièrement excitées, ce qu’on pouvait voir à la rougeur pointant sur leurs joues. Pourtant, personne ne viendrait les réconforter rapidement, sauf si Poison en décidait autrement. En ce moment, c’était elle qui était aux commandes, et, pour Miranda, c’était un véritable régal. Même si Shirley ne portait pas son nom, elle était fière et heureuse de voir que la vitalité légendaire de son sang se répandait aussi chez cette femme, dont les coups de reins se multipliaient férocement. Elle la pilonnait sèchement et intensivement, ne lui laissant aucun répit, la faisant gémir et haleter.

« Mmmhmm... Haaaaa... Hnnnn... »

Magnifique amante, Poison était à la hauteur de sa réputation, tant au niveau de la durée du coït, que de son intensité. Sa belle queue juteuse s’enfonçait dans la chair de Miranda, la remplissant, la fourrant de l’intérieur, diffusant dans le corps de la PDG des ondes de plaisir. Ses mains se crispaient sur la chair en sueur de la femme, malaxant ses fesses, les griffant même, tandis que leurs baisers devenaient voraces et ardents, leurs lèvres se pressant sèchement l’une contre l’autre.

Poison était ardente, impatiente, puissante dans ses coups de reins. Rien n’était épargné à Miranda, qui la sentit encore se perdre en elle, jusqu’à approcher dus point de rupture. Quand sa fille jouit en elle, Miranda se relâcha à son tour, dans un long soupir, yeux clos, pressant les fesses musclées de son amante, en émettant un long soupir, les lèvres mi-closes.

« Gnnnnhnnnnn... !! »

Elle sentit ensuite Poison se retirer. La respiration lourde, Miranda se redressa petit à petit, en entendant sa fille mander aux esclaves de venir nettoyer son sexe, ce que les trois, bien entendu, s’empressèrent de faire. Finissant à genoux, elles s’attaquèrent au mandrin d’Shirley, venant le lécher, le presser, le caresser, le nettoyant, leurs langues se succédant sur sa verge, mais aussi sur ses testicules. Aucune partie de son anatomie ne lui était épargnée, et elles se montraient particulièrement douées et avenantes, comme on pouvait s’y attendre de la part des esclaves personnels de Miranda.

La PDG, elle, souriait devant ce spectacle, empreint de douceur et de perversion. Jambes écartées, Shirley laissait le plaisir se diffuser dans son corps, exprimant ainsi toute la joie qu’elle ressentait. Avec ses cheveux légèrement en bataille, son corps en sueur, et ces trois beautés à ses pieds léchant et embrassant tendrement son sexe, il se dégageait d’elle un incroyable et sauvage sex appeal, qui ne manquait pas de faire trembler Miranda.

*Oh, elle n’en a pas encore fini avec moi, c’est une certitude...*

On était même loin du compte ! Shirley ne faisait juste qu’étudier les différentes possibilités qui s’offraient à elle. Sur ce point, son regard acéré ne mentait pas, et Miranda, elle, en était tout simplement réduite à attendre de voir quel choix sa belle amante comptait faire. Autant dire que ce n’était pas les options qui manquaient, même si, comme elle l’avoua ensuite, elle avait déjà goûté à plusieurs parties du corps de Miranda.

« Dit comme ça, on dirait bien qu’il ne te reste plus grand-chose à pénétrer en moi, ma chérie... »

Évidemment, il n’était guère difficile de savoir quelle était la partie de son corps qui restait. Shirley imposa alors ses nouvelles règles, et Miranda obtempéra. Elle choisit donc de fléchir les genoux, posant ses mains sur le sol, et se mit donc à quatre pattes, tout en bombant les fesses. Prise en levrette, c’était classique, mais toujours aussi délicieux. Toutefois, Aemilianje voulait apporter sa touche d’originalité, et ordonna aux trois esclaves de se mettre en position. Miranda sourit, et vit Dorothée et Molly se mettre à gauche et à droite d’elle, prêtes à s’occuper de ses seins, tandis que Candy se mit à genoux, et se positionna sous le corps de Miranda. La PDG sentit sa tête heurter son ventre, et sourit, en s’appuyant légèrement dessus.

« Eh bien, Poison, on peut dire que tu m’as bien... »

Elle n’eut pas le temps de terminer qu’elle sentit soudain le cuir mordre ses fesses.

« Aaaaah... !! »

Un cri de surprise s’échappa de ses lèvres... La première fois. Quand la cravache fendit à nouveau l’air, cette fois, Miranda poussa un nouveau cri, mais de plaisir.

« Oh, Poi-Poison, haaaa... Hmmmm... Haaaaa... !! »

Diable, elle n’y allait pas de main morte...

Mais c’était là tout ce que Miranda voulait, après tout !

Oh Poison n'allait pas être si facilement vaincu, ni à son propre jeu, elle savait déjà ce qu'elle allait faire avec Miranda. À quatre patte juste pour lui prendre le cul ? Oh, ce serait si banal, surtout que la belle blonde avait déjà vécu ça un très grand nombre de fois. Alors quoi ? Si les esclaves étaient venues à elle, c'était pour qu'elles s'amusent déjà mais aussi et surtout, pour préparer la suite. Miranda devait certainement s'attendre au classique et bien non. D'un coup de cravache bien dosée sur sa fesse, elle fit en sorte que cela mette fin à ce qui devait se passer dans la tête de la femme la plus riche de Uatis. Pas une simple sodomie.

« Tu sais quand on connaît ta réputation... » Elle donna un nouveau coup de cravache, tout aussi fort, fort douloureux mais fort plaisant, et il en sera de même à chacune de ses pauses. « Baiser n'importe qui qui te passe sous la main... Je suis étonnée que tu ne m'ai pas convoquée plus tôt ? … Alors quoi ? Tu aimes les petites connes qui disent amen à tous tes caprices, mais dés que ça veut porter la culotte, tu as peur ?!... Vilaine petite putain ! … Moi, la plus grande actrice de Uatis, la plus bandante et la plus puissante, tu refuses de m'inviter !!! … Ton cul va prendre cher ce soir, crois-moi demain, la simple idée de t'assoire fera naître une larme au coin de tes yeux ! »

Pour finir, ce fut un vrai festival de coup sur son cul, laissant de belles marques rouges des deux côtés et quand la pause se fit enfin sentir pour son cul, elle venait la fesser, juste pour jauger sa douleur, à quel point ce cul rouge souffrait.

« C'est ça que j'aime chez les femmes ''Puissante''... Quand elles se font dominer et battre, elles couinent si bien que mes oreilles pourraient jouir... Alors... Couine pour moi ma petite pute. »

Après la cravache, c'était un festival de fessée, certes moins fort que la cravache mais qui se faisait aussi bien sentir. C'est pas que Poison avait une certaine haine contre Miranda, elle avait même rien à lui reprocher en réalité mais elle devait faire en sorte que son cul reste bien rouge et douloureux car quand ses mains avaient enfin fini de corriger ce cul, sa queue était prête à la finir. Sans la moindre délicatesse, elle venait la sodomiser, une nouvelle fois, Miranda devait balancer entre la joie et la douleur.

« Tu es ma chose, ce soir Miranda... Tout ton pognon et tes sociétés sont des atouts dans le monde des affaires, pas celui du sexe ! »

Poison serait une bâtarde, ne méritant pas le nom des Forge, ni une part d'un possible héritage – chose dont elle se ficherait même en sachant la vérité – elle était surement celle qui était la plus poche de Miranda sur ce qui était de son caractère. Poison n'allait pas lui laisser la chance de s'en tirer si facilement. Elle agrippa ses cheveux avant de tirer dessus pour qu'elle ne tienne plus sur ses mains mais justes ses cuisses.

« Je vais devenir ton plus gros fantasmes... et ton pire cauchemar ce soir, ma putain. Les filles, venez téter votre mère, on va voir si elle est généreuse avec vous ! »

Bon, c'est ce qu'elles faisaient déjà mais maintenant cambrer en arrière, elles avaient une meilleure prise. Poison se rapprocha pour l'embrasser dans cette position qui n'était certes pas très banal mais avec ses coups de reins sur ses fesses meurtris, Poison prouvait bien qu'elle était la fille de sa mère et que les personnes qui pourront lui marcher dessus, elles devraient se compter sur les doigts d'une seule main. Une main pour maintenir ses cheveux, l'autre sur son ventre pour la maintenir, l'actrice allait voir laquelle des deux générations allait jouir en premier ? Elle avait beau être excitée, Poison n'allait pas jouir si facilement, et certainement pas avant Miranda, oh oui. Elle allait se souvenir de sa rencontre avec la star, trèèèèès longtemps !

Shirley prit rapidement ses aises, et poussa l’outrage bien au-delà de ce que des invités normaux auraient osé faire, même en y étant invité préalablement par Miranda. Mais la PDG toléra ça. Elle toléra l’outrecuidance de Poison, pas tant parce qu’elle était célèbre, que parce qu’elle était, fondamentalement, une Forge. C’était son sang qui coulait dans ses veines, son énergie, sa force, sa vigueur, son insolence et son tempérament. Les Forge avaient toujours été comme ça, des fortes têtes, qui ne se laissaient pas marcher sur les pieds. Miranda était donc ravie de voir que Poison adhérait à cette logique, et ne se restreignait pas parce qu’elle couchait avec Miranda Forge. Au contraire, le fait de coucher avec cette femme puissante semblait galvaniser sa libido et sa violence, puisqu’elle gratifia, pendant un certain temps, les fesses de Miranda de coups de fouet de fessées.

« Hmmmm… Hmmmm… Haaaaaa… !! »

De la salive s’écoulait des lèvres de Miranda, tandis que les coups se poursuivaient. Oh, quelle force, quelle énergie ! Mais, si Poison pensait voir Miranda pleurer ou la supplier, c’était, là, la sous-estimer. Car, si Poison était douée, Miranda, elle, était une véritable Forge. Autrement dit, on ne la verrait pas craquer si facilement ! Elle tenait le rythme, jusqu’à sentir la main de Shirley agripper ses cheveux, la tirant en arrière.

« Hunnnghhh… !! »

L’amour maternel pouvait parfois être vache ! Ici, c’était le cas. Poison la maintint assise sur ses cuisses, ses mains dans le vide. Elle respirait lourdement, en sentant ses fesses frémir. Sa peau était considérablement rougie ici, et ses cheveux n’étaient pas en reste. Elle soupira à nouveau, tâchant de retrouver sa calme. Autant dire que ce n’était pas aisé, surtout que Poison alla l’embrasser. Miranda soupira de plaisir, tout en sentant les trois esclaves se presser contre elle.

Candy et Dorothée se pressèrent contre chacun de ses seins, et leurs mains filèrent également caresser son intimité, les doigts filant dans sa fleur intime. Quant à Molly, elle se rapprocha à son tour, et planta une seringue dans le creux du cou de Miranda, la faisant soupirer brièvement.

« Laissez-vous, Maîtresse… »

Les trois femmes avaient beau lui être soumises, elles n’en restaient pas, pour autant, particulièrement joueuses… Et ça, Miranda allait avoir eu l’occasion de le découvrir encore en ce moment. Le liquide que Molly lui avait mis fit gonfler ses seins, et Miranda gémit, avant de se mettre à répandre du lait depuis ses tétons. Elle sentit alors Candy et Dorothée se serrer davantage contre elle, goûtant à ce délicieux lait maternel. Miranda pouvait volontiers les comprendre, car on n’avait pas l’occasion de goûter, tous les jours, au lait de la puissante PDG ! Cette dernière continuait à gémir, tout en prolongeant et en faisant durer son baiser avec celui de Poison.

Et, une fois qu’elle le termina, elle soupira, son visage contre le sien :

« Vois… Hmmm… Vois comme tu les rends insoumises, ma… Ma chérie, hmmm… ! »

Poison exerçait une bien belle influence sur elles ! Mais, après tout, elle n’agissait que d’après ce que Miranda avait elle-même autorisé. Ce qu’elle disait n’était donc nullement un reproche, bien au contraire…

Miranda était très fière de Poison !

Elle n'était venue que pour parler affaire et pomovoir un nouveau concept encore flou mais qui saura trouver son public et voilà que dorénavant, Poison s'envoyait en l'air avec la belle Miranda Forge. Outre sa beauté, c'était son statut que Poison aimait sodomiser. Poison était considérer comme LA plus grande actrice porno de Uatis là où Miranda avait son trône en ce qui concernait tout simplement la richesse comme l'emprise qu'elle avait sur la cité. Ce ne serait pas étonnant que la belle blonde tienne en laisse un certain nombre de personnes influente qui, à toute décision se tournaient d'abord vers elle pour savoir ce qu'ils devaient répondre ? Alors pouvoir faire de Miranda sa petite chienne, c'était encore mieux ! Mais à travers ses ordres, les esclaves avaient pris une chose au pied de la lettre en faisant de Miranda une donneuse de lait. Intéressant...

« Insoumises ? Mais regarde comme elles ont faim ! Il faut penser à les nourrir avant de les baisers. Je me demande moi aussi quel goût tu peux avoir ? »

Ses dents venaient mordiller son lobe d'oreille, continuant de se faire sentir entre ses fesses, quoi de mieux que la faire couiner en plus ! Les esclaves étaient toujours aussi collées à Miranda, Poison venait même se demander si elle ne leur avait pas ouvert une nouvelle passion ? Elle aussi avait déjà jouer les vaches laitières, surtout quand dans ses films, elle a un rôle de maman, il y a forcément une scène de fessée comme une scène plus douce où elle nourrit son enfant. Il viendra un moment où Poison va voir si Miranda est aussi délicieuse de ce côté-là ? Elle laissait les petites voraces coller la belle bonde pendant qu'elle savourait autre chose, son cul. Ses mains la maintenaient, permettant de mieux lui donner des coups sur ses belles petites fesses, elle rebondissait pour mieux s'enfoncer et recommencer, encore et encore !

« Haaaan ! Couine ma belle ! Couine comme une salope ! Ghhhaaaaaaaa-huuuuum ! »

L'ultime coup de reins, c'était si bon ! Elle sentait ses bourses devenir si légères pendant que le cul de Miranda devenait encore plus chaud et moite. Sa bouche venait se perdre dans son cou, l'embrassant doucement dans cette zone.

« Je sens quelque chose sur mes couilles... T'aurais pas joui, ma salope ? Vu comment ta hurler, je doute que t'ai simuler puis regarde son visage... Huhum, tu l'a trempé ta pauvre petite esclave ! »

Poison savourait ce petit moment pour reprendre son souffle, venant même déjà préparer la suite, sans se précipiter pour autant. Elle passait ses bras autour d'elle, venant caresser les cheveux des deux belles petites choses toujours aussi assoiffées. Pendant ce temps-là, Miranda devait parler de ses secrets, sur ses performances sexuels, comme convenue par leur petit jeu.

« Alors chose promis, chose dû. Mes chéries, vous allez m'en laisser un peu que je puisse savoir combien son lait est délicieux. Ne vous inquiéter pas, je vais pas tout avaler, c'est juste pour en profiter un peu avant de savoir à quoi on passe ensuite... »

La sodomie avec les fessées, c'est fait. Alors, en quoi elle allait pouvoir jouir ensuite ? Vaginale ? Certes, mais il faut innover et que ce ne soit pas trop banal... Mhh, voyons voir ce que son lait va lui inspirer ? Elle laissa la belle Miranda se relever, les autres se détacher d'elle avant que Poison ne vienne les remplacer, posant délicatement sa bouche dessus, venant sucer cette petite mamelle, voyons voir ce qu'elle avait en bouche ?

Shirley était vraiment terrible, la meilleure dans sa partie ! Ah, quelle force, quelle énergie ! Si ça ce n’était pas digne d’une Forge... Aucune retenue, aucune volonté de la prendre « honorablement » parce qu’elle se faisait une Forge. Non, c’était de la baise sauvage et ardente, tandis que les courtisanes de Miranda s’attaquaient à ses seins. Sous ce traitement jouissif, il était bien difficile pour la PDG de se retenir, de se contrôler, et elle laissait son plaisir éclater, au fur et à mesure que la verge de Shirley se mouvait dans ses fesses, et s’y maintenait confortablement, remuant fortement en elle. Hm, quelle énergie ! Comment Miranda pouvait-elle ne pas aimer ça ? Elle raffolait de Poison, décidément bien à la hauteur de sa légende !

Cette sodomie durait maintenant depuis de nombreuses minutes. Candy et Dorothée continuaient à pomper ses seins, les femmes l’entourant dans un cocon de douceur, de luxure, et de douleur. Et c’est dans ces circonstances que Miranda finit par atteindre son orgasme, tout comme Poison. Les deux femmes atteignirent le plaisir névralgique presque simultanément, la PDG se relâchant dans un ultime et puissant cri :

« HAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Miranda la sentit avec plaisir se répandre en elle, le sperme de Shirley remontant dans son corps, remplissant son ventre. Sensation divinement exquise, qui la laissa pantoise, traversée par ces vagues de plaisir et de jouissance pure. Shirley finit par se retirer, mais resta toutefois proche d’elle, proche de sa mère... Jusqu’à aller apposer ses lèvres contre son sein, afin de prendre du lait maternel. Un frisson traversa le corps de la PDG, qui gémit à nouveau, et caressa le visage de la jeune femme, un sourire amusé sur les lèvres.

« Oh, Poison, hmmm... Tu es vraiment... Vraiment à la hauteur de mes espérances, mon amour. »

Miranda pouvait aussi se montrer affectueuse, et, pendant que Shirley s’attaquait à son mamelon, et recueillait son lait, elle caressait ses cheveux d’une main, et sa joue de l’autre.

« Là, hmm... B-Bois mon bon lait, Shirley, ha aa... Rassure-toi, j’ai... J’ai encore plein de choses en tête pour toi ! »

Il ne fallait pas que Shirley croie que leur séance allait s’arrêter maintenant. Ce n’était, au contraire, qu’un début.

« Est-ce que mon lait est bon, au moins ? »

Y a pas à dire, elle s'amusait bien ici ! Elle s'y attendait un peu car après tout, quand on l'invite, même pour parler boulot, c'est rare que tout se termine avec une poignet de main et au revoir. Oh non, ce n'était là que le début. Alors cette petite séance tombait vraiment bien car ça détendait toujours un peu de sexe, surtout quand il n'y a aucune limite et pour Poison, surtout quand elle baisait quelqu'un de grande dans cette société. Peu importe son pognon et son affluence, dans un lit, seule la pratique et la force compte ! Avec de la chance, Miranda deviendra une de ses petites chiennes qui attendra avec impatience la prochaine venue de l'actrice pour se faire tirer ? Mais pour le moment, elle se détendait un peu en allant goûter à son lait car si les esclaves l'avait fait, ce n'était pas pour rien.

Elle s'accrocha donc à ce petit bout de chair pour le presser entre ses lèvres avant de le sucer pour mieux sentir le lait couler entre ses lèvres pour venir dans sa bouche. Hum, un vrai délice. Miranda n'était pas la première chez qui elle venait téter ce délicieux liquide. Bien des femmes avant elle avaient eu droit aux lèvres de Poison, des plus jeunes, des plus généreuses. La scène pourrait surement gagner en émotion si elle savait le lien qui les unissaient mais pour le moment, l'actrice savourait sans s'en douter. Miranda n'était qu'un potentiel nom sur sa liste des personnes à voir mais cette vérité n'allait pas éclater de suite. Même si elle lui fait passer le test, ce ne sera surement qu'une fois le moment de partir. Pourquoi tout gâcher après tout ? Une chose à la fois.

De plus, ses caresses étaient agréables, pourquoi elle les refuserait ? De plus, même hors caméra, cela ne nuit pas à son image. Poison restait une femme qui aimait aussi la tendresse. La belle blonde avait des choses encore à lui faire faire, pourquoi pas, elle ne demandait qu'à voir après tout ! Décrochant ses lèvres de son sein, elle continua de sourire, venant pincer ses tétines en souriant.

« Comme toi, à la hauteur de ta réputation ! »

Elle lui renvoyait le compliment. Elle aurait pu ajouter que le lait était peut-être aphrodisiaque mais ce n'était que du lait normal, c'était simplement leur petit jeu qui excitait la jeune femme. Pressés contre son corps, ses doigts continuaient de pincer ses mamelons au liquide blanc, ce qui semblait faire sourire Poison, comme toujours.

« Maintenant que tu as attisé ma curiosité, tu as plutôt intérêt à ne pas me décevoir... Si tu as vu mes films, tu sais que quand je ne suis pas contente... tu risques de t'en souvenir très longtemps. »

Entre les tortures SM et autres petites choses dignes de la Grande Poison, on pouvait faire tourner l'imagination à plein pot ! La jeune femme brandissait sa cravache en la passant le long de son menton en lui tournant le dos.

« Mon petit péché mignon, c'est de dresser les plus récalcitrantes, ses personnes qui pètent plus haut que leur cul en croyant qu'un claquement de doigts peut tout arranger de leur part... » oui, ça pouvait correspondre à Miranda pour qui, coucher avec la première venue dans la rue n'était pas un souci et qui, dans le pire des cas, un beau chèque suffisait à la placer au-dessus des lois. « Mais ça, c'est marrant qu'une fois ou deux, après, ça finit par être lassant. J'ai aussi besoin de voir ce qu'ils ont dans le ventre ! Parfois, ce sont de purs soumis qui viendrait me supplier à quatre pattes de venir nettoyer mes talons avec leur langue, mais parfois, ce sont des bêtes qui n'attendent qu'une chose, que je baisse ma garde... Et toi alors ? Même si je suis sûre que tu serais très belle avec un collier et une laisse en train d'aboyer à quatre pattes, ça briserait ton image de savoir que la grande Miranda Forge n'est qu'un simple rôle devant les médias... Tu n'es pas docile au moins ? »

Poison n'allait pas se laisser faire, ça non, mais elle voulait voir ce que donnait Miranda quand elle jouait sérieusement, sans se montrer gentille et docile. Elle avait une certaine réputation et bien des rumeurs à son sujet après tout.

Shirley venait de boire le délicieux lait maternel de Miranda, et, maintenant, restant près d’elle, elle lui avouait qu’elle adorait briser les « récalcitrantes », et lui expliqua avoir envie de la voir avec un collier autour du cou, à faire la soumise. Miranda sourit en retour. Que Poison se permette ce genre de propositions devant elle, c’était bien là la preuve que le sang des Forge coulait en elle ! Et, inversement, si la PDG ne lui reprochait pas un tel comportement, c’était également parce qu’elle était sa délicieuse mère. Elle l’embrassa sur les lèvres à la fin de son exposé, et se redressa un peu.

« Tu parles à Miranda Forge, Poison… Si tu veux m’avoir avec un collier autour du cou à te lécher les pieds, il va falloir que tu te surpasses, ma belle… »

Une idée lui trônait dans la tête, et elle sourit malicieusement.

« Tu aimes les défis et les expériences innovantes, n’est-ce pas ? Je vais te proposer quelque chose, Shirley… Quelque chose où tu ne pourras que gagner. »

C’était tout à fait Miranda, ça. Non seulement elle était une femme très bien organisée, mais avec une grande imagination, qui faisait que, très souvent, et notamment en matière sexuelle, des idées très perverses lui venaient en tête. Le sexe, ça la stimulait énormément. En réalité, si Miranda était aussi douée dans le monde des affaires, c’était aussi parce que, sexuellement parlant, elle était très épanouie. Et elle savait comment parler à Poison, comment la stimuler.

Pendant que Miranda réfléchissait, Molly avait pris une caméra, et filmait, pour bien montrer à Shirley qu’elle était sérieuse.

« Je vais te proposer… Sept défis sexuels. Si tu accomplis les sept, alors tu pourras me soumettre, et me traiter comme une chienne. Me mettre un collier autour du cou, par exemple… Ou laisser parler tes fantasmes les plus osés. »

Miranda lui sourit à nouveau, avant de regarder la caméra.

« On pourrait même en faire une émission, qu’en dis-tu ? Voir si la légendaire Poison arrivera à tenir face aux défis de Miranda Forge ? »

Elle n’avait toutefois pas encore fini de poser ses conditions, et se rapprocha à nouveau de Poison, pour lui murmurer quelques mots dans le creux de l’oreille :

« Et, si tu gagnes, Shirley, je te dirais surtout qui est ta mère biologique… »

Poison n'était pas le genre de fille qui avait froid aux yeux, elle était même plutôt du genre à vouloir se montrer plus forte, plus grande. Elle respectait les gens au-dessus d'elle, noble, politique, duchesse, ect, ok, elle veut bien se montrer courtoise, polie mais dés qu'on parle de sexe, il n'y a plus de statut. Il y a deux choses pour elle qui n'ont aucun statut social. À commencer par la mort, riche ou pauvre, on y échappe pas. De deux, la domination sexuelle. C'est la loi du plus fort. Certaines personnes sont faites pour diriger de grands empires, des milliers de comptes en banque pour gagner plus, pour éliminer une menace extraterrestre et elles avaient des couilles pour ça ! Mais une fois dans le lit, ce n'était qu'un gentil petit chien qui agitait la queue. La vie et le sexe sont deux mondes différents et souvent les gens portent un masque en société, dans un lit, les masques tombent.

Alors même si Miranda avait une sacrée réputation en affaire comme sur le plan sexuelle, Poison était là pour voir si elle était vraiment si intraitable ? En tout cas, elle ne manquait pas d'imagination vu ce qu'elle lui proposait. Sept défis ? Des gens ont déjà tenté de la tester, rien de programmer, des paroles qu'on lance à une soirée et qu'on vérifie juste après, rien de filmer ou diffuser. Mais une proposition venant de Miranda Forge, ce sera gargantuesque ! Elle pouvait dire oui mais voir son petit sourire en se rapprochant, celle-là avait autre chose sous la main... Et quelle chose ! Poison était toujours du genre à garder le sourire, à avoir un petit air qui la définissait comme une jeune femme qui ne se laissait pas marcher sur les pieds mais entendre ça... Son regard avait quelque peu changé, pas hostile mais... elle se méfiait. La recherche de ses racines était secrète, jamais elle n'avait parlé à qui que ce soit de ses parents, elle était orpheline après tout. Et si l'identité de sa mère ne fait aucun doute, celui ou celle qui a mis sa mère enceinte restait un mystère pour elle. Car pourquoi sa mère est morte ? Simple accident ? On l'a tué pour ne pas la faire parler ou prendre l'argent qu'elle avait encaisser de cet énorme chèque ? Elle ne savait pas et elle voulait savoir si son deuxième parent était coupable et savait même son existence ?

Donc Miranda connaissait sa mère qui l'avait porté ou alors son second parent était aussi une femme ? La qupete de Poison ne devait pas s'ébruiter, elle avait commencer ses recherches et les riches qu'elle avait déjà vu n'avaient rien dit sur ses recherches et avaient coopérer sans souci, surement se savaient-ils innocent ? Mais là... ça faisait un peu louche.

« Une petite minute Miranda... Que tu souhaite me tester devant les caméras, c'est une chose, ça, j'ai assez de couilles pour pas fuir la queue entre les jambes et montrer que je suis forte. Mais ça... Ca, c'est quelque chose de secret, que personne ne sait... Donc soit quelqu'un qui est déjà passer à la casserole a vendu la mèche, soit tu sais ça depuis le début... »

Pour le coup, on ne pouvait pas dire de Poison qu'elle se dandinait en agitant sa queue, prête à sauter sur la première venue, elle était sérieuse, peut-être même un peu trop... Depuis le début, elle trouvait louche que Miranda l'appelle par son prénom. Certes, ce n'était pas un secret mais toutes les stars qui ont des pseudonymes se font appeler par leur faux nom, alors pourquoi elle échappait à la règle ? Elle était comme ça avec chaque personne qui avait un pseudonyme ?

« Je ne veux pas être méchante Miranda, mais tu me racontes pas des mensonges au moins ? Je veux bien plaisanter mais y a des sujets où on ferait mieux de se taire... »

Elle avait des questions à poser à sa mère ou son père, des questions que seul un enfant abandonné avait a poser, même si elle ne sera pas du genre à agir comme une petite fille et coller ses parents, il y avait des choses qu'elle voulait savoir. Après tout, Miranda était une femme puissante, qui n'aimait sûrement pas perdre alors cette annonce, c'était pour déstabiliser Poison et éviter une défaite ? C'était pour quoi donc ?

« Si c'est la vérité, je suis partante pour ton jeu. Mais du coup, va falloir organiser ça plus tard et mettre fin à notre rendez-vous ? On n'attire pas un public à l'mproviste, faut savoir faire sa pub et garantir que les spectateurs soient bien là au rendez-vous. »

Vu que Poison parlait de ça, ça semblait être bon pour elle donc ?

Miranda avait touché un point sensible en évoquant le sujet de ses origines. De fait, le ton sensuel de Poison se tut, devenant beaucoup plus sérieux. Elle expliqua à Miranda qu’elle avait intérêt à être sérieuse pour faire une telle proposition. Il fallait bien reconnaître que Shirley était plutôt discrète sur ses recherches. Elle avait interrogé quelques amantes, et ne voulait visiblement pas que ses recherches s’ébruitent. Miranda sourit alors, et sa main vint caresser le visage de la belle Poison, son pouce venant glisser sur ses lèvres, appuyant dessus.

« Ma chérie, si je fais une promesse, je m’y tiens. Remplis ces défis, et tu sauras la vérité sur tes origines. »

Étant elle-même la mère biologique de Shirley, elle était bien placée pour le dire. Mais, revenant sur un sujet plus sérieux, celui des défis, Shirley demanda s’il fallait attendre un peu, le temps que le public se mette en place. Miranda sourit alors.

« Comme tu veux... »

Elle hocha la tête, et se déplaça alors.

« Une semaine, ça me semble pas mal pour organiser ça. Une soirée spéciale, en direct, bien entendu, avec les sept défis à la suite. Et, si tu y arrives, en privé, je te dirais ce que tu cherches, Shirley. Mais, d’ici là, n’hésite pas à t’entraîner au sein de ce bâtiment. Je me répète, mais toutes les portes te sont ouvertes... Y compris la mienne. »

Miranda l’embrassa une dernière fois avant de la laisser filer. Elle savait que l’agenda de Shirley devait être assez chargé, mais elle espérait bien, quand même, que la jeune femme viendrait la voir régulièrement.

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Une semaine après
GéoDôme

C’était le grand jour ! Comme d’habitude, la campagne marketing de Miranda pour préparer l’évènement avait été aussi efficace que rapide. Une campagne virale menée tambour battant pour l’organisation de l’épreuve, qui s’appelait désormais « The Seven Poisons ». Sept défis sexuels pour Poison, le tout s’organisant dans une série de sept salles présentes au Dôme, avec de multiples caméras, et l’avis en direct du public. Poison était une figure très populaire, et le réseau social de GeoWeapon Corp., GeoMedias, très efficace. Les équipes avaient mené un travail fantastique, aussi bien en faisant des clips promotionnels talentueux qu’en ayant une forte activité sur les réseaux sociaux.

Pendant toute cette semaine, Poison était régulièrement revenue voir Miranda, mais avait aussi passé du temps à déambuler dans les locaux de la compagnie. Elle avait notamment fait irruption en pleine salle de réunion, et avait sodomisé une cadre. Et personne n’y trouvait évidemment rien à dire. Tant que les gens avaient du cul à profusion, ils étaient heureux... Et GeoWeapon Corp. était là pour leur offrir tout ce qu’ils demandaient.

Ce soir, donc, une épreuve spéciale avait lieu, et, pour l’occasion, elle se déroulait dans le poumon de GeoWeapon Corp., le Dôme. Une véritable ville dans la ville, reliée à la ville par un pont. Une île artificielle abritant le Dôme et de multiples structures tout autour et en-dessous. Les plus grands secrets de GWC se trouvaient là, ainsi que les ateliers, les laboratoires, les serveurs... Des milliers de gens y travaillaient nuit et jour, avec une sécurité draconienne.

Et les Défis allaient bientôt pouvoir commencer...

Toute cette histoire avait fait naître en elle un tas de questions. Elle ne s'était pas reposé en se questionnant sans cesse, elle a continué de tourner/jouer dans ses films et elle a continuer les contrats et projets en cours. Elle avait aussi prévu de quoi s'entraîner, que ce soit avec quelques copains et copines ou bien en allant voir Miranda. Même si la belle blonde était plutôt en sécurité, Poison ne jouait pas avec elle durant la semaine, juste au cas où, Miranda lui avait préparer des épreuves et elle ne voulait pas que cela soit changé au dernier moment car une de ses prouesse aurait rabaisser une des épreuves vu son talent. Mais son personnel n'avait pas échappé à Poison. Que ce soit cette cadre durant cette réunion, la présence de Poison avait échauffé déjà l'assemblé mais voir cette traînée dandiné son petit cul en se prenant pour une dominatrice, elle l'avait sodomisé et rabaissé devant toutes ses petites camarades. Son esprit en avait pris un coup mais dieu sait qu'elle a adoré ça. Poison était presque aussi célèbre que Miranda ! C'était la star porno numéro un et personne ne l'a détrône à ce jour depuis son arrivée.

Aemi' aussi avait célébrer ses retrouvailles avec sa star préféré. Poison n'y avait pas été de mains morte, elle était sûre que tout leur petit jeu lui avait fait perdre une bonne journée de travail ! Mais ce serait mentir de dire qu'elle a détesté ça. En compagnie de ses amies proches, elle s'était entraîné à diverses choses, ignorant tout des épreuves, elle avait testé son endurance, combien de temps elle mettait à jouir pour une simple masturbation, combien de foutre sortait de sa queue, combien elle pouvait baiser de fille/homme à la suite avant d'agiter le drapeau blanc, bref... Elle n'avait pas chômé ! Puis vint le grand jour ! Poison avait invité ses deux nouveaux membres, même si elles étaient plus ou moins connus déjà dans son équipe, elle profita d'être sous le feu des projecteurs pour en faire de même pour elles. Toxine, la plus jeune des deux femmes ainsi que Virus, qui avait un faible pour le latex et la domination. Autant dire qu'elle avait déjà un certain succès, d'autant plus que sa particularité physique était sa cécité. Elle était aveugle mais ça ne la rendait pas moins inoffensive.

Face à cette foule en délire, elle pensait que ses filles seront juste là en groupie pour l'encourager. Miranda ne savait pas qu'elle viendrait avec des gens, puis quand bien même Poison aura besoin d'aide, les personnes étaient déjà prévus dans sa série de défis. Elle fit grimper les filles à des places d'honneur – elles méritaient bien ça – alors que déjà, malgré ces étranges épreuves qui l'attendaient, Poison n'était en rien effrayer ! On lui avait déjà proposé ce genre de défis, loin des caméras et du public, elle a toujours réussi, pourquoi pas aujourd'hui ? Elle les saluait, offrant des sourires aux uns, des baisers voler à d'autre, mise à l'épreuve ou non, sa popularité n'était pas à prendre pour une mauvaise blague. Fidèle à elle-même, sans attendre une quelconque annonce officielle ou autre, elle attira à elle une des employées chargées de tout s'occuper pour que ce soit parfait, lui demandant de lui apporter un micro de ce pas. Sans menace, son ton et son regard ont suffi à faire en sorte que l'ordre soit respecté. Poison trouva donc rapidement un micro et, que ce soit grave ou non, elle alluma d'elle-même la mèche.

« Mesdames et messieurs ! Inutile de vous faire un speech sur ce qui va se passer, vous avez assez bouffé de pub sur ça toute la semaine, sinon, vous ne serez pas là ! Désolé à ceux et celles qui n'ont pas pu venir mais ce ne sera que partie remise ! Je serais tôt ou tard sur le devant de la scène pour une raison ou une autre après tout. Bref, comme vous le savez, la graaaande Miranda Forge dont il est inutile de préciser qui c'est – comme moi – m'a lancé un défi et évidemment, je ne fuis pas ! Alors sans plus attendre, avec ou sans elle pour ouvrir le bal, que les épreuves commencent !!! »

Poison ignorait si Miranda comptait faire un discours, venir d'elle-même acceuillir Poison devant les caméras mais la star avait commencé sans elle. Elle n'avait rien contre Miranda mais depuis l'histoire de cette « récompense », elle ne savait pas comment voir la blonde. Amie ou ennemie ? Elle pouvait rire de tout, pas de ses racines et ses racines étaient justement une chose qu'elle ignorait depuis toujours. Pour le public, c'est juste un défis pour Poison, un bon coup de pub pour amasser du fric pour l'une comme pour l'autre, pour Poison, c'était peut-être une réponse en moins à découvrir. Bon, qu'est-ce qui l'attendait à présent ? Car pour annoncer le début et faire poireauter les autres, ça n'ira pas pour l'audimat...

Organiser cette épreuve avait pris un peu de temps à Miranda. Non seulement fallait-il réunir les fonds, mais aussi avoir les idées. Il était impressionnant de voir comment la machine s’était mise en place, comment GWC avait alors assemblé les différents éléments pour pouvoir, petit à petit, organiser cette scène, sans aucune fioriture. Tout avait été parfaitement orchestré, et ces défis sexuels avaient su attirer leur lot de curieuses. Miranda avait organisé ces dernières dans une sorte de grande arène, avec une place centrale, une salle de conférence reconvertie pour l’occasion. Poison se rendit sur l’estrade, et fit un discours devant la foule assemblée dans l’obscurité, qui la saluait et l’applaudissait chaleureusement. Shirley était une femme très populaire, et, tandis que les gens attendaient, une autre personne rejoignit l’estrade.

Miranda. Portant une élégante robe de soirée, fendue à hauteur de la jambe, elle se rapprocha de Poison, et commença par l’embrasser tendrement, et s’attarda volontiers sur ses lèvres, de quoi faire monter la pression auprès du public, donnant lieu à des applaudissements supplémentaires. Miranda se retourna ensuite vers le public, s’appuyant à l’estrade.

« Mesdames, je vous souhaite la bienvenue au Dôme ! »

Elle laissa ensuite planer quelques secondes, puis reprit :

« Comme vous le savez, j’ai décidé d’organiser une séance très spéciale avec Poison, afin de célébrer notre nouveau partenariat. »

Miranda lui sourit, évitant de dire le but réel de ces défis, et la question que Miranda poserait à la fin, si elle réussissait l’ensemble de ces épreuves. Elle était sûre que Poison y avait réfléchi à nouveau, en se demandant si la PDG était sincère, si elle ne lui avait pas menti, et si elle savait vraiment qui était sa mère biologique, les traces de son lignage. Tout cela viendrait en temps voulu. Pour l’heure, Miranda continua à parler pendant quelques minutes.

« Poison va devoir traverser une série de pièces, et remplir les Épreuves qui se trouvent à l’intérieur. Bien entendu, chaque spectateur pourra agir sur le déroulement des épreuves, en votant, et en commentant ces dernières. Selon la pertinence des commentaires et de vos propositions, le contenu même des épreuves pourra influer. »

Les défis allaient maintenant pouvoir commencer. Miranda se retourna vers Poison, et l’embrassa encore, avant de lui souhaiter de bien s’amuser, puis rejoignit ensuite la loge d’honneur. Poison s’avança ensuite dans un couloir, jusqu’à voir une porte devant elle, verrouillée. Il fallut encore attendre quelques instants, le temps que la porte à l’entrée du couloir ne se referme. Le temps sembla ensuite s’écouler lentement, le public égrenant les secondes restants avec joie, car elles s’affichaient sur un grand écran digital... Puis, au décompte final, un hologramme se forma sur l’estrade, permettant au public d’avoir une représentation visuelle extrêmement fidèle de ce qui allait se passer.

La porte s’ouvrit devant Poison, et, en s’avançant, cette dernière vit rapidement en quoi le premier défi allait consister : trois hôtesses en latex se tenaient devant elle, au milieu d’une pièce comprenant un grand nombre de sex toys.

« Coucou, Poison...
-  On est tes plus grandes fans !
-  Et on va te faire bien mal ! »

De gauche à droite, on trouvait : Asuka, dans sa robe noire, Lyra, celle à la combinaison bleue, et, enfin, Mariah, qui portait la combinaison rouge. Trois dresseuses du département GeoSlave, des expertes sexuelles, aussi perverses que vicieuses.

« Voilà ton défi, Poison... Passer une heure avec nous, et tenir bon jusqu’à la fin. »

Un premier défi des plus alléchants !

Défier Poison, Miranda n'a pas été la première avec ce genre d'idée, peut-être la première à lui proposer une longue série d'épreuves, certes, ainsi qu'une vraie récompense à la clé, pas juste une question de fierté ou un pari débile. Poison gardait toujours son rôle, belle, sensuelle et provocatrice face à la caméra, respectant Miranda qui était son associer mais elle gardait un petit pas de méfiance, trouvant louche cette histoire concernant la partie manquante de son arbre. Si sa mère ne faisait aucun doute, elle ne savait pas quel type ou futa/shemale (plus rare) était celui ayant engrossé sa mère. Car pour Poison, ce n'était pas qu'une simple question personnelle, il y avait tout un tas de bagage derrière cette simple question. Mais enfin sa soirée pouvait commencer et si la première porte était bloqué, elle attendait un peu, une fois le déclique entendue, elle ouvrit la porte pour voir trois beautés.

Noire, blonde, rousse. Noire, bleu, rouge. Un trio intéressant, se montrant déjà rebelle. C'était mignon de toujours vouloir la rabaisser alors que Poison était celle qui menait la danse bien souvent. Elle fut légèrement surprise de la durée de l'épreuve, tenir une heure ? Ce n'était pas la durée qui l'étonnait pas juste l'épreuve. Si elle doit passer une heure avec ses trois-là déjà, ça veut dire que la soirée va être très longue ! Elle aurait dû faire une petite sieste, tiens. Elle pensait en avoir pour deux ou trois heures au maximum ? Sacrée Miranda.

« Oh, je ne sais pas si ses tenues sont vos choix où celle de Miranda mais c'est du travail mal fait. Ma chérie, montrer déjà tes seins et ton minou... On commence à peine, trésor, tu aurais dû garder pour après, comme tes copines. »

Poison n'était actrice/réalisatrice pour rien, elle aimait le travail bien fait. Soit son film commençait avec des filles nues, soit habillée, mais pas les deux à la fois. Elle se rapprocha d'ailleurs d'elle, Lyra, bien qu'elle ignorait encore son nom, s'amusant à se tenir à quelques centimètres de son visage.

« Autant tes copines peuvent me cacher des choses sous leur petite tenue et leur ton dominant leur vont bien. Surtout toi ma petite chérie, le rouge se marie bien avec tes cheveux et ton regard. » Dit-elle pour Mariah. « Mais toi, ta tenue, ton regard, je ne vois pas de menace, je vois juste une petite putain qui crie Viole moi. »

Elle s'en écartait, venant tourner autour du trio, caressant le menton de Mariah en observant sa tenue, regardant le petit cul de Lyra, y trouvant déjà l'accès vers son fondement, une vraie pute... Et enfin Asuka qui avait une tenue très bien moulé. Du trio, elle devait être celle qui avait la plus dominante mais elle avait un faible pour Mariah, le rouge était un meilleur choix de couleur et Asuka un très bon choix de vêtement, c'est vrai qu'en palpant sa fesse, c'était encore mieux.

« Qui sait, c'est toi que je devrais punir ? T'attacher au lit pendant que je me fais ses deux petites pétasses sous ton nez ? Je t'imagine bien me supplier de te prendre par tout les trous... Mais tu tiendrais une heure ? Je ne pense pas. Toi, ma petite flamme, interdit de retirer ta tenue tant que j'y ai pas glissé ma queue dedans pour y jouir.... Pauvre poitrine compressée... ce doit être tellement bon. Et toi, petite beauté sombre, j'ai bien envie de te faire couiner. Mais nous somme un groupe donc autant s'amuser toutes ensembles alors... Qui veut se faire baiser en premier par moi ? »

C'était des fans et c'était son épreuve, elles pouvaient se dire méchantes et dominantes, elle ne les croyait pas. Elle ne croyait pas que ses trois-là pourraient la dominer. La retenir à la limite, elles ont l'avantage du nom mais la dominer, elle en rirait gorge déployée ! Il y avait des jouets à disposition mais elle préférait user de ses jouets fétiches, sa queue et sa cravache ! Son épreuve avait commencé mais elle ne pouvait pas perdre déjà, impossible. Mais elle allait offrir un bon show, c'est sûr que ce soir, l'audimat ne fera que grimper en flèche !

Il n’y avait qu’une Forge pour se permettre de critiquer si ouvertement les combinaisons de trois formatrices de GeoSex.  Ces trois femmes n’étaient pas des enfants de chœur, loin s’en faut, mais, comme toute Uatéene digne de ce nom, elles étaient aussi des grandes fans de Poison. Devant elle, elles étaient donc toutes émoustillées, d’où cette petite provocation. Un premier défi d’une heure signifiait que Poison allait y passer toute la nuit, au moins. Les défis de Miranda s’étaleraient donc sur la durée, mais ils étaient proposés pour Poison, une actrice uatéene qui était une véritable star, connue pour son expérience sexuelle colossale, sa beauté magnifique, et son endurance redoutable. Il était donc normal que ce défi mette cette endurance à l’épreuve. Elles sourirent donc devant les remarques de Poison, qui, sans hésitation, et alors même qu’elles s’étaient présentées comme ses dominatrices, palpait les corps des trois femmes.

Ces trois femmes avaient eu un parcours assez spécifique, et, tandis que Poison les regardait, les spectatrices pouvaient en apprendre plus sur les trois femmes. Elles étaient en réalité toutes des criminelles ayant un casier judiciaire. Exhibitionnisme, viols, outrages et attentats à la pudeur… Soit la fine fleur de la génération uatéene, et avaient donc tout à fait leur place ici :

• Asuka, la femme en robe noire et aux cheveux bruns, par exemple, avait été en prison après avoir séquestré plusieurs camarades de sa classe, au lycée. Elle les avait enfermés chez elle, où elle les avait violés régulièrement, afin d’en faire des esclaves sexuelles. La police avait fini par intervenir, et Asuka avait été arrêtée. Condamnée à la prison, elle avait bénéficié d’un programme de réhabilitation qui l’avait amené à pouvoir laisser libre cours à sa perversion au sein des locaux de GeoWeapon Corp ;
• Lyra, la femme à la longue chevelure blonde et à la combinaison bleue électrique, avait, elle aussi, été emprisonnée. C’était une ancienne thérapeute qui s’était amusée à droguer ses patientes, afin de les violer. Une passion immodérée pour le sexe, jusqu’à ce qu’elle ne se fasse surprendre. Il y avait une procédure disciplinaire qui avait abouti à sa radiation, et un procès. Elle avait connu une seconde chance quand GeoWeapon Corp. était venue frapper à sa porte ;
• Quant à la dernière, la rouquine en combinaison rouge, qui s’appelait Mariah, elle était tout simplement une violeuse dont le plaisir était de coucher avec un couple, sans leur consentement. Elle se rendait dans leur maison la nuit, les neutralisait, puis les violait l’une après l’autre. Elle avait réussi à obtenir une complice, et avait décidé de s’attaquer à une famille entière lors d’un repas de famille, en les violant successivement. Les choses avaient donc dégénéré, et elle avait fini en prison.

Visiblement, Poison avait un petit faible pour Mariah.

« Je ne sais pas si vous vous en rappelez, mais j’ai été figurante dans l’un de vos films, il y a quelques années, Poison... Vous y jouiez une riche dame, et moi une voleuse m’immisçant dans votre maison pour y voler quelque chose... Mais vous m’aviez repéré. Vous m’avez sodomisé contre un mur, et... J’avais adoré ça. »

Tellement qu’elle avait ensuite adapté ça dans la réalité, jusqu’à finir en prison. Poison avait devant elle trois perverses, des femmes qui, sans GeoSex, n’auraient jamais pu canaliser leurs passions.

« Vous voulez donc inverser les rôles, Madame ? enchaîna alors Lyra. Moi aussi, je suis une reprise de justice. Je me souviens de ce film où vous jouiez une doctoresse qui couchait avec toutes ses patientes... ‘‘Le Cabinet Rose’’. Moi aussi, j’ai développé mon propre cabinet.
-  Et moi... Je me souviens de votre rôle de mère de famille perverse dans ‘‘À La Maison’’... Où vous séquestriez, avec votre fille, toutes ses amies adolescentes lors d’un anniversaire, pour les violer ensuite à tour de rôle. »

Autrement dit, et si Miranda avait choisi ces trois femmes, c’était bien parce que, à sa manière, Poison avait stimulé toutes les trois.

« Précisons les règles du défi... Vous avez une heure à tenir dès que vous donnerez le premier coup de reins. C’est aussi simple que ça, vous voyez ? Si vous êtes épuisée, vous échouez, Madame. Si vous ne faites pas un acte sexuel pendant plus de trente secondes, vous échouez également. Pour le reste... Si vous voulez nous dominer... »

Lyra sourit encore, en s’approchant de la femme, et caressa son ventre. Elle se lova contre son flanc, et l’embrassa dans le creux du cou, glissant sa main sous sa minijupe en jean pour caresser sa queue.

« Montrez-nous que vous êtes à la hauteur de votre réputation, et peut-être nous appellerons-vous ‘‘Maîtresse’’... Il n’y a que Maîtresse Forge que nous appelons ainsi, mais peut-être serez-vous la deuxième exception... »

Et elle termina en léchant sa joue.

Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ai l'ivresse. Pour Miranda Forge, ce serait qu'importe le scénario, pourvu qu'il y ai du sexe ! Les épreuves de Poison n'allaient pas se faire par le biais de jeux d'échec ou de logique pour faire travailler ses méninges mais plutôt pour faire travailler son entrejambe. Ce qui faisait le succès de Poison, côté anatomique du moins, c'était le fait d'être une shemale. Née femme mais avec l'entrejambe d'un homme, quoi que plus élégant pour elle. À Uatis, où la femme est reine, les futanaris poussaient comme des champignons, qu'elles soient née comme ça ou que ce soit fait par le biais de la médecine pour satisfaire envie et compagne, Poison était une vraie de vrai. Elle se demandait si son attirail ne faisait pas fantasmer les femmes en quête de bébé ? Après tout, si chez elle, c'est de naissance et, sans vagin mais avec deux belles bourses à la place, ne peut-elle pas donner plus facilement naissance à un bébé qu'une futa original ou implanté ? Jamais, à ce jour une partenaire ne lui avait dit attendre un heureux événement et jamais elle n'a lu que les shemale avaient plus de chance d'avoir de bébé que des futanaris. Mais qu'importe, que ce soit son talent, son jeu d'actrice ou son service trois pièces, elle était une des reines de Uatis, celle qui régnait sur la pornographie.

Face à ses trois beautés, elle se demandait comment elle allait jouer avec elles ? Cela devait durer une bonne heure, signe que Poison aura sûrement droit à une pause-café pour faire l'entracte et reprendre un peu d'énergie. Baiser comme un lapin, d'accord mais se reposer un minimum, non ? Ses trois beautés avaient toutes un petit charme la rendant mieux que leur voisine mais, il y avait un petit quelque chose qu'elle n'avait pas fait attention... outre le fait que la petite rousse ait déjà croiser Poison, c'était que ses trois-là avaient un passif inspiré d'elle. Non pas de Shirley mais de Poison et de sa filmographie. Elle observa le petit cul de Mariah en souriant.

« Hum c'est vrai que ton petit cul me dit quelque chose. Cela devait durer une bonne heure, signe que Poison aura sûrement droit à une pause-café pour faire l'entracte et reprendre un peu d'énergie. »

D'accord, il fallait bien jouer sur le langage cru, c'est aussi ça dans les films porno, on voit rarement de petits noms tout mignon et de petites caresses mielleuse, surtout quand Poison était dans le film. Ce n'était pas impossible mais ce n'était pas sa marque de fabrique, sa signature. Les deux autres venaient aussi parler de leur fanatisme de ses films, chacune avait sa préférence, mais, ouvrir un cabinet, adorer séquestrer des gens ? Certes, elle avait une très large filmographie mais elles visaient haut ses petites. Surtout « A la maison », c'est le genre de film à tourner en une seule prise pour mieux montrer l'énergie, la passion à prendre ses filles en question. Il y avait eut des pauses, quand la caméra passait du salon avec Poison ou de la chambre de sa fille mais quand la caméra était sur une des deux actrices principales, ça tourne en continue et sans pause. Il faut un maximum de réalisme dans ses films.

Lyra venait expliquer plus en détails les règles, venant même refuser de dire Maîtresse, titre réserver à Miranda.

« Vous vous dites fan et vous refusez de m'appeler Maîtresse ? Comment voulez-vous que je vous câline si vous montez sur vos grands chevaux ?! »

La main de Lyra dans son mini-short fut doucement retirée pendant qu'elle avait un sourire pervers pour la belle blonde. Oui, là, Poison était dans la place. Comme le chrono n'était pas encore partie – rien de vraiment sexuel n'avait eut lieu – elle observait ses trois partenaires pour décider qui sera la première ? Elle était seule pour toutes les trois après tout, elle ne pouvait pas combler tout le monde à la fois. Son regard s'attardait d'abord sur Mariah.

« Navré ma chérie mais si tu as déjà eut droit à ma queue, tu seras pas la première, donc, qui de vous deux ? »

La belle blonde un peu trop joueuse ou la froide mais pas moins sexy Asuka ? Elle hésita puis son regard se portait sur Lyra.

« Toi. Puisque tu sembles jouer avec le feu et qu'en plus, tu exhibe ta petite chatte l'air de rien, je vais faire de toi la chienne de la soirée. Tu seras la moins bien traitée de tes copines, tu seras... notre petite pute. »

Poison aurait pu la pousser sur le lit mais elle l'amena près d'une petite table où se trouvait flûtes de champagne et petits four sauf qu'elle ne commençait pas par se servir quoi que ce soit, elle mit Lyra contre le mur, se pressant dans son dos en parlant doucement à son oreille. Faiblement, mais il y avait du bon matériel donc tout était entendu ou au pire, sous-titré.

« Tu te donnes de grands airs mais je suis sûre que tu n'attendais que ça, hum ? »

Poison fit glisser sa braguette vers le bas en retirant le bouton de son mini-short en faisant signe à ses copines de venir. Ce serait dommage de ne pas jouer à trois.

« Venez vous deux, vous allez venir contre moi pour me faire bander... Et toi ma putain, tu vas juste me servir de sac à foutre pour commencer. »

La blonde n'avait encore rien en elle, les deux près d'elle, elle posa ses mains sur leurs fesses, les pressant doucement avec plaisir en sentant leur corps crissant contre elle, partageant un petit baiser avec Maria, plutôt doux et un baiser plus... mordant avec Asuka.

« Alors mes chéries, comment on joue avec notre petite putain ? Je lui défonce le cul ou alors je la fais souffrir simplement en me frottant contre elle, sans la pénétrer ? Je n'aime pas les fortes têtes qui se pensent supérieur à moi alors, toi, tu vas m'appeler Maîtresse car tu seras ma chienne mais vous deux, c'est par l'extase que vous me donnerez ce titre. Alors, des suggestions pour notre petite pute ? »

Car au premier coup de reins, il sera temps d'enclencher le chrono ! Les mains aux fesses et les baisers, ça ne compte pas.

Les deux femmes sourirent en voyant leur comparse se retrouver coincée contre le mur, Poison dans son dos, frottant sa queue contre les fesses de Lyra. La belle blonde à la combinaison bleue soupira en se pinçant les lèvres, serrant ses doigts contre le mur, et tourna sa tête vers elle. Asuka et Mariah les rejoignirent, les mains de Poison se posant sur leurs fesses, la femme allant les embrasser, tout en frottant sa belle virilité contre le corps de Lyra. Bien sûr que ces trois beautés la provoquaient ! Il fallait bien stimuler un peu Poison, et donner de l’enjeu à ce qu’elle faisait en ce moment. Alors, les trois dresseuses sexuelles l’avaient mis au défi, ce qui avait, semble-t-il, particulièrement emballé Poison, puisqu’elle avait relevé ce dernier, tout en leur demandant quoi faire de la « petite chienne » face à elle.

Des trois, Lyra était effectivement la meneuse, la plus provocante, ce qui fit qu’elle n’hésita guère, et bomba ses fesses contre la queue de la femme, tout en tournant encore la tête, et en se pinçant les lèvres.

« Tu peux m’appeler comme tu veux, mais moi, je ne vois rien en toi qui me force à t’appeler ‘‘Maîtresse’’. Ne te méprends pas sur nous, Poison. Ce n’est pas parce que tu es une femme très célèbre, qui fait mouiller les culottes de toutes les pucelles du pays, que nous allons t’appeler ‘‘Maîtresse’’. Là, ma chérie, tu es dans la cour des grandes ! »

Pendant que Lyra la provoquait, Asuka et Mariah astiquaient chacune le sexe de la femme. Mariah sourit également devant les provocations de Lyra. Celle-là, c’était toujours elle qui parlait aux proies qu’elles dressaient, trouvant toujours les mots justes pour les humilier, les soumettre, et, ainsi, petit à petit, en faire des esclaves dociles. Autant dire que, face à quelqu’un comme Poison, le courant promettait d’être électrique !

« Vous croyez vraiment pouvoir dominer Lyra en vous contentant de vous frotter à elle ?
-  Si vous voulez qu’on vous appelle ‘‘Maîtresse’’, il faudra le mériter... Comme Maîtresse Forge l’a fait face à nous.
-  À moins que toute votre réputation ne soit que du flanc, Poison ? J’ai déjà couché avec des stars du porno qui prétendaient pouvoir me dominer. Finalement, ce sont elles qui miaulaient en me léchant les bottes pendant que je leur enfonçais un gode dans le cul... »

Les caresses se multiplièrent sur la queue et les fesses de Poison. Mariah était la plus timide des trois, mais « timide » était un terme tout à fait relatif quand on parlait des formatrices de GeoSex.

« Vous m’aviez impressionné, jadis, mais j’ai grandi depuis, Poison... Vous allez devoir être à la hauteur de votre réputation, alors...
-  Baisez bien fort cette salope. C’est comme ça que Maîtresse Forge l’a soumise, en la faisant tellement hurler que Lyra n’arrivait plus à parler. »

Telle mère, telle fille, non ? Si Miranda avait pu le faire, Poison y arriverait certainement !

« Montrez-moi que vous êtes bien celle dont je me souviens, Poison... Enculez-là très fort ! »